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WWF-Afrique du Nord : Révision des normes d’intrants chimiques en agriculture en Tunisie

12. August 2025 um 20:14

Le bureau du WWF-Afrique du nord envisage d’élaborer deux notes d’orientation (policy briefs) relatifs à la révision des normes d’usage des intrants chimiques en agriculture et à la réforme du système de subventions agricoles.

 Un appel est lancé, à cet effet, pour sélectionner un bureau d’étude qui se chargera de l’élaboration de ces notes d’orientation qui proposeront des éléments de réflexion ou d’action, dont l’ultime objectif est d’assurer une utilisation durable des ressources naturelles.

  Il s’agit aussi de promouvoir des intrants biologiques et d’intégrer des critères écologiques et sociaux dans le système d’octroi de subventions agricoles.

   « Ces deux instruments sont considérés comme structurants car ils façonnent les choix technico-économiques des producteurs agricoles, influencent la santé des écosystèmes, et déterminent l’orientation des investissements publics ».

   Selon le WWF, la persistance des pratiques actuelles , subventions peu différenciées, usage extensif d’intrants chimiques, absence de ciblage environnemental, renforce les pressions sur la biodiversité et compromet les engagements internationaux de la Tunisie, notamment dans le cadre de l’accord de Kunming-Montréal sur la biodiversité.

  Face à l’urgence de transition, les Policy Briefs constituent un levier décisif de sensibilisation et de plaidoyer, en particulier auprès des décideurs politiques, du Parlement, des ministères sectoriels (Agriculture, Finances, Environnement), des bailleurs de fonds et des partenairebiodiversité

s technique.

 Ces documents devraient présenter une vision claire, argumentée et réalisable des réformes à engager, en s’appuyant sur les résultats des travaux collectifs des ateliers nationaux, les résultats des consultations en ligne, les cadres réglementaires nationaux, les engagements internationaux, et les bonnes pratiques issues d’expériences comparables.

  Dans le cadre de son engagement pour la biodiversité, le WWF-Afrique du nord a mise en œuvre le projet « BIODEV 2030 », qui est une approche expérimentale de mainstreaming de la biodiversité engagée dans 15 pays pilotes aux contextes socioéconomiques, environnementaux et géographiques multiples, dont la Tunisie.

 A travers un processus axé autour du dialogue multi-acteur basé sur la science, le projet vise à contribuer à la mise en œuvre de l’accord de Kunming-Montréal dans ces pays en favorisant l’adoption de pratiques productives conciliant biodiversité et développement.

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Ragheb Alama en Égypte : fin de la polémique sur son interdiction de chanter

12. August 2025 um 21:00
Ragheb Alama en Égypte : fin de la polémique sur son interdiction de chanter

La venue du chanteur libanais Ragheb Alama au siège du Syndicat des professions musicales égyptien a permis de mettre fin à la polémique autour de son interdiction de se produire en Égypte. Cette affaire faisait suite à un concert donné récemment dans une station balnéaire de la côte nord, où plusieurs jeunes femmes étaient montées […]

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Cairokee le 2 septembre sur la scène du théâtre antique de Carthage : Ils sont attendus

12. August 2025 um 18:40

Le groupe a commencé à connaître un large succès en 2011, en signant la chanson qui deviendra la bande originale de la révolution du 25 janvier 2011, « Sout Al Horeya » (« La voix de la liberté »), en collaboration avec l’acteur et chanteur Hany Adel, à l’époque membre du groupe Wust El Balad. Le clip de la chanson a été filmé sur la place Tahrir au lendemain du départ de Hosni Moubarak.

La Presse — Voilà de quoi faire le bonheur de leurs fans en Tunisie, et ils sont nombreux! Le groupe égyptien Cairokee devrait se produire sur la scène du théâtre de Carthage en Tunisie, le 2 septembre prochain.

Cette étape tunisienne marque la dernière escale d’une tournée arabe entamée le 31 juillet en Arabie saoudite (deux dates), et qui a également fait halte au Liban, en Egypte et en Libye. Fort de sa popularité dans le monde arabe, nourrie par un style singulier mêlant rock alternatif et paroles engagées, Cairokee signe ici sa deuxième rencontre avec le public tunisien, après une participation mémorable, l’an dernier, au Festival international de Dougga.

