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Heute — 10. November 2024Haupt-Feeds

Smartphone : Le prix Tunisie du Samsung a05s est en baisse

Von: hechmi
10. November 2024 um 08:31
Samsung A05s
Samsung A05s

Le samsung a05s est en solde en ce moment et on peut le trouver en Tunisie à 599 Dinars au lieu de 749 DT chez les grands revendeurs.

Ce smartphone est doté d’un écran PLS LCD de 6,7 pouces offrant une résolution FHD+ de 2400 x 1080 pixels et un taux de rafraîchissement de 90 Hz. Il fonctionne sous Android 13, avec un processeur Snapdragon 680 4G (6 nm).

Avec 6 Go de RAM et un stockage de 128 Go, cet appareil offre une capacité suffisante pour une utilisation polyvalente. Côté photographie, il embarque une triple caméra arrière avec un capteur principal de 50 MP, ainsi que deux capteurs supplémentaires de 2 MP. La caméra frontale est une 13 MP.

Les options de connectivité incluent la 4G, le Wifi et le Bluetooth 5.1, et le modèle prend en charge deux cartes SIM, avec une batterie de 5000 mAh.

 

Smartphone : Tous les prix des INFINIX HOT

Von: hechmi
10. November 2024 um 08:17
INFINIX HOT
infinix HOT PRO

L’INFINIX HOT 40 Pro 4G 12 Go 256 Go : Ce modèle comporte un écran de 6,78 pouces en technologie LCD IPS avec une résolution de 1080 x 2460 pixels et un taux de rafraîchissement de 120 Hz.

Sous Android 13 avec l’interface XOS 13.5, il est équipé d’un processeur Mediatek Helio G99 (6 nm) Octa-core, combinant deux cœurs Cortex-A76 cadencés à 2,2 GHz et six cœurs Cortex-A55 à 2,0 GHz pour des performances optimisées.

Ce smartphone dispose de 12 Go de mémoire RAM et d’un espace de stockage de 256 Go. Côté photo, il est équipé à l’arrière d’un capteur principal de 108 MP, accompagné de capteurs de 2 MP et 0,08 MP, tandis que l’appareil photo frontal propose 32 MP pour des selfies de haute qualité.

Les haut-parleurs stéréo assurent un son riche, tandis que la connectivité est complète avec le 4G, le Wifi, le Bluetooth et un capteur d’empreinte digitale intégré. Une batterie de 5000 mAh avec une recharge rapide de 33W.

L’appareil propose deux cartes SIM et est certifié IP67.

Les Prix en Tunisie (A cette date): 

  • INFINIX HOT 40 Pro 4G 12 Go 256 Go : 759 DT
  • INFINIX Hot 40 FF 8Go 256Go : 599 DT
  • INFINIX HOT 12 4Go 64Go : 589 DT
  • INFINIX Hot 50 FF 8Go 256Go : 579 DT
  • INFINIX Hot 40i 8Go 128Go : 469 DT
  • INFINIX Hot 50i 6Go 128Go : 409 DT

 

Gestern — 09. November 2024Haupt-Feeds

Smartphone : vivo v29 prix Tunisie

Von: hechmi
09. November 2024 um 20:48

vivo v29 prix TunisieLe smartphone présente des dimensions de 164,18 x 74,37 x 7,46 mm pour un poids de 186 g. Il est équipé d’un écran AMOLED de 6,78 pouces avec une résolution de 2800 x 1260 pixels et un support multi-touch. Il offre une compatibilité réseau étendue : 2G, 3G, 4G et 5G.

Ce modèle inclut 12 Go de RAM et 256 Go de stockage, soutenu par un processeur Snapdragon 778G.

La batterie de 4600 mAh assure une charge rapide de 80 W. En termes de connectivité, il dispose de Wi-Fi double bande, Bluetooth 5.2, USB Type-C, NFC et divers services de localisation (GPS, Beidou, GLONASS, Galileo, QZSS, GNSS).

Le smartphone est doté d’un appareil photo avant de 50 MP et de trois capteurs arrière (50 MP principal avec OIS, 8 MP ultra-grand-angle, et 2 MP monochrome), avec divers modes de prise de vue, incluant Nuit, Ralenti, et Astro. Vendu avec un ensemble d’accessoires, il propose également un capteur d’empreintes intégré à l’écran pour plus de sécurité.

  • Prix Tunisie : SMARTPHONE VIVO V29E 5G / 8 Go / 256 Go / : 1049 DT

Bourse de Tunis : Radiation de la société “Gif Filter”et transfert au marché Hors-cote

09. November 2024 um 11:28

La Bourse informe que son Conseil d’Administration, réuni le 07 novembre 2024, a décidé la radiation de la société « GIF-FILTER » et son transfert au marché Hors-cote (sur panneau) selon les dispositions de l’article 76 du Règlement Général de la Bourse, avec date d’effet le 11 novembre 2024.

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[OPINION] TIC Tunisie – Décennie noire : Appellations brillantes, budgets colossaux, zéro réalisation !

