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Heute — 02. September 2025Haupt-Feeds

La BTE réduit sa perte semestrielle de moitié, à 5,4 millions de dinars

02. September 2025 um 15:05

5,4 millions de dinars. Tel est le montant de la perte nette enregistrée par La BTE au titre du premier semestre 2025. Ce résultat, bien que toujours négatif, représente une amélioration significative de 51,3 % par rapport à la perte de 11,3 millions de dinars subie à la même période en 2024. Cette performance s’inscrit dans un contexte de croissance du produit net bancaire et des dépôts clients.

Le produit net bancaire de la BTE a atteint 34,8 millions de dinars au premier semestre 2025. Tout en affichant une hausse de 8,6 %, en comparaison avec les 32,1 millions de dinars de l’année précédente. Cette progression est principalement attribuable à une augmentation de 9,6 % des revenus d’intérêts, renforcée par une contribution de 2,9 millions de dinars générée par le portefeuille commercial.

Une expansion notable des dépôts clients

Parallèlement, le volume d’affaires de la BTE a connu une forte hausse. Les dépôts clients se sont établis à 1 198 millions de dinars, en croissance de 15,7 % par rapport à l’encours de 1 035 millions de dinars enregistré à fin juin 2024. Cette expansion a été portée par les dépôts à vue, qui s’élèvent à 738,9 millions de dinars, et les dépôts à terme, qui atteignent 459 millions de dinars.

La réduction de la perte semestrielle s’explique en grande partie par une baisse des dotations nettes aux provisions, passées à 6,4 millions de dinars contre 10,7 millions de dinars un an plus tôt.

En revanche, les charges de personnel, qui s’élèvent à 21,5 millions de dinars, et les frais généraux, de 9,1 millions de dinars, continuent de peser sur la structure de coûts de l’établissement.

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Rejet de la demande de libération de l’homme d’affaires Hatem Chaabouni

Von: Yusra NY
27. August 2025 um 21:49

La Cour d’appel de Tunis a rejeté la demande de libération de l’homme d’affaires Hatem Chaabouni et l’a renvoyé devant la chambre criminelle des affaires de corruption financière.

Cette décision concerne également deux anciens cadres d’une banque publique, indique une source citée par Mosaïque FM, ce mercredi 27 août 2025.

On notera que l’homme d’affaires et les deux anciens cadres bancaires ont fait l’objet de mandats de dépôt émis par le juge d’instruction du Pôle judiciaire économique et financier qui a décidé de les poursuivre pour falsification, usage de faux et blanchiment d’argent.

Y. N.

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« Achetez maintenant, payez plus tard » : Qui propose ces services en Tunisie ?

17. Juli 2025 um 11:24

Face à un pouvoir d’achat sous pression et à la restriction de l’usage des chèques comme moyen de garantie, de nouvelles solutions de paiement émergent en Tunisie. Le BNPL (Buy Now, Pay Later), ou « Achetez maintenant, payez plus tard », s’impose peu à peu comme un mode de consommation alternatif, flexible et numérique. Plusieurs banques tunisiennes ont récemment lancé leurs offres, visant à accompagner les besoins croissants des ménages et à stimuler la consommation.


La réforme de la loi sur les chèques, entrée en vigueur début 2025, a entraîné un recul de l’usage du chèque comme outil de crédit informel, notamment dans les secteurs du commerce, de la santé ou de l’éducation. Ce changement a mis en lumière la nécessité de développer des mécanismes de paiement différé plus encadrés. Le BNPL, basé sur le fractionnement du paiement sans formalités lourdes, répond à cette attente.

BTK BANK, Amen Bank… ouvrent la voie

BTK BANK qui a proposé une solution BNPL 100 % digitale avec le service « Super Facilité ». Accessible via son application mobile BTK PAY, ce dispositif permet aux clients d’échelonner leurs achats en 2 à 12 mensualités. La solution est utilisable chez les commerçants disposant de terminaux électroniques de paiement et sur les plateformes e-commerce partenaires.

