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Heute — 26. Juni 2025Haupt-Feeds

Kaïs Saïed : il est urgent de revoir les critères de choix des responsables

26. Juni 2025 um 10:10

Le président de la République, Kaïs Saïed, a accordé une audience, mercredi 25 juin au palais de Carthage, à la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzrri.

Au cours de l’entretien, le chef de l’État a souligné que les lobbies qui tentent par tous les moyens d’attiser les tensions et de provoquer des crises ne peuvent rester en dehors du champ de la reddition des comptes et de la responsabilité.

De même, ceux qui les servent au sein de l’administration ne resteront pas, eux non plus, à l’abri de la responsabilité. Ceux qui sont au chômage depuis longtemps sont plus dignes de les remplacer.

Pour le président de la République, le patriotisme, la loyauté, le dévouement, l’austérité et le don sans limites doivent tous être des critères essentiels dans le choix de ceux qui veillent à la gestion de plusieurs services publics ou qui travaillent au sein des appareils, des institutions et des établissements publics de l’État.

Il n’a pas manqué de faire savoir à la cheffe du gouvernement que beaucoup invoquent les procédures, alors que lorsqu’une intervention directe est nécessaire pour résoudre un simple problème rencontré par les agents de l’administration en général, cette lenteur et ces prétextes injustifiés disparaissent soudainement. Selon lui, il s’agit ni plus ni moins qu’une forme de négligence ou de mauvaise foi.

Par conséquent, le chef de l’État a appelé à la révision en profondeur d’un grand nombre de textes, mais aussi de certaines nominations et institutions dont l’existence même est inutile.

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Cité médicale des Aghlabides : Faouzi Ghrab succède à Mohamed Fadhel Hassioun

26. Juni 2025 um 09:22

Plus de quatre ans après son annonce par le président Kaïs Saïed en janvier 2020, la Cité médicale des Aghlabides à Kairouan prend de plus en plus forme. A noter que la société chargée du projet n’a vu le jour qu’il y a un peu plus d’an, plus précisément en avril 2024. Il s’agit de la société « Cité médicale des Aghlabides de Kairouan ».

Aujourd’hui, un changement de direction vient d’intervenir, avec la nomination de Faouzi Ghrab pour remplacer Mohamed Fadhel Hassioun à la tête de l’initiative.

Ce mégaprojet, présenté comme un moteur de développement régional, devrait générer 42 000 emplois selon les chiffres officiels — un chiffre toutefois revu à la baisse par rapport aux 50 000 promis initialement par le chef de l’État.

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Slah Salhi, nouveau président du programme du travail consulaire et des Tunisiens à l’étranger

26. Juni 2025 um 09:07

Le ministère des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger annonce la nomination de Slah Salhi, ministre plénipotentiaire hors classe, au poste de président du « Programme du travail consulaire et des Tunisiens à l’étranger ». Cette nomination a été publiée dans le Journal officiel de la République tunisienne n°82, du 24 juin 2025.

Avant cette nomination, Slah Salhi occupait, depuis janvier 2025, le poste de directeur général de la Migration et des Tunisiens à l’étranger au sein du même département.

Il a également été ambassadeur de Tunisie au Qatar entre 2014 et 2019, sous la présidence de Béji Caïd Essebsi.

A rappeler enfin que Slah Salhi a intégré le ministère des Affaires étrangères en 1992.

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Diplomatie : Tunisie et Belgique saluent leur partenariat historique et projettent de nouveaux axes de coopération

Von: walid
26. Juni 2025 um 09:36

Le ministre des Affaires Etrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’Etranger, Mohamed Ali Nafti s’est entretenu mercredi, par téléphone, avec le vice-premier ministre belge, ministre des Affaires étrangères Maxime Prévost.

Les deux ministres ont mis en avant les relations d’amitié et de coopération de longue date établie entre la Tunisie et la Belgique.

Mohamed Ali Nafti a mis l’accent sur la nécessité de renforcer ces relations aux niveaux bilatéral et européen, dans divers secteurs vitaux, en perspective de la commémoration du 30ème anniversaire de la signature de l’accord d’association entre la Tunisie et l’Union Européenne.

Il a, également, souligné l’importance du soutien apporté par la Belgique aux efforts déployés dans plusieurs domaines, dont, notamment, la récupération des fonds spoliés.

De son côté, le haut responsable belge a salué la solidité des relations bilatérales et la diversité de ses domaines, tant au niveau fédéral qu’avec les régions belges.

Les deux parties sont convenues de poursuivre les consultations et le dialogue lors des prochaines échéances bilatérales et européennes à Tunis et à Bruxelles.

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En Tunisie, les femmes représentent le tiers du corps diplomatique

26. Juni 2025 um 10:04

Selon le ministre des Affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti, qui parlait à l’occasion du séminaire consacré au thème «Femmes tunisiennes et diplomatie : parcours et réalisations, expériences et perspectives», le 24 juin 2025, au siège de l’Académie diplomatique internationale de Tunis, les femmes constituent désormais environ un tiers du corps diplomatique de la Tunisie, soit plus exactement 36%.