Depuis ses débuts en 2003, ce quintet formé d’Amir Eid (chant et guitare), Cherif Hawary (guitare et voix), Tamer Hachem (batterie), Adam Alfy (basse) et Cherif Mostafa (orgue) séduit par des paroles authentiques et des mélodies poignantes. Il a 8 albums à son actif: Matloob Zaeem (2011),  Wana Maa Nafsy Aad (2012), El Sekka Shemal (2014), Nas wa Nas (2015), No’ta Beeda  (2017), Abna al bata essouda (2019), Roma ( 2022 )et Telk Qadeya (2023)

Le groupe a commencé à connaître un large succès en 2011, en signant la chanson qui deviendra la bande originale de la révolution du 25 janvier 2011, « Sout Al Horeya » (« La voix de la liberté »), en collaboration avec l’acteur et chanteur Hany Adel, à l’époque membre du groupe Wust El Balad. Le clip de la chanson a été filmé sur la place Tahrir au lendemain du départ de Hosni Moubarak. 

Depuis, Cairokee a connu de nombreux succès sans cependant échapper à la censure, notamment pour son album « No’ta Beeda » (« Point blanc ») en 2017 qui n’a pas été commercialisé en Egypte, le groupe ayant refusé toute compromission avec le régime du président Abdel Fattah Al-Sissi. 

Le 30 novembre 2023, près de deux mois après le début du génocide à Gaza, Cairokee dévoile la chanson « Telk Qadeya» («Ceci est une cause »), un titre qui fustige l’indignation sélective d’un discours occidental se revendiquant à l’avant-garde des luttes progressistes, mais restant indifférent face au massacre en cours. Ce morceau exprime un ressentiment profondément ancré et largement partagé à travers le monde arabe.

Portée par les paroles de Mostafa Ibrahim, surnommé le «poète mélancolique de la révolution égyptienne », la chanson a franchi, dès sa sortie, le cap du million de vues sur la seule chaîne YouTube du groupe. Fin décembre, la chaîne libanaise Al-Mayadeen l’a reprise, l’illustrant d’images de bombardements à Gaza. C’est, entre autres, ce retentissement qui a attiré à Dougga un large public, venu proclamer son soutien aux Gazaouis et entonner en chœur ce qui est devenu l’hymne des premiers jours du génocide toujours en cours!

« Koum Tara » envoûte Hammamet : Entre Chaâbi algérien et jazz du monde

Von: La Presse
12. August 2025 um 18:30

Ces musiciens virtuoses ont offert plus d’une heure et demie de live, mêlant avec élégance poésie algérienne, musiques du monde, jazz et traditions populaires.

Lors de la 59e édition du Festival international de Hammamet, le groupe franco-algérien « Koum Tara » a transformé l’amphithéâtre en un espace privilégié entre traditions algériennes et explorations sonores contemporaines. Un moment de grâce porté par des musiciens virtuoses, une poésie incarnée et une fusion musicale rare.

Une belle soirée s’est dessinée le 5 août 2025 dans l’amphithéâtre de Hammamet, où les notes du groupe franco-algérien « Koum Tara » ont envahi l’espace avec une grande puissance. A l’occasion de la 59e édition du Festival international de Hammamet, ces musiciens virtuoses ont offert plus d’une heure et demie de live, mêlant avec élégance poésie algérienne, musiques du monde, jazz et traditions populaires.

Dès les premières mesures, le public est transporté. Le morceau inaugural, « Zidane », capte l’attention en quelques instants. Véritable déclaration d’intention, il donne le ton d’un voyage musical où chaque morceau est une escale : « Y a Taleb », « Ana Andi », ou encore leur emblématique « Koum Tara ». Chacun évoque des valeurs universelles : l’amour, la mémoire, le lien social, la beauté de l’instant.

Le cadre magique de l’amphithéâtre a épousé à merveille la douceur et la richesse du répertoire. Sur scène, la violoncelliste, entourée de violonistes, d’un pianiste, d’un batteur et de musiciens maniant le oud, la contrebasse et la traditionnelle darbouka, tisse un univers sonore aux couleurs métissées, mais jamais dissonantes. L’équilibre est subtil, les influences se répondent sans jamais s’annuler.

Pensé par le compositeur Karim Maurice, « Koum Tara » repose sur un assemblage audacieux de quatre univers distincts : la musique classique à cordes, le jazz, les sonorités chaâbi et les musiques du monde. Un mélange que l’on aurait pu croire improbable, et qui se révèle pourtant d’une cohérence étonnante. Aux compositions de Maurice s’ajoute la voix du chanteur et musicien Hamidou, pour un duo créatif d’une complémentarité rare. 

