La Fédération tunisienne des artisans et des PME a lancé, mercredi 3 septembre 2025, un appel pressant au président de la République, Kaïs Saïed, pour qu’il intervienne afin de mettre un terme aux poursuites pénales visant des chefs d’entreprise en situation de détresse financière.
L’organisation patronale met en garde contre le risque de « tuer les entreprises et l’investissement » par ces pratiques qu’elle estime illégitimes. Elle dénonce en particulier le fait que l’administration fiscale rédige des procès-verbaux qu’elle juge contraires à l’article 37 du Code pénal. Cet article exige que les autorités judiciaires subordonnent toute sanction à la preuve d’une intention frauduleuse. Or, elle estime que les autorités remplissent rarement cette condition lorsqu’elles sanctionnent des sociétés simplement fragilisées par la crise.
La Fédération révèle par ailleurs que des entreprises ayant pourtant régularisé leur situation dans le cadre de la loi d’amnistie fiscale font toujours l’objet de poursuites. Elle exige en conséquence l’annulation pure et simple de ces procès-verbaux « abusifs », l’ouverture d’une enquête pour clarifier les pratiques de l’administration fiscale et une réorientation des contrôles vers les cas avérés de fraude et de contrebande. L’objectif affiché est double : rétablir une équité fiscale pour les opérateurs économiques et préserver le tissu des PME, décrit comme le véritable moteur de l’économie nationale.
La Fédération tunisienne des artisans et des petites et moyennes entreprises a lancé un appel urgent à la présidence de la République et au ministère des Finances pour mettre fin aux procès-verbaux fiscaux à caractère pénal dressés contre des sociétés traversant de graves difficultés financières.
Selon la Fédération, l’article 92 du Code des droits et procédures fiscaux prévoit des peines de prison et des amendes pour défaut de paiement des impôts dus. Toutefois, son application suppose la preuve d’une intention délibérée, comme stipulé à l’article 37 du Code pénal. Or, dans la pratique, des procès-verbaux seraient établis contre des entreprises en détresse économique, sans démonstration de ce caractère intentionnel. Une situation qualifiée de « harcèlement injustifié » mettant en péril l’investissement et la pérennité du tissu économique.
Le communiqué rappelle que ces pratiques se sont poursuivies même en 2021, en pleine pandémie de Covid-19, alors que le gouvernement appelait à soutenir les entreprises et préserver les emplois. La Fédération parle d’une « politique dangereuse » visant à « briser les entrepreneurs et les pousser vers la faillite ou l’exil économique ».
Elle dénonce également les poursuites engagées contre des sociétés ayant adhéré à l’amnistie fiscale, les jugeant contraires à l’article 74 du même code. D’où son appel à l’ouverture d’une enquête urgente, à l’annulation des procès-verbaux litigieux et à la mise en place d’un mécanisme permettant aux entreprises en difficulté de déposer leurs déclarations fiscales et sociales en reconnaissance de dette, plutôt que de les accabler de pénalités jugées « mortelles ».
Enfin, les signataires du communiqué exhortent l’État à concentrer ses efforts sur la lutte contre la contrebande et l’évasion fiscale, au lieu d’« étrangler » des entreprises légalement constituées qui évoluent déjà dans un environnement d’affaires dégradé et sous une pression fiscale qualifiée d’« injuste ».
La BIAT, Banque Internationale Arabe de Tunisie publie ses états financiers arrêtés au 30 juin 2025 qui font ressortir les résultats suivants :
– Un PNB de 788,1 millions de dinars
– Des dépôts et avoirs de la clientèle de 20 950,2 millions de dinars
– Des créances sur la clientèle de 13 022,8 millions de dinars
– Un Résultat net de la période de 246,1 millions de dinars
– Un niveau de capitaux propres de 2 228,2 millions de dinars
La BIAT présente, à travers ses états financiers arrêtés au 30 juin 2025, un semestre marqué par une performance robuste, une relation renforcée avec ses clients et un engagement citoyen affirmé.
Au-delà de ces résultats financiers, la BIAT poursuit la transformation de son réseau avec plus de 60 agences modernisées selon un nouveau concept qui combine digitalisation, proximité et conseil personnalisé. La BIAT continue également de soutenir l’internationalisation des entreprises tunisiennes, notamment grâce à une garantie de 50 millions de dollars accordée par la Banque Africaine de Développement pour faciliter les opérations de « trade finance ».
Durant la saison estivale, la BIAT a intensifié sa proximité avec les Tunisiens résidant à l’étranger en lançant sa campagne estivale sous le slogan « À chaque pas, Tounessna avec toi », qui se poursuit jusqu’au 15 septembre 2025. Issue d’un engagement de longue date, cette initiative propose des offres avantageuses pour faciliter la gestion de comptes à distance, l’investissement immobilier ou le démarrage de projets en Tunisie.
La solidité du modèle de la BIAT et son orientation client ont été distinguées par plusieurs institutions internationales. Le magazine Euromoney lui a décerné le titre de « Meilleure Banque en Tunisie 2025 », une reconnaissance majeure qui consacre son leadership et son engagement à fournir des solutions innovantes et fiables. Par ailleurs, le magazine Global Finance a récompensé la BIAT pour la cinquième année consécutive en tant que « Meilleure banque sur le marché de change en Tunisie », confirmant son expertise et son excellence opérationnelle.
