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Gestern — 20. September 2024Haupt-Feeds

Tunisie : lancement de la 3ème phase du projet Kaizen 

20. September 2024 um 11:25

Le ministère de l’Industrie, de l’Energie et des Mines, en collaboration avec des experts japonais, a officiellement lancé la 3ème phase du projet d’amélioration de la qualité et de la productivité “Kaizen”.

Lors d’une réunion tenue récemment avec la ministre de l’Industrie, Fatma Thabet Chiboub, le plan d’action pour l’extension du concept Kaizen en Tunisie et son exportation vers d’autres pays africains a été présenté.

Depuis 2006, la JICA (Agence japonaise de coopération internationale) accompagne le ministère de l’Industrie pour introduire le concept “Kaizen” dans les entreprises tunisiennes.

Cette approche, qui vise à améliorer continuellement les processus, a permis de former 86 experts locaux, désormais au service des entreprises tunisiennes pour renforcer leur productivité.

Les efforts du ministère, appuyés par les centres techniques et les experts japonais, ont permis de créer un solide réseau d’expertises tunisiennes en Kaizen.

Quant à la nouvelle phase du projet, elle ambitionne de consolider ces acquis tout en préparant les formateurs tunisiens à transmettre leur savoir-faire à d’autres nations africaines.

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Tunisie : le projet CQE lance Exporti pour booster les exportations vers l’Union européenne

20. September 2024 um 12:27

Le projet «Croissance Qualitative pour l’Emploi» (CQE) vient de lancer un appel à manifestation d’intérêt au profit des entreprises tunisiennes opérant dans le secteur des ingrédients naturels destinés pour la cosmétique et les produits de santé pour participer au programme d’appui aux exportations vers les marchés de l’UE, baptisé « Exporti ».

L’objectif étant d’aider ces entreprises à développer leurs activités et à mieux se positionner sur le marché européen.

Les entreprises sélectionnées bénéficieront de sessions de formation dispensées par des experts internationaux et nationaux, outre la participation à des événements de prospection et de réseautage aves des acheteurs européens.

Le programme « Exporti » fait partie de la composante Appui à la Modernisation de l’Industrie Tunisienne (PACE-AMIT) du projet CQE, financé par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) et l’Union européenne en Tunisie.

Il est mis en œuvre par l’Agence allemande de coopération  internationale (GIZ), en partenariat avec le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie.

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Plus de 14 mille emplois créés par les entreprises suisses

19. September 2024 um 11:39
La présidente de la Chambre de commerce et d’industrie tuniso-suisse, Ahlem Belhaj Ammar, a indiqué à Mosaïque fm, que 101 entreprises suisses opérant en Tunisie fournissent environ 14 500 emplois. Elle a souligné que la chambre s’efforce d’attirer de petites entreprises suisses pour qu’elles ouvrent des succursales en Tunisie. Selon ses prévisions, entre 700 et […]

Une prime mensuelle de 800 dinars pour les sociétés communautaires

18. September 2024 um 19:41

Le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Riadh Chaoued, a révélé le 17 septembre 2024 sur Mosaique FM qu’une prime mensuelle de 800 dinars sera attribuée aux sociétés communautaires. Cette aide, accordée pendant un an et non renouvelable, vise à soutenir ces entreprises tout en soulignant qu’elles ne doivent pas être vues comme des substituts aux secteurs privé ou public.

Riadh Chaoued a expliqué que le développement des sociétés communautaires est freiné par le cadre législatif actuel. Il a précisé que la prime est plafonnée à 800 dinars par mois et sera limitée à une seule année.

Précédemment, le 10 septembre, Hasna Jiballah, secrétaire d’État chargée des entreprises communautaires, avait annoncé que des subventions mensuelles seront mises en place pour stimuler la création de ces entreprises.

Le président de la République, Kais Saïed, avait exprimé le 9 septembre son soutien aux sociétés communautaires, soulignant leur rôle crucial dans la génération de richesse pour les créateurs et pour la nation.

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Manque d’emplois, croissance insuffisante : Les défis de l’économie tunisienne

Von: hechmi
18. September 2024 um 11:52

Abdelkader Boudriga, président du cercle des financiers tunisiens, a tiré la sonnette d’alarme sur la situation économique du pays, lors d’une intervention à l’émission Expresso sur radio ExpressFM. Selon lui, l’économie tunisienne est confrontée à plusieurs défis majeurs : un taux de croissance insuffisant, un manque d’emplois décents et un cadre législatif peu favorable à l’entrepreneuriat.

