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Gestern — 27. März 2025Haupt-Feeds

Réforme du Travail en Tunisie : CDD, quelles sont les 3 seules exceptions ?

Von: walid
27. März 2025 um 09:03

Emploi et chômage

Le ministre des affaires sociales Issam Lahmar a souligné que le projet de loi relatif à l’organisation des contrats de travail et la suppression de la sous-traitance stipule que les contrats à durée déterminée sont limités à trois cas exceptionnels à savoir :

  • les travaux nécessitant une augmentation inhabituelle de la charge du travail,
  • le remplacement temporaire d’un salarié permanent ou
  • les travaux saisonniers, qui ne peuvent pas, en référence à l’usage ou à la nature de l’activité, faire l’objet de contrats indéterminés.

La ministre des affaires sociales a indiqué, au cours d’une séance d’audition tenue hier lundi par la commission de la santé, des affaires de la femme, des affaires sociales et des personnes handicapées à l’assemblée des représentants du peuple (ARP) que le recours aux contrats à durée déterminée a été déjà prévu par le code du travail et englobe les travaux saisonniers ou ceux nécessitant une augmentation inhabituelle de la charge du travail.

“L’amendement proposé est important et porte essentiellement sur l’obligation de conclure des contrats de travail à durée indéterminée et de limiter les contrats à durée déterminée à quelques exceptions” a-t-il signalé.

Le ministre des affaires sociales a précisé que le recours à la sous-traitance de la main d’oeuvre est incriminé, alors que cette pratique ne concerne pas les prestations et les travaux contenus dans l’article 30 (nouveau) du code du travail.

Il a précisé que le nouveau projet d’amendement s’applique au secteur privé, notant que les textes réglementaires seront publiés en vue de titulariser les agents travaillant en sous-traitance dans le secteur public, soumis à des régimes spécifiques.

Lahmar a signalé que ce projet vise à annuler les contrats de travail à durée déterminée et à interdire définitivement la sous-traitance de la main d’œuvre avec la possibilité de proposer des dispositions relatives à l’organisation des entreprises de prestation de services et la réalisation des travaux.

Le ministre des affaires sociales a souligné que le projet d’amendement du code du travail s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la décision du président de la république, en date du 6 mars 2024, portant sur l’annulation de la sous-traitance et l’interdiction de toutes formes de fraude.

EN BREF

Réforme du Code du Travail en Tunisie – Ce qu’il faut retenir

Objectif : Appliquer la décision présidentielle du 6 mars 2024
📃 Les CDD désormais limités à 3 cas :
– Remplacement temporaire d’un salarié
– Travaux saisonniers
– Augmentation inhabituelle de l’activité
✅ CDI devient la règle par défaut
« Le recours aux contrats précaires sera strictement encadré » — Issam Lahmar, ministre des Affaires sociales.

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Doctorants au chômage réclament le recrutement direct

25. März 2025 um 17:13

Un certain nombre de doctorants- chercheurs au chômage ont revendiqué « le recrutement direct sans concours ».

Le porte parole des doctorants au chômage Abderrahmène Khélifi a indiqué dans une conférence de presse tenue mardi à Tunis, qu’environ 5 mille titulaires de doctorat sont confrontés au chômage ou travaillent dans des secteurs non adaptés à leur qualification, soulignant la nécessité de « régulariser la situation des doctorants à travers le recrutement direct et l’annulation des concours ».

« Il s’agit de la deuxième conférence de presse organisée en l’espace de deux mois » a-t-il précisé, signalant l’importance de régulariser ce dossier et de facilité l’intégration des doctorants afin de préserver leur dignité.

Avec TAP

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Ingénieurs tunisiens : formés pour l’étranger faute de vision nationale

24. März 2025 um 09:35

IngenierieLa formation des ingénieurs en Tunisie repose sur une base académique rigoureuse et polyvalente. Dès le cycle préparatoire, les étudiants acquièrent une solide maîtrise des mathématiques, de l’informatique et des sciences fondamentales, leur permettant d’accéder à des formations d’ingénierie diversifiées. Cependant, malgré leur réputation et leur attractivité sur le marché international, certains points faibles sont régulièrement soulignés : un manque de pratique, des lacunes en soft skills, une maîtrise insuffisante des logiciels professionnels et une adaptation parfois lente aux évolutions technologiques mondiales.

