Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 17. Juli 2025Haupt-Feeds

Baisse des cours du pétrole : le Brent et le WTI impactés par les perspectives de demande mondiale

17. Juli 2025 um 11:50

Les cours du pétrole ont reculé mercredi, plombés par les perspectives d’une baisse de la demande à cause des droits de douane.

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en septembre, a perdu 0,28% à 68,52 dollars.

Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en août, a lâché 0,21% à 66,38 dollars.

L’article Baisse des cours du pétrole : le Brent et le WTI impactés par les perspectives de demande mondiale est apparu en premier sur WMC.

Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

Libye : forte augmentation de la la production pétrolière et gazière 

14. Juli 2025 um 09:52

La National Oil Corporation (NOC) de Libye a annoncé, dimanche 13 juillet, avoir enregistré des taux de production records de pétrole brut, de condensats et de gaz naturel.

NOC a expliqué que la production de pétrole brut en Libye a atteint 1,376 million de barils; tandis que celle de condensat a atteint 52 350 barils. La production de gaz naturel quant à elle a atteint 2,599 milliards de pieds cubes, selon l’agence de presse libyenne.

La société a affirmé que ces chiffres reflètent la performance positive du secteur pétrolier et gazier et renforcent sa contribution au soutien de l’économie nationale.

Le ministre libyen du Pétrole et du Gaz, Khalifa Rajab Abdel Sadiq, a déclaré que pour la première fois en 17 ans, la Libye a annoncé des appels d’offres pour le développement de champs pétroliers, recevant plus de 400 candidatures d’entreprises étrangères pour participer à 22 secteurs pétroliers.

Il a également souligné que la National Oil Corporation libyenne a signé, il y a quelques jours, un accord avec Shell et BP pour opérer dans les champs pétroliers libyens.

L’article Libye : forte augmentation de la la production pétrolière et gazière  est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Le pétrole chute alors que l’OPEP+ augmente sa production d’août

07. Juli 2025 um 12:59

Les prix du pétrole ont chuté ce lundi 7 juillet après que l’OPEP+ a surpris les marchés en annonçant une augmentation de sa production plus que prévu en août. Tandis que l’incertitude concernant les tarifs douaniers américains et leur impact potentiel sur la croissance économique mondiale a pesé sur les prévisions de la demande.

Les contrats à terme sur le brut Brent étaient en baisse ce matin de 47 cents, soit 0,69 %, à 67,83 dollars le baril. lors que le brut américain West Texas Intermediate était en baisse de 0,95 dollar, soit 1,42 %, à 66,05 dollars.

L’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés, un groupe connu sous le nom d’OPEP+, ont convenu samedi 5 juillet d’augmenter la production de 548 000 barils par jour en août.

« Il est clair que l’augmentation de la production représente une concurrence plus intense pour les parts de marché et une certaine tolérance à la baisse des prix et des revenus qui en résulte », a déclaré Tim Evans d’Evans Energy dans une note.

L’augmentation d’août représente un bond par rapport aux augmentations mensuelles convenues par l’OPEP+ pour mai, juin et juillet, qui s’élevaient à 411 000 barils par jour et 138 000 barils par jour en avril.

Les analystes de RBC Capital, dirigés par Helima Croft, ont indiqué dans une note que cette décision rétablirait sur le marché près de 80 % des réductions volontaires de 2,2 millions de barils par jour (bpj) décidées par huit producteurs de l’OPEP. Ils ont toutefois ajouté que l’augmentation réelle de la production était inférieure aux prévisions jusqu’à présent.

Quant aux analystes de Goldman Sachs, ils s’attendent à ce que l’OPEP+ annonce une augmentation finale de 550 000 barils par jour pour septembre lors de sa prochaine réunion le 3 août.

Incertitude concernant les tarifs douaniers américains et leur impact potentiel sur la croissance mondiale

Le pétrole a également été mis sous pression, les responsables américains ayant indiqué un report des tarifs douaniers, mais sans fournir de détails.

