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Financement des entreprises en Tunisie : le guide des solutions de la BAD

21. Oktober 2025 um 14:03

À l’occasion de la deuxième édition de La Rencontre du Financement, qui se tenait à Tunis le 21 octobre 2025, Fernando Rodrigues, chef des opérations du secteur privé pour l’Afrique du Nord à la Banque africaine de développement (BAD), a présenté aux entrepreneurs tunisiens un large éventail de solutions financières destinées à soutenir leur croissance. Avec un portefeuille de plus de 600 millions d’euros engagés en Afrique du Nord, sur un total de près de 5 milliards d’euros à l’échelle du continent, la BAD confirme son rôle de partenaire clé pour le financement, la modernisation et l’expansion internationale des entreprises tunisiennes.

Au premier trimestre 2025, le portefeuille du secteur privé de la BAD dans la région dépassait 600 millions d’euros; contre un total continental avoisinant 5 milliards d’euros. Environ 60 % de ces engagements se présentent sous forme de prêts à long terme, complétés par des lignes de crédit, des investissements en capital et des garanties partielles facilitant l’accès au financement en monnaie locale. Ces mécanismes permettent aux entreprises tunisiennes de sécuriser leurs investissements tout en créant un effet catalytique, attirant d’autres partenaires financiers pour renforcer l’impact économique et social.

Un guichet privé exigeant et mobilisateur 

Fernando Rodrigues a précisé que le guichet privé de la BAD cible exclusivement les entreprises financièrement autonomes et bien gouvernées, qu’elles soient publiques ou privées. Les financements concernent des projets d’un montant minimum de 10 millions d’euros, la Banque couvrant en moyenne un tiers du coût total. Cette approche vise à mobiliser des investisseurs complémentaires, renforcer la capacité des entreprises à se développer sur le marché local et favoriser leur expansion à l’échelle africaine.

Des instruments financiers flexibles et adaptés 

Les instruments proposés sont nombreux et flexibles. Les prêts à long terme peuvent atteindre 15 ans, et jusqu’à 20 ans pour les projets d’infrastructures ou d’énergie. Les fonds concessionnels, notamment dans les énergies renouvelables, viennent compléter ces prêts avec des conditions avantageuses, afin d’encourager les initiatives à faible impact environnemental. La BAD participe également à des fonds d’investissement dédiés aux PME locales, offrant un accompagnement stratégique et opérationnel pour favoriser la croissance et l’internationalisation. Les garanties partielles, quant à elles, permettent aux banques locales de financer des projets en dinars tout en limitant leur exposition au risque, ouvrant l’accès au financement dans des secteurs ou régions encore peu desservis.

Chaque projet fait l’objet d’une évaluation rigoureuse. Les dossiers doivent inclure un mémorandum d’information, les études de faisabilité, un modèle financier, ainsi qu’une évaluation environnementale et sociale. Selon la nature du projet, les délais d’instruction varient de quatre à douze mois. Ce processus garantit la viabilité et l’efficacité des financements, qu’il s’agisse de soutenir des entreprises établies ou de lancer de nouvelles unités industrielles et agro-industrielles.

Des projets concrets, de l’énergie à l’agro-industrie 

En Tunisie, le projet photovoltaïque de Kairouan, cofinancé avec la SFI pour 37 millions d’euros, dont une partie issue du fonds concessionnel Sustainable Energy for Africa, illustre cette approche intégrée. Ce projet bénéficie d’une maturité longue et d’une période de grâce adaptée, sécurisant le retour sur investissement, tout en soutenant la transition énergétique nationale.

Sur le plan régional, la Banque a soutenu un groupe franco-ivoirien dans le développement d’usines de transformation du caoutchouc en Côte d’Ivoire et au Ghana, favorisant la valorisation locale des ressources et la création d’emplois. Au Maroc, elle a contribué au financement d’une usine de ciment de 50 millions d’euros, en partenariat avec plusieurs banques locales, démontrant sa capacité à mobiliser des co-financeurs sur des projets industriels d’envergure.

Pour les chefs d’entreprises tunisiennes, ces instruments représentent une réelle opportunité de diversifier les sources de financement, de moderniser les outils de production et de préparer une expansion régionale. La BAD met un accent particulier sur l’agro-industrie et l’énergie, deux secteurs stratégiques pour l’économie tunisienne, en combinant financement direct, fonds concessionnels et accompagnement technique. Chaque projet est évalué selon son impact sur l’emploi, sa contribution fiscale et sa conformité environnementale et sociale, afin d’assurer un développement durable et inclusif.