Le président du cercle a souligné l’importance cruciale de disposer de données économiques fiables pour élaborer des stratégies efficaces. Il a regretté l’absence de statistiques précises sur la croissance du troisième trimestre 2024, soulignant que les données actuelles ne reflètent pas la réalité du terrain.

Boudriga a également mis en avant le potentiel de l’économie à impact, qui pourrait contribuer à un développement plus équitable et durable. Il a appelé à un soutien accru de l’entrepreneuriat, notamment en révisant le code des changes pour créer un environnement plus favorable aux startups et aux jeunes entrepreneurs.

Le président du cercle des financiers a enfin alerté sur le vieillissement de la population tunisienne et sur la nécessité de créer des emplois de qualité pour les jeunes générations. Il a estimé que le taux de croissance actuel de 2,5 à 3% est insuffisant pour relever ce défi.

Sondage d’opinion – INS : Les industriels entre espoir et déprime

18. September 2024 um 07:34
industrie
industrie

Devons nous considérer une croissance annuelle de 0,2% en glissement annuel sur le premier trimestre 2024 tiré vers le haut par le secteur des services (Cafés, restaurants et hôtels) et le secteur agricole, qui a progressé grâce à la hausse des exportations des produits agroalimentaires et en prime de l’huile d’olive, comme étant un signe réel de relance économique ?

Ceci, alors que les secteurs du BTP et de l’industrie accusent des baisses respectives de 6,8% et de 5%. Soit deux secteurs importants qui sont à la traîne depuis des années sans que l’on soit sûrs que leur situation s’améliorera prochainement ! Devons nous croire qu’un pays sans boussole s’agissant de stratégies de relance économique efficientes et concrètes, pourrait réellement rebondir et occuper une place “respectable” sur l’échiquier économique régional ?

Cela fait des années qu’on s’évertue à appeler les autorités compétentes à prendre conscience du spectre de désindustrialisation qui représente une menace grave pour le développement économique de notre pays. Personne n’a écouté nos appels et l’ignorance, le laxisme de l’État quant à l’importance d’une industrie forte pour le développement économique du pays risque, à termes, de mettre fin à toute ambition de réindustrialisation de la Tunisie.

Les industriels eux, d’après la dernière enquête réalisé par l’INS sur leur appréciations du contexte actuel et les perspectives de leurs activités, ne semblent pas très optimistes et bouderaient l’investissement, sachant que l’industrie est le secteur qui a le plus fort taux d’employabilité et dans une économie ne pas investir rime avec ne plus embaucher.

“Les industriels tunisiens broient du noir et n’envisagent ni d’investir ni d’embaucher.”

C’est le cas aujourd’hui dans certaines activités industrielles. S’agissant de l’investissement et pour la deuxième fois consécutive, on relève un solde d’opinion défavorable. Les décisions d’investir sont au dessous de la moyenne enregistrée tout au long des 4 dernières années. Les perspectives d’investissement pour la deuxième moitié de l’année sont négatives. De 13% au premier semestre 2024, les industriels qui pensaient investir sont passés à 7% au deuxième semestre de l’année.

Les opérateurs dans les industries manufacturières ne sont pas optimistes et en prime ceux évoluant dans les industries chimiques (solde opinion positif de 17% en 2023 tombé à -4 en 2024) le textile habillement et cuir (de 21% à 1%) et diverses industries aussi (de -17% à -21%). Seuls ceux évoluant dans le secteur des industries agroalimentaires et les composants mécaniques et électriques sont optimistes exprimant un solde d’opinion favorable passant 2 à 15% pour les premiers et de 8 à 14% pour les deuxième.

Les intentions d’investir sur la deuxième moitié de l’année, montrent des résultats mitigés selon les secteurs d’activités. Ainsi, les intentions d’investissement des industriels dans le chimique ont reculé de 17% en 2023 à -4% en 2024, dans le secteur du textile, habillement et cuir, on est passés de -17% en 2023 à -21% en 2024. En revanche, les intentions d’investir de ceux évoluant dans les industries agroalimentaires ont progressé de 2% à 15% et ceux opérant dans les composants automobile de 8 à 14%.

