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Heute — 02. August 2025Haupt-Feeds

Ghazi El Ayadi pour la première fois sur la scène du Festival international de Hammamet en près de trente ans de carrière artistique

Von: La Presse
02. August 2025 um 12:03

Pour la première fois en près de trente ans de carrière artistique, le chanteur tunisien Ghazi El Ayadi s’est produit en solo sur la scène du Festival international de Hammamet (FIH), dans la soirée du vendredi 1er août 2025, à l’occasion de la 59ème édition du festival, avec un concert intitulé « habbit zamani ». Malgré une longue carrière marquée par une riche expérience en chant et en composition, l’absence de Ghazi El Ayadi de cette scène culturelle majeure avait toujours suscité l’interrogation. Lui-même n’a pas manqué de souligner, sans détour, que ce rendez-vous -aussi tardif soit-il- constitue un tournant dans son parcours. Il a d’ailleurs précisé que sa participation à l’édition précédente (2024), dans le cadre d’une soirée collective tunisienne avec Asma Ben Ahmed et Mehdi Ayachi, ne pouvait être considérée comme une véritable présence scénique à part entière, dans la mesure où il n’avait pas pu y présenter vraiment son univers musical.

Dans son concert, d’une durée de près de deux heures, il est revenu sur différentes étapes de sa carrière, entre ses débuts dans les années 1990, sa période de compositeur au service de grandes voix arabes, et enfin sa phase actuelle, plus contemporaine.

Accompagné d’un orchestre dirigé par le maestro Youssef Belhani, il a interprété quelques-unes de ses chansons les plus connues du public tunisien, telles que « sidi habibi », « chayfin oyounou », « ana zay zaman », « mouch tabaana », ou encore « rouhi fidek », entre autres..

Au-delà de la performance vocale, Ghazi El Ayadi a su créer un moment fort en invitant le jeune chanteur Aymen Lassik à partager avec lui la chanson « zaman el masaleh », dans un échange symbolique entre générations. Mais la plus grande surprise fut sans doute l’apparition sur scène de son frère cadet, Moez El Ayadi, avec qui il a interprété « rdhayet el waldine » en présence de leur mère.

A travers ses chansons, Ghazi El Ayadi semblait revisiter ses souvenirs, renouer avec son public et se réconcilier avec un temps qui ne lui avait pas toujours permis de s’exprimer pleinement.

Dans une déclaration après le spectacle, Ghazi El Ayadi a exprimé une profonde gratitude envers le public venu nombreux l’écouter, qualifiant cette soirée de « renaissance » dans son parcours. Il a affirmé avoir décliné d’autres propositions estivales pour se consacrer pleinement à ce concert, qu’il considérait comme « le vrai point de départ » de son retour sur le devant de la scène en tant qu’interprète.

Ghazi El Ayadi a conclu en affirmant que sa participation au Festival de Hammamet représente un nouveau chapitre faisant part de l’ambition de retrouver pleinement sa place, non seulement en tant que compositeur, mais aussi en tant que chanteur.

Carthage | Nouvelles découvertes au temple de Tanit et Baal Hammon à Carthage

02. August 2025 um 09:49

Dans le cadre du projet d’aménagement et de valorisation du Tophet de Carthage, des fouilles archéologiques au temple de Tanit et Baal Hammon ont permis la découverte d’un nombre important de jarres votives et d’offrandes.

Selon l’Institut national du patrimoine (INP), certaines de ces jarres datent du Ve siècle av. J.-C., voire de la fin du VIe siècle av. J.-C., tandis que d’autres datent du IIIe siècle av. J.-C.

Selon la même source, ces jarres contiendraient des restes calcinés d’enfants prématurés, de nouveau-nés et de divers animaux, qui auraient été enterrés selon les rites religieux pratiqués à Carthage à l’époque.

Les fouilles, poursuit l’INP, ont également permis de mettre en lumière les transformations subies par le site sacré à l’époque romaine.

L’équipe a mis au jour des murs datant des IIe et IIIe siècles après J.-C., ainsi que d’autres datant de la fin de l’époque romaine. L’INP a souligné que les travaux scientifiques de terrain se poursuivent, menés par l’équipe de recherche impliquée dans le projet de mise en valeur du Tophet.

Selon l’institut, le projet vise à approfondir l’étude des composantes du temple carthaginois et de ses modifications au cours des périodes historiques ultérieures, afin de présenter et d’interpréter le site de manière moderne et scientifiquement précise, tant pour les spécialistes que pour le grand public.

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Festival international de Carthage : une nuit symphonique pour célébrer l’universalité des cultures

Von: La Presse
02. August 2025 um 09:36

Dans la nuit du 1er août, le public du 59e Festival international de Carthage (FIC) a vécu une soirée exceptionnelle placée sous le signe du dialogue musical, de la diversité culturelle et de l’universalité du langage symphonique.