Fidèle à ses valeurs, la BIAT renforce aussi ses engagements sociétaux. Elle poursuit ses initiatives en faveur de l’inclusion économique, de l’entrepreneuriat féminin et de la transition durable. Elle s’implique également dans le soutien au handisport, en renouvelant son partenariat avec la Fédération Tunisienne des Sports pour Handicapés (FTSH), illustrant ainsi sa volonté d’encourager l’inclusion à travers le sport et de promouvoir l’égalité des chances.
Avec ces résultats et ces initiatives, la BIAT consolide sa position de leader du secteur bancaire tunisien combinant performance économique, innovation et responsabilité sociétale.
A propos de la BIAT :
Banque universelle, acteur de référence en Tunisie, la BIAT constitue aujourd’hui un groupe bancaire solide avec ses filiales dans les domaines de l’assurance, de la gestion d’actifs, du capital-investissement, de l’intermédiation boursière et du conseil. Implantée sur tout le territoire, la BIAT compte aujourd’hui 206 agences à travers toute la Tunisie. Près de 2500 collaborateurs travaillent au service de tous ses clients : particuliers, professionnels, PME, grandes entreprises et institutionnels.
Très attentive à sa responsabilité sociétale, la BIAT a traduit son positionnement citoyen par de nombreux engagements. La création de la Fondation BIAT pour la jeunesse tunisienne, au printemps 2014, en est emblématique et ancre cet engagement de façon pérenne. www.biat.com.tn
Assurances BIAT renouvelle, pour la neuvième année consécutive, son partenariat avec l’Ultra Mirage El Djérid (UMED), un événement sportif de renommée internationale qui se tiendra du 25 au 28 septembre 2025 à Tozeur.
Ce partenariat historique, fondé sur des valeurs partagées telles que la persévérance, le dépassement de soi et la solidarité, va bien au-delà d’un simple soutien financier. Il reflète une vision commune de la promotion du sport, de la valorisation du patrimoine tunisien et du développement des régions intérieures. À travers cette collaboration, Assurances BIAT confirme son attachement à des engagements durables et à un impact positif sur la communauté.
L’édition 2025 s’annonce exceptionnelle, avec 500 participants issus de 28 nationalités différentes, elle atteint un nouveau record.
Le départ de la course aura lieu cette année depuis un site inédit : la réserve naturelle du lac Chamsa, un lieu emblématique de Tozeur. Ce cadre majestueux offrira aux coureurs une expérience unique, sublimée par une ambiance conviviale et festive, des animations culturelles et un village de départ dynamique où se mêleront sport, nature et artisanat local. Une nouveauté importante vient également enrichir cette édition : la création de la course “Assurances BIAT Trail 25 km by Ultra Mirage”. Cette nouvelle distance, plus accessible, vise à démocratiser la pratique du trail en permettant à un plus large public, passionnés comme amateurs, de vivre l’aventure de l’Ultra Mirage.
L’engagement d’Assurances BIAT à travers ce partenariat s’inscrit pleinement dans sa stratégie RSE, qui vise à allier performance économique et responsabilité sociale. Outre la dimension sportive, la compagnie poursuit son action concrète en faveur du développement local et de la jeunesse. Après avoir contribué en 2024 à l’aménagement d’une salle polyvalente à la Maison des Jeunes de Tozeur, elle renforce cette année son implication en créant une salle multimédia entièrement équipée. Ce nouvel espace ne se limitera pas à l’apprentissage numérique : il accueillera également un club de robotique, offrant aux jeunes étudiants de la région la possibilité de développer leurs propres projets, de mettre en pratique leurs compétences techniques et de se préparer à participer à des concours nationaux et internationaux. Pour assurer le succès de ce programme, Assurances BIAT pourra compter sur l’implication précieuse de professeurs bénévoles issus des instituts de Tozeur et de Gafsa, mobilisés pour encadrer les jeunes tout au long de l’année.
Par ailleurs, l’événement continuera à valoriser le patrimoine local à travers le soutien aux femmes artisanes de Tozeur. Ces dernières auront l’opportunité de présenter et de vendre leurs créations auprès des participants tunisiens et étrangers, renforçant ainsi la visibilité de leur savoir-faire et contribuant à la dynamique économique locale. En écho à cette démarche, chaque coureur se verra remettre à la fin de la course des goodies confectionnés directement par les artisans locaux, véritables ambassadeurs de l’identité culturelle du sud tunisien. L’Ultra Mirage El Djérid, grâce à son rayonnement national et international, agit comme un catalyseur pour la région du sud-ouest tunisien, favorisant à la fois le tourisme, le sport et le développement durable.
Mehdi Masmoudi, Directeur Général d’Assurances BIAT, souligne : « L’Ultra Mirage El Djérid incarne une aventure humaine et sportive exceptionnelle. En tant que partenaire, nous soutenons avec fierté les initiatives qui unissent sport, culture et solidarité. Nous souhaitons faire vivre à tous un moment unique de partage et d’émotion, tout en encourageant chacun à repousser ses limites ».
Amir Ben Gacem, organisateur de l’événement, salue quant à lui une « alliance de confiance et de valeurs, qui a permis de faire grandir l’Ultra Mirage et de positionner Tozeur comme une destination incontournable du trail international ».
