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Heute — 18. Dezember 2025Haupt-Feeds

Chine : L’eau de mer dessalée moins cher que l’eau de robinet

Von: hechmi
18. Dezember 2025 um 21:11

EauÀ Rizhao, dans la province chinoise du Shandong, un dispositif pilote attire l’attention de plusieurs médias locaux et internationaux. Le projet combine production d’hydrogène et coproduction d’eau dessalée à partir d’eau de mer. L’objectif mis en avant dans les publications est la réduction du coût de l’eau produite, avec un repère fréquemment cité : environ 2 yuans par mètre cube.

Ce chiffre circule dans plusieurs articles, parfois comparé aux tarifs de l’eau du robinet dans certaines villes chinoises. Les sources disponibles ne précisent toutefois pas de manière uniforme s’il s’agit d’un coût de production, d’un prix de vente ou d’un indicateur théorique intégrant des hypothèses spécifiques.

Un dispositif combinant chaleur fatale et électrolyse

Selon les éléments relayés par des médias chinois, le système installé à Rizhao repose sur une unité de 110 kilowatts décrite comme un dispositif de production d’hydrogène par électrolyse directe de l’eau de mer. Le procédé intègre l’utilisation de chaleur fatale, c’est-à-dire des déchets thermiques, afin d’alimenter une étape de dessalement et de coproduction d’eau.

Cette configuration vise à valoriser simultanément l’électricité et la chaleur disponibles, en limitant les pertes énergétiques associées aux procédés séparés de production d’hydrogène et de dessalement.

Capacités techniques annoncées

Plusieurs publications rapportent des ordres de grandeur techniques similaires. La production d’hydrogène atteindrait jusqu’à 22 Nm³ par heure, avec une pureté annoncée supérieure ou égale à 99,999 %. Sur le volet eau, le système traiterait environ 800 tonnes d’eau de mer par an.

La coproduction se répartirait entre environ 450 tonnes annuelles d’« eau de haute qualité », avec une salinité annoncée inférieure à 5 ppm, et environ 350 tonnes de saumure concentrée. Les sources indiquent également que le dispositif aurait dépassé 500 heures de fonctionnement continu lors des phases de test.

Le coût de l’eau, entre annonce et clarification attendue

Le chiffre de 2 yuans par mètre cube constitue l’élément le plus repris dans la couverture médiatique, notamment par un média anglophone basé à Hong Kong. Il est présenté comme un repère permettant d’illustrer le potentiel économique du dispositif.

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Galaxy Z Tri-Fold : Samsung investit le segment stratégique des smartphones tri-pliables

Von: hechmi
18. Dezember 2025 um 18:33

Samsung Tri-FoldSamsung a lancé le Galaxy Z Tri-Fold, un smartphone à trois volets destiné au segment ultra-premium. À travers ce modèle, le groupe sud-coréen renforce sa stratégie de différenciation technologique sur un marché mondial du smartphone en ralentissement, mais toujours porté par l’innovation haut de gamme.

Un positionnement technologique à forte valeur ajoutée

Le Galaxy Z Tri-Fold introduit un format tri-pliable, permettant de passer d’un smartphone classique à un écran proche de la tablette. Une fois déployé, l’écran atteint environ 10 pouces, ciblant des usages professionnels et de productivité mobile.

Ce positionnement s’inscrit dans la continuité de la stratégie de Samsung visant à maintenir son avance sur les écrans flexibles, un segment encore marginal en volume mais à marges élevées.

Un produit premium dans un marché sous pression

Le modèle embarque des composants haut de gamme :

  • processeur Snapdragon 8 Elite,
  • batterie d’environ 5 600 mAh,
  • capteur photo principal de 200 mégapixels,
  • système Android 16 avec One UI.

Avec un poids supérieur à 300 grammes et un prix positionné sur le très haut de gamme, le Galaxy Z Tri-Fold s’adresse à une clientèle de niche, dans un contexte où les ventes mondiales de smartphones restent contraintes par l’inflation et la prudence des consommateurs.

Premiers signaux commerciaux

Le lancement initial en Corée du Sud a été marqué par plusieurs ruptures de stock, indiquant une demande soutenue sur le marché domestique.

Samsung prévoit un déploiement international progressif, avec une extension annoncée vers l’Europe, l’Amérique du Nord et certains marchés asiatiques à partir de 2026.

Les premiers retours des médias spécialisés mettent en avant l’innovation du format, tout en soulignant certaines limites, notamment l’absence de compatibilité avec le S Pen.

Une concurrence qui s’intensifie

Samsung n’est pas seul sur le segment des smartphones tri-pliables. Huawei commercialise déjà le Mate XT sur certains marchés, renforçant la pression concurrentielle, notamment en Asie.

Apple, qui ne propose toujours pas d’iPhone pliable, reste observé par les acteurs du secteur. Toute entrée du groupe américain pourrait modifier rapidement l’équilibre du marché.

Enjeux industriels et perspectives

Avec le Galaxy Z Tri-Fold, Samsung poursuit une stratégie axée sur l’innovation matérielle afin de soutenir la valeur moyenne de ses ventes. Le succès commercial à long terme dépendra toutefois de la maîtrise des coûts, de la durabilité du produit et de l’adoption du format par un public plus large.

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REVUE DE PRESSE | Économie mondiale : banques, pétrole, agriculture et huile d’olive en focus

Von: hechmi
18. Dezember 2025 um 16:03

huile d'oliveLes dernières 24 heures ont été marquées par des annonces de régulation bancaire, des signaux de marché sur le pétrole liés aux sanctions, et des repères de prix sur l’huile d’olive. Plusieurs décisions d’autorités (Royaume-Uni, Inde, États-Unis) et mouvements de marché (Brent/WTI) structurent l’actualité économique mondiale.

Banques : supervision et cadre des indices de référence

Au Royaume-Uni, le gouvernement a annoncé une refonte du régime des benchmarks financiers afin de réduire la charge de conformité et de recentrer l’encadrement sur les indices jugés systémiques ; la réduction visée du nombre d’administrateurs concernés est estimée à 80–90%.

En Inde, la banque centrale (RBI) a imposé des restrictions à une banque coopérative urbaine, incluant l’interdiction d’octroyer de nouveaux prêts et un plafond de retrait de dépôts (sur une période annoncée de six mois).

Aux États-Unis, la Réserve fédérale a, selon des sources, clos des notifications formelles adressées à Citigroup concernant des faiblesses de gestion des risques de trading (MRIAs), un signal suivi par les marchés bancaires.

Énergie : pétrole soutenu par le risque sanctions/blocage

Les cours du pétrole ont progressé avec des informations faisant état de sanctions américaines potentielles visant l’énergie russe et d’un risque lié à un blocage de tankers vénézuéliens. Reuters rapportait un Brent autour de 60,10 $/b et un WTI autour de 56,38 $/b à l’instant mentionné.

