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Gestern — 27. Juni 2025Haupt-Feeds

Industrie électronique : le géant japonais IIDA Electronics en prospection en Tunisie

27. Juni 2025 um 16:39

Une délégation de l’entreprise japonaise IIDA Electronics, leader asiatique dans le secteur des services de production électronique, qui a récemment effectué une visite de prospection en Tunisie, a affirmé qu’elle est entrain d’étudier la possibilité d’investissement dans un site de production et de prospecter d’éventuels partenariats avec des acteurs en industrie électronique basés dans le pays.

Cette délégation composée de Takahiro Yamazaki et Astushi Moriyama respectivement Président et Directeur Général de IIDA Electronics, a été accueillie, le jeudi 19 juin 2025, au siège de la FIPA par le directeur général de l’agence, Jalel Tebib.

Les discussions ont porté, d’après un communiqué de la FIPA-Tunisia, sur les atouts et opportunités existants dans le secteur électrique et électroniques en Tunisie.

Tebib a, à cette occasion, mis l’accent sur l’aspect stratégique du secteur en termes de valeur ajoutée et de capacité d’emploi.

Il a rappelé également l’importance et la qualité des investissements japonais en Tunisie, tout en réaffirmant l’engagement de FIPA-Tunisia ainsi que les différentes structures d’appui à accompagner les investisseurs étrangers et les appuyer à mener à bien leurs projets d’investissement en Tunisie.

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Rencontre à la FIPA avec une délégation du constructeur automobile “SEAT”, pour l’identification des opportunités de collaboration

27. Juni 2025 um 11:34

Le renforcement des liens entre le constructeur automobile espagnol “SEAT” et l’écosystème industriel tunisien et l’identification des opportunités de collaboration et d’intégration dans la chaîne de valeur de la marque, a été au centre de la rencontre tenue, à Tunis, entre le Directeur Général de l’Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur et une délégation du constructeur automobile, a annoncé, jeudi, la FIPA.

La délégation est conduite par son vice-Président des achats, Marc Riera Schöngarth, accompagné par Abdellatif Hmam, Anouar Ben Ammar et Habib Lasram, respectivement Président du Conseil d’Administration, Directeur Général et Directeur Général Adjoint d’ENNAKL Automobiles, et distributeur officiel de la marque en Tunisie.

Cette rencontre a permis de “présenter les atouts et opportunités de la Tunisie dans le secteur des composants automobiles, mettant en exergue le vivier de talents disponible en Tunisie, propice à des activités industrielles de haute valeur ajoutée, le cadre règlementaire favorable et l’écosystème industriel riche et diversifié”.

“Plus de 280 entreprises sont actuellement actives dans le secteur des composants automobile en Tunisie, employant de 100 milles collaborateurs. Ces entreprises ont réussi à réaliser un chiffre d’affaires à l’export avoisinant trois milliards d’euros en 2023”, a précisé l’Agence de Promotion de l’Investissement Extérieur.

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AIIB 2025 : la Tunisie en quête de financements chinois pour ses projets d’infrastructure et d’énergie

Von: walid
27. Juni 2025 um 10:40

Des hommes d’affaires et des investisseurs chinois actifs notamment dans les secteurs des énergies alternatives, des mines, des industries pharmaceutiques et chimiques, des infrastructures et de l’eau ont exprimé leur volonté d’élargir leurs activités en Tunisie et de mieux connaître les opportunités d’investissement qu’elle offre.

Ce groupe d’investisseurs a été reçu, à la résidence de l’ambassadeur de Tunisie à Pékin, par le ministre de l’Economie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, en marge de sa participation à la réunion annuelle de la Banque asiatique d’Investissement dans les infrastructures (AIIB), qui s’est tenue du 24 au 26 juin 2025, à Pékin, sous le thème : “La connectivité pour le développement, la coopération pour la prospérité”.

Cette rencontre a permis au ministre de donner un aperçu du climat et des opportunités d’investissement en Tunisie, mettant en exergue les atouts compétitifs du pays, notamment sa position géographique stratégique au sein de l’espace euro-méditerranéen et africain, ainsi que ses ressources humaines hautement qualifiées.

