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Tunisie | Le CMF appelle les investisseurs à une «vigilance accrue»

07. September 2025 um 12:45

Dans un communiqué publié vendredi 5 septembre 2025 sur son site web, le Conseil du marché financier (CMF) «attire l’attention des investisseurs sur l’importance de s’informer en amont de toute décision d’investissement et de faire preuve d’une vigilance accrue face à toute offre d’investissement attractive, en particulier lorsqu’elle promet des rendements anormalement élevés.» 

De manière générale, le CMF recommande aux investisseurs d’«appliquer certaines règles de vigilance avant tout placement, rappelant à ce titre qu’aucun rendement élevé ne peut être obtenu sans un niveau de risque élevé.»

«Les investisseurs doivent s’assurer de disposer d’un minimum d’informations sur les produits proposés, lire attentivement les conventions avant de les signer, en portant une attention particulière aux conditions tarifaires, et ne doivent engager leurs fonds que dans des placements qu’ils comprennent clairement», souligne encore le CMF dans son communiqué, tout en invitant les investisseurs à «s’interroger sur les modalités de valorisation du produit proposé, de sa revente et sur les délais qui y sont associés, ainsi qu’à prendre contact avec le professionnel au cours de l’investissement afin de vérifier que celui-ci correspond toujours à leurs objectifs et à leur profil.»

Il conseille enfin aux investisseurs d’«exiger la mise à disposition d’un accès internet sécurisé permettant de suivre au quotidien les opérations effectuées sur leur compte».

Sensibilisation ou avertissement ? Encore est-il que ce communiqué du CMF est intervenu à un moment où beaucoup de petits porteurs d’actions en bourse affirment avoir perdu beaucoup d’argent dans des opérations boursières pour le moins douteuses, tout en reprochant au régulateur du marché de ne pas jouer rigoureusement le rôle qui est le sien en tant que «garant de l’intégrité du marché et ayant pour mission permanente de protéger l’épargne investie en valeurs mobilières»,  selon ses propres termes.

I. B.  

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Investissements : le CMF alerte contre les offres trop attractives

Von: La Presse
06. September 2025 um 12:43

Le Conseil du marché financier (CMF) appelle les investisseurs à s’informer en amont de toute décision d’investissement et à faire preuve d’une vigilance accrue face aux offres promettant des rendements anormalement élevés.

Dans un communiqué, le CMF, garant de l’intégrité du marché et chargé de protéger l’épargne investie en valeurs mobilières, recommande aux investisseurs d’appliquer des règles de prudence avant tout placement. Il rappelle qu’aucun rendement important ne peut être obtenu sans un niveau de risque élevé.

Ainsi, les investisseurs doivent s’assurer de disposer d’un minimum d’informations sur les produits proposés, lire attentivement les conventions avant de les signer — notamment les conditions tarifaires — et n’engager leurs fonds que dans des placements qu’ils comprennent parfaitement.

Le CMF invite également les investisseurs à s’interroger sur les modalités de valorisation et de revente des produits, ainsi que sur les délais associés. Il leur recommande de rester en contact avec les professionnels concernés tout au long de l’investissement afin de vérifier la cohérence de celui-ci avec leurs objectifs et leur profil.

Enfin, il est conseillé aux investisseurs d’exiger la mise à disposition d’un accès internet sécurisé pour suivre quotidiennement les opérations réalisées sur leur compte.

Tunisie : UR-Power va s’implanter dans le recyclage des eaux usées

03. September 2025 um 20:18

L’entreprise française « UR-Power » a exprimé sa volonté d’investir en Tunisie pour la création d’un projet pilote dans le domaine du traitement et du recyclage des eaux usées.

Cette intention a été annoncée par son dirigeant, Libero Mazzone, au cours d’une réunion, mercredi 3 septembre à Tunis, avec le ministre de l’Economie et de la Planification, Samir Abdelhafidh.

Spécialisée dans la valorisation des eaux usées pour la production d’énergie alternative et d’eau pure de haute qualité (notamment à usage agricole), l’entreprise souhaite donc s’implanter en Tunisie.