Dans les majors, BP a annoncé la nomination de Meg O’Neill (Woodside) comme prochaine CEO, avec prise de fonctions annoncée pour avril 2026, après la sortie de Murray.

Agriculture : repères sur les flux céréaliers

Un repère de marché publié par l’USDA (édition décembre 2025) met en avant une dynamique d’exportations américaines de maïs et une prévision d’exportations 2025/26 à 81,3 Mt, avec une mention de volumes inspectés au premier trimestre 2025/26 dépassant 19 Mt.

Huile d’olive : points de prix “à l’origine”

Des relevés de prix “à l’origine” agrégés par Oleista indiquent (dernières mises à jour affichées) une extra-vierge à 3,73 €/kg en Tunisie (maj 2025-12-08) et 4,82 €/kg en Grèce (maj 2025-12-09).

Chiffres clés

  • Brent : 60,10 $/b (niveau rapporté par Reuters, instant cité).
  • WTI : 56,38 $/b (niveau rapporté par Reuters, instant cité).
  • Maïs US : 81,3 Mt (prévision export 2025/26, USDA).
  • Huile d’olive (Tunisie) : 3,73 €/kg extra-vierge.

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Huile d’olive : pourquoi l’Italie reste plus chère que ses voisins

Von: hechmi
18. Dezember 2025 um 15:36

Huile d'oliveLes indicateurs disponibles sur le dernier mois signalent une détente des prix en Méditerranée. Les niveaux restent toutefois très différenciés selon les pays, avec une Italie positionnée nettement au-dessus de ses concurrents. Les données européennes et internationales décrivent parallèlement un marché où les volumes et les valeurs à l’export se réajustent, dans un contexte de nouvelles estimations de production pour la campagne 2025/26.

Italie au sommet des prix, Espagne et Grèce plus accessibles

Selon le tableau de bord « olive oil » de la Commission européenne, les prix moyens nationaux de l’huile d’olive extra vierge atteignent en octobre 2025 912,5 €/100 kg en Italie. Ils se situent à 425,0 €/100 kg en Espagne et 442,6 €/100 kg en Grèce. L’écart demeure donc marqué entre l’Italie et les autres grands pays producteurs de l’Union européenne.

Pour la catégorie vierge, les niveaux sont plus resserrés mais restent différenciés : 406,9 €/100 kg en Italie, 364,0 €/100 kg en Espagne et 350,0 €/100 kg en Grèce. Ces données confirment un positionnement prix structurellement plus élevé de l’Italie, y compris hors segment extra vierge.

Tunisie : repères récents issus de suivis privés

Des suivis spécialisés diffusent des repères hebdomadaires hors UE. Une cotation « extra virgin » en Tunisie est par exemple affichée à 3,73 €/kg (mise à jour du 08/12/2025), tandis qu’une référence grecque ressort à 4,82 €/kg (mise à jour du 09/12/2025). Ces séries proviennent de sources privées et peuvent varier selon la place de marché et la méthodologie employée. Elles offrent néanmoins des points de comparaison avec les niveaux observés au sein de l’UE.

Commerce extérieur : volumes en hausse, prix en repli

Sur le plan du commerce extérieur, l’International Olive Council indique qu’en septembre 2025, la valeur unitaire des exportations d’huile d’olive de l’UE vers les pays tiers s’établit à 526 €/100 kg pour l’ensemble des huiles, et à 580 €/100 kg pour l’extra vierge. Le volume total exporté atteint 66 163 tonnes, traduisant une hausse des flux dans un contexte de normalisation des prix.

Le tableau de bord de la Commission européenne fait état, côté valeurs, d’un total de 4 186 M€ pour le commerce d’huile d’olive extra-UE sur la période octobre 2024 – septembre 2025.

Production mondiale : nouvelles estimations pour 2025/26

Pour la campagne 2025/26, la production mondiale d’huile d’olive (hors grignons) est estimée à 3 440 kt. La part de l’UE s’élèverait à 2 056 kt, contre 1 384 kt pour les pays non-UE. Ces volumes, combinés aux écarts de prix, structurent la concurrence entre pays du bassin méditerranéen.

Dans ce cadre, l’Italie conserve un positionnement prix élevé, tandis que l’Espagne, la Grèce et la Tunisie évoluent à des niveaux inférieurs selon les séries disponibles, sur fond de rééquilibrage progressif du marché.

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Météo : des pluies éparses attendues sur plusieurs régions

Von: hechmi
18. Dezember 2025 um 10:12

Météo PluieTunis, 18 décembre – Des brumes locales denses marqueront la journée de jeudi, notamment durant la matinée, selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie (INM). Ces conditions réduiront temporairement la visibilité avant une amélioration progressive au fil des heures.

Après la dissipation des brumes, le temps deviendra partiellement nuageux sur l’ensemble du pays. Les nuages seront toutefois parfois denses, en particulier sur les régions de l’Ouest du centre et du sud. Ces zones connaîtront des chutes de pluies éparses, pouvant être temporairement orageuses, précise la même source.

Évolution des précipitations au cours de la nuit

Les précipitations ne se limiteront pas aux régions initialement concernées. Selon l’INM, les pluies s’étendront progressivement vers le reste des régions du pays au cours de la nuit. Cette évolution nocturne pourrait toucher plusieurs zones après une journée marquée par une alternance de passages nuageux et d’éclaircies.

Les épisodes pluvieux resteront épars et irréguliers. Leur caractère orageux sera temporaire et localisé, sans indication d’intensité généralisée. Aucune alerte spécifique n’a été signalée dans les prévisions communiquées.

Vent soutenu sur les côtes et le sud

Le vent soufflera du secteur Est. Il sera relativement fort à fort près des côtes ainsi que sur le sud du pays. Dans ces régions, il provoquera des tourbillons de sable locaux, susceptibles d’affecter la visibilité par endroits.

Dans les autres zones, le vent restera faible à modéré. Cette différence d’intensité marquera un contraste notable entre les régions côtières, le sud et le reste du territoire.

Mer très agitée et températures modérées

Les conditions maritimes seront difficiles. La mer sera très agitée, en lien avec la force du vent annoncée, notamment sur les côtes exposées.

Les températures maximales varieront généralement entre 17 et 21 degrés. Sur les hauteurs Ouest, les maximales seront plus basses, avoisinant les 12 degrés. Ces valeurs traduisent un temps relativement frais dans les zones élevées, comparativement aux régions de plaine.

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REVUE DE PRESSE | Tunisie : Huile d’olive, stockage, chiffres récents et repères de campagne

Von: hechmi
18. Dezember 2025 um 09:47

Huile d'oliveSur les dernières 48 heures, l’actualité tunisienne s’est articulée autour de signaux sur la filière huile d’olive, d’éléments institutionnels liés à la Loi de finances 2026, de la programmation des Journées cinématographiques de Carthage (JCC), et de repères calendaires concernant la CAN 2025 (organisée au Maroc).