À travers cette nouvelle édition, Assurances BIAT et l’Ultra Mirage El Djérid illustrent une nouvelle fois la puissance du sport comme vecteur de cohésion, de développement et de fierté locale.
A propos d’Assurances BIAT : Assurances BIAT, filiale de la Banque Internationale Arabe de Tunisie (BIAT), première banque privée du pays, se distingue comme une compagnie multibranche de premier plan, notamment sur le segment de l’Assurance Vie. Bénéficiant des synergies avec sa maison mère et les filiales financières du Groupe BIAT, Assurances BIAT consolide sa position de leader de la Bancassurances grâce à une expertise solide et une compétence éprouvée de ses équipes.
La compagnie s’engage à accompagner ses clients particuliers, professionnels et entreprises, à chaque étape de leur vie et de leur développement. En offrant des solutions adaptées à leurs besoins spécifiques et des prestations de qualité, Assurances BIAT propose une gamme complète de produits et services incluant l’assurance vie, la prévoyance, la santé et l’assurance dommages.
Assurances BIAT place la satisfaction de ses clients au cœur de ses priorités. Elle s’engage à fournir un service d’excellence tout en bâtissant des relations de confiance sur le long terme avec chacun de ses clients.
Dans le cadre de son engagement citoyen, Assurances BIAT soutient activement des initiatives qui allient sport, respect de l’environnement et développement local.
A propos de l’Ultra Mirage El Djérid :
Ultra Mirage El Djérid est une course de type ultra trail qui se passe en plein désert Tunisien, plus précisément dans la région du Djérid. Les coureurs affronteront des températures allant jusqu’à 40C avec un parcours sableux et parfois technique. Nous avons tous les ans plus de 300 participants de plus de 20 différentes nations qui viennent pour une expérience inoubliable de détermination et de persévérance dans l’univers magique du Sahara Tunisien. Cette épreuve est une endurance physique exceptionnelle qui marie tourisme avec sport extrême. Cette année, l’épreuve se déroulera à Tozeur le 27 septembre 2025.
Cela parait étonnant et pourtant c’est vrai. En cette période où de nombreux « économistes ultralibéraux » ne voient que l’issue de la privatisation pour résoudre les difficultés des entreprises publiques, d’autres parties dont des bailleurs de Fonds estiment qu’il y a un besoin réel de créer de nouvelles entreprises publiques. Objectif : satisfaire les besoins urgents d’importants pans de la société tunisienne en produits et services que l’Etat et les privés n’ont pas pu assurer, jusqu’à ce jour.
Une entreprise publique est particulièrement recommandée. Il s’agit de la création d’une Banque postale, un projet en stand-by depuis des années. Actuellement le projet de loi portant création de cet établissement financier est relancé. Il est soumis, depuis juillet 2025, au parlement sur l’initiative d’un groupe de députés.
Concrètement, fort de plus 1200 bureaux postaux répartis sur tout le territoire du pays, de 4 millions de détenteurs de comptes d’épargne représentant 25% de l’épargne du pays et de 2 millions de comptes courants, le projet de Banque postale a toutes les chances de réussir.
Ce type de banque, inspiré d’expertises réussies dans des pays développés comme la France, l’Italie et le Japon, se propose de fournir des services de proximité aux communautés enclavées, c’est-à-dire dans les contrées où les banques classiques ne sont pas présentes…
La Banque postale va jouer sur le levier de la proximité pour fournir un service qu’elle n’offre pas, à ce jour, à savoir l’octroi de crédits. Elle va permettre à d’importants pans de la population et des entreprises localisés à l’intérieur du pays d’accéder à des financements appropriés pour lancer leurs projets. C’est en quelque sorte une banque inclusive.
« Avec plus de 1 200 bureaux et 4 millions d’épargnants, la Poste a toutes les cartes en main pour réussir sa mutation en banque. »
Les bailleurs de fonds soutiennent la création de la banque postale
Cette banque bénéficie du soutien du gouvernement tunisien (a l’exceptions du ministère des finances, de la BCT…) et des bailleurs de fonds. Ces derniers se sont constamment préoccupés des difficultés que rencontrent, à l’intérieur du pays, simples citoyens, PME-micro entreprises, régions et secteurs, pour accéder à un financement bancaire.
C’est d’ailleurs, en prévision de la création de cette banque que l’Union européenne a mis à la disposition de la Poste tunisienne, depuis 2016, un don d’un million d’euros. Ce financement est dédié au cofinancement de plans d’action visant la promotion des différents métiers de la Poste et l’amélioration de leur management.
Pour sa part, la BERD (Banque européenne de reconstruction et du développement) appuie le projet de création de cette nouvelle banque publique parce qu’il répond, d’après les déclarations de ses responsables à Tunis, à un véritable besoin : celui de faire accéder d’importants pans de régions et de secteurs non bancables à des financements bancaires.
Au mois de novembre 2024, les députés ont vivement critiqué, lors d’une séance parlementaire, le ministère des technologies et de la communication, pour les retards liés à la mise en œuvre de la Banque Postale, perçue comme une « revendication populaire ».