Intitulée « La Nuit des Chefs », cette création inédite a réuni cinq chefs d’orchestre de renommée internationale : le Tunisien Chady Garfi, l’Italien Andrea Tarantino, la Palestinienne Lamar Elyes, l’Algérien Lotfi Saidi et le Turc Ahmet Baran. Chacun s’est succédé à la baguette pour diriger les musiciens de l’Orchestre symphonique tunisien, en présence de la ministre des Affaires culturelles Amina Srarfi.

Le programme offrait un véritable tour du monde symphonique : chaque chef a proposé une œuvre représentative de son identité artistique ou de sa culture d’origine. Deux chanteuses invitées, l’Italienne Goar Faradzhian et la Turque Mine Bitmez, ainsi que les chœurs du Théâtre de l’Opéra de Tunis, ont apporté une dimension vocale puissante à cette traversée musicale.

La soirée s’est ouverte avec « Funk Malouf » de Fawzi Chekili, dirigé par Chady Garfi avec la complicité du guitariste Hedi Fahem. L’Italien Andrea Tarantino a ensuite enchaîné avec un hommage à la chanson italienne, sublimé par Goar Faradzhian, interprétant entre autres O Sole Mio, Parla più piano, Con te partirò et Funiculì Funiculà.

La scène a ensuite vibré aux sons de l’Algérie, avec Lotfi Saidi et le chœur sur Chahlet laayani et Ya Rayah, évoquant les croisements entre influences maghrébines et latines.

La Palestinienne Lamar Elyes a poursuivi avec une palette allant du répertoire instrumental savant (Sama’i bayati) à des chants patriotiques profonds (Mawtini, Bahlef bi samaha, Ya chaabi ya oud al-nadd).

Le retour sur scène de Chady Garfi a été marqué par une série d’airs tunisiens, cette fois avec la voix chaleureuse de Mongia Sfaxi, dans un moment de pure émotion avec Tetfatah lachkoune, Awadteni al wed ou encore Ya zahratan fi khayali.

La clôture fut confiée au maestro turc Ahmet Baran, qui a électrisé le théâtre romain avec un solo de qanûn, une version orientale de la Symphonie n°40 de Mozart, et une reprise inattendue du thème de Pulp Fiction. Rejoint par Mine Bitmez, il a transporté le public dans un univers turc contemporain avant une conclusion collective sur Lila, dirigée par Chady Garfi.

Une nuit inoubliable, reflet d’un monde pluriel réuni autour d’un même souffle musical.

JCC 2025 : Ziad Rahbani à l’honneur lors de la 36e édition à Carthage

01. August 2025 um 23:03
JCC 2025 : Ziad Rahbani à l’honneur lors de la 36e édition à Carthage

La direction des Journées Cinématographiques de Carthage a annoncé, dans un communiqué publié le vendredi 1er août 2025, que la 36e édition du festival, prévue du 13 au 20 décembre 2025, rendra hommage à l’artiste libanais Ziad Rahbani, musicien, dramaturge, comédien et journaliste. Figure incontournable de la scène culturelle arabe, son nom est étroitement lié […]

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Les JCC rendront hommage à Ziad Rahbani

Von: Yusra NY
02. August 2025 um 00:01

Les Journées cinématographiques de Carthage (JCC) dans leur 36e édition, du 13 au 20 décembre 2025, rendront hommage au musicien, dramaturge, acteur et journaliste libanais Ziad Rahbani.

Le nom de Ziad Rahbani est associé aux grandes figures du nouveau cinéma arabe, que ce soit en tant qu’acteur ou compositeur, parmi lesquels : Farouk Beloufa, Randa Chahhal, Kassem Hawal et Maroun Bagdadi.

La présence de Ziad Rahbani à cette édition ne sera pas marquée par son “ Long métrage américain”, mais bien par son sens artistique unique et son intelligence musicale.

La programmation du festival inclura une sélection de films auxquels il a participé, ainsi que des activités spéciales mettant en lumière son parcours créatif.

Notons que Ziad Rahbani, fils de la diva Fairouz et du compositeur Assy Rahbani, est considéré comme l’une des figures les plus marquantes de la musique et du théâtre dans le monde arabe. Il est décédé à l’âge de 69 ans samedi 26 juillet 2025 à Beyrouth.