Huile d’olive : décisions de stockage et enjeux de saison

Des informations publiées ces derniers jours font état d’un démarrage d’un programme de stockage de l’huile d’olive, annoncé comme ayant été approuvé lors d’un Conseil ministériel restreint du 25 octobre 2025.

Côté repères de marché/flux, des suivis sectoriels (campagne 2024/2025) rapportent des éléments sur prix moyens et indicateurs de filière.

Loi de finances 2026 : jalons parlementaires et publication

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) affiche le dossier du projet de loi de finances 2026 et mentionne une loi promulguée datée du 12 décembre 2025 relative à la loi de finances 2026.

JCC : programmation en cours à Tunis

Le site officiel des JCC publie une programmation datée du jeudi 18 décembre 2025, avec des séances et lieux à Tunis (ex. Africa, Cine Avenue), et des focus/sections indiquées sur la page “Programmes”.

CAN 2025 : calendrier officiel CAF et fenêtre de compétition

La Confédération africaine de football (CAF) met à disposition un document “match schedule” de la CAN (Maroc 2025).

Des médias rappellent la fenêtre du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026 au Maroc.

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Loi de finances 2026 : Fiscalité verte, crédit subventionné et les signaux de 2026

Von: hechmi
18. Dezember 2025 um 09:14

Dans un contexte de dépendance énergétique persistante et de pression sur les équilibres extérieurs, la Loi de finances 2026 confirme une orientation progressive vers la transition énergétique. Sans introduire de contraintes réglementaires lourdes, le texte privilégie des incitations financières et fiscales ciblées afin d’orienter l’investissement vers l’efficacité énergétique, les énergies renouvelables et la mobilité électrique, tout en maintenant une approche prudente et encadrée.

Le cœur du dispositif repose sur l’élargissement des missions du Fonds de transition énergétique. Désormais, ce fonds prend en charge une partie de la différence entre le taux d’intérêt appliqué aux crédits d’investissement et le taux moyen du marché monétaire, dans des limites strictement définies. Ce mécanisme vise à réduire le coût du financement des projets liés à l’efficacité énergétique et aux énergies renouvelables, dans un contexte marqué par des taux d’intérêt élevés. L’objectif est d’améliorer la rentabilité des investissements verts et d’en faciliter le déploiement, sans recourir à des subventions directes massives.

Mobilité électrique : un soutien ciblé

La Loi de finances 2026 accorde également une attention particulière à la mobilité électrique. Les crédits destinés à l’acquisition de véhicules électriques bénéficient d’un appui spécifique, notamment pour les chauffeurs de taxi et les centres de formation à la conduite, via la Banque tunisienne de solidarité. Cette orientation vise à favoriser l’adoption de véhicules moins énergivores dans des segments à forte intensité d’usage, où les gains économiques et environnementaux peuvent être rapides.

En parallèle, les équipements de recharge profitent d’avantages fiscaux ciblés. Les réductions de droits de douane et l’application d’un taux de taxe sur la valeur ajoutée réduit visent à accélérer le déploiement des infrastructures nécessaires, condition essentielle à l’essor de la mobilité électrique. Le texte cherche ainsi à lever les freins structurels liés à l’insuffisance des points de recharge.

Soutien industriel et diversification technologique

Sur le plan industriel, la Loi de finances 2026 introduit des avantages fiscaux en faveur de la fabrication de batteries au lithium. Les intrants non fabriqués localement, indispensables à cette activité, sont exonérés de droits de douane et soumis à un taux réduit de TVA. Cette disposition traduit une volonté de positionner la Tunisie sur des segments industriels liés à la transition énergétique, en soutenant l’investissement productif et la montée en gamme industrielle.

Par ailleurs, les avantages fiscaux accordés aux véhicules électriques sont étendus aux véhicules hybrides rechargeables. Ce choix élargit le champ des technologies encouragées et reflète une approche graduelle de la transition, destinée à accompagner les consommateurs et les opérateurs économiques sans rupture brutale.

Une transition pensée comme levier économique

Dans son ensemble, la Loi de finances 2026 aborde la transition énergétique comme un levier économique et financier, plus que comme une contrainte environnementale. En s’appuyant sur le crédit, la fiscalité et le soutien ciblé à certaines filières, le texte cherche à amorcer une transformation progressive du modèle énergétique. Cette stratégie vise à concilier objectifs énergétiques, contraintes budgétaires et capacités industrielles, dans une logique d’ajustement progressif plutôt que de changement radical.

EN BREF

  • Orientation progressive vers la transition énergétique.
  • Soutien au crédit vert via le Fonds de transition énergétique.
  • Appui ciblé à la mobilité électrique, notamment pour les taxis.
  • Avantages fiscaux pour les équipements de recharge.
  • Incitations industrielles pour la fabrication de batteries au lithium.

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Gestern — 17. Dezember 2025Haupt-Feeds

Loi de finances 2026 : Agriculture, soutien ciblé plutôt que subventions généralisées

Von: hechmi
17. Dezember 2025 um 15:11

Dans un contexte marqué par la volatilité des prix agricoles, les aléas climatiques et des marges budgétaires limitées, la Loi de finances 2026 adopte une approche sélective en matière de soutien à l’agriculture et au monde rural. Le texte ne revient pas à des subventions généralisées, mais privilégie des instruments financiers ciblés et des ajustements fiscaux précis, orientés vers la production, la compétitivité et la stabilisation des petits exploitants.

Le premier axe concerne le financement des petits agriculteurs. La loi prévoit la mise en place de lignes de crédit dédiées, notamment pour répondre aux besoins saisonniers. Ces crédits sont accordés à des conditions avantageuses, afin de permettre aux exploitants de couvrir leurs charges courantes, financer les intrants et assurer la continuité de l’activité. L’objectif est de limiter les ruptures de trésorerie, fréquentes dans les cycles agricoles, sans alourdir excessivement l’endettement des exploitations.

Alléger le coût du crédit d’investissement

Le deuxième levier porte sur le coût du financement de l’investissement agricole. La Loi de finances 2026 prévoit que l’État prenne en charge une partie de la différence entre le taux d’intérêt appliqué par les banques et le taux moyen du marché monétaire, dans des limites strictement encadrées. Ce mécanisme vise à rendre les projets d’investissement plus accessibles, notamment pour la modernisation des exploitations, l’amélioration des rendements et le développement d’activités connexes.

Cette prise en charge exclut toutefois les activités à caractère purement commercial ou spéculatif, confirmant l’orientation productive du dispositif. Le soutien est ainsi conditionné à des projets directement liés à l’activité agricole, dans une logique d’efficacité économique et de maîtrise de l’impact budgétaire.

Focus sur la filière de l’huile d’olive

La Loi de finances 2026 accorde également une attention particulière à la filière de l’huile d’olive, considérée comme stratégique pour les exportations tunisiennes. Les intrants nécessaires au conditionnement bénéficient d’avantages fiscaux ciblés, notamment l’exonération de droits de douane et la suspension de la taxe sur la valeur ajoutée. Cette mesure vise à encourager la transformation locale et la valorisation du produit, plutôt que l’exportation en vrac.