Fernando Rodrigues a rappelé que la BAD n’est pas seulement un bailleur de fonds, mais un partenaire stratégique offrant un accompagnement global associant ressources financières, expertise opérationnelle et vision régionale. Grâce à sa notation de crédit élevée, l’institution mobilise des ressources à coûts compétitifs, un avantage directement répercuté sur les projets financés. Son objectif pour le tissu entrepreneurial tunisien est clair : moderniser, innover, diversifier et internationaliser les entreprises pour renforcer la compétitivité régionale et accélérer le développement économique.

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Pluxee Tunisie : Hazar Chebbi nommée Directrice Générale, Slim Ben Ammar préside le Conseil d’administration

20. Oktober 2025 um 21:51

Pluxee Tunisie renforce sa gouvernance pour accélérer sa croissance et son innovation : Hazar Chebbi est nommée Directrice Générale et Slim Ben Ammar couronne son parcours en accédant à la présidence du Conseil d’administration.

Pluxee Tunisie, filiale du Groupe Pluxee International et leader des solutions d’avantages sociaux et d’engagement des employés, annonce une évolution de sa gouvernance pour soutenir sa dynamique de croissance et d’innovation.

Hazar Chebbi est nommée Directrice Générale de Pluxee Tunisie. Jusqu’ici Directrice Marketing, Produits et Expérience Client, elle a été un pilier dans la transformation de l’entreprise, en développant de nouvelles offres et en plaçant l’expérience client au cœur de la stratégie.

Dans ses nouvelles fonctions, elle aura pour mission de poursuivre la trajectoire de croissance de Pluxee Tunisie, de renforcer son positionnement digital et d’enrichir ses solutions au service des entreprises et de leurs collaborateurs.

Slim Ben Ammar, qui a joué un rôle déterminant dans la construction d’une solide position de leader sur le marché tunisien depuis 1998, et plus récemment au Maroc, est désormais porté à la tête du Conseil d’administration de Pluxee Tunisie. Il continuera parallèlement à se consacrer au développement de la filiale marocaine en tant que Directeur Général de Pluxee Maroc.

Cette nouvelle gouvernance illustre la volonté du groupe de s’appuyer sur des leaders engagés pour renforcer la proximité client, accélérer la transformation digitale et consolider le rôle de Pluxee comme acteur majeur du bien-être au travail en Tunisie.

À propos de Pluxee Tunisie

Pluxee Tunisie est le leader national des solutions d’avantages aux salariés (titres repas, cartes cadeaux, loisirs, habillement…). En tant que pionnière de la digitalisation de ses services depuis 2010, l’entreprise a été la première à lancer une carte multi-services, permettant de passer du format papier à une expérience 100 % numérique.

Engagée aux côtés des entreprises tunisiennes, Pluxee les accompagne dans la valorisation de leur marque employeur et la promotion du bien-être au travail grâce à des solutions innovantes, personnalisées et responsables.

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Tunisie : 39ᵉ Journées de l’Entreprise IACE à Sousse sur le thème « L’entreprise et le nouvel ordre économique »

Von: walid
20. Oktober 2025 um 12:35

La 39ème édition des Journées de l’Entreprise, évènement annuel de l’Institut arabe des chefs d’entreprises (IACE) se tiendra, du 11 au 13 décembre à Sousse, sous le thème « L’entreprise et le nouvel ordre économique ».

Ces Journées se veulent un espace de réflexion, d’échange et d’inspiration pour accompagner les entreprises dans cette phase de transition et leur permettre de s’approprier pleinement ce nouvel ordre économique.

Au programme figure une session spéciale sur « L’Administration d’une économie agile » qui portera sur les réformes annoncées et primordiales pour la promotion de l’investissement en Tunisie à savoir la numérisation de l’administration, la promulgation du nouveau code des changes, du nouveau code d’investissement et la logistique portuaire.

Les panélistes discuteront également de la « Nouvelle économie internationale » afin d’analyser les mutations géopolitiques avec la constitution de nouveau blocs et de nouvelles règles et de « la Tunisie et la nouvelle économie internationale ».

Le programme prévoit, également, l’organisation de plusieurs panels axés sur « l’interaction entre la sphère entrepreneuriale et la sphère politique ? », « La nouvelle économie nationale » et « Les nouvelles pistes d’investissement » qui permettront de proposer des projets structurants tirant profit des nouveaux ordres et de disséminer des nouvelles opportunités d’investissement.