Créé en 2018, « Koum Tara » s’inscrit dans la continuité des grands maîtres du chaâbi algérien — Mahboub Bati, Mohamed El Badji, Dahmane El Harrachi — tout en y insufflant une touche contemporaine, parfois psychédélique, souvent électro, toujours maîtrisée.

Depuis sept ans, le groupe trace sa route en France et à l’international, tissant des ponts entre les cultures et les générations. Avec « Koum Tara », le chaâbi s’ouvre au monde, et le monde s’ouvre à une autre idée du patrimoine : vivante, vibrante, et infiniment moderne.

« Marwa Manai », metteuse en scène à la Presse : « Au cœur de la création… Le questionnement »

12. August 2025 um 18:20

Dans le cadre d’un festival aussi réputé que celui d’Avignon, la metteuse en scène, Marwa Manai, participe à un projet prestigieux, titré « Transmission impossible », conçu par l’équipe de la 79e édition du festival et par la chorégraphe Mathilde Monnier. Il s’agit d’une « Villa créative », une villa d’incubation, avec restitution de projets, présentés ensuite publiquement. 

Une sorte de résidence artistique et immersive qui permet  de vivre le festival comme un laboratoire d’expérimentation. Marwa Manai, également autrice et comédienne, nous livre son expérience…

La Presse — L’été 2025 est le vôtre. Vous accumulez les expériences, dont « Transmission impossible », accomplie dans le cadre du festival d’Avignon. Pouvez–vous nous faire un retour sur cette expérience ? 

Le projet « Transmission impossible » a été marqué par la participation de 32 artistes, issus du monde entier. Nous sommes issus de différents contextes, feed-back  et formations diverses, avec de nombreuses pratiques et plusieurs disciplines : la chorégraphie, le théâtre, le stand up… Le programme était un peu chargé et intense.

On a vu des pièces de théâtre et avons été accompagnés par des créateurs de renom. On devait aussi présenter une sortie de résidence : une performance, comme un petit projet réalisé en trois jours. C’était agréable, certes, intense, mais surtout complexe par rapport au contexte politique actuel.

La thématique de la langue arabe, en 2025, oui, certes, mais qu’est-ce que cela signifie exactement ? Le choix artistique aussi de certaines pièces programmées, notamment celle de Marlène Monteiro Freitas, artiste « vedette ou complice » de l’édition, et sa pièce « NÔT », qui revisite le chef-d’œuvre des « 1001 nuits ».

A quel point c’était un bon choix de l’avoir mis en scène ? A quel point elle fait écho à la région arabe, son histoire, son actualité dure ? Être apolitique dans le monde actuel, est-ce possible ? Qu’est-ce que cela signifie ? J’étais la seule Tunisienne, avec des Maghrébins, et autres… Cette année, il y a eu plus d’inclusion et de nationalités.

La restitution du résultat final s’est-elle faite en présentant un seul et unique projet commun ou sous un autre format ?   

Nous avons été 32, divisés sur 4 groupes avec un mentor sur chaque groupe. Chacun essayait d’animer le programme, proposer des idées, rapprocher les artistes, modérait…

Chaque groupe a fait son propre projet avec quelques collaborations effectuées, entre deux groupes. J’ai pu présenter ma propre idée et vision. Personnellement, j’ai été très préoccupée par la question des choix politiques du festival. J’ai fini par présenter mon propre travail, ma restitution finale.

Une lecture-performance personnelle que j’ai écrite et qui fait un peu la chronique d’Avignon tout en valorisant la simultanéité temporelle : on s’amuse et on fait la fête à Avignon, en même temps qu’un génocide à Gaza est toujours en cours. J’ai questionné  des faits, une chronologie, deux temporalités différentes, tout en prenant le temps d’étaler cette réflexion. Beaucoup d’artistes voulaient s’exprimer dans l’urgence, d’autres étaient dans l’aspect technique et logistique. Plusieurs ont fait des présentations de groupes et des performances. 

Comment votre lecture-performance a-t-elle été reçue ?

Le texte est parsemé d’extraits de phrases qu’on a beaucoup entendus depuis le génocide à Gaza. Des phrases qui revenaient en espagnol, en français et en plusieurs langues. L’accueil était donc positif. Le texte était en anglais, principalement avec des parties lues en d’autres langues.

La lecture s’adressait à un public non francophone, encore plus large et plus intéressé par cette question. Le texte ne caresse pourtant pas dans le sens du poil. L’audience était réceptive. J’ai eu comme mentor Bouchra Ouizguen. « Transmission impossible » est un projet qui se cherche encore et qui reste ambitieux. D’un point de vue pédagogique, certains points restent à revoir et à réfléchir. Pareil pour les méthodologies à adopter. Les mentors devraient encore revoir et réviser le projet.