“Un pays sans boussole s’agissant de stratégies de relance économique efficientes et concrètes, pourrait réellement rebondir ?”

Commentaire de Hechmi Alaya dans le dernier numéro d’Ecoweek : “Le moral dans les chaussettes. Nos chefs d’entreprises industrielles n’ont pas foi dans le présent -et l’avenir- de l’économie tunisienne. Ils broient du noir et n’envisagent ni d’investir ni d’embaucher. Ils avaient déjà̀ le moral dans les chaussettes. Le phénomène s’est nettement accentué cette année aggravant l’attentisme qui marque l’arrêt des embauches et de l’investissement”.

Dans l’attente, l’État tunisien défend la logique d’un gouvernement social mais comment faire du social sans créer de la richesse, sans encourager les investisseurs et sans financer l’économie ? Du social avec quoi et pour qui ? Pour les chômeurs dont une partie ne bénéficie pas de programme de formation adéquats (Ceux surtout dont le niveau scolaire n’a pas atteint la 6ème année primaire) ou encore pour ceux dotés de diplômes qui ne sont pas adaptés aux besoins et aux attentes du marché ?

“L’ignorance, le laxisme de l’État quant à l’importance d’une industrie forte risque, à termes, de mettre fin à toute ambition de réindustrialisation de la Tunisie.”

Une politique économique dont les programmes, les stratégies, les plans ne s’adossent pas à un diagnostic non maquillé de la réalité peut-elle réussir ?

Opposer le peuple aux élites économiques pourrait-il permettre une stabilité sociale, ou encourager les jeunes à entreprendre ?

Un pays peut-il tenir sans compétences et sans capital ?

C’est à ces questions que les candidats en lice pour la présidence du 6 octobre doivent répondre pour que les électeurs sachent quel avenir les attends, eux et leurs progénitures ?

Amel Belhadj Ali

Le taux d’embauche des diplômés de la formation professionnelle dépasse les 80 % (ministre)

17. September 2024 um 18:30

Le ministre de l’emploi et de la formation professionnelle Riadh Chaoud a affirmé, mardi 17 septembre, que la formation professionnelle constitue une voie de réussite et d’excellence et un pilier prometteur en matière d’emploi puisque le taux d’embauche de ses diplômés dans de nombreuses spécialités dépasse les 80 %.

A l’occasion de la nouvelle année de formation 2024-2025 le ministre s’est rendu au Centre de formation et de promotion du travail indépendant d’Ettadhamon (gouvernorat de l’Ariana), et a souligné l’importance de l’ouverture des centres de formation professionnelle sur leur environnement.

Au cours d’une séance de travail tenue à cette occasion, il a indiqué que le plan d’action du ministère pour la nouvelle année de formation comprend l’augmentation de la capacité d’accueil de 705 postes de formation supplémentaires, la reprise de la mise en œuvre de 8 projets de restructuration et le développement de la capacité d’hébergement d’un certain nombre de centres.

Il a également annoncé le lancement de formations bi-certifiantes pour former des spécialistes du diagnostic de l’empreinte carbone des institutions économiques, de la comptabilité et de la réduction carbone, ainsi que le lancement de formations dans le domaine de l’industrie intelligente (Industrie 4.0).

Il est à signaler que le nombre total des offres de formation disponibles au cours de l’année de formation 2024-2025 est de plus de 90 000 et le nombre d’établissements de formation dans le système national est de 512, dont 136 accrédités par l’Agence tunisienne de la formation professionnelle.

Avec TAP

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Tunisie:Riadh Chaoud dévoile les nouvelles mesures de la formation professionnelle pour 2024-2025

17. September 2024 um 17:16

Le ministre de l’emploi et de la formation professionnelle Riadh Chaoud a affirmé mardi que la formation professionnelle constitue une voie de réussite et d’excellence et un pilier prometteur en matière d’emploi puisque le taux d’embauche de ses diplômés dans de nombreuses spécialités dépasse les 80 %.

A l’occasion de la nouvelle année de formation 2024-2025 le ministre s’est rendu au Centre de formation et de promotion du travail indépendant d’Ettadhamon (gouvernorat de l’Ariana), et a souligné l’importance de l’ouverture des centres de formation professionnelle sur leur environnement.