Le ministre de l’Economie a salué cet intérêt pour l’investissement dans le pays et réaffirmé la détermination de son département et de l’Agence de promotion de l’investissement extérieur (FIPA-Tunisia) à accompagner et encadrer le projet, ainsi qu’à coordonner avec toutes les structures concernées pour en assurer la réussite.

Lors de cette rencontre, à laquelle assistait du reste le directeur général de la FIPA, Jalel Tebib, un exposé a été présenté sur les spécificités techniques et écologiques des procédés de l’entreprise, ainsi que sur les avantages quantitatifs et qualitatifs de sa production.

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Budget économique 2026 : focus sur l’intégration sociale, la transition énergétique et l’investissement

03. September 2025 um 11:51

La cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzri, a présidé, mardi, un conseil ministériel consacré à l’examen du projet du budget économique 2026.

Lors de cette réunion, rapporte un communiqué, la cheffe du gouvernement a recommandé de renforcer les fondements de l’État social et d’œuvrer à la relance de la croissance économique.

En matière d’emploi et de lutte contre le chômage, le conseil a recommandé une série de mesures, dont notamment, la mise en place d’un programme de nouvelles recrues dans la fonction publique en 2026, la poursuite de la mise en œuvre du programme de régularisation des emplois précaires, la lutte contre l’emploi précaire et l’interdiction de la sous-traitance et le renforcement du travail décent avec un salaire équitable et une protection sociale.

Le Conseil a également recommandé de soutenir les groupes vulnérables et les familles à faible revenu et d’œuvrer à leur intégration économique et à l’amélioration de leurs conditions de vie.

Il a également appelé à la nécessité d’améliorer la qualité des services et de veiller à les rapprocher des citoyens, notamment en matière de santé, d’éducation et de transport.

Volet croissance économique, les recommandations ont porté sur la promotion des investissements publics, avec un développement équitable en symbiose avec le plan de développement quinquennal 2026-2030.

Il s’agit également d’oeuvrer à diversifier les sources de financement des investissements, à promouvoir les investissements dans le domaine des énergies renouvelables, à intégrer l’économie parallèle et l’investissement dans le développement équitable en s’appuyant sur les résultats des travaux des conseils locaux, régionaux et des districts.

Le Conseil a, en outre, passé en revue les perspectives économiques mondiales et le contexte national dans les domaines économique, socia, technologique et environnemental, ainsi que les hypothèses liées aux politiques économiques et les estimations et les objectifs de croissance, son modèle et les taux prévus pour 2026.

Dans ce contexte, un accent particulier a été mis sur la croissance du produit intérieur brut, le développement des secteurs productifs, du secteur agricole, des industries manufacturières et non manufacturières, du secteur des services, de l’investissement, du commerce extérieur et du secteur des phosphates.

Le Conseil a, par ailleurs, examiné le plan de développement découlant des attentes des conseils élus et visant à atteindre un équilibre durable entre justice sociale et efficacité économique et axé sur les volets suivants :

– Renforcer l’intégration économique et sociale et consacrer le principe de justice sociale en élargissant la base de la protection sociale et en améliorant la couverture sociale et sanitaire des catégories à faible revenu.

– Faciliter l’accès aux services (transports, santé, éducation) et aux équipements publics de base, soutenir les sources de revenu et renforcer les mécanismes d’intégration économique des catégories vulnérables.

– Valoriser le capital humain et renforcer les capacités nationales au moyen d’une réforme globale du système d’éducation, d’enseignement supérieur et de formation professionnelle, en mettant l’accent sur l’amélioration de la qualité de l’enseignement à tous les niveaux et la consolidation de la transition numérique dans les méthodes d’apprentissage et d’enseignement.

Ces mesures doivent être décrétées parallèlement avec l’amélioration des services de santé et l’élargissement de la couverture sanitaire universelle, ainsi que le soutien à la recherche scientifique et la stimulation de l’innovation, compte tenu de l’importance de ces domaines dans l’amélioration de la compétitivité de l’économie nationale et la réalisation de la durabilité.

