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Le PDL s’exprime sur les verdicts dans l’affaire de l’agression d’Abir Moussi

Von: Yusra NY
27. März 2025 um 23:23

Dans un communiqué publié ce soir, le Parti destourien libre (PDL) a exprimé son indignation suite aux jugements rendus le 26 mars 2025 par le tribunal de première instance de Tunis dans l’affaire de l’agression de sa présidente, Abir Moussi, remontant à 2021.

La chambre correctionnelle a prononcé des peines de prison à l’encontre d’anciens députés impliqués dans cette agression perpétrée à l’Assemblée : Seifeddine Makhlouf a été condamné par contumace à un an de prison, Sahbi Smara à six mois de prison ferme, et une députée d’Ennahdha a écopé de trois mois de prison.

Le PDL a qualifié ces verdicts d’« inadéquats par rapport à la gravité des actes reprochés » et a estimé que les peines prononcées ne reflètent pas la violence de l’agression subie par Abir Moussi au sein du Parlement le 30 juin 2021, un incident qu’il considère comme un « flagrant délit sans équivoque ».

La même source a par ailleurs dénoncé des « violations et des abus juridiques graves » qui auraient entaché la procédure judiciaire et le comité de défense d’Abir Moussi a annoncé son intention de faire appel des jugements et prévoit également d’organiser une conférence de presse pour détailler les « injustices » subies par la présidente du PDL.

Y. N.

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Non, ce n’est pas de l’IA : Pikachu, Batman, Catwoman et même Joker tous en manifestation anti-Erdogan !

27. März 2025 um 22:02
Non, ce n’est pas de l’IA : Pikachu, Batman, Catwoman et même Joker tous en manifestation anti-Erdogan !

Des images surréalistes ont émergé des manifestations anti-Erdogan qui ont secoué la Turquie récemment, où des personnages emblématiques de la culture populaire se sont retrouvés parmi les protestataires. En effet, Pikachu, Batman, Catwoman et même le Joker ont été aperçus en pleine action, comme si la scène venait tout droit d’un film de multivers. Ces […]

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États-Unis : 10 000 suppressions de postes au ministère de la Santé

27. März 2025 um 15:50
États-Unis : 10 000 suppressions de postes au ministère de la Santé

Le ministère de la Santé des États-Unis a annoncé, ce jeudi, son intention de supprimer environ 10 000 emplois dans le cadre d’une vaste restructuration. Cette mesure s’inscrit dans la politique de réduction des dépenses fédérales menée par l’administration du président Donald Trump. Selon le communiqué officiel, cette réorganisation entraînera une baisse du nombre d’employés […]

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Lula critique Trump : “il est président des États-Unis, pas du monde entier”

27. März 2025 um 15:45
Lula critique Trump : “il est président des États-Unis, pas du monde entier”

Lors de sa visite au Japon, le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva a vivement critiqué la décision de Donald Trump d’augmenter les droits de douane sur plusieurs catégories de produits, notamment les voitures importées. Il a exprimé son inquiétude quant aux conséquences économiques de cette mesure, soulignant qu’elle risquait d’aggraver l’inflation aux États-Unis […]

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Amnesty International appelle à la libération d’Abir Moussi

27. März 2025 um 13:17

Amnesty International a lancé un appel aux  autorités tunisiennes pour libérer Abir Moussi et abandonner les charges retenues contre elle. Car elles ne concernent que l’exercice de ses droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique, poursuit l’organisation.

Cet appel intervient suite à la décision du tribunal pénal de Tunisie du 24 mars 2025 de reporter le procès d’Abir Moussi au 24 avril 2025. Ce report concerne l’examen du dossier soulevé à son encontre par l’ISIE et lié à des déclarations médiatiques faites lors d’une conférence de presse du PDL  en décembre 2022.

 

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Biens confisqués en Tunisie : Kais Saïed appelle à une solution définitive

Von: walid
27. März 2025 um 10:56

Le président de la République, Kais Saïed a reçu, mercredi après-midi au Palais de Carthage, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zanzari et la ministre des finances, Mechket Slama Khaldi.

La rencontre a été l’occasion de débattre de plusieurs dossiers, dont notamment, les équilibres financiers de l’Etat et le statut des biens confisqués, cite un communiqué de la présidence de la République.

Au sujet des biens confisqués, la réunion a permis de rappeler que ce dossier qui fait l’objet de nombreuses violations et dépassements, demeure encore en suspens et se trouve être éparpillé entre plusieurs parties intervenantes.

Face à une telle situation, le président de la République a jugé inadmissible de voir un sort se perpétuer, plaidant en faveur de l’impératif d’élaborer une démarche qui soit en mesure de permettre de régler à jamais ce dossier.