À travers ces incitations, le texte traduit une volonté de montée en gamme et de renforcement de la compétitivité sur les marchés internationaux, tout en soutenant une filière structurante pour de nombreuses régions rurales.

Des exonérations ponctuelles et sectorielles

Par ailleurs, certaines exonérations ciblent des produits agricoles spécifiques. La pomme de terre, par exemple, bénéficie d’un allègement de certaines contributions parafiscales. Là encore, l’approche reste ponctuelle et sectorielle, conçue pour répondre à des tensions conjoncturelles plutôt que pour instaurer un soutien généralisé.

Au final, la Loi de finances 2026 confirme une ligne directrice claire : soutenir l’agriculture sans déséquilibrer les finances publiques. En misant sur le crédit, l’allègement du coût du financement et des incitations fiscales ciblées, le texte cherche à préserver le tissu agricole et les territoires ruraux. Une politique d’ajustement plus que de rupture, qui reconnaît le rôle central de l’agriculture dans l’équilibre économique et social du pays.

EN BREF

  • Soutien agricole ciblé sans retour aux subventions généralisées.
  • Lignes de crédit saisonnier pour les petits exploitants.
  • Allègement du coût du crédit d’investissement agricole.
  • Avantages fiscaux pour la filière de l’huile d’olive.
  • Exonérations ponctuelles pour certains produits agricoles.

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Automobile : HEV et PHEV, de quoi parle-t-on exactement ?

Von: hechmi
17. Dezember 2025 um 10:50

Dans le débat fiscal autour de la mobilité verte, les termes hybride et hybride rechargeable sont souvent utilisés de manière imprécise. Or, la distinction est essentielle, tant sur le plan technologique que fiscal.

HEV – Hybrid Electric Vehicle

Hybride non rechargeable 

Un HEV est un véhicule équipé de :

  • un moteur thermique (essence ou diesel),
  • un moteur électrique,
  • une batterie de faible capacité, non rechargeable sur prise.

La batterie se recharge uniquement :

  • par la récupération d’énergie au freinage,
  • par le moteur thermique.

Le moteur électrique :

  • assiste le moteur thermique,
  • peut propulser seul le véhicule à basse vitesse ou sur de très courtes distances.

👉 Avantage clé :
Réduction significative de la consommation et des émissions sans dépendre d’une infrastructure de recharge.

👉 Limite :
Autonomie électrique faible.

PHEV – Plug-in Hybrid Electric Vehicle

Hybride rechargeable

Un PHEV combine :

  • un moteur thermique,
  • un moteur électrique plus puissant,
  • une batterie de capacité nettement supérieure, rechargeable sur une prise électrique externe.

Il peut rouler :

  • en mode 100 % électrique sur plusieurs dizaines de kilomètres,
  • ou en mode hybride lorsque la batterie est vide.

👉 Avantage clé :
Potentiel de roulage quotidien sans émissions si le véhicule est régulièrement rechargé.

👉 Limite :
En l’absence de recharge fréquente, le PHEV fonctionne comme un véhicule thermique plus lourd, avec une efficacité parfois inférieure à celle d’un HEV.

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Loi de finances 2026 : Ce qui change pour l’agriculteur

Von: hechmi
17. Dezember 2025 um 09:25

Le monde agricole bénéficie d’un soutien ciblé et productif, centré sur le financement et la compétitivité.

👉 Ce qui change :

  • Mise en place de crédits saisonniers dédiés aux petits agriculteurs, pour couvrir les besoins de trésorerie.
  • Prise en charge partielle par l’État du coût du crédit d’investissement, afin d’encourager la modernisation des exploitations.
  • Avantages fiscaux pour certaines filières, notamment l’huile d’olive (exonérations de droits de douane et suspension de TVA sur les intrants de conditionnement).
  • Exonérations ciblées sur certains produits agricoles pour soulager les coûts de production.

👉 Ce qui ne change pas :

  • Pas de retour à des subventions agricoles généralisées.
  • Le soutien reste conditionné et encadré.

📌 À retenir
La Loi de finances 2026 privilégie un soutien par le financement et la fiscalité ciblée, avec l’objectif de préserver l’activité agricole sans déséquilibrer les finances publiques.

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La Tribune de l’IA | Fiscalité verte : quand la Loi de finances 2026 pénalise la transition qu’elle prétend accélérer

Von: hechmi
17. Dezember 2025 um 07:41

AUTO HEV PHEVEn consacrant un avantage fiscal massif aux hybrides rechargeables, la Loi de finances 2026 affiche une ambition écologique assumée. Mais en excluant brutalement les hybrides non rechargeables des exonérations douanières et en les soumettant, au-delà de certains seuils, à une fiscalité équivalente à celle des thermiques classiques, le texte introduit une rupture controversée. Derrière le signal politique, cette tribune interroge la cohérence technologique, l’équité fiscale et les effets économiques d’un choix qui pourrait freiner, plutôt qu’accélérer, la transition énergétique.

La Loi de finances 2026 marque incontestablement un tournant dans la politique tunisienne de mobilité verte. À travers l’article 47, le législateur affiche une volonté claire : accélérer l’électrification du parc automobile en favorisant massivement les véhicules électriques et les hybrides rechargeables. L’intention est louable. Mais la méthode interroge. Car en excluant brutalement les hybrides non rechargeables des exonérations douanières et fiscales, le texte introduit une rupture technologique, économique et sociale difficilement justifiable.

Une fiscalité écologique à géométrie variable

Le dispositif est sans ambiguïté. Les hybrides rechargeables bénéficient d’un régime exceptionnellement favorable : exonération totale des droits de douane, intégration dans les régimes de TVA avantageux, assimilation progressive aux véhicules électriques et encouragement explicite de l’infrastructure de recharge jusqu’en 2028. À l’inverse, les hybrides non rechargeables — pourtant largement reconnus comme une technologie de transition efficace — sont relégués à un régime résiduel, plafonné et contraint.

Pire encore, au-delà d’une cylindrée de 1700 cm³ pour les motorisations essence, ces véhicules basculent dans le régime de plein tarif douanier (Exemple: une Toyota RAV4 Hybride passerait d’un prix de 168.000 dinars à plus de 200.000 dinars), comme s’ils ne présentaient aucun bénéfice environnemental par rapport aux thermiques classiques. Une telle approche binaire trahit une vision administrative plus que technologique de la transition énergétique.

« La Loi de finances 2026 affiche une ambition écologique claire. Mais la méthode retenue soulève des interrogations sur sa cohérence. »

Une confusion entre capacité technique et usage réel

Le cœur du problème réside dans une hypothèse implicite mais discutable : un véhicule hybride rechargeable serait, par nature, plus vertueux qu’un hybride non rechargeable. Or, cette affirmation ne résiste ni à l’analyse des usages réels, ni aux données d’émissions constatées.