– Améliorer la compétitivité de l’économie, stimuler l’investissement à travers l’intégration territoriale et l’équité spatiale et la consolidation de l’intégration entre les régions.

Le conseil a recommandé, à ce propos, de continuer à améliorer le climat des affaires et à simplifier les procédures administratives, à moderniser l’administration et à favoriser la transition numérique.

Pour ce faire, le gouvernement œuvrera à soutenir l’économie de la connaissance, à développer les infrastructures, à renforcer l’intégration territoriale et la justice spatiale, et à consolider l’intégration entre les régions en adaptant les investissements publics aux priorités de la politique de développement régional.

Il a été décidé également de renforcer davantage le rôle des conseils élus dans la définition des priorités et la mise en œuvre des projets de développement.

– Consacrer la durabilité dans ses dimensions économiques, sociales et environnementales en développant l’économie verte et l’économie circulaire, tout en renforçant l’efficacité énergétique et le recours aux énergies renouvelables.

A ce titre, le conseil insiste sur la gestion rationnelle des ressources naturelles et la protection des écosystèmes et de la biodiversité en veillant autant que possible à intégrer la dimension environnementale pour renforcer la résilience face aux défis climatiques.

Prenant la parole, la cheffe du gouvernement a souligné l’importance des fonctions du bilan économique en tant que document d’orientation visant à traduire la politique économique et sociale de l’État, à définir ses priorités et à présenter une vision globale des équilibres économiques et sociaux.

Ce document, a-t-elle dit, permet également d’élaborer des plans d’action, des programmes et des projets pour parvenir à un développement global et équitable et une croissance économique répondant au souci de la justice sociale, en prenant en ligne de compte les résultats des travaux des conseils locaux, régionaux et des districts dans le cadre de l’élaboration du plan de développement pour la période 2026-2030, conformément à une nouvelle vision du développement fondée sur la construction de base et la planification ascendante.

Une approche à travers laquelle les trois conseils locaux, régionaux et des districts joueront un rôle-clé  conformément aux principes de la Constitution et à la vision prônée par le président de la République.

Elle a également souligné que le budget économique pour l’année 2026 reflète les choix et les orientations nationales en matière de construction et de développement.

Ces choix et orientations visent, notamment à :

– Assurer les conditions d’une vie décente et à instaurer la justice sociale entre les différentes catégories sociales.
– Ouvrir de nouvelles perspectives à toutes les catégories et soutenir l’investissement.
– Renforcer les sources de création de richesse à travers une exploitation optimale des capacités de production.
– Confirmer la reprise économique et renforcer la capacité de résilience de l’économie nationale face aux crises.
– Entamer la mise en œuvre des projets proposés par les conseils locaux, régionaux et des districts à partir de 2026.
– Engager davantage de réformes et de programmes visant à améliorer la performance des politiques publiques.
– Améliorer le rythme d’exécution des projets publics et privés.

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Tunisie : un potentiel de 4 milliards de dinars d’investissements étrangers annuels

Von: La Presse
03. September 2025 um 10:26

Selon Hatem Soussia, directeur central à l’Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur (FIPA), le flux des investissements étrangers a enregistré une dynamique positive avec une augmentation de 20,8 % au premier semestre de 2025 par rapport à la même période en 2024. La Tunisie a ainsi attiré des investissements étrangers d’une valeur de 1650,3 millions de dinars (MD), contre 1366 MD l’année précédente.

Hors secteur de l’énergie, les investissements directs étrangers ont permis la création de 4677 nouveaux emplois au cours des six premiers mois, ce qui représente un point positif, a-t-il précisé. M. Soussia a également expliqué que les entreprises étrangères ou à participation étrangère sont de grands créateurs d’emplois, avec environ 13 000 à 15 000 emplois créés chaque année, notamment grâce aux projets d’extension. Il a ajouté que les opportunités d’emploi et d’investissement direct sont généralement plus importantes au second semestre.