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Gestern — 01. August 2025Haupt-Feeds

JTC 2025 : ouverture des candidatures pour la 26e édition des Journées Théâtrales de Carthage

01. August 2025 um 14:43

Le comité directeur des Journées Théâtrales de Carthage (JTC), a annoncé dans un communiqué l’ouverture de l’appel à candidatures pour la 26ème édition qui se tiendra du 22 au 29 novembre 2025. Les candidatures sont ouvertes pour la participation à la compétition officielle ainsi qu’aux représentations parallèles. Cet appel est ainsi ouvert aux structures théâtrales professionnelles tunisiennes, arabes et africaines. Il concerne également la section “Expressions théâtrales de l’immigration”, destinée aux dramaturges tunisiens, arabes et africains de la diaspora, ainsi que la section “Théâtre du Monde”, réservée aux spectacles de théâtre et performances artistiques professionnels issus de pays hors du monde arabe et africain.

Les candidats doivent remplir un formulaire en ligne disponible à l’adresse suivante : https://forms.gle/ffHNTRqQckBxwZPx6.

Le dossier doit inclure toutes les informations requises, les biographies et photos de l’auteur, du metteur en scène, des comédiens et des techniciens, ainsi que les copies des passeports pour les membres de troupes étrangères. Il est également demandé de fournir un dossier artistique et de presse comprenant le synopsis du spectacle, les critiques et les éléments de couverture médiatique, accompagnés de photos en haute résolution. Un dossier technique détaillé, décrivant la scénographie, les éléments scéniques et les besoins en son et lumière, doit être joint. Pour les productions tunisiennes, une attestation de la première représentation est requise. Un enregistrement audiovisuel du spectacle en haute définition, sur un seul support, est également indispensable.

Toutes les œuvres sélectionnées, quelle que soit la section, doivent être accompagnées d’un sous-titrage en anglais. L’ensemble du dossier de candidature doit être soumis au plus tard le 31 août 2025. Les dossiers incomplets ou envoyés hors délais ne seront pas pris en considération, ajoute la même source.

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À Carthage, l’Histoire s’invite au café

01. August 2025 um 13:17

Sous l’ombre bienveillante des ruines antiques, la mémoire carthaginoise s’apprête à vibrer de nouveau. Ce samedi 2 août 2025 à 17h30, le café culturel Scipion, situé au cœur de Carthage, accueillera une rencontre exceptionnelle organisée par l’Association du Récif Culturel, sous la présidence de Néjib Gaça.

L’événement, à la fois historique et symbolique, portera sur un moment clé de l’histoire antique : la bataille de Cannes, opposant les forces de Carthage à celles de Rome. Intitulée «La bataille de Cannes : génie tactique et création stratégique», la conférence sera assurée par Mourad Jebali, historien reconnu pour ses travaux sur l’armée d’Hannibal et les guerres puniques.

Deux invités de marque prendront part au débat : l’écrivain auteur d’ouvrage sur l’histoire carthaginoise historien tous deux figures incontournables des études carthaginoises.

Mais au-delà du contenu érudit, c’est le choix du lieu qui interpelle : le café Scipion, nommé d’après le général romain vainqueur d’Hannibal à Zama. Une provocation ? Plutôt un pied de nez à l’histoire dominante. Pour Néjib Gaça, président de l’association organisatrice, «il s’agit de retourner les symboles, d’investir les lieux de mémoire pour y faire résonner notre propre récit, celui de la grandeur carthaginoise.»

Un geste politique et culturel assumé, dans une Tunisie en quête de repères. «En choisissant Scipion pour honorer Hannibal, nous célébrons le génie de notre peuple, la fierté d’un héritage, et la capacité à transformer les cafés en espaces de pensée et de transmission», ajoute un membre de l’association.

La rencontre est également née d’une dynamique locale, impulsée par les habitants de la banlieue nord de la capitale et les habitués du café, désireux de faire des lieux de sociabilité ordinaire des poumons culturels vivants.

Dans un contexte méditerranéen traversé par les tensions identitaires et les relectures du passé, cette initiative locale réaffirme une vérité simple : l’Histoire ne se résume pas aux musées. Elle se raconte, se discute, et s’habite – parfois autour d’un café.

Djamal Guettala 

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Carthage : Découverte de jarres votives et d’ossements calcinés au temple de Tanit et Baal Hammon

Von: walid
01. August 2025 um 11:17

Dans le cadre du projet d’aménagement et de mise en valeur de « tophet» à Carthage, les fouilles au temple de Tanit et Baal Hammon ont permis de découvrir « un nombre important de jarres et d’offrandes votives dont certaines remontent au Vème siècle, voire à la fin du VIe siècle avant J.-C., et d’autres au IIIe siècle avant J.-C ».

Dans dans un communiqué rendu public jeudi soir, l’Institut National du patrimoine (INP) indique que « ces jarres contiennent des ossements calcinés de prématurés, de nourrissons et d’animaux divers qui ont été enterrés dans le temple selon les rites religieux en vigueur à Carthage à cette époque ».

« Ces fouilles ont également permis de mettre en lumière les transformations qu’a connues cet espace sacré pendant la période romaine, avec la découverte de murs datant des IIe et IIIe siècles après J.-C. et d’autres murs appartenant à la fin de l’époque romaine », précise le communiqué.