Donald Trump a déclaré dimanche 6 juillet que les États-Unis étaient sur le point de finaliser plusieurs accords commerciaux dans les prochains jours et qu’ils informeraient les autres pays des taux tarifaires plus élevés d’ici le 9 juillet. Lesquels devraient entrer en vigueur le 1er août.

En avril, Trump a annoncé un tarif de base de 10 % sur la plupart des pays et des tarifs « compensatoires » plus élevés pouvant atteindre 50 %, la date limite initiale étant fixée à mercredi prochain.

« Les inquiétudes concernant les tarifs douaniers de Trump restent le thème dominant au second semestre 2025, un dollar plus faible constituant le seul soutien au pétrole pour le moment », a affirmé Priyanka Sachdeva, analyste de marché senior chez Philip Nova.

L’article Le pétrole chute alors que l’OPEP+ augmente sa production d’août est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Le pétrole dévisse après la réponse mesurée de l’Iran aux frappes américaines

Les prix du pétrole poursuivent leur repli ce mardi, portés par l’accalmie relative dans les tensions entre l’Iran et les États-Unis. La riposte iranienne aux récentes frappes américaines, jugée symbolique, semble avoir éloigné le spectre d’une fermeture du détroit d’Ormuz, passage stratégique pour l’approvisionnement mondial en brut.

Lundi, l’Iran a tiré des missiles sur la base militaire américaine d’Al-Udeid, au Qatar – la plus importante du Moyen-Orient – en représailles aux frappes américaines menées ce week-end contre trois sites nucléaires iraniens. Toutefois, cette attaque n’a causé ni blessés ni pertes humaines, selon les autorités américaines.

Le président américain Donald Trump a qualifié cette riposte de « très faible » et a même remercié Téhéran d’avoir prévenu Washington « à temps », permettant d’éviter toute victime. Une réaction qui a contribué à détendre les marchés.

« Les frappes iraniennes étaient plus symboliques que destructrices », explique Ole Hvalbye, analyste chez SEB. Une lecture partagée par Jorge Leon, de Rystad Energy : « Le risque de fermeture du détroit d’Ormuz a nettement diminué, les tensions s’étant apaisées. »

Chaque jour, environ 20 millions de barils de pétrole – soit près de 20 % du commerce mondial – transitent par ce détroit, considéré comme l’un des points névralgiques du marché énergétique.

À 09h20 GMT,, le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en août, chutait de 3,30 %, à 69,12 dollars. Le WTI américain, pour la même échéance, perdait 3,28 %, à 66,26 dollars.

Malgré l’annonce par Donald Trump d’un cessez-le-feu accepté par les deux parties – confirmé par Israël –, le ministre israélien de la Défense a rapidement déclaré avoir ordonné une riposte à ce qu’il considère comme une « violation » de l’accord par l’Iran. Un flou persiste donc sur la suite des événements.

En attendant, la prime de risque géopolitique, qui avait alimenté la hausse des prix depuis la première frappe israélienne contre l’Iran il y a deux semaines, s’est « totalement évaporée », constate Tamas Varga, analyste chez PVM Energy.

Pour les analystes, un blocage total du détroit d’Ormuz reste improbable. Deux oléoducs stratégiques – l’un en Arabie saoudite, l’autre aux Émirats arabes unis – permettent déjà de détourner environ 6,5 millions de barils par jour de cette voie maritime, selon Sumit Ritolia, analyste chez Kpler.

L’article Le pétrole dévisse après la réponse mesurée de l’Iran aux frappes américaines est apparu en premier sur webdo.

Fermeture du détroit d’Hormuz : un risque réel pour la Tunisie et l’économie mondiale

23. Juni 2025 um 17:46

Alors que les tensions militaires s’aggravent entre Téhéran et Washington, la menace d’une fermeture du détroit d’Hormuz inquiète les marchés. Intervenant ce lundi 23 juin 2025 dans l’émission Midi Show sur les onde de Mosaïque FM, l’économiste Ridha Chkoundali a mis en lumière les possibles répercussions de ce scénario sur les échanges internationaux, mais aussi sur la situation économique tunisienne.