M. Nafti a insisté sur le rôle fondamental des femmes dans la construction d’un État moderne depuis l’indépendance, dans tous les secteurs, soulignant l’importance de réaffirmer le principe d’égalité des chances au sein de son département.

Ce fait, a-t-il ajouté, les positionne comme un pilier essentiel du développement de l’action diplomatique et de la consolidation de la paix et de la sécurité à l’échelle mondiale.

Florence Bastian, représentante du Bureau des Nations Unies pour la femme en Tunisie et en Libye, a reconnu, de son côté, la place importante occupée par les femmes diplomates au sein des organisations internationales. Elle a exprimé l’espoir d’une implication toujours plus grande des femmes dans les instances décisionnelles. L’histoire de la diplomatie tunisienne compte des pionnières telles que Faika Farouk, première femme à occuper un poste diplomatique dans l’histoire moderne du pays.

Nommée attachée d’ambassade au ministère des Affaires étrangères en 1957, Mme Farouk a ensuite occupé des postes de grand prestige, devenant ambassadrice de Tunisie dans plusieurs pays, dont le Sénégal et le Royaume-Uni.

Avec 11 femmes aujourd’hui à la tête de missions diplomatiques à l’étranger, la Tunisie poursuit son cheminement vers une représentation plus équilibrée des genres au sein de ses institutions internationales. La parité reste cependant un objectif encore lointain.

Deux panels de discussion ont été organisés lors du séminaire, portant respectivement sur le rôle des Tunisiennes dans la diplomatie et sur les expériences d’autres pays dans le soutien à la présence des femmes dans la diplomatie bilatérale et multilatérale.

En marge de l’événement, une exposition documentaire a été consacrée à l’histoire de la participation des Tunisiennes à la diplomatie, mettant en lumière les activités des ambassadrices et consuls en poste à l’étranger, ainsi que le rôle actuel des diplomates tunisiennes et les perspectives pour leur autonomisation accrue dans ce domaine stratégique.

Une courte vidéo a également été projetée, retraçant les parcours de diplomates tunisiennes et leurs contributions à la défense des intérêts de la Tunisie et à la promotion de sa souveraineté.

I. B.  

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Zohran Mamdani, le candidat démocrate à la mairie de New York qui agace les sionistes

26. Juni 2025 um 07:51

À seulement 33 ans, Zohran Mamdani sera le candidat démocrate à la mairie de New York. Candidat de l’aile gauche du Parti démocrate, il a remporté mardi la primaire de son parti face au favori Andrew Cuomo qui a été procureur général puis gouverneur pendant dix ans de l’État de New York. Mamdani a fait de la lutte contre la vie chère et la promesse de taxer les hauts revenus, ses thèmes de prédilection, cependant la candidature de ce musulman d’origine ougandaise et fervent soutien de Gaza agace le puissant lobby sioniste qui considère New York comme sa chasse gardée. 

Imed Bahri

Dans le Washington Post, Maeve Reston s’interroge sur ce nouveau venu sur la scène politique qui a bouleversé la dernière étape de la campagne des primaires démocrates pour la mairie de New York, en amassant une immense base de fans sur les réseaux sociaux. Il y a encore quelques mois, il était encore inconnu du grand public.

Le journal américain identifie ce nouveau venu comme étant le député de l’État de New York représentant le 36e district qui englobe Astoria et Long Island dans le Queens, démocrate de tendance socialiste et expliquant qu’il a attiré un grand nombre de jeunes électeurs en défendant des politiques de gauche.

Une surprise majeure

Mamdani était en tête de la course après le dépouillement du premier tour mardi et est désormais prêt à créer une surprise majeure face à l’ancien gouverneur Andrew Cuomo, 67 ans, qui a concédé sa défaite.

Bien que les résultats définitifs ne soient annoncés que la semaine prochaine, Mamdani qui pourra être le premier maire musulman de la ville, a reçu les éloges de ses partisans et bénéficie du soutien du sénateur indépendant Bernie Sanders et de la représentante démocrate Alexandria Ocasio-Cortez.

Mamdani a un programme axé sur la réduction des prix, qui, selon lui, «écrasent les travailleurs». Il a réclamé un gel des loyers pour les locataires établis, la gratuité des transports en commun, des services de garde d’enfants publics pour les moins de six ans et la création d’épiceries municipales qui achètent et vendent à prix de gros.

Le démocrate, qui prône une augmentation du salaire minimum à 30 dollars de l’heure d’ici 2030, affirme qu’il financera ses projets en augmentant le taux d’imposition des sociétés à 11,5% et en imposant un impôt forfaitaire de 2% aux New-Yorkais gagnant plus d’un million de dollars par an.