De nombreuses études internationales montrent que les hybrides rechargeables sont souvent peu ou mal rechargés, notamment en l’absence d’infrastructures suffisantes ou de contraintes incitatives. En conditions réelles, certains hybrides non rechargeables modernes affichent des consommations et des niveaux d’émissions inférieurs à ceux de PHEV lourds, utilisés majoritairement en mode thermique. La fiscalité tunisienne choisit pourtant d’ignorer l’usage effectif au profit d’un critère purement formel : la possibilité de recharge.

« En privilégiant la capacité de recharge, la fiscalité fait abstraction des usages réels observés sur le terrain. »

Le retour d’un critère obsolète : la cylindrée

Autre angle mort du texte : la résurgence de la cylindrée comme pivot fiscal. Fixer un seuil à 1700 cm³ pour l’essence revient à ressusciter un indicateur largement abandonné dans les politiques fiscales modernes. À l’heure des moteurs à haut rendement, des cycles Atkinson, de la récupération d’énergie et des normes Euro avancées, la cylindrée ne dit plus rien — ou presque — de la performance environnementale d’un véhicule.

Cette approche conduit à des situations paradoxales : un SUV hybride non rechargeable efficient et conforme aux standards environnementaux les plus exigeants se retrouve plus taxé qu’un hybride rechargeable plus lourd, plus coûteux et parfois moins vertueux à l’usage.

Une transition écologiquement radicale mais socialement risquée

En pratique, l’article 47 instaure une transition à deux vitesses. D’un côté, une mobilité électrique subventionnée, encore coûteuse et dépendante d’infrastructures inégalement réparties. De l’autre, une technologie intermédiaire éprouvée, accessible aux classes moyennes, soudainement pénalisée par la fiscalité.

Les effets économiques sont prévisibles : hausse des prix, déséquilibre des gammes, fragilisation des concessionnaires historiquement positionnés sur l’hybride non rechargeable, et réduction du choix pour le consommateur. La fiscalité, censée accompagner la transition, devient alors un facteur de rupture plutôt que de progression.

« Le dispositif crée une fracture entre mobilité subventionnée et solutions intermédiaires pénalisées. »

Pour une fiscalité écologique plus intelligente

Accélérer la transition énergétique ne devrait pas signifier sacrifier la neutralité technologique. Une fiscalité réellement verte devrait s’appuyer sur des critères objectifs : émissions réelles, consommation mesurée, usage effectif, contribution globale à la réduction du carbone. En l’état, l’article 47 privilégie une solution technologique unique, sans tenir compte des réalités du marché, des comportements des usagers ni des contraintes d’infrastructure.

La transition écologique ne peut être ni punitive ni dogmatique. Elle doit être progressive, inclusive et économiquement soutenable. À défaut, elle risque de produire l’effet inverse de celui recherché : ralentir l’adhésion plutôt que l’accélérer.

« Pour être efficace, la transition doit rester progressive et économiquement soutenable. »

 

À retenir

  • La Loi de finances 2026 accorde une exonération totale de droits et taxes aux véhicules hybrides rechargeables, les assimilant fiscalement aux électriques,
  • Les hybrides non rechargeables sont exclus de ces avantages et restent soumis aux droits de douane au plein tarif au-delà de 1700 cm³ pour l’essence, 50% des droits pour les autres cylindrées,
  • Le critère fiscal retenu repose sur la capacité de recharge et la cylindrée, et non sur les émissions réelles ou l’usage effectif.
  • Cette approche crée une rupture technologique et économique, pénalisant une solution de transition pourtant éprouvée.
  • Une fiscalité écologique efficace devrait encourager la réduction réelle des émissions, plutôt qu’imposer un choix technologique unique.

 

(Nota : « Cette Tribune a été générée par un outil d’intelligence artificielle à partir de données publiques. Elle a été relue, contextualisée et validée par la rédaction. » – IA utilisé ChatGPT).

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Loi de finances 2026 : Emploi, financement et les leviers privilégiés en 2026

Von: hechmi
16. Dezember 2025 um 15:00

L’emploi s’impose comme l’un des axes centraux de la Loi de finances 2026. Sans rupture majeure, le texte déploie une série de leviers destinés à stimuler l’embauche et à soutenir l’initiative économique, en agissant principalement sur le coût du travail et l’accès au financement. L’approche retenue privilégie des mécanismes incitatifs, ciblés sur des publics et des structures identifiés comme prioritaires.

La première mesure concerne l’allègement du coût du travail, en particulier pour les diplômés de l’enseignement supérieur recrutés par le secteur privé. L’État prend en charge, de manière dégressive, la contribution patronale à la sécurité sociale. L’objectif est d’encourager les entreprises à proposer des emplois durables, tout en réduisant le risque financier lié aux premières années d’embauche. Cette prise en charge progressive vise également à éviter un effet d’aubaine, en incitant à la pérennisation des postes au-delà de la période de soutien public.

Faciliter l’accès au crédit

En parallèle, la Loi de finances 2026 mobilise plusieurs instruments de financement en faveur des PME, des porteurs de projets et de l’autofinancement. Les ressources sont principalement canalisées via le Fonds national de l’emploi et les banques publiques. Les dispositifs annoncés prévoient des lignes de crédit à des conditions préférentielles, parfois sans garanties [à vérifier], afin de lever l’un des principaux obstacles à l’initiative économique : l’accès au financement.

Cette orientation traduit la volonté de fluidifier le crédit, notamment pour les petites et moyennes entreprises, souvent pénalisées par des exigences élevées en matière de garanties. En soutenant l’investissement productif et la création d’activités, le législateur cherche à créer un environnement plus favorable à la croissance de l’emploi, sans recourir à des dépenses budgétaires directes excessives.

Un régime spécifique pour les entreprises communautaires

La Loi de finances 2026 réserve un traitement particulier aux entreprises communautaires, confirmant leur statut comme outil de développement local et d’inclusion économique. Ces structures bénéficient d’un régime fiscal et social spécifique, comprenant des exonérations temporaires d’impôt, une suspension de la TVA sur les investissements et la prise en charge des cotisations sociales.

Ce dispositif vise à renforcer l’attractivité de ce modèle entrepreneurial, souvent implanté dans des zones à faible dynamisme économique. En allégeant les charges et en sécurisant les premières phases d’activité, le texte cherche à favoriser la création d’emplois locaux et à soutenir des projets à vocation collective.

Une stratégie graduelle

Sans promettre une hausse spectaculaire de l’emploi, la Loi de finances 2026 adopte une stratégie graduelle. Elle cherche à réduire les obstacles à l’embauche et à l’investissement, en combinant allègement des coûts, soutien au crédit et régimes spécifiques. L’ensemble s’inscrit dans une logique de stimulation de l’initiative économique, sous contrainte budgétaire, avec pour ambition de créer des conditions plus favorables à l’emploi durable.