L’Institut souligne que les travaux scientifiques sur le terrain se poursuivent par l’équipe scientifique travaillant sur le projet d’aménagement et de mise en valeur de « tophet» à Carthage.

« Ce projet vise à poursuivre l’étude des composantes du temple carthaginois et des changements qu’il a connus au cours des périodes suivantes, afin de les valoriser et de les présenter de manière scientifique et moderne aux spécialistes et aux différents visiteurs », explique la même source.

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La Nuit des Chefs le 1er août 2025 au Festival de Carthage

Von: Yusra NY
31. Juli 2025 um 20:09

En marge du spectacle intitulé La Nuit des Chefs, l’Orchestre Symphonique Tunisien accueille un groupe de chefs d’orchestre venus de différents pays, conviés à enrichir cet événement par des performances singulières, reflet de la vision artistique propre à chacun.

Chaque chef apporte sa signature musicale, confirmant ainsi la portée de cette expérience unique.

L’empreinte de chaque maestro incarne une générosité rare et un talent remarquable, témoignant d’un véritable esprit de partage autour de la passion culturelle et artistique qui anime tous les participants.

Chefs d’orchestre invités :

  • Shady Garfi (Tunisie)
  • Ahmet Bran (Turquie)
  • Andrea Tarantino (Italie)
  • Lotfi Saïdi (Algérie)
  • Lamar Elyes (Palestine)

Avec la participation des chanteuses :

  • Goar Faradzhian (Italie)
  • Mine Bitmez (Turquie)

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JCC 2025 : appel à films pour la Compétition officielle des longs-métrages ouvert jusqu’au 15 septembre

30. Juli 2025 um 14:59

L’appel à films est ouvert pour participer à la Compétition officielle des longs-métrages de la 36ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC) qui se déroulera du 13 au 20 décembre 2025.

Dans un post publié, mardi soir du 28 juillet, sur la page facebook du festival, le comité général des JCC annoncé que les inscriptions de la Compétition officielle des longs Métrages est ouvert jusqu’au 15 septembre 2025. Les films doivent être inscrits obligatoirement sur le lien suivant : https://inscription.jcctunisie.org

Selon le règlement du festival, la Compétition officielle est dédiée aux films produits après le 1er Janvier de l’année en cours.

Le comité d’organisation de cette édition 2025 des JCC est dirigé par Tarek Ben Chaabane, critique de cinéma et enseignant des théories du cinéma à l’École supérieure de l’audiovisuel et du cinéma (ESAC, Université de Carthage). Avant sa nomination le 19 avril dernier, Ben Chaabane faisait déjà partie du comité directeur des JCC en tant que Directeur artistique.

Les Journées Cinématographiques de Carthage sont placées sous l’égide du ministère des Affaires culturelles.

 

 

 

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JCC 2025 : À vos films, prêts, postulez !

30. Juli 2025 um 09:14

L’appel à films est ouvert pour participer à la Compétition officielle des longs-métrages de la 36ᵉ édition des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC), qui se déroulera du 13 au 20 décembre 2025.

*Dans un post publié ce mardi 28 juillet sur la page Facebook du festival, le comité général des JCC a annoncé que les inscriptions pour la Compétition officielle des longs-métrages sont ouvertes jusqu’au 15 septembre 2025. Les films doivent obligatoirement être inscrits via le lien suivant : https://inscription.jcctunisie.org.*

Selon le règlement du festival, la Compétition officielle est dédiée aux films produits après le 1ᵉʳ janvier 2025.

Le comité d’organisation de cette édition 2025 des JCC est dirigé par Tarek Ben Chaabane, critique de cinéma et enseignant en Théories du cinéma à l’École supérieure de l’audiovisuel et du cinéma (ESAC, Université de Carthage). Avant sa nomination, le 19 avril dernier, M. Ben Chaabane faisait déjà partie du comité directeur des JCC en tant que directeur artistique. Les Journées Cinématographiques de Carthage sont placées sous l’égide du ministère des Affaires culturelles.

Avec TAP

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JCC 2025 | Ouverture des inscriptions pour la compétition officielle des longs métrages

Von: Yusra NY
29. Juli 2025 um 19:12

Le Comité génétal des Journées cinématographiques de Carthage (JCC) attendus du 13 au 20 décembre 2025 annonce l’ouverture officielle des inscriptions pour la compétition des longs métrages

Les réalisateurs et producteurs intéressés et souhaitant concourir à ce rendez-vous incontournable du cinéma africain, arabe et international, ont jusqu’au 15 septembre 2025 pour soumettre leurs films via la plateforme dédiée : https://inscription.jcctunisie.org.

