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Gestern — 14. Mai 2025Haupt-Feeds

Salon Equip’Auto 2025 : Voitures électriques, innovation, l’industrie auto en mutation

Von: hechmi
14. Mai 2025 um 21:10

Equip AutoLa Tunisian Auto Motive (TAA) et la Chambre de Commerce et d’Industrie Tuniso-Française (CCITF) conjuguent leurs efforts pour promouvoir le secteur automobile tunisien auprès des investisseurs français. Un accord de partenariat a été signé mardi 13 mai entre Khelil Chaibi, président de la CCITF, et Meryem Elloumi, présidente de la TAA, en présence de Philippe Baudin, président du Salon Equip’Auto, et d’Aurélie Jouve, directrice du même événement.

Cette alliance vise à valoriser les performances du secteur, attirer les industriels étrangers et renforcer l’attractivité du site tunisien, notamment via les réseaux professionnels et salons partenaires en France.

Salon Equip’Auto 2025 : la vitrine conjointe

Le coup d’envoi de ce partenariat coïncide avec le lancement du road show promotionnel du Salon Equip’Auto 2025, prévu à Paris du 12 au 14 octobre. Ce salon, dédié à l’après-vente automobile, célèbre cette année son cinquantenaire. La participation tunisienne prendra la forme d’un stand collectif, première étape d’un plan de communication ambitieux.

Industrie automobile : entre ruptures et résistances

Lors de la cérémonie, un panel animé par Hedi Hamdi, éditeur du magazine « Sayarti », a réuni les représentants des deux institutions et les invités français pour débattre des mutations du secteur.

Le constat est unanime : la transition vers le moteur électrique bouleverse la chaîne de valeur. Si l’Union européenne vise 2035 pour sortir du thermique, le moteur hybride reste pénalisé par sa consommation, tandis que l’électrique, bien que propre à l’usage, est contesté pour l’impact environnemental de sa batterie et de l’énergie qu’il consomme.

La Chine en tête, l’Europe à la peine

Selon les intervenants, la Chine domine le marché avec 30 millions de véhicules produits sur 40 millions au total, devançant largement l’Europe. La France, qui produisait 4 millions de véhicules par an, est tombée à 1,4 million. L’innovation chinoise, tant en technologie qu’en design, contraste avec la réponse jugée « datée » des constructeurs européens.

La filière tunisienne adapte son modèle

Face à ces bouleversements, les industriels tunisiens s’adaptent. Meryem Elloumi et Imed Charfeddine ont insisté sur la résilience du secteur local, sa capacité à intégrer les nouveaux composants électroniques et à s’aligner sur les attentes des constructeurs mondiaux. Les équipements connectés, les tableaux de bord digitalisés et la transition vers de nouvelles technologies ne font pas peur aux sous-traitants tunisiens. Ce savoir-faire est désormais promu activement vers l’international.

Ali DRISS

 

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Industrie automobile: la Tunisie face aux grandes mutations mondiales

13. Mai 2025 um 15:10

La Chambre de commerce et d’industrie tuniso-française (CCITF) et la Tunisian Automotive Association (TAA) ont organisé ce mardi 13 mai 2025, à Tunis, une conférence sur le thème «Le secteur automobile face aux transformations mondiales: défis, opportunités et perspectives». Une rencontre qui a réuni des représentants de l’écosystème industriel tunisien, à l’image de Khelil Chaibi, président de la CCITF, Myriam Elloumi, présidente de la TAA, et Imed Charfeddine, vice-président de l’association.

Avec plus de 280 entreprises et plus de 100 000 emplois directs, le secteur automobile tunisien représente 7% de la valeur ajoutée industrielle et 4% du PIB. En 2024, les exportations ont atteint 3,1 milliards d’euros, avec une croissance annuelle moyenne de 16% depuis 2018. L’essentiel de la production est destiné à l’international, notamment l’Allemagne (37%), la France (21%), la Roumanie (12%) et l’Italie (11%).

