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Gestern — 01. August 2025Haupt-Feeds

Festivals et diffusion illĂ©gales de photos d’enfants | Le ministĂšre rĂ©agit

Von: Yusra NY
01. August 2025 um 21:00

Le ministĂšre de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des personnes ĂągĂ©es a pris des mesures fermes suite Ă  la diffusion illĂ©gales sur les rĂ©seaux sociaux de photos et vidĂ©os d’enfants, capturĂ©es lors de diffĂ©rents festivals.

RelayĂ©es sans autorisation, les images et vidĂ©os Ă©taient accompagnĂ©es de nombreux commentaires dĂ©nigrants et dĂ©gradants, ce qui fait l’objet de signalement ayant retenu l’attention du ministre qui a demandĂ© au dĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral de la protection de l’enfance de saisir le ministĂšre public pour l’ouverture d’une enquĂȘte.

Dans son communiquĂ©, le ministĂšre a soulignĂ© que la protection de l’enfant est une responsabilitĂ© collective, rappelant que la Constitution tunisienne garantit les droits de l’enfant, tout en mettant en garde contre la diffusion d’images de mineurs sans autorisation, une pratique illĂ©gale et contraire au Code de la protection de l’enfant.

Le dĂ©partement de la famille et de l’enfance a par ailleurs lancĂ© un appel aux familles, les encourageant Ă  une utilisation responsable des rĂ©seaux sociaux pour assurer une Ă©ducation Ă©quilibrĂ©e Ă  leurs enfants. Enfin, les mĂ©dias ont aussi Ă©tĂ© appelĂ©s Ă  s’engager activement dans la prĂ©vention des comportements qui portent atteinte aux droits et au bien-ĂȘtre des enfants.

Y. N.

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In memoriam | Il y a un an nous quittait Abdelaziz Barrouhi

22. Juli 2025 um 12:54

Il y a un an, le 21 juillet 2024, mourait le journaliste Abdelaziz Barrouhi, ancien rĂ©dacteur Ă  la la Tap, Reuters et Jeune Afrique. Ses neveux nous ont fait parvenir ce texte oĂč ils rendent un vibrant hommage Ă  cet homme qui «dĂ©fendait le droit de dire, d’écrire, de rĂ©sister — mĂȘme dans le silence imposĂ©.»

Il y a un an, Abdelaziz s’éclipsait en silence, laissant derriĂšre lui une aura de sagesse et d’engagement. Et parce qu’il ne brillait jamais seul, son souvenir s’accompagne naturellement de celui de quatre autres Ă©toiles : Hamda, qu’il appelait avec respect Sidi, Hamida, mĂšre aimante, Ali, pĂšre vaillant appelĂ© Essayid, et Halima, tante vive et lumineuse.

Ils Ă©taient les piliers invisibles d’une vĂ©ritĂ© vĂ©cue. Chacun portait une part de ce que nous sommes devenus.

Hamda, l’oncle aĂźnĂ© noble, portait l’histoire avec calme. Sa parole Ă©tait pleine de racines et ses silences habitĂ©s de profondeur. On l’écoutait comme on lit un poĂšme ancien.

Hamida, notre maman douce et forte, semait en nous des graines de bienveillance et de constance. Elle nous a appris que l’amour est la force la plus subtile et la plus puissante qui soit. Elle nous a aussi transmis la fiertĂ© de compter sur soi, avec foi et dignitĂ©, mĂȘme dans l’adversitĂ©.

Ali, notre pĂšre gĂ©nĂ©reux, marchait humblement, mais Ă©clairait largement. DĂ©fenseur des cƓurs fragiles et des vies discrĂštes, il nous a lĂ©guĂ© le courage de ceux qui refusent l’indiffĂ©rence.

Halima, notre tante au rire franc et au regard vif, incarnait la joie simple et la profondeur cachĂ©e. Bonne vivante au cƓur tendre, elle alliait humour spontanĂ© et sensibilitĂ© sincĂšre. Dans ses Ă©clats de rire rĂ©sonnait une tendresse immense pour les autres — et dans ses gestes, un amour discret mais constant.

Abdelaziz, enfin, l’oncle benjamin, transforma tout cela en rĂ©cits. Son journalisme Ă©tait un acte de vĂ©ritĂ©, un cri doux pour les voix Ă©touffĂ©es. Il croyait profondĂ©ment en une presse libre, indĂ©pendante, et en la dĂ©mocratie comme socle de toute dignitĂ© humaine. Il dĂ©fendait le droit de dire, d’écrire, de rĂ©sister — mĂȘme dans le silence imposĂ©.

Parti en silence
 il faisait du bannissement et de l’exil des rĂ©cits journalistiques plus pĂ©nĂ©trants que la couverture des Ă©vĂ©nements.