Il a souligné que les entreprises étrangères établies en Tunisie ont bien géré les récents changements dans le droit du travail, et que cela n’a pas eu d’impact négatif sur les entreprises ou les opportunités d’emploi.

Les secteurs d’activité

Les indicateurs montrent que le secteur manufacturier a attiré le plus d’investissements directs étrangers, atteignant 1031,3 MD à fin juin 2025, contre 838,9 MD à la même période en 2024, soit une croissance de 22,9 %. Cela démontre l’attractivité et la compétitivité de la Tunisie pour les investissements extérieurs.

On observe aussi une augmentation de 60 % dans le secteur de l’énergie, même si le montant ne dépasse pas 1 MD.

Des opérations d’extension

M. Soussia a mentionné que les extensions représentent 92 % du total des investissements. Les montants varient de 1 MD à 300 MD, et sont généralement réalisés de manière progressive sur une période de 3 ans. La plupart des entreprises en expansion en Tunisie investissent au minimum 60 MD, et parfois jusqu’à 120 MD, en utilisant les équipements les plus modernes.

Les investissements directs étrangers incluent également l’acquisition de terrains et d’équipements usagés, ce qui signifie que la valeur réelle des investissements est souvent supérieure aux montants déclarés.

L’Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur (FIPA) se concentre principalement sur six secteurs pour attirer des investissements ciblés :

Les composants automobiles

Les composants aéronautiques

Les technologies de l’information et de la communication

Le secteur pharmaceutique

Le textile

L’industrie agroalimentaire

Il a également noté que la plupart des entreprises de ces secteurs, comme l’aéronautique et l’automobile, disposent de départements de recherche et développement en Tunisie.

Tunisie | Le TMM reste stable autour de 7,50%

30. August 2025 um 13:30

Le taux du marché monétaire (TMM) en Tunisie est resté stable à 7,50 % en août 2025, et ce pour le cinquième mois consécutif. Ce taux reste cependant relativement élevé et n’encourage pas l’investissement.  

Selon les données de la Banque centrale de Tunisie, depuis le début de l’année, le taux d’intérêt du marché monétaire a suivi une tendance à la baisse, passant de 7,99 % en janvier et février à 7,91 % en mars, puis se stabilisant à 7,50 % entre avril et août 2025.

Il est à noter que l’évolution des taux d’intérêt sur le marché monétaire est liée au taux directeur de l’institution émettrice, qui reste à 7,50 % depuis 5 mois.

I. B.

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Tunisie : la FIPA fixe un cap ambitieux pour stimuler l’investissement et attirer les IDE

Von: walid
30. August 2025 um 10:21

La Tunisie doit attirer 4 milliards de dinars d’investissements étrangers par an durant la période 2026-2030 et porter son taux d’investissement de 16% à 24-25%, a affirmé vendredi Hatem Soussi, directeur central de l’Agence de promotion des investissements extérieurs (FIPA-Tunisie), soulignant la nécessité d’accélérer les réformes pour y parvenir.

Selon Soussi, les investissements publics doivent jouer un rôle moteur pour stimuler l’investissement privé, local et étranger, tandis que la numérisation et le développement des infrastructures marqueront une avancée qualitative dans le nouveau plan de développement. Il a également appelé à encourager les entreprises tunisiennes à s’internationaliser, à intégrer les chaînes mondiales de valeur et à renforcer leur présence sur le marché boursier pour améliorer l’attractivité du pays.

Les premiers résultats de 2025 sont encourageants : la Tunisie a attiré 1 650,3 millions de dinars d’investissements extérieurs au premier semestre, soit près de 50 % de l’objectif annuel de 3 400 MD, avec une hausse de 20,8 % par rapport à la même période en 2024. Les investissements directs étrangers (IDE) ont progressé de 21,3 %, atteignant 1 640,5 MD, tandis que les investissements de portefeuille ont reculé de 28,3 % à 9,7 MD, faute de nouvelles introductions en Bourse ou d’augmentations de capital significatives.

Le secteur industriel, particulièrement les industries manufacturières a été le principal bénéficiaire avec 1 031,3 MD d’IDE, en hausse de près de 200 MD, notamment dans les composants automobiles et aéronautiques. Des entreprises étrangères ont demandé l’extension de la zone industrielle de Mghira (Ben Arous) face à la forte demande mondiale.

Le textile-habillement connaît une relance progressive, fondée sur la qualité, les petites séries à haute valeur ajoutée et la proximité avec l’Europe. Le secteur de l’énergie a, quant à lui, enregistré une croissance de près de 60 %, avec 398 MD d’investissements, portés par la montée en puissance des énergies renouvelables et la signature de plusieurs contrats pour des centrales solaires et éoliennes.

La répartition des IDE montre une prédominance des industries manufacturières (62,9 %), suivies par l’énergie (24,3 %), les services (11,6 %) et l’agriculture (1,2 %). Hatem Soussi s’attend à une accélération des flux d’investissements au second semestre, permettant d’atteindre les objectifs annuels.

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Tunisie : Objectif 3 400 MD d’IDE en 2025 et 4 milliards en 2026 selon la FIPA

29. August 2025 um 12:57

Les Investissements Directs Étrangers (IDE) en Tunisie ont connu une croissance remarquable de 20,8% au cours du premier semestre 2025, pour atteindre 1650,3 millions de dinars (MD), contre 1366 MD durant la même période de 2024, selon les données communiquées par l’Agence de Promotion des Investissements Extérieurs (FIPA-Tunisie).

Les investissements directs étrangers (IDE), hors secteur énergie, ont permis la création de 4 677 nouveaux emplois durant les six premiers mois de l’année. En devises, les flux d’investissements ont atteint 537,2 millions de dollars (+22 %) et 492,7 millions d’euros (+21,7 %) par rapport à 2024.

Les IDE ont particulièrement dynamisé l’industrie manufacturière, qui a attiré 1 031,3 MD, soit une croissance de 22,9 %, représentant à elle seule 62,9 % du total des investissements directs.

Le secteur de l’énergie a également connu un bond de 60 %, passant de 248,3 MD à 398 MD, porté par les projets d’énergies renouvelables et la reprise de l’exploration pétrolière, avec le forage de 11 puits d’exploration.

En revanche, les investissements de portefeuille ont reculé de 28,3 %, tombant à 9,7 MD, tandis que le secteur des services a vu ses entrées chuter de 24,6 %, à 191 MD. Le secteur agricole, en revanche, a progressé, passant de 11,6 MD à 20,1 MD.

Sur le plan géographique, la France reste le premier investisseur avec 421 MD, suivie de l’Italie (159,4 MD), de l’Allemagne (124,2 MD), des Pays-Bas (91 MD) et des États-Unis (88,4 MD). Parmi les pays arabes, le Qatar arrive en tête avec 66,5 MD.

Au total, 623 opérations d’investissement ont été réalisées hors énergie, pour une valeur de 1 242,5 MD. La répartition sectorielle des IDE montre une prédominance des industries manufacturières (62,9 %), suivies de l’énergie (24,3 %), des services (11,6 %) et de l’agriculture (1,2 %).

La Tunisie vise à atteindre 3 400 MD d’investissements étrangers d’ici fin 2025, et 4 milliards de dinars en 2026, première année du nouveau plan de développement (2023-2026).

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Tunisie : 16,4 MD d’investissements agricoles et aquacoles approuvés par l’APIA

29. August 2025 um 12:31

Le Comité d’Octroi des Avantages relevant de l’Agence de Promotion des Investissements agricoles (APIA) a approuvé, jeudi, des investissements d’une valeur totale de 16,4 millions de dinars dans les secteurs agricole et aquacole, et ce dans les gouvernorats de Monastir, Sfax et Sousse.

La commission a, également, approuvé l’octroi de deux prêts fonciers au profit de jeunes promoteurs pour l’acquisition de terres agricoles couvrant une superficie totale de 13,9 hectares dans le gouvernorat de Kasserine, pour une valeur globale de 311 mille dinars, en vue d’y lancer des projets agricoles.

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Tunisie : 3,3 milliards de dinars investis au premier semestre 2025

07. August 2025 um 18:27

La Tunisie a enregistré une forte progression des investissements déclarés au premier semestre 2025. D’après l’Instance Tunisienne de l’Investissement (TIA), le montant global atteint 3,3 milliards de dinars, en hausse de 16,9 % par rapport à la même période en 2024.

Cette dynamique s’explique en partie par un grand projet touristique lancé à Jendouba, d’une valeur de 300 millions de dinars. Ce projet prévoit 600 créations d’emplois. Entre janvier et juin, l’ensemble des projets déclarés devraient permettre la création de 45 839 postes, soit une hausse de 4 % sur un an. Les nouveaux projets concentrent 75 % des investissements et génèrent 88 % des emplois prévus.

L’industrie et les régions en tête

Le secteur industriel reste le principal moteur. Il capte 37 % des investissements et 39 % des emplois attendus. Le secteur des services suit avec 23 % des montants engagés et près de la moitié des postes projetés. L’agriculture conserve une part de 18 %, malgré une baisse de 18 % sur un an. Le tourisme attire 13 % des fonds et les énergies renouvelables, 9 %.

Kairouan tire profit d’un projet énergétique de 280 millions de dinars et devient la région la plus investie, avec 10,1 % du total. Plus largement, les zones de développement régional concentrent 51 % des fonds, soit 1,685 milliard de dinars.

Projets stratégiques et apport étranger

La TIA recense quatre projets d’intérêt national, pour un total de 715,2 millions de dinars et 1 319 emplois attendus. Ces projets concernent les secteurs de l’industrie, du tourisme et des énergies renouvelables. Deux sont situés à Ben Arous et Gabès, un à Jendouba et un à Kairouan.

Les projets à participation étrangère représentent 29 % des investissements, soit 944,5 millions de dinars, et devraient générer 8 880 emplois. En parallèle, la CNUCED signale une hausse de 21 % des investissements directs étrangers en Tunisie en 2024. Cette performance place le pays parmi les moteurs de la reprise économique en Afrique du Nord.

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Une offre libyenne de 70 milliards de dollars à Trump

23. Juli 2025 um 19:03

En pleine recomposition des équilibres diplomatiques au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, les États-Unis semblent vouloir marquer un retour économique fort en Libye. C’est du moins ce qu’a laissé entendre Massad Boulos, conseiller spécial du président américain Donald Trump pour les affaires africaines et moyen-orientales, lors de sa visite officielle à Tripoli le mercredi 23 juillet 2025.

Au terme de son entretien avec le chef du Gouvernement d’union nationale libyen, Abdelhamid Dbeibah, Boulos a qualifié la rencontre de « fructueuse » et a exprimé, dans un message publié sur la plateforme X, la volonté de Washington de « renforcer les accords commerciaux entre les deux pays ». Le conseiller a souligné la nécessité de restaurer le calme, prévenir les violences et relancer le dialogue politique dans le cadre d’une coopération bilatérale tournée vers la stabilité et la prospérité des deux peuples.


En coulisse, le Gouvernement d’union nationale a présenté aux États-Unis un vaste plan de partenariat économique d’une valeur estimée à 70 milliards de dollars, selon la plateforme officielle « Hokoometna ». Ce plan inclut des projets prêts à l’investissement dans des secteurs clés : énergie, mines, électricité, télécommunications et infrastructures. Objectif affiché : permettre une entrée directe, structurée et durable des capitaux américains sur le marché libyen.

Massad Boulos, qui s’est montré réceptif à cette proposition, a confirmé le soutien de l’administration Trump aux efforts de stabilisation de la Libye et son intérêt pour une coopération stratégique accrue avec le gouvernement en place.

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