Depuis leur création en 1966, les JCC mettent en valeur le cinéma engagé et la diversité culturelle et réunit chaque année, à Tunis, amateurs, cinéphiles et cinéastes venus de différents pays et d’horizons variés.

Y. N.

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FIC2025: “Soirée tunisienne” intergénérationnelle en hommage au patrimoine musical national

29. Juli 2025 um 17:01

L’amphithéâtre antique de Carthage, a abrité, lundi soir, une “Soirée tunisienne” intergénérationnelle en hommage à la chanson tunisienne authentique, quoique l’innovation faisait défaut.

D’anciens chanteurs et chanteuses comme Nawel Ghachem, Karim Chouaib, Mohsen Rais, Moncef Abla, en passant par les artistes de la nouvelle génération à l’instar de Noha Rhaiem, Raja Ben Said, Sarah Nouiri, Anis Letaief et Imed Aziz, ont chanté l’amour, la nostalgie et la joie.

Présenté dans le cadre de la 59ème édition du Festival International de Carthage (FIC), ce spectacle s’inscrit dans le cadre des efforts du FIC « pour préserver le patrimoine musical tunisien, encourager la création artistique tunisienne et en assurer la promotion à l’échelle nationale et internationale. »

Sous la direction du maestro Youssef Belhani, l’Orchestre National Tunisien, a accompagné les artistes dans des performances en solo, en duo ou en groupes. Des extraits de chansons tunisiennes assez connues ont été interprétées par la pléiade d’artistes offrant une collection de leurs propres œuvres ainsi que d’autres tubes assez célèbres.

Belhani a parfaitement dirigé cette « Soirée Tunisienne » mettant en valeur une palette de styles musicaux qui rendent hommage à des œuvres, -d’artistes, auteurs, compositeurs et interprètes-, devenues partie intégrante de la mémoire collective tunisienne.

L’atout de ce spectacle est de présenter un héritage musical qui trouve toujours sa place dans les festivals et manifestations artistiques nationales. Une interaction était d’ailleurs constatée auprès des spectateurs qui chantaient en chœur avec des artistes de divers horizons, des chansons célébrant le large patrimoine musical hérité de génération en génération.

Cependant, le rythme lent a gâché certaines parties du spectacle présentant des chansons qui s’inscrivent dans le même esprit de l’héritage lyrique des pionniers sans aucune innovation.

“Soirée tunisienne” était une tentative de valoriser le patrimoine musical qui mériterait d’être valorisé à travers une vision artistique bien réfléchie assurant sa continuité et sa transmission auprès des jeunes générations.

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FIC 2025 : Mohamed Assaf chante pour Gaza dans une soirée bouleversante

28. Juli 2025 um 15:02

Le chanteur palestinien Mohamed Assaf s’est produit, dimanche soir, sur la scène de l’amphithéâtre antique de Carthage dans une prestation qui incarne la douleur et le cri des populations résilientes dans Bande de Gaza, sa ville natale.

De sa voix puissante venant des décombres d’une guerre sans merci dans les Territoires palestiniens occupés, Assaf a chanté pour ses compatriotes assiégés et affamés vivant au rythme infernal des bombardements et des scènes de deuil qui n’en finissent plus depuis le 7 octobre 2023.

En cette soirée estivale, les drapeaux palestiniens et tunisiens flottaient dans le ciel de l’amphithéâtre de plein air et ses gradins où retentissaient la voix de la Palestine et le fameux titre « Leve Palestina » devenu un hymne mondial en faveur des Palestiniens.

Présenté dans le cadre de la 59ème édition du Festival international de Carthage, ce spectacle dont les recettes iront au profit de Gaza, a été donné devant un public nombreux venu célébrer et le rêve et la douleur des palestiniens transmettant un message de fraternité pour «la liberté de la Palestine ».

A Carthage, le public a accompagné  Assaf chantant une triste mélodie conte le silence et l’oubli subissant une guerre d’extermination et militant pour chaque parcelle de ses Territoires occupés depuis plus de 77 ans.

Sur scène, l’artiste incarnait l’orgueil et la fierté d’un peuple résiliant malgré l’oppression. Trahi pas la douleur qui l’habite, Assaf ne pouvait cacher son émotion qui était palpable dans ses yeux: « Aujourd’hui, nous sommes dans notre chère Tunisie… “, a-t-il lancé en s’adressant au public avant de reprendre le fameux vers « Comment guérir de l’amour de la Tunisie » de son compatriote Mahmoud Darouiche (1941-2008).  Dans ce vers, le chantre de l’exil et de la terre natale, exprime son amour pour la Tunisie où il a vécu plusieurs années pendant une période de son exil entre Tunis, le Caire et Paris.