08. November 2024 um 10:30

Sami AYARILe secteur des TIC en Tunisie, à 2021, ressemblait à une farce grandiose. Chaque nouveau ministre s’amène avec un “plan miracle” pour propulser le pays dans le futur numérique : Tunisie Digitale 2018, Tunisie Digitale 2020, Conseil Stratégique de l’Économie Numérique, Stratégie Nationale de Transformation Digitale (2021-2025) … Autant d’appellations brillantes, toujours la même promesse : internet pour tous, écoles connectées, transformation digitale pour faire de la Tunisie la Silicon Valley du Maghreb, mais sans aucun impact sur la réalité !

Radioscopie en deux temps d’un secteur où faut du bleu roi flamboyant, c’est la grisaille de l’irréalisation qui prend le dessus.

La décennie noire en Tunisie, une belle illustration de la stratégie à l’envers ! Des titres éblouissants pour justifier des budgets colossaux rapidement volatilisés dans les sinuosités de la corruption, les conflits d’intérêts, les abus de pouvoir, le favoritisme, bref une gouvernance catastrophique, un audit minutieux de cette décennie est impératif.

Alors que les dirigeants de l’époque promettaient des plans digitaux ambitieux, une économie numérique florissante, des emplois et une administration modernisée, chacun annonçant sa “révolution digitale,” la réalité s’est avérée bien différente : des annonces bruyantes, du temps gaspillé, et des millions de dinars engloutis dans des chimères.

Les promesses en cascade ont servi d’appât pour distraire, tandis que les véritables enjeux étaient soigneusement évités.

Comme le rappelait La Rochefoucauld, « La tromperie trouve toujours des appâts pour séduire celui qui s’y prête. » Ici, cet appât, c’est une Tunisie connectée…

Je vous invite à lire les articles de Dhouha Ben Youssef et beaucoup d’autres articles d’investigations de l’époque.

Pour établir un bilan objectif qui relie le passé au présent et envisage l’avenir, il est crucial d’examiner les données publiées, notamment celles relatives à l’utilisation de l’argent public. Cette démarche doit s’inscrire dans une stratégie plus large visant à promouvoir la culture du bilan et à assurer une transparence dans la gestion des ressources publiques.

En intégrant des éléments chiffrés et des analyses approfondies, nous pouvons mieux comprendre l’impact des décisions passées et orienter les actions futures vers une meilleure efficacité et responsabilité. Une telle approche permettra non seulement de renforcer la confiance du public, mais aussi de poser les bases d’une gestion éclairée des fonds publics.

Au commencement :  le Plan National Stratégique « Tunisie Digitale 2020 » (PNS TD 2020), initié par le gouvernement tunisien en 2013

Le plan « Tunisie Digitale 2018 » avait pour ambition de positionner le pays en tant que hub numérique majeur en Afrique et dans la région méditerranéenne. Ce projet visait à accélérer la transformation digitale du pays, moderniser ses infrastructures numériques, et renforcer l’économie numérique à l’horizon 2020. Il s’inscrivait dans une vision globale de développement économique, social et administratif, en s’appuyant sur les technologies de l’information et de la communication (TIC) comme moteur de croissance.

Structuré autour de cinq axes stratégiques:

  • l’infrastructure numérique,
  • la transformation digitale de l’administration,
  • l’économie numérique,
  • l’inclusion numérique et
  • la cybersécurité ,

Ce plan visait à moderniser la Tunisie sur plusieurs fronts. Nous allons examiner les objectifs initialement fixés et les comparer aux résultats obtenus, en nous appuyant sur les indicateurs disponibles.

Afin d’illustrer ma longue introduction et constater les écarts, j’ai a fait un copier-coller d’une note de synthèse du ministère intitulée : Stratégie “Tunisie Digitale 2018” e-transform Tunisia de 12/2014 :

La stratégie se décline en trois axes principaux :

1- Développement des usages : accès à Internet, services gouvernementaux en ligne, e-commerce, etc.
2- Développement de l’industrie : innovation, offshoring, création de champions nationaux.
3- Développement de l’infrastructure : réseaux haut et très haut débit.

Impact prévu

  • Valeur ajoutée additionnelle de 11 milliards de dinars par an à la cinquième année
  • Exportations numériques de 6 milliards de dinars à la cinquième année
  • Création de 95.000 emplois sur cinq ans
  • Connexion à Internet de 3 familles sur 5
  • Classement premier en Afrique et quatrième dans le Monde Arabe dans l’Index NRI de positionnement numérique

Mise en œuvre

  • Investissement total de 5,5 milliards de dinars sur cinq ans (1/3 investissement public, 2/3 investissement privé)
  • Création d’un Conseil Stratégique de l’Economie Numérique présidé par le Président du Gouvernement
  • Mise en place d’une agence opérationnelle (Tunisia IT Promotion Agency)

Voici donc le bilan des objectifs clés et des résultats quantitatifs :