D’une manière plus générale, comment avez–vous vécu cette édition ? 

C’est ma 3e fois à Avignon. Je réalise et souligne à quel point ce festival a les moyens de tout faire, à quel point il peut être luxueux, truffé de privilèges. D’où mes questionnements : à qui il s’adresse ? Les artistes du Sud peuvent-il s’identifier ou se reconnaître dans toute cette effervescence ? A quel point c’est représentatif d’un autre monde, en particulier du Sud ? Comment les organisateurs ont établi la programmation orientée vers l’arabité cette année ? Sur quels critères ont–ils retenu ces spectacles ? Autant de questions dans un milieu qui reste, en grande partie, eurocentré. 

AMVPPC : Entrée gratuite aux sites, monuments et musées le 13 août

12. August 2025 um 18:19
L’Agence de Mise en Valeur du Patrimoine et de Promotion Culturelle (AMVPPC) informe le public que le l’accès aux sites, aux monuments et aux musées ouverts et dépendant de l’AMVPPC sera gratuit le mercredi le 13 Aout 2025, à l’occasion de la fête de la femme.
  »Bénéficient de la gratuité d’entrée tous les Tunisiens ainsi que les personnes étrangères résidentes en Tunisie (TRE) sur présentation de la carte d’identité nationale ou de la carte de séjour durant les jours suivants, ajoute l’AMPVPP son site officiel en ligne, expliquant que la gratuité annuelle est valable le premier dimanche de chaque mois, le 18 avril à l’occasion de la Journée internationale des sites et des monuments ainsi que le 18 mai qui correspond à la Journée internationale des musées ainsi que les jours fériés afin de  de profiter de ces occasions pour découvrir la richesse patrimoniale de la Tunisie et de visite les musées, sites et monuments.
Elle appelle les visiteurs à à visiter le lien suivant afin de connaître la liste des musées, des sites archéologiques et des monuments historiques à découvrir sur le lien suivant :
https://drive.google.com/…/1_-w74WU…/view… et de visiter leur site web sur le lien suivant:

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Festival de Sfax : plainte contre le rappeur Nordo après un incident sur scène

12. August 2025 um 18:49
Festival de Sfax : plainte contre le rappeur Nordo après un incident sur scène

Lors du Festival international de Sfax, un incident a opposé le rappeur Nordo à un membre du comité d’organisation, Walid Ben Hammouda. Ce dernier a déclaré avoir porté plainte auprès du procureur de la République, affirmant que l’artiste l’avait insulté et tourné en dérision devant le public, après son refus d’autoriser la montée d’une fillette […]

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Les barrages remplis à 32,3 % le 12 aout 2025

12. August 2025 um 16:54

Selon le bulletin quotidien de l’Observatoire national de l’agriculture (ONAGRI), les barrages sont remplis à 32,3 % le 12 août 2025.

Voici la répartition du taux de remplissage des barrages selon les régions :

  • Nord : 38 % (705,296 millions m³ contre 546,117 millions m³ en 2024)

  • Centre : 10,2 % (46,212 millions m³ contre 32,291 millions m³ en 2024)

  • Cap-Bon : 22,5 % (13,899 millions m³ contre 2,958 millions m³ en 2024)

Le volume total est de 765,407 millions m³ contre 581,366 millions m³ en 2024.

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Vers un naming fort pour Carthage : imaginer l’expérience idéale

12. August 2025 um 15:05

L’Agence de mise en valeur du patrimoine et de promotion culturelle (AMVPPC) a annoncé sur sa page officielle le lancement d’un questionnaire destiné au grand public, dans le but de préparer l’expérience idéale du site de demain.

Intitulée « Vers un naming fort pour Carthage », cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet de réhabilitation du Musée national de Carthage, implanté sur l’Acropole de Byrsa, l’un des douze sites ouverts à la visite de l’ensemble archéologique de Carthage, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO.

L’objectif, est de créer une identité forte et immersive afin d’offrir une expérience unique autour de l’histoire, de l’héritage et de la renaissance continue de Carthage, et de trouver un nom porteur de sens, à la hauteur de ce site exceptionnel

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Siliana : Réhabilitation des routes et pistes agricoles en cours

12. August 2025 um 14:39

Un projet d’aménagement routier et de réhabilitation de circuits agricoles est actuellement en cours dans plusieurs délégations du gouvernorat de Siliana, a indiqué, mardi 12 aout, à l’Agence TAP, le directeur régional de l’Équipement, Mehdi Ouni.