Pour Imed Charfeddine, changement et adaptation sont désormais les maîtres-mots du secteur. Dans son intervention, il a souligné la forte mutation du marché européen, marqué par une baisse drastique de la demande automobile, alors même que de nouveaux pôles de croissance émergent en Asie, avec la Chine en figure de proue.

Forte d’une expérience de plus de 30 ans dans la fabrication de composants, notamment dans le câblage, la Tunisie amorce désormais une transition vers des technologies avancées: électronique embarquée, logiciels, connectivité, maintenance prédictive. Plusieurs entreprises locales commencent déjà à produire des pièces pour véhicules électriques et intègrent des bancs de test ou des centres de développement.

Cette dynamique est soutenue par un atout majeur: un vivier de compétences locales, avec plus de 8 000 ingénieurs formés chaque année, des centres universitaires performants et un coût de main-d’œuvre compétitif.

Charfeddine souligne que l’écosystème automobile international évolue rapidement. Les constructeurs chinois peuvent désormais produire un véhicule en 18 mois, contre 4 à 5 ans pour les Européens. Le véhicule devient un objet technologique simplifié, composé principalement d’une batterie, d’un logiciel et d’un châssis, un changement qui bouleverse toute la chaîne industrielle.

La Tunisie pourrait en tirer profit. Des acteurs majeurs comme Leoni ou Coficab ont déjà installé leurs centres R&D dans le pays. Des groupes asiatiques et américains s’intéressent également à l’implantation de sites de production sur le territoire.

Pour accompagner cette transformation, plusieurs pistes ont été évoquées:

  • Moderniser les infrastructures logistiques, notamment par la création d’un port en eaux profondes.

  • Renforcer la connectivité intérieure, grâce à une meilleure couverture autoroutière.

  • Exploiter les accords commerciaux déjà signés avec l’Europe et l’Afrique.

  • Accélérer l’intégration de l’industrie 4.0, via une meilleure synergie entre universités et entreprises.

  • Et, surtout, sensibiliser les décideurs publics pour maintenir la compétitivité du pays face à la nouvelle mobilité mondiale.

L’événement a aussi été l’occasion pour Aurélie Jouve, directrice du salon Equip Auto, de présenter les contours de la 27e édition du salon international, prévue à Paris du 14 au 18 octobre 2025. Cette édition s’annonce exceptionnelle, avec +85% de surface déjà réservée, +32% de nouveaux exposants inscrits, 30 pays représentés, dont la Tunisie, avec plusieurs pavillons nationaux (Espagne, Pologne, Turquie, Corée, Chine, Taïwan) et la présence attendue des grands leaders du secteur et de nouveaux entrants dans toutes les filières.

Enfin, la conférence a été marquée par la signature d’un protocole d’accord entre la CCITF et la TAA, scellant une volonté commune de renforcer la coopération et les échanges entre acteurs économiques tunisiens et français du secteur automobile.

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Automobile : quand la Chine devance l’Europe, de la production à la technologie

13. Mai 2025 um 13:52

Lors de l’événement « Le secteur automobile face aux transformations mondiales », organisé le 13 mai 2015 à Tunis par la Chambre tuniso-française de l’industrie et du commerce, Philippe Baudin, président d’EQUIP AUTO, a livré une analyse lucide et nuancée sur l’évolution du secteur automobile mondial. Entre bouleversements industriels, montée en puissance de l’Asie et questionnements sur la transition électrique, son intervention a mis en lumière les défis que doivent affronter les acteurs de la filière.

Philippe Baudin a d’abord rappelé que l’industrie automobile, longtemps centrée autour des États-Unis et de l’Europe, est désormais dominée par la Chine. « En 1994, la Chine produisait 250 000 véhicules. Aujourd’hui, elle en produit 30 millions », a-t-il souligné, évoquant un renversement radical de l’équilibre mondial. L’Asie ne joue plus les seconds rôles : elle est aujourd’hui en tête.

Cette montée en puissance ne relève pas uniquement des volumes. M. Baudin note aussi une qualité croissante des véhicules chinois. Lors d’une visite à Shanghai, il dit avoir vu des véhicules BYD de segment B « extrêmement bien équipés » et vendus « moins de 8 000 euros », en contraste saisissant avec des modèles français comme la future Renault 5, proposée à « 40 000 euros ».

