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Marokko – Landwirtschaft kehrt auf Wachstumskurs zurück

Von: maghreb
22. April 2025 um 17:05

WeizenPositive Wetterbedingungen und strategische Maßnahmen treiben Wertschöpfung im Agrarsektor an. Deutlicher Aufschwung nach schwieriger Saison. 44 Mio. Doppelzentner Getreide erwartet. Meknés – Marokkos Landwirtschaft zeigt nach einem herausfordernden Jahr Anzeichen einer deutlichen Erholung. Wie das marokkanische Ministerium für Landwirtschaft, Seefischerei, ländliche Entwicklung sowie Wasser und Wälder mitteilte, wird für die Agrarsaison 2024–2025 ein Wachstum der […]

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Meurtre d’une jeune femme à Gabès | Huit mandats de dépôt

Von: Yusra NY
21. April 2025 um 23:13

Dans le cadre de l’enquête menée suite au meurtre d’une jeune femme à Gabès, la justice a émis huit mandats de dépôt, ce lundi 21 avril 2025.

Citant une source du tribunal de première instance de Gabès, Mosaïque FM a précisé que parmi les huit individus visés par un mandat de dépôt émis par le juge d’instruction en charge du dossier, on compte la principale suspecte dans cette affaire.

Les six autres suspects ont été remis en liberté provisoire et devront rester à la disposition de la justice, indique encore la même source.

Rappelons que le 16 avril, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) avait annoncé l’arrestation de 14 suspects liés à cette affaire d’homicide volontaire, dont la femme qui mortellement blessé la victime au cou à l’aide d’un couteau, des personnes qui étaient présentes dans la maison au moment des faits ainsi que d’autres individus qui ont aidé la principale suspecte à se cacher.

Y. N.

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De Ramallah à Harvard, la dérive d’un monde dit libre

18. April 2025 um 10:52

Qui aurait cru qu’en 2025, aux États-Unis, les mêmes questions se poseraient qu’à Naplouse en 2001? Étudier ou se taire? Penser librement ou renoncer à son avenir? La folie ne se cache même plus : elle se proclame en tweets, en décrets, en sanctions.

Khémaïs Gharbi

Il y a des souvenirs qu’on préfère enterrer, parce qu’ils nous confrontent à ce que l’humanité a de plus honteux. D’autres, au contraire, qu’il faut réveiller sans relâche, parce qu’ils éclairent sinistrement notre présent. Entre 2000 et 2005, dans les territoires occupés de Cisjordanie, l’armée israélienne avait décrété la fermeture de toutes les écoles et universités palestiniennes. Pendant cinq longues années, des enfants, des jeunes, des professeurs furent condamnés à l’ignorance, sommés de choisir entre soumission ou enseignement. C’était l’ère des checkpoints, des blindés devant les salles de classe, des livres confisqués comme des armes. Le monde, alors, avait regardé ailleurs.

Soumettre la pensée à la peur

Vingt ans plus tard, c’est dans un tout autre décor que l’histoire semble se rejouer. Non pas sous occupation militaire, mais dans le cœur vibrant d’un pays que l’on appelait, il n’y a pas si longtemps encore, le leader du monde libre : les États-Unis d’Amérique.

Oui, vous avez bien lu. En ce mois d’avril 2025, le président Trump a ordonné le gel de 2,2 milliards de dollars de financement fédéral à l’Université Harvard, menacé son statut d’exemption fiscale, et imposé des conditions délirantes pour l’accueil d’étudiants étrangers, au nom d’une croisade politique. Pourquoi ? Parce que Harvard refuse de plier face aux exigences d’un pouvoir qui entend désormais dicter le recrutement, les contenus académiques, les orientations idéologiques des universités américaines. Parce que Harvard, à l’instar d’autres institutions courageuses, a refusé de réprimer un vaste mouvement étudiant dénonçant le génocide à Gaza. Parce qu’en somme, elle a choisi la conscience plutôt que la compromission.