Dans ce contexte, le président Saïed a tenu à souligner qu’il n’est plus question de concéder le moindre sou de l’argent du peuple, dès lors qu’il en est le titulaire exclusif.

« Il est grand temps pour que le peuple récupère son argent », a martelé le chef de l’Etat, ajoutant qu’une fois récupéré, cet argent va contribuer à générer de la richesse et à réaliser la justice escomptée.

Sur un autre plan, le président de la République a saisi l’occasion pour mettre l’accent sur la nécessité de veiller à préparer au mieux les projets de texte afin qu’ils soient « clairs » et « ne prêtant pas à équivoque ».

Ces projets de texte, a-t-il insisté, doivent s’inscrire dans le droit-fil de la révolution législative et contribuer de manière significative au processus de construction et d’édification du pays

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Kais Saïed insiste sur une nouvelle vision pour résoudre la question des biens confisqués

Von: walid
27. März 2025 um 10:02
Kais Saïed insiste sur une nouvelle vision pour résoudre la question des biens confisqués

Le président de la République, Kais Saïed a reçu, mercredi après-midi au Palais de Carthage, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zanzari et la ministre des finances, Mechket Slama Khaldi, d’après un communiqué officiel. La réunion a porté sur plusieurs questions, dont notamment « les équilibres financiers de l’État et les biens confisqués, qui restent […]

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Après la reprise de Khartoum par l’armée, le Soudan menacé de partition  

27. März 2025 um 08:24

L’armée soudanaise menée par Abdelfattah Al-Burhan a pu après deux ans d’une atroce guerre civile reprendre le contrôle de Khartoum et des institutions officielles à leur tête le Palais présidentiel même s’il reste quelques poches à reconquérir dans la capitale. Un revirement de taille car l’armée soudanaise revient de loin. Il n’y a pas encore longtemps, elle essuyait défaite sur défaite et les Forces d’intervention rapide, la milice menée par Mohamed Hamdan Daglo, étaient en position de force.

Imed Bahri

Que la capitale revienne dans le giron de l’armée est une bonne chose cependant le spectre d’une nouvelle scission du pays pointe de nouveau. Après le sud perdu à l’époque d’Omar Hassan El-Bechir, voilà qu’aujourd’hui le Darfour, fief de Daglo, pourrait ne plus faire partie du Soudan.

Le Financial Times (FT) a rapporté dans une enquête de William Wallis que la bataille actuelle pour la capitale soudanaise Khartoum indique que la fin de la guerre civile au Soudan pointe. La guerre est revenue là où elle a commencé en l’occurrence dans le cœur de la capitale.

Après des jours d’affrontements, les forces fidèles au président de facto, le général Abdelfattah Al-Burhan, ont repris vendredi le palais présidentiel à leurs anciens alliés des Forces de soutien rapide, une organisation paramilitaire. L’armée soudanaise a également repris le contrôle d’autres bâtiments officiels dont la banque centrale marquant un tournant potentiel dans la guerre.

La reprise du Palais présidentiel marque l’aboutissement de plusieurs mois de changements décisifs dans l’équilibre de la guerre civile en faveur de l’armée soudanaise. Si l’armée parvient à consolider son contrôle sur Khartoum, cela permettra au général Al-Burhan de nommer un gouvernement de transition et de tenter d’obtenir une plus grande reconnaissance internationale.

Le risque d’une partition de facto

Cependant, le FT affirme que les récents développements représentent un moment très dangereux pour le Soudan et le général Al-Burhan lui-même car la victoire des Forces de soutien rapide ce week-end dans la région occidentale du Darfour met en évidence le risque d’une partition de facto. «La valeur symbolique et l’élan politique que l’armée pourrait gagner en reprenant le contrôle de la capitale sont importants», a déclaré Suleiman Baldo, expert en résolution des conflits et directeur du Centre de recherche sur la transparence et les politiques au Soudan.

Des soldats ont été vus en train de célébrer l’événement devant des vitres brisées et des entrées de bâtiments incendiées révélant le terrible impact sur la capitale. «Il n’y a plus rien vers quoi les gens puissent retourner», a ajouté Baldo.

La guerre a éclaté au Soudan à la mi-avril 2023 dans la capitale à la suite d’une lutte de pouvoir entre l’armée soudanaise et le commandant des Forces de soutien rapide, Mohamed Hamdan Daglo communément appelé Hemetti, accusé par les États-Unis de génocide au Darfour.