Le journal indique que l’ascension soudaine de Mamdani a été en partie alimentée par une campagne agressive sur les réseaux sociaux qui lui a permis de toucher de nombreux électeurs de la ville qui ne s’intéressaient pas à la politique. Il a expliqué ses idées dans de courtes vidéos, critiquant vivement l’influence de l’argent en politique et soulignant comment il a financé sa campagne grâce à de petits donateurs.

Mamdani est un grand critique des attaques israéliennes sur la bande de Gaza. Selon le WP, il a suscité la controverse en refusant de condamner le slogan «mondialiser l’Intifada», perçu par certains Juifs comme une incitation à la violence tandis que de nombreux Palestiniens y voient une adhésion à leur lutte pour leur patrie.

Élu à l’Assemblée de l’État de New York en 2020, Mamdani a bénéficié du soutien d’Osaka-Cortez et de Sanders, deux démocrates socialistes bénéficiant d’une large audience nationale et d’influents collecteurs de fonds.

En effet, Our Revolution, une organisation politique lancée par Sanders en 2016, a annoncé avoir mobilisé ses membres dans les cinq districts de New York et envoyé plus de 60 000 courriels et SMS exhortant les électeurs à se rendre aux urnes en faveur de Mamdani.

Un musulman soutenant Gaza

Mamdani est né à Kampala en Ouganda et a émigré à New York à l’âge de sept ans. Il a obtenu la nationalité américaine en 2018 et travaillé comme consultant en logement pour un programme d’aide aux propriétaires de couleur à faibles revenus. Cela l’avait incité à se lancer en politique et à se faire élire pour représenter le Queens.

Ce profil de musulman soutenant Gaza a déjà attiré les foudres du lobby sioniste qui considère la métropole américaine comme sa chasse gardée et qui a déjà accusé Mamdani d’antisémitisme. Dans une tribune publiée dans le journal israélien Haaretz, Abe Silberstein, chercheur en études et histoire hébraïques et juives à l’Université de New York, estime que même s’il n’existe aucune preuve pour étayer ces accusations, elles découlent en fait de véritables inquiétudes quant au déclin du soutien inconditionnel à Israël au sein du Parti démocrate. 

L’auteur indique que Mamdani a exprimé ouvertement et clairement ses opinions sur le conflit israélo-palestinien. Il affirme le droit d’Israël à exister mais insiste sur l’égalité des droits pour les Palestiniens. Silberstein, ajoute dans son article que Mamdani a déjà soutenu le mouvement de Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS) contre Israël et qualifié la guerre que mène Israël à Gaza de génocide.

Mamdani a également parrainé un projet de loi visant à révoquer le statut d’organisme de bienfaisance des organisations qui soutiennent les colonies israéliennes. Malgré ces opinions, il a condamné l’opération Déluge d’Al-Aqsa du 7 octobre 2023 et a toujours insisté sur son engagement à protéger toutes les communautés y compris la communauté juive qui compte un million de membres à New York.

Cependant, tout cela n’a pas aidé le jeune homme face à la campagne diffamatoire du lobby pro-israélien qui continue de le dépeindre comme antisémite en utilisant des tactiques malsaines comme la déformation de ses déclarations.

Maintenant qu’il a remporté la primaire et que ses chances de devenir maire de New York se sont accrues, les attaques vont se renforcer et il faudra avoir le cuir épais et être résilient pour y faire face. De plus, un autre protagoniste politique de premier plan peut en faire sa cible favorite en l’occurrence le président Donald Trump qui aura du mal à supporter que sa ville d’origine, New York, ait un maire issu de l’aile gauche du Parti démocrate. La bataille s’annonce rude. 

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Abir Moussi | Le comité de défense compte saisir la justice

Von: Yusra NY
25. Juni 2025 um 23:26

Le comité de défense estime que le maintien en détention de la présidente du Parti destourien libre (PDL) Abir Moussi, est arbitraire, et a annoncé son intention de saisir la justice contre toute personne impliquée dans cette détention.

Les avocats ont par ailleurs dénoncé le transfert vers la prison de Jendouba de l’avocate et présidente du PDL ainsi que l’annulation des mesures de protection contre les menaces terroristes la visant, tout en tenant le ministère de la Justice responsable de l’intégrité physique d’Abir Moussi.

« Les conditions de détention de Me Moussi ne prennent pas en compte son état de santé », lit-on encore dans le communiqué publié le 25 juin 2025, qui dénonce au passage harcèlement, séquestration et déplacement forcé sous la menace.

La défense a par ailleurs demandé aux organisations nationales et internationales compétentes de rendre visite à Abir Moussi et de constater l’absence d’éléments légaux pouvant justifier son maintien en détention.

Enfin le comité a annoncé son intention de porter plainte contre toute personne impliquée dans la détention de la présidente du PDL, qu’elle considère illégale, ainsi que pour manquements et mauvais traitements, ajoutant qu’un «recours sera également déposé à l’échelle internationale pour alerter du non-respect de la Tunisie d’une décision onusienne ».

