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Ooredoo Tunisie obtient la certification ISO 22301:2019

09. Oktober 2025 um 16:26

Premier opérateur en Tunisie à recevoir cette reconnaissance internationale en continuité d’activité

Ooredoo Tunisie est fière d’annoncer l’obtention de la certification ISO 22301:2019, la norme internationale de référence en matière de système de management de la continuité d’activité (SMCA).

Avec cette distinction, Ooredoo devient le premier opérateur télécom en Tunisie à obtenir cette reconnaissance internationale, confirmant son engagement envers la résilience opérationnelle, la gestion proactive des risques et la garantie d’un service de qualité ininterrompu pour ses clients.

La norme ISO 22301:2019 établit les exigences permettant aux organisations de planifier, mettre en œuvre, surveiller et améliorer un SMCA. Elle aide à anticiper et gérer efficacement les perturbations majeures tout en assurant la continuité des activités critiques.

Cette certification s’inscrit dans une démarche d’amélioration continue et vient consolider les engagements de Ooredoo en matière de gouvernance, sécurité et fiabilité. Elle illustre la capacité de l’entreprise à protéger ses infrastructures essentielles et à maintenir la disponibilité de ses services même en période de crise.

À cette occasion, Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie, a déclaré : « L’obtention de la certification ISO 22301:2019 est une étape majeure qui reflète notre détermination à rester à la pointe de l’excellence opérationnelle et de la gestion des risques. Elle confirme notre rôle de leader technologique et réaffirme notre responsabilité envers nos clients, nos partenaires et l’ensemble de l’écosystème numérique tunisien. Chez Ooredoo, nous nous engageons à garantir une connectivité fiable et sécurisée, quelles que soient les circonstances. »

Cette reconnaissance internationale vient renforcer les nombreuses initiatives stratégiques de Ooredoo visant à consolider sa position de leader sur le marché tunisien et régional, tout en adoptant les meilleures pratiques mondiales en matière de sécurité, qualité et résilience.

Site web : Ooredoo

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Afrique : quand les cybercriminels brouillent la frontière entre vie pro et vie perso

09. Oktober 2025 um 10:41

La transformation numérique en Afrique est spectaculaire. Du mobile money aux services publics en ligne, des millions de citoyens et d’entreprises basculent chaque année vers le digital. Mais cette révolution attire aussi les cybercriminels, qui exploitent autant la sphère professionnelle que la vie personnelle des utilisateurs.

Des chiffres qui inquiètent

Selon INTERPOL[1], plus de 30% des crimes signalés en Afrique de l’Ouest et de l’Est en 2025 relèvent désormais du cyberespace. Les escroqueries en ligne, la fraude au président (ou Business Email Compromise), les rançongiciels et la sextorsion dominent le paysage. Près de 90% des pays africains estiment leurs capacités d’enquête et de poursuite encore insuffisantes face à ces menaces.

Les opérations Serengeti menées par INTERPOL et Afripol en 2024 puis en 2025 ont permis l’arrestation de plus de 2200 suspects sur le continent, l’identification de dizaines de milliers de victimes et la récupération de près de 300 millions de dollars liés aux cyberfraudes.[2]

Professionnel ou personnel : les mêmes recettes

Dans les entreprises africaines, l’hameçonnage par e-mail reste le point d’entrée le plus fréquent, parfois suivi d’une fraude au président où un faux dirigeant réclame un virement urgent. Les rançongiciels continuent, eux, de paralyser des organisations entières en quelques heures.

Dans la vie privée, le décor change mais la mécanique reste la même. Les cybercriminels utilisent WhatsApp, Telegram ou de simples SMS pour proposer de faux emplois ou de prétendus gains rapides. Ils s’attaquent aussi aux systèmes de mobile money en se faisant passer pour un opérateur télécom, ou recourent à la sextorsion en menaçant de diffuser des images intimes.

Leur stratégie est toujours identique : exploiter la confiance, jouer sur l’urgence et la peur, pousser la victime à l’erreur.