Le paysage économique tunisien et mondial est en pleine transformation, a rappelé l’IACE. Une nouvelle gouvernance, de nouvelles régulations, l’émergence de nouveaux acteurs et l’apparition de nouvelles priorités structurent ce qui peut être qualifié de « nouvel ordre économique ».

Cette évolution se caractérise par sa complexité, sa multiplicité et son cloisonnement, et elle impose aux entreprises de repenser leurs stratégies et leurs modes de fonctionnement, a ajouté le Think thank.

Dans ce contexte, l’entreprise doit plus que jamais s’adapter aux mutations à différents niveaux: au plan international, où les règles du commerce et de l’investissement se réinventent; au plan national, où les réformes économiques et administratives redéfinissent l’environnement des affaires; et au sein même de l’entreprise, où l’intégration des nouvelles technologies, et notamment de l’intelligence artificielle, modifie les processus, les postes de travail et les produits.

Saisir ces transformations représente autant un défi qu’une opportunité. Les entreprises doivent se repositionner, tirer parti des nouvelles opportunités et établir des relations plus efficaces et constructives avec l’administration, le pouvoir exécutif et leurs propres équipes, a recommandé l’Institut.

La capacité à instaurer un dialogue transparent, à gérer le changement et à mutualiser intelligemment les compétences humaines et technologiques devient un facteur clé de réussite.

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PME : Qui peut bénéficier du programme d’appui aux PME en difficulté ?

Von: hechmi
20. Oktober 2025 um 12:02

PMELe ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle a décidé de proroger les dates limites d’inscription au programme d’appui aux PME en difficulté.

Et a fixé les conditions que doit remplir le promoteur pour bénéficier de ce programme:

  • Être inscrit auprès de l’Agence nationale pour l’emploi et le travail indépendant ;

  • Bénéficier d’un financement du Banque Tunisienne de Solidarité (BTS) obtenu en 2015 ou après, sur des lignes de crédit susceptibles d’être rééchelonnées ;

  • Avoir un projet en activité au moment de l’inscription au programme ;

  • Disposer d’un identifiant unique au Registre National des Entreprises (RNE), à l’exception des activités agricoles ;

  • Avoir un nombre d’échéances impayées sur le prêt obtenu auprès de la BTS supérieur à 3 et ne dépassant pas 36 ;

  • Avoir remboursé au moins 20 % des montants dus ;

  • Être en mesure de payer les frais de rééchelonnement ;

  • Ne pas avoir déjà bénéficié d’une opération de rééchelonnement de ses prêts ;

  • Ne pas être interdit de relation bancaire ;

  • Ne pas avoir bénéficié d’un soutien dans le cadre des mesures gouvernementales liées à la pandémie de Covid-19 ;

  • Ne pas exercer une activité figurant sur la liste négative des activités éligibles à l’accompagnement.

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Kia devient le premier constructeur automobile à tester publiquement un passeport numérique pour les cellules de ses batteries

20. Oktober 2025 um 10:14
  • Kia accélère sur la mise en place d’un passeport numérique pour les batteries avant l’entrée en vigueur de la réglementation européenne,
  • Dans le cadre d’une étude, Kia a utilisé un EV3 équipé de moniteurs de cellules pour explorer les opportunités offertes par l’exploitation de données avancées sur les batteries,
  • En complément des recherches préliminaires, Kia a créé une entité dédiée pour fournir de manière indépendante un service de passeport batterie de référence,
  • Kia vise à permettre aux clients de véhicules électriques de bénéficier d’une meilleure réparabilité, d’une durée de vie de batterie prolongée et d’une valeur de revente supérieure grâce à des données de santé précises pour chaque cellule.

Kia Europe mène le premier essai public d’un passeport numérique de batterie au niveau cellulaire, dans le cadre de recherches préliminaires. Cette avancée assure une transparence accrue sur la condition des batteries de véhicules électriques (VE) en fournissant des données de santé détaillées et en temps réel pour chaque cellule. Un passeport de batterie permet le suivi en direct de l’état de santé (State of Health – SoH), des diagnostics de réparation en temps réel et une traçabilité sur l’ensemble du cycle de vie de la batterie. Pour les clients, cela se traduit par une durée de vie prolongée des batteries, une maintenance plus abordable et une confiance renforcée lors de l’achat ou de la revente de VE d’occasion.

« Kia entend établir un nouveau standard pour ses clients en matière de transparence et de performance des batteries », déclare Marc Hedrich, Président et CEO de Kia Europe.