« En Tunisie, la proximité est un atout décisif : la Banque postale vise les citoyens et PME laissés à l’écart du financement. »
Les banques de la place craignent la Banque postale
Selon nos informations, cette initiative serait freinée par des blocages au niveau de plusieurs parties : ministère des Finances, Banque centrale, Conseil bancaire et financier (CBF), organisme professionnel qui regroupe les banques et les établissements financiers….et des sociétés de micro crédits qui accordent des crédits au taux d’intérêt variant entre 20 et 40% .
Effectivement, les banques de la place et les sociétés de microfinance qui sont très actives dans les quartiers populaires voient d’un mauvais œil l’arrivée de ce nouvel établissement financier public qui, par l’effet de l’avantage dont il jouit en matière de proximité et d’implantation sur tout le territoire du pays, constituerait une sérieuse concurrence…
D’après le député Mohamed Zied Maher représentant des initiateurs de la proposition parlementaire, « cette banque postale pourrait introduire une dynamique de concurrence sur le marché financier tunisien. Il considère qu’il est temps que les banques traditionnelles s’adressent davantage aux investisseurs et s’engagent avec eux sur la question du risque, condition nécessaire selon lui à une véritable renaissance financière et économique du pays ».
« Le risque n’est pas dans le projet, mais dans la gouvernance qui décidera de son avenir. »
Quant à nous, nous pensons qu’au regard de la tendance fâcheuse de la BCT à trainer des pieds avant de promulguer le projet de loi sur « l’inclusion financière », l’initiative des députés d’accélérer le débat sur la création de la Banque postale ne peut être que saluée.
Néanmoins, nous nous empressons de formuler cette crainte de voir, en l’absence d’institutions de contrôle solides, la future Banque postale tomber, par l’effet du mauvais choix des hommes et des politiques, dans le piège de la mauvaise gouvernance dont souffre actuellement l’écrasante majorité des banques publiques de la place.
Abou SARRA
EN BREF
La Tunisie relance le projet de Banque postale, longtemps en attente.
Objectif : offrir des crédits et services financiers aux citoyens et PME exclus du système bancaire.
Avec son réseau de 1 200 bureaux postaux et 4 millions d’épargnants, la Poste dispose d’atouts uniques.
Le projet bénéficie du soutien de l’UE et de la BERD, mais se heurte à l’opposition du ministère des Finances, et de la BCT.
Enjeu majeur : réussir la gouvernance pour éviter les dérives des banques publiques.
Parce que la réussite commence par une bonne connexion, Ooredoo continue d’accompagner toutes les générations sur le chemin de l’apprentissage, du partage et de la performance numérique.
À l’occasion de la rentrée scolaire 2025/2026, l’opérateur lance sa nouvelle campagne “Home Connectivity”, un concept innovant qui regroupe ses meilleures offres d’Internet Très Haut Débit à domicile. L’objectif est clair : offrir à chaque foyer une connexion stable, rapide et illimitée, adaptée à tous les usages numériques de la famille, pour que la rentrée soit aussi fluide à la maison qu’à l’école.
Dans un monde où le numérique occupe une place grandissante, la connectivité domestique est devenue une nécessité incontournable. Avec “Home Connectivity”, Ooredoo propose un éventail d’offres variées et accessibles, répondant à toutes les attentes en matière d’Internet fixe, fibre ou 5G.
Parmi les solutions phares de cette campagne, Fibre Box BTS 2025 offre un répéteur Wi-Fi gratuit pour les débits 50Mbps et plus d’une valeur pouvant atteindre 359 DT, douze mois d’abonnement à Shahid VIP inclus, ainsi qu’une installation gratuite et une connexion pouvant atteindre 1 Gbps. Cette offre est disponible dans les zones fibrées, avec un engagement de 12 ou 24 mois.
Ooredoo propose également une promotion tarifaire : le débit 50 Mbps au prix du 30 Mbps et le débit 100mbps au prix du 50 Mbps.
Pour les foyers situés dans les zones couvertes par la 5G d’Ooredoo, Fixe JDID 5G BTS permet de profiter d’une connexion illimitée, sans ligne fixe, avec un choix de débits allant de 30 à 100 Mbps. Les clients bénéficient également de douze mois d’accès à Shahid VIP et d’un répéteur Wi-Fi offert gratuitement à partir du débit 50mbps.
Pour garantir une expérience optimale dans chaque recoin du foyer, Ooredoo propose aussi Wifi In Home, un service premium qui assure une installation personnalisée et une couverture Wi-Fi idéale dans toutes les pièces.
À travers cette nouvelle campagne, Ooredoo adresse un message simple mais puissant : une maison connectée, pour des rêves sans limites. Car derrière chaque devoir, chaque cours en visioconférence, chaque appel à la famille, il y a un rêve qui prend forme. Plus que jamais, Ooredoo s’engage à accompagner les familles tunisiennes pour une rentrée pleine de promesses, de découvertes… et de connexions qui rapprochent les cœurs.
Kia lance, pour la première fois, la production de VE dans son usine européenne de Žilina en Slovaquie, – La berline EV4 cinq portes est assemblée sur les lignes de production modernisées de l’usine Kia, – Cette version 5 portes de EV4 est spécialement conçue pour l’Europe et devrait obtenir un éco-score lui permettant d’être éligible à la Prime CEE Coup de Pouce, en France, – EV4 offre jusqu’à 625 km d’autonomie avec une seule charge, soit la meilleure de la catégorie des berlines du segment C, – EV4 est le premier véhicule 100% électrique de la marque à être produit en Europe, s’inscrivant ainsi dans la droite ligne de la stratégie d’électrification de Kia.