Et ce pouvoir, n’en doutons pas, veut punir. Il veut soumettre la pensée à la peur, l’indépendance intellectuelle à l’orthodoxie politique. Il veut gouverner non seulement les frontières, mais les esprits.

Qui aurait cru qu’en 2025, aux États-Unis, les mêmes questions se poseraient qu’à Naplouse en 2001? Étudier ou se taire? Penser librement ou renoncer à son avenir?

Chute de la «citadelle du monde libre»

La folie ne se cache même plus : elle se proclame en tweets, en décrets, en sanctions. Elle déclare que Harvard «n’est plus un lieu d’enseignement valable». Elle qualifie de «farce» l’une des plus grandes institutions de savoir au monde. Et ce n’est pas un mauvais rêve, c’est bien la réalité. Une réalité où le pouvoir exécutif piétine les fondations mêmes de la démocratie américaine : la liberté d’expression, l’autonomie des universités, le respect du débat.

Ce qui se joue ici dépasse Harvard, dépasse les États-Unis, dépasse même l’enseignement. Ce qui se joue ici, c’est l’avenir d’un monde où l’on pourra encore penser sans être surveillé, enseigner sans être contrôlé, contester sans être puni.

C’est pourquoi il faut le dire sans trembler : ce pays que l’on regardait hier comme un modèle, devient aujourd’hui une parodie. La «citadelle du monde libre» se transforme en laboratoire de l’orthodoxie. Le pays des campus ouverts devient un champ de bataille idéologique.

Alors non, ce n’est pas seulement l’affaire des Américains. C’est l’affaire de tous ceux qui croient encore que la connaissance libère, que la jeunesse éclaire, que l’université est un sanctuaire.

De Ramallah à Harvard, une même ligne de front s’est dessinée : celle de la liberté contre la peur. Et il n’est plus permis de rester silencieux.

Mais puisque nous savons que ce n’est pas un cauchemar, mais une réalité bien palpable, il nous reste à espérer que cette torture de l’esprit prendra fin au prochain bulletin de vote. Car ce pays, grand à tous points de vue, ne doit pas nous faire oublier qu’il traverse une période difficile, lui aussi — et que le peuple américain, fort de son histoire, est capable de se régénérer. Capable de reprendre la place qu’il symbolise pour l’humanité tout entière, à travers cette belle Statue de la Liberté, qui trône encore sur l’île de Manhattan, momentanément dissimulée par un brouillard — un brouillard que l’on espère voir se dissiper, au plus tôt.

* Ecrivain et traducteur.

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La Grande-Bretagne reconnaîtra-t-elle la Palestine en tant qu’État?

16. April 2025 um 08:28

À l’heure où le président français Emmanuel Macron tente de créer une dynamique en Occident pour la reconnaissance d’un État de Palestine, de nombreuses voix s’élèvent parmi les travaillistes britanniques au pouvoir pour que leur pays aille dans ce sens, de manière à marquer une distance par rapport au génocide actuellement perpétré par Israël à Gaza et en Cisjordanie, Israël qui, rappelons-le, fût historiquement une émanation de l’occupation britannique de la Palestine. (Ph. Emily Thornberry).

Imed Bahri

La Grande-Bretagne est à l’origine de la sinistrement célèbre Déclaration de Balfour et le mandat dévoyé qui lui a été délivré par la Société des Nations au lendemain de la Première guerre mondiale pour administrer la Palestine afin de la préparer à l’indépendance s’est achevé par la création d’Israël et depuis le peuple palestinien subit l’occupation et son corollaire fait de déplacement forcé et de massacres à répétition. Le pays qui a causé la tragédie du peuple palestinien va-t-il lui reconnaître enfin son État? 

Patrick Wintour, rédacteur en chef diplomatique du Guardian, a écrit que les députés britanniques issus de la majorité parlementaire travailliste fait pression sur le ministère des Affaires étrangères pour la reconnaissance d’un État palestinien. 