Les travaux portent sur l’asphaltage de la route nationale N18 à Sidi Bou Rouis, la route régionale N29 reliant Ksar Boukhris et Henchir Erromen (2 km) et des pistes rurales El Hmada à Makther, Skerna à Rouhia (4,5 km) et Ouled Bouzaiene-Ouled Saied-Ouled Slama à Siliana nord (3 km), a-t-il précisé.

Il a ajouté que la réhabilitation des circuits ruraux Tel Touil-Sidi Abdennour à Bouarda, Gaâfour-Njeh-Farah-Jema à Siliana nord et Sidi Ammar Lahouez à Gaâfour touche à sa fin.

Par ailleurs, les travaux de bitumage des pistes rurales El Krifet à Siliana-nord (4 km), El Habebsa à Rouhia (5 km) et El Alaâ (5 km) ont été achevés, selon la même source..

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Expo Osaka 2025 : La Troupe nationale tunisienne présentera « Asayel » le 13 août

12. August 2025 um 14:28

La Tunisie sera à l’honneur lors de l’Exposition universelle d’Osaka 2025, au Japon, avec Asayel, un spectacle immersif célébrant le patrimoine et les traditions du pays. Produite par le Théâtre de l’Opéra de Tunis et interprétée par la Troupe nationale tunisienne des arts populaires, cette fresque scénique sera présentée le 13 août 2025, à l’occasion de la Journée nationale de la femme.

Entre légendes de cavaliers, chants du désert et poésie tribale, Asayel rend hommage à la femme tunisienne à travers un répertoire soigneusement choisi, mêlant chants et danses traditionnels. Costumes authentiques, chorégraphies populaires et mélodies issues des médinas viendront illustrer la richesse et la diversité du patrimoine artistique national.

Après avoir inauguré, à Oudhna, la première édition du Festival international des arts populaires (26 juillet-5 août 2025), l’œuvre franchit les frontières pour offrir au public japonais un voyage visuel et musical au cœur de l’âme tunisienne.

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Zaghouan : crédits saisonniers aux céréaliers en hausse de 48 % en 2024-2025

12. August 2025 um 13:26

La valeur des crédits saisonniers destinés aux céréaliculteurs à Zaghouan en 2024-2025, a atteint 4,5 millions de dinars, soit une hausse de 48% par rapport à l’année précédente, où le volume des crédits saisonniers a été de 2,8 millions de dinars.

Ce financement, alloué à 160 agriculteurs dans la région, a été destine à l’achat des intrants de la production céréalière.

Le responsable du financement au commissariat régional au développement agricole, Khaled Ben Mestoura, a indiqué à l’Agence TAP que 108 MD ont été attribué par la commission d’octroi des crédits, 3,3 MD sous forme de prêts bancaires directs et 165 millions de dinars financés par les associations de développement agricole.

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Nirvana Editions à la 1ère Read Convention en Espagne  

12. August 2025 um 12:41

Nirvana, la maison d’édition tunisienne, sera au rendez-vous de la première édition de Read Convention du 17 au 19 septembre 2025 à Barcelone, en Espagne, qui verra la participation de plus de 220 éditeurs et magazines de plus de 60 pays déjà inscrits.

C’est ce que rapporte Hafedh Boujmil, le directeur fondateur de Nirvana Editions sur sa page Facebook, ajoutant que l’événement rassemblera des voix critiques du monde entier, avec des participants de nombreux pays arabes dont l’Algérie, l’Égypte, le Liban et la Tunisie.

Du Sud Global à la périphérie de l’Europe, Read se présente comme un point de rencontre pour «les réseaux d’édition engagés dans la pensée critique et l’imagination radicale».

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Le Festival de Hammamet fait ses adieux à Fadhel Jaziri, sur les notes de paix du groupe malien Ngoni Ba

12. August 2025 um 10:18

La fin de cette édition exceptionnelle rime  avec des calibres de la chanson mondiale. Ainsi, Bassekou Kouyaté et son groupe Ngoni Ba, qui nous viennent directement du Mali, ont fait l’effet d’une bombe pour les mélomanes présents. Parmi le public, une poignée sont connaisseurs, les autres sont partis à la découverte et sont  sublimés.

