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Quels sont les chiffres clés de la Bourse de Tunis pour mai 2025 ?

Von: hechmi
07. Juni 2025 um 12:50

BourseLa Bourse de Tunis clĂŽture le mois de mai 2025 sur une note positive, avec un indice Tunindex atteignant 11 363,58 points, enregistrant ainsi une hausse mensuelle de 0,80%, selon l’analyse mensuelle publiĂ©e par la Bourse.

Cette progression fait suite Ă  une hausse encore plus marquĂ©e de 2,73% en avril 2025. Depuis le dĂ©but de l’annĂ©e, les gains cumulĂ©s du Tunindex s’élĂšvent Ă  14,16%, nettement supĂ©rieurs aux 8,42% enregistrĂ©s durant la mĂȘme pĂ©riode en 2024.

Concernant le volume global des échanges, il a atteint 249,8 millions de dinars (MD), affichant une progression de 2,2% par rapport au mois précédent. En revanche, le volume moyen quotidien a légÚrement diminué, passant de 12,2 MD en avril à 11,8 MD en mai, tout en restant supérieur à la moyenne de 9,8 MD enregistrée depuis janvier.

Tunindex20 : Hausse modérée de 0,42%

L’indice Tunindex20, quant Ă  lui, clĂŽture mai 2025 Ă  5 092,08 points, enregistrant une hausse mensuelle de 0,42%, aprĂšs une progression notable de 3,53% en avril. Depuis le dĂ©but de l’annĂ©e, le Tunindex20 cumule une hausse significative de 16,15%, comparĂ©e Ă  une augmentation de 11,09% pour la mĂȘme pĂ©riode de l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente.

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Tunisie : lancement du projet ARDII-Tounes pour une agriculture résiliente face au changement climatique

Von: walid
05. Juni 2025 um 09:35

Le projet d’investissement « Agriculture RĂ©siliente, Durable et Inclusive pour l’Investissement en Tunisie » (ARDII-Tounes) a Ă©tĂ© lancĂ©, mercredi lors d’un atelier tenu Ă  Tunis, dans l’objectif de lutter contre le changement climatique et rĂ©duire ses risques sur la production agricole.

Moyennant un coĂ»t estimĂ© Ă  224 millions de dollars, le projet ARDII-Tounes est le fruit l’accompagnement apportĂ© par la Plateforme pour la gestion des risques agricoles (PARM) au gouvernement tunisien dans le renforcement de la capacitĂ© du pays Ă  gĂ©rer les risques agricoles (initiĂ© en avril 2023).

Cet instrument d’investissement permettra de renforcer la rĂ©silience et la durabilitĂ© du secteur agricole tunisien face Ă  l’augmentation des risques climatiques et Ă©conomiques, selon la PARM.

S’étalant sur 15 ans, ce projet cible les zones et les acteurs les plus vulnĂ©rables, y compris les agriculteurs de cĂ©rĂ©ales pluviales, les petits olĂ©iculteurs, ainsi que les femmes rurales et les jeunes, Ă  travers une approche de mise en Ɠuvre progressive.

Le projet s’appuie sur les activitĂ©s menĂ©es par la PARM en Tunisie, notamment le renforcement des capacitĂ©s locales en gestion des risques agricoles, ainsi qu’une Ă©tude d’évaluation des risques dans les chaĂźnes de valeur des cĂ©rĂ©ales et de l’huile d’olive, identifiĂ©es comme prioritaires.

L’atelier de lancement a rĂ©uni les bailleurs de fonds et les partenaires techniques et financiers afin de leur prĂ©senter les composantes et la structure financiĂšre de ce projet, en vue de mobiliser les ressources nĂ©cessaires Ă  sa mise en Ɠuvre.

La PARM est un partenariat mondial sur la gestion des risques agricoles.

Créée en 2013 Ă  l’issue des discussions du G20 sur la croissance agricole et la sĂ©curitĂ© alimentaire, la PARM vise Ă  rĂ©duire les risques liĂ©s aux investissements des entitĂ©s publiques et privĂ©es. Elle est hĂ©bergĂ©e par le Fonds international de dĂ©veloppement agricole (FIDA) et co-financĂ©e par l’Union europĂ©enne (UE), l’Agence française de dĂ©veloppement (AFD) et le gouvernement italien et le FIDA.