La décarbonation, une transition imposée plus que concertée

La transition vers l’électrique s’impose, mais ne convainc pas encore tous les acteurs. M. Baudin observe que « les décisions ont été surtout gouvernementales, pas industrielles ». Il souligne à cet égard le manque d’implication des ingénieurs dans les choix stratégiques. L’électrification est présentée comme une solution incontournable, mais son efficacité réelle, son coût et son adéquation aux besoins des usagers restent discutés.

Il précise ainsi que « 1,87 % du parc automobile mondial est 100 % électrique ». Soit un chiffre encore modeste face aux enjeux climatiques et industriels. Alors, il interroge : « Où va-t-on avec cette électrification ? »

La souveraineté industrielle européenne mise à mal

Par ailleurs, M. Baudin s’inquiète d’un effondrement progressif de la production en France. « On est passé de 4 millions à un peu moins de 1,3 million de véhicules produits », alerte-t-il. Tout en regrettant la perte de souveraineté industrielle française. Il dresse un parallèle avec le Royaume-Uni, évoquant une désindustrialisation qui ne cesse de s’accélérer.

À l’inverse, il se veut plus optimiste pour des pays comme la Tunisie : « Vous êtes en pleine expansion. Vous avez enclenché une dynamique qui vous donne un avenir plus serein que celui de certains pays européens ».

Une vision réaliste du véhicule électrique

D’un point de vue personnel, M. Baudin se montre sceptique face à une électrification généralisée déconnectée des réalités sociales. Il questionne : « Est-ce que le produit correspond à ce que je veux ? »

Prenant l’exemple d’un véhicule électrique urbain comme la Twingo, il ironise : « Je suis marié, j’ai deux enfants, deux chiens, un poisson rouge, des valises… Je fais quoi avec ma Twingo ? Je mets tout le monde sur le toit ? »

Il ne rejette pas l’électrique, mais appelle à adapter l’offre aux besoins variés des consommateurs, en particulier en termes d’autonomie, de prix et d’habitabilité.

Le défi de l’après-vente et des réparateurs

En outre, M. Baudin rappelle que l’aftermarket – la maintenance et les pièces de rechange – reste un secteur stratégique, y compris dans le contexte de l’électrique. « Même un véhicule électrique a des pièces d’usure ». Il souligne que les réparateurs doivent être formés aux nouvelles technologies, et que l’arrivée de constructeurs chinois en Europe posera des défis d’intégration pour les réseaux d’entretien. « Que fait-on si on a un accrochage avec un véhicule Xpeng ? », interroge-t-il, pointant l’absence d’infrastructures techniques adaptées pour ces nouveaux entrants.

Informer, former, anticiper : le rôle d’EQUIP AUTO

Enfin, Philippe Baudin réaffirme la mission de son organisation : accompagner les professionnels du secteur face aux mutations technologiques. À l’approche du 50ème anniversaire d’EQUIP AUTO (du 14 au 18 octobre 2025), il annonce une forte mobilisation pour l’édition 2025, avec « 95 % des grands acteurs présents » et des partenariats renforcés, notamment avec les Automobiles Awards.

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Tunisie : Accord stratégique entre la CCITF et la TAA pour dynamiser l’industrie automobile

13. Mai 2025 um 13:28

Un accord de partenariat stratégique visant à développer le secteur Automobile en Tunisie été signé, mardi, à Tunis, entre la Chambre de Commerce et d’Industrie Tuniso-Française (CCITF) et l’Association tunisienne de l’automobile (Tunisian Automotive Association-TAA).

Signé par le président de la CCITF, Khelil Chaibi et la présidente de la TAA, Myriam Elloumi, lors d’une conférence sur le thème “Le secteur automobile face aux transformations mondiales : défis, opportunités et perspectives”, l’accord vise également promouvoir la participation tunisienne au salon français de l’automobile “Equip Auto Paris “, qui se tiendra du 14 au 18 octobre 2025, à Paris.