Tous les cinq nous ont quittĂ©s entre l’étĂ© et l’automne, ces saisons de bascule et de lumiĂšre particuliĂšre.

L’étĂ©, avec sa chaleur persistante, porte les dĂ©parts comme une braise vive, pleine d’éclat. L’automne, lui, accompagne les absences dans une lente mĂ©tamorphose, oĂč les feuilles tombent comme des souvenirs, et oĂč la lumiĂšre, plus douce, devient mĂ©moire.

À travers lui, leur lumiĂšre s’est intensifiĂ©e. À travers eux, son combat prenait racine. Et Ă  travers nous, leur hĂ©ritage continue de vibrer.

Ce texte n’est pas un adieu. C’est une Ă©toffe de mĂ©moire.

C’est le reflet d’un ciel intĂ©rieur que nous portons  oĂč cinq Ă©toiles brillent sans faiblir, oĂč le passĂ© devient repĂšre, oĂč l’amour devient direction.

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TikTok, bĂȘte noire d’IsraĂ«l et de ses alliĂ©s occidentaux

22. Juli 2025 um 11:25

Des responsables sionistes amĂ©ricains et europĂ©ens craignent l’émergence d’une gĂ©nĂ©ration TikTok **, le cĂ©lĂšbre rĂ©seau social chinois, qui sera moins rĂ©ceptive Ă  la propagande sioniste et moins mallĂ©able Ă  toute manƓuvre de lĂ©gitimation des crimes et exactions israĂ©liens contre les Palestiniens et Ă  la propagande occidentale en gĂ©nĂ©ral. (Ph. TikTok diffuse les vidĂ©os et les images de Gaza qui sont censurĂ©es par les rĂ©seaux sociaux amĂ©ricains comme Facebook et X).

Elyes Kasri *

Les Ă©vĂ©nements de Gaza depuis le fatidique 7 octobre 2023 ont Ă©branlĂ© la mainmise d’IsraĂ«l et des milieux sionistes internationaux sur le narratif et le contrĂŽle de l’information notamment grĂące Ă  la plateforme TikTok qui a rĂ©sistĂ© aux assauts des pouvoirs politiques et financiers prosionistes pour prĂ©senter une vue alternative et plus Ă©quilibrĂ©e des Ă©vĂ©nements Ă  Gaza et en l’occurrence ce que la Cour Internationale de Justice a qualifiĂ© de gĂ©nocide et la Cour PĂ©nale Internationale de crimes de guerre et contre l’humanitĂ© Ă  l’encontre des Palestiniens de Gaza.

Les voix propalestiniennes contournent la censure

Les assauts contre TikTok sous de nombreux prĂ©textes fallacieux de propagande chinoise et de prĂ©servation de la moralitĂ© de la jeunesse se poursuivent aux Etats Unis d’AmĂ©rique et en Europe sous l’incitation insidieuse et acharnĂ©e des organisations juives et sionistes pour bannir la plateforme TikTok ou la faire acheter par des institutions financiĂšres prosionistes et neutraliser ainsi les voix indĂ©pendantes propalestiniennes.

ConsidĂ©rĂ©e comme la plus grande menace Ă  la mainmise sioniste sur l’information et l’opinion publique mondiale, TikTok a fait que d’importants responsables sionistes amĂ©ricains et europĂ©ens ont dĂ©clarĂ© craindre l’émergence d’une gĂ©nĂ©ration TikTok qui sera moins rĂ©ceptive Ă  la propagande sioniste et moins mallĂ©able Ă  toute manƓuvre de lĂ©gitimation des crimes et exactions israĂ©liens contre les Palestiniens et autres peuples arabes de la rĂ©gion qui subissent la folie guerriĂšre et gĂ©nocidaire de l’entitĂ© sioniste et de ses alliĂ©s occidentaux ainsi que ses comparses arabes du Golfe et d’ailleurs.

Les lobbies sionistes sur le pied de guerre

Les motifs hypocrites invoquĂ©s par les membres du congrĂšs amĂ©ricain financĂ©s par la pieuvre sioniste notamment l’Aipac et l’assaut continu du Crif français et autres organisations sionistes europĂ©ennes sous prĂ©texte de prĂ©servation de la moralitĂ© et de protection de la jeunesse ne sont en fait que des tentatives cyniques de faire disparaitre une plateforme qui a Ă©chappĂ© Ă  la censure et au contrĂŽle sionistes sur l’opinion publique mondiale avec pour objectif de maintenir la dĂ©sinformation qui dĂ©guise l’entitĂ© sioniste en agneau au milieu d’une meute de loups arabes et palestiniens sauvages et sanguinaires, assoiffĂ©s de sang juif.

*Ancien ambassadeur.