1. Développement des infrastructures numériques, Inclusion numérique et accès équitable
  • Objectif : Connecter 100 % des ménages tunisiens au haut débit d’ici 2020.
    Résultat : En 2020, le nombre total d’abonnements à Internet fixe s’élevait à 1,34 million, ce qui correspond à un taux de pénétration de 40,7 % des foyers, progressant à 46,4 % en 2021.
  • Objectif : atteindre un taux de pénétration du haut débit mobile de 50 %.
    Résultat : Cet objectif a été largement dépassé, atteignant 76,4 % en 2020, en grande partie grâce à la concurrence entre opérateurs privés. Le taux de pénétration de la téléphonie mobile était de 126,3 % (indiquant la possession de plusieurs appareils ou cartes SIM), tandis que le taux de pénétration des données mobiles se situait à 76,4 %.
  • Objectif : Déployer la fibre optique et atteindre une couverture quasi complète en 4G.
    Résultat : Environ 12.000 km de fibre optique ont été déployés, et la couverture 4G atteignait 94 % des zones urbaines en 2020, s’approchant de l’objectif de 100 %. Cependant, un retard persiste dans les zones rurales, où environ 30 % des régions restent mal desservies.
  • Objectif : Généraliser l’accès haut débit à travers le pays.
    Résultat : Les zones rurales continuent de souffrir d’un manque de services, avec environ 30 % de ces régions ayant un accès limité à Internet.
2. Transformation digitale du secteur public
  • Résultat : Environ 50 services administratifs ont été digitalisés, principalement dans les domaines fiscaux et civils, mais cela reste bien en deçà de l’objectif fixé. Malgré cela, la Tunisie a connu des avancées notables, se classant désormais 4ème en Afrique dans le domaine de l’e-gouvernement.
  • Objectif : Établir une e-administration équitable et transparente.
    Résultat : Le score pour les services en ligne a atteint 0,62 sur une échelle où l’objectif était de 0,80, tandis que le score d’e-participation s’est élevé à 0,69, bien en dessous de l’objectif de 0,90.
  • Indice de développement de l’e-Gov (EGDI) : La Tunisie a progressé de 0,3458 en 2008 à 0,6526 en 2020, se positionnant au 3e rang en Afrique et au 91e rang mondial parmi 194 pays en 2020.
3. Création d’emplois et contribution du numérique à l’économie
  • Objectif : Créer 80.000 emplois dans le numérique d’ici 2020, avec un objectif de 25.000 nouveaux emplois par an, visant un total de 95.000 emplois sur cinq ans, comme évoqué dans la TDS 2018.
    Résultat : En 2016, seulement 2.800 emplois ont été générés, ce qui montre un écart considérable par rapport à l’objectif annuel de 25.000.
  • Objectif : Augmenter la valeur ajoutée du secteur numérique à 13,5 milliards de dinars tunisiens (MDT) par an d’ici 2020, avec un objectif de 6 milliards de dinars à la cinquième année (2020) selon le plan de 2014.
    Résultat : En 2016, la valeur ajoutée n’a atteint que 3 883 MDT, ce qui est largement inférieur aux prévisions.
  • Objectif : accroître les exportations numériques pour atteindre 5 000 MDT d’ici 2020.
    Résultat : Les exportations du secteur se chiffrent à seulement 893 MDT en 2016, loin des objectifs fixés.

Résultats en termes de compétitivité internationale :

  • Objectif : Placer la Tunisie à la 1ère place en Afrique et 4e place dans le monde arabe selon l’index de préparation numérique (NRI).
  • Résultat : La Tunisie s’est classée 3e en Afrique en 2019, proche de l’objectif, mais a atteint seulement la 8e place dans le monde arabe.
  • Objectif : Améliorer le classement mondial de la Tunisie dans le Network Readiness Index en atteignant la 40e position.
  • Résultat : En 2019, la Tunisie était classée 81e mondialement, loin de l’objectif.

Investissements :

  • Objectif : Mobiliser 5,5 milliards de dinars d’investissements sur cinq ans, dont 1/3 du secteur public et 2/3 du secteur privé.
  • Résultat : Bien que des efforts aient été faits pour attirer des investissements, les flux d’investissements directs étrangers (IDE) dans le numérique sont restés inférieurs aux attentes, se concentrant principalement sur les startups et quelques grandes entreprises du secteur TIC.

En conclusion, Le Plan National Stratégique Tunisie Digitale 2020 a permis quelques progrès notables, notamment dans le déploiement d’infrastructures numériques et la généralisation du haut débit mobile. Cependant, des objectifs ambitieux tels que l’accès universel à Internet, la création d’emplois et la contribution du numérique au PIB n’ont pas été atteints dans leur totalité. L’ambition de faire de la Tunisie un leader régional dans le secteur numérique est restée incomplète, bien que des bases solides aient été posées pour la transition vers « Tunisie Digitale 2025 ».