A cette occasion, Chaibi a déclaré que cette convention repose sur quatre piliers majeurs à savoir: la promotion des atouts de l’industrie automobile en Tunisie auprès des opérateurs français, la facilitation des échanges commerciaux et des investissements bilatéraux entre les deux pays, le développement des projets de coopération notamment en matière d’innovation, de R&D (Recherche et de développement) et de transfert technologique, ainsi que l’organisation d’événements conjoints et de missions économiques pour renforcer les liens bilatéraux.

Et d’ajouter que ” ce partenariat contribuera à renforcer la visibilité de la Tunisie comme un hub industriel compétitif et à forte valeur ajoutée dans la région”.

Le secteur de l’industrie automobile en Tunisie compte, à ce jour, plus de 280 entreprises actives dans différents sous-secteurs dont 70% sont implantées dans la zone Nord-est ( câblage électrique, ingénierie logicielle, textile, rénovation…), selon Imed Charfeddine, Vice-président de la TAA.

Et d’indiquer que 67% des entreprise opèrent exclusivement sur les marchés internationaux, avec l’Allemagne comme principale destination pour 37% des exportations totales, suivie de la France (21%), de la Roumanie (12%) et de l’Italie ( 11%).

Employant cent mille personnes, le secteur a connu, depuis 2000, une croissance remarquable de 126%, a-t-il ajouté.

En 2024, il a représenté 7% de la valeur ajoutée industrielle et 4% du PIB en 2024.

 

 

 

 

 

 

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Equip Auto Paris 2025 : la Tunisie présente un pavillon pour valoriser son industrie automobile

13. Mai 2025 um 13:20

La Tunisie participera au salon international de la filière automobile, de l’après-vente et des services,”Equip Auto Paris” qui se tiendra du 14 au 18 octobre 2025, dans la capitale française.

“Occupant le 5ème rang parmi les pays visiteurs internationaux de ce salon, la Tunisie projette de participer à ce salon à travers la mise en place d’un pavillon qui incarnera le savoir-faire et le potentiel des entreprises locales”, a déclaré le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie Tuniso-Française (CCITF), Khelil Chaibi, lors d’une conférence dédiée à ce salon et placée sous le thème “Le secteur automobile face aux transformations mondiales : défis, opportunités et perspectives”, tenue mardi, à Tunis.

Organisée par la CCITF en partenariat avec l’Association tunisienne de l’automobile (Tunisian Automotive Association-TAA), le pavillon tunisien permettra aux industriels tunisiens de rayonner à l’échelle internationale, de présenter leurs innovations et de nouer des relations d’affaires stratégiques, a-t-il fait savoir.

Et d’ajouter qu’il s’agit là d’une opportunité pour les professionnels du secteur d’exporter leur expertise et de s’ouvrir sur de nouveaux marchés.

Célébrant son cinquantième anniversaire, le salon “Equip Auto Paris” se veut être un carrefour stratégique d’innovation, de mise en réseau et de développement commercial pour les professionnels du secteur automobile, en Europe et à l’international, selon ses organisateurs.

Ce Salon de la Fédération des Industries des Équipements pour Véhicules (FIEV) et de la Fédération Française de la Carrosserie, “Equip Auto Paris” attire chaque année plus de 400 exposants et près de 100 000 visiteurs, selon ses organisateurs.

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Tunisie : partenariat public-privé pour intégrer 12 000 demandeurs d’emploi dans le secteur automobile

13. Mai 2025 um 12:58

“Quelque 12 mille demandeurs d’emploi seront recrutés dans le secteur privé et ce, en vertu d’une convention signée entre l’Agence nationale pour l’emploi et le travail indépendant (ANETI) et de grandes entreprises économiques opérant en Tunisie”, a annoncé, mardi, le ministre de l’emploi et de la formation professionnelle, Riadh Chaoued lors d’une journée d’information pour annoncer le lancement du programme des « grands employeurs ».

Il s’agit d’une dizaine d’entreprises actives dans le domaine de la fabrication de composants automobiles, établies en Tunisie, dont certaines appartiennent à des investisseurs étrangers et d’autres à des Tunisiens, selon le ministre.