La musique fait voyager et les virtuoses du N’goni le savent et l’appliquent si bien. Les musiciens de ce soir, à l’honneur, manient à la perfection le Luth traditionnel, « la N’goni », répandue au Mali et dans toute l’Afrique de l’ouest, de quoi ravir les amoureux de la musique exotique, ici ressentie dans toute sa splendeur. La musique traditionnelle africaine fait rage : habits traditionnels, sons inédits, prestations scéniques remarquables ont fusionné sur scène, donnant lieu à un concert des plus mémorables. Bassekou Kouyaté, la star leader, tient les rênes d’un spectacle de haut volet, entouré des siens : sa femme, son fils et de ses proches, qui ensemble, perpétuent la tradition musicale, innovent, propulsent pour le monde, leur savoir-faire musical ancestral. Depuis 2005, les Ngoni Ba n’ont cessé d’évoluer.

Quoi de mieux que le morceau « Kanougnon » pour inaugurer une évasion sonore des plus éclectiques voire inédite. Suivie d’ « Abe Soumaya », « Ngoni fola », sans oublier, « Djadje », « Kanto Kelena » et pour finir en beauté « Wela Cuba » pour conquérir le public.

Le joueur de calebasse/batterie est le petit frère de Bassekou Kouyaté. Les sonorités subsahariennes interprétées tirent leurs forces de cet instrument magique, envoûtant pour le public.

Kouyaté a remporté plusieurs « BBC Awards » pour son premier album, « Segu Blue », a été nominé aux « Grammy Awards » pour son album « I Speak Fula » et a donné des centaines de concerts à travers le monde, en partageant la scène avec des musiciens tels que Paul McCartney, John Paul Jones, ou encore Bono.

Ce soir, ne manquez pas la soirée OSOOL et leur répertoire distingué pour un voyage sonore tuniso – jazzy. Il s’agit de l’avant-dernier concert de cette édition.

FIC2025 – “Ballets folkloriques du monde” : un voyage scénique au cœur des traditions musicales de dix pays

Von: La Presse
12. August 2025 um 08:49

L’amphithéâtre romain de Carthage a vibré, le soir du 11 août 2025, au rythme des cultures venues des quatre coins du monde. Dans le cadre du spectacle « Ballets folkloriques du monde », la 59 édition du Festival international de Carthage (FIC2025) a ouvert sa scène à des troupes de dix pays : Sénégal, Serbie, Inde, Irak, Libye, Burkina Faso, Tunisie, Égypte, Algérie et Palestine.

Chacune de ces formations a offert un fragment de son patrimoine à travers musiques, danses et costumes traditionnels, dans un esprit de partage et de dialogue interculturel.

Rehaussée par la présence de nombreux diplomates, la soirée s’est ouverte avec « Rhythm Connection » du Sénégal. Portée par la voix puissante de son chanteur, la troupe a mêlé tambours, batterie, guitare électrique et instruments traditionnels, entre rythmes modernes et sonorités ancestrales. Leur titre engagé Pourquoi ça, qu’est-ce qui se passe ? a été dédié au peuple palestinien.

La troupe de l’Institut national de danse de Belgrade (Serbie) a pris le relais avec son célèbre « kolo », une danse collective en cercles ou en lignes, symbole de joie partagée. Les quatorze danseurs en costumes traditionnels, accompagnés à l’accordéon, à la flûte et au tambour, ont offert un moment festif et fédérateur.

L’Inde a ensuite brillé avec le Rahjanstani Folk Dance Group, qui a présenté la danse Chari. Les danseuses, en tenues éclatantes, ont évolué gracieusement avec des jarres sur la tête, évoquant rituels et célébrations traditionnels.

Depuis Bagdad, la troupe Dar Ellibes – The Iraqi House of Fashion a transporté le public dans l’univers enchanteur des Mille et Une Nuits. Costumes somptueux, broderies raffinées et chorégraphie élégante sur musique traditionnelle ont capté tous les regards.

La Troupe nationale des arts populaires de Libye a ensuite proposé un spectacle mêlant musique et danse, où les sonorités du bendir, du tbal et de la zokra (cornemuse) ont évoqué des airs familiers de Tunisie.

Le Burkina Faso a électrisé la scène grâce à la troupe Nazounski, dont les percussions effrénées, les chants scandés et les pas puissants ont dégagé une énergie contagieuse.

La troupe tunisienne Twayef de Ghbonten est entrée sous les applaudissements et les youyous avec « Jinek ye Carthage », un titre interprété par ce groupe de poètes-chanteurs dont l’art a été inscrit en 2024 au patrimoine immatériel de l’UNESCO.

L’Égypte, avec sa Troupe nationale des arts populaires, a offert un moment magique grâce à la danse soufie du derviche tourneur, baignée de lumière et de couleurs, avant d’enchaîner avec un tableau inspiré des danses de Haute-Égypte.