Avant la confrontation militaire entre les deux camps, ces derniers s’étaient unis pour renverser le gouvernement de transition formé après la chute du régime d’Omar Hassan El-Bechir en 2019. Au cours des premiers mois de la guerre, l’armée soudanaise a subi défaite sur défaite déplaçant finalement son centre de commandement à Port-Soudan sur la mer Rouge. Mais depuis septembre dernier, l’armée a repris de vastes étendues de territoire et la majeure partie de la capitale. Un vrai revirement de situation. 

Les combats loin d’être terminés

Le FT considère que les facteurs qui ont fait pencher la balance en faveur des forces armées soudanaises comprenaient le soutien qu’elles ont reçu des brigades islamistes, la réception par l’armée de fournitures d’armes lourdes, la défection de bataillons au sein des Forces de soutien rapide et le déclin du moral de leurs combattants.

Cameron Hudson, expert de la Corne de l’Afrique et chercheur principal au sein du programme Afrique du Centre d’études stratégiques et internationales de Washington, commente: «Ils ont remarquablement bien réarmé leurs forces aériennes en les réapprovisionnant avec des drones turcs et des avions de chasse chinois et russes. Parallèlement, les Forces de soutien rapide ont peiné à maintenir leurs lignes d’approvisionnement en provenance des Émiratis via le Tchad et la Libye».

Cependant, les combats à Khartoum sont loin d’être terminés. Une attaque des Forces de soutien rapide vendredi a tué un porte-parole de l’armée et des soldats au Palais présidentiel tandis que la résistance se poursuit dans certaines parties du sud de la capitale. Les forces de soutien ont pris le contrôle d’un avant-poste dans le désert du Nord-Darfour coupant l’approvisionnement de l’armée à la ville assiégée d’El Fasher soulignant la difficulté à laquelle les dirigeants soudanais seront confrontés pour unifier le pays.

«Si l’armée reprend le contrôle de tout Khartoum, ce n’est pas forcément de bon augure pour l’avenir du Soudan car elle ne se soucie pas du Darfour», a déclaré Nour Babiker, un homme politique soudanais du Parti du Congrès vivant en exil. Il a exprimé des inquiétudes quant à la réticence ou l’incapacité de l’armée à poursuivre les combats dans les provinces occidentales après la prise de Khartoum. La motivation des forces armées soudanaises à négocier pourrait diminuer augmentant ainsi le risque que le pays reste divisé. L’avancée de l’armée sur Khartoum est un moment dangereux pour les civils. Plus de 12 millions des 50 millions d’habitants du Soudan ont été déplacés par la guerre et la famine se propage dans certaines régions.

Une capitale vidée de ses habitants

Les deux camps ont commis des atrocités. Ces derniers mois, les forces armées soudanaises et leurs milices alliées ont été accusées d’avoir commis des assassinats ethniques ciblés dans les zones reconquises. Les Forces de soutien rapide, issues des milices arabes Janjaweed accusées de crimes de guerre lors des précédentes guerres du Darfour, ont infligé de lourdes pertes lors de leur retrait. «C’est leur habitude de se venger des habitants lorsqu’ils se retirent», a déclaré Hudson.

Le défi immédiat auquel est confronté le général Al-Burhan est de rétablir l’ordre et les services dans une ville vidée de ses habitants et d’assurer l’approvisionnement en nourriture, en eau et autres produits de première nécessité à mesure que les résidents déplacés commencent à revenir. L’autre dilemme réside dans la nécessité de regagner le soutien international nécessaire à la reconstruction tout en maintenant la cohésion de toutes les forces disparates sous sa bannière.

Les récentes victoires d’Al-Burhan n’auraient pas été possibles sans le soutien des partisans islamistes de l’ancien régime qui continuent de bénéficier du soutien de certains segments de la population. Cependant, ni les gouvernements occidentaux ni les alliés des forces armées soudanaises au Moyen-Orient, l’Égypte et l’Arabie saoudite, ne souhaitent leur retour au pouvoir. En même temps, les rejeter pourrait entraîner une réaction violente.

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Une coopération tripartite pour l’agriculture tunisienne

27. März 2025 um 08:08

Un accord de coopération a été signé, mercredi 26 mars, entre le ministère de l’Agriculture, la Banque tunisienne de solidarité (BTS) et l’Agence allemande de coopération technique (GIZ) pour promouvoir les investissements dans le secteur agricole et dynamiser la relation entre les institutions financières et techniques. C’est ce qu’indique un communiqué du ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche.

La Convention vise à soutenir les jeunes désirant créer des projets agricoles en leur fournissant des mécanismes de financement issus du projet de valorisation des périmètres irrigués, projet axé sur le développement des chaînes de valeurs agricoles dans les gouvernorats de Kairouan, Kasserine et Sidi Bouzid.

Ce projet est financé par la Banque africaine de développement (BAD) et mis en œuvre en coopération entre les différentes parties concernées.