En marge de sa participation à ces réunions, le ministre s’est entretenu avec le vice-ministre des Finances chinois, Liao Min, avec lequel il a convenu de renforcer davantage la coopération tuniso-chinoise dans tous les domaines, notamment économique.

Il a également rencontré le président de la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures, Jin Liqun.

Les discussions ont porté sur les perspectives de renforcement de la coopération financière entre la banque et la Tunisie, ainsi que sur les moyens de tirer parti des mécanismes offerts par l’institution pour le financement de projets de développement, notamment dans des secteurs prioritaires comme les infrastructures, l’eau, le transport et les énergies renouvelables.

Les deux parties ont convenu, à cet effet, d’organiser prochainement une mission technique de la banque en Tunisie afin d’examiner de près les programmes et projets de développement prévus.

Par ailleurs, le ministre s’est entretenu avec le vice-président de l’Agence chinoise de coopération internationale pour le développement, Liu Junfeng, le vice-gouverneur de la Banque chinoise de développement, Wang Pen, ainsi qu’avec Yang Dongning, vice-présidente de la Banque de Chine d´export-import (China Eximbank).

Ces entretiens ont porté sur les moyens de renforcer la coopération et de tirer profit des mécanismes financiers et techniques disponibles au sein de ces institutions afin de soutenir les efforts de développement en Tunisie.

Concernant les rencontres avec le secteur privé, Abdelhafidh a rencontré plusieurs responsables de l’entreprise internationale, « Huawei », notamment son directeur général, Jean Sun.

La réunion a permis d’explorer les opportunités d’élargissement des investissements de l’entreprise en Tunisie.

Créée en 2016, la Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures (AIIB) compte aujourd’hui 110 pays membres.

Il s’agit d’une banque multilatérale de développement dont les activités sont principalement axées sur le financement de projets de développement, en particulier dans le domaine des infrastructures.

La Tunisie en est devenue officiellement membre en 2022.

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Industrie automobile : Yura Corporation double ses effectifs en Tunisie et mise sur Kairouan

25. Juni 2025 um 17:45

Le géant sud-coréen «Yura Corporation», spécialisé dans la fabrication de câbles, fils et faisceaux de câble pour l’industrie automobile, implanté à Kairouan depuis 2007, compte renforcer sa présence en Tunisie, indique, mercredi, la FIPA.

L’Agence a accueilli, récemment, une délégation de cette entreprise sud-coréenne conduite par Kim Jong Gu, Directeur Général de la filiale tunisienne et Lee KangHoon, Business Development Executive Director du Groupe. La délégation a présenté un “programme ambitieux pouvant tripler les capacités d’emploi de ses sites en Tunisie”, .

Employant actuellement plus de 2500 personnes, le groupe envisage d’accroître ce nombre à plus de 5000 d’ici un an, ajoute la même source.

Lors de la réunion, les discussions ont porté, essentiellement, sur les programmes d’extension envisagés par le groupe sud-coréen dans les années à venir, réaffirmant l’intérêt du groupe pour le site tunisien en général et la région du Kairouan en particulier.

De leur côté, les représentants des structures d’appui participantes à la réunion ont affirmé leur engagement à soutenir le développement des activités du groupe, tout en rassurant les membres de la délégation quant à leur disponibilité à les accompagner lors des différentes phases d’extension envisagées, afin de permettre une mise en œuvre plus efficace de ses nouveaux projets d’extension.

Disposant de quatre unités de production implantées à Kairouan, Yura corporation est le fournisseur exclusif de KIA & Hyundai Motor Group de câblage automobile.

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Dette publique allemande : les paiements d’intérêts vont doubler d’ici 2029

25. Juni 2025 um 14:39

Le gouvernement allemand a donné son feu vert au projet de budget pour 2025 et au cadre budgétaire pour 2026, avec des investissements records qui doubleront le montant consacré aux paiements d’intérêts d’ici 2029.

Pour stimuler la croissance après que la plus grande économie d’Europe n’a pas réussi à croître pendant deux années consécutives, les plans comprennent des investissements de 115,7 milliards d’euros (134 milliards de dollars) en 2025 et 123,6 milliards d’euros en 2026, contre 74,5 milliards d’euros en 2024.