Venue d’Algérie, la Troupe Théveste des arts populaires a ravivé les liens patrimoniaux partagés avec la Tunisie à travers chants, bendirs et danses entraînantes, incitant le public à se lever.

En bouquet final, la troupe palestinienne Koufiya a livré un moment poignant, entre chansons patriotiques et chorégraphie de jeunes danseurs en costumes traditionnels, offrant une note d’espoir vibrante d’émotion.

Pendant plus de deux heures et demie, richesse, diversité et authenticité ont été les maîtres-mots de cette soirée. Toutes les troupes se sont réunies sur scène pour un salut collectif au son d’une musique palestinienne, incarnant l’essence même du Festival international de Carthage : un pont entre les peuples et les civilisations.

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Carthage retrouve sa diva : Le retour triomphal de Najwa Karam

11. August 2025 um 19:20

Une chose est sûre, le passage de Najwa Karam restera gravé dans les mémoires, tant par l’intensité de son interprétation que par l’émotion partagée.

Ce spectacle d’exception, porté par la magie de sa voix et son élégance, demeurera non seulement un souvenir marquant pour les spectateurs, mais aussi pour l’artiste elle-même.

La Presse — La star libanaise Najwa Karam a signé un retour émouvant le 9 août dans le cadre de la 59e édition du Festival international de Carthage. Après 9 ans d’absence, une chose est sûre : elle a su reconquérir le cœur de ses fans par ce spectacle à guichets fermés! Najwa Karam s’est bel et bien produite à plusieurs reprises sur cette scène prestigieuse.

Il s’agit cette fois de son 10e concert. La star, qui s’apprête à fêter ses 60 ans dans quelques mois, a fait preuve d’une énergie inégalable et d’un amour partagé avec ses fans massivement présents plusieurs heures avant le concert, impatients de la retrouver. Le théâtre a été archicomble et un grand nombre de spectateurs ont passé toute la soirée debout, dans la zone des chaises ou aux gradins.

Le spectacle a été diffusé en direct sur la chaîne nationale Watania, Rotana musique et LBC. Sous les projecteurs de l’amphithéâtre antique, Najwa Karam a fait une entrée triomphale sous un tonnerre d’applaudissements. Splendide dans une robe dorée, elle a rallumé la magie d’une voix qui a traversé les générations.

Ce come-back tant espéré était une célébration, un hommage à une carrière de plus de 30 ans marquée par l’excellence et un lien retrouvé entre l’artiste et une scène qui a vu naître certains de ses plus grands succès. La soirée a été entamée par « Ezzikdayemye Carthage », un titre qui chante les louanges de la cité antique, évoquant la grandeur de ses remparts, la légende de la reine Didon et les échos d’un passé qui la relie à Sidon et Tyr au Liban.

Les paroles de cette chanson ont servi au clip promotionnel qui annonce le concert de ce soir et qui a été diffusé dès l’annonce du programme de cette édition. Elle a enchaîné par la suite ses titres les plus connus et ses tubes à succès sans interruption. Célèbre pour les mawels qui introduisent ses chansons, Najwa Karam a fait, encore une fois, preuve d’une puissance vocale éblouissante, contrairement à d’autres dont les performances en direct déçoivent.

Durant deux heures et demie, la star a proposé un parcours complet à travers l’ensemble de son répertoire. La tabla libanaise, fortement présente tout au long du spectacle, a entonné des airs rythmés annonciateurs d’une atmosphère festive prometteuse. « Bi gharamak masloube », « Haydahaki », « Achega » et bien d’autres titres se sont succédé, pour le grand bonheur du public qui les connaît par cœur. Comme Najwa Karam a tenu à répondre aux attentes de ses fans, plusieurs titres ont été regroupés en medleys, par thèmes ou selon le rythme dansant ou plus doux. Ainsi, tout le monde a eu l’occasion d’écouter, de fredonner et de danser sur les airs qu’il aime tant.

Nous avons donc retrouvé avec nostalgie « Tahamouni », « Kif bdawik », « Hakam l kadhi »… Presque une trentaine de tubes survolés le temps d’une soirée où l’énergie de Najwa Karam a semblé inépuisable. Chaque air faisait renaître des souvenirs et des émotions profondément enfouis. Les extraits de son dernier album, sorti il y a à peine un mois, ont été gardés pour la fin, dont notamment « yelaan el echeg ». Le public est resté au-delà de minuit. Il est parti comblé, le cœur léger et les yeux encore brillants des émotions partagées tout au long de la soirée.