L’Ere de illettrisme numérique problématique

Clôturons le chapitre de la décennie noire des technologies de l’information et de la communication. En octobre 2021, M. Nizar Ben Néji a été désigné pour présenter la Stratégie Numérique 2021-2025 de la Tunisie, un projet ambitieux destiné à métamorphoser le paysage numérique du pays et à le positionner en tant que leader régional dans le domaine des technologies de l’information. Ce plan inclut une analyse approfondie, accompagnée de chiffres précis et d’éléments clés pour chaque secteur concerné.

Elle se décline en 6 axes :

  • L’inclusion numérique et financière (accès à la connexion, lutte contre l’illettrisme…)
  • Faire de la Tunisie « une terre du numérique et terre de l’innovation », notamment via Smart Tunisia
  • La digitalisation de l’administration et la simplification des procédures administratives
  • La généralisation de l’usage des technologies émergentes et des technologies de rupture (IoT, Intelligence artificielle…)
  • La préparation aux nouveaux métiers du numérique, notamment via la formation
  • La mise en place d’une stratégie nationale de cybersécurité (anticipation, prévention et détection des menaces)

Voici donc le bilan des objectifs clés et des résultats quantitatifs :

1. Inclusion numérique et financière, L’inclusion numérique et financière (accès à la connexion, lutte contre l’illettrisme…)

Objectifs : Réduire l’illettrisme numérique et assurer l’accès équitable à Internet pour tous les citoyens, y compris dans les zones rurales, tout en favorisant l’inclusion financière grâce aux technologies et un taux d’accès des ménages à Internet pour atteindre 80% d’ici fin 2025 contre 51% actuellement, les prévisions pour 2024 sont de 61,9%

En 2023, le taux de pénétration du haut débit mobile en Tunisie s’élevait à 137,5 % pour la téléphonie mobile, ce qui s’explique par la possession de plusieurs appareils ou de cartes SIM. De plus, le taux d’accès aux données mobiles atteignait 97,5 %, reflétant l’utilisation de cartes SIM destinées uniquement aux données. Pour ce qui est de l’Internet fixe, le pays comptait 1,73 million d’abonnements, ce qui correspond à un taux de pénétration de 50,5% pour les foyers résidants.

Concernant l’inclusion financière, un programme collaboratif avec des banques et des fintechs a permis d’élargir l’accès aux services financiers, atteignant environ 45% de la population non bancarisée. En 2021, 36% des Tunisiens de plus de 15 ans disposaient d’un compte bancaire.

Cependant, l’illettrisme numérique demeure un problème. Des enquêtes récentes indiquent qu’environ 21 % des Tunisiens ne savent pas utiliser Internet, soulignant un manque de compétences numériques fondamentales. Par ailleurs, 9,9 % des répondants affirment ne pas s’intéresser à Internet, ce qui pourrait être dû à une faible sensibilisation sur ses avantages ou à une perception de son inutilité dans leur vie quotidienne.

A suivre…

Sami Ayari

Industry innovation Day : Industrie automobile, l’impératif technologique !

07. November 2024 um 14:27

AHK Industry Innovation DayEn réaction au raz de marée technologique qui s’empare du secteur, l’industrie automobile,  cherche à se réinventer.

Mercredi 6, courant s’est tenue la journée ‘’Industry Innovation Day’’. L’évènement est le fruit d’un partenariat durable. Il s’agit d’une initiative qui réunit la Chambre de commerce et d’industrie tuniso allemande (AHK), la coopération allemande ‘’GIZ’’ ainsi que ‘’Tunisia Automotive Association’’.

Le secteur auto était fortement représenté à cette journée d’introspection. Rappelons que tout est organisé pour faire en sorte que le secteur s’interroge sur son devenir industriel. Cela amène les fabricants des composants auto à trouver les moyens de pérenniser leurs relations avec les constructeurs. Et, par conséquent, à préserver le potentiel exportateur de la profession. Ce fut un rendez-vous d’introspection des tendances lourdes du marché, un véritable exercice de prospective.

Les grandes tendances du moment

Les experts s’accordent pour dire que les constructeurs ont des soucis communs. Ils s’emploient à ce que la voiture du futur, soit toujours plus légère et par conséquent plus performante. Et, naturellement plus économique. Et, il va de soi, plus sûre. Outre qu’ils travaillent à en faire un Smart véhicule. Dit ainsi, cela a l’air simple. Sur terrain la réalité est autrement plus complexe.

Il faut d’abord s’harmoniser au cadre réglementaire notamment les directives européennes ainsi que la réglementation américaine lesquelles donnent le la. Des dates sont avancées pour la fin du moteur thermique et pour une décarbonation avancée. Mais également une part d’économie circulaire, car 25% du plastic utilisé doit provenir du recyclage.

“Les grandes tendances du moment : la voiture du futur doit être plus légère, plus performante, plus économique et plus sûre.”

Ainsi donc, le moteur thermique à essence ou Diesel se voit déprogrammé avec un calendrier bien arrêté. La voiture propre, avance à grands pas. Il faut bien reconnaitre que le moteur hybride a conquis les automobilistes occupant sa place dans le marché.