Chaoued a précisé que le lancement du programme des “grands employeurs” vise à mobiliser les grandes entreprises du secteur de la fabrication de composants automobiles afin de renforcer leur capacité d’emploi faisant savoir que d’autres secteurs seront impliqués et ce, dans le but d’offrir des emplois stables aux demandeurs d’emploi.

Le ministre a signalé qu’il s’agit de signer des contrats entre l’Agence nationale pour l’emploi et le travail indépendant (ANETI) et les entreprises à forte capacité de recrutement.

Chaoued a annoncé que la prochaine étape concernera les cliniques privées outre le lancement d’un programme destiné à l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap.

Il a souligné que ce nouveau programme repose principalement sur la garantie de formations complémentaires au profit des demandeurs d’emploi retenus par les entreprises économiques signalant que le département accordera des bourses aux nouveaux recrutés durant leur période de formation et prendra en charge leur formation et leur reconversion, afin de répondre aux exigences des entreprises concernées.

Par ailleurs, le ministre de l’Emploi a évoqué le projet d’amendement du Code du travail, soumis à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) signalant que cette réforme favorisera la stabilité sociale et contribuera à la relance économique.

A noter que le secteur de la fabrication de composants automobiles compte plus de 200 entreprises dont 70% appartiennent à des investisseurs étrangers. Ce secteur fournit actuellement 100 000 emplois stables et ses besoins en main-d’œuvre devraient augmenter à 70 000 postes supplémentaires au cours des cinq prochaines années.

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Secteur automobile : 280 entreprises, 100 000 emplois et un nouveau souffle grâce à un partenariat franco-tunisien

Von: walid
13. Mai 2025 um 13:45
Secteur automobile : 280 entreprises, 100 000 emplois et un nouveau souffle grâce à un partenariat franco-tunisien

Un accord de partenariat stratégique visant à développer le secteur Automobile en Tunisie été signé, mardi, à Tunis, entre la Chambre de Commerce et d’Industrie Tuniso-Française (CCITF) et l’Association tunisienne de l’automobile (Tunisian Automotive Association-TAA). Signé par le président de la CCITF, Khelil Chaibi et la présidente de la TAA, Myriam Elloumi, lors d’une conférence […]

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12 000 nouveaux emplois dans le secteur automobile grâce à un programme national de partenariat

13. Mai 2025 um 13:37
12 000 nouveaux emplois dans le secteur automobile grâce à un programme national de partenariat

Le ministre de la Formation professionnelle et de l’Emploi, Riadh Choued, a annoncé le lancement du Programme des Grands Employeurs, destiné aux entreprises privées à fort potentiel de recrutement. Dans ce cadre, dix conventions de partenariat ont été signées avec des sociétés opérant dans le secteur de la fabrication de composants automobiles. Ce programme s’inscrit […]

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Imed Charfeddine : « La Tunisie doit jouer la carte du véhicule électrique et de l’innovation »

13. Mai 2025 um 11:20

Imed Charfeddine, vice-président de la TAA, a dressé un tableau des défis et opportunités du secteur automobile tunisien. Entre essor du véhicule électrique et attractivité croissante pour les investisseurs asiatiques et américains.

« L’industrie s’adapte au marché et à la consommation », a rappelé Imed Charfeddine en ouverture de son intervention, lors de l’événement « Le secteur automobile face aux transformations mondiales », organisé à Tunis le 13 mai 2025 par la Chambre tuniso-française de l’industrie et du commerce (CTFCI). Face à un marché européen en net recul — « le nombre de véhicules produits ces dernières années est tombé à 1,8 million, et on annonce déjà des chiffres en dessous du milliard d’euros » —, le responsable a souligné l’urgence d’une redéfinition stratégique.

Les marchés traditionnels s’essoufflent, poussant les industriels à explorer de nouveaux débouchés. « Nos clients changent, se tournent vers de nouveaux marchés », a-t-il prévenu, citant notamment l’essor des constructeurs asiatiques, en particulier chinois.