À l’occasion de cette signature, le ministre de l’Agriculture, Ezzeddine Ben Cheikh, a souligné l’importance de cette initiative pour fournir des emplois aux jeunes, promouvoir la production agricole nationale et renforcer le développement économique durable en Tunisie. Il saluera également les efforts de toutes les parties pour créer un environnement incitatif à l’entrepreneuriat dans le secteur agricole.

Outre le ministre de l’Agriculture, étaient également présents le secrétaire d’Etat chargé des Ressources hydrauliques, Hammadi Habib, le directeur général de la Banque tunisienne de solidarité, Khelifa Sbouii, la directrice générale de l’Agence pour la promotion des investissements agricoles, Engi Douggui, le chargé de la gestion du Département de génie rural et d’exploitation des eaux, Kamel Meddeb, la représentante de l’Agence allemande de coopération technique, Kalthoum Ben Jomâa, ainsi qu’un certain nombre de responsables et d’experts dans le domaine financier et agricole.

Avec TAP

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L’historien Rashid Khalidi dénonce la dérive vichyste de l’Université de Columbia

27. März 2025 um 07:03

L’historien américano-palestinien Rashid Khalidi, titulaire de la chaire Edward Saïd d’études arabes modernes à l’Université de Columbia et longtemps chef de son département Moyen-Orient, s’est demandé si le terme université sied encore à Columbia et a dénoncé une dérive vichyste.

Imed Bahri

Ces critiques sont intervenues après que la célèbre université de l’Ivy League ait accepté la mise sous la tutelle fédérale de son département Moyen-Orient ce qui fait qu’elle a perdu de facto son indépendance et que le lobby sioniste a fini par mettre sa main dessus.

L’administration Trump avait menacé Columbia de lui retirer les 400 millions de dollars que lui alloue chaque année l’État fédéral si elle refusait la tutelle sur le département Moyen-Orient.

Dans une tribune publiée dans les colonnes du quotidien britannique The Guardian, Khalidi a souligné que la célèbre université new-yorkaise a toujours été gérée comme un empire financier et non comme une institution éducative et qu’aujourd’hui elle agit comme «Vichy sur l’Hudson» en référence au gouvernement pronazi de Vichy en France pendant la Seconde Guerre mondiale. 

Khalidi a écrit au début de son article: «Il n’a jamais été question d’éradiquer l’antisémitisme. Il a toujours été question de réduire la Palestine au silence. C’est ce à quoi aboutirait la réduction au silence des manifestants étudiants et maintenant celle des professeurs.» Il a ajouté que de beaucoup des étudiants lourdement sanctionnés pour avoir soutenu Gaza et que nombreux membres du corps enseignant qui perdront leur liberté académique et leur droit de diriger l’université et qui risquent d’être expulsés sont eux-mêmes juifs et même pour certains d’entre eux étant Israéliens. Il a également pointé du doigt la partialité des dirigeants de l’université: «S’il s’agissait réellement de discrimination, l’université aurait pris des mesures contre le harcèlement continu des étudiants et des professeurs palestiniens, arabes et musulmans ainsi que de leurs alliés et sympathisants plutôt que de soutenir leur harcèlement et de le permettre».

Justifier les massacres des Palestiniens

Le cœur du problème n’est pas la discrimination mais plutôt la protection des mensonges évidents selon lesquels la guerre israélo-américaine en cours depuis 17 mois et le génocide contre l’ensemble du peuple palestinien n’étaient rien de plus qu’une guerre contre le Hamas ou que tout ce qui s’est passé le 7 octobre 2023 peut justifier les massacres en cours d’au moins 50 000 personnes à Gaza principalement des femmes, des enfants et des personnes âgées ainsi que le nettoyage ethnique dont sont victimes les Palestiniens dans leur patrie.

Ces mensonges, fabriqués par Israël et imprégnés par le système politique et les élites riches ont été répétés sans relâche sous les administrations Biden et Trump et dans des médias comme le New York Times et Fox News et bénéficient désormais de l’approbation officielle d’une université autrefois grande.

Khalidi ajoute que ces mensonges sont enracinés dans un racisme flagrant. Frantz Fanon écrivait que le dualisme du colonisateur atteint parfois «sa conclusion logique, dépouillant l’indigène de son humanité ou le transformant simplement en animal».

En effet, l’ancien ministre israélien de la Défense Yoav Galant a déclaré en octobre 2023 que les Palestiniens étaient des «animaux humains». Benjamin Netanyahu a déclaré à leur sujet: «Je ne les décrirais pas comme des animaux humains car ce serait une insulte aux animaux».