La version 5 portes de EV4 est le premier véhicule 100% électrique de la marque à être
fabriqué en Europe, dans l’unique usine européenne de Kia, implantée en Slovaquie. A cet effet, les lignes de production de ce site ont fait l’objet d’importantes améliorations afin de permettre la production de véhicules électriques.
Ce lancement marque une étape clé dans la stratégie d’électrification de Kia en Europe.
En France, ce nouveau modèle électrique de la gamme Kia, qui arrivera chez les
distributeurs en septembre, constitue une opportunité de croissance commerciale majeure auprès des particuliers, comme des entreprises. Construite en Europe, EV4 devrait obtenir un éco-score lui permettant d’être éligible à la Prime CEE Coup de Pouce.
Conçue spécialement pour le marché européen, la berline EV4 cinq portes sera
exclusivement assemblée dans l’usine de Kia en Slovaquie.
« Le lancement de la production de EV4 constitue une étape clé pour Kia. Il témoigne des capacités techniques et de la flexibilité de nos installations européennes », déclare Marc Hedrich, Président et CEO de Kia Europe. « A compter du 20 août 2025, Kia Slovaquie produira des véhicules 100% électriques aux côtés de modèles hybrides et thermiques.
Grâce à l’extension de nos capacités de production, nous sommes en mesure de répondre encore plus efficacement aux besoins divers et variés de nos clients européens. »
« Nous nous préparons au lancement de la production de EV4 depuis de longs mois », déclare Tomáš Potoček, porte-parole de Kia Slovaquie. « En conjuguant nos
technologies de fabrication avancées à la détermination de nos équipes hautement
qualifiées, nous avons réussi à lancer avec succès la production de ce modèle. »
Reposant sur la plateforme modulaire globale électrique (E-GMP) du Groupe, EV4 offre le
parfait équilibre entre performance et efficience. Cette berline 100% électrique est d’ores et déjà disponible à la commande dans le réseau Kia, avec deux packs de batterie au choix :
une batterie standard de 58,3 kWh (permettant une autonomie jusqu’à 440 km avec une
seule charge) et une batterie longue autonomie de 81,4 kWh (offrant jusqu’à 625 km
d’autonomie avec une seule charge, soit la meilleure de la catégorie des berlines du
segment C). EV4 intègre des technologies de gestion d’énergie résolument innovantes,
telles que les fonctions V2L (Vehicle-to-Load) et V2G (Vehicle-to-Grid). Elle bénéficie, en
outre, d’un capot en aluminium qui contribue à réduire son poids et à améliorer son
comportement routier, et offre une palette de huit coloris extérieurs, dont une finition matte exclusive.
Caractérisé par des lignes acérées, le design audacieux de EV4 incarne la célèbre
philosophie ‘Opposites United’ / (L’alliance des contraires) de Kia. EV4, qui a fait ses débuts sur la scène internationale en février 2025, est conçue pour répondre aux besoins des clients en quête d’innovation, de performance et de mobilité électrique.
Depuis Zilina vers le monde entier
L’usine de production de Kia à Zilina, en Slovaquie, constitue l’un des piliers des activités de la marque en Europe. Cette usine de deux kilomètres carrés, qui a ouvert ses portes en 2006, bénéficie d’un emplacement stratégique pour approvisionner les principaux marchés européens. Elle emploie quelque 3 700 personnes et fait appel à plus de 600 robots de dernière génération. Cette usine est capable de produire simultanément toutes sortes de modèles dans ses cinq ateliers principaux : presse, ferrage, mise en peinture, moteur et assemblage.
Grâce à un investissement de 108 millions d’euros, les lignes de production ont été
modernisées avec de nouvelles technologies, dont un convoyeur pour batteries de VE,
installé sur la ligne de châssis de l’atelier d’assemblage.
L’usine de Zilina produit également d’autres modèles tels que les Kia XCeed et Sportage,
dont les versions hybrides et hybrides rechargeables représentaient 25% de sa production totale en 2024.
Avec une capacité annuelle de 350 000 véhicules et de 540 000 moteurs, ce site a produit, depuis sa mise en service, plus de 5 000 000 d’unités qui sont exportées vers 83 pays différents. Ces chiffres représentent environ 11% de la production totale de véhicules de la marque, au niveau mondial.
Kia a mis en œuvre plusieurs mesures de développement durable au sein de son usine
européenne. Depuis 2014, Kia Slovaquie a réduit sa consommation d’électricité par véhicule de 11%, sa consommation d’eau de 28% et ses émissions de CO2 de 13%. Aujourd’hui, l’usine fonctionne à 100% avec de l’électricité renouvelable et entend couvrir environ 1,5% de ses besoins en énergie grâce à l’installation d’une nouvelle centrale photovoltaïque d’ici à la fin de l’année.
Sfax, le 28 août 2025 –Ooredoo a clôturé avec brio la 3ᵉ édition du Ooredoo Music Fest by OPPO, organisée cette année au cœur de la ville de Sfax. Plus de 7 000 spectateurs ont répondu présents pour vivre l’une des expériences artistiques et technologiques les plus marquantes en Tunisie.