« En testant des passeports de batterie au niveau cellulaire, nous identifions les bénéfices concrets à offrir à nos clients. Au-delà d’une durée de vie prolongée des batteries, nous construisons aussi une relation de confiance. »

Parallèlement à ces recherches, Kia a créé une organisation interne dédiée, réunissant des experts de l’entreprise afin de développer son propre service de passeport de batterie en collaboration avec des partenaires de la chaîne de valeur des batteries et des réseaux associés. Le passeport de batterie Kia ira au-delà des exigences réglementaires en intégrant des données supplémentaires liées à la sécurité, établissant un standard exemplaire pour l’industrie. Kia prévoit de proposer ce service sur l’ensemble des modèles électriques (VE) et hybrides (HEV) vendus en Europe d’ici à février 2027, conformément au règlement européen sur les batteries.

Expérimentation sur un véritable modèle Kia

Dans le cadre de cet essai, un Kia EV3 équipé d’un système de surveillance des cellules de batterie Dukosi a été acheminé jusqu’en Europe depuis la Corée du Sud. Arrivé en Allemagne en février dernier, ce véhicule d’essai est capable de contrôler et transmettre en temps réel les données propres à chaque cellule du pack de batterie et de les télécharger dans son passeport numérique.

Une fois les données téléchargées, les utilisateurs, les techniciens et les contrôleurs entre autres, pourront accéder en temps réel aux informations relatives à l’état de santé de la batterie via le système d’info divertissement du véhicule. Afin de garantir la précision et la traçabilité des données tout au long du cycle de vie de la batterie, le système effectuera une mise à jour automatique après chaque réparation. Pour accéder aux données du passeport de batterie collectées lors de l’essai, la TNO a développé un environnement pilote de partage de données spécialement prévu à cet effet.

La Delft University of Technology, en partenariat avec Hyundai Motor Group, a coordonné ce test de passeport collaboratif. Cette solution pourrait également être configurée pour d’autres applications, notamment pour être expérimentée sur un autre modèle de véhicule ou pour tester son interopérabilité avec une marque différente, voire à des fins d’utilisation dans un autre secteur d’activité.

Projet de recherche conjoint associant plusieurs partenaires au niveau européen dans le but d’évaluer la maturité du passeport de batterie

Cette expérimentation sur le passeport de batterie est fondée sur une initiative de recherche collaborative de portée européenne visant à gérer et à appréhender les défis et opportunités liés à la mise en œuvre du passeport de batterie européen dans un contexte concret impliquant des partenaires multiples. Pour garantir la sécurité de transfert des données entre les systèmes du véhicule et les partenaires concernés, l’intégration technique du passeport de batterie a été gérée par le distributeur mondial de pièces automobiles Hyundai Mobis et Hyundai Motor Group.

Un essai, mené en collaboration avec le projet DATAPIPE financé par l’UE, et l’ARN (l’organisation néerlandaise des producteurs responsables spécialisée dans le traitement en fin de vie des véhicules et de leurs batteries), a permis d’étudier la manière dont les passeports numériques pourraient s’avérer bénéfiques à l’avenir. Pour l’heure, le passeport de batterie européen comprend plus d’une centaine d’attributs de données.

Plus intelligent, plus abordable et plus propre pour les clients

Contrairement aux systèmes de surveillance classiques qui mesurent uniquement l’état de santé du pack ou du module de batterie dans son ensemble, la nouvelle solution de Kia recueille et affiche les données pour chacune des cellules. Cette collecte de données approfondie offre divers avantages aux clients. Grâce aux informations en temps réel sur l’état de santé de la batterie, les clients peuvent identifier et résoudre les problèmes d’entretien à un stade précoce. Il en résultera un allongement de la durée de vie de la batterie et une réduction des coûts à long terme.

Cette surveillance plus précise de la batterie permet également de cibler les cellules à réparer. Il est ainsi possible de changer les cellules individuellement au lieu de remplacer les modules dans leur totalité, d’où un gain de temps et d’argent. Grâce aux données en temps réel sur l’état de la batterie, les propriétaires de VE d’occasion ont davantage confiance dans les performances de leur véhicule, ce qui contribue à accroître sa valeur de revente.

Ce niveau de transparence permet de prendre des décisions éclairées sur la réutilisation et le recyclage des batteries. Ainsi, les batteries des VE peuvent rester plus longtemps sur le marché, favorisant ainsi une réduction des déchets.

L’essai de Kia établit une nouvelle référence quant à la manière dont les constructeurs automobiles peuvent concilier conformité et valeur ajoutée pour leurs clients. Grâce à une parfaite transparence de l’état de santé des cellules, au diagnostic en temps réel et à une approche directe du partage de données, l’entreprise ouvre la voie à un écosystème des VE plus durable.