La voiture électrique, bon gré mal gré, est déjà sur piste. Et, naturellement sur routes, en dépit de son coût élevé. C’est le développement technique et commercial de ces concept-cars qui rythme la dynamique de mise à niveau de la chaine de valeur auto à l’échelle du monde.

Des avancées de rupture ont été amorcées par des enseignes de renom tel Tesla, BMW Toyota, BYD et bien d’autres. Le défi pour les opérateurs basés en Tunisie est de négocier le tournant. Les experts soutiennent qu’il ne s’agit pas de chercher à faire vite et se précipiter pour être les premiers. Le tout est de prendre la vague car si tant est que les producteurs accusaient un retard ils peuvent toujours se rattraper en améliorant leurs produits. Cela aurait l’air déconcertant, mais pour l’industrie auto, rien ne sert de courir. Il faut s’équiper à point.

Gagner la bataille de la batterie puissante.

Toute la bataille du renouveau mécanique se focalise sur une pièce maitresse à savoir la batterie. Tesla aux USA, BMW en Europe ont sauté le pas allant de 12 à 40 volts de puissance. Pour des raisons de sécurité ce nouveau joyau est momentanément destiné à l’allumage exclusivement. Et non aux autres accessoires tel les vitres. Mais déjà pour ce seul usage elle a occasionné un allégement des faisceaux électriques.

“Le moteur thermique à essence ou Diesel se voit déprogrammé avec un calendrier bien arrêté.”

L’intérêt de cette journée a été de rappeler que pour faire bien les choses les fournisseurs de composants auto étaient appelés à joindre leurs forces avec les labos de recherche ainsi que les centres d’expertise. C’est cet écosystème qui accélère le mieux et de façon sécurisée cette mutation de la profession.

Des choix de circonstance

Le secteur automobile national entend rester dans la course. Tout est bon à prendre tant que cela perpétue les relations d’affaires avec les constructeurs. Ces ordonnateurs de la première monte ont le dernier mot avec leurs fournisseurs. Et, c’est bien naturel.

Le secteur aura donc à opérer un virage délicat pour améliorer son insertion à la chaine de valeur internationale. Les industriels basés sur le site national auront, dans l’esprit des organisateurs de Industry Innovation Day, à se rapprocher davantage de l’université. Ainsi que de l’univers de la recherche, en général. Une première expérience pilote avec le projet Novation City a creusé le sillon.

“La bataille du renouveau mécanique se focalise sur une pièce maîtresse à savoir la batterie.”

Les centres de compétences nationaux en seront la pièce maîtresse. Le secteur tout en se dotant de plus d’expertise, restera malgré tout sur le segment des pièces détachées. L’activité, certes noble, est passablement intégratrice. L’on a toujours espéré que grâce au principe de la remontée des flux, l’on finirait par briser le plafond de verre et migrer de la pièce auto vers la construction automobile. Convenons qu’elle est hautement intégratrice. Cet objectif que l’on croyait à portée, car de prestigieux constructeurs avaient souhaité prendre pied chez nous, serait hélas une fois encore, différé.

Ali DRISS

Nissan en difficulté : 9.000 emplois supprimés et révision des prévisions annuelles

07. November 2024 um 12:50

Le constructeur automobile japonais Nissan Motor a annoncé jeudi diverses mesures de réduction des coûts, dont la suppression de 9.000 emplois, et a revu à la baisse ses prévisions annuelles pour la deuxième fois consécutive cette année, alors qu’il continue à lutter contre des vents contraires sur des marchés clés tels que la Chine.

Le constructeur automobile a également indiqué qu’il réduirait sa capacité de production mondiale de 20%.

“Ces mesures de redressement ne signifient pas que l’entreprise rétrécit”, a déclaré le directeur général du groupe Makoto Uchida dans un communiqué sur les résultats.

“Nissan va restructurer ses activités pour les alléger et les rendre plus résistantes, tout en réorganisant sa direction pour répondre rapidement et avec souplesse aux changements de l’environnement commercial.

Le groupe a réduit ses prévisions de bénéfice d’exploitation pour l’exercice à 150 milliards de yens (905,06 millions d’euros), contre 500 milliards de yens auparavant.

Le bénéfice d’exploitation pour la période juillet-septembre s’est élevé à 32,9 milliards de yens, soit 85% de moins que les 208,1 milliards de yens enregistrés au cours de la même période l’année précédente. Ce chiffre est à comparer à une estimation moyenne de 66,8 milliards de yens dans un sondage réalisé par LSEG auprès de huit analystes.

Le résultat publié par Nissan au deuxième trimestre, après retraitements IFRS, se traduit par une contribution négative à -111 millions d’euros dans le résultat net du troisième trimestre du groupe Renault, a déclaré le constructeur français dans un communiqué.