Y. N.

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Gestern — 25. Juni 2025Haupt-Feeds

Iran : le Parlement vote la fin de la coopération avec l’AIEA après les frappes israéliennes et américaines

25. Juni 2025 um 18:54
Iran : le Parlement vote la fin de la coopération avec l’AIEA après les frappes israéliennes et américaines

Le Parlement iranien a adopté, ce mercredi 25 juin 2025, un texte prévoyant la suspension de la coopération avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), selon la télévision publique. Cette décision intervient après près de deux semaines de conflit, marquées par des frappes israéliennes et américaines visant des sites nucléaires en Iran. Le président du […]

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Santé : Bouderbala à l’écoute des médecins sur les défis du secteur

25. Juni 2025 um 17:14

Le président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), Ibrahim Bouderbala, a reçu ce mercredi 25 juin 2025 les membres du Conseil national de l’Ordre des médecins, menés par leur présidente, Rim Ghachem Attia, au palais du Bardo.

Les échanges ont porté sur les grandes difficultés que traverse le secteur médical : lacunes juridiques, conditions de travail dégradées, migration des médecins, et besoin urgent de réformes législatives. Le Conseil a plaidé pour une mise à jour des lois régissant la profession, parfois inchangées depuis plusieurs décennies, et l’introduction d’un cadre permettant l’exercice en sociétés médicales.

Les médecins ont également appelé à une révision de la loi sur la responsabilité médicale afin de mieux protéger les droits des patients et définir clairement les responsabilités en cas d’erreur, tout en prévoyant des mécanismes d’indemnisation.

Autre point d’alerte : la fuite continue des médecins tunisiens à l’étranger, aggravée par la pénurie de personnel et la détérioration des conditions de travail, notamment pour les jeunes professionnels.

Bouderbala a salué la qualité des compétences tunisiennes dans le domaine de la santé et affirmé le soutien du Parlement à une réforme globale pour améliorer les conditions de travail et renforcer la qualité des soins.

Avec TAP

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Abir Moussi : « Je ne me sens pas en sécurité »

25. Juni 2025 um 12:14

Abir Moussi, présidente du Parti destourien libre (PDL), a adressé une lettre poignante depuis sa cellule de la prison à Jendouba, où elle a été transférée de manière soudaine et « arbitraire » estime-t-elle.

Elle qualifie son transfert de « brutal » et « non justifié ». A ses dires, le directeur de la prison lui a ordonné de partir immédiatement sans explication. Elle déclare avoir été « contrainte de monter dans une ambulance », sans pouvoir emporter ses affaires personnelles, hormis ses « lunettes », et sans qu’aucun inventaire de ses biens ne soit fait.

Dans la nouvelle prison, la femme politique déclare avoir constaté « des conditions de détention déplorables ». Elle décrit « une cellule vétuste, surpeuplée (15 détenues…) », qui s’ajoute à « une absence totale de sécurité ». Et ce, étant donné qu’il y a eu la levée des mesures de protection dont elle bénéficiait auparavant, rappelle-t-elle.

Se sentant ainsi en insécurité, Abir Moussi estime que « ce transfert est une punition politique ». Il viserait à la « briser moralement, l’humilier, l’isoler de ses proches et réduire au silence ses convictions », poursuit-elle.

De ce fait, elle exhorte son comité de défense à intervenir pour garantir ses droits fondamentaux. De même qu’elle s’adresse à ses partisans en les rassurant sur sa « détermination » et sa « foi inébranlable » en sa cause, malgré cette épreuve.

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Nucléaire │ L’Iran veut se libérer de tout engagement envers l’AIEA

25. Juni 2025 um 12:42

En votant, ce mercredi 25 juin 2025, en faveur d’un projet de loi pour la suspension de la coopération avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), le parlement iranien n’a fait que prendre acte de l’inutilité d’une telle coopération qui ne lui a pas évité douze jours de bombardements israéliens et américains, notamment contre ses installations nucléaires pourtant surveillées par l’AIEA.

«L’AIEA, qui n’a même pas daigné condamner les attaques contre nos installations nucléaires, a gravement entamé sa crédibilité sur la scène internationale», a déclaré le président du Parlement, Mohammad Bagher Ghalibaf, à l’issue du vote.

Il a précisé que «l’Organisation iranienne de l’énergie atomique suspendra toute coopération avec l’AIEA tant que la sécurité de ses sites nucléaires ne sera pas pleinement assurée», selon les propos rapportés par la télévision officielle.

Les frappes israéliennes et américaines ont certes détruit une bonne partie des infrastructures nucléaires iranienne, mais les experts estiment que l’Iran a su mettre à l’abri certains de ses équipements et même l’essentiel de son uranium enrichi. Ce qui reste à confirmer, l’Iran étant resté silencieux sur cet aspect de la guerre, laissant les Israéliens et les Américains fanfaronner tout leur soul sur une supposée destruction des capacités nucléaires iraniennes.

La plupart des scientifiques impliqués dans le programme nucléaire iranien ont certes été tués, mais le savoir nucléaire iranien, lui, reste intact et peut à tout moment être mis à contribution pour relancer ce programme, affirment plusieurs experts internationaux.   