À PROPOS DE DUKOSI

Dukosi développe des technologies révolutionnaires qui améliorent sensiblement les performances, la sécurité et l’efficacité des systèmes de batterie et permettent de créer une chaîne de valeur des batteries plus durable. L’entreprise propose une solution exclusive de surveillance des cellules basée sur la technologie de puce sur cellule et le protocole de communication C-SynQ® pour les VE, le transport industriel et les marchés de stockage d’énergie stationnaire. Basé à Édimbourg au Royaume-Uni, Dukosi est présent dans le monde entier, avec des sites aux États-Unis, en Asie et en Europe. Pour de plus amples informations, rendez-vous sur www.dukosi.com.

À PROPOS DE L’ARN

L’ARN est pleinement engagée dans le recyclage des véhicules aux Pays-Bas depuis plus de 30 ans. L’organisation joue un rôle de facilitateur et de rapporteur, et se situe au cœur d’un réseau d’importateurs et de sociétés de désassemblage, de broyage et de recyclage des véhicules. L’ARN collabore avec l’ensemble des acteurs de la chaîne de recyclage des véhicules et des batteries, contribue au respect des responsabilités des producteurs, lance des initiatives si nécessaire, et innove pour continuer à atteindre les objectifs de recyclage à l’avenir.

À PROPOS DE L’UNIVERSITÉ DE TECHNOLOGIE DE DELFT (TU DELFT)

La TU Delft est l’une des universités les plus réputées au monde en matière de recherche. Delft figure régulièrement en haut du classement mondial des établissements d’enseignement supérieur. Bien qu’aucune valeur absolue ne puisse être attribuée à ces classements, ils n’en restent pas moins un indicateur de la réputation exceptionnelle de la TU Delft. Elle doit notamment sa qualité à sa taille et à sa diversité. La TU Delft regroupe une communauté dynamique d’environ 30 000 personnes originaires des quatre coins du monde. Elle comporte 8 facultés couvrant un large éventail de disciplines académiques. Plus d’informations sur https://www.tudelft.nl/en/

À PROPOS DE LA TNO

La TNO est la plus grande organisation indépendante de recherche et de technologie des Pays-Bas et l’une des plus importantes de l’Union européenne. Elle est force d’innovation, mène des enquêtes et joue un rôle de coordinateur en collaborant étroitement avec les gouvernements, les universités et le secteur privé. Elle informe le gouvernement sur les différentes politiques et favorise une prise de décisions basée sur des données probantes grâce à des enquêtes rigoureuses, des connaissances scientifiques de pointe et des mesures fiables. En établissant des consortiums et des écosystèmes nationaux et internationaux, la TNO encourage les avancées technologiques et méthodologiques qui contribuent à la création d’une société numérique sûre, durable et saine, et au renforcement de la puissance économique des Pays-Bas. Plus d’informations sur Innovation for life | TNO

Site web : KIA

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SPÉCIAL | EQUIP AUTO 2025 : “Nous sommes imprégnés de la culture de la concurrence à l’international”, Nizar Louati – Fondinor

Von: hechmi
19. Oktober 2025 um 07:49

FondinorPrésente à Equip Auto 2025, Fondinor met en avant l’expertise tunisienne en fonderie et en pièces de transmission. Spécialisée dans la production de composants en fonte pour véhicules thermiques et hybrides, l’entreprise affirme sa place sur les marchés européens et américains. Son représentant, Nizar Louati, évoque les ambitions commerciales de la marque, son engagement dans le Pacte de compétitivité de la TAA et sa vision d’une industrie tunisienne de plus en plus ancrée dans la concurrence mondiale.

Interview avec Nizar Louati – Sales and purchasing Manager de Fondinor

Avec quelle offre produite participez-vous au salon Equip Auto ?

Nous nous focalisons sur les pièces de transmission, les pièces de freinage ainsi que les supports moteurs pour véhicules thermiques. Nous proposons également des volants moteurs pour véhicules hybrides. Tous nos produits sont en fonte et proviennent de notre propre fonderie intégrée.

Qu’est-ce qui motive votre participation au salon ?

Il y a d’abord la proximité avec nos clients. Ensuite, nous restons à l’écoute du marché. Par ailleurs, cela nous permet de réaliser notre propre benchmarking en rencontrant nos fournisseurs, nos clients ainsi que nos concurrents.

Le salon est-il pour vous une plateforme commerciale ou une bourse d’affaires ?