**TikTok est une application mobile de partage de courtes vidĂ©os crĂ©atives (verticales et de quelques secondes Ă  quelques minutes) et d’images, ainsi qu’un rĂ©seau social basĂ© sur un algorithme de recommandation favorisant la viralitĂ©. DĂ©veloppĂ©e par l’entreprise chinoise ByteDance  et lancĂ©e en 2016 pour le marchĂ© non chinois, elle est devenue en peu de temps un redoutable concurrents pour les rĂ©seaux sociaux amĂ©ricains Facebook et X. 

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Un journaliste sportif français accusé de terrorisme en Algérie

18. Juli 2025 um 08:19

De l’actrice Catherine Deneuve Ă  l’ancien sĂ©lectionneur des Bleus HervĂ© Renard, une centaine de personnalitĂ©s rĂ©clament la libĂ©ration de Christophe Gleizes, journaliste sportif spĂ©cialisĂ© dans le football, condamnĂ© Ă  sept ans de prison en AlgĂ©rie pour «apologie du terrorisme».

Parmi les soutiens Ă  cette initiative, organisĂ©e par un comitĂ© de soutien lancĂ© par Reporters sans frontiĂšres (RSF), figurent l’ancien sĂ©lectionneur de l’équipe algĂ©rienne de football Vahid Halilhodzic, le journaliste sportif HervĂ© Mathoux, l’acteur Gilles Lellouche, le romancier Nicolas Mathieu et la journaliste Anne-Sophie Lapix.

Leurs noms figurent Ă©galement parmi les plus de 17 100 signatures recueillies sur une pĂ©tition de RSF demandant la «libĂ©ration immĂ©diate» du journaliste.

Collaborateur des magazines français So Foot et Society, Christophe Gleizes, 36 ans, a Ă©tĂ© condamnĂ© fin juin Ă  sept ans de prison ferme pour «apologie du terrorisme» et «publications visant Ă  la propagande contre l’intĂ©rĂȘt national».

Alger l’accuse d’avoir Ă©tĂ© en contact avec un dirigeant du club de football de la Jeunesse sportive de Kabylie (JSK), qui est Ă©galement le chef du Mouvement pour l’autodĂ©termination de la Kabylie (MAK), classĂ© organisation terroriste par les autoritĂ©s algĂ©riennes depuis 2021.

I. B.

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Tunisie | DécÚs du journaliste Youssef Oueslati

18. Juli 2025 um 07:49

Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a annoncĂ© le dĂ©cĂšs, ce vendredi 18 juillet 2025, Ă  l’aube, du journaliste Youssef Oueslati, Ă  l’ñge de 60 ans. Il fut l’un de ses membres dirigeants et mena plusieurs combats pour la dĂ©fense de la libertĂ© de la presse et des droits sociaux des journalistes.   

Le dĂ©funt a travaillĂ© pour plusieurs journaux Ă©lectroniques en Tunisie et Ă  l’étranger. Il a Ă©tĂ© rĂ©dacteur en chef du journal ‘‘EchaĂąb’’, organe de l’Union gĂ©nĂ©rale tunisienne du travail (UGTT) et du magazine Ă©lectronique ‘‘Akher Khabar’’. Il s’était distinguĂ© par sa ligne objective et critique envers certaines parties politiques hostiles Ă  la libertĂ© de la presse. Il Ă©tait aussi un fervent dĂ©fenseur de l’indĂ©pendance des journalistes et de leurs droits lĂ©gaux et sociaux.      

I. B.

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Affaire Ghassen Ben Khelifa | La peine de 6 mois confirmĂ©e par la Cour d’appel

Von: Yusra NY
17. Juli 2025 um 19:47

La Cour d’appel de Tunis a confirmĂ© le jugement rendu en premiĂšre instance condamnant le journaliste et rĂ©dacteur en chef du site Inhiyez, Ghassen Ben Khelifa Ă  une peine de six mois de prison.

C’est le concernĂ© lui mĂȘme qui a annoncĂ© la nouvelle, en prĂ©cisant avoir Ă©tĂ© condamnĂ© pour la gestion prĂ©sumĂ©e d’une page Facebook (« El Bourkan Ettounsi Â» ) au contenu « salafiste djihadiste Â», avec laquelle le journaliste et militant de gauche rappelle n’avoir aucun lien.

« Alors que mes avocats et moi-mĂȘme nous attendions Ă  ce que la Cour d’appel prononce un non-lieu, ou du moins allĂšge la peine Ă  une sanction non privative de libertĂ© nous avons Ă©tĂ© surpris par la confirmation du jugement injuste prononcĂ© en premiĂšre instance », a-t-il commentĂ©.

Le journaliste qui nie totalement les accusations de terrorisme le visant, affirme par ailleurs que l’UnitĂ© nationale de recherche sur les crimes terroristes n’avait trouvĂ© aucune preuve incriminante aprĂšs avoir fouillĂ© son ordinateur et son tĂ©lĂ©phone.

Y. N.

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