Ce festival a offert un spectacle exceptionnel sur une scène monumentale aux standards internationaux, où musique, lumières, technologies de pointe et show holographique se sont harmonieusement mêlés, plongeant le public dans une expérience visuelle et sonore inoubliable.
Particularité de cette édition : elle a été gratuite et ouverte à tous, soulignant l’engagement de Ooredoo à rendre la culture et le divertissement accessibles au plus grand nombre. La soirée a également été marquée par la distribution de nombreux cadeaux et par une forte interaction avec le public, qui a contribué à créer une ambiance conviviale et festive.
Le point culminant de l’événement fut le spectacle tant attendu « Ragouj », réunissant plus de 120 artistes tunisiens dans une performance grandiose, reflétant toute la richesse et la diversité de la scène culturelle tunisienne.
À cette occasion, M. Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie, a déclaré : « Le succès de cette 3ᵉ édition à Sfax reflète notre volonté d’aller à la rencontre de tous les Tunisiens, dans toutes les régions. Nous avons voulu offrir au public une expérience gratuite, unique et immersive, car nous croyons que la vie est plus belle lorsqu’elle est vécue ensemble, au rythme de la musique et sous le ciel de la Tunisie. »
De son côté, Mohamed Challouf, le directeur commercial de OPPO a affirmé : « Notre partenariat avec Ooredoo dans ce festival illustre notre conviction commune que la technologie peut sublimer la culture et le divertissement. Nous sommes fiers d’avoir contribué à une expérience inoubliable qui a su allier innovation et créativité artistique. »
Forte de ce succès, Ooredoo donne déjà rendez-vous à son public pour une 4ᵉ édition encore plus surprenante et innovante, afin de poursuivre sa mission : connecter les Tunisiens à des expériences uniques, où l’art et la technologie se rencontrent.
Le Groupement professionnel des sociétés de remorquage, relevant de la CONECT, a annoncé la suspension provisoire de son activité à partir du lundi 1er septembre 2025.
Dans un communiqué publié vendredi, le groupement explique cette décision par le non-respect des engagements financiers de l’une des sociétés d’assistance (assisteurs), qui n’a pas régularisé ses dettes accumulées.
Cette situation a aggravé les difficultés financières du secteur, menaçant la pérennité des services de remorquage. Malgré plusieurs tentatives de dialogue pour trouver une solution amiable, l’absence de régularisation a conduit les professionnels à opter pour cette mesure radicale.
Le groupement appelle les autorités et les parties concernées à intervenir rapidement pour trouver une issue équitable et permettre la reprise du service, afin d’éviter de lourdes conséquences pour les citoyens. Il réaffirme néanmoins sa volonté de rester engagé dans un processus de dialogue consultatif.
Organisé par TPM Events, en collaboration avec le Ministère des Technologies de la Communication, BIGTECH AFRICA revient du 9 au 11 septembre 2025 avec une ambition renforcée : faire de Tunis le cœur battant de l’innovation, de l’investissement et de la coopération technologique en Afrique.
L’édition 2025 sera également inaugurée le 9 septembre par M. Sofiene HEMISSI, Ministre des Technologies de la Communication. Cet acte marquera le coup d’envoi d’un événement d’envergure, placé sous le signe de la souveraineté numérique et de l’ouverture sur le monde.
Avec plus de 12 000 participants, 200 exposants et startups, 100 speakers internationaux, 50 investisseurs, et des pavillons institutionnels multisectoriels, BIGTECH AFRICA s’impose comme un rendez-vous continental stratégique, pensé pour connecter les talents africains aux marchés, aux capitaux et aux décideurs publics et privés.
Bien au-delà d’un salon technologique, BIGTECH AFRICA est une plateforme où la tech soigne, éduque, inclut, investit et transforme — en plaçant l’humain, les valeurs et les Objectifs de Développement Durable (ODD) au cœur du progrès.
Dans un environnement en profonde mutation, marqué par la transformation structurelle du secteur des assurances, Assurances ZITOUNA TAKAFUL poursuit avec constance sa trajectoire ascendante, témoignant de la pertinence et de la solidité de son modèle économique. Forte d’une gouvernance rigoureuse, d’indicateurs financiers robustes et d’un réseau commercial en constante expansion, la compagnie affirme une nouvelle fois sa capacité à conjuguer performance, innovation et résilience.
Des résultats financiers qui confirment la solidité du modèle
Durant l’année 2024, Assurances ZITOUNA TAKAFUL a enregistré des résultats particulièrement probants, avec un chiffre d’affaires de 128 millions de dinars et un résultat net combiné de 10,3 millions de dinars.
Ces performances, fruits d’une gestion rigoureuse des provisions techniques et des placements financiers, traduisent la solidité d’un pilotage aligné sur les exigences réglementaires et animé par une stratégie axée sur la pérennité et la création de valeur durable.
« Ces résultats ne sont pas le fruit du hasard, mais l’aboutissement d’une stratégie cohérente, soutenue par un investissement continu dans l’humain, la technologie et l’excellence du service », déclare Makrem BEN SASSI, Directeur Général de la compagnie.
Une avancée majeure : La première distribution du surplus
L’année 2024 s’illustre également par une étape déterminante dans la vie de ZITOUNA TAKAFUL : Lapremière distribution du surplus au bénéfice des clients éligibles marque la concrétisation tangible des principes fondateurs du Takaful, reposant sur la transparence, l’équité et le partage au profit des participants.