Quoi qu’il en soit, l’Iran cherche désormais à se libérer de tout engagement envers la communauté internationale en matière de limitation de son programme nucléaire, à l’instar d’Israël, de la Corée du Nord, du Pakistan et de tous les autres pays déjà détenteurs de la bombe atomique, et qui ne rendent compte à aucune instance de leurs capacités dans ce domaine.

I. B.

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« Complot contre la sûreté de l’État 2 » : l’affaire renvoyée au 1er juillet

25. Juni 2025 um 08:12

Le procès lié à l’affaire dite du « Complot contre la sûreté de l’État 2 » s’est ouvert à distance, ce mardi 24 juin 2025, devant la chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme près le tribunal de première instance.

Cette affaire implique 21 accusés présents à ce stade de la procédure, dont plusieurs figures politiques de premier plan telles que Rached Ghannouchi, président du mouvement Ennahdha, Youssef Chahed ancien chef du gouvernement, Nadia Akacha l’ex-directrice du cabinet présidentiel, et le cadre dirigeant d’Ennahdha, Habib Ellouz. Ils sont tous poursuivis pour des faits à caractère terroriste.

Plusieurs prévenus ont comparu par visioconférence depuis la prison civile de la Mornaguia, notamment Abdelkarim Labidi (ex-responsable sécuritaire à l’aéroport Tunis-Carthage), Rayan Hamzaoui (ancien maire d’Ezzahra), Mehrez Zouari (ex-DG des services spécialisés) ainsi qu’un cadre sécuritaire à la retraite.

Lors de l’audience, les avocats ont demandé un report pour consulter le dossier ou déposer de nouvelles procurations. La chambre a rejeté l’ensemble de ces requêtes, y compris les demandes de mise en liberté, et a décidé de renvoyer l’affaire au 1er juillet.

Rappelons que cette affaire concerne en tout 42 personnes, dont certaines sont en détention, d’autres en liberté ou en fuite. Dans ce cadre, le juge d’instruction a émis 12 mandats d’amener internationaux contre des accusés résidant à l’étranger.

Les charges portent sur la constitution d’un groupe impliqué dans des actes terroristes, l’incitation au meurtre et à la violence, l’atteinte aux personnes et aux biens, le complot contre la sécurité intérieure de l’État, ainsi qu’une tentative de modification de la structure de l’État par des actes préparatoires. L’enquête mentionne également des opérations de recrutement et d’entraînement de personnes en Tunisie ou à l’étranger en vue de commettre des actes terroristes à l’intérieur ou à l’extérieur du pays.

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De Bagdad à Téhéran ou quand l’histoire se répète

25. Juni 2025 um 08:24

L’histoire, dit-on, ne se répète pas, mais elle bégaie. En 2003, les États-Unis envahissent l’Irak au nom d’un danger imminent : Saddam Hussein détiendrait des armes de destruction massive (ADM). Vingt ans plus tard, le monde assiste au bombardement de l’Iran par Israël et les Etats-Unis, justifié par la crainte que la République islamique soit sur le point d’acquérir l’arme nucléaire. Dans les deux cas, les faits sont contestés, les preuves fragiles, et les conséquences dévastatrices.

Dr. Sadok Zerelli *

Deux guerres, un même mensonge

Après les attentats du 11 septembre 2001, l’administration Bush lance la «guerre contre le terrorisme». L’Irak est rapidement désigné comme cible prioritaire. Les justifications officielles abondent : liens supposés entre Saddam Hussein et Al-Qaïda, mais surtout, accusations de possession d’armes chimiques, biologiques et nucléaires.

Malgré les inspections de l’Onu qui n’ont trouvé aucune preuve tangible, la machine de guerre s’emballe. Colin Powell, alors secrétaire d’État, brandit des fioles supposées remplies de produits chimiques et bactériologiques dangereux et des schémas douteux à l’Onu.

Le 20 mars 2003, les États-Unis et leurs alliés envahissent l’Irak. La suite est connue : aucune arme de destruction massive ne sera jamais trouvée. Le régime est renversé, mais le pays s’enfonce dans le chaos, donnant naissance à une guerre civile et à des groupes terroristes comme Daech.

L’objectif réel ? Redessiner le Moyen-Orient, contrôler les ressources pétrolières, affirmer la domination américaine. Le mensonge d’État devient outil de guerre.

L’Iran, nouvelle cible du mensonge d’Etat

Le 13 juin 2025, Israël lance une série de frappes contre des sites iraniens. Motif officiel : empêcher l’Iran de fabriquer une bombe nucléaire. Pourtant, toutes les sources indépendantes, y compris des services de renseignement occidentaux et même la CIA, confirment que l’Iran ne possède pas d’arme nucléaire et n’est pas à quelques semaines de l’avoir. L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) n’a trouvé aucun indice de militarisation active du programme iranien.