Emily Thornberry, présidente de la commission des Affaires étrangères de la Chambre des communes, a appelé la Grande-Bretagne à se joindre au président français Emmanuel Macron qui annoncé la semaine dernière, en marge de la visite officielle qu’il effectuait en Égypte, que la France pourrait reconnaître la Palestine en tant qu’État lors de la conférence internationale sur la solution à deux États qui se tiendra à New York en juin. Cette conférence sera coprésidée par la France et l’Arabie saoudite. Le président français a formulé le vœu que cet événement soit décisif. 

Agir avant qu’il ne soit trop tard  

Thornberry a déclaré que le moment était venu pour la Grande-Bretagne de reconnaître un État palestinien: «Nous devons le faire avec nos amis et avec la France. De nombreux pays attendent. Si l’Occident n’agissait pas rapidement, il n’y aurait plus de Palestine à reconnaître»

Chris Doyle, président du Conseil pour l’entente arabo-britannique (Caabu), a soutenu cette initiative affirmant qu’elle était attendue depuis longtemps et qu’une action de deux membres permanents du Conseil de sécurité enverrait un message fort à l’ensemble de la communauté internationale. Il a également déclaré que si la Grande-Bretagne n’agissait pas rapidement, son action serait entravée en raison de l’intention d’Israël d’annexer effectivement la Cisjordanie. Cabo bénéficie d’un fort soutien parmi les députés travaillistes dont beaucoup sont en colère contre Israël et ses actions à Gaza. La colère monte également à cause de l’interdiction faite à deux députés travaillistes de se rendre en Cisjordanie.

La position officielle du ministère des Affaires étrangères reste qu’il reconnaîtra la Palestine au moment opportun et avec le plus grand impact mais lorsque David Cameron était ministre des Affaires étrangères, il avait légèrement ajusté cette position lorsqu’il déclara que la Grande-Bretagne devrait attendre la fin du processus politique pour reconnaître un État palestinien. Faisant référence à Israël, il déclara aussi qu’aucun pays ne pouvait utiliser son droit de veto contre la décision de la Grande-Bretagne de reconnaître la Palestine.

Macron a surpris les observateurs la semaine dernière lorsqu’il a exprimé l’espoir que la conférence de juin inciterait un groupe de pays à reconnaître un État palestinien, des déclarations qui ont clairement accru la pression diplomatique sur la Grande-Bretagne pour qu’elle suive l’initiative française.

«Nous devons aller vers la reconnaissance [d’un État palestinien], et nous le ferons dans les prochains mois», a-t-il déclaré au micro de France 5. Il a ajouté, faisant référence à certains États du Golfe dont l’Arabie saoudite: «Je souhaite également participer à une dynamique collective qui permette à tous les défenseurs de la Palestine de reconnaître à leur tour Israël, ce que beaucoup d’entre eux ne font pas».

Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, qui a personnellement accusé Israël de commettre un génocide contre les Palestiniens, a déclaré que l’Arabie saoudite ne reconnaîtrait Israël que dans le cadre d’un accord incluant une voie irréversible vers un État palestinien.

Bien qu’il existe des doutes dans certains cercles britanniques quant à la volonté de Macron de marquer une hostilité à Israël, les liens personnels et politiques entre Keir Starmer et le président français sont forts et il serait difficile pour le ministère des Affaires étrangères britannique de résister à toute forte pression française pour reconnaître la Palestine surtout si elle est considérée comme faisant partie d’un effort de paix entre l’Europe et le Golfe.

L’Irlande, l’Espagne et la Norvège montrent la voie

En mai, la France a choisi de ne pas suivre l’Irlande, l’Espagne et la Norvège en reconnaissant un État palestinien. Actuellement, 148 des 193 États membres de l’Assemblée générale des Nations Unies reconnaissent l’État de Palestine. Aucun pays occidental membre du G20, y compris le Canada, l’Allemagne et l’Italie, n’a encore franchi le pas.