Un ancrage territorial renforcé
Au-delà de ses performances financières, Assurances ZITOUNA TAKAFUL consolide sa présence à travers le territoire national. Forte de 56 points de vente et d’un effectif de plus de 250 collaborateurs directs et indirects, la compagnie affirme sa volonté d’être au plus près de ses clients et partenaires. Ce maillage dense, pensé dans une logique de proximité et d’accessibilité, illustre l’engagement de la compagnie à offrir des services adaptés aux spécificités locales et aux attentes de chaque assuré.
Une transformation numérique au service de l’expérience client
Parallèlement, la compagnie accélère sa dynamique de transformation digitale. Modernisant ses processus internes et repensant l’ensemble de l’expérience client, elle déploie des solutions numériques innovantes : digitalisation des services, dématérialisation des procédures et plateformes interactives.
Ces initiatives offrent à ses clients une relation simplifiée, fluide et personnalisée, tout en consolidant les atouts de compétitivité de la compagnie.
Dans cette même dynamique d’innovation, le lancement du nouveau produit d’assurance santé Zitouna Health Premium illustre la volonté de la compagnie d’élargir son offre avec des solutions modernes, flexibles et adaptées aux besoins évolutifs de ses assurés.
Une vision fondée sur la responsabilité et la confiance
Dans un contexte où la confiance constitue un levier stratégique, Assurances ZITOUNA TAKAFUL inscrit son action dans une vision de long terme, guidée par trois piliers essentiels : La transparence, comme gage de confiance ; la performance durable, comme moteur de croissance et la responsabilité sociétale, comme engagement envers la collectivité.
En conjuguant innovation, proximité et rigueur, Assurances ZITOUNA TAKAFUL confirme sa vocation à être un acteur de référence du secteur, au service de ses assurés et de la société dans son ensemble.
WinBoat, premier média tunisien spécialisé dans l’actualité et l’industrie nautique, scelle un partenariat avec Assurances Maghrebia, leader du secteur de l’assurance en Tunisie.
Fort de plus d’un demi-siècle d’expérience, Assurances Maghrebia s’impose comme un acteur incontournable du marché tunisien. Reconnue pour son expertise et son approche centrée sur les assurés, la compagnie accompagne particuliers, professionnels et entreprises à travers une large gamme de solutions couvrant les biens et les personnes.
Dans le cadre de cette alliance, WinBoat met en avant son expertise médiatique et sa connaissance du monde nautique, tandis qu’Assurances Maghrebia mobilise son savoir-faire d’assureur reconnu. Ensemble, ils s’engagent à informer les plaisanciers et à leur offrir des solutions de couverture complètes, personnalisées et adaptées à leurs besoins.
Des garanties adaptées aux besoins des plaisanciers
Le partenariat avec WinBoat met en avant une offre d’assurance spécifique au secteur nautique, comprenant notamment :
Responsabilité Civile : couverture des dommages corporels et matériels causés à des tiers (ouvrages portuaires, autres embarcations, infrastructures portuaires, plaisanciers, propagation d’incendie, etc.).
Individuelle Marine : protection des passagers et de l’équipage en cas d’accident, incluant frais médicaux, hospitaliers, décès accidentel ou incapacité permanente.
Pertes et avaries : prise en charge des dommages subis par le bateau.
Frais de retirement : couverture des coûts liés au retrait de l’épave en cas de naufrage.
Vol : indemnisation en cas de vol total ou partiel du bateau ou de ses équipements.
Assurance sur Corps : protection de l’embarcation, en mer ou au port, contre des risques tels que l’incendie, le vol et autres sinistres, avec une garantie supplémentaire en cas de perte totale ou de délaissement.
L’importance de l’assurance pour les plaisanciers tunisiens
Si l’assurance bateau n’est pas obligatoire en Tunisie, elle demeure dans les faits indispensables.
Tout propriétaire souhaitant laisser son embarcation au mouillage dans un port devra présenter une attestation d’assurance couvrant au minimum la Responsabilité Civile, et dans la plupart des cas, une garantie retirement. Ces exigences visent à protéger les plaisanciers ainsi que les infrastructures portuaires.
Au-delà de l’aspect réglementaire, l’assurance constitue donc une condition essentielle pour naviguer et stationner en toute sérénité.
Une vision commune pour la plaisance tunisienne
Anis Zarrouk, expert nautique et co-fondateur du magazine de WinBoat, déclare : « Avec ce partenariat, nous souhaitons sensibiliser les plaisanciers à l’importance de l’assurance comme gage de sécurité et de tranquillité. Grâce à l’expertise d’Assurances Maghrebia et à notre rôle de média spécialisé, nous ambitionnons d’offrir aux passionnés de nautisme les meilleures conditions pour pratiquer leur activité en toute confiance. »
Ooredoo Tunisie a réaffirmé son engagement en faveur de l’entrepreneuriat et de l’innovation tunisienne à travers son partenariat avec Bako Motors, la startup pionnière derrière les véhicules électriques solaires en Tunisie.