Comme en 2003, les avertissements diplomatiques sont ignorés. Le récit dominant est imposé par une minorité de faucons politiques et militaires. Une peur orchestrée l’emporte sur les faits. A nouveau, le monde découvre, trop tard, que les raisons invoquées relèvent davantage de l’idéologie que de la vérité.

Un même schéma basé sur la peur, la désinformation et la création d’un ennemi absolu.

– En 2003, Saddam Hussein présenté comme un tyran fou prêt à utiliser ses ADM contre l’Occident.

-En 2025, le régime iranien décrit comme messianique, irrationnel, et résolu à détruire Israël avec une bombe nucléaire fictive.

Dans les deux cas, on assite à une marginalisation des organismes internationaux.

En Irak, l’Onu est contournée, ses inspecteurs discrédités.

En Iran, l’AIEA est ignorée malgré ses rapports rassurants.

La mise en scène médiatique est identique.

En 2003, les grands médias relayent les assertions américaines sans enquête sérieuse.

En 2025, de nombreuses chaînes occidentales reprennent les éléments israéliens sans vérification, noyant les avertissements contradictoires.

Le dogme de la guerre préventive

Les bombardements par Israël depuis le 13 juin des sites nucléaires et civils en Iran suivis par des bombardements encore plus dévastateurs il y a quelques jours de trois sites nucléaires par les B-52 américains, illustrent parfaitement la mentalité de «cowboy» de Donald Trump, un grand amateur du sport de combat MMA dont il ne rate pas les grands matchs, et qu’il a résumé lui-même ainsi : «Lorsque la bataille est inévitable, il faut frapper le premier». Il n’hésite pas à appliquer le même principe de combat dans les relations internationales comme si le monde est une vaste arène où celui qui frappe le premier et de préférence par surprise gagne le match.

Ce faisant, il oublie que l’’invasion de l’Irak a été un désastre humanitaire, politique et moral et que le bombardement de l’Iran, sous un faux prétexte nucléaire, pourrait mettre en danger la paix mondiale et engendrer un cataclysme bien plus vaste pour toute l’humanité.

L’Eté de toutes les peurs 

La riposte immédiate de l’Iran aux bombardements d’Israël et des Etats-Unis a été jusqu’à maintenant une pluie de missiles et de drones sur les villes israéliennes et même une base américaine dans la région.

Cependant, le Liban, la Syrie et même certains Etats monarchiques du Golfe tels que le Qatar ou l’Arabie Saoudite risquent d’être aspirés dans le conflit. Les prix du pétole vont flamber à la suite de la fermeture éventuelle par l’Iran du détroit d’Ormuz. Les marchés paniquent et la récession économique et l’inflation seront mondiales, obligeant d’autres puissances telles que la Chine ou la Russie ou l’Europe d’intervenir : l’embrasement régional deviendra mondial, avec le risque d’utilisation en dernier recours d’armes nucléaires tactiques ou balistiques, ce qui provoquera la disparition à plus ou moins brève échéance de l’humanité et de toute vie sur terre.

Ce scénario catastrophe rejoint malheureusement les conclusions du ‘Bulletin of the Atomic Scientists Doomsday Clock’, un modèle symbolique élaboré par un grand nombre de scientifiques du monde entier qui mesure la «proximité de la fin du monde» en minutes avant minuit et qui intègre les risques de guerre nucléaire, changement climatique, IA non contrôlée, etc. En 2024, il a été placé à «90 secondes avant minuit», le plus proche jamais atteint. 

L’impact sur la Tunisie

Je ne suis pas particulièrement superstitieux, mais je ne peux pas ne pas relever la succession de catastrophes internationales depuis cinq ans qui se traduisent par des «chocs extérieurs» subis par la Tunisie : Covid-19 avec récession mondiale, guerre en Ukraine avec flambée du coûts des produits énergétiques et alimentaires, élection de Donald Trump avec imposition de nouveaux droits de douanes supplémentaires de 28% sur le produits tunisiens exportés aux Etats-Unis, et maintenant la guerre entre Israël et l’Iran avec risque d’un embrasement du Moyen-Orient dont la Tunisie fait partie intégrale, si elle n’engendrera pas une troisième guerre mondiale.

Certes, la Tunisie ne serait pas directement impliquée militairement, mais elle subirait des conséquences politiques, économiques et sociales importantes, qui viendront aggraver la récession économique, le chômage et l’inflation qu’elle endure déjà depuis 2011, et réduiront pratiquement à néant les faibles espoirs de reprise de la croissance économique et de la paix sociale.

Même si le président Kaïs Saïed chercherait probablement à maintenir une position de neutralité, toutefois, une pression populaire anti-israélienne pourrait surgir, avec manifestations, voire troubles, en particulier si des images de civils iraniens massacrés circulent massivement.

Sur le plan de la politique interne, la guerre entre Israël et l’Iran pourrait réactiver des de vieux clivages idéologiques : certains mouvements islamistes ou panarabes (comme Ennahdha ou d’anciens milieux nassériens) pourraient exprimer un soutien implicite à l’Iran, vu comme une puissance antisioniste, tandis que d’autres courants pourraient appeler à la modération ou au soutien indirect à Israël, par hostilité à l’axe chiite.