Alors que la Knesset israélienne a voté contre la solution à deux États le mois dernier, le chef de l’opposition Yair Lapid voit une opportunité à moyen terme pour cette solution tant que le Hamas ne fait pas partie du gouvernement.

La décision française pourrait provoquer la colère d’Israël et des États-Unis mais Macron estime qu’une alliance avec les États du Golfe pourrait inciter le président Donald Trump à reconsidérer son soutien au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

Le ministre israélien des Affaires étrangères Gideon Sa’ar a réagi sur les réseaux sociaux en déclarant: «La reconnaissance unilatérale d’un État palestinien fictif récompense le terrorisme et renforce le Hamas»

Face à la réaction négative, Macron, a répondu sur la plateforme X en hébreu affirmant qu’il était victime d’une série d’interprétations sans fondement. Il a déclaré que la position de la France est «Oui à la paix, oui à la sécurité d’Israël, oui à un État palestinien sans le Hamas. Cela nécessite la libération de tous les détenus, un cessez-le-feu durable, la reprise immédiate de l’aide humanitaire et la promotion d’une solution politique à deux États. Il n’y a pas d’autre voie qu’une solution politique. Je soutiens le droit légitime des Palestiniens à un État et à la paix, tout comme je soutiens le droit des Israéliens à vivre en paix et en sécurité tant que les deux États sont reconnus par leurs voisins. La conférence sur la solution à deux États qui se tiendra en juin doit être décisive. Je fais tout mon possible avec nos partenaires pour atteindre cet objectif de paix. Nous en avons désespérément besoin».

Signe de la volonté apparente des États-Unis d’accepter l’annexion de la Cisjordanie, le Sénat américain a voté la semaine dernière pour nommer le pasteur évangélique Mike Huckabee, ancien gouverneur de l’Arkansas, comme ambassadeur des États-Unis en Israël. Huckabee fait référence à la Cisjordanie par ses noms juifs bibliques «Judée et Samarie» et soutient son rattachement à Israël. 

Une injustice historique à réparer

Pendant ce temps, Vincent Fean, l’ancien consul général britannique à Jérusalem, a appelé à la reconnaissance de la Palestine. Dans un article publié samedi dans The Independent. Il a déclaré que reconnaître la Palestine ne signifie pas prendre parti, récompenser le terrorisme ou délégitimer Israël mais plutôt l’égalité et l’application du droit international.

Il a déclaré que la Grande-Bretagne doit être un leader sur cette question et non un suiveur. Il a écrit: «Notre pays porte une responsabilité historique découlant des promesses non tenues de la Déclaration Balfour et de notre mauvaise application du Mandat sur la Palestine jusqu’en 1948. Il y a un besoin urgent: sous Benjamin Netanyahu, Israël s’efforce systématiquement de saper tout espoir de coexistence pacifique de deux États, une politique partisane poursuivie par les gouvernements britanniques successifs. Notre gouvernement a été élu sur la base de son engagement à reconnaître la Palestine et à respecter le droit international, sans crainte ni favoritisme. Nous devons diriger l’Europe et le Commonwealth d’une manière qui soit conforme à nos valeurs et serve nos intérêts nationaux. L’État de droit est dans notre intérêt».

Pour la Grande-Bretagne, il ne s’agit pas seulement d’une question de diplomatie mais aussi de justice et de responsabilité historique. Il y a plus d’un siècle, la Grande-Bretagne et la France ont négocié en secret l’accord Sykes-Picot divisant les provinces arabes de l’Empire ottoman en sphères d’influence. La Grande-Bretagne contrôlait la Palestine en vertu d’un mandat de la Société des Nations avec le devoir déclaré d’aider son peuple à accéder à l’indépendance. En lieu et place de cette indépendance palestinienne, il y a eu la création d’Israël.

Vincent Fean a déclaré que l’Empire britannique a contribué à façonner les frontières du Moyen-Orient moderne pour le meilleur ou pour le pire. Il estime qu’aujourd’hui le gouvernement britannique a désormais l’occasion d’aider les peuples du Moyen-Orient à remodeler leur avenir en menant des efforts pour la création d’un État palestinien.