«Tout mon amour pour la Tunisie … Mes salutations à la Palestine et à Gaza qui subit l’extermination devant le silence du monde… », a encore déclaré Assaf, venu à Carthage, rendez-vous culturel phare, faire entendre sa voix malgré la douleur qui l’habite, comme il l’a affirmé.

Dans « Ya Donia Ichhadi », « Ya Palestine Jinalek » « La Koufie » « Cheddou el Hemma », chaque parole renvoie aux scènes largement médiatisées de la guerre dans la bande et la douleur des femmes endeuillées, des enfants mutilés et les cadavres entassés dans les hôpitaux d’une ville meurtrie par la guerre.

Assaf a interprété d’autres chansons patriotiques du large répertoire oriental telle que le fameux tube « Montassiba al Kamati Amchi » du chanteur libanais et grand défenseur de la cause palestinienne Marcel Khalifa. Cette chanson assez populaire écrite par le poète palestinien Samih al-Gâsem, a fait la popularité de Marcel lors de ses débuts dans les années 80 sur la scène de l’amphithéâtre de Carthage.

Il a encore chanté pour d’anciens artistes libanais telle que « Bektob Ismak ya Bladi », une chanson largement reprise par plusieurs artistes arabes du parolier-compositeur-interprète libanais Elie Shouiri (1939-1923) qui a été interprétée pour la première fois par son compatriote Joseph Azar.

Le public a également eu l’opportunité d’entendre « Mawtini », un tube éternel sur la résistance datant de 1934 et largement repris par des chanteurs arabes. Ecrit par le poète palestinien Ibrahim Touqan et composé par le compositeur libanais Mohamed Fleifel, ce poème était l’hymne officieux de la Palestine, de 1930 à 1972, et est devenu l’hymne national irakien depuis 2004.

La star de la chanson arabe qui s’est fait connaitre au programme « Arab Idol » en 2013 où elle a gagné la sympathie de 68 millions de votants arabes, a encore chanté des titres de son propre répertoire, à l’instar de « Gaza Ardh Almajd w Ardh el Ezza » et « Salama li Gaza Salam ».

Mohamed Assaf poursuit son rêve d’artiste et porte-parole de la question palestinienne ce qui fait de lui l’une des voix emblématiques de sa génération militant par l’art pour la dignité de ses compatriotes et une Palestine libre et indépendante.

L’enfant de Gaza a transmis depuis la Tunisie un message de paix et de fraternité qui va au-delà des frontières et de la haine qui habite ce monde en une époque où règnent les guerres et l’injustice.

Beaucoup plus qu’un spectacle, cette soirée à forte symbolique était un cri de douleur et d’espoir offrant un brin d’optimisme dans une période marquée par l’incertitude sur une paix durable au Proche-Orient.

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FIC 2025 : Latifa Arfaoui entre émotion, nostalgie et hommage à la Tunisie

Von: walid
28. Juli 2025 um 13:36

La chanteuse tunisienne basée en Egypte Latifa Arfaoui s’est produite, vendredi soir, sur la scène de l’amphithéâtre romain de Carthage devant un public assez nombreux.

Ce spectacle a été donné dans le cadre de la 59ème édition du Festival International de Carthage, coïncidant avec la célébration du 68ème anniversaire de la Fête de la République (1957-2025).

La star de la musique pop arabe a fait un retour mitigé à Carthage après une absence de près sept ans. Son précédent spectacle en 2019 était présenté dans le cadre de la 55ème édition du Festival International de Carthage.

En guise d’hommage à la Tunisie, Latifa a interprété une de ses nouvelles chansons en dialecte tunisien qui s’intitule « Nhebek » (Je t’aime) dans laquelle elle exprime son amour, sa fierté et sa gratitude pour sa Patrie.

Accompagnée par la Troupe Nationale de Musique dirigé par le Maestro Youssef Belhani, Latifa, de son nom de scène, a interprété un bouquet de ses nouvelles et anciennes chansons dont des tubes à succès en dialectes tunisien et égyptien.

De ses anciens albums, Latifa a interprété des ballades romantiques ancrées dans le patrimoine local comme « Lemdina elarbi », « Inchallah Terjaa lya » ou encore en égyptien « Ya Sidi Massi Alina », « Hobbak Hadi », « Baheb Fi Gharamak », « Kerehtak ».

En toute aisance, la chanteuse a profité de l’enthousiasme de ses fans. Elle a gagné les faveurs du public qui chantait en chœur et s’est parfois contentée d’interpréter les passages du début cédant le micro à la chorale de fans.

La performance était loin de camoufler les capacités vocales limitée de l’artiste, aujourd’hui âgée de 64 ans, en comparaison avec ses débuts.

L’artiste avait fait ses débuts en Tunisie avant de s’installer en Egypte et entamer une carrière arabe depuis près de de quatre décennies au cours de laquelle elle a collaboré avec de grands compositeurs à l’instar de Baligh Hamdi, Mohamed Abdelwaheb et Ammar Cherii.