EN BREF

  • L’emploi figure parmi les priorités de la Loi de finances 2026.
  • Allègement dégressif du coût du travail pour les diplômés recrutés par le privé.
  • Lignes de financement ciblées pour PME et porteurs de projets.
  • Accès au crédit facilité via les banques publiques.
  • Régime fiscal et social spécifique pour les entreprises communautaires.

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Météo du mardi : vent de sud-ouest et températures jusqu’à 20 degrés

Von: hechmi
16. Dezember 2025 um 11:06
Vent
Vent Météo

Tunis, 16 décembre – Le temps sera marqué mardi par des nuages parfois denses sur la plupart des régions du pays, selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie (INM). Des pluies éparses sont attendues le matin sur les régions de l’Est et du Sud, avec un caractère temporairement orageux.

Le vent soufflera de secteur Sud-Ouest. Il sera relativement fort près des côtes et sur le Sud-Est, et faible à modéré ailleurs. La mer sera très agitée et deviendra progressivement houleuse au cours de la journée, ce qui pourrait affecter les activités maritimes.

Les températures maximales varieront entre 12 et 16 degrés dans les régions de l’Ouest. Dans le reste du pays, elles oscilleront entre 17 et 20 degrés, selon la même source.

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Loi de finances 2026 : Ce qui change pour la PME et l’entrepreneur

Von: hechmi
16. Dezember 2025 um 09:23

La Loi de finances 2026 mise sur l’allègement des coûts et l’accès au financement, plutôt que sur des aides directes massives.

👉 Ce qui change :

  • Pour les recrutements de diplômés de l’enseignement supérieur, l’État prend en charge, de façon dégressive, la contribution patronale à la sécurité sociale, réduisant ainsi le coût de l’embauche.
  • Des lignes de financement spécifiques sont mobilisées via les banques publiques et le Fonds national de l’emploi, avec parfois des conditions préférentielles.
  • Les entreprises communautaires bénéficient d’un régime incitatif : exonérations temporaires d’impôt, suspension de TVA sur les investissements, prise en charge de cotisations sociales.

Les PME peuvent bénéficier des amnisties fiscales et douanières pour régulariser des situations antérieures avec abandon de pénalités.

👉 Ce qui change aussi, en pratique :

Les obligations fiscales et déclaratives seront de plus en plus digitalisées (facturation électronique, paiements et notifications en ligne).

📌 À retenir
La Loi de finances 2026 cherche à fluidifier l’activité des PME, en réduisant certains coûts et en facilitant le financement, tout en renforçant progressivement le cadre fiscal numérique.

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Budget 2026 : le déficit ne dit pas tout

Von: hechmi
16. Dezember 2025 um 08:26

La lecture traditionnelle du budget de l’État se concentre sur le déficit budgétaire. Pour 2026, celui-ci s’établit autour de 11 milliards de dinars. Cette approche décrit un déséquilibre annuel entre recettes et dépenses. Elle ne rend toutefois pas compte de l’ensemble des décaissements auxquels l’État doit faire face. Une lecture en cash-flow met en évidence un besoin de financement global supérieur à 27 milliards de dinars, révélant une contrainte de trésorerie plus large.

Un déficit budgétaire mesuré, mais partiel

Sur le plan budgétaire, les équilibres sont clairement identifiés. Les recettes sont projetées à 52,56 MDT, tandis que les dépenses atteignent 63,58 MDT, générant un déficit d’environ 11 MDT. Cette mesure reflète la situation économique de l’exercice. Elle ne renseigne pas sur les flux financiers réels qui conditionnent la liquidité quotidienne de l’État.

Le poids du remboursement du principal de la dette

L’approche en trésorerie intègre un élément absent du déficit budgétaire : le remboursement du principal de la dette. En 2026, ces remboursements représentent 7,93 MDT pour la dette intérieure et 7,92 MDT pour la dette extérieure, soit près de 16 MDT de sorties de trésorerie. Ces montants ne financent ni les dépenses courantes ni les investissements. Ils correspondent uniquement à des engagements contractés antérieurement.

Un besoin de financement total supérieur à 27 MDT

En cumulant le déficit budgétaire, le remboursement du principal de la dette et les opérations de trésorerie, le besoin de financement global atteint 27,06 MDT. Cette configuration signifie que les recettes courantes sont entièrement absorbées. L’État doit ainsi recourir à l’emprunt pour couvrir ses besoins de liquidité, indépendamment de toute nouvelle politique de dépense.

Une dépendance accrue au financement intérieur

La structure du financement met en évidence une prédominance de l’endettement intérieur. Les emprunts domestiques sont estimés à 19,06 MDT, contre 6,81 MDT pour les emprunts extérieurs. Cette répartition concentre la pression de financement sur le marché local, avec des implications directes pour la liquidité bancaire et la capacité de financement du secteur privé.

Un budget sous contrainte de trésorerie

La lecture en cash-flow montre que le budget 2026 est fortement conditionné par le service de la dette. Même sans augmentation des dépenses, le fonctionnement financier de l’État nécessite un volume élevé d’emprunts. La marge de manœuvre budgétaire dépend donc étroitement de la capacité à mobiliser des ressources de financement.

Deux lectures complémentaires

Le déficit budgétaire mesure un déséquilibre annuel. Le cash-flow mesure la pression financière immédiate. Sous l’angle des flux de trésorerie, le budget 2026 apparaît comme un exercice de gestion de liquidité, dominé par les échéances de dette, plutôt que comme un budget d’arbitrage des politiques publiques.

CHIFFRES CLÉS

  • 11 MDT : Le déficit budgétaire résulte de l’écart entre 52,56 MDT de recettes et 63,58 MDT de dépenses. Il mesure un déséquilibre annuel.
  • 27,06 MDT : Ce montant agrège déficit, remboursement du principal et opérations de trésorerie. Il traduit la contrainte globale de liquidité.
  • 15,85 MDT : Les remboursements du principal de la dette intérieure et extérieure constituent des sorties de cash incompressibles.
  • 19,06 MDT : Les emprunts intérieurs forment la principale source de financement, concentrant la pression sur le marché local.
  • 6,81 MDT : Les emprunts extérieurs complètent le financement, dans une proportion plus limitée.

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Journées de l’Entreprise | IACE : Fethi Zouheir Nouri plaide pour un New Deal de l’investissement productif

Von: hechmi
16. Dezember 2025 um 07:36

Fethi Zouhair Nouri - IACELe moment est venu pour doper la croissance et d’investir plus. Mais aux meilleures conditions de financement.

Fethi Zouheir Nouri, Gouverneur de la BCT a fait une intervention remarquable lors de la clôture des JES de l’IACE. Un diagnostic réaliste suivi d’un projet de New Deal ambitieux et lucide. Amine Ben Ayed, par conviction s’est ravisé en renonçant à son intervention. Il s’ne explique avec un trait d’élégance ‘’J’adhère totalement au propos de Mr le Gouverneur’’. Le discours fut intensément ressenti de tous. Il faut reconnaitre que l’on s’est éloigné des sentiers battus.