Un tissu industriel déjà solide, mais en mutation

La Tunisie peut compter sur un socle industriel conséquent : plus de 100 000 emplois dans le secteur automobile, en grande partie dans le câblage. Toutefois, ce modèle est en pleine mutation. « On voit émerger des technologies électroniques, l’informatique embarquée, la connectivité. Et nous accompagnons cette transformation », a indiqué M. Charfeddine.

L’industrie locale se tourne vers des compétences plus pointues, intégrant le software, la maintenance prédictive et les bancs de tests électroniques. Il reconnaît toutefois des perturbations récentes dans certains pôles industriels, laissant entendre que des troubles ont freiné certaines dynamiques.

Vers une industrie 4.0 et des alliances stratégiques

Pour le vice-président de la TAA, l’avenir passe par l’innovation. Il appelle les pouvoirs publics à « inciter les entreprises à se transformer vers l’industrie 4.0 ». Et ce, tout en évoquant la nécessité d’un projet universitaire dédié à la montée en compétences : « Il faut former les talents qui accompagneront les nouvelles technologies et les besoins des consommateurs en connectivité et mobilité ».

Par ailleurs, la Tunisie peut tirer parti de ses accords commerciaux avec l’Europe et l’Afrique : « Ce sont des avantages à exploiter pour accompagner le développement du secteur automobile vers de nouveaux marchés ».

Attractivité croissante pour les investisseurs étrangers

Les évolutions du marché mondial ouvrent aussi des perspectives pour la Tunisie en tant que base industrielle stratégique. Face à la nécessité de raccourcir les chaînes d’approvisionnement, les géants asiatiques et américains montrent un intérêt accru pour le pays. Ainsi, « depuis vingt ans, les acteurs asiatiques rachètent des entreprises européennes. Aujourd’hui, ils viennent en Tunisie pour prospecter et envisager l’installation de nouvelles usines », poursuit-il.

M. Charfeddine cite également l’intérêt des acteurs américains et japonais, notamment dans la fabrication de composants pour véhicules électriques. « Le véhicule électrique est plus accessible à produire et à intégrer. C’est une carte que nous devons jouer », a-t-il insisté.

Compétences locales et enjeux de souveraineté technologique

L’écosystème tunisien est en mesure de répondre à ces nouveaux défis : « Plus de 8 000 ingénieurs sont formés chaque année. Nos centres universitaires, professionnels et de recherche ont permis l’émergence d’une filière de compétences remarquable ».

Des entreprises comme Leoni ou Coficab ont investi dans des centres de développement en Tunisie, certains employant plus de 1 000 ingénieurs. « Le coût des ingénieurs en Tunisie reste compétitif, avec une excellente adaptabilité aux technologies émergentes ». La proximité géographique avec l’Europe, l’usage croissant des outils numériques et l’absence de décalage horaire renforcent encore l’attractivité du pays.

Le logiciel, nouveau cœur de la voiture connectée

« La voiture de demain sera un concentré de software », a souligné Imed Charfeddine, évoquant le rôle croissant des fabricants de téléphones dans l’automobile. « Regardez les véhicules conçus par ces entreprises : ils sont vendus dans les mêmes magasins que les smartphones et misent sur l’ergonomie. »

Dans un monde où la voiture devient un terminal mobile, la Tunisie a une carte à jouer : celle de la compétence numérique appliquée à l’automobile.

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Industrie automobile : Dräxlmaier forme les futurs ingénieurs tunisiens grâce au projet ACTION

09. Mai 2025 um 13:01

Un nouveau parcours d’études spécialisé en Ingénierie logicielle automobile vient d’être lancé par le Groupe Dräxlmaier, groupe allemand opérant dans le monde entier dans le segment de l’automobile, en collaboration avec GIZ Tunisie, l’École nationale d’ingénieurs de Sousse et l’Institut de Technologies de Deggendorf.

D’après le Groupe Dräxlmaier, ce cursus élaboré dans le cadre du projet « Automotive competences transforming into opportunities of new jobs » (Action) vise à doter les futurs ingénieurs des compétences nécessaires pour relever les défis actuels et futurs de l’industrie automobile.