Khalidi soutient que dans le cadre de cette guerre coloniale et à travers ces prismes, la vie des Palestiniens –ainsi que celle des personnes de couleur et des Noirs– devient une masse sans valeur, sans identité, dépouillée d’humanité tandis que la vie des autres se voit conférer sainteté et pathétique.

Un monde cauchemardesque

L’historien souligne la nécessité de s’accrocher à ces faits le plus longtemps possible car dans ce monde cauchemardesque dans lequel nous sommes entrés même faire référence à la race et au racisme est, ou deviendra bientôt, une violation de la lecture déformée actuelle de la loi fédérale américaine.

Une fois que les traîtres qui dirigent l’Université Columbia auront exécuté les ordres de leurs maîtres à Washington et de «son Conseil des régents» et que ces actions se seront propagées à d’autres universités menacées, enseigner ou même simplement citer un texte juridique deviendra risqué tout comme mentionner la race et le racisme sans parler d’autres questions comme le genre et le handicap.

Khalidi estime que les universités américaines se rapprochent d’une situation similaire à celle des universités chiliennes à l’époque de Pinochet où les idées et les livres étaient interdits, les étudiants expulsés et arrêtés, les départements universitaires saisis par les autorités et les professeurs et le personnel licenciés tout cela à la demande d’un gouvernement autoritaire.

Khalidi commente: «Nous ne devrions pas être tristes de ce qu’est devenue l’Université Columbia. Aussi formidable qu’elle ait été, ce qui se passe aujourd’hui n’est pas nouveau».

Avant la vague actuelle d’expulsions et de suspensions, Columbia n’avait expulsé qu’une seule fois un étudiant pour avoir manifesté pacifiquement dans son histoire. C’était en 1936, lorsqu’un étudiant avait été expulsé pour avoir protesté contre le fait de donner une tribune aux Nazis. En 1953, le président de l’université a signé une lettre déclarant que les communistes n’étaient pas qualifiés pour enseigner. Les administrateurs de l’Université de Columbia ont également renvoyé deux membres du corps enseignant pour s’être opposés à la Première Guerre mondiale pour des raisons pacifistes tandis que les étudiants qui refusaient de participer à la guerre pour des raisons de conscience ont été arrêtés et même emprisonnés.

Une longue tradition de répression

L’Université Columbia a longtemps été gérée davantage comme un vaste et riche empire commercial et immobilier que comme un établissement d’enseignement. C’est un endroit où les politiques sont imposées par les administrateurs, les donateurs et les instituts professionnels influents et non par le corps universitaire.

Au printemps 2024, les deux tiers des professeurs du Collège des arts et des sciences ont voté pour destituer la présidente de l’université qui avait cédé à la pression extérieure, abdiqué ses responsabilités et même appelé le département de police de New York sur le campus pour la première fois depuis 1968. Cependant, celle qui lui a succédée l’a dépassée, renforçant la longue tradition de répression de l’université et sa soumission humiliante aux diktats du gouvernement, promue et soutenue avec enthousiasme par des collaborateurs au comportement honteux au sein de l’institution.

Pour Rashid Khalidi, après sa reddition vendredi dernier, Columbia ne mérite guère d’être appelée une université. Son enseignement et ses recherches sur le Moyen-Orient –et bientôt sur d’autres domaines– seront étroitement surveillés par un «vice-président principal pour l’éducation inclusive», qui est en fait un vice-président principal pour la propagande israélienne.

Les partisans d’Israël, irrités par la présence de recherches sur la Palestine à l’Université de Columbia, ont surnommé cette initiative «Birzeit sur l’Hudson» par référence à l’université palestinienne de Birzeit en Cisjordanie. Mais si elle mérite encore d’être appelée une université, elle devrait plutôt s’appeler «Vichy sur l’Hudson» et non «Birzeit sur l’Hudson».

Articles de Rashid Khalidi dans Kapitalis:

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Un plan d’urgence pour récupérer les biens mal acquis

27. März 2025 um 05:49

Un conseil ministériel restreint s’est tenu le 26 mars 2025 au palais du gouvernement de la Kasbah, présidé par Sarra Zaafrani Zenzri, cheffe du gouvernement, pour examiner les mesures relatives à la confiscation, à la récupération et à la gestion des biens acquis de manière illicite et issus de la corruption. La réunion a réuni Mohamed Ali Nafti (Affaires étrangères), Michket Slama Khaldi (Finances), Oujdi El Hadhili (Domaines de l’État) et Mohamed Ben Ayed (secrétaire d’État aux Affaires étrangères).

La cheffe du gouvernement a appelé à accélérer les travaux des commissions chargées de ce dossier, en insistant sur la nécessité de garantir le droit de l’État à récupérer ses biens. Elle a souligné l’importance de suivre les recommandations du président de la République pour une gestion rigoureuse des biens confisqués, afin de préserver le patrimoine national.