Ce constat a été au centre d’un webinaire organisé par l’Association Reconnectt présidé par Sami Ayari ingénieur lui même, réunissant des ingénieurs tunisiens de renom, installés à l’international avec Mohamed Jmaiel, professeur en informatique à l’Ecole nationale de Sfax. Un système aux fondamentaux solides mais en quête de repères et d’orientation stratégique, c’est en quelques mots l’ingénierie en Tunisie.

Mohamed Jmaiel rappelle que l’offre tunisienne est de 88 filières d’ingénierie sur 300 formations universitaires.  Chaque année, il y a 7.000 diplômés produits par les différentes filières. La Tunisie s’est dotée d’un large éventail de spécialisations. Mais cette diversité est-elle un atout ou un frein ? Cette multiplicité a généré une perte de repères, estime Mohamed Jmaiel.

« Nous avons ouvert trop de filières sans une vision claire. Nous ne savons plus exactement à quel marché nous destinons nos ingénieurs. Formons-nous pour l’économie nationale et si c’est le cas, est-ce que notre économie, notre industrie sont capables d’absorber autant d’ingénieurs venant de filières aussi diverses ? »

Si l’excellence académique des formations publiques est reconnue, la question centrale reste leur adéquation aux exigences du monde du travail. Les ingénieurs tunisiens sont réputés pour leur capacité d’adaptation, mais sont-ils suffisamment préparés aux défis scientifiques et technologiques actuels ? En fait, il y a un décalage manifeste entre les besoins du marché du travail et les cursus et le nombre d’ingénieurs diplômés.

Nous avons ouvert trop de filières d’ingénierie sans une vision claire ni une stratégie de développement économique en lien avec le marché national – Pr Mohamed Jmaiel

 

Le secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC) est l’un des seuls à absorber efficacement ses diplômés. En revanche, des disciplines comme l’agronomie souffrent d’un manque d’opportunités, poussant de nombreux ingénieurs à chercher un avenir ailleurs.

Ce phénomène s’explique en partie par le manque d’interaction entre les universités et le tissu industriel tunisien. Contrairement aux modèles européens ou nord-américains, la recherche appliquée et l’innovation en entreprise restent marginales en Tunisie.

Mohamed Jmaiel partage son expérience à l’école d’ingénieurs de Sfax, où une tentative de formation en alternance a échoué :

« Nous avons voulu instaurer un modèle d’alternance, mais les entreprises n’ont pas joué le jeu. Sur une promotion de 120 étudiants, à peine une dizaine ont trouvé des opportunités. Cela montre que le problème ne vient pas seulement du nombre de filières, mais aussi d’un tissu économique qui peine à absorber ces compétences. »

Une nécessaire refonte du modèle éducatif

Pr Fatma Mili, enseignante en data et en Informatique dans l’une des plus grandes facultés d’informatique aux États-Unis, l’UNC Charlotte, insiste sur la nécessité de former des ingénieurs entrepreneurs, capables d’innover et d’anticiper les évolutions industrielles.

« L’université ne doit pas se contenter de délivrer des diplômes, elle doit créer un écosystème où les étudiants développent leur créativité et leur esprit d’entreprise. Nous devons orienter nos formations vers les industries de demain. »

Cette vision est appliquée en Allemagne où Pr Fahmi Bellallouna, enseignant et chercheur en ingénierie, spécialisé dans la réalité virtuelle (VR) et en réalité augmentée (AR) affirme que le lien entre les universités et les industries est renforcé. “Les établissements suivent de près l’évolution des marchés et ajustent leurs programmes en conséquence”.

Former des ingénieurs, ce n’est pas uniquement délivrer des diplômes. C’est créer un environnement qui stimule la créativité, l’innovation et l’esprit d’entreprise – Pr Fatma Mili

 

À l’inverse, en Tunisie, l’industrie investit peu dans la recherche et le développement (R&D), ce qui limite les opportunités d’innovation et d’apprentissage pratique. Il cite l’exemple de la Chine, où l’État a imposé aux entreprises des transformations structurelles pour encourager l’innovation : « En Chine, j’ai vu le secteur automobile évoluer à une vitesse impressionnante sous l’impulsion du gouvernement. Si la Tunisie veut progresser, il faut que l’État prenne des mesures stratégiques et soutienne financièrement l’innovation. »

La Tunisie peut-elle devenir un hub technologique ?