25 étudiants lauréats du concours national d’accès aux écoles d’ingénieurs, auront, ainsi, la chance de suivre ce programme, à partir de septembre 2025. Ils bénéficieront d’un enseignement de premier ordre et acquerront des compétences avancées, faisant d’eux des professionnels très recherchés dans l’industrie automobile.

Le projet ACTION est une collaboration entre Dräxlmaier Group Tunisie et GIZ Tunisie qui se concentre sur la formation des jeunes tunisiens dans l’industrie avancée pour promouvoir la création d’emplois décents et de qualité en Tunisie. Il est implémenté dans le cadre du programme “develoPPP”, mandaté par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) et implémenté par la GIZ Tunisie.

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Kia appuie le Tennis Tunisien en sponsorisant Aziz Dougaz au Kia Tunis Open 2025

09. Mai 2025 um 11:29

Dans le cadre du Kia Tunis Open 2025, 20ᵉ édition du tournoi, qui se tiendra du 12 au 17 mai au Tennis Club de Tunis, City Cars Kia est ravi d’annoncer le sponsoring du Tennisman tunisien Aziz Dougaz.

Actuellement meilleur joueur tunisien, Aziz Dougaz s’est illustré sur les courts par son ambition, sa persévérance et sa progression constante sur le circuit professionnel. Son engagement, son esprit combatif et son attachement à la Tunisie font de lui un modèle pour la jeunesse et un porte-drapeau idéal des valeurs de performance que partage la marque Kia.

En sponsorisant Aziz Dougaz pour cette édition du Kia Tunis Open, City Cars Kia réaffirme son engagement constant envers le développement du tennis tunisien et l’encouragement des jeunes talents. Partenaire fidèle du Tennis Club de Tunis (TCT) depuis plusieurs années, Kia contribue activement à la promotion du sport de raquette, notamment à travers ce tournoi d’envergure internationale qui rassemble chaque année des talents venus du monde entier.

Véritable rendez-vous incontournable du tennis professionnel en Tunisie, le Kia Tunis Open incarne l’esprit de compétition, de dépassement de soi et de passion que Kia souhaite encourager.

Kia Tunis Open – Open to all.

Site web : KIA

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Alliance TAA – TABC │Pour un hub automobile africain en Tunisie

09. Mai 2025 um 07:29

La Tunisian Automotive Association (TAA) et le Tunisia Africa Business Council (TABC) ont signé, à Tunis, le 6 mai 2025, un partenariat stratégique à l’occasion de la Fita 2025. Cette alliance vise à renforcer le rayonnement du secteur automobile tunisien sur le continent africain et à consolider la position de la Tunisie comme plateforme industrielle de référence en Afrique.

Ce partenariat repose sur une vision partagée de développement industriel et de coopération Sud-Sud, en tirant parti de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) et du Marché commun de l’Afrique orientale et australe (Comesa).

Ensemble, la TAA et le TABC s’engagent à promouvoir l’expertise tunisienne dans l’automobile, notamment dans les domaines de la mobilité électrique, de la fabrication intelligente et des composants innovants.

Des engagements opérationnels concrets

La convention, signée par Myriam Elloumi, présidente de la TAA, et Anis Jaziri, président du TABC, prévoit notamment la mise en place d’un accompagnement export via une plateforme dédiée aux entreprises tunisiennes du secteur0;0 l’intégration des chaînes de valeur africaines et le développement de projets structurants à fort impact; l’organisation conjointe d’événements, de missions B2B, et de formations certifiantes en partenariat avec des institutions académiques; et l’échange régulier d’informations sur les opportunités de marché, les tendances industrielles et les partenariats potentiels.

«Ce partenariat avec le TABC nous permet d’aligner nos ambitions industrielles avec les besoins croissants du marché africain. Il incarne une volonté claire de faire de la Tunisie une base industrielle compétitive, tournée vers l’Afrique», a déclaré Myriam Elloumi, présidente de la TAA.

«Ensemble, nous œuvrons à faire émerger une vision panafricaine de l’industrie automobile, portée par les savoir-faire tunisiens et une stratégie d’intégration continentale», a déclaré Anis Jaziri, président du TABC.