Elle a également mis l’accent sur la coordination des efforts pour une récupération efficace des biens confisqués et une gestion optimale des biens immobiliers et mobiliers confisqués, considérés comme propriété publique. Un suivi continu de ce dossier sera assuré par la présidence du gouvernement et les ministères concernés.

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Kaïs Saïed plaide pour une solution pour les biens confisqués

27. März 2025 um 05:36

Le président de la République, Kaïs Saïed, a rencontré  dans la journée du mercredi 26 mars 2025  Sarra Zaafrani Zenzri, cheffe du gouvernement, et  Michket Slama Khaldi, ministre des Finances. Les discussions ont porté sur plusieurs sujets prioritaires, notamment les équilibres financiers de l’État et le dossier des biens confisqués, qui demeure en suspens ou éparpillé entre différentes entités, une situation désormais jugée inacceptable.

 

Le chef de l’État a insisté sur la nécessité d’élaborer une nouvelle approche pour clore définitivement ce dossier, rappelant que « les fonds publics appartiennent au peuple et qu’aucune négligence ne saurait être tolérée. Il a également souligné l’importance de préparer minutieusement les projets de textes législatifs pour qu’ils soient clairs, cohérents et s’inscrivent dans le cadre de la révolution législative, contribuant ainsi à la relance économique et au développement du pays. »

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Sahline : une vidéo d’agression policière sur un vieil homme déclenche des protestations (vidéos)

26. März 2025 um 23:40
Sahline : une vidéo d’agression policière sur un vieil homme déclenche des protestations (vidéos)

La ville de Sahline a été secouée par des scènes de violence ce mercredi soir, suite à la diffusion d’une vidéo choquante sur les réseaux sociaux montrant des agents de sécurité agressant un homme âgé et sa famille. L’incident, survenu après qu’un jeune homme ait refusé de présenter sa carte d’identité, a provoqué une vague […]

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Seifeddine Makhlouf et d’autres ex-députés condamnés pour l’agression d’Abir Moussi

26. März 2025 um 23:03
Seifeddine Makhlouf et d’autres ex-députés condamnés pour l’agression d’Abir Moussi

La neuvième chambre correctionnelle du tribunal de première instance de Tunis a rendu son verdict dans l’affaire de l’agression de la députée et présidente du Parti destourien libre, Abir Moussi, au sein du Parlement en 2021. Le tribunal a condamné, par contumace, l’ancien député du Parlement dissous, Seifeddine Makhlouf, à une peine d’un an de […]

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Le ministre des affaires étrangères en visite de travail en Espagne les 27 et 28 mars

26. März 2025 um 16:16

Le ministre des Affaires Etrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’Etranger, Mohamed Ali Nafti effectuera, les 27 et 28 mars 2025, une visite de travail à Madrid (Espagne), à l’invitation de son Homologue espagnol, José Manuel Albares, ministre des Affaires Etrangères, de l’Union Européenne (UE) et de la Coopération.

Cette visite s’inscrit dans le cadre de la volonté commune de donner un nouvel élan aux relations bilatérales et renforcer davantage les liens d’amitié et de coopération dans plusieurs domaines. notons que les deux pays célèbrent cette année, le 30ème anniversaire du Traité d’Amitié, de Bon Voisinage et de Coopération, conclu en 1995.

La visite sera également une opportunité pour consolider le dialogue et la concertation entre les deux pays sur un certain nombre de questions régionales et internationales d’intérêt commun, notamment dans la région méditerranéenne, lit-on dans un communiqué du département des Affaires étrangères.

Avec TAP

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Assassinat du martyr Chokri Belaïd : audience du 7 avril consacrée à la défense

26. März 2025 um 12:51

La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme tiendra, le 7 avril, une audience consacrée aux plaidoiries dans le cadre du dossier de l’assassinat du martyr Chokri Belaïd.

Le 27 mars 2024, la chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme du tribunal de première instance de Tunis a rendu son verdict dans l’affaire Chokri Belaïd. Voici les différentes peines encourues par les accusés :

Peine capitale pour :

  • Mohamed Amine Guesmi, conducteur du scooter Vespa utilisé lors de l’attentat commandité par Abou Iyadh.

  • Azedine Abdellaoui, ancien agent de sécurité radié, et Mohamed Laouadi, pour avoir assisté à une réunion au domicile d’Abou Iyadh, chef du groupe terroriste interdit Ansar Al-Charia, à Hammam Lif, où ils avaient donné leur aval à l’assassinat du secrétaire général et porte-parole du parti el Watad.