Le marché international reconnaît le potentiel des ingénieurs tunisiens, mais pourquoi les grandes entreprises technologiques privilégient-elles Bangalore plutôt que Tunis ?

Dr Imed Zitouni, expert mondialement reconnu en intelligence artificielle (IA) et en traitement du langage naturel (TLN), occupant actuellement le poste de directeur de l’ingénierie chez Google aux États-Unis, apporte une réponse claire :

“Les multinationales cherchent un climat d’affaires stable, sans lourdeurs administratives. En Inde, elles savent qu’elles peuvent recruter rapidement et en toute confiance. La Tunisie doit rassurer les investisseurs et alléger ses procédures. Aujourd’hui, dans un monde en constante évolution, maîtriser les soft skills est devenu aussi essentiel que les compétences techniques”.

En Allemagne, les universités d’ingénierie adaptent constamment leurs cursus aux besoins réels du marché – Pr Fahmi Bellallouna

 

“Avec l’essor de l’intelligence artificielle et des technologies disruptives, la véritable valeur d’un ingénieur réside dans sa capacité à apprendre et à s’adapter. Ceux qui réussissent ne sont pas forcément ceux qui connaissent tout, mais ceux qui savent évoluer et se réinventer en permanence”.

“Prenons l’exemple de Bangalore, en Inde, la ville s’est imposée comme la capitale indienne de l’informatique. Comment ? Grâce à une politique éducative et économique cohérente, qui a su répondre aux besoins du marché international. Des géants US ont implanté des unités stratégiques, attirant et formant des milliers d’ingénieurs. Pourquoi la Tunisie, pourtant dotée de talents reconnus, peine-t-elle à reproduire ce modèle ?”

Le Canada est un autre exemple parlant. Mohamed Habibi Professeur agrégé en génie mécanique, Directeur de l’Équipe de Recherche en Ingénierie Mécanique Avancée (ÉRIMA), Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) déplore une baisse du niveau des jeunes ingénieurs tunisiens. « Nous recrutons chaque année des ingénieurs de l’ENIT, de l’ENIM et de l’ENSIT. Mais nous avons de plus en plus de mal à trouver le niveau que nous recherchons. Les formations théoriques restent solides, mais elles ne sont plus en phase avec les attentes du marché et les avancées technologiques »

Les multinationales ne cherchent pas seulement des compétences techniques, elles veulent aussi de la stabilité, de la réactivité et un environnement propice à l’investissement – Dr Imed Zitouni

 

Il souligne des manques importants en matière de maîtrise des logiciels techniques, d’expérimentation en laboratoire et de compétences en gestion de projet d’où l’urgence d’un changement du cursus. Si la Tunisie veut que son système d’ingénierie soit un moteur de croissance économique, il est impératif d’agir sur plusieurs axes :

  • Repenser les programmes académiques en fonction des besoins du marché local et international ;
  • Créer des passerelles solides entre universités et entreprises pour favoriser l’apprentissage pratique ;
  • Encourager la recherche appliquée et l’innovation industrielle à travers des incitations financières ;
  • Attirer les investissements étrangers en simplifiant les démarches administratives et en garantissant un environnement d’affaires attractif ;
  • Mettre en avant les soft skills et l’adaptabilité pour préparer les ingénieurs aux évolutions technologiques rapides.

Réinventer l’ingénierie tunisienne pour un avenir prometteur et ouvrir la voie aux partenariats internationaux que veulent initier les élites tunisiennes sises à l’étranger.

Nous voulons contribuer au développement de notre pays, relève Mohamed Habibi, mais encore faut-il lever les obstacles administratifs qui freinent l’innovation et la recherche. Comment avancer lorsque la signature d’une simple convention avec un doyen prend deux mois ?

“Comment être compétitif lorsque, sur un financement de 12 mois, l’administration met six mois à désigner un étudiant pour collaborer à un projet de recherche ? Ce manque de réactivité pénalise aussi bien les chercheurs que l’économie nationale”.

