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Gestern — 02. Juli 2025Haupt-Feeds

Guinée-Bissau : le FMI prévoit une croissance de 5,1 % du PIB et une inflation de 2 % en 2025

02. Juli 2025 um 13:38

Le Produit Intérieur Brut (PIB) devrait enregistrer une hausse de 5,1% en 2025 en Guinée-Bissau, selon les prévisions du Fonds Monétaire International (FMI).

Parallèlement à cette croissance économique, la Guinée-Bissau devrait connaitre, durant la même période, une inflation modérée évaluée à 2%, a ajouté le FMI dans une note relayée par la presse.

Par la même occasion, l’Institution de Bretton Woods a loué l’engagement des autorités Bissau-guinéennes en vue d’une réduction du déficit budgétaire de ce pays de l’Afrique de l’Ouest.

Et de faire observer que les données attendues sont le reflet d’un espoir de reprise économique, portée par des secteurs clés comme l’agriculture et les investissements dans les infrastructures.

“Les autorités de la Guinée-Bissau sont déterminées à atteindre un déficit budgétaire de 3,4% du PIB en 2025, afin de mettre la dette publique sur une trajectoire fermement descendante”, a indiqué, de son côté, le ministère des Finances.

Les perspectives restent “soumises à des risques internes et externes significatifs”, et bien que l’impact direct des récentes tensions commerciales internationales sur la Guinée-Bissau “soit limité, l’économie continue de se détériorer dans un climat sociopolitique difficile, en cette année électorale”, explique-t-on de même source.

 

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Tunisie : vers la révision du statut des maîtres-nageurs pour renforcer la protection civile

Von: walid
02. Juli 2025 um 10:33

La circulaire n°12 de 2022 relative au poste des maîtres-nageurs est en cours de révision afin de les inciter à intégrer les rangs de la protection civile et améliorer leurs conditions de travail, sachant que leur nombre est faible par rapport aux besoins du pays, a fait savoir le ministre de l’Economie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, lors d’une séance plénière tenue, mardi, à l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP).

« En Tunisie, les salaires des maîtres-nageurs ne dépassent pas le Salaire Minimum Garanti (SMIG), ce qui les pousse souvent se tourner vers les unités hôtelières », a-t-il ajouté, lors de cette plénière consacrée à l’examen du projet portant approbation d’un accord de prêt entre la Tunisie et l’Agence française de développement (AFD), visant à contribuer au financement du projet de modernisation de l’Office national de la protection civile (ONPC).

Le ministre a, d’autre part, indiqué que le décret n° 99-2428 du 1er Novembre 1999, fixant les modalités et les procédures d’emploi des volontaires civils par l’ONPC est également en cours d’amendement. L’objectif étant, selon lui, d’attirer le maximum de volontaires, sachant que l’ONPC ne compte que 4 mille volontaires et 19 associations.

S’agissant du secourisme routier, Abdelhafidh a noté la création en cours des points de secours au niveau des autoroutes et des postes de secours aménagés sur les plages, ajoutant que 2335 maîtres-nageurs seront recrutés.

Il a, par ailleurs, fait remarquer que l’office a procédé à la mise en place d’un plan national d’évaluation des risques, afin de réduire les délais d’intervention, ajoutant que ce plan repose sur la création de nouvelles unités de protection civile en vue de fournir les secours à 70% des habitants de chaque gouvernorat.

Il a souligné que le gouvernement œuvre à réduire le déficit budgétaire pour éviter l’endettement intérieur et extérieur, et ce, via le développement des ressources fiscales sans l’augmentation du taux d’imposition mais à travers l’élargissement de l’assiette, l’intégration de l’économie parallèle et l’incitation des tunisiens résidents à l’étranger à intensifier leurs transferts en devises.

Et d’ajouter que le recours à l’endettement extérieur n’est pas en contradiction avec la politique de compter sur soi vu que ces financements sont exploités dans des projets de développement rentables sur les plans économique et social.

L’Etat a recours aux financements extérieurs, pour la réalisation des projets importants tels que les projets du pont de Bizerte, l’autoroute Tunis/Jelma et la contruction des barrages, a-t-il ajouté.

Il a mis l’accent par ailleurs, sur l’amélioration de plusieurs indicateurs économiques, dont le taux de croissance et le taux d’inflation, contribuant ainsi au regain de confiance des investisseurs et l’impulsion de l’activité économique.

Toutefois, il a fait savoir que le gouvernement est conscient des difficultés auxquelles font face les responsables dans la gestion des projets bloqués, ajoutant que l’accent est mis sur l’instauration d’une nouvelle dynamique pour l’accélération du rythme de leur réalisation.

Le ministre a nié l’existence de problème avec les hommes d’affaires qui respectent la loi, appelant tous ceux qui subissent un harcèlement de la part de certaines structures ou administrations, à contacter directement son département pour identifier des solutions.

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Tunisie │ La crise financière persiste  

01. Juli 2025 um 09:36

Le déficit budgétaire de la Tunisie devrait s’établir à environ 5,5% du PIB en 2025, contre 6,3% en 2024. Cette réduction est due à l’augmentation des impôts sur les sociétés et les personnes à hauts revenus. Le déficit est également influencé par les efforts déployés par le pays pour gérer la dette publique, qui devrait s’établir à environ 80,5% du PIB d’ici fin 2025, contre 82,2% en 2024.

Malgré des prévisions officielles de croissance de 3,2% pour 2025 (contre 2,1 % en 2024), jugées trop optimistes par les experts, la Banque mondiale prévoyant pour le pays un taux de seulement 1,9%, la Tunisie est confrontée à une crise financière et recherche des sources de financement, notamment des prêts potentiels, non pas auprès du Fonds monétaire international (FMI) avec lequel les négociations sont au point mort depuis octobre 2023, mais auprès d’autres bailleurs de fonds internationaux. Or, ces derniers ne se bousculent pas au portillon, étant donné la faible notation souveraine du pays, qui est noté «Caa1», avec une perspective stable, par Moody’s, en février dernier.

Le projet de loi de finances 2025 table sur un déficit budgétaire d’environ 9,8 milliards de dinars.

Avec le maintien des dépenses de l’Etat à des niveaux relativement élevés, les charges budgétaires sont estimées à 59,828 milliards de dinars contre des ressources budgétaires ne devant pas dépasser 50,028 milliards de dinars.

Dans le cadre de la politique sociale du président de la république Kaïs Saïed, le gouvernement vise à réduire les impôts pour les personnes à faibles revenus et à les augmenter pour les personnes à revenus plus élevés.

Les entreprises réalisant un chiffre d’affaires de 20 millions de dinars ou plus verront ainsi leurs impôts augmenter à 25%.

La stabilité du dinar tunisien est également une source de préoccupation en raison de facteurs tels que les emprunts récurrents auprès de la Banque centrale, qui se répercutent négativement sur la contribution des banques à la relance du secteur privé.

I. B.

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