Lire aussi : Tunisie : La nouvelle loi sur les chèques entre en vigueur… Tout ce qu’il faut savoir !

L’Union Bancaire pour le Commerce et l’Industrie (UBCI) a, de son côté, lancé le service « Flex Pay », fonctionnant via les terminaux de paiement (TPE) de ses partenaires commerciaux. Ce système permet aux clients porteurs de cartes UBCI d’échelonner leurs achats au moment du paiement, sans application mobile spécifique. Cette approche rend le service accessible à un public plus large, notamment moins connecté.

De son côté, AMEN BANK a introduit dès fin 2024 la carte « Tashil Plus », conçue spécifiquement pour le paiement fractionné. Cette carte permet aux clients d’effectuer des paiements différés sur une période pouvant aller jusqu’à 12 mois, pour un montant global plafonné à 20 000 dinars. Les remboursements sont gérés via les plateformes bancaires numériques ou en agence.

Une formule qui séduit

Ce type de solution répond à une demande forte en matière de souplesse budgétaire. Dans un contexte de hausse généralisée des prix, le paiement fractionné permet à de nombreux Tunisiens d’accéder à des services ou à des biens qu’ils ne pourraient acquérir au comptant. Le BNPL devient ainsi une alternative crédible au crédit classique, souvent jugé lourd ou inaccessible.

Côté commerçants, le BNPL représente un levier d’augmentation des ventes, tout en garantissant le paiement immédiat grâce aux accords passés avec les banques. Les secteurs les plus intéressés sont ceux de la santé privée, de l’électroménager, de la formation et du tourisme.

Notons également qu »en février 2025, la startup Ms Solutions, en partenariat avec la Banque centrale, a commencé à préparer le lancement du BNPL en Tunisie. Aucun programme finalisé n’existait à ce moment-là, mais les négociations étaient bel et bien engagées.

Des risques à anticiper

Malgré ses avantages, le BNPL n’est pas sans risques. L’un des principaux dangers est le surendettement silencieux. En multipliant les achats fractionnés, certains utilisateurs peuvent rapidement dépasser leur capacité réelle de remboursement. L’absence d’une culture financière solide accentue ce risque, notamment chez les jeunes ou les ménages à revenus variables.

Par ailleurs, les disparités d’accès demeurent. Les offres entièrement numériques comme celle de BTK peuvent exclure une partie de la population, notamment dans les zones rurales ou mal desservies par les infrastructures digitales. Inversement, les solutions basées sur les TPE nécessitent un réseau commercial suffisamment dense.

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Mseddi dépose plainte contre des crédits sans garanties : 1,3 milliard de dinars en jeu

09. Juli 2025 um 19:48

La députée à l’Assemblée des représentants du peuple, Fatma Mseddi, a révélé avoir déposé une plainte pénale concernant des crédits accordés par la Société tunisienne de banque (STB) sans garanties, depuis décembre 2024.

Ces crédits concernent 149 dossiers, mais l’affaire reste au point mort jusqu’à présent. Elle s’est étonnée de l’absence de décision dans ces dossiers alors même que l’État œuvre à récupérer les fonds spoliés et à mieux maîtriser ses ressources.

Dans une déclaration à l’agence TAP, quelques heures après le report de la séance plénière consacrée à la clôture du budget de l’État pour l’année 2021, Mseddi a indiqué que, selon un rapport de la Cour des comptes, les montants en question dépassent 1,3 milliard de dinars. Elle a estimé que traiter et clôturer ces dossiers pourrait contribuer à renforcer davantage les finances de l’État.

Elle a souligné que la Tunisie fait face à de nombreux défis, en particulier la maîtrise des finances publiques, la réussite du mécanisme de réconciliation fiscale et la récupération des fonds détournés, tant à l’intérieur qu’à l’étranger.

La députée a aussi relevé qu’alors que les lois de finances tentent de consolider le rôle social de l’État, les recettes fiscales connaissent une hausse record : elles ont augmenté de 9,7 %, atteignant 41,7 milliards de dinars, soit plus de la moitié du budget national.

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