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Industrie │ Rencontre des savoir-faire italiens et tunisiens

30. Mai 2025 um 13:43

«La rencontre entre les savoir-faire italiens et tunisiens est crĂ©atrice de valeur, d’emplois et d’innovation : les maĂźtres mots d’un partenariat fondĂ© sur une croissance partagĂ©e».

C’est ce qu’a Ă©crit l’ambassade d’Italie en Tunisie sur ses rĂ©seaux sociaux, en commentant la visite effectuĂ©e cette semaine par l’ambassadeur d’Italie en Tunisie, Alessandro Prunas, Ă  des entreprises manufacturiĂšres italiennes d’excellence actives en Tunisie dans les secteurs stratĂ©giques de l’automobile, du textile et de la mĂ©canique.

Le tag «Diplomatie de croissance» est mis en avant, fait remarquer pour sa part l’agence italienne Ansa.

Avec environ 1000 entreprises opĂ©rant en Tunisie et assurant plus de 83 000 emplois directs, l’Italie demeure le premier investisseur Ă©tranger en Tunisie dans le secteur Ă©nergĂ©tique et le deuxiĂšme investisseur global avec un volume d’investissements atteignant 3,7 milliards de dinars en 2024.

I. B.

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Tunisie : l’investissement chute à 16 % du PIB selon la CNUCED, loin derriùre le Maroc et l’Égypte

29. Mai 2025 um 11:07

«Le taux d’investissement (public et privĂ©) en Tunisie s’est repliĂ© aux alentours de 16% du PIB, durant la pĂ©riode 2020- 2024, contre 19,3% en 2016», c’est ce qui ressort d’un rapport, publiĂ© dĂ©but 2025, par la ConfĂ©rence des Nations Unes sur le commerce et le dĂ©veloppement (CNUCED) sur «L’examen de la politique d’investissement en Tunisie».

D’aprĂšs les donnĂ©es statistiques, publiĂ©es par le rapport, les flux entrants moyens d’investissements directs Ă©trangers (IDE) ont baissĂ© de 974 millions de dollars, au cours de la pĂ©riode 2014- 2018, Ă  728 million de dollars, durant la pĂ©riode 2019- 2023. Ainsi, notre pays se situe en bas de liste de pays comparateurs, notamment l’Egypte, dont le flux moyen des IDE, dĂ©passe les 8,2 milliards de dollars et le Maroc avec un flux des IDE de l’ordre de 1,7 milliard de dollars.

La CNUCED explique cette situation par le resserrement des conditions d’accĂšs au financement pour les entreprises, en raison de la situation Ă©conomique difficile et des pressions exercĂ©es sur le marchĂ© intĂ©rieur pour financer la dette.

En fait, le rapport souligne que la Tunisie fait face Ă  des dĂ©sĂ©quilibres financiers (dĂ©ficit budgĂ©taire et commercial, hausse de l’endettement public, dĂ©prĂ©ciation du dinar
), ce qui « conduit les autoritĂ©s Ă  contrĂŽler les entrĂ©es et sorties de devises et Ă  emprunter auprĂšs du systĂšme bancaire national ». « Ceci entraĂźne un effet d’éviction des crĂ©dits destinĂ©s au secteur privĂ© et freine l’investissement des entreprises », a notĂ© le rapport, ajoutant, en outre, que la situation budgĂ©taire dĂ©ficitaire « limite le financement public de projets d’infrastructures ».

Partant, «les entrĂ©es d’investissement Ă©tranger direct stagnent depuis quelques annĂ©es et l’investissement privĂ© demeure faible, en Tunisie», ce qui «impacte la croissance du produit intĂ©rieur brut qui demeure en-deçà du potentiel et entraĂźne une hausse du taux de chĂŽmage».

Par ailleurs, le rapport pointe le problĂšme de complexitĂ© administrative qui entrave l’attraction des investisseurs, et la faible proportion de la diaspora (environ 10 %), qui lance des projets d’investissement. “Des restrictions sont prĂ©sentes dans plusieurs activitĂ©s, qui ne sont pas toujours en ligne avec les objectifs de dĂ©veloppement du pays et le type d’activitĂ©s Ă©conomiques souhaitĂ©es. Par ailleurs, les conditions imposĂ©es par le code des changes compliquent les opĂ©rations des entreprises rĂ©sidentes, offshore et onshore”.