Sur le plan de la politique internationale, un soutien tunisien – même diplomatique – à l’Iran serait immédiatement perçu par Donald Trump comme inacceptable et risque d’être qualifié de «soutien à une puissance terroriste». Avec son tempérament fougueux et imprévisible, il ne se contenterait pas de critiques verbales mais pourrait immédiatement ordonner le gel des aides économiques américaines, l’extension des sanctions financières internationales via la pression américaine sur Fonds monétaire international (FMI) et la Banque Mondiale (BM), ou de nouveaux tarifs douaniers sur les exportations tunisiennes vers les Etats-Unis encore plus élevés que les 28% qu’il a déjà décidé d’instaurer en mars dernier. Pire, il pourrait utiliser son réseau social Social Truth pour s’en prendre personnellement à Kaïs Saïd, en le qualifiant de «sympathisant de l’ennemi» et exercer même des pressions sur ses alliés du Golfe (Arabie Saoudite, Émirats, Qatar) pour qu’ils isolent diplomatiquement et économiquement la Tunisie, davantage qu’elle ne l’est déjà.

Bref, à part les retombées directes et indirectes de la guerre entre l’Iran et Israël, la Tunisie risque de payer cher les affinités présumées de Kais Saïd avec le régime iranien.

Que Dieu nous protège !

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Le chef de l’Etat préside la cérémonie de sortie de la 55e promotion des trois académies militaires

25. Juni 2025 um 07:37

À l’occasion du 69e anniversaire de la création de l’Armée nationale, le président de la République, Kaïs Saïed, a présidé, mardi 24 juin à Fondouk Jedid dans le gouvernorat de Nabeul, la cérémonie de sortie de la 55e promotion des trois académies militaires.

Lors de cette cérémonie, lit-on dans un communiqué, le chef de l’État a échangé avec les parents des nouveaux diplômés, leur souhaitant plein succès et réussite.

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Message d’Abir Moussi depuis sa cellule de la prison de Bulla Regia

Von: Yusra NY
24. Juni 2025 um 22:31

Suite à son transfert vers la prison de Bulla Regia à Jendouba, la présidente du Parti destourien libre (PDL) Abir Moussi a adressé, ce mardi 24 juin 2025, un message à l’opinion publique.

Dans sa lettre, Abir Moussi livre un récit alarmant de son transfert et dénonce des pratiques arbitraires et des conditions de détention inhumaines en affirmant que son transfert a été soudain et sans autre explication ni justification légale.

« Contrairement à mon transfert arbitraire du centre de la Manouba, aucun document ne m’a été présenté cette fois-ci », a-t-elle encore déploré, en ajoutant qu’elle s’est retrouvée dans une cellule vétuste et surpeuplée.

La présidente du PDL considère que cela représente une volonté de la mettre en danger. « Je ne me sens pas en sécurité dans ce lieu … Je vous tiendrai au courant…», a-t-elle encore écrit, réaffirmant toutefois sa volonté à poursuivre son engagement pour les causes justes.

Et d’ajouter « Ne vous inquiétez pas… Je suis une fille du peuple… Je considère cette étape comme une occasion de découvrir, de près, la réalité amère du système carcéral. »

Abir Moussi a aussi demandé à son comité de défense à agir pour garantir sa sécurité et ses droits fondamentaux et s’est enfin adressé aux partisans du PDL pour les remercier pour leur soutien.

Y. N.

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Forum arabe d’Alger : Issam Lahmar présente l’expérience tunisienne en protection sociale

24. Juni 2025 um 21:27

La Tunisie a renforcé son arsenal juridique contre l’exploitation de la main-d’œuvre avec la promulgation d’une nouvelle loi encadrant les contrats de travail et interdisant la sous-traitance dans les secteurs public et privé. C’est ce qu’a annoncé le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar, lors du quatrième Forum arabe pour l’égalité, tenu à Alger.

Le ministre est intervenu mardi lors de la deuxième session, consacrée à « La garantie d’une protection sociale dans le secteur informel », organisée par la Commission économique et sociale des Nations unies pour l’Asie occidentale (CESAO). Il a précisé que la nouvelle législation criminalise désormais le recours à la sous-traitance et interdit les contrats à durée déterminée, sauf pour les emplois saisonniers.

Issam Lahmar a également présenté deux décrets-lois majeurs récemment adoptés par la Tunisie. Le premier porte sur le régime de sécurité sociale des ouvrières agricoles et prévoit la prise en charge, par l’État, des cotisations sociales durant les trois premières années d’activité, sous réserve d’une adhésion obligatoire à la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS). Le second décret concerne les entreprises communautaires, encourageant l’auto-entrepreneuriat et la création de structures spécialisées dans des activités traditionnelles ou innovantes, notamment pour les femmes.