Une collaboration avec Saber Rebaï..Peut-être ?

Une conférence de presse s’est tenue après le concert. En abaya tunisienne avec des accessoires traditionnels, Najwa Karam a réitéré ses remerciements au public tunisien qui l’accompagne depuis ses débuts avec le même enthousiasme. Quand on lui a posé la question sur un nom tunisien avec lequel elle souhaite collaborer, elle a immédiatement lancé un appel à Saber Rebaï.

La star a loué tant ses qualités artistiques qu’humaines. Elle est également revenue sur son amitié de longue date avec Latifa. Au bout de plus de 30 ans de carrière, Najwa Karam a affirmé donner le meilleur d’elle-même lors de son spectacle à Carthage. « Cette soirée me marquera à jamais », a-t-elle lancé.

Concernant ses choix artistiques, la star a affirmé être toujours fidèle à une même ligne artistique. « Je me suis permis quelques écarts », poursuit-elle. «J’ai exploré de nouvelles pistes, j’ai tenté des défis avec de nouveaux genres musicaux. Mais, au final, je préfère rester égale à moi-même». Najwa Karam a en effet toujours tenu aux mawels et au dialecte libanais.

Même si le thème principal est sentimental, les paroles mettent à l’honneur son pays, en célébrant sa culture, son histoire et ses valeurs profondes. D’ailleurs, quand on lui a demandé si elle compte sortir des chansons qui soutiennent la cause palestinienne, elle a répondu « Je suis libanaise avant tout. 

On commence d’abord par chanter son pays ». Une chose est sûre, le passage de Najwa Karam restera gravé dans les mémoires, tant par l’intensité de son interprétation que par l’émotion partagée. Ce spectacle d’exception, porté par la magie de sa voix et son élégance, demeurera non seulement un souvenir marquant pour les spectateurs, mais aussi pour l’artiste elle-même.

Notons que Carthage continue à fêter la musique et les arts jusqu’au 21 août prochain. 

Festival des arts amateurs à Raoued « Twiza Fest » du 16 au 20 août : Une initiative inspirante

11. August 2025 um 19:10

Dans et autour de la plage de Raoued, le festival propose chaque année une programmation éclectique : concerts, théâtre, cinéma, arts visuels et formes artistiques diverses. Des journées thématiques ponctuées de projections, dont celles de la compétition officielle, viennent enrichir le programme.

La Presse — Le Festival des arts amateurs à Raoued ( Twiza Fest ) revient du 16 au 20 août 2025 pour une 5e édition baptisée Fares Khaled, en hommage au jeune étudiant de 21 ans, décédé le 7 avril dernier suite à une chute mortelle survenue alors qu’il tentait de hisser le drapeau de la Palestine. La réalisatrice et directrice photo, Fatma Cherif, en sera la présidente d’honneur.

Créé par l’association El Mouvma Organization, formée par des jeunes originaires de Raoued, «Twiza Fest» se déploie sous le slogan fondateur : « Les marginaux aussi ont droit à la culture ». Le terme Twiza, issu de la langue amazighe, évoque la solidarité et la coopération au service du bien commun.

Ses fondateurs croient en la nécessité de conquérir les droits par les arts et l’importance d’amener la création au plus près du citoyen, où qu’il soit. Animés par l’enthousiasme et le désir de créer, ils travaillent et rêvent sous la devise: « Approche-toi de ceux qui ouvrent en toi des fenêtres de lumière et qui te disent que tu peux illuminer le monde. » .

 

Dans et autour de la plage de Raoued, le festival propose chaque année une programmation éclectique : concerts, théâtre, cinéma, arts visuels et formes artistiques diverses. Des journées thématiques ponctuées de projections, dont celles de la compétition officielle, viennent enrichir le programme.

Il est question aussi de différents ateliers, de rencontres et autres tables rondes animés par un nombre d’experts et de spécialistes sur différents thèmes liés aux droits humains, l’émigration et la question environnementale.

L’événement est une belle occasion pour les habitants des marges de rencontrer l’art et la culture. Porté par une vocation sociale et économique, il attire chaque année des candidatures venues de plusieurs régions du pays pour prendre part à la programmation et à sa compétition officielle. 

Ils aiment leur ville, unis par la passion des arts et la conviction de leur rôle dans le changement, tout en rêvant d’une répartition équitable des richesses sociales et des créations artistiques, les initiateurs de «Twiza Fest» ont cru à une manifestation à la mesure de leurs rêves et de leur foi en le pouvoir des arts à transformer l’être humain. Bon vent!

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