Khaled Ben Yahia, Ancien Directeur Général de Tunisian Automotive Association à La Presse : «La Csddd pousse les entreprises à surveiller leur chaîne de valeur»

07. November 2024 um 11:17

 

Le secteur automobile prépare sa mise à niveau, en réponse aux nouvelles normes européennes ESG. L’entrée en vigueur de plusieurs normes environnementales devrait contraindre les fournisseurs tunisiens à adapter leur processus de production aux lois européennes. Loin d’être une menace, ce grand changement peut constituer une opportunité pour les entreprises de la filière installées en Tunisie. Rencontré en marge de la 8e assemblée générale de la TAA, Khaled Ben Yahia, directeur général sortant de l’association, apporte son éclairage. 

La TAA est en train de préparer le secteur à l’entrée en vigueur de la loi européenne Csddd.  Quelles sont les implications de cette nouvelle réglementation ? 

La Csddd est une loi allemande qui a été promulguée en 2022 et qui a été reprise cette année par l’Union européenne. Elle est, donc, devenue une directive européenne qui sera déclinée en loi dans tous les pays européens. Cette directive pousse les entreprises à surveiller leur chaîne de valeur car elles sont tenues par «le devoir de vigilance». L’idée est de garantir que les normes minimales soient respectées dans les lieux de production situés hors de l’Union européenne. Son entrée en vigueur implique plusieurs enjeux, puisqu’il y aura des standards à respecter.

La Tunisie doit s’y préparer et les entreprises sont appelées à se conformer à plusieurs réglementations. En Allemagne, cette loi est déjà entrée en vigueur depuis 2023, mais elle ne sera appliquée  dans le reste de l’Europe qu’à partir de 2026. Il est vrai qu’on a encore le temps, mais la Tunisie doit anticiper dès à présent.  Il y a un grand travail qui doit être réalisé en amont, notamment en ce qui concerne l’analyse de la situation environnementale et de l’évaluation des conditions au sein de l’entreprise.

Il faut identifier les risques qui existent, engager des mesures et faire un exercice de risk management. Enfin, il s’agit de concevoir un projet qui vise à répondre à tous ces risques-là, car les acheteurs européens vont exiger des fournisseurs en Tunisie cette évaluation de risque ainsi que des mesures pour leur gestion. 

Ce projet nécessite-t-il des financements de la part des entreprises ? 

Nous devons, en premier lieu, travailler sur la sensibilisation des entreprises sur cette question, notamment sur la nécessité d’engager des politiques de risk management. Il faut qu’elles prennent conscience de la situation et des risques qui existent.

Plus tard, la TAA se penchera sur les politiques et les mesures nécessaires à adopter. En cas de besoin, il y aura les investissements nécessaires. Et le point positif, c’est que cette loi incite les acheteurs à collaborer avec les fournisseurs en Tunisie pour relever ces défis ensemble. 

Est-ce que l’industrie automobile tunisienne est concernée par le mécanisme de la taxe carbone aux frontières de l’Europe ? 

Absolument, nous sommes concernés par le Mscf. Bien que l’entrée en vigueur de cette taxe soit encore en discussion, nous sommes bien évidemment appelés à travailler sur la réduction de l’empreinte carbone de notre industrie pour éviter des taxes supplémentaires.

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Construction automobile – Emission de CO2 : De nouvelles exigences à partir de janvier 2025

07. November 2024 um 11:14

 

Face au renforcement des normes européennes sur les émissions de CO2, les constructeurs automobiles européens pourraient payer de lourdes compensations, fermer des usines, ou bien augmenter les prix de leurs voitures à essence.

En Europe, les constructeurs automobiles sont tenus de respecter une moyenne annuelle d’émissions pour chaque véhicule vendu. Cette réglementation, à partir de janvier 2025, sera encore durcie, exigeant des efforts supplémentaires de leur part. Les constructeurs automobiles doivent respecter une moyenne annuelle d’émissions par voiture vendue en Europe. Cette norme dite Cafe (Corporate Average Fuel Economy) les oblige à vendre progressivement des véhicules de moins en moins polluants.

Elle a été globalement respectée jusqu’ici et la plupart des géants européens du secteur ont confirmé qu’ils resteraient dans les clous en 2024. Mais le Cafe doit franchir un nouveau palier à partir de janvier 2025, à 93,6 grammes de CO2/km en moyenne (il est à préciser qu’une voiture thermique de base en émet 120 par exemple, une hybride 95 et une électrique zéro).

Réagir vite !

«Si les voitures électriques restent à 14% (de parts de marché), il y a deux solutions : soit vous payez des pénalités, soit vous arrêtez les ventes de voitures thermiques », explique un responsable opérationnel de la filiale électrique chez un constructeur français de voiture. Cela veut dire qu’au niveau de l’industrie, on va devoir produire 2,5 millions de voitures en moins, par an et fermer 7 à 8 usines en Europe parmi celles qui fabriquent des véhicules thermiques.

Les ventes de voitures électriques ont commencé à ralentir en Europe depuis la fin 2023. Elles représentaient 13,1% des voitures neuves écoulées entre janvier et septembre 2024. Et les constructeurs chinois pourraient compliquer la donne en prenant des parts de marché aux Européens sur les électriques, malgré les barrières douanières.