Ayant à son actif un large répertoire composé d’une vingtaine d’albums et de singles, l’artiste est aussi lauréate de plusieurs récompenses dont le prestigieux prix World music Award 2004 de la meilleure artiste arabe,

Latifa a clôturé sa performance avec “Ahimou Bi Tounès al Khadra”, ancienne chanson patriotique composée par l’artiste irakien Khadem Essaher. Ce tube est un hymne à la Tunisie à l’occasion de la fête de la Répulique et que l’artiste a interprété avec ses fans connaissant la plupart de ses chansons par cœur.

Sous la direction du maestro Belhani, les musiciens tunisiens ont assuré avec brio ce qui a aidé à maintenir le rythme de la soirée marquée par des moments de tiédeur.

Latifa a fait un retour à demi-teinte sur la scène de l’amphithéâtre de Carthage qui l’avait plusieurs fois accueilli depuis ses débuts.

Quoique sa popularité et son énergie sur scène n’étaient pas toujours au rendez-vous, les anciens succès de Latifa demeurent gravés dans la mémoire et la voix de la chorale de ses fans.

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Mohamed Garfi ouvre Carthage | Mi-figue, mi-raisin

20. Juli 2025 um 08:13

Pour Mohamed Garfi, il n’y aura pas un avant et un après-Carthage, car la réconciliation avec le grand public, dont ont rêvé ses admirateurs, n’a pas eu lieu. Et ses choix artistiques y sont pour beaucoup. Car il s’est toujours méfié des mondanités, des lumières de la rampe et des succès sans lendemain. Et ce n’est pas à 77 ans, dont un demi-siècle de scène, qu’il va remettre en question les choix de toute une vie.

Latif Belhedi

L’hommage était quelque peu tardif, mais le maestro Mohamed Garfi, musicien-compositeur et chef d’orchestre, exigeant dans ses choix, rigoureux dans sa démarche et souvent incompris pour ses parti-pris artistiques et idéologiques, méritait amplement d’assurer l’ouverture de la 59e édition du Festival international de Carthage, hier, samedi 19 juillet 2025. Sauf que l’annonce s’est révélée plus alléchante que le produit final présenté au public.

Du fond de la jarre

Entouré d’une pléiade d’artistes, Garfi a renoué avec le public du théâtre romain de la cité antique avec un spectacle baptisé ‘‘Men kaa el khabia’’, une expression tunisienne que l’on peut traduire par «du fond de la jarre» et qui exprime l’authenticité et l’enracinement.

Il n’y avait certes pas un grand public, car même les mélomanes ont raté ce rendez-vous avec la musique savante et symphonique arabe, mais Garfi n’a jamais été un musicien populaire, célèbre oui, mais pas populaire, car il a toujours refusé de sacrifier aux modes passagères et aux tendances du jour. Son répertoire n’est pas connu du grand public car il a rarement l’honneur des radios et des télévisions, mais les connaisseurs savent que ce répertoire ne manque pas de pépites méritant d’être actualisées et remises au goût du jour, sans concession mais avec juste la conviction que l’on peut faire de la musique sans tapage, une musique issue du cœur et de l’âme et qui parle aux cœurs et aux âmes, celle des grands maîtres de toujours, les sources inépuisables.  

‘‘Men kaa el khabia’’ est un spectacle qui retrace des étapes majeures du répertoire musical tunisien. Il revisite les œuvres de compositeurs et de poètes ayant enrichi la scène nationale tout au long du XXe siècle, à travers un arrangement orchestral interprété par l’Orchestre symphonique tunisien (OST), sous la direction du maestro Garfi, avec la participation du Chœur de l’Opéra de Tunis (COT) et de la Troupe nationale des arts populaires (TNAP).

Les chanteurs Hamza Fadhlaoui, Chokri Omar Hannachi, Maherzia Touil, Chedli Hajji, invité d’honneur, ont été conviés à interpréter des chefs-d’œuvre de Khemaies Tarnane, Mohamed Triki, Mohamed Jamoussi, Ali Riahi, Hédi Jouini et autres Kaddour Srarfi, le père de l’actuelle ministre des Affaires culturelles, musicienne elle aussi, Amina Srarfi.

Le comédien et acteur Jamel Madani a interprété, pour sa part, un cocktail de chansons humoristiques tunisiennes du pionnier Salah Khemissi, voix emblématique de la Tunisie des années 30 et 40.

Une soirée nostalgie

Ce fut une soirée nostalgie, mais pas seulement, car Garfi ne s’est pas contenté de concocter un programme de pots-pourris et de vieux succès surannés, il s’est aussi employé à les faire revivre grâce à un savant travail orchestral dont il a le secret.