« D’ici 2029, nous augmenterons les investissements annuels du gouvernement fédéral à près de 120 milliards d’euros par an », a déclaré mardi 24 juin le ministre des Finances, Lars Klingbeil.

Toutefois, les paiements d’intérêts sur la dette augmenteront également rapidement, doublant de 30 milliards à 52,5 milliards d’euros en 2028 et 61,9 milliards d’euros en 2029, selon le vice-ministre des Finances, Stephen Meyer. En 2029, les paiements d’intérêts représenteront près de 10% du budget de 573,8 milliards d’euros.

Selon les données du Fonds monétaire international, l’Allemagne dépense toujours moins en intérêts de la dette en pourcentage du PIB que d’autres grandes économies européennes, comme la France, la Grande-Bretagne et l’Italie, et malgré l’augmentation prévue, cette tendance devrait se poursuivre.

Le plan budgétaire 2025 comprend également le plan budgétaire à moyen terme jusqu’en 2029, qui montre que l’Allemagne augmentera ses dépenses de défense à 3,5% de la production économique d’ici 2029, financées par un programme d’emprunt de près de 400 milliards d’euros.

Augmentation des dépenses de défense à 162 milliards d’euros

Les dépenses totales de défense de l’Allemagne passeront de 95 milliards d’euros dans le plan budgétaire 2025 à 162 milliards d’euros dans celui de 2029. Cette augmentation des investissements sera rendue possible grâce à un fonds spécial d’infrastructures de 500 milliards d’euros et à une exemption des règles d’endettement pour les dépenses de défense approuvées en mars.

« Avec ce budget et le fonds d’investissement de 500 milliards d’euros, nous mettons en œuvre ce dont nous avons besoin aujourd’hui pour garantir une nouvelle force économique, rendre notre pays moderne et prêt pour l’avenir et permettre une vie sûre en Allemagne aujourd’hui et à l’avenir », a défendu Klingbeil.

De 2025 à 2029, l’Allemagne empruntera un total de 500 milliards d’euros pour ses budgets, tandis que 270 milliards d’euros supplémentaires seront empruntés via le fonds d’infrastructures, selon le projet de budget et le plan budgétaire à moyen terme.

En ajoutant les fonds qui seront empruntés dans un fonds de défense créé par le gouvernement précédent lorsque la Russie a envahi l’Ukraine en 2022, le total des emprunts sur la période de cinq ans s’élèvera à 847 milliards d’euros.

Après l’effondrement de la coalition de l’ancien chancelier Olaf Scholz en novembre, le dernier gouvernement n’a pas réussi à faire adopter le budget 2025. L’Allemagne fonctionne avec un budget temporaire depuis le début de l’année.

La commission du budget finalisera les détails du budget 2025 en septembre, date à laquelle il devra être approuvé par les législateurs.

Le premier projet de budget 2026 devrait être approuvé le 30 juillet. Il sera débattu au Parlement en septembre puis approuvé par la Chambre basse en novembre et la Chambre haute en décembre, selon le calendrier habituel.

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Banque et climat : Amen Bank mise sur le vert

25. Juni 2025 um 10:50

Depuis la signature de l’Accord de Paris de 2015, qui a appelé à aligner les flux financiers avec les objectifs climatiques, la mobilisation du secteur financier, toutes composantes incluses, et les régulateurs de la finance ont multiplié les initiatives pour l’accompagnement et le financement des projets prenant en compte les impératifs climatiques et environnementaux.

L’Amen Banque s’est intégrée dans cette mouvance depuis 2009 incluant les risques climatiques dans ses projets de financement et d’accompagnement des entreprises avec une première ligne de financement provenant de la banque mondiale suivie ensuite de la ligne de crédit Prasoc et du programme de subvention Power Tunisie.

ADAPT : un levier vert pour les entreprises privées

Le lundi 23 juin, Amen Bank a mis en avant son rôle clé dans la transition climatique, dévoilant sa vision et ses réalisations, avec un engagement financier de 323 millions de dinars, incluant 179 millions dédiés à soutenir 53 projets innovants.