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Tunisie : Pourquoi la chute des IDE menace l’avenir économique du pays ?

16. April 2025 um 17:47

La Tunisie peine à attirer les investissements directs étrangers (IDE), menaçant ainsi ses ambitions de croissance et de création d’emplois.

Selon un rapport de l’OCDE, ces investissements, pourtant vitaux pour l’économie, stagnent à seulement 1,5 % du PIB en 2022, bien en dessous de la moyenne régionale (2,3 %). Un déclin qui compromet les Objectifs de développement durable (ODD°) et la modernisation du tissu productif.

Une contribution économique forte, mais déséquilibrée

Les entreprises étrangères représentent 3,5 % des sociétés privées mais génèrent 11 % des revenus et emploient 21 % des salariés du secteur formel. Leur poids est particulièrement marqué dans l’industrie manufacturière, où elles fournissent 34 % des emplois privés. Cependant, ces créations d’emplois restent majoritairement concentrées dans des postes peu qualifiés, notamment dans les usines offshore. Seule une minorité d’entreprises étrangères (6,5 %) emploie plus de 200 personnes, contre 2 % pour les entreprises locales.

Une timide diversification vers les secteurs innovants

Si les IDE tunisiens restent dominés par les activités manufacturières à bas coût, certains signes encourageants apparaissent. Les investissements dans les services technologiques, les énergies renouvelables et les métiers scientifiques progressent, offrant des opportunités aux travailleurs qualifiés. Dans les TIC et les services spécialisés, les entreprises étrangères représentent déjà entre 24 % et 44 % de l’emploi. Mais cette évolution reste trop lente pour compenser le recul des investissements traditionnels.

L’urgence de réformes structurelles

Pour inverser la tendance, l’OCDE appelle à une refonte des politiques d’attractivité. La suppression de la distinction entre régimes offshore et onshore, l’ouverture des secteurs services aux capitaux étrangers et un meilleur alignement sur la stratégie Tunisie 2035 figurent parmi les priorités. La future ratification du code des changes pourrait redonner confiance aux investisseurs, à condition qu’elle s’accompagne de mesures fortes pour améliorer la formation professionnelle et simplifier l’environnement des affaires. Sans cela, le pays risque de manquer le virage de l’économie de la connaissance.

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Du nouveau dans l’affaire du meurtre d’un jeune dans le parking de Tunis City

Von: Yusra NY
15. April 2025 um 20:36

L’enquête sur le tragique décès d’un jeune homme survenu le 12 avril dernier dans le parking du centre commercial Tunis City (Ariana) a permis l’arrestation d’un huitième suspect.

Les unités du district de la garde nationale de l’Ariana poursuivent leurs investigations pour faire la lumière sur les circonstances exactes de cette affaire d’homicide volontaire avec préméditation, rappelle la Direction générale de la garde nationale (DGGN) dans un communiqué publié ce mardi 15 avril 2025.

Après une première vague d’arrestations ayant conduit à la mise en détention de sept individus dont l’implication avait été établie, la DGGN a annoncé aujourd’hui l’arrestation d’un huitième suspect qui a été placé en garde à vue, conformément aux procédures légales et en coordination avec le ministère public.

Ce dernier est suspecté d’avoir participé au meurtre et l’enquête se poursuit, indique la même source.

Y. N.

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Marokko – Rückruf von Paprika in Deutschland wegen erhöhter Pestizidwerte

Von: maghreb
26. März 2025 um 09:47

PaprikaDeutsche Behörden nehmen marokkanische Paprika, die über Spanien eingeführt wurden, aus dem Verkehr – Grenzwertüberschreitungen bei Pestizidwerte festgestellt Berlin – Die deutschen Lebensmittelbehörden haben nach Medienberichten eine Charge marokkanischer Paprika aus dem Markt genommen, nachdem bei Routinekontrollen erhöhte Pestizidrückstände festgestellt worden seien. Die betroffene Ware gelangte über Spanien nach Deutschland. Überschreitung der EU-Grenzwerte festgestellt Laut […]

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Orange Cruises Tunisie propose des croisières à bord du MSC Seaside au départ de la Goulette

Un voyage All Inclusive à bord d’un véritable village flottant, avec parc d’attractions, animations et casino: voilà ce que propose Orange Cruises Tunisie à bord du paquebot MSC Seaside à partir du 1er mai 2025.