Le Cafe pourrait ainsi devenir amer pour les constructeurs: si les ventes de modèles électriques n’accélèrent pas vite et fort, ils pourraient risquer environ 50 milliards d’euros de pénalités sur la période 2025-2029, selon les calculs du cabinet «Alix Partners».

Une autre option serait d’acheter des crédits d’émissions à des constructeurs moins polluants. Mais « ça reviendrait à financer mes ennemis», s’est désolé le premier responsable d’une grande marque de voitures françaises.

«Le levier principal sera d’améliorer la performance (environnementale) des véhicules thermiques», par exemple en remplaçant la boîte de vitesse manuelle par une automatique, a souligné « Alix Partners ». Les constructeurs pourront aussi augmenter le prix des thermiques pour compenser l’écart avec des électriques encore bien chères à l’achat.

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Warszawa M-20 de 1951: un vestige de la Pologne soviétique exposé

07. November 2024 um 10:29

La toute première voiture produite en Pologne sous l’ère soviétique après la Seconde Guerre mondiale a été exposée vendredi dernier près de Varsovie, après avoir été localisée en Finlande suite à des décennies de recherches et obtenue au terme de longues négociations.

La Warszawa M-20 de 1951, un vestige de la période de subordination de la Pologne à l’Union soviétique communiste après-guerre, arbore le numéro de série 000001, qu’elle portait lorsqu’elle a quitté l’usine FSO de voitures de tourisme à Varsovie le 6 novembre de cette même année, il y a exactement 73 ans.

La voiture a d’abord été remise au maréchal soviétique Konstantin Rokossovsky, ministre de la Défense de la Pologne après la guerre, pour affirmer la dépendance du pays à Moscou. Elle a ensuite été retrouvée en possession de la famille du pilote de rallye finlandais Rauno Aaltonen, bien que son histoire entre-temps reste floue.

Selon Zbigniew Mikiciuk, cofondateur du musée privé d’Otrebusy, il a fallu plus de deux ans de négociations pour l’acquérir des propriétaires finlandais

En outre, le musée expose également une Volvo utilisée par le leader communiste polonais, le général Wojciech Jaruzelski, connu pour avoir imposé la loi martiale en 1981.

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Signature d’un protocole d’accord pour renforcer la synergie entre les secteurs du textile et de l’automobile

05. November 2024 um 17:21

La Fédération Tunisienne de Textile et Habillement (FTTH) et l’Association tunisienne de l’automobile (Tunisian Automotive Association,”TAA”) ont signé un protocole d’accord visant à renforcer la synergie entre deux secteurs clés de l’industrie tunisienne dont le textile et l’automobile.

Ce protocole d’accord a été signé par Haithem Bouagila, Président de la FTTH, et Nabhen Bouchaala, Président de la TAA, en marge de l’assemblée générale de la Tunisian Automotive Association (ATT), tenu le 31 octobre dernier, indique un communiqué publié, mardi, par la FTTH.

En vertu de cet accord, les deux organisations s’engagent à travailler ensemble pour construire “une industrie tunisienne moderne, durable, solidaire et compétitive”.

Ce partenariat s’appuie sur les complémentarités naturelles entre les deux secteurs, notamment à travers l’utilisation de textiles techniques dans les composants automobiles tels que les sièges, les volants et les habillages intérieurs.

Cette collaboration a pour objectif de promouvoir l’innovation et la co-création pour développer des solutions techniques et de qualité et d’optimiser les synergies et la compétitivité des deux secteurs.

Elle vise aussi à contribuer de manière durable à la chaîne de valeur industrielle tunisienne.

L’industrie nationale du Textile et celle de l’automobile représentent ensemble plus de 250000 emplois et plus de 5,5 milliards d’euros ( environ 18,52 milliards de dinars) de chiffre d’affaire destiné à l’exportation, selon la FTTH.

Il y a lieu de noter que Myriam Elloumi du Groupe COFICAB, a succédé à Nabhen Bouchaala à la tête de la TAA pour le mandat 2024- 2027, et ce suite à la 8ème Assemblée Générale de l’association tenue le 31 octobre 2024 à Tunis.

Voitures Électriques : La Chine contesté les mesures de l’UE à l’OMC

Von: hechmi
05. November 2024 um 11:32

La Chine a déposé ce lundi une plainte auprès de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) contre la décision finale de l’Union européenne d’appliquer des mesures compensatoires pour lutter contre les subventions aux voitures électriques chinoises, selon le ministère chinois du Commerce.

Le porte-parole du ministère a affirmé que la Chine s’oppose fermement aux mesures finales de l’Union européenne qui imposent des droits compensatoires élevés sur les voitures électriques fabriquées en Chine, malgré les objections soulevées par les parties concernées, y compris les gouvernements des États membres de l’UE, l’industrie des voitures électriques en Europe et le public de ces pays.

Le porte-parole a ajouté que, pour protéger les intérêts de développement de l’industrie des véhicules électriques et promouvoir la coopération mondiale en faveur de la transition verte, la Chine a décidé de porter cette plainte devant le mécanisme de règlement des différends de l’OMC.