Une zone clé sous pression

Chaque jour, environ un cinquième du pétrole et du gaz mondial passe par le détroit d’Hormuz. Ce couloir maritime est donc vital pour l’approvisionnement en énergie. L’Iran menace de le fermer pour répondre aux attaques américaines contre ses installations nucléaires. Selon Chkoundali, ce geste s’inscrit dans une montée des tensions. L’Iran pourrait aussi viser des bases américaines dans la région.

Des prix du pétrole en forte hausse

Si l’Iran bloque le détroit, les prix du pétrole grimperont vite. Les assurances maritimes coûteront plus cher à cause du risque. Les compagnies devront revoir leurs routes, ce qui augmentera les coûts. Plusieurs pays voisins de l’Iran, comme l’Arabie saoudite, l’Irak ou le Koweït, enverront moins de pétrole. Cela réduira l’offre mondiale et fera monter les prix.

Une situation difficile pour la Tunisie

La Tunisie achète presque toute son énergie à l’étranger. Une hausse du pétrole aura donc un impact direct. Les prix des produits augmenteront, ce qui réduira le pouvoir d’achat. Le gouvernement ne pourra sans doute pas atteindre son objectif de croissance de 3,2 %.

En réponse à l’inflation, la Banque centrale pourrait encore augmenter son taux directeur. Cela rendrait les crédits plus chers pour les entreprises et les ménages. Le déficit commercial, qui s’était amélioré, repartira à la hausse. Le dinar tunisien risque alors de perdre de sa valeur face à l’euro et au dollar. La politique d’autonomie économique pourrait aussi en souffrir.

Une réponse collective nécessaire

Ridha Chkoundali appelle le gouvernement à agir vite. Il recommande à tous les acteurs économiques de travailler ensemble. Une bonne coordination permettra de limiter les dégâts. Il faut aussi chercher des solutions adaptées à la situation.

En résumé, une fermeture du détroit d’Hormuz aurait des effets en chaîne. La Tunisie, comme d’autres pays, devra s’adapter pour faire face à cette crise.


L’article Fermeture du détroit d’Hormuz : un risque réel pour la Tunisie et l’économie mondiale est apparu en premier sur webdo.

Tunisie : La production de pétrole brut recule de 5%

La production nationale de pétrole brut a enregistré un repli de 5% sur un an, selon les dernières données de l’Observatoire national de l’énergie et des mines. Plusieurs champs pétroliers clés sont en nette baisse, malgré quelques hausses localisées.

La production tunisienne de pétrole brut a atteint 438 kilotonnes (kt) à fin avril 2025, soit une diminution de 5% par rapport à la même période en 2024, selon le rapport de conjoncture énergétique publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Cette baisse résulte principalement d’un repli de la production sur la majorité des principaux champs pétroliers, notamment : Nawara (-42%), El Hajeb/Guebiba (-29%), Ashtart (-16%), Cherouq (-14%), Miskar (-11%), Hasdrubal (-9%), Gherib (-21%) et Barka (-67%).

Malgré cette tendance générale à la baisse, quelques champs ont enregistré une hausse notable de leur production, dont Ezzaouia (+242%), D.S.T. (+66%), M.L.D. (+20%) et El Borma (+4%).

Ces progressions, bien que significatives pour certains sites, n’ont pas suffi à compenser le recul global de la production nationale.

Le rapport indique également une baisse de la production journalière moyenne, qui est passée de 29,8 mille barils/jour à fin avril 2024 à 27,3 mille barils/jour un an plus tard. Ce niveau reste bien en dessous des seuils historiques et souligne les défis structurels auxquels fait face le secteur pétrolier tunisien.

L’article Tunisie : La production de pétrole brut recule de 5% est apparu en premier sur webdo.

❌
❌