Orange Cruises Tunisie, membre du groupe maltais Orange Travel group, annonce un programme de croisières pour les Tunisiens à bord du paquebot MSC Seaside à partir du 1er mai et jusqu’au 31 juillet 2025. L’agence de voyage spécialisée dans les croisières depuis 2011 propose un voyage vers des villes italiennes, espagnoles et françaises.

Pendant une semaine (8 jours et 7 nuits), les voyageurs commenceront leur périple le jeudi avec un départ du terminal des croisières de la Goulette. La première escale se fera à Palerme en Italie, suivie d’une deuxième le samedi à Naples. Puis, une troisième escale s’effectuera à Livourne avec une excursion à Florence pour profiter de la beauté de la ville. La quatrième journée, le navire s’arrêtera à Marseille en France pour continuer après vers Barcelone en Espagne. Le mercredi sera une journée en mer pour les croisiéristes avant de revenir le jeudi au port de la Goulette.

Navire Seaside

Oranges Cruises Tunisie promet un voyage plein de découvertes à bord du Seaside. Celui-ci est l’un des navires géants de MSC. Il mesure 323 mètres de long et peut accueillir jusqu’à 5179 passagers. Il dispose de 4 piscines dont une spectaculaire à débordement avec vue sur mer. Les passagers pourront opter pour des cabines intérieures ou extérieures. Il faut toutefois préciser que 70% des cabines disposent de balcons.

Le MSC Seaside se caractérise par son design mélangeant espaces intérieurs et extérieurs pour rester connecter à la mer. Le pont 8 est bordé d’une promenade unique en bord de mer, le long de laquelle s’alignent des lieux où manger, savourer une boisson, faire des achats, nager ou encore prendre un bain de soleil. Les deux passerelles en verre et les ascenseurs panoramiques offrent également de superbes vues. Alliant confort et style, l’hébergement à bord du MSC Seaside propose des suites de luxe avec bains à remous et des cabines communicantes pour les familles et les groupes.

Tarifs

La grille tarifaire commence à partir de 3800 dinars par personne pour la cabine intérieure et 4800 dinars par personne pour la cabine avec balcon. Néanmoins, les familles nombreuses ou les groupes qui voyagent ensemble pourront profiter de tarifs préférentiels sur la deuxième cabine à un prix de 3000 dinars par personne, que ce soit pour la cabine intérieure ou avec balcon.

Restauration  et buffet

Pour les amateurs de gastronomie, ceux-ci auront une variété de choix proposée par les 11 restaurants à bord et 19 bars et lounges pour satisfaire toutes les envies culinaires avec des plats variés et savoureux. Ils pourront de même profiter de la vue spectaculaire sur l’océan pendant les repas.

Divertissement

Le MSC Seaside propose un grand choix de divertissements : un théâtre high-tech, des pistes de bowling, un parc aquatique interactif à plusieurs étages disposant de 5 toboggans aquatiques, un sentier d’aventure et un espace AquaPlay conçu pour les enfants de petits âges. Il dispose également d’aires de jeux colorées pour enfants.

Saloua Bouattour, directrice d’Orange Cruises Tunisie, a expliqué que le prix inclut la croisière en pension complète, les taxes portuaires et les frais des services à bord. Les extras à bord sont les boissons, les excursions, l’internet, le spa, le casino, etc. Elle a déclaré que son agence est actuellement en négociations avec ses partenaires pour offrir l’excursion de Florence lors de l’escale à Livourne gratuitement aux voyageurs tunisiens.

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