Je dirais que le business m’intéresse en premier lieu. Ma priorité reste le développement des ventes. Si toutefois une possibilité de partenariat se présentait, ce serait toujours bon à prendre.

Vous êtes membre de la TAA et vous avez adhéré au Pacte de compétitivité. Quel regard portez-vous sur la physionomie du secteur en Tunisie ?

Je dirais que nous avons adhéré aux piliers du pacte, dont récemment celui du développement durable. Cela nous place au niveau de standing convoité. La filière de la mobilité se positionne favorablement sur les marchés européen, américain et partiellement asiatique. Avec l’Europe, nous bénéficions de la proximité géographique : en trois jours, nous pouvons livrer. J’ajouterais que tous les équipementiers tunisiens sont dans une logique d’expansion sur le marché international. Nous sommes imprégnés de la culture de la concurrence mondiale.

Avez-vous conclu ?

Nous avons réalisé quelques contacts prometteurs et rendu visite à certains de nos prospects. Tout me porte à croire que nous allons progresser, et ce malgré le retour en force du made in France.

Je saisis cette occasion pour remercier le CEPEX, la FIPA ainsi que la mission économique de l’ambassade de Tunisie pour leur soutien.

De notre envoyé spécial à Paris ALI DRISS
WMC – Partenaire du Salon EQUIP AUTO 2025 & membre du Jury des Grands Prix de l’innovation

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SPÉCIAL | EQUIP AUTO 2025 : “Nous sommes en première ligne face à la concurrence internationale”, Amine ben Ayed – DG Misfat

Von: hechmi
18. Oktober 2025 um 19:46

Amine Ben AyedActeur historique du salon EQUIP AUTO, Misfat illustre la réussite industrielle tunisienne à l’international. Fidèle à son ADN, l’entreprise mise sur la pièce de rechange indépendante, un positionnement stratégique qui lui permet de rivaliser avec les grands noms mondiaux. Entre innovation, diversification et vision industrielle, Misfat incarne une Tunisie qui s’affirme sur la scène automobile mondiale.

Interview avec Amine Ben Ayed – DG Misfat – Salon EQUIP AUTO – Paris 2025.

Vous participez au salon EQUIP AUTO avec un stand à votre enseigne. Quelles sont vos motivations ?

Nous sommes un acteur historique du salon depuis vingt ans. Cela remonte à l’époque où nous participions en consortium avec d’autres équipementiers tunisiens. Depuis la création de la marque Mecafilter, que nous distribuons à l’international, nous tenons un stand sous notre propre enseigne.

À cette occasion, je vous informe que nous lançons une ligne de fabrication de filtres pour l’industrie. Cela nous conduit à participer à d’autres salons que ceux destinés à la mobilité. Je vous dirai que nous consacrons un budget important à nos participations. Mais cela reste plus économique que de se déplacer individuellement pour rencontrer chacun de nos prospects. En l’occurrence, nous faisons un tir groupé : nous recevons nos fournisseurs, nos clients et divers professionnels qui viennent établir des contacts.

De plus, en venant au salon, nous développons une vision plus claire de la profession. Nous nous informons sur les opérations d’acquisition, de fusion et de rachat en cours. Au final, cela nous procure une meilleure visibilité.

Comment structurez-vous votre offre ?

Nous avons une offre variée. Nous sommes présents sur le segment premium avec Mecafilter, puis sur le segment moyen avec Misfat. Nous sommes également en partenariat avec Lucas. Sans compter que nous assurons de la sous-traitance pour d’autres enseignes internationales.

Le salon est-il un marché ou une bourse d’affaires ?

C’est les deux à la fois. Nous y créons nos clients, nos fournisseurs, nos prospects, ainsi qu’un grand nombre de visiteurs intéressés. Le climat est propice au business : nous concluons des deals sur place, tandis que d’autres se concrétisent plus tard. Nous veillons à offrir un grand standing sur notre stand, ce qui donne plus d’éclat à notre marque et rejaillit sur l’image de la Tunisie. Il convient de toujours bien se comporter dans la mêlée concurrentielle internationale.

Première monte ou rechange : comment se positionne Misfat ?

Nous avons délibérément écarté la solution de la première monte, car elle comporte trop de contraintes. D’autant plus que les constructeurs achètent des systèmes entiers : ils ne recherchent pas un filtre de climatiseur, mais un système complet de climatisation. Or, nous sommes équipementiers et non systémiers. Nous avons donc opté pour la pièce de rechange indépendante, qui représente 90 % du marché à l’international.