Le spectacle a démarré avec ‘‘Le Salut Beylical’’, l’ancien hymne national de 1846 à 1957, dont la composition est attribuée au célèbre compositeur italien Guiseppe Verdi, sachant que le musicologue et historien Salah El-Mehdi a toujours soutenu qu’il s’agissait d’une œuvre tunisienne dans sa conception et dans son âme. La balade musicale s’est poursuivie avec l’interprétation d’œuvres immortelles de poètes, compositeurs et interprètes disparus comme Saliha, Hedi Jouini et Mohamed Jammoussi.

Si l’on en juge par la réaction mitigée voire distante et quelque peu froide du public, qui n’a pas vraiment interagi avec les artistes qui se sont succédé sur scène, comme il a l’habitude de le faire, on peut dire que ce spectacle, malgré sa haute teneur musicale et artistique, n’ajoutera pas à la «popularité» de Garfi qui, pendant toute sa carrière, est demeuré incompris, marginal, cultivant une singularité intransigeante peu propice aux effusions du succès.

Une ouverture terne et fade

Pour le musicien et chef d’orchestre, qui a des centaines de compositions à son actif, dont peu sont vraiment connues, il n’y aura pas un avant et un après-Carthage, car la réconciliation avec le grand public, dont ont rêvé ses admirateurs, n’a pas eu lieu. Et les choix artistiques de Garfi y sont pour beaucoup. Car il s’est toujours méfié des mondanités, des lumières de la rampe et des succès sans lendemain. Et ce n’est pas à 77 ans, dont un demi-siècle de scène, qu’il va remettre en question les choix de toute une vie. Un artiste «contre vent et marée», comme il s’est qualifié lui-même lors de la conférence de presse du festival.

En ce qui concerne le Festival de Carthage, après le fiasco de l’annulation du concert d’Hélène Ségara dans les conditions que l’on sait, cette ouverture terne et fade n’augure rien de bon pour la suite. Attendons la suite…

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Carthage: Qui se souvient de la Cité de l’air ?

28. Juni 2025 um 10:46

Plusieurs immeubles se trouvaient sur l’emplacement de la grande mosquée de Carthage.

Nos amis du groupe Carthage au XXe siècle ont ravivé avec ces photos, la mémoire de la Cité de l’Air et de sa barre d’immeubles qui se trouvaient sur l’emplacement actuel de la mosquée Imam Malek (El Abidine) à Carthage.

Le coup d’envoi du chantier de la mosquée avait commencé par la destruction de ces immeubles alors livrés au pic des démolisseurs.

Aujourd’hui, seules de rares photographies témoignent de l’ancienne présence de ces immeubles où ont longtemps vécu des militaires.

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Tunis-Carthage : Des cartes prépayées pour accéder aux parkings

19. Juni 2025 um 13:44

À partir du dimanche 22 juin 2025, des cartes électroniques prépayées pour accéder aux parkings de l’aéroport Tunis-Carthage.

Le bureau de l’aviation civile et des aéroports (OACA) mettra à disposition, à partir du dimanche 22 juin 2025, des cartes électroniques prépayées pour faciliter l’accès aux trois parkings de l’aéroport international de Tunis-Carthage.

Intervenant ce jeudi 19 juin 2025 sur les ondes de la Radio nationale, Ali Tabbassi, ingénieur général à l’OACA et directeur de la gestion des parkings, a indiqué que cette initiative vise à fluidifier les opérations d’entrée et de sortie, notamment à l’approche de la période de forte affluence estivale.

Selon lui, cette carte permettra aux usagers de gagner du temps en évitant le passage par les bornes de paiement classiques.

Tabbassi a précisé que la vente de ces cartes débutera officiellement dimanche dans le parking principal ainsi que dans le hall de l’aérogare. La carte coûtera 15 dinars, avec un montant minimum de recharge également fixé à 15 dinars. Elle sera valable dans les trois parkings de l’aéroport Tunis-Carthage.

Le responsable a enfin souligné que cette expérience devrait être étendue prochainement aux aéroports de Sfax et de Djerba-Zarzis.

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Aéroport Tunis-Carthage: le salon Privilège change d’exploitant

L’ancien gestionnaire du Salon Privilège à l’aéroport Tunis-Carthage s’est vu signifier la fin de son contrat.

A compter du 1er février 2025, la gestion du Salon Privilège de l’aéroport Tunis-Carthage a été attribuée à la société Tunisie Catering (détenue à 45% par Tunisair).

Ce salon sous douane est l’un des deux lounges que compte l’aéroport Tunis-Carthage et est destiné aux passagers de plusieurs compagnies aériennes opérant sur l’aéroport.

Lire aussi dans nos archives:

Le salon AVS de Tunis-Carthage officiellement vendu pour 3,6 MD

 

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