Dans le cadre de cette collaboration, Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie, et son équipe ont visité l’usine de fabrication de Bako Motors à Mghira, Ben Arous, pour rencontrer la direction de la startup et célébrer ses réussites. Cette visite symbolise le soutien continu de Ooredoo aux innovateurs locaux qui font progresser la mobilité durable en Tunisie.
À cette occasion, Ooredoo Tunisie a également remis les clés d’un véhicule électrique Bako Bee au gagnant du concours de la Fête des Pères, récompensant la créativité et l’engagement du public tout en mettant en lumière le potentiel de la technologie et de l’entrepreneuriat tunisien.
Comme l’a exprimé Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie : « Soutenir l’innovation locale est au cœur de la mission de Ooredoo Tunisie. Notre collaboration avec Bako Motors reflète notre engagement à valoriser le talent tunisien, promouvoir des solutions durables et développer la connectivité comme levier de transformation. Ensemble, nous ouvrons la voie à de nouvelles expériences pour nos clients et préparons l’avenir de la voiture connectée en Tunisie. »
Pour sa part, Boubaker Siala, CEO de Bako Motors, a souligné : « Le soutien de Ooredoo Tunisie renforce notre vision pour une mobilité innovante et durable. Cette collaboration nous permet d’intégrer la connectivité au cœur de nos véhicules, un projet d’avenir qui consolide à la fois notre technologie et l’écosystème des startups tunisiennes. Nous sommes enthousiastes à l’idée de continuer ce parcours ensemble. »
Cette initiative illustre l’engagement de Ooredoo Tunisie à soutenir les startups locales, encourager l’innovation technologique et contribuer à un avenir durable, connecté et prometteur pour la Tunisie.
Since the end of World War II, trade liberalization and economic integration have been embraced by the more advanced economies as pillars of prosperity and global peace. During this period, global tariffs were gradually brought down and trade barriers were dismantled, facilitated by the rules and mechanisms of the General Agreement on Tariffs and Trade (GATT), and later the World Trade Organization (WTO). Additional boosts to international trade were provided by the integration of former-communist economies into global markets, the proliferation of multilateral agreements, and the economic opening of China.
These developments helped push trade to record highs. In 2008, the sum of exports of all countries reached its peak of 24% of global GDP. But the rapid expansion of global trade flows then came to a sudden halt. The Global Financial Crisis (GFC) represented an abrupt interruption of the positive trend, as major economies entered recession and faced a financial crunch, causing consumer and business demand for goods to plummet. Growth in trade fluctuated sharply in the following years, amid increasing protectionism, geopolitical polarization, and the nationalist “America First” doctrine during the first Trump presidency.
In early April this year, on what has come to be known as “Liberation Day,” President Trump unveiled a sweeping package of tariffs that hit practically all countries. This unprecedented event placed the US at the epicentre of a major global trade shock, and marked the beginning of a period of high economic uncertainty. Countries rushed to put together comprehensive offer packages to soften the initially unyielding position of President Trump. The terms of bilateral negotiations extended beyond tariff levels, and included investment pledges destined to the North American economy, as well as the outright purchase of US goods, spanning from agricultural to energy products.
The conclusion of a first set of negotiations helped moderate uncertainty and discard the extreme case scenarios. Deals were reached with the UK, Japan, Indonesia, Vietnam, the Philippines, and the EU, narrowing the range of potential outcomes for the rest of the world, and slowly uncovering a new “high-tariff world.” The effective tariff rate (ETR) is a useful measure of the burden imposed on a country’s imports, measuring the average rate of tariffs weighted by the value of imported goods. The latest estimate points to an overall average effective rate of 18.2%, the highest level since the peak of 19.8% in 1933, a period of strongly protectionist policies.
This level of tariffs in the US, together with potential retaliatory tariffs from other countries introduce substantial headwinds to the US growth outlook. In
this article, we discuss the key consequences of the new tariffs for the performance of the US economy.
Tariffs are set to have an impact on prices faced by US households and firms. Typically the “pass-through” effect of tariffs to final prices is not complete, since part of the increase in costs is absorbed via squeezed profit margins of US importers, as well as of foreign producers. Nevertheless, estimates of the final impact on prices are significant, in a range from 0.4 to 2 percentage points (p.p.) in headline inflation. Even in the more optimistic scenarios, the expected increment in final prices represents an important cost for households. As a result, higher tariffs are expected to curb household purchasing power, supressing overall consumption and economic growth.
On the production-side, higher tariffs raise input costs and disrupt supply chains, deteriorating competitiveness and lowering investments. Policy uncertainty and higher costs from tariffs reduce investment, particularly in manufacturing. As a result of higher tariffs, consensus growth expectations for this year have descended sharply, from 2.2% before Liberation Day, to 1.5%. This is a meaningful downgrade on the growth outlook for the US economy as a result of the new high-tariff reality.
Tariffs act as a tax on imports and are therefore a means to generate revenues for the federal government, contributing to reduce the fiscal deficit. According to the most optimistic estimates on the fiscal impact, the new tariffs to date could raise USD 2.3 trillion over the period 2026-35. Although, this is a substantial increase in resources for the government, the negative impact on the economy could diminish other sources of fiscal revenues. Furthermore, it is uncertain if current tariffs would be maintained beyond the end of President Trump’s terms.
All in all, higher tariffs create significant headwinds for the US economic growth outlook, as higher prices reduce household spending, and uncertainty and increased costs affect production and investment.