  • Mohamed Akkari, responsable du service de sécurité d’Ansar Al-Charia.

Réclusion à perpétuité pour :

  • Mohamed Ali Dammak, pour avoir loué le véhicule utilisé dans l’attaque.

  • Le médecin Abderraouf Talbi.

Les autres verdicts varient entre des peines d’emprisonnement allant jusqu’à un total de 120 ans, des condamnations exécutoires immédiates et, pour certains accusés, des acquittements. Par ailleurs, cinq accusés ont bénéficié d’un non-lieu. En effet, le tribunal a estimé qu’ils avaient déjà été jugés pour des faits similaires dans d’autres affaires.

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Nafti en visite de travail en Espagne les 27 et 28 mars

26. März 2025 um 14:18

Le ministre des Affaires Etrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’Etranger, Mohamed Ali Nafti effectuera, les 27 et 28 mars 2025, une visite de travail à Madrid (Espagne), à l’invitation de son Homologue espagnol, José Manuel Albares, ministre des Affaires Etrangères, de l’Union Européenne et de la Coopération.

Cette visite s’inscrit dans le cadre de la volonté commune de donner un nouvel élan aux relations bilatérales et renforcer davantage les liens d’amitié et de coopération dans plusieurs domaines. notons que les deux pays célèbrent cette année, le 30ème anniversaire du Traité d’Amitié, de Bon Voisinage et de Coopération, conclu en 1995.

La visite sera également une opportunité pour consolider le dialogue et la concertation entre les deux pays sur un certain nombre de questions régionales et internationales d’intérêt commun, notamment dans la région méditerranéenne, lit-on dans un communiqué du département des Affaires étrangères.

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Tunisie | Kaïs Saïed et l’administration publique ou le malentendu permanent      

26. März 2025 um 13:08

Il ne se passe pas une semaine sans que Kaïs Saïed critique les responsables de l’Etat qui n’accomplissent pas les missions qui leur sont confiées et ne répondent pas aux attentes des citoyens, mais ces derniers tardent à observer la moindre amélioration dans leurs relations quotidiennes avec l’administration publique où l’incompétence et l’inefficacité le disputent à l’immobilisme. Où se situe le hiatus *

Imed Bahri

Le président de la république a posé à nouveau ce problème lors de son entretien,  lundi 24 mars 2025, au palais de Carthage, avec la Première ministre Sarra Zaafrani Zenzeri. «Chaque responsable doit se montrer à la hauteur de la mission qui lui est confiée, en faisant preuve d’altruisme et de dévouement », a-t-il souligné, reprenant ainsi des griefs qu’il avait déjà exprimé maintes fois auparavant lors de ses entretiens avec les prédécesseurs de Mme Zaafrani Zenzeri qu’il avaient nommés après son accession au Palais de Carthage en 2019.

Pourquoi la machine administrative ne suit-elle pas ? Qu’est-ce qui a empêché jusque-là tous les locataires du Palais de la Kasbah de mettre en œuvre les réformes nécessaires pour que les décisions et les instructions du chef de l’Etat soient suivies immédiatement d’effet et que les plaintes des citoyens du manque de réactivité de l’administration publique cessent ou baissent d’intensité ?

On a vraiment du mal à répondre à ces questions, d’autant que la thèse des lobbies d’intérêts tapis au cœur de l’Etat et qui, pour défendre leurs intérêts ou leurs privilèges, empêcheraient l’administration de mettre en œuvre les réformes préconisées à la  tête de l’Etat, est de moins en moins convaincante.  

Une «rupture irréversible»

Lundi, lors de son entretien avec la cheffe du gouvernement, Saïed a passé en revue une série de mécanismes introduits par la nouvelle Constitution, qu’il avait fait promulguer le 25 juillet 2022, soulignant que son esprit et ses finalités visent à débarrasser définitivement la Tunisie de l’héritage de la Constitution de 2014, laquelle incarne à ses yeux le mal absolu.

Selon le président de la République, qui a parlé de «rupture irréversible» qu’il pense incarner lui-même, les responsables doivent connaître et reconnaître ces nouvelles dispositions, approuvées par le peuple, et œuvrer à la réalisation des aspirations légitimes du peuple tunisien à une vie décente.

Selon un communiqué de la présidence de la république, Saïed a également appelé les responsables à œuvrer pour la réalisation d’un équilibre entre la création de richesses et une croissance économique réelle et efficace, fondée sur la justice sociale.

Pour lui, les lois ne peuvent à elles seules changer la réalité, surtout si elles sont «incomplètes» et ne reposent pas sur «de nouvelles approches et de nouveaux concepts».