Il est urgent de repenser le rôle des universités : forment-elles des diplômés pour enrichir le marché du travail ou simplement pour remplir des statistiques ? Au-delà des diplômes, il est temps de valoriser les travaux et les compétences des étudiants, afin de les intégrer efficacement dans l’écosystème professionnel.

Nous avons en Tunisie des jeunes ingénieurs brillants, mais le système administratif les freine au lieu de les propulser. Il faut parfois six mois pour débloquer un financement ou signer une convention de recherche – Pr Mohamed Habibi

 

Mohamed Habibi n’est pas le seul déçu de l’administration tunisienne, Fahmi Bellallouna aussi engagé que lui déplore cet état des choses : “Nous avons envoyé des équipements à des étudiants tunisiens dans la réalité virtuelle, (lunettes virtuelles) ils sont restés bloqués 6 mois dans les services de douane, c’est beaucoup”.

Le talent et la capacité d’adaptation des ingénieurs tunisiens ne sont plus à prouver.

Cependant, le modèle éducatif actuel doit évoluer pour répondre aux attentes du marché globalisé. La Tunisie a toutes les cartes en main pour devenir un pôle technologique attractif, mais cela nécessite une vision claire, un soutien stratégique de l’État et un engagement accru du secteur privé. Le défi est de taille, mais l’opportunité est immense.

L’ingénierie tunisienne ne doit pas seulement viser l’exportation de talents, mais aussi la création d’une économie innovante et compétitive sur la scène mondiale.

Amel Belhadj Ali

EN BREF

L’essentiel sur la formation des ingénieurs en Tunisie

  • 7 000 diplômés par an, issus de 88 filières d’ingénierie.
  • Formation académique solide mais décalée des besoins du marché.
  • Manques identifiés : soft skills, pratique, logiciels métiers.
  • Faible lien université-entreprise ; alternance quasi inexistante.
  • « Nous avons ouvert trop de filières sans vision claire. » – Pr Jmaiel
  • Les talents tunisiens s’exportent faute d’opportunités locales.
  • Urgence : repenser les cursus, encourager l’innovation et simplifier l’administration.

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THAMM Plus : un pont vers l’emploi durable en Italie pour les travailleurs tunisiens

21. März 2025 um 10:30

Le programme THAMM Plus, mis en œuvre par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) en Tunisie et son partenaire de mise en œuvre, l’Organisation non gouvernementale ELIS et l’Association italienne des constructeurs en Bâtiment (ANCE), en collaboration avec l’Agence Nationale pour l’Emploi et le Travail Indépendant (ANETI) et l’Agence Tunisienne de la Formation Professionnelle (ATFP), vise à renforcer l’employabilité des jeunes tunisiens et leur permettre d’accéder à des emplois durables en Italie, tout en développant leurs compétences professionnelles. Le programme met également en place une approche systématique des migrations régulières. Et ce, en favorisant une coopération solide entre les partenaires institutionnels, en renforçant leurs capacités et en facilitant la reconnaissance et la certification des compétences.

Compétences recherchées dans le cadre de THAMM Plus

Les jeunes diplômés tunisiens et tunisiennes ayant un Certificat de compétence (CC), Certificat d’aptitude professionnelle (CAP), Brevet de technicien professionnel (BTP) homologué ou titulaires d’un Certificat de compétence professionnelle (CCP) dans les spécialités suivantes : maçonnerie coffreur-boiseur et poseur de revêtements durs sont encouragés à postuler.

Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 8 avril 2025.

Formations

Les candidats sélectionnés bénéficieront d’une formation en langue et culture italienne, en sécurité au travail et de formation technique supplémentaire avant leur intégration professionnelle en Italie.

Informations complémentaires

Visionnez cette vidéo, expliquant le processus de candidature.

Les détails concernant la soumission des dossiers de candidatures ainsi que les conditions d’éligibilité peuvent être consultés ici.

Pour toute question ou demande d’information supplémentaire sur cet appel à candidatures, veuillez contacter le bureau d’emploi le plus proche ou via l’ANETI.

Pour de plus amples informations sur le projet THAMM Plus, veuillez contacter regularpathwaystunisia@iom.int

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Début de la sélection de jeunes Tunisiens pour travailler en Italie (Vidéo)

21. März 2025 um 07:32

L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) en Tunisie a annoncé, jeudi 20 mars 2025, le début du processus d’emploi en Italie de jeunes Tunisiens, notamment dans les secteurs de la construction et de la logistique. Vidéo.