Quand un cas personnel devient un problème collectif

En 2023, au Kenya, une série d’attaques par déni de service distribué a paralysé la plateforme gouvernementale eCitizen, utilisée par des millions de citoyens pour plus de 5000 démarches. L’épisode a montré combien une attaque visant des usagers pouvait rapidement bloquer toute une économie.[3]

Deux ans plus tôt, en Afrique du Sud, le groupe public Transnet avait dû déclarer la force majeure après une cyberattaque ayant frappé ses terminaux portuaires à conteneurs. Là encore, une attaque contre un système interne a eu des conséquences massives sur la chaîne logistique régionale.[4]

Ces cas rappellent une réalité africaine : le smartphone unique sert souvent à tout, des e-mails d’entreprise aux conversations familiales, en passant par les transactions financières. Une compromission dans la sphère privée peut ainsi se transformer en incident professionnel majeur.

Un défi culturel autant que technique

« En Afrique, la frontière entre l’usage professionnel et personnel du numérique est presque inexistante. Un même smartphone sert à gérer les finances d’une PME le matin et à recevoir des messages WhatsApp le soir. C’est précisément cette porosité que les cybercriminels exploitent », explique Benoit Grunemwald, expert en cybersécurité chez ESET Afrique Francophone.

Le défi est renforcé par la fracture numérique. Le rapport 2024 de la GSMA sur l’état de la connectivité mobile souligne que seuls 27 % des habitants d’Afrique subsaharienne utilisaient l’internet mobile fin 2023, et que l’« usage gap », c’est-à-dire la part de la population vivant sous couverture mobile mais n’utilisant pas l’internet, atteignait encore 60 %[5]. Autrement dit, des millions de primo-utilisateurs découvrent le web sans bagage de cybersécurité..

Comment renforcer la résilience ?

Pour contenir ces menaces, plusieurs pistes concrètes existent :

  • Former en continu, en se concentrant sur les risques les plus fréquents comme le phishing, la fraude au président, la sextorsion ou les fraudes au mobile money.
  • Simuler régulièrement des attaques, par exemple avec des e-mails ou des SMS factices, afin de tester la vigilance des utilisateurs.
  • Simplifier le signalement grâce à un bouton unique ou un canal clair, tout en instaurant une culture « zéro blâme ».
  • Encourager la séparation entre usages professionnels et personnels par des mots de passe distincts, l’activation systématique de l’authentification à deux facteurs et, quand c’est possible, l’isolement des applications professionnelles.
  • S’appuyer sur les efforts collectifs, car les opérations Serengeti démontrent que la coopération entre gouvernements, forces de l’ordre et secteur privé peut porter ses fruits.

La cybercriminalité en Afrique ne distingue pas entre le professionnel et le personnel : elle cible l’individu, qu’il soit salarié ou simple utilisateur de WhatsApp. Pour les organisations comme pour les États, la clé réside dans la sensibilisation des utilisateurs et la reconnaissance de cette porosité. Former, informer et responsabiliser les citoyens et les employés constitue la meilleure défense pour que l’Afrique tire pleinement profit du numérique sans en subir les dérives.

[1] https://www.interpol.int/en/Crimes/Cybercrime/Cybercrime-reports/Africa-Cyberthreat-Assessment-2025

[2] https://www.interpol.int/en/News-and-Events/News/2024/Operation-Serengeti

[3] https://www.techinafrica.fr/des-pirates-informatiques-pro-soudanais-attaquent-des-services-numeriques-au-kenya/

[4] https://www.rfi.fr/fr/afrique/20210725-en-afrique-du-sud-les-ports-victimes-d-une-myst%C3%A9rieuse-cyberattaque

[5] https://www.gsma.com/r/wp-content/uploads/2024/10/The-State-of-Mobile-Internet-Connectivity-Report-2024.pdf

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Cybercriminalité et IA : le gouvernement tunisien met en garde contre les risques pour les enfants

08. Oktober 2025 um 16:42

Le ministre des technologies de la communication Sofiene Hemissi a mis en garde, mercredi, contre les dangers des menaces cybernétiques contre les mineurs en raison de l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA).