Une nouvelle culture de l’investissement

Le Gouverneur indique que le taux d’investissement dans le pays est à son étiage. A peine 16 % du PIB. Seul trait apaisant, le secteur privé en réalise 58 %. Qu’importe les deux pourcentages sont en-dessous des objectifs souhaitables et souhaités. Et le Gouverneur, de manière didactique, de rappeler que cela est bien contrariant.

Appuyant son propos il fait observer que le pays ne manque ni de talents, ni d’idées, ni de projets. Il concède, toutefois, que l’ordre économique actuel fait planer quelques incertitudes. Et il ajoute courageusement, que certains obstacles au financement, dans notre pays, persistent. Cela fait qu’au final, les chefs d’entreprises repoussent leurs projets à plus tard.

Cette procrastination nous fait du mal à tous. Et d’appeler la communauté d’affaires à investir plus et au système bancaire de financer non point de manière inconsidérée mais de manière professionnelle. La fenêtre de l’investissement ne doit pas rester fermée. Elle doit rester ouverte mais exigeante, précise-t-il.

Les enjeux du moment

Il convient d’aller vers une allocation rationnelle et raisonnable des ressources de façon à privilégier les nouveaux projets productifs. Car ces derniers s’inscrivent dans le moyen et le long terme. le gouverneur a souligné avec contrariété que de 2022 à 2024 les crédits à court terme ont augmenté de plus de 8,3 %. Et, pour leur part, les crédits à moyen et long terme n’ont progressé que de 3 %.

Le bon sens recommande de mettre de l’ordre et de préférer le financement des projets productifs au lieu de la consommation. Et le cœur de cible reste toujours les PME. Il s’agit là d’une question de survie et non d’une simple ambition. Avec gravité le gouverneur affirme que le monde traverse une ère de rupture numérique, énergétique, écologique et géopolitique.

Sous-investir aujourd’hui revient à s’exposer à régresser dans la compétition internationale, demain.

Changer notre façon de faire !

On croyait rêver ! Nous gardons, en mémoire un masque de l’argentier national, austère et constamment sur la réserve. Généralement rivé sur les normes prudentielles. Fethi Zouheir Nouri rompt avec cette posture qu’il juge a-cyclique pour la troquer contre le profil du Mentor de l’expansion en ces temps de disette de l’investissement.

Il faut reconnaitre qu’il en possède la méthode et maitrise le discours. Sans hésitation il affirme, haut et fort, que le risque fait partie du métier. Le moment est venu pour la communauté nationale d’affaires de reconfigurer le schéma de financement des projets.

Auparavant on s’en tenait à un Mix réduit d’autofinancement et d’endettement bancaire. Introduisons l’Equity (Les Fonds propres) de marché. Oui l’écosystème national est équipé en conséquence. pourquoi dés lors ne pas en généraliser la pratique. Cela détendrait les rapports entre opérateurs et banquiers. Ces derniers seront rassurés de voir se redresse le coefficient d’endettement des entreprises.

Et, le gouverneur de pourfendre la crispation sur la question des garanties. Il appelle les investisseurs à jouer le jeu et au lieu de thésauriser de convertir l’essentiel de leur patrimoine en actifs financiers.

Et à l’adresse des banques de signifier que les meilleurs garanties sont dans l’entretien d’entreprises prospères. Le tour est joué. C’est ni plus ni moins qu’un New Deal, fort avisé et de circonstance que le Gouverneur en peu de mots, vient d’esquisser.

Ali DRISS

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Loi de finances 2026 : comment lire les 110 articles par grands axes ?

Von: hechmi
16. Dezember 2025 um 07:20

Derrière l’apparente technicité de la Loi de finances 2026 se dessine une architecture budgétaire structurée autour de quelques axes majeurs : la soutenabilité des finances publiques, le ciblage social, le soutien à l’activité productive et la modernisation profonde de l’action de l’État. Le tableau de synthèse ci-après permet de lire le texte non pas article par article, mais par blocs de politiques publiques, révélant la logique d’ensemble du législateur.

Des premiers articles consacrés à l’équilibre budgétaire, aux recettes et à la trésorerie de l’État, jusqu’aux dispositions finales, la loi déroule une trajectoire claire : stabiliser sans rompre, soutenir sans généraliser, réformer sans brusquer. L’emploi, la santé, l’agriculture et la solidarité bénéficient de mesures ciblées, tandis que la transition énergétique et la digitalisation fiscale s’imposent comme des leviers structurants de moyen terme.

Ce découpage met également en lumière un choix stratégique fort : faire de la réforme administrative et numérique un pilier à part entière de la politique fiscale et douanière, avec plusieurs dizaines d’articles dédiés à la dématérialisation des déclarations, paiements et contrôles. En filigrane, la Loi de finances 2026 ne se limite pas à un exercice comptable annuel : elle esquisse une transformation progressive de la relation entre l’État, l’entreprise et le citoyen.

Ce tableau offre ainsi une clé de lecture essentielle pour comprendre les priorités, les arbitrages et les lignes de force d’un texte appelé à structurer l’action publique tout au long de l’année 2026.


🧾 Tableau de synthèse

Articles Catégorie principale Sous-thèmes clés
1 – 12 Budget & finances publiques Recettes, dépenses, trésorerie, emprunts, garanties, BCT
13 – 15 Emploi & salaires Cotisations sociales, revalorisation salaires et pensions
16 – 19 Santé & sécurité sociale Médicaments, équipements médicaux, CNSS
21 Logement & foncier Logement social, opérateurs publics
22 Fiscalité salariale Avantages en nature (transport)
23 – 26 Financement & emploi Fonds national de l’emploi, PME, autofinancement
27 – 31 Agriculture & pêche Crédits agricoles, huile d’olive, produits agricoles
32 – 39 Mesures sociales & solidarité Handicap, maladies rares, dons, associations
40 Entreprises publiques Compagnie des phosphates de Gafsa
41 – 44 Projets publics & coopération Dons, prêts extérieurs, TVA, droits de douane
45 – 47 Transition énergétique Énergies renouvelables, véhicules électriques
48 – 49 Droits d’enregistrement Actes, immobilier
50 Amnistie douanière Régularisation des infractions
51 – 55 Réforme fiscale Facturation électronique, régularisation fiscale
56 – 60 Dispositions générales Entrée en vigueur, exécution
61 – 70 Entreprises communautaires Fiscalité, douane, emploi, TVA
71 – 80 Digitalisation fiscale Déclarations, paiements, contrôle
81 – 90 Procédures fiscales Notifications, recours, garanties
91 – 100 Digitalisation douanière Déclarations, paiements, sanctions
101 – 107 Fiscalité locale Taxes locales, digitalisation
108 – 110 Dispositions finales Abrogations, publication

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Journées cinématographiques de Carthage – JCC 1966-2024 : un festival entre culture, pouvoir et résistance

Von: hechmi
15. Dezember 2025 um 19:17

Tahar Cheriaa - JCCCréées en 1966, les Journées cinématographiques de Carthage (JCC) constituent la plus ancienne manifestation cinématographique du continent africain. Dès leur origine, elles se sont distinguées par une vocation politique affirmée : promouvoir les cinémas africains et arabes dans une perspective de décolonisation culturelle. Plus qu’un festival, les JCC ont été conçues comme un outil de souveraineté symbolique face à la domination des circuits occidentaux de production et de diffusion.