L’initiative s’inscrit dans le cadre du programme Thamm Plus, cofinancé par l’Union européenne et le ministère italien de l’Intérieur, qui vise à faciliter la mobilité de la main d’œuvre qualifiée et formée entre le Maroc, la Tunisie et l’Italie.

Les candidats intéressés sont invités à présenter leur dossier à l’Agence nationale pour l’emploi et le travail indépendant (Aneti) le plus proche et à s’inscrire via la plateforme en ligne dédiée.

Les candidats, précise l’OIM, doivent être âgés de 18 à 35 ans à la date de dépôt du dossier, être en possession d’un certificat de compétence ou d’un diplôme professionnel équivalent, ou avoir réussi un test professionnel validant leurs compétences dans les secteurs concernés.

L’initiative fait partie du projet «Vers une gouvernance mondiale de la migration et de la mobilité des travailleurs en Afrique du Nord» mis en œuvre par l’OIM. Thamm Plus. Il vise à améliorer l’employabilité des jeunes Tunisiens et à établir des parcours réguliers durables, notamment pour le secteur italien de la construction.

Jusqu’à présent, 100 participants ont déjà terminé leur formation, tandis que 200 autres suivent actuellement une formation technique après avoir terminé leurs cours d’éducation civique et linguistique, tout en renforçant les capacités d’enseignement professionnel en Tunisie.

Les candidats sélectionnés reçoivent une préparation complète, comprenant une formation à la langue et à la culture italiennes, une éducation à la sécurité au travail et une formation technique spécialisée avant de commencer leur emploi en Italie.

I. B. (avec Ansamed).

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Opportunités d’emploi en Italie : l’OIM ouvre des candidatures pour des métiers du bâtiment

Von: Raja
20. März 2025 um 13:20
Opportunités d’emploi en Italie : l’OIM ouvre des candidatures pour des métiers du bâtiment

Le bureau de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) en Tunisie annonce l’ouverture des candidatures pour des opportunités de recrutement en Italie dans les domaines de la construction et de la menuiserie coffrage. Dans un communiqué publié jeudi, L’OIM Tunisie a appelé les candidats à déposer leur dossiers de candidature auprès du bureau indépendant de […]

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Tunisie: vers une nouvelle stratégie nationale pour l’emploi

13. März 2025 um 08:34

Un conseil ministériel restreint, présidé par le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, s’est tenu hier 12 mars 2025 à La Kasbah pour examiner les axes de la stratégie nationale pour l’emploi. Ce plan vise essentiellement à répondre aux défis du marché du travail, notamment en matière de création d’emplois, d’intégration du secteur informel et d’amélioration des conditions de travail.

Lors de cette réunion, le chef du gouvernement a souligné que l’emploi constitue une priorité nationale et un droit constitutionnel, nécessitant des mesures adaptées pour garantir des opportunités basées sur la compétence et l’équité. Il a insisté sur l’importance d’accélérer la mise en œuvre des recommandations du président de la République, Kaïs Saïed, afin de valoriser le travail et d’assurer un accès équitable à l’emploi.

Le gouvernement entend ainsi renforcer la dynamique économique pour stimuler l’investissement et améliorer le climat des affaires, tout en développant des projets à forte capacité d’embauche. La modernisation du marché du travail passera par une meilleure adéquation entre la formation et les besoins des entreprises, ainsi que par l’exploitation des opportunités liées à la transformation numérique et à l’intelligence artificielle.

Le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle a présenté l’état d’avancement de la mise à jour de la stratégie et les grandes lignes de son plan d’exécution. Il a également proposé des mesures pour améliorer la gouvernance du secteur, encourager l’entrepreneuriat et accompagner les demandeurs d’emploi dans leur insertion professionnelle.

À l’issue des discussions, le conseil a recommandé d’enrichir le document stratégique en intégrant les observations des ministres concernés et en adoptant une approche participative impliquant tous les acteurs du marché du travail. La commission nationale de pilotage reprendra ses travaux afin d’achever la version finale de la stratégie, qui sera prochainement soumise à un conseil ministériel pour approbation.

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