“En navigant sur Internet, les mineurs sont exposés aux risques de diffusion de contenus erronés sur l’histoire, la religion et la civilisation, mise à part les problématiques classiques liées à l’accès aux sites contraires aux bonnes mœurs”, a souligné le ministre, au cours d’une conférence nationale ayant pour thème ” la Cybercriminalité à l’heure de l’intelligence artificielle et du développement des technologies modernes”, organisée par le ministère de l’intérieur, en collaboration avec les ministères de la défense nationale et des technologies de la communication.

Il a indiqué que les élèves utilisent le chat GPT pour obtenir des informations ou des explications détaillées sur un sujet précis, alors que cet outil pourrait fournir des informations incorrectes sur l’histoire et la religion.

“Ces données pourraient avoir des répercussions négatives sur l’éducation et l’apprentissage des enfants”, a-t-il dit.

Le ministre des technologies de la communication a appelé tous les ministères à unir leurs efforts en vue de protéger les enfants en bas âge contre ces risques.

“Les récentes statistiques ont dévoilé que les enfants âgés entre 12 et 16 ans passent 8 heures par jour sur internet” a-t-il ajouté, estimant que ce chiffre est alarmant.

De son coté, l’expert international en sécurité cybernétique Mohamed Hamdi a fait savoir que la recrudescence de la Cybercriminalité en Tunisie, en particulier à l’encontre des personnes les plus vulnérables en l’occurrence les mineurs, est la conséquence de l’absence de sensibilisation sur ce phénomène, appelant à la nécessité d’organiser des campagnes de sensibilisation sur l’usage abusif d’internet et la prévention de la cybercriminalité.

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Google étend la recherche basée sur l’IA à une quarantaine de pays

08. Oktober 2025 um 15:03

Le géant américain de la technologie, Google, a commencé à étendre sa nouvelle fonctionnalité de recherche basée sur l’IA à plus de 40 pays et régions supplémentaires, dont plusieurs pays européens tels que l’Allemagne, l’Autriche, la Suisse, l’Espagne, l’Italie, la Suède et la Pologne, ainsi que la Thaïlande et le Vietnam.

Cette fonctionnalité, qui permet aux utilisateurs d’interagir directement avec les résultats de recherche via le chat en direct, a été lancée aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Inde en juillet dernier. Le géant technologique américain indique qu’elle est désormais disponible dans plus de 200 pays et régions à travers le monde.

Ce nouveau mode est accessible via Google.com ou les domaines locaux des sites Google dans différents pays, où il apparaît comme une option supplémentaire aux côtés des onglets habituels tels que « Tout », « Photos », « Vidéos » et « Actualités ». L’entreprise a expliqué que l’arrivée de cette nouvelle option pourrait prendre plusieurs jours, le temps que les serveurs soient progressivement mis à jour.

Google proposait auparavant des résumés optimisés par l’IA pour certains sujets, mais ceux-ci incluaient également des liens sponsorisés et des sources traditionnelles. Dans le nouveau format, les listes de liens traditionnels sont remplacées par des réponses détaillées, avec des sources partiellement citées en notes de bas de page, tandis que les trois principales sources sont affichées dans une barre latérale.

Le nouveau mode IA s’appuie sur le système Gemini Pro 2.5, conçu pour fournir des réponses précises et rapides. Hema Budaraju, vice-présidente de Google, a expliqué que les utilisateurs peuvent désormais poser des questions longues et complexes qui nécessitaient auparavant plusieurs recherches, citant l’exemple de la préparation détaillée d’un week-end à Édimbourg (Écosse) en fonction de leurs centres d’intérêt.

Cette nouvelle fonctionnalité suscite des inquiétudes chez certains éditeurs et entreprises qui dépendent du trafic utilisateur issu des résultats de recherche, craignant une baisse des clics. Cependant, les responsables de Google ont confirmé que les premières expériences menées aux États-Unis et au Royaume-Uni ont montré que les signets vers des sources fiables continuent de générer un trafic important vers des sites de qualité.

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Maroc : hausse de 22 % des vols d’identifiants selon Kaspersky

Von: hechmi
08. Oktober 2025 um 10:29

CybersécuritéLe Maroc fait face à une montée inquiétante de la cybercriminalité. Selon les données présentées lors du KNext Rabat 2025, organisé par Kaspersky sous l’égide du Ministère de la Transition numérique, près de 21 millions de tentatives d’attaques informatiques ont été détectées au premier semestre 2025. Ces chiffres témoignent d’un contexte où la numérisation rapide des entreprises s’accompagne de vulnérabilités accrues.

Des menaces diversifiées et en forte hausse

Les statistiques issues du Kaspersky Security Network (KSN) révèlent que le Maroc a enregistré :

  • 15 millions de menaces locales,
  • 6 millions d’attaques Internet,
  • 800 000 exploits,
  • 390 000 vols d’identifiants,
  • 8 000 backdoors et
  • 230 000 spywares.

L’augmentation notable des vols d’identifiants (+22%) et des logiciels espions (+22%) par rapport à 2024 montre une mutation du risque : les cybercriminels s’attaquent désormais à la chaîne opérationnelle et humaine, ciblant les secteurs bancaire, industriel et télécoms.

Une réponse nationale structurée

Cette montée des menaces s’inscrit dans un contexte de cyberincidents répétés visant aussi bien des institutions publiques que des entreprises stratégiques. Pour y répondre, la Stratégie Nationale de Cybersécurité 2030, publiée par la DGSSI, trace une feuille de route ambitieuse articulée autour de quatre axes :

  • Gouvernance nationale de la cybersécurité,
  • Sécurité et résilience du cyberespace,
  • Développement des compétences,
  • Coopération internationale.

L’objectif : faire du Maroc un acteur régional de référence en matière de sécurité numérique et de souveraineté technologique.

Une mobilisation collective nécessaire

Lors du KNext Rabat, Kaspersky a appelé les entreprises à adopter une cybersécurité proactive :

  • Surveillance continue, sauvegardes régulières et gestion stricte des accès,
  • Formations et sensibilisation accrues face aux attaques ciblées,
  • Partenariats stratégiques pour renforcer la détection et la réponse aux incidents.

« La cybersécurité n’est plus une contrainte technique, c’est un enjeu stratégique », rappelle Samy Tadjine, Responsable Grands Comptes chez Kaspersky.

Entreprises, institutions et experts s’accordent : l’anticipation et la coopération sont désormais les clés d’une économie digitale résiliente et souveraine.

(Source: Kaspersky Security Network -KSN)

EN BREF

  • Plus de 20 millions d’attaques détectées au Maroc entre janvier et juin 2025.
  • Forte progression des vols d’identifiants et logiciels espions (+22 %).
  • Les secteurs bancaires, industriels et télécoms particulièrement visés.
  • La DGSSI déploie la Stratégie Nationale de Cybersécurité 2030 pour renforcer la résilience.
  • Kaspersky appelle à une mobilisation collective : gouvernance, formation et anticipation.
  • Le Maroc ambitionne de devenir une référence régionale en sécurité numérique.

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Tunisair Technics obtient la certification européenne Part-145

05. Oktober 2025 um 12:11

Tunisair Technics obtient la certification européenne Part-145, ouvrant l’accès au marché de la maintenance aéronautique européenne

La filiale maintenance du groupe Tunisair, Tunisair Technics, a décroché la certification Part-145 délivrée par l’Agence européenne de la sécurité aérienne (EASA), lui permettant désormais d’assurer la maintenance d’aéronefs et de composants immatriculés en Europe. Cette homologation marque une étape clé dans la mise à niveau du secteur de la maintenance aéronautique tunisien.

L’obtention de ce label intervient à l’issue d’un audit conduit par l’EASA du 30 septembre au 2 octobre 2025, qui a confirmé la conformité des installations et des procédures de Tunisair Technics aux standards techniques européens.
Selon le ministère du Transport, cette certification s’inscrit dans une stratégie visant à renforcer la compétitivité de la compagnie nationale et à intégrer la Tunisie dans la chaîne de valeur de la maintenance aéronautique internationale.

Lors d’une réunion consacrée au suivi du parc aérien, le ministre du Transport, Rachid Amri, a pris acte des conclusions de l’audit et du niveau d’avancement du plan opérationnel de maintenance, réalisé à 68 %. Les discussions ont également porté sur le programme de la Commission de pilotage du système de gestion de la sécurité, chargé de développer la formation continue et la sensibilisation à la sécurité aérienne.

Le ministère a confirmé la poursuite du suivi régulier des performances de la cellule de maintenance, créée le 18 septembre 2025, qui opère sous la supervision de la Commission de sécurité. Cette entité a pour mission d’améliorer la disponibilité de la flotte nationale, notamment à travers des inspections périodiques et la détection précoce des anomalies techniques.

Sur le plan économique, cette reconnaissance européenne devrait renforcer la position de Tunisair Technics sur le marché régional et attirer des contrats de maintenance externes, contribuant à la réduction des coûts opérationnels de la compagnie nationale. Le ministère y voit un levier stratégique pour consolider la fiabilité du transport aérien tunisien et restaurer la confiance des partenaires internationaux.

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La valeur d’OpenAI grimpe à 500 milliards de dollars

03. Oktober 2025 um 15:04

OpenAI a conclu un accord pour aider ses employés à vendre leurs actions à une valorisation de 500 milliards de dollars. Ce qui permettrait au propriétaire de ChatGPT de surpasser SpaceX d’Elon Musk en tant que plus grande startup au monde.

Selon une source proche du dossier citée par Bloomberg, des employés et anciens employés d’OpenAI ont vendu pour environ 6,6 milliards de dollars d’actions à des investisseurs tels que Thrive Capital, SoftBank Group Corp., Dragoneer Investment Group, MGX (Abou Dhabi) et T. Rowe Price. La valorisation de l’entreprise américaine a ainsi été portée bien au-dessus des 300 milliards de dollars précédemment estimés lors d’une levée de fonds menée par SoftBank en début d’année.

Cette ascension fulgurante témoigne de l’engouement des investisseurs pour les leaders d’une technologie susceptible de transformer les industries et les économies mondiales. OpenAI, dirigé par Sam Altman, fait partie des nombreuses entreprises, dont Nvidia Corp., qui mènent actuellement un effort mondial pour construire des centres de données et déployer des services d’intelligence artificielle, un projet qui devrait coûter des milliers de milliards de dollars.

Cet accord place OpenAI au-dessus de la valorisation de SpaceX, estimée à 400 milliards de dollars. Cette étape importante intervient à un moment crucial pour l’entreprise, qui est en pourparlers avec Microsoft Corp. afin de se transformer en une société à but lucratif plus traditionnelle.

Une vente secondaire pourrait aider OpenAI à inciter le personnel à rester dans l’entreprise et à rejeter ces offres de rémunération généreuses.

À long terme, OpenAI est confrontée à une pression concurrentielle croissante de la part d’autres entreprises comme Google et Anthropic, qui lèvent également des capitaux à un rythme soutenu. En réponse, l’entreprise a lancé récemment une série de nouveaux produits technologiques.

Parmi ces innovations figurent deux modèles d’intelligence artificielle ouverts et librement disponibles, capables d’imiter le raisonnement humain, quelques mois après que le chinois DeepSeek a attiré l’attention du monde entier avec son propre logiciel open source. OpenAI a publié son modèle GPT-5 le plus puissant en août, visant à consolider son avance dans un secteur de plus en plus concurrentiel.

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Ooredoo AI Summit : Accélérer l’économie numérique de la Tunisie

03. Oktober 2025 um 14:10

Ooredoo Tunisie a accueilli hier la première édition de Ooredoo AI Summit, un événement majeur qui a réuni le ministre des Technologies de la communication, Sofiene Hemissi, le CEO du Groupe Ooredoo, Aziz Aluthman Fakhroo, le CEO régional du Groupe Ooredoo pour l’Afrique du Nord et l’Asie, Ahmad Abdulaziz Al Neama, le CEO de Ooredoo Tunisie, Mansoor Rashid Al-Khater, l’équipe dirigeante du Groupe Ooredoo, ainsi que des startups, des chefs d’entreprise, des représentants des médias, des décideurs politiques et des acteurs clés de l’écosystème tunisien de l’IA.

 

Lors de l’ouverture du sommet, le ministre des Technologies de la communication a souligné que l’intelligence artificielle représente non seulement une évolution technologique, mais aussi une opportunité stratégique pour la Tunisie de renforcer sa souveraineté numérique, d’autonomiser les jeunes et d’accélérer une croissance économique inclusive et durable. Il a salué l’initiative de Ooredoo comme un moteur important de collaboration entre les institutions publiques, les partenaires locaux et les talents émergents.

 

Dans son allocution, Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie, a réaffirmé l’engagement de l’entreprise à façonner l’avenir numérique de la Tunisie : « Chez Ooredoo, nous croyons que l’intelligence artificielle est un puissant levier d’inclusion, d’innovation et de progrès. Notre ambition est de placer la Tunisie au centre de la révolution numérique mondiale en investissant dans des infrastructures prêtes pour l’IA, en soutenant les startups et les entreprises, et en collaborant avec des leaders mondiaux tels que NVIDIA pour bâtir un écosystème robuste et tourné vers l’avenir ».

 

Ooredoo AI Summit a constitué une plateforme privilégiée pour le dialogue entre les leaders industriels, les décideurs politiques et les experts technologiques. Les discussions ont mis en évidence comment l’IA peut renforcer la compétitivité économique, favoriser une gouvernance responsable et promouvoir la durabilité ainsi que l’inclusion sociale. Les participants ont également exploré des cas concrets démontrant l’impact de l’IA dans les entreprises, les services publics et la vie quotidienne.

 

L’un des moments forts du sommet a été l’annonce de la collaboration de Ooredoo avec NVIDIA, permettant l’acquisition de GPU haute performance qui propulseront des solutions avancées en IA. Cette plateforme de pointe sera mise à la disposition du gouvernement, des startups et des clients professionnels, leur offrant un accès à des capacités souveraines d’IA-as-a-Service de classe mondiale pour accélérer l’innovation et lancer de nouveaux services sur le marché.

 

Ooredoo Tunisie a déjà commencé à intégrer l’IA dans ses opérations, en déployant des cas d’usage qui offrent des expériences client plus personnalisées et des solutions numériques innovantes. Il s’agira du premier projet de ce type utilisant l’IA agentique en Tunisie.

 

Cet événement marquant annonce le début d’une feuille de route plus large, Ooredoo s’engageant à organiser des journées dédiées aux solutions verticales en IA, ainsi qu’un hackathon pour l’Intelligence Artificielle, des programmes de formation et des projets collaboratifs qui nourriront les talents locaux et stimuleront un écosystème vibrant de l’IA dans le pays.

 

Le sommet a également inclus des panels enrichissants réunissant des leaders de l’écosystème de l’IA. Karim Beguir, cofondateur d’InstaDeep, a partagé son histoire à succès inspirante, démontrant comment l’innovation tunisienne peut avoir un impact mondial, tandis qu’Ahmed Mostafa, responsable de l’Adoption de l’IA et des Relations de Développement chez NVIDIA, a souligné le rôle de l’IA-as-a-Service dans la démocratisation de l’accès aux technologies de pointe et l’accélération de la croissance des entreprises.

 

 

Les autres panélistes distingués incluaient :

  • Mehrezia Ouni, directrice générale des Technologies de communication à MTC ;
  • René Werner, directeur de la Stratégie Groupe chez Ooredoo Group ;
  • Nozha Boujemaa, vice-présidente mondiale – Innovation et Confiance en IA chez Decathlon ;
  • Imed Zitouni, directeur de l’Ingénierie GEN AI chez Google ;
  • Yazid Sellaouti, vice-président du conseil d’administration chez Lloyd Insurance ;
  • Najib Khan, directeur général des Affaires chez Ooredoo Group ;
  • Mohamed Koubaa, directeur général de UBCI Tunisia.

 

Tous ont enrichi le débat avec leurs perspectives sur la gouvernance, la durabilité, l’innovation commerciale et l’avenir de l’IA en Tunisie.

 

Ooredoo AI Summit s’est conclu par un message fort d’engagement et de détermination : Ooredoo continuera à être pionnier dans l’adoption de l’IA en Tunisie, soutenant la transformation numérique du pays et renforçant sa position en tant que hub de l’innovation technologique dans la région.

Avec communiqué

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