Une genèse militante et panafricaine

La naissance des JCC s’inscrit dans un contexte de déséquilibre structurel. Dix ans après l’indépendance tunisienne, l’absence d’une industrie cinématographique nationale structurée contrastait avec une forte tradition ciné-clubiste. À l’échelle continentale, la distribution restait dominée par des sociétés européennes et américaines. Les JCC émergent alors comme une réponse directe à cette hégémonie, dans ce qui fut qualifié de « guerre de libération cinématographique ».

Tahar Cheriaa, fondateur du festival, incarne cette orientation. À la tête de la Fédération tunisienne des ciné-clubs et responsable institutionnel du cinéma, il défend une stratégie claire : créer une compétition réservée aux cinémas africains et arabes afin d’inverser les rapports de force symboliques. Sa conviction, résumée par la formule « Qui tient la distribution, tient le cinéma », structure durablement l’identité des JCC.

Institutionnalisation et tensions

Jusqu’aux années 1970, les JCC fonctionnent sur un mode biennal et militant. Le tournant de 1978 marque une rupture. L’introduction d’un marché du film et l’ouverture accrue à des figures reconnues du cinéma arabe traduisent une volonté de professionnalisation. Cette évolution suscite des tensions avec les réseaux cinéphiles, attachés à l’idéal anti-commercial des débuts. Le festival entre alors dans une phase de compromis entre mission idéologique et contraintes institutionnelles.

Sous contrôle politique, une marge d’expression

Durant la période du régime de Zine El Abidine Ben Ali, les JCC conservent une visibilité internationale tout en évoluant dans un cadre politique contraint. Le palmarès devient un espace de négociation symbolique. Des films comme Making of, Teza ou Microphone abordent des questions sociales et politiques régionales, sans remettre directement en cause le pouvoir en place. Le festival sert à la fois de vitrine officielle et de plateforme critique limitée.

Après 2011, une nouvelle configuration

La révolution tunisienne ouvre une phase de transformation. Depuis 2015, les JCC sont devenues annuelles, avec une structure permanente et une ambition internationale renforcée. La création du Prix Tahar Cheriaa, dédié aux premières œuvres, vise à institutionnaliser l’héritage du fondateur. Toutefois, un paradoxe persiste : si les JCC offrent une visibilité essentielle aux films du Sud, la faiblesse des réseaux de distribution régionaux limite leur diffusion hors des festivals.

Le Tanit d’or, reflet des enjeux contemporains

L’édition 2024 illustre cette continuité. Le Tanit d’or attribué à Les enfants Rouges de Lotfi Achour consacre une œuvre inspirée de traumatismes nationaux récents. La dédicace du prix à la Palestine rappelle que, près de soixante ans après leur création, les JCC demeurent un espace où cinéma et géopolitique restent étroitement liés.

EN BREF

  • Festival fondé en 1966 dans une logique de décolonisation culturelle.
  • Projet porté par Tahar Cheriaa et le mouvement ciné-clubiste.
  • Tournant institutionnel en 1978 avec la création d’un marché du film.
  • Négociation constante avec le pouvoir sous le régime Ben Ali.
  • Passage à l’annualité après 2015.
  • Enjeu central toujours non résolu : la distribution des films africains et arabes.

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Budget de l’État 2026 : déficit, trésorerie et besoins de financement expliqués

Von: hechmi
15. Dezember 2025 um 18:26

Chaque année, la présentation du budget de l’État suscite une incompréhension persistante. Une question revient systématiquement : pourquoi les montants d’emprunts mobilisés sont-ils bien supérieurs au déficit budgétaire annoncé ? Le budget de l’État pour 2026 illustre clairement ce décalage. Alors que le déficit budgétaire est estimé à 11 milliards de dinars, les ressources de financement atteignent près de 27 milliards de dinars. Cette différence s’explique par une distinction fondamentale entre logique budgétaire et logique de trésorerie.

Deux approches comptables distinctes

Le budget de l’État repose sur une approche économique et comptable. Il retrace l’ensemble des recettes, qu’elles soient fiscales, non fiscales ou issues de dons, ainsi que les dépenses liées au fonctionnement de l’administration, aux salaires, aux subventions, aux investissements publics et aux intérêts de la dette. Le solde de ces opérations détermine le déficit ou l’excédent budgétaire.

La trésorerie obéit à une logique différente. Elle mesure exclusivement les flux financiers réels, c’est-à-dire les entrées et sorties effectives de liquidités, sans considération pour leur qualification économique.

Le remboursement du principal, source de confusion

La principale incompréhension porte sur le traitement du remboursement du principal de la dette. Contrairement aux intérêts, considérés comme une charge annuelle, le remboursement du capital ne constitue pas une dépense budgétaire. Il ne finance aucune action publique et correspond à la restitution d’un emprunt contracté antérieurement. D’un point de vue budgétaire, il s’agit donc d’une opération financière, inscrite hors dépenses.

Cette exclusion n’implique toutefois aucune neutralité financière.

Un impact direct sur les liquidités

Sur le plan de la trésorerie, le remboursement du principal représente une sortie de cash immédiate. En 2026, le remboursement de la dette intérieure dépasse 7,9 milliards de dinars, tandis que celui de la dette extérieure avoisine également 7,9 milliards de dinars. Ces montants s’ajoutent au déficit budgétaire et doivent être intégralement financés.

Du déficit budgétaire au besoin de trésorerie

La différence entre les deux notions est alors claire. Le déficit budgétaire résulte de l’écart entre dépenses et recettes budgétaires. Le besoin de trésorerie correspond au déficit budgétaire auquel s’ajoutent les remboursements du principal de la dette. Pour 2026, ce mécanisme conduit à un déficit d’environ 11 milliards de dinars, mais à un besoin de trésorerie global de 27 milliards de dinars, couvert par des emprunts intérieurs, extérieurs et des ressources de trésorerie.

Une logique comparable à celle d’un ménage

À l’image d’un ménage, les dépenses courantes et les intérêts d’un crédit pèsent sur le budget. Le remboursement du capital n’est pas une dépense, mais il réduit néanmoins le solde bancaire. L’État fonctionne selon une logique identique.

CHIFFRES CLÉS

  • 11 milliards de dinars — Déficit budgétaire estimé en 2026
  • 27 milliards de dinars — Besoin total de trésorerie
  • 7,9 milliards de dinars — Remboursement de la dette intérieure
  • 7,9 milliards de dinars — Remboursement de la dette extérieure

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