«Il n’y a aucune utilité à avoir des lois ou des institutions, quelles qu’elles soient, qui grèvent les finances publiques sans avoir ni utilité pratique ni impact public», a déclaré le président, exprimant ainsi un sentiment partagé par tous les Tunisiens que les problèmes persistent voire se compliquent et s’aggravent, et que les améliorations promises tardent à se réaliser.  

Afin de sortir de cet immobilisme qu’il a souvent pointé, Saïed a donné des instructions pour restructurer plusieurs organismes administratifs selon une nouvelle approche, proposant la suppression de certains d’entre eux en raison de leur inefficacité et de leurs dysfonctionnements.

Il a cité en exemple le Bureau des Relations avec le Citoyen, rattaché au Premier ministère à la Kasbah, affirmant que de telles structures administratives ne font que mettre à rude épreuve l’État et reflètent un dysfonctionnement de la relation entre l’administration et ses usagers.

Le chef de l’État a appelé une nouvelle fois l’administration à remplir pleinement son rôle dans tous les secteurs, sachant que «sa mission première est de servir le peuple», selon ses termes.

Des institutions caduques

«Quel intérêt y a-t-il à créer des structures qui recueillent les doléances des citoyens sans les résoudre rapidement ?», s’est demandé le président, en  appelant plutôt à mettre fin à la lourdeur institutionnelle qui accorde des privilèges injustifiés à certains au détriment des autres.

«Il faut rappeler à ceux qui saccrochent à leurs privilèges et négligeant leurs devoirs que lÉtat et les usagers de ladministration nont plus besoin deux», a-t-il averti.

Dénonçant ce qu’il a qualifié de «prolifération injustifiée dorganismes » et de «législations caduques», le Président de la République a souligné que des dizaines de milliers de diplômés universitaires et de titulaires de doctorat sont pleinement motivés et veulent «contribuer à la libération et au développement de la nation», laissant entendre que des purges pourraient être effectuées au sein de l’administration publique pour la débarrasser des incompétents et des parasites.  

Le chef de l’État a, une nouvelle fois, exigé une tolérance zéro à l’égard de tout fonctionnaire qui manque à ses devoirs et ne fournit pas les services nécessaires aux citoyens, insistant sur l’impératif de discrétion et de strict respect des règles de déontologie, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’administration.

Quand on sait que ces mêmes critiques ont déjà été faites et ces mêmes instructions ont déjà été données aux prédécesseurs de Mme Zaafrani Zenzeri, on est en droit de se demander si celle-ci va pouvoir réussir enfin là où tous ses prédécesseurs ont échoué, échec qui a du reste justifié leur limogeage sans ménagement et sans qu’aucun citoyen n’ait regretté leur départ.

*Nous donnons à cet article un titre que nous avons déjà employé il y a quinze mois pour un autre article sur le même sujet, afin de rappeler que la situation na pas changé depuis.

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Parlement tunisien : 26 questions écrites adressées au gouvernement lors de la réunion du bureau

26. März 2025 um 12:26

Réuni, mardi, le bureau de l’Assemblée des représentants du peuple a examiné les questions écrites envoyées par les députés et a décidé d’en adresser 26 aux membres du gouvernement concernés.

Cette réunion a été l’occasion d’examiner le rapport conjoint de la Commission des finances et du budget et de la Commission de la planification stratégique, du développement durable, des transports, des infrastructures et de l’aménagement du territoire concernant un projet de loi portant approbation d’un accord de prêt conclu, le 25 juin 2024, entre la République tunisienne et l’Agence française de développement (AFD).

L’accord vise à créer une ligne de financement en faveur des petites et moyennes entreprises afin de soutenir la relance économique.

Il a été décidé de soumettre ce projet de loi à la séance plénière du lundi 7 avril 2025, lit-on dans un communiqué du Parlement.

Le Bureau a, par ailleurs, discuté d’un conflit de compétence lié au projet de loi n°16/2025 relatif à la réglementation des contrats de travail et l’interdiction de la sous-traitance, soulevé par le président de la Commission de l’organisation de l’administration, du développement, de la numérisation, de la gouvernance et de la lutte contre la corruption.

Le rapport sur la participation du Parlement tunisien à la 7ᵉ Conférence du Parlement arabe et des présidents des parlements arabes tenue, le 22 février écoulé, au Caire, a été à l’ordre du jour de cette réunion.

Par ailleurs, le bureau a constaté une vacance à l’ARP après le décès le 13 mars 2025 du député Sami Sayyed, élu dans la circonscription de Bizerte-Nord

A cet effet, le bureau du Parlement a décidé d’informer l’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) de cette vacance, conformément à l’article 34 de la loi organique n°16 de 2014 du 26 mai 2014 relative aux élections et aux référendums.

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