La TAA élit une nouvelle présidente : Myriam Elloumi à la tête de l’association

Von: walid
03. November 2024 um 18:07

Myriam Elloumi Présidente TAAMyriam Elloumi du Groupe COFICAB, a été élue nouvelle présidente de l’Association tunisienne de l’automobile (Tunisian Automotive Association-TAA) pour le mandat 2024- 2027, succédant ainsi à Nabhen Bouchaala, et ce lors de la 8ème Assemblée Générale de l’association tenue le 31 octobre 2024 à Tunis, a annoncé l’association sur sa page facebook.

Cet évènement a rassemblé les membres de la TAA, de nombreux acteurs du secteur automobile en Tunisie et des partenaires publics et privés et a été l’occasion d’élire un nouveau comité directeur. Ce comité aura pour mission de poursuivre et d’amplifier les actions de la TAA pour soutenir le développement du secteur automobile en Tunisie, en mettant l’accent sur l’innovation, la durabilité et la compétitivité aussi bien à l’échelle nationale qu’à l’international.

La nouvelle présidente de la TAA a, à cette occasion, affirmé son engagement à renforcer la position de la Tunisie dans l’écosystème automobile mondial, a rapporté l’association.

La Tunisian Automotive Association est une association tunisienne à but non lucratif créée en février 2016, à l’initiative des acteurs de l’industrie des composants automobiles en Tunisie et de la FIPA (L’Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur), afin de favoriser les échanges, la collaborations et la synergie entre les entreprises du secteur de l’industrie automobile et d’accompagner les autorités tunisiennes pour développer et promouvoir le secteur en Tunisie.

Automobile : Myriam Elloumi, nouvelle présidente de la TAA

03. November 2024 um 09:22

La Tunisian Automotive Association (TAA), qui a tenu sa 8e assemblée générale le 31 octobre 2024, a élu son nouveau comité directeur pour le mandat 2024- 2027. Il est présidée par Myriam Elloumi de Coficab Group, qui succède à Nabhen Bouchaala.

Le nouveau comité directeur est composé d’Imed Charfeddine (Pec Group), Wissem Badri  (Kromberg & Schubert), Sabri Brahem (Draexlmaier), Chekib Debbabi (TPS), Riadh Ben Ayed (LTM), Walid Rouis (Actia), Lamia Fourati (One tech Group), Béchir Dardour (Apem), Issam Jemli (Bontaz ), et Safouane Hakiri (Yazaki).  

Il aura pour mission de poursuivre et d’amplifier les actions de la TAA pour soutenir le développement du secteur automobile en Tunisie, en mettant l’accent sur l’innovation, la durabilité et la compétitivité.

La nouvelle présidente de la TAA a exprimé sa reconnaissance envers les membres pour la confiance qui lui a été accordée et a affirmé son engagement à renforcer la position de la Tunisie dans l’écosystème automobile mondial.

Dans un communiqué, la TAA a tenu également à «exprimer sa profonde gratitude à l’ancien président, Nabhen Bouchaala, ainsi qu’aux membres sortants du comité directeur pour leur dévouement et leur contribution.»

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8ème Assemblée Générale de l’Association tunisienne de l’automobile : un nouveau bureau pour innover et renforcer le secteur en 2025

02. November 2024 um 11:18

L’Association tunisienne de l’automobile (Tunisian Automotive Association – TAA) a tenu avec sa huitième assemblée générale le 31 octobre 2024 à Tunis, réunissant des membres de l’association, de nombreux professionnels du secteur automobile tunisien, ainsi que des partenaires issus des secteurs public et privé.

Pendant l’événement, un rapport sur les activités de l’association pour les années 2023-2024 a été présenté, mettant en avant les réalisations clés, le lancement de nouveaux projets, les partenariats signés et les événements organisés.

Les perspectives pour 2025 ont également été abordées, avec l’identification des objectifs et des défis à surmonter pour satisfaire les exigences du secteur automobile en Tunisie.

La Tunisian Automotive Association (TAA) a récemment élu un nouveau comité directeur lors de sa 8ème Assemblée Générale, tenue le 31 octobre 2024:

Myriam Elloumi, du groupe COFICAB, a été nommée présidente pour la période 2024-2027, succédant à Nabhan Bouchaala.

Ainsi le nouveau bureau comprend des membres expérimentés tels que :
Imed Charfeddine – PEC, Membre Directeur
Wissem Badri – KROMBERG & SCHUBERT, Membre Directeur
Sabri Brahem – Draxlmaier, Membre Directeur
Chekib Debbabi – TPS, Membre Directeur
Issam Jemli – BONTAZ, Membre Directeur
Riadh Ben Ayed – LTM, Membre Directeur
Walid Rouis – ACTIA, Membre Directeur
Lamia Fourati – One Tech, Membre Directeur
Bechir Dardour – APEM, Membre Directeur
Safouane Hakiri – YAZAKI, Membre Directeur

Ce comité se concentrera sur l’innovation et la durabilité pour renforcer le secteur automobile en Tunisie.

 

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