Le secteur de l’industrie automobile tunisienne regroupe aujourd’hui plus de 280 entreprises, dont une grande majorité exportatrices prêtes à accompagner l’implantation de nouveaux constructeurs, équipementiers et investisseurs étrangers. Grâce à un écosystème dynamique et compétitif, le pays capitalise sur ses atouts technologiques, sa main-d’œuvre qualifiée et ses infrastructures avancées, lui conférant un positionnement de hub stratégique continental, offrant une plateforme industrielle moderne, durable et intelligente pour le marché africain.

Communiqué.

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La TAA et le TABC unissent leurs forces pour positionner la Tunisie comme hub automobile africain

08. Mai 2025 um 11:20

La Tunisian Automotive Association (TAA) et le Tunisia Africa Business Council (TABC) annoncent la signature d’un partenariat stratégique à l’occasion de la FITA 2025. Cette alliance vise à renforcer le rayonnement du secteur automobile tunisien sur le continent africain et à consolider la position de la Tunisie comme plateforme industrielle de référence en Afrique.

Une vision commune pour l’industrialisation africaine

Ce partenariat repose sur une vision partagée de développement industriel et de coopération Sud-Sud, en tirant parti de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf) et du COMESA. Ensemble, la TAA et le TABC s’engagent à promouvoir l’expertise tunisienne dans l’automobile, notamment dans les domaines de la mobilité électrique, de la fabrication intelligente et des composants innovants.

Des engagements opérationnels concrets

La convention, signée par Mme Myriam Elloumi, Présidente de la TAA, et M. Anis Jaziri, Président du TABC, prévoit notamment :

  • La mise en place d’un accompagnement export via une plateforme dédiée aux entreprises tunisiennes du secteur,
  • L’intégration des chaînes de valeur africaines et le développement de projets structurants à fort impact,
  • L’organisation conjointe d’événements, de missions B2B, et de formations certifiantes en partenariat avec des institutions académiques,
  • L’échange régulier d’informations sur les opportunités de marché, les tendances industrielles et les partenariats potentiels.

« Ce partenariat avec le TABC nous permet d’aligner nos ambitions industrielles avec les besoins croissants du marché africain. Il incarne une volonté claire de faire de la Tunisie une base industrielle compétitive, tournée vers l’Afrique. »
 — Myriam Elloumi, Présidente de la TAA

« Ensemble, nous œuvrons à faire émerger une vision panafricaine de l’industrie automobile, portée par les savoir-faire tunisiens et une stratégie d’intégration continentale. »
 — Anis Jaziri, Président du TABC

Le secteur de l’industrie automobile tunisienne regroupe aujourd’hui plus de 280 entreprises, dont une grande majorité exportatrices prêtes à accompagner l’implantation de nouveaux constructeurs, équipementiers et investisseurs étrangers. Grâce à un écosystème dynamique et compétitif, le pays capitalise sur ses atouts technologiques, sa main-d’œuvre qualifiée et ses infrastructures avancées, lui conférant un positionnement de hub stratégique continental, offrant une plateforme industrielle moderne, durable et intelligente pour le marché africain.

 A propos de la TAA :

La Tunisian Automotive Association est une association Professionnelle à but non lucratif créée en février 2016 à l’initiative des acteurs de l’industrie des composants automobiles en Tunisie afin de favoriser les échanges, la collaboration et la synergie entre les entreprises du secteur de l’industrie automobile et d’accompagner les autorités Tunisiennes pour développer et promouvoir le secteur en Tunisie.

A propos du TABC :

Organisation non Gouvernementale, fondée par des acteurs économiques clés et des personnalités tunisiennes Tunisia-Africa Business Council (TABC), dont le but est de mettre l’Afrique au cœur des préoccupations du Gouvernement tunisien ainsi que des opérateurs économiques et mener un travail de rapprochement et d’Africanisation de notre continent, et ce grâce à une capitalisation structurée des connaissances, de savoir-faire et de compétences. Elle vise à devenir l’acteur de référence pour une meilleure coopération Sud-Sud favorisant le développement durable et la prospérité partagée en faveur des populations africaines.

 

 

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