Par ailleurs, la CNUCED a recensĂ© 62 accords bilatĂ©raux d’investissements (TBI), dont 39 uniquement sont en vigueur. La majoritĂ© de ces accords a Ă©tĂ© conclue dans les annĂ©es 1990 et dans le dĂ©but des annĂ©es 2000. Il parait indispensable, d’aprĂšs le rapport, de revoir la politique d’investissement de la Tunisie, et de dĂ©finir des solutions permettant de renforcer les sources de financement, y inclus l’investissement local et celui de la diaspora, afin d’amĂ©liorer la compĂ©titivitĂ© du pays, rĂ©duire sa vulnĂ©rabilitĂ© aux chocs exogĂšnes et Ă©tendre son marchĂ© extĂ©rieur.

Parmi les solutions proposĂ©es, Ă  ce titre, le rapport recommande d’inviter les banques Ă  simplifier les procĂ©dures d’accĂšs au crĂ©dit ; Ă  renforcer et Ă  promouvoir les dispositifs spĂ©cifiques pour accompagner les TPME et startups, dans leurs phases de croissance ; et de dĂ©velopper des mĂ©canismes pour les femmes, les jeunes et les personnes en situation de handicap.

Les recommandations portent, aussi, sur la mise en place des budgets dĂ©diĂ©s Ă  l’innovation et l’encouragement des partenariats entre gouvernement, le secteur privĂ© et les universitĂ©s ; le dĂ©veloppement des fonds de garantie pour assurer les emprunts, notamment au profit des secteurs prioritaires ; et l’encouragement de la concurrence entre les banques pour les inciter Ă  rĂ©duire leurs marges sur les prĂȘts consentis.

La CNUCED propose, en outre, de crĂ©er des fonds d’investissement pour les secteurs prioritaires, dans lesquels la diaspora pourrait contribuer, d’élargir les sources de financement de projets structurants en encourageant les PPP


A prĂ©ciser que “Les examens de la politique d’investissement de la CNUCED”, visent Ă  aider les pays Ă  amĂ©liorer leur politique d’investissement en vue de rĂ©aliser les objectifs de dĂ©veloppement durable (ODD).

Pour ce qui est de ce rapport portant sur l'”Examen de la politique d’investissement de la Tunisie”, il a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© Ă  la demande du ministĂšre de l’économie et de la Planification, de la Mission permanente de la Tunisie auprĂšs de l’Office des Nations Unies Ă  GenĂšve et des institutions spĂ©cialisĂ©es en Suisse.

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Jusqu’à 50 000 dollars pour les entrepreneurs tunisiens

29. Mai 2025 um 09:44

Les entrepreneurs tunisiens ont jusqu’au 30 juin 2025 pour postuler au «Business Builder Challenge», un programme entiĂšrement digital qui promet un accompagnement sur mesure et des financements allant jusqu’à 50 000 dollars, soit environ 150 000 dinars tunisiens. PortĂ© par le Digital Transformation Center de la GIZ Tunisie, en partenariat avec MedSirat, ce challenge vise Ă  soutenir les porteurs de projets et les acteurs de l’écosystĂšme entrepreneurial dans le dĂ©veloppement, la structuration et la croissance de leurs initiatives.

Ce programme, soutenu par l’initiative «Invest for Jobs – Emploi dĂ©cent pour une transition juste» du ministĂšre fĂ©dĂ©ral allemand de la CoopĂ©ration Ă©conomique et du DĂ©veloppement (BMZ), offre des ressources concrĂštes, des outils digitaux de communication et de prise de dĂ©cision, et des opportunitĂ©s de networking international. L’objectif est de stimuler l’innovation, l’autonomie et la durabilitĂ© des entreprises tunisiennes, qu’elles soient en phase de lancement ou dĂ©jĂ  en pleine croissance.