Des programmes dont ADAPT (Appui à la Durabilité des Activités Productives) dotés de 25 millions d’euros, dédiés à la transition écologique. Destinée aux opérateurs privés, cette initiative vise à promouvoir des systèmes de production durables dans des secteurs clés comme l’agriculture, la pêche artisanale et l’aquaculture.

Une réponse concrète à l’urgence environnementale

L’initiative ADAPT s’inscrit dans une conjoncture marquée par l’urgence climatique, la dégradation des ressources naturelles et la nécessité d’une transition vers une économie plus résiliente. Pour Seifeddine Radhouani, responsable de la direction « Green Finance », l’enjeu est clair : “les banques ne peuvent plus se contenter d’être de simples pourvoyeuses de capitaux. Elles doivent devenir des actrices du changement, en orientant l’investissement vers des modèles vertueux“.

Un dispositif incitatif et accessible

Le programme ADAPT répond à cette exigence. Il s’adresse aux entreprises et aux entrepreneurs dans des filières à fort impact écologique et économique, avec pour objectif de les inciter à adopter des pratiques durables et innovantes. Le programme permet de financer une large palette de dépenses, allant de l’achat de matériel et d’équipements, à l’acquisition ou à la rénovation d’infrastructures, en passant par les services immatériels (études techniques, accompagnement, conseil).

« Les banques ne peuvent plus se contenter d’être de simples pourvoyeuses de capitaux. Elles doivent devenir des actrices du changement, en orientant les investissements vers des modèles vertueux. »

 

Les fonds peuvent également couvrir une partie du fonds de roulement des projets. La subvention accordée varie entre 3 000 € et 70 000 €, et peut représenter jusqu’à 16 % du total des financements éligibles. Cette aide est combinée à un crédit bancaire à un taux d’intérêt fixe rendant l’ensemble attractif pour les opérateurs cherchant à moderniser leurs pratiques sans mettre en péril leur équilibre financier. “Nous avons voulu créer un dispositif accessible, clair, et qui donne une vraie impulsion. L’idée est de lever les freins à l’investissement vert”.

Alignement avec les objectifs de développement durable

Le programme ADAPT en partenariat avec des bailleurs internationaux et des institutions de développement s’inscrit dans un cadre plus large d’initiatives visant à aligner le système financier tunisien sur les objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations Unies et les engagements pris lors des conférences sur le climat.

Agir localement pour transformer durablement

L’un des objectifs défendus par l’Amen Bank est d’ancrer la transition écologique dans les territoires ruraux et côtiers, en favorisant l’émergence de projets économiquement viables et socialement inclusifs. Dans de nombreuses régions, les filières ciblées représentent les principales sources de revenus pour les populations locales. Leur transformation durable est donc essentielle pour garantir la sécurité alimentaire, la protection des écosystèmes et le maintien de l’emploi. La banque identifie les porteurs de projets, les accompagne dans le montage de leurs dossiers et assure la gestion des fonds délégués. Cette approche permet d’instaurer un climat de confiance entre les acteurs économiques, la banque et les institutions internationales.

Des projets concrets pour des territoires vivants

Un projet de conversion d’une exploitation agricole conventionnelle en ferme agroécologique peut bénéficier d’un financement ADAPT pour l’achat de composteurs, la mise en place d’un système d’irrigation économique en eau, ou encore la formation des équipes. De même, une coopérative de pêche artisanale pourra être soutenue dans l’acquisition d’équipements moins polluants, ou le développement d’activités touristiques responsables en lien avec la mer. “Ce que nous voulons, c’est que des projets concrets voient le jour, qu’ils améliorent la vie des gens, et qu’ils montrent que l’économie verte n’est pas un luxe mais une nécessité“.

« L’économie verte n’est pas un luxe. C’est une nécessité absolue pour préserver nos ressources, garantir la sécurité alimentaire et assurer un avenir aux prochaines générations. »

 

Le programme ADAPT est ouvert jusqu’au 31 mars 2028, ce qui laisse plusieurs années aux opérateurs économiques pour se saisir de cette opportunité. Néanmoins, l’Amen Bank invite les candidats à ne pas attendre : la procédure de sