Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 13. August 2025Haupt-Feeds

Tunisie–Chine : Un potentiel encore inexploité dans le commerce et le tourisme

13. August 2025 um 19:28

Les relations tuniso-chinoises recèlent d’importantes opportunités, notamment dans les secteurs du commerce et du tourisme, a affirmé l’ancien diplomate chinois, Wu Sisco, mercredi 13 août à Pékin, en marge d’une formation destinée à des journalistes arabes.

Dans une déclaration à la TAP, Wu Sisco a souligné que Tunis et Pékin bénéficient d’une entente mutuelle sur de nombreuses questions internationales et régionales, ce qui constitue une base solide pour renforcer leur coopération bilatérale. « La Tunisie est un pays magnifique, bien connu des Chinois. Le potentiel touristique est considérable, tout comme celui du commerce », a-t-il déclaré.

Lors d’une conférence intitulée « Le Forum de coopération sino-tunisienne approfondit les fondements des relations stratégiques globales entre la Chine et le monde arabe dans l’ère nouvelle », l’ex-diplomate a mis en avant la volonté du monde arabe d’élargir ses partenariats dans un contexte géopolitique difficile. Il a rappelé que cette dynamique s’inscrit dans le cadre du Forum de coopération sino-arabe, dont la prochaine édition est prévue en Chine en 2026.

Wu Sisco a également insisté sur le rôle stratégique de la jeunesse et de l’innovation dans le développement des relations sino-arabes, notamment à travers des échanges, des visites et des partenariats dans des domaines émergents comme les satellites et l’intelligence artificielle.

Sur le plan économique, les échanges commerciaux entre la Tunisie et la Chine ont atteint environ 9,2 milliards de dinars tunisiens en 2024, soit une hausse de 8 % par rapport à 2023. Pourtant, selon le CEPEX, plus de 214 millions de dollars d’opportunités d’exportation vers la Chine restent à exploiter, notamment dans l’huile d’olive (20 millions USD), les produits de la mer (15 millions USD) et les dattes (2,5 millions USD). Autant de leviers potentiels pour réduire le déficit commercial et renforcer l’équilibre des échanges bilatéraux.

À noter que le PIB chinois s’est élevé à 18,9 trillions de dollars en 2024, représentant 16,9 % du PIB mondial, avec un taux de croissance estimé à 5 %.

L’article Tunisie–Chine : Un potentiel encore inexploité dans le commerce et le tourisme est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

La Chine déconseille l’usage des puces H20 de Nvidia

13. August 2025 um 17:09

Pékin appelle les entreprises chinoises à éviter d’utiliser les puces H20 de Nvidia – notamment à des fins gouvernementales et pour des raisons de sécurité nationale. Ceci complique donc les efforts du géant américain pour récupérer des milliards de dollars de pertes de revenus en Chine et les efforts de l’administration Trump pour tirer profit de ces ventes, a rapporté Bloomberg. Cette directive intervient après que Trump a donné son feu vert à la vente de puces d’IA à la Chine.

Ces dernières semaines, les autorités chinoises ont envoyé des avis à plusieurs entreprises, les décourageant d’utiliser des semi-conducteurs moins avancés, indiquent des sources. La directive était particulièrement stricte contre l’utilisation de H20 pour tout travail lié au gouvernement ou à la sécurité nationale par des entreprises publiques ou privées.

Outre Nvidia, la directive de Pékin affecte également les accélérateurs d’IA d’AMD, bien qu’il ne soit pas clair si une lettre mentionnait spécifiquement la puce MI308 d’AMD.

Lire aussi: Un nouvel acteur s’invite dans la guerre des processeurs

 

A rappeler que les deux entreprises – Nvidia et AMD –  ont récemment obtenu l’autorisation de Washington pour vendre des puces d’IA moins avancées à la Chine, à la condition controversée et inédite de verser au gouvernement américain 15 % des revenus correspondants. Les deux entreprises sont désormais confrontées à un nouveau défi : leurs clients chinois subissent la pression de Pékin pour qu’ils ne réalisent pas ces achats.

Certaines des lettres de Pékin aux entreprises comprenaient une série de questions, selon l’une des sources, comme « pourquoi elles achetaient les puces H20 de Nvidia au lieu d’alternatives nationales » ou « si elles avaient identifié des problèmes de sécurité dans le matériel de Nvidia ».

Cette information intervient alors que les médias d’État mettent en doute la sécurité et la fiabilité des processeurs H20. Les régulateurs chinois ont même exprimé leurs inquiétudes directement à Nvidia, qui a nié à plusieurs reprises que ses puces contiennent de telles vulnérabilités.

Pour l’instant, les directives chinoises les plus strictes en matière de puces électroniques se limitent aux applications sensibles, à l’instar de la restriction imposée par Pékin aux véhicules Tesla et aux iPhones d’Apple dans certaines institutions et certains lieux pour des raisons de sécurité.

Le gouvernement chinois a également interdit à un moment donné l’utilisation des puces Micron Technology dans les infrastructures critiques.

AMD a refusé de commenter, tandis que Nvidia a déclaré dans un communiqué que « H20 n’est pas un produit militaire et ne concerne pas les infrastructures gouvernementales ». La société a également affirmé que la Chine disposait d’abondantes réserves de puces nationales, ajoutant qu’elle « ne dépendra pas et n’a jamais dépendu des puces américaines pour des fonctions gouvernementales ».

La position du gouvernement chinois pourrait compliquer la vente de matériel par Nvidia et AMD sur le plus grand marché mondial des semi-conducteurs. Elle soulève également des questions sur les raisons pour lesquelles les États-Unis autorisent ces exportations, quelques mois seulement après les avoir effectivement interdites. Plusieurs hauts responsables américains ont déclaré que ce revirement de politique s’inscrivait dans le cadre d’un accord commercial avec la Chine, mais Pékin a publiquement affirmé que les livraisons répétées d’H20 ne faisaient partie d’aucun accord bilatéral. Les notifications de la Chine aux entreprises suggèrent que le pays asiatique n’a peut-être pas souhaité une telle concession de la part de Washington au départ.

La préoccupation de Pékin est double

Premièrement, les responsables chinois craignent que les puces Nvidia puissent avoir des capacités de localisation et d’arrêt à distance – ce que Nvidia a nié avec véhémence.

Deuxièmement, Pékin se concentre fortement sur le développement de ses capacités nationales en matière de puces et souhaite que les entreprises chinoises abandonnent les puces occidentales. Selon Bloomberg, les autorités ont déjà exhorté les entreprises chinoises à privilégier les semi-conducteurs nationaux aux processeurs Nvidia H20.

L’article La Chine déconseille l’usage des puces H20 de Nvidia est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Gestern — 12. August 2025Haupt-Feeds

Marché des puces : NVIDIA retrouve la Chine, mais la bataille continue

Von: hechmi
12. August 2025 um 22:06

PuceSous la houlette de son PDG Jensen Huang, NVIDIA a annoncé la reprise de la commercialisation de sa puce H20 sur le marché chinois, marquant un assouplissement des restrictions américaines sur l’exportation de technologies sensibles.

Conçue spécialement pour la Chine, la H20 dispose de capacités réduites afin de rester conforme aux normes imposées par Washington. Mais cette adaptation ne dissipe pas toutes les inquiétudes : les autorités chinoises auraient invité NVIDIA à s’expliquer, face à des soupçons émis par certains acteurs industriels et politiques quant à de possibles implémentations de logiciels espions dans ces versions « bridées ».

En parallèle, NVIDIA a dévoilé la RTX Pro, un nouveau GPU à vocation stratégique, destiné à renforcer sa position sur le marché.

Sur le plan économique, ce retour devrait stimuler les revenus du groupe et compenser les pertes subies lors du précédent embargo, tout en contribuant à réduire la pression sur les chaînes d’approvisionnement mondiales. Toutefois, Pékin poursuit activement le développement de ses propres semi-conducteurs pour limiter sa dépendance aux importations.

Sur le plan géopolitique, la prudence reste de mise : la levée partielle des restrictions marque un répit, mais elle ne met pas fin à la rivalité technologique sino-américaine, désormais teintée de méfiance mutuelle.

NVIDIA reprend ses ventes en Chine avec la H20 adaptée aux normes US, mais fait face à des soupçons chinois de possibles logiciels espions.

L’article Marché des puces : NVIDIA retrouve la Chine, mais la bataille continue est apparu en premier sur WMC.

Jeux mondiaux de handball de plage : la Tunisie termine 7e à Chengdu

12. August 2025 um 17:39

La sélection tunisienne de handball de plage a terminé 7e des jeux mondiaux de la discipline qui se déroulent à Chengdu, en Chine, en s’imposant en match de classement devant la sélection du pays hôte 2-1 (18-8, 20-21, 8-6), ce mardi.

La participation tunisienne aux Jeux mondiaux se poursuit également à la compétition de pétanque, avec Mouna Béji et Mohamed Khaled Bougriba, ainsi qu’en powerlifting avec Fares Seboui.

Wafa Mahjoub avait, rappelle-t-on, quitté la compétition de karaté dès le premier tour.

L’article Jeux mondiaux de handball de plage : la Tunisie termine 7e à Chengdu est apparu en premier sur WMC.

Prolongation de la trêve commerciale sino-américaine : Washington et Pékin suspendent leurs hausses de droits de douane pour 90 jours supplémentaires

12. August 2025 um 10:33

À la veille de l’expiration prévue de la trêve commerciale entre les États-Unis et la Chine, le président américain Donald Trump a décidé de prolonger cette période de détente de 90 jours concernant les droits de douane. Il a officialisé cette prolongation par un décret, signalant que les autres termes de l’accord restent inchangés. Trump a souligné que la Chine continue de prendre des mesures pour répondre aux préoccupations américaines en matière de sécurité économique et nationale, justifiant ainsi la prolongation de la trêve jusqu’au 10 novembre 2025.

Simultanément, l’agence officielle chinoise Xinhua a annoncé que Pékin prolongerait également sa trêve, suspendant l’augmentation précédente des droits de douane pour 90 jours à partir du 12 août. Tout en maintenant une surtaxe de 10%.

Cette trêve, conclue en mai dernier à Genève après un dur affrontement commercial marqué par des droits de douane très élevés, avait fixé temporairement la surtaxe américaine sur les produits chinois à 30%, et celle de la Chine sur les produits américains à 10%. Plusieurs séries de négociations entre hauts responsables des deux pays ont suivi à Londres puis Stockholm afin d’éviter une escalade et de garantir le maintien de cette trêve.

L’article Prolongation de la trêve commerciale sino-américaine : Washington et Pékin suspendent leurs hausses de droits de douane pour 90 jours supplémentaires est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

Chine : plus de 7 000 cas de chikungunya, une nouvelle épidémie menace-t-elle ?

08. August 2025 um 18:19
Chine : plus de 7 000 cas de chikungunya, une nouvelle épidémie menace-t-elle ?

Un nouveau foyer épidémique inquiète le sud de la Chine : le virus du chikungunya, transmis par certaines espèces de moustiques comme l’Aedes aegypti et l’Aedes albopictus, a déjà infecté plus de 7 000 personnes dans la ville de Foshan, avec des cas isolés signalés dans d’autres localités de la province du Guangdong. Face à […]

The post Chine : plus de 7 000 cas de chikungunya, une nouvelle épidémie menace-t-elle ? first appeared on Directinfo.

Les exportations chinoises vers les États-Unis chutent de 6,1 % en juillet

07. August 2025 um 16:48

Les exportations chinoises vers les États-Unis ont chuté de 6,1 % entre juillet et juin, malgré la trêve dans la guerre commerciale entre les deux plus grandes économies du monde, qui ne sont pas encore parvenues à un accord durable à même de régler leurs différends commerciaux. « La Chine n’est pas un bon partenaire commercial, car elle échange beaucoup avec nous, mais nous n’en avons pas avec elle », dixit Trump.

La Chine a exporté des marchandises d’une valeur cumulée de 35,8 milliards de dollars vers les États-Unis en juillet, contre 38,2 milliards de dollars en juin, selon les données des douanes chinoises publiées ce jeudi 7 août.

L’article Les exportations chinoises vers les États-Unis chutent de 6,1 % en juillet est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

La course à l’IA bat son plein dans le monde du renseignement

07. August 2025 um 13:30

À un moment charnière de l’histoire technologique mondiale, le lancement par l’entreprise chinoise DeepSeek d’un grand modèle de langage*, considéré comme l’un des meilleurs au monde, a coïncidé avec l’investiture de Donald Trump à la présidence des États-Unis sonnant ainsi l’alarme dans les milieux du renseignement américain. Les Américains craignent non seulement de perdre la pole position en matière d’intelligence artificielle (IA) mais aussi son utilisation dans le monde du renseignement.  (Illustration : Ben Jones).

Imed Bahri

Le magazine britannique The Economist rapporte dans une enquête consacrée à la course à l’IA dans le domaine du renseignement que Trump a qualifié le lancement du grand modèle de langage de DeepSeek de «signal d’alarme» tandis que Mark Warner, vice-président de la commission sénatoriale du renseignement, a reconnu que la communauté du renseignement américain était «surprise» par la rapidité des progrès de la Chine. 

L’année dernière, l’administration Biden a exprimé sa crainte que les espions et les soldats chinois ne dépassent l’adoption rapide de l’IA et a lancé un plan d’urgence pour renforcer la dépendance des secteurs du renseignement et de l’armée à cette technologie.

The Economist explique que le plan prévoit notamment d’ordonner au Département de la Défense américain (le Pentagone), aux agences de renseignement et au Département de l’Énergie (responsable de la production d’armes nucléaires) d’intensifier leurs expérimentations avec les derniers modèles d’IA et de renforcer leur coopération avec des laboratoires privés de premier plan tels qu’Anthropic, Google DeepMind et OpenAI.

Washington met le paquet

Concrètement, le 14 juillet, le Pentagone a attribué des contrats d’une valeur maximale de 200 millions de dollars chacun à ces entreprises, ainsi qu’à XAI, propriété du milliardaire Elon Musk, pour développer des modèles d’IA agentique capables de prendre des décisions, d’apprendre en continu des interactions et d’effectuer plusieurs tâches en les décomposant en étapes et de contrôler d’autres appareils tels que des ordinateurs ou des véhicules.

Toutefois, cette course, selon The Economist, ne se limite pas au Pentagone. Les modèles d’IA se répandent rapidement au sein des agences de renseignement, utilisés pour analyser des données classifiées et interagir avec des informations sensibles.

Des entreprises ont également développé des versions modifiées de leurs modèles, capables de gérer des documents classifiés, de maîtriser des langues et dialectes sensibles aux besoins du renseignement et de les exécuter sur des serveurs déconnectés de l’Internet public.

En janvier dernier, Microsoft a annoncé que 26 de ses produits de cloud computing avaient été approuvés pour une utilisation par les agences de renseignement.

En juin, Anthropic a annoncé le lancement de Claude Gov, un nouveau chatbot spécialement conçu pour l’armée et les agences de renseignement américaines. L’entreprise a souligné qu’il était déjà largement utilisé par toutes les agences de renseignement américaines, aux côtés d’autres modèles issus de laboratoires concurrents.

D’autres nations s’engouffrent dans la brèche

Les États-Unis ne sont pas les seuls à suivre cette évolution. Le magazine rapporte que la Grande-Bretagne cherche à rattraper le train en marche et cite une source britannique haut placée qui a confirmé, sous couvert d’anonymat, que tous les membres de la communauté du renseignement du pays avaient désormais accès à des modèles de langage hautement classifiés.

En Europe, l’entreprise française Mistral, leader et quasi unique entreprise d’IA en Europe, s’est associée à l’Agence militaire d’intelligence artificielle du pays pour développer le modèle Saba, entraîné à partir de données du Moyen-Orient et d’Asie du Sud et parlant couramment l’arabe et d’autres langues régionales comme le tamoul.

En Israël, le média +972 Magazine a rapporté que l’utilisation du modèle GPT-4 d’OpenAI par l’armée a été multipliée par 20 depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, ce qui témoigne de l’adoption rapide de ces modèles dans des contextes militaires réels.

Malgré cette activité frénétique, les experts du secteur reconnaissent que l’adoption de l’IA par les agences de sécurité reste modeste. Katrina Mulligan, responsable des partenariats de sécurité chez OpenAI, affirme que l’adoption de l’IA n’a pas encore atteint le niveau souhaité.

Même avec des pôles d’excellence, comme l’Agence nationale de sécurité américaine, de nombreuses agences restent à la traîne, soit parce qu’elles ont conçu leurs propres systèmes d’exploitation soit en raison de la prudence bureaucratique à adopter des mises à jour rapides des modèles courants.

Refonte de la mission de renseignement

Certains experts estiment que la véritable transformation ne réside pas dans la seule utilisation des chatbots mais dans la refonte de la mission de renseignement elle-même, comme le souligne Tarun Chhabra, ancien fonctionnaire du Conseil national de sécurité et actuel directeur de la politique de sécurité chez Anthropic.

D’autre part, les organismes de recherche mettent en garde contre les attentes excessives placées dans ces modèles. Le docteur Richard Carter de l’Institut Alan Turing en Grande-Bretagne estime que le principal problème réside dans les «hallucinations» que produisent les modèles –des réponses inexactes ou trompeuses– qui constituent un risque majeur dans un environnement exigeant une fiabilité absolue. Le taux d’hallucination dans le dernier modèle d’IA produit par OpenAI a atteint environ 8%, un taux supérieur aux modèles précédents.

Selon The Economist, ces inquiétudes s’inscrivent dans les réserves des fondateurs du projet, notamment au sein d’agences comme le Service britannique de renseignement et de sécurité (GCHQ), qui compte parmi ses ingénieurs des personnes sceptiques face aux nouvelles technologies non testées.

Cela rejoint un débat plus large sur l’avenir de l’IA. Le docteur Carter fait partie de ceux qui estiment que la structure des modèles de langage général actuels n’est pas adaptée au type de raisonnement causal qui leur permet une compréhension solide du monde. Selon lui, la priorité des agences de renseignement devrait être d’inciter les laboratoires à développer de nouveaux modèles basés sur des styles de pensée et de raisonnement différents.

Inquiétudes quant à la supériorité de la Chine

Malgré la réticence des institutions occidentales, les inquiétudes grandissent quant à la supériorité potentielle de la Chine. Philip Reiner, de l’Institut pour la sécurité et la technologie de la Silicon Valley, déclare: «Nous ignorons encore dans quelle mesure la Chine utilisera DeepSeek dans les domaines militaire et du renseignement. L’absence de contraintes éthiques strictes de la Chine pourrait lui permettre d’extraire des informations plus pertinentes plus rapidement»

Face à ces inquiétudes, le 23 juillet, l’administration Trump a ordonné au ministère de la Défense et aux agences de renseignement de procéder à des évaluations périodiques du niveau d’adoption de l’IA au sein des institutions de sécurité américaines par rapport à des concurrents comme la Chine et de développer un mécanisme d’adaptation continue.

Les observateurs s’accordent presque sur un point fondamental: le plus grand danger ne réside pas dans la précipitation des États-Unis à adopter l’IA mais dans le fait que leurs institutions restent bloquées dans leurs vieux schémas bureaucratiques.

«Ce qui m’inquiète vraiment, c’est que nous gagnions la course à l’intelligence artificielle générale (IAG) mais perdions celle de son adoption effective», déclare Katrina Mulligan.

* Le modèle de langage est un type d’intelligence artificielle conçu pour comprendre, générer et traiter le langage humain.

L’article La course à l’IA bat son plein dans le monde du renseignement est apparu en premier sur Kapitalis.

QNB – Revue Economique : What to expect from the Chinese consumer?

06. August 2025 um 13:32

Chinese consumer spending slowed significantly in Q2 this year, after a strong start in early 2025. In recent months, growth in real terms dropped to the lowest rate since the start of the year. Importantly, despite new incentive measures to stimulate consumption, household savings rate has been stable, pointing to the difficulty of changing entrenched household habits.

In fact, Chinese households have long been viewed as the missing piece in the country’s economic puzzle and something that goes beyond cyclical patterns. Despite government stated efforts to enact a transition from investment-led growth into services and consumption, analysts and policymakers have pointed to persistently low consumption as a drag on growth – especially in a country of 1.4 billion people with rising income levels.

This perceived underperformance is not fully without cause, as Chinese consumers have remained cautious amid waves of economic disruption: the pandemic, a prolonged property market correction, and increased policy unpredictability.

However, despite those facts, we do believe there is a general misunderstanding about the overall magnitude and importance of Chinese private consumption.

 

While the ratio of Chinese consumption over headline GDP cannot be compared to those found in affluent, highly consumerist, private sector driven economies, such as the US, it does not deviate significantly from the ratio from other advanced economies. This is particularly the case for advanced manufacturing, export-oriented economies from Asia, such as Japan, South Korea, Taiwan, and Singapore – countries that adopt an economic model that China emulates.

Moreover, in terms of growth dynamics, Chinese consumers have comfortably outperformed their peers even in the most growth-prone large emerging economies of the BRICS (Brazil, Russia, India, China, and South Africa) and MIST (Mexico, Indonesia, South Korea, and Türkiye) over the last decade.

 

In addition to those more constructive facts on Chinese household consumption, we believe that the next phase of the country’s growth story could see consumers playing a much more central role. Not only are there strong structural reasons for this shift, but recent policy direction and macro data also support an even more positive outlook. In particular, we highlight three main arguments.

First, according to the People’s Bank of China (PBoC), the local central bank, personal deposits in the Chinese banking system increased from USD 11.8 trillion pre-pandemic to USD 22.3 trillion in May 2025. This impressive build-up of private savings can be quickly mobilized for more consumption or investments over the medium-term, if confidence in the future is further restored. This would contribute for continued consumer growth and an increase in the overall share of private consumption on GDP. However, the bar is high for a significant increase of consumer spending in China. Households in China tend to be conservative with their finances and prefer to save more on the back of limited social support system from the government. Despite this, only a small change in the savings rate would be enough to create a significant impact on consumption and investment. This is expected to take place as plans to broaden the incipient welfare system are gradually executed.

Second, China is actively aiming to further rebalance its growth model away from the need for large infrastructure investments. While much of the recent focus has been on accelerating advanced manufacturing – particularly in sectors such as electric vehicles, batteries, and semiconductors –, policymakers are equally explicit about the need to boost household demand. Beijing has outlined plans to raise the share of consumption in GDP from the current 40% to 50% by 2035. This ambition is being supported by social policy reforms, housing support programmes, lower-tier city revitalization, and support for household credit, particularly in consumer finance. Rather than temporary stimulus, savings can be quickly mobilized for more consumption or investments over the medium-term, if confidence in the future is further restored. This would contribute for continued consumer growth and an increase in the overall share of private consumption on GDP. However, the bar is high for a significant increase of consumer spending in China. Households in China tend to be conservative with their finances and prefer to save more on the back of limited social support system from the government. Despite this, only a small change in the savings rate would be enough to create a significant impact on consumption and investment. This is expected to take place as plans to broaden the incipient welfare system are gradually executed.

L’article QNB – Revue Economique : What to expect from the Chinese consumer? est apparu en premier sur WMC.

Volleyball | La Pologne championne du monde

05. August 2025 um 07:45

La Pologne a écrasé l’Italie 3-0 dimanche 3 juillet 2025 en finale de la 7e édition Ligue des Nations masculine de volley-ball 2025 de volleyball à Ningbo, en Chine, décrochant un deuxième titre consécutif. 

Après leur médaille d’argent aux Jeux olympiques de Paris, les Polonais ont signé une phase finale impeccable, sans perdre un set.

Wilfredo Leon, le Polonais d’origine cubaine, auteur de 16 points, a été décisif dans cette victoire nette par 3 sets à 0 (25-22, 25-19, 25-14). L’Italie, finaliste pour la première fois depuis 2004, devra attendre le Mondial pour tenter de reprendre son trône. Le Brésil complète le podium, tandis que la Slovénie, qui a éliminé la France, a surpris lors de cette édition.

La 3e place est revenue au Brésil qui a battu la Slovénie par 3 sets à 1 (23-25, 25-20, 25-23, 25-19).

En demi-finale, la Pologne a nettement battu le Brésil par un score sans appel de 3 sets à 0 (28-26, 25-19, 25-21).

H. G.

Classement final:

1 – Pologne ;

2 – Italie ;

3 – Brésil ;

4 – Slovénie ;

5 – France (tenant du titre) ;

6 – Japon ; 7.

L’article Volleyball | La Pologne championne du monde est apparu en premier sur Kapitalis.

Chine : les seniors dictent la consommation

04. August 2025 um 13:04

Fin 2024, la Chine comptait plus de 310 millions de citoyens âgés de plus de 60 ans, soit 22 % de sa population, selon l’Agence APE.

Le caractère massif de ce qu’on appelle « l’économie des seniors » remodèle le marché de la consommation, car le concept traditionnel d’épargne cède la place à une nouvelle approche davantage axée sur les dépenses de consommation, mettant l’accent sur la santé, mais aussi sur la qualité des expériences.

Parallèlement, les personnes âgées en Chine délaissent progressivement les soins médicaux pour privilégier la gestion préventive de leur bien-être au quotidien. Des centres de soins spécialisés pour personnes âgées utilisent quasi quotidiennement des robots médicaux intelligents et des thérapies ciblées.

La demande pour ces services croît, comme le montrent les données de l’Administration nationale des impôts de Chine. En effet, les revenus des ventes connexes dans les communautés de personnes âgées ont enregistré une augmentation annuelle de 30,4 % au premier semestre 2025, tandis que les ventes de produits alimentaires de santé pour cette catégorie de personnes mais aussi d’appareils d’enregistrement de données médicales personnelles ont augmenté respectivement de 30,1 % et 7,5 %.

L’article Chine : les seniors dictent la consommation est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Comment la Chine redessine-t-elle ses échanges avec la Tunisie ?

04. August 2025 um 09:27

Huile DattesLes investisseurs publics chinois sont en train de mener une percée multiforme en Tunisie. Après des investissements lourds (pont fixe de Bizerte, rachat de cimenterie, réhabilitation du stade d’El Menzah…), les Chinois commencent à manifester de l’intérêt pour l’importation de produits du terroir du pays.

Une délégation de haut niveau à Tunis

Une délégation chinoise de haut niveau représentant le groupe Yuhan Yingluo Services, l’une des principales institutions chinoises spécialisées dans le commerce international, conduite par le PDG du groupe, Axi Bayawei, vient d’explorer (fin juillet 2025), lors d’une rencontre avec les premiers responsables des structures d’appui à l’exportation et à l’investissement extérieur, les opportunités d’investissement et d’échanges commerciaux (importation de produits tunisiens).

Un conglomérat à l’envergure internationale

Le groupe chinois, rattaché à l’un des plus grands conglomérats publics de Chine, est spécialisé dans le commerce international, les opérations logistiques aériennes et maritimes, ainsi que divers services économiques, dont des pavillons commerciaux internationaux regroupant des produits de plus de 50 pays, dont la Tunisie.

Un potentiel d’exportation sous-exploité

Les estimations font état de l’existence de plus de 214 millions de dollars d’opportunités d’exportation inexploitées vers la Chine, dont 20 millions pour l’huile d’olive, 15 millions pour les produits de la mer, et 2,5 millions pour les dattes, confirmant les perspectives significatives de réduction du déficit commercial et de renforcement des échanges entre les deux pays.

Le marché asiatique en alternative au marché américain

Avec la décision du 3ᵉ importateur de l’huile d’olive tunisienne, les États-Unis, d’augmenter les droits de douane perçus sur les produits tunisiens, le marché chinois, et plus généralement, le marché asiatique (japonais, sud-coréen, indonésien…), se positionne comme une alternative sérieuse pour remplacer le marché américain mais également pour réduire la forte dépendance au marché européen.

Une dynamique commerciale croissante

À noter que les échanges commerciaux entre la Tunisie et la Chine ont atteint 9,2 milliards de dinars tunisiens en 2024, soit une croissance de 8 % par rapport à 2023.

ABS

Indicateurs clés

  • 9,2 milliards TND — Montant des échanges commerciaux entre la Tunisie et la Chine en 2024
  • +8 % — Croissance des échanges bilatéraux en un an
  • 214 M USD — Potentiel inexploité d’exportation vers la Chine
  • 20 M USD — Opportunité d’exportation pour l’huile d’olive tunisienne
  • 3ᵉ importateur — Rang des États-Unis pour l’huile d’olive tunisienne, avant leur hausse des droits de douane.

L’article Comment la Chine redessine-t-elle ses échanges avec la Tunisie ? est apparu en premier sur WMC.

Pourquoi les investisseurs chinois misent-ils sur les ressources stratégiques tunisiennes ?

04. August 2025 um 09:15

Ces dernières semaines, les multinationales chinoises sont de plus en plus nombreuses à visiter la Tunisie, à y explorer des opportunités d’affaires et à prendre parfois des décisions d’investissement. Trois exemples méritent qu’on s’y attarde.

ChineLa première initiative, la plus importante est à l’actif du groupe multinational chinois Asie — Potash International investment (Guangzhou), spécialisé dans le commerce des céréales, le potasse, le transport maritime et la logistique internationale.

Un investissement de 800 MDT pour développer le gisement de Sra ouertane

En visite, en ce mois de juillet 2025,  dans la région du Kef (nord ouest de Tunisie ) où est localisé le gisement de phosphate de Sra ouertane, le président de cette  multinationale chinoise a annoncé son intention d’investir, dans une première étape 800 MDT pour le développement de ce gisement dont les réserves sont estimées à des milliards de tonnes.

Mieux, dans une déclaration aux médias, le responsable chinois, a tenu à confirmer « la volonté de son entreprise d’accélérer les démarches administratives pour obtenir les autorisations nécessaires au démarrage du projet ».

« Nous voulons accélérer les démarches pour démarrer rapidement l’exploitation du gisement de Sra Ouertane. »

Un investissement de 95 MDT pour créer une unité de brome et dérivés

La deuxième décision d’investissement chinois est attribué à la multinationale Shandong Haiwang Chemical Co., groupe spécialisée dans la chimie, notamment dans la production de brome. halogène  présent dans l’eau de mer et les sources salines. Il est utilisé comme désinfectant pour les piscines et spas.

Reçu le 17 juillet à Tunis,  par la  ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, le vice‑président du groupe Wu Yonghong, s’est engagé à investir en Tunisie quelque 95 millions de dollars dans une unité de dérivés de brome d’une capacité annuelle de près de 92000 tonnes.

« Huawei joue un rôle clé dans la transition numérique et énergétique de la Tunisie. »

 

Shandong Haiwang Chemical Co., 1ère entreprise du secteur en Chine et 3ème au rang mondial, est déjà titulaire de deux permis d’exploration des sels minéraux à Chott El Jérid Nord ainsi qu’à Al Adhibate Sud (gouvernorat de Tataouine).

Le groupe chinois ne compte pas s’arrêter là. Il a donné son accord de principe pour produire et valoriser le sel tunisien et d’autres ressources minières à haute valeur ajoutée.

Huawei pour aider la Tunisie à mener sa transition énergétique

La troisième initiative est à l’actif du groupe chinois Huawei spécialisé dans la fourniture de solutions dans le secteur des (TIC) et de réseaux de télécommunication aux opérateurs (matériels, logiciels et autres prestations de services…).

Une délégation de ce groupe a discuté, le 9 juillet 2025, à Tunis, avec Jalel TEBIB, Directeur Général de l’agence de promotion des investisseurs extérieurs (FIPA), des possibilités de coopération et d’investissement notamment dans le domaine de l’énergie numérique. Il s’agit de technologies appliquées à la gestion de l’énergie (intégration des technologies digitales comme l’IA,  l’IoT, le Cloud…). Objectif : optimiser la production, la gestion et la consommation d’énergies renouvelables en lien avec les objectifs de la Tunisie en matière de transition énergétique.

« Les Chinois ne sont pas des anges gardiens… mais des partenaires stratégiques à encadrer. »

 

Présent en Tunisie depuis 1999, Huawei Tunisie compte déjà une unité employant 200 personnes dont 90% sont des tunisiens est un acteur majeur dans les domaines des télécommunications, des services aux entreprises, des terminaux intelligents et des énergies renouvelables, jouant un rôle clé dans la transition numérique et énergétique de la Tunisie.

Mention spéciale pour la distinction du groupe Huawei en Tunisie. Lors de l’édition 2022 du Tunisia Investment Forum, organisée par FIPA, le groupe chinois a obtenu le Prix de l’industrie des TIC et du développement des talents.

Par delà cette intensification des investissements chinois en Tunisie, nous espérons que les détails de mise en œuvre de ces projets d’infrastructure seront bien négociés –bien négociés- par les tunisiens particulièrement en matière de soutenabilité environnementale et sociale. Les chinois ne sont pas des anges gardiens !!!.

Abou SARRA

EN BREF

  • Trois grandes entreprises chinoises accélèrent leur implantation en Tunisie.
  • Asia Potash investit 800 MDT dans le développement du gisement de Sra Ouertane.
  • Shandong Haiwang engage 95 millions USD pour une unité de brome à Chott El Jérid.
  • Huawei propose un partenariat stratégique dans la transition énergétique et numérique.
  • Si ces projets confirment l’attractivité tunisienne, ils exigent une vigilance renforcée sur l’impact social, environnemental et économique.

 

L’article Pourquoi les investisseurs chinois misent-ils sur les ressources stratégiques tunisiennes ? est apparu en premier sur WMC.

L’Omoda C5 SHS révolutionne le marché des véhicules hybrides

30. Juli 2025 um 08:18

En avril, l’Omoda C5 SHS de la célèbre marque automobile Jaecoo a terminé le premier marathon super hybride mondial de l’Extreme Challenge en traversant quatre villes chinoises et en se heurtant à des conditions routières complexes, permettant ainsi de valider la robustesse technique du super véhicule hybride avec une autonomie réelle de 1 142 km .

Ce modèle a réalisé une double avancée grâce à son cœur hybride performant et à son efficacité énergétique. En termes d’expérience de conduite, la transition de puissance en douceur et la technologie de réduction du bruit sont comparables à celles des véhicules 100 % électriques.

«Art in Motion» de la famille Omoda, façonnant une esthétique surréaliste avec sa calandre matricielle, répondant aux besoins personnalisés des jeunes.

Ce Super Hybrid Marathon démontre son leadership en matière de technologie, d’autonomie, de confort et de design, ouvrant la voie à un nouveau paradigme pour les véhicules hybrides.

Le cortège a traversé quatre villes, dont Hangzhou et Xuancheng, affrontant des conditions routières complexes telles que la congestion urbaine, les autoroutes et les zones montagneuses, ainsi que des climats variables. Il a atteint une autonomie réelle exceptionnelle de 1 142 km. Les médias de neuf pays ont assisté à l’intégralité du processus.

Lors de cet essai, la C5 SHS a démontré une puissance stable et efficace, confirmant pleinement ses performances exceptionnelles en termes de puissance, de consommation d’énergie et d’expérience de conduite. Grâce à des données authentiques, elle a mis en évidence la force de sa technologie super HEV et a dévoilé les secrets techniques de son autonomie exceptionnelle.

La C5 SHS domine chaque voyage avec vitesse et passion

La capacité de super autonomie du C5 SHS découle de sa meilleure catégorie Un cœur hybride de niveau piste . Le moteur hybride dédié (DHE) 1.5TDGI de cinquième génération, la transmission hybride dédiée (DHT) et le bloc – batterie hybride dédié hautes performances constituent les trois composants principaux de l’Omoda C5 SHS. Grâce à une collaboration précise et à une synergie technologique, ils offrent une double avancée en termes de puissance et d’efficacité énergétique, offrant aux utilisateurs une autonomie exceptionnelle et des performances de conduite exceptionnelles.

Qu’il s’agisse des arrêts fréquents des trajets urbains ou des vitesses soutenues sur autoroute, le moteur 1.5TDGI DHE de 5e génération équipant l’Omoda C5 SHS maîtrise chaque trajet avec des performances exceptionnelles. Avec un rendement thermique ultra-élevé de 44,5 %, il optimise l’utilisation de chaque goutte de carburant, atteignant une consommation globale étonnante de seulement 5,1 L en conditions WLTP. Cela permet non seulement de réduire les coûts de mobilité des utilisateurs, mais aussi de réduire la charge environnementale.

Ce moteur intègre six technologies clés pour libérer une énergie puissante, avec une puissance nette maximale de 105 kW et un couple net maximal de 215 N·m. Il offre des accélérations rapides au départ arrêté, des dépassements en douceur et des changements de voie fluides, procurant aux conducteurs une sensation de poussée exaltante. Grâce à une coordination précise avec le DHT et une batterie hybride dédiée haute performance, il réalise une double avancée en termes de puissance et d’efficacité énergétique, créant ainsi le meilleur cœur hybride de sa catégorie. Cela confère à la C5 SHS une capacité d’autonomie ultra-longue, permettant de réaliser des rêves lointains et des voyages poétiques à portée de main.

Efficacité énergétique et silence exceptionnels

Dans le trafic dense des heures de pointe du matin et du soir, le DHT de l’OMODA C5 SHS atteint un rendement électrique maximal de 98,5 % . Il minimise les pertes de puissance, garantissant que chaque kilowattheure est converti avec précision en mouvement. Même sur de longues distances, son rendement global de 92 % permet une conversion énergétique élevée, éliminant ainsi les contraintes des ravitaillements fréquents.

Avec une puissance moteur maximale de 150 kW, un couple maximal de 310 N·m et un générateur de 60 kW, la C5 SHS offre de puissantes accélérations instantanées et récupère efficacement l’énergie en roue libre et au freinage. Que vous naviguiez dans les rues encombrées ou sur autoroute, le système DHT avancé maintient une consommation de carburant incroyablement basse, offrant à la fois un rendement élevé et des économies d’énergie. Cet équilibre parfait entre performances et efficacité garantit une conduite fluide et respectueuse de l’environnement.

Au-delà de sa puissance et de son autonomie exceptionnelles, la C5 SHS améliore également le confort de conduite.

Malgré les conditions routières complexes des pentes montagneuses, elle offre une expérience de conduite toujours fluide. La coordination parfaite entre le moteur thermique et le moteur électrique assure des transitions de puissance naturelles et fluides, sans à-coups, offrant une expérience de conduite extrêmement stable sur les longs trajets.

En termes de silence, la C5 SHS atteint un silence absolu en mode hybride grâce à la combinaison de la réduction active du bruit et de l’isolation passive. Équipée d’un capot d’isolation phonique haute performance et d’un vitrage acoustique double couche, elle supprime efficacement les bruits du vent, de la route et du système d’alimentation dans toutes les conditions de fonctionnement, créant un environnement intérieur serein comparable à celui des véhicules 100 % électriques.

C5 SHS interprète un nouveau domaine d’esthétique surréaliste

Si la puissance est l’âme même de la C5 SHS, le design Art in Motion lui confère une personnalité avant-gardiste et résolument tendance. La C5 SHS innove avec audace en transformant la calandre diamantée d’origine en une calandre matricielle diamantée plus puissante et futuriste. Associée à une face avant dynamique et fluide, elle dessine une image visuelle nette et intense, offrant une esthétique surréaliste qui comble le fossé entre réalité et virtualité.

Le concept Art in Motion, qui privilégie l’équilibre esthétique entre dynamisme et immobilité, est pleinement mis en œuvre sur la C5 SHS.

Sous un jeu d’ombres et de lumières, le véhicule évoque une œuvre d’art fluide, dégageant une atmosphère pionnière, mystérieuse et futuriste. Ce design répond précisément à la double quête d’expression personnelle et de goût pour la mode chez les jeunes , créant un univers parallèle unique et tendance pour la nouvelle génération en quête d’exploration libre, faisant de chaque trajet un moment privilégié d’expression personnelle et d’affirmation de soi.

L’autonomie réelle de 1 142 km est non seulement une médaille d’honneur pour la C5 SHS, mais aussi un parfait témoignage de sa technologie hybride.

De la performance énergétique à l’efficacité énergétique, en passant par le design et l’expérience de conduite, la C5 SHS offre une expérience de mobilité hybride qui dépasse les attentes des utilisateurs du monde entier grâce à sa technologie innovante, tout en proposant de nouvelles idées et orientations pour le développement de la technologie hybride.

Communiqué.

L’article L’Omoda C5 SHS révolutionne le marché des véhicules hybrides est apparu en premier sur Kapitalis.

L’Union européenne capitule face à Donald Trump

30. Juli 2025 um 07:35

Donald Trump n’a jamais tenu en grande estime l’Union européenne (UE) et a toujours voulu prendre le dessus dans sa relation avec elle. L’accord acté entre les États-Unis et l’UE le week-end dernier en Écosse symbolise la capitulation des 27 face à l’Oncle Sam cependant les signes de faiblesse sont là depuis des mois. Certains États ont souhaité une attitude plus ferme et plus virile vis-à-vis de l’administration américaine mais d’autres qui privilégient la servilité à l’égard Washington ont poussé vers la capitulation. C’est plutôt la désunion européenne ! À chaque fois que les Européens avancent en rang dispersé, ils perdent la partie. 

Imed Bahri

Le Financial Times qui a consacré une enquête au sujet estime que l’UE a entamé son chemin vers la capitulation le 10 avril 2025 en réagissant mollement à la guerre commerciale «vicieuse» que lui a lancée par le président américain. 

Les droits de douane massifs imposés par Trump à la plupart des pays du monde au début du mois d’avril, à l’occasion de ce qu’il avait baptisé «Jour de la Liberté», ont semé la pagaille sur les marchés financiers et les investisseurs ont fui les actifs américains par crainte d’une récession. Face à l’intensification des ventes de ces actifs, Trump a fait marche arrière et, le 9 avril, a réduit les droits de douane à 10%, les qualifiant de mesure temporaire.

Cependant, Bruxelles a également reculé. Le 10 avril, elle a suspendu ses droits de douane de rétorsion et accepté l’offre américaine de négociations avec un droit de douane de 10% sur la plupart de ses échanges ainsi que des droits de douane plus élevés sur l’acier, l’aluminium et les véhicules alors considérés comme une menace.

Divergences entre les États membres

Plutôt que de se joindre au Canada et à la Chine pour prendre des mesures de rétorsion immédiates, l’UE, entravée par les divergences entre ses États membres, a choisi de rechercher un compromis dans l’espoir d’obtenir un meilleur accord.

En vertu de l’accord-cadre conclu dimanche par la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et Trump au complexe de golf de Turnberry, l’UE a été contrainte d’accepter un tarif de base américain de 15% qui couvre principalement les voitures mais pas l’acier qui serait soumis à des quotas.

Toutefois, selon le journal britannique, le soulagement des décideurs politiques d’avoir évité une guerre commerciale transatlantique immédiate a été tempéré par quelques regrets. L’UE, premier bloc commercial mondial et prétendument une puissance économique majeure, aurait-elle pu obtenir de meilleures conditions si elle n’avait pas initialement modéré ses actions?

Le FT cite un diplomate: «C’est la brute de la cour d’école (Trump, Ndlr). Nous n’avons pas uni nos forces contre lui. Ceux qui ne coopèrent pas sont pendus seuls»

George Yerkelis, ancien fonctionnaire de la Commission ayant participé aux négociations du Brexit, a déclaré que la dernière menace de l’UE d’imposer des droits de douane en représailles sur 93 milliards d’euros (108,33 milliards de dollars) de marchandises américaines est arrivée trop tard.

Yerkelis, qui travaille aujourd’hui au Centre de politique européenne, a ajouté: «Avec le recul, l’UE aurait mieux fait de réagir avec force face aux États-Unis en avril, en ripostant aux hausses de droits de douane chinoises qui ont laissé les marchés et Trump sous le choc»

Selon le journal, Trump considère l’UE comme un parasite, se nourrissant du lucratif marché américain tout en bloquant le sien par des réglementations et des normes. Le président américain a déclaré que l’UE avait été «créée pour affaiblir les États-Unis» et était «plus grossière que la Chine».

Une réponse tardive et hésitante

La réponse de l’UE au retour au pouvoir de Trump en janvier a été hésitante, gaspillant des mois de planification par une équipe dédiée de hauts responsables du commerce, dirigée par Sabine Weyand, experte du Brexit, et Thomas Burt, conseiller commercial de von der Leyen.

Cette équipe a élaboré un plan en trois points.

Le premier : une offre visant à réduire le déficit commercial de près de 200 milliards d’euros (233 milliards de dollars) en achetant davantage de gaz naturel liquéfié, d’armes et de produits agricoles.

Le second: une offre de réductions tarifaires mutuelles sur les marchandises de chaque partie.

Le troisième: si les deux parties échouent, elles prépareront des mesures de rétorsion et compteront sur la réaction du marché à une éventuelle guerre commerciale ou à une hausse de l’inflation aux États-Unis pour forcer Trump à reculer.

Trump a agi plus vite que prévu et, en mars, il avait imposé des droits de douane de 25% sur l’acier, l’aluminium et les voitures.

Lors d’une réunion à Luxembourg ce mois-là, plusieurs ministres du Commerce étaient au bord de la guerre commerciale contre les États-Unis. L’Allemagne, la France et quelques autres pays ont poussé la Commission à la consultation sur l’utilisation du nouveau «bazooka commercial», un outil anti-coercition conçu après le premier mandat de Trump pour contrer l’utilisation de la politique commerciale pour faire pression sur les gouvernements sur d’autres sujets. Cet outil permettrait à Bruxelles d’exclure les entreprises américaines des appels d’offres publics, de supprimer les protections de propriété intellectuelle et de restreindre les importations et les exportations.

Des diplomates ont déclaré, avant le dernier accord, qu’il était difficile de savoir si une majorité des États membres accepterait la menace d’utiliser cet outil anti-coercition.

Sabine Weyand a appelé les ambassadeurs de l’UE, qui se réunissaient au moins une fois par semaine pour discuter de la question, à faire preuve de patience stratégique. 

Lorsque la Grande-Bretagne a conclu un accord commercial avec Washington en mai, acceptant le tarif douanier de base de 10% de Trump, ces pays ont encouragé les États membres de l’UE en quête de compromis, notamment l’Allemagne, à accepter une condition similaire.

Trump ne veut pas un accord gagnant-gagnant

Pendant des mois, la Première ministre italienne Giorgia Meloni et le chancelier allemand Friedrich Merz ont maintenu fermement l’offre initiale de l’UE d’éliminer tous les droits de douane industriels si les États-Unis faisaient de même, même si Washington a depuis longtemps exprimé clairement sa volonté de concessions unilatérales.

L’UE a envoyé son commissaire au commerce et à la sécurité économique, Maroš Šefkovich, à Washington à sept reprises pour proposer des pistes d’accord, souligner l’importance des relations transatlantiques et promouvoir le programme allemand d’indemnisation des accidents automobiles. Au total, Šefkovich a eu plus de 100 heures de discussions frustrantes avec ses homologues américains, selon le FT.

Trump a catégoriquement rejeté un accord réciproque permanent de 10% sur les droits de douane auquel sont parvenus plus tôt ce mois-ci les Européens et le représentant américain au Commerce Jamieson Greer ainsi que le secrétaire au Commerce Howard Lutnick et il a menacé au contraire de relever les droits de douane sur l’UE de 20% à 30% à compter d’août. Trump ne veut pas un accord gagnant-gagnant pour les deux parties mais seulement pour son pays. 

Pendant des mois de négociations, Sefcovic a exhorté les ministres européens à la prudence. Le ministre irlandais du Commerce, Simon Harris, a été un interlocuteur fréquent, souhaitant préserver les industries pharmaceutique et bovine de son pays d’une éventuelle contre-attaque américaine, sensibilisant le monde entier, et notamment les Américains, à cette préoccupation par de fréquentes publications sur les réseaux sociaux.

Les chefs d’entreprise ont vivement appelé à la retenue, préférant accepter des marges bénéficiaires réduites plutôt que de risquer des droits de douane punitifs qui auraient un impact négatif sur leurs ventes.

L’UE a réduit une deuxième série de droits de douane imposés en représailles aux États-Unis à 72 milliards d’euros (83,86 milliards de dollars) avant d’accepter finalement, le 24 juillet, de les utiliser en cas d’échec des négociations, portant le total à 93 milliards d’euros (108,33 milliards de dollars).

Des mois d’incertitude quant à l’orientation des négociations ont révélé des divisions au sein même de la Commission. Malgré les tentatives du gouvernement français de protéger les entreprises françaises contre les représailles, celui-ci a appelé à plusieurs reprises la Commission à une approche plus ferme face aux droits de douane imposés par Trump. Finalement, l’UE a capitulé et les États-Unis ont remporté la partie.

L’article L’Union européenne capitule face à Donald Trump est apparu en premier sur Kapitalis.

La société chinoise Asia Potash souhaite investir dans le secteur minier tunisien

Lors d’une rencontre à Tunis avec la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, une délégation de la société chinoise Asia Potash a exprimé son intention d’investir en Tunisie, notamment dans le développement du site minier de Sra Ouertane et la production d’engrais.

La société chinoise Asia Potash International Investment (Guangzhou), spécialisée dans l’extraction de potasse et le développement agricole, a exprimé, mardi 1er juillet, sa volonté d’investir en Tunisie, en particulier dans les domaines de la prospection et de l’exploitation minière.

Conduite par son vice-président Zheng Youye, la délégation de l’entreprise a été reçue par la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, au siège du ministère à Tunis.

Les représentants de la société se sont notamment déclarés disposés à s’engager dans le projet de développement de la mine de phosphate de Sra Ouertane, dans le gouvernorat du Kef, tout en explorant des perspectives de partenariat dans la production d’engrais phosphatés.

Selon un communiqué du ministère, la ministre a réaffirmé la volonté des autorités tunisiennes de créer un climat d’investissement attractif, en facilitant l’implantation de projets stratégiques à forte valeur ajoutée pour l’économie nationale et pour l’emploi.

Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la deuxième visite officielle de la délégation chinoise en Tunisie, signe d’un intérêt croissant pour les opportunités offertes par le secteur minier tunisien.

Asia Potash International Investment est une entreprise active à l’échelle internationale dans l’exploitation de la potasse, une matière première essentielle pour la production d’engrais. Elle ambitionne également de développer l’industrie des phosphates et de leurs dérivés, un domaine dans lequel la Tunisie dispose d’un potentiel important.

L’article La société chinoise Asia Potash souhaite investir dans le secteur minier tunisien est apparu en premier sur webdo.

La Tunisie plaide pour l’accélération des projets chinois

26. Juni 2025 um 09:37

Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelfattah, participe du 23 au 27 juin aux réunions annuelles de la Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures (AIIB) qui se tiennent à Pékin. À cette occasion, il a enchaîné, hier, une série de rencontres bilatérales avec des représentants de grandes institutions financières chinoises.

Lors de son entretien avec Liu Junfeng, vice-président de l’Agence chinoise de coopération pour le développement international, plusieurs projets de développement programmés en Tunisie ont été passés en revue, notamment la reconstruction du stade olympique d’El Menzah et la cité médicale Aghlabide à Kairouan.

Selon un communiqué de l’ambassade de Tunisie à Pékin, le ministre a salué l’intérêt exprimé par la Chine pour le projet de réhabilitation du stade d’El Menzah, affirmant la volonté tunisienne d’accélérer les délais et de passer rapidement à la phase d’exécution. Il a également souligné l’importance de renforcer la coopération avec l’agence chinoise pour la réalisation de nouveaux projets de développement, en particulier dans les secteurs des infrastructures, du transport public et de la santé.

Par ailleurs, au cours d’une rencontre avec Yang Dongning, vice-présidente de la Banque chinoise d’import-export (China Eximbank), les deux parties ont mis l’accent sur la nécessité de dynamiser les relations bilatérales et d’activer les clauses du partenariat stratégique. L’objectif étant de trouver les mécanismes de financement adéquats pour les projets de développement en Tunisie et d’inciter les entreprises chinoises à étendre leurs activités dans le pays, en tirant parti de ses atouts compétitifs.

L’article La Tunisie plaide pour l’accélération des projets chinois est apparu en premier sur webdo.

❌
❌