Pour postuler, les entrepreneurs doivent s’inscrire sur la plateforme www.siratify.com, complĂ©ter leur profil, crĂ©er leur entreprise et soumettre leur candidature via la section «Programmes de soutien». Les business coaches sont Ă©galement invitĂ©s Ă  rejoindre cette initiative: en postulant, ils pourront obtenir une certification internationale en accompagnement digital et valoriser leur expertise Ă  l’échelle internationale.

Le nombre de places Ă©tant limitĂ©, les porteurs de projets sont encouragĂ©s Ă  s’inscrire rapidement pour ne pas manquer cette opportunitĂ© de faire Ă©voluer leur entreprise vers de nouveaux horizons.

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La Tunisie lance une nouvelle Ă©tape pour renforcer la compĂ©titivitĂ© de ses PME Ă  l’export

22. Mai 2025 um 13:04

Une confĂ©rence de presse a Ă©tĂ© organisĂ©e rĂ©cemment Ă  Tunis dans le cadre du lancement du programme “Trade and Competitiveness Programme (TCP)“, un projet financĂ© par l’Union europĂ©enne (UE) en partenariat avec la Banque europĂ©enne d’investissement (BEI) et d’autres institutions. Ce programme vise Ă  amĂ©liorer la compĂ©titivitĂ© des petites et moyennes entreprises tunisiennes, particuliĂšrement sur les chaĂźnes de valeur exportatrices prioritaires: agriculture, agroalimentaire, textile et automobile.

Le TCP s’inscrit dans une dynamique de soutien renforcĂ© au tissu Ă©conomique tunisien. Il combine plusieurs leviers: appui technique, facilitation de l’accĂšs au financement et accompagnement Ă  la transition verte. Lors de cette rencontre, les intervenants ont soulignĂ© l’importance stratĂ©gique des PME, qui reprĂ©sentent 96% du tissu Ă©conomique national, tout en jouant un rĂŽle crucial dans la crĂ©ation d’emplois et le dĂ©veloppement rĂ©gional.

Pour Marco Stella, chef de section DĂ©veloppement Ă©conomique de l’UE en Tunisie, le programme traduit la volontĂ© de l’Union europĂ©enne de soutenir l’économie rĂ©elle. Il a rappelĂ© que l’initiative, portĂ©e par l’UE en partenariat avec la DĂ©lĂ©gation de l’UE en Tunisie et l’Agence de dĂ©veloppement et d’investissement de l’organisation internationale (ADIOI), permettra de mobiliser des ressources additionnelles au profit des PME tunisiennes. L’objectif est de crĂ©er un environnement propice Ă  l’investissement, Ă  l’innovation et Ă  l’exportation, tout en intĂ©grant les enjeux de durabilitĂ©.

De son cĂŽtĂ©, Jean-Luc RevĂ©reault, chef de la ReprĂ©sentation de la BEI en Tunisie, a prĂ©sentĂ© les instruments mis en place pour appuyer les PME, en particulier une ligne de crĂ©dit de 170 millions d’euros, signĂ©e avec la Banque centrale de Tunisie, destinĂ©e Ă  amĂ©liorer l’accĂšs au financement. Il a Ă©galement Ă©voquĂ© une future ligne de garantie pour inciter les banques Ă  accompagner des PME Ă  plus fort profil de risque mais Ă  fort potentiel. Ces dispositifs s’inscrivent dans un effort rĂ©gional plus large de relance post-crise et de rĂ©silience face aux enjeux gĂ©opolitiques, climatiques et Ă©conomiques.

Le programme prĂ©voit Ă©galement un accompagnement spĂ©cifique pour aider les entreprises Ă  adopter des pratiques respectueuses de l’environnement, Ă  rĂ©duire leur empreinte carbone et leur consommation d’eau, notamment dans des secteurs comme le textile. Cette approche vise aussi Ă  anticiper les nouvelles normes europĂ©ennes, telles que la taxe carbone aux frontiĂšres.

Cette initiative vient renforcer la coordination entre les acteurs europĂ©ens prĂ©sents en Tunisie dans le cadre de l’approche Team Europe, qui fĂ©dĂšre les efforts de la Commission europĂ©enne, de la BEI et des agences bilatĂ©rales de dĂ©veloppement des États membres. Elle est Ă©galement alignĂ©e sur les prioritĂ©s du gouvernement tunisien, notamment en matiĂšre de relance Ă©conomique et de soutien aux PME.

 

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