Ces mesures visent à assurer une protection sociale individuelle ou collective et à lutter efficacement contre l’économie informelle. Elles s’inscrivent, selon le ministre, dans la volonté de la Tunisie de combattre toute forme d’exploitation et de trafic de main-d’œuvre.

Le Forum, inauguré par le Premier ministre algérien Nadir Larbaoui, a réuni plusieurs ministres et experts internationaux spécialisés dans la protection sociale et l’économie informelle, soulignant l’importance régionale de ces enjeux.

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Tunis | Affaire de « complot 2 » : L’audience reportée

Von: Yusra NY
24. Juni 2025 um 21:10

La justice a décidé, ce mardi 24 juin 2025, de reporter l’audience de l’affaire de « Complot contre la sûreté de l’État 2 ».

La cinquième chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme près le tribunal de première instance de Tunis a rejeté toutes les demandes de libération en décidant de reporter l’audience au 1ᵉʳ juillet 2025.

Cette affaire, rappelons-le, a été ouverte en mai 2023 et vise plusieurs dirigeants de partis politiques et anciens responsables, à l’instar de Nadia Akacha, ancienne directrice du cabinet du président Kaïs Saïed, Youssef Chahed ancien chef du gouvernement, Rayen Hamzaoui ancien maire d’Ezzahra, Rached Ghannouchi, président du parti islamiste Ennahdha, Rafik Abdessalem, Lotfi Zitoun, Habib Ellouze ou encore d’anciens cadres sécuritaires…

Y. N.

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Kaïs Saïed salue le rôle des forces armées face aux menaces

24. Juni 2025 um 21:00

Le président de la République, Kaïs Saïed, chef suprême des forces armées, a affirmé que l’armée tunisienne constitue un rempart indéfectible contre tous les dangers.

Il a souligné que ce rempart se dresse contre le terrorisme, la contrebande, la migration irrégulière ainsi que toute tentative d’atteinte à l’intégrité du pays.

Dans l’Ordre du jour adressé aux officiers, sous-officiers et soldats, à l’occasion du 69e anniversaire de la création de l’Armée nationale, en présence notamment du ministre de la Défense, des membres du Conseil supérieur des forces armées et de hauts responsables militaires, le chef de l’État a rappelé que, au-delà de sa mission sécuritaire, l’armée a toujours été un soutien constant aux forces de sécurité dans de nombreux domaines.

Il a mis en avant la contribution des militaires à la sécurisation des élections et des examens, à la lutte contre les incendies ainsi qu’aux opérations de secours.

Le président de la République a également salué l’apport du génie militaire à la réalisation, en un temps record, de plusieurs projets, à l’instar de celui de Rjim Maâtoug, qui a permis de transformer des zones arides en espaces verts.

« Cette journée ne suffit pas à retracer toutes les épopées accomplies par nos forces armées en temps de paix, des actions gravées dans la mémoire de chaque citoyen fier d’appartenir à la Tunisie », a-t-il déclaré.

Il a tenu à rendre hommage à tous les martyrs tombés pour la patrie et salué la détermination des soldats et officiers blessés à poursuivre leur mission de défense.

À ce titre, il a évoqué la Fondation Fidaa et l’amendement de la loi qui la régit, soulignant la fidélité du peuple tunisien envers ses martyrs et leurs familles. Il a également insisté sur la nécessité de renforcer les capacités de l’armée à travers l’élaboration de nouveaux textes de loi et le développement de l’industrie militaire nationale.

Kaïs Saïed a précisé que certains projets de lois sont déjà prêts, tandis que d’autres sont en cours de finalisation.

Par ailleurs, il a rappelé que les forces armées tunisiennes participent régulièrement aux missions de maintien de la paix à travers le monde, et ce, depuis les années 1960.

« La patrie est la responsabilité de chacun. Elle est notre maison, notre rempart, notre espoir et notre avenir. Elle incarne le plus haut degré d’honneur », a-t-il conclu.

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La Tunisie et l’Egypte renforcent leur coopération médicale

24. Juni 2025 um 20:42

Les moyens susceptibles de promouvoir la coopération entre la Tunisie et l’Egypte afin de garantir les médicaments et les équipements médicaux ont été au centre d’un entretien, mardi 24 juin, au Caire, entre le ministre de la Santé, Mustapha Ferjani, et le président du Comité égyptien de l’achat unifié, Hichem Stit.

Les deux responsables ont passé en revue les opportunités de coopération entre les deux pays dans les secteurs de l’importation et de la distribution. Ils ont convenu de former une équipe commune afin d’établir la liste des médicaments et des équipements à acquérir en priorité auprès des fournisseurs étrangers à même de renforcer la souveraineté sanitaire et de réduire les coûts, selon un communiqué du ministère de la santé.

Cet entretien s’est déroulé en marge de la participation du ministre de la Santé à l’exposition et au Congrès médical africain Africa « Health ExCon » dans sa 4ème édition, qui se tient du 24 au 27 juin 2025 au Caire.

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