Au cours d’une séance de travail tenue à cette occasion, il a indiqué que le plan d’action du ministère pour la nouvelle année de formation comprend l’augmentation de la capacité d’accueil de 705 postes de formation supplémentaires, la reprise de la mise en œuvre de 8 projets de restructuration et le développement de la capacité d’hébergement d’un certain nombre de centres.

Il a également annoncé le lancement de formations bi-certifiantes pour former des spécialistes du diagnostic de l’empreinte carbone des institutions économiques, de la comptabilité et de la réduction carbone, ainsi que le lancement de formations dans le domaine de l’industrie intelligente (Industrie 4.0).

Il est à signaler que le nombre total des offres de formation disponibles au cours de l’année de formation 2024-2025 est de plus de 90 000 et le nombre d’établissements de formation dans le système national est de 512, dont 136 accrédités par l’Agence tunisienne de la formation professionnelle.

 

Vers l’actualisation du mémorandum d’entente tuniso-libyen dans le domaine de l’emploi et de la formation professionnelle

16. September 2024 um 14:46

Le ministre de l’emploi et de la formation professionnelle, Riadh Chaoued, et le ministre libyen du travail et de la réhabilitation, Ali Al-Abed Al-Rida, ont convenu de mettre à jour le mémorandum d’entente tuniso-libyen dans le domaine de l’emploi et de la formation professionnelle.

Selon un communiqué du ministère de l’Emploi, ce mémorandum d’entente vise à organiser des sessions de formation selon les besoins des deux pays, à jumeler les centres de formation, à échanger les formateurs, à partager des programmes pour les chercheurs d’emploi, à intégrer les jeunes sur le marché du travail, à soutenir le secteur privé et à échanger des programmes relatifs à l’organisation des bureaux d’emploi et au renforcement de leurs services.

Lors d’une réunion de travail qui s’est tenue hier, dimanche, dans une institution universitaire privée en Tunisie, il a également été convenu de mettre en place un plan d’action pour recevoir des offres d’emploi des entreprises libyennes et les relier aux demandeurs d’emploi tunisiens, ainsi que de former des formateurs et d’échanger des expertises dans le domaine de la formation professionnelle.

Les deux ministres se sont rencontrés à l’occasion de la clôture d’une session de formation dans une institution universitaire privée en Tunisie, dans le cadre de la dynamisation du marché du travail libyen et pour répondre aux besoins des entreprises économiques libyennes dans les domaines du diagnostic et de la maintenance des pannes automobiles, des techniques de soudage ordinaires et industrielles et de l’installation des systèmes d’énergie solaire.

Lors de la clôture de cette session de formation, des certificats ont été distribués à 100 chercheurs d’emploi libyens dans des spécialités demandées sur le marché du travail libyen.

À cette occasion, le ministre de l’emploi et de la formation professionnelle, Riadh Chaoued, a souligné l’importance de promouvoir la coopération dans les domaines de la formation professionnelle, de la formation des formateurs, de l’ingénierie de la formation, de l’emploi et de l’entrepreneuriat privé.

De son côté, le ministre libyen du Travail et de la réhabilitation, Ali Al-Abed Al-Rida, a exprimé le souhait de son pays de tirer profit de l’expérience tunisienne dans le domaine de l’emploi et de la formation professionnelle.

Avec TAP

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Appel d’offres : Création d’un système d’information RH national en Tunisie

Von: hechmi
12. September 2024 um 20:48

Fonction publiquzDans le cadre de la modernisation de l’administration tunisienne, l’État, soutenu par la Banque Africaine de Développement, lance un appel d’offres international pour la conception, le développement et la mise en place d’un système d’information des ressources humaines (SIRH) unifié à l’échelle nationale.

Ce projet ambitieux, inscrit dans le plan stratégique « Tunisie Digitale 2020 », vise à :

  • Rationaliser la gestion des ressources humaines au sein de la fonction publique.
  • Améliorer l’efficacité et la transparence des processus RH.
  • Moderniser les outils de gestion et faciliter l’accès à l’information.

Ce SIRH national intégrera l’ensemble des données relatives aux agents de la fonction publique, de leur recrutement à leur départ à la retraite, en passant par leur formation, leur évaluation et leur carrière.

Lien : AOI BAD

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