Nous n’avons pas de constructeur automobile en Tunisie. Est-ce un handicap ?

Nous avons dépassé cet état de fait et avons construit une position de pointe dans la pièce de rechange. Avec l’Afrique du Sud, nous sommes les premiers fabricants d’équipements automobiles du continent. Nous avons su nous adapter à toutes les technologies embarquées dans la mobilité, ce qui nous place en première ligne face à nos concurrents allemands, américains et japonais.

Des enseignes internationales de premier plan s’associent à des équipementiers tunisiens afin d’exporter vers l’Europe. J’ajouterais qu’avec notre expérience et notre prédisposition, la Tunisie est l’un des rares pays en développement capables de développer sa propre filière.

De notre envoyé spécial à Paris ALI DRISS
WMC – Partenaire du Salon EQUIP AUTO 2025 & membre du Jury des Grands Prix de l’innovation

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Market Focus Tunisia – Un pont économique entre la Suisse et la Tunisie

17. Oktober 2025 um 09:35

La Chambre de Commerce et d’Industrie Tuniso-Suisse (CCITNCH), en partenariat avec la fondation Swisscontact et la Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genève (CCIG), a le plaisir d’annoncer l’organisation de son événement Market Focus Tunisia, qui se tiendra le mardi 4 novembre 2025, de 11h30 à 14h00, au siège de la CCIG – Boulevard du Théâtre 4, 1204 Genève.

Fondée en 2011, la CCITNCH est le fruit d’une collaboration entre acteurs économiques suisses et tunisiens. Basée sur le droit tunisien, elle œuvre à renforcer les liens économiques, sociaux et culturels entre les deux pays, en favorisant des échanges durables et mutuellement bénéfiques.

Sa mission consiste à stimuler les échanges bilatéraux, accompagner les entreprises dans leur développement et créer un véritable pont entre la Tunisie et la Suisse.

La CCITNCH offre à ses membres une visibilité accrue et un réseau solide, un accès à l’information stratégique et aux opportunités d’affaires, ainsi que des événements exclusifs, des formations et un accompagnement personnalisé. Forte d’une équipe biculturelle et d’un comité exécutif engagé, la CCITNCH rassemble une communauté active d’entrepreneurs, d’investisseurs et d’institutions des deux pays, unis par une même vision : bâtir ensemble un avenir économique durable entre la Tunisie et la Suisse.

Forte d’une équipe biculturelle et d’un comité exécutif engagé, la CCITNCH rassemble une communauté active d’entrepreneurs, d’investisseurs et d’institutions des deux pays, unis par une même vision : bâtir ensemble un avenir économique durable entre la Tunisie et la Suisse.

Market Focus Tunisia – Objectifs & Programme

Le Market Focus Tunisia est un événement stratégique visant à valoriser la Tunisie comme destination d’investissement privilégiée pour les entreprises suisses, à travers :

  • La promotion des secteurs porteurs : technologies de l’information, textile, tourisme (notamment tourisme médical) et agroalimentaire
  • Le renforcement des relations bilatérales économiques
  • La valorisation des réussites tunisiennes et suisses, avec des témoignages inspirants d’entrepreneurs
  • L’implication des startups et jeunes talents tunisiens, avec un focus sur l’innovation, le transfert de compétences et les investissements immatériels

Le public cible de l’événement inclut les entreprises et investisseurs suisses souhaitant se développer en Tunisie, les entreprises tunisiennes désireuses de s’étendre en Suisse, les startups innovantes à la recherche de partenariats ainsi que les organismes économiques et institutionnels des deux pays.

Programme du 4 novembre 2025 – CCIG, Genève

11h45 – Accueil
12h00 – Mots de bienvenue

  • M. Mohamed Atiek, Directeur Promotion et soutien à l’économie, CCIG
  • Mme Ahlem Bel Hadj Ammar, Présidente de la CCITNCH
  • Intervention de l’Ambassade de Tunisie en Suisse et de la FIPA

12h15 – Témoignages d’entreprises suisses et tunisiennes
Interventions sur les secteurs : IT, Tourisme, Textile, Agroalimentaire

  • Yassine Zaied, Directeur de la stratégie chez Nexthink (IT)
  • Ikbel Jebabli, CEO Ehpad Palais Didon – Tourisme médical (Tourisme)
  • Naceur Elkotti, CEO Phamed (Agroalimentaire)
  • Textile : à confirmer

Modération : Anis Wahabi, Expert-comptable & Trésorier CCITNCH

12h45 – Présentation du programme Perspectives
Marc Olivier Roux, Responsable PSE, Fondation Swisscontact

13h00 – Questions / Réponses
13h30 – Cocktail déjeunatoire

Sponsors

  • Swisscontact – Programme Perspectives : Sponsor principal
  • Novative, Bougene, SG Medical, Phoenix Mecano Elcom, Victorinox Tunisie (Tulip Distribution)

Partenaires institutionnels

  • Swisscontact (sponsor principal via le programme Perspectives)
  • Ambassade de Tunisie à Berne
  • FIPA, TIA, CEPEX, CONECT
  • ATUGE, CJD Suisse, EPFL Alumni
  • Switzerland Global Enterprise – Zone Middle East & Africa
  • Swiss Tunisian Network (STN) / TUNES

Lien d’inscription à l’évènement :
https://www.ccig.ch/agenda/2025/11/Market-Focus-Tunisia-

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IACE | Le Forum de Gouvernance et la sécurité des relations financières

09. Oktober 2025 um 11:47

Le Centre tunisien de gouvernance des entreprises (CTGE) relevant de l’Institut arabe des chefs d’entreprise (IACE) organise, le samedi 18 octobre 2025, la 7e édition du Forum de Gouvernance, consacrée à l’évaluation de la Loi n°2005-96, relative au renforcement de la sécurité des relations financières.

Vingt ans après, il devient essentiel non seulement de mesurer l’impact de ce texte de loi, mais également d’examiner sa capacité à répondre aux mutations économiques et financières actuelles.

Cette loi repose sur trois axes principaux : le renforcement de la transparence financière et de la bonne gouvernance ; le renforcement de l’indépendance des commissaires aux comptes et la création des comités d’audit ; et la dynamisation du système de Registre national des entreprises (RNE).

C’est dans ce cadre que s’inscrit le Forum de Gouvernance, qui ambitionne de dresser un bilan de l’application de cette loi tout en mettant en lumière les insuffisances et les inconvénients qui ont émergé dans le système tunisien et dans la gouvernance des entreprises.

Ce rendez-vous réunira des chefs d’entreprises, des experts-comptables, des commissaires aux comptes, des auditeurs, des avocats et divers acteurs économiques autour d’un débat constructif, visant à formuler des recommandations et à proposer des pistes de réforme adaptées.

À travers cette rencontre, l’IACE entend réaffirmer son rôle de catalyseur de réflexion et de dialogue, au service de la promotion d’une gouvernance moderne, efficace et inclusive.

Communiqué.  

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Tunisie : Les petites entreprises étranglées fiscalement ?

05. September 2025 um 08:44

La Fédération tunisienne des artisans et des petites et moyennes entreprises a lancé un appel urgent à la présidence de la République et au ministère des Finances pour mettre fin aux procès-verbaux fiscaux à caractère pénal dressés contre des sociétés traversant de graves difficultés financières.

Selon la Fédération, l’article 92 du Code des droits et procédures fiscaux prévoit des peines de prison et des amendes pour défaut de paiement des impôts dus. Toutefois, son application suppose la preuve d’une intention délibérée, comme stipulé à l’article 37 du Code pénal. Or, dans la pratique, des procès-verbaux seraient établis contre des entreprises en détresse économique, sans démonstration de ce caractère intentionnel. Une situation qualifiée de « harcèlement injustifié » mettant en péril l’investissement et la pérennité du tissu économique.

Le communiqué rappelle que ces pratiques se sont poursuivies même en 2021, en pleine pandémie de Covid-19, alors que le gouvernement appelait à soutenir les entreprises et préserver les emplois. La Fédération parle d’une « politique dangereuse » visant à « briser les entrepreneurs et les pousser vers la faillite ou l’exil économique ».

Elle dénonce également les poursuites engagées contre des sociétés ayant adhéré à l’amnistie fiscale, les jugeant contraires à l’article 74 du même code. D’où son appel à l’ouverture d’une enquête urgente, à l’annulation des procès-verbaux litigieux et à la mise en place d’un mécanisme permettant aux entreprises en difficulté de déposer leurs déclarations fiscales et sociales en reconnaissance de dette, plutôt que de les accabler de pénalités jugées « mortelles ».

Enfin, les signataires du communiqué exhortent l’État à concentrer ses efforts sur la lutte contre la contrebande et l’évasion fiscale, au lieu d’« étrangler » des entreprises légalement constituées qui évoluent déjà dans un environnement d’affaires dégradé et sous une pression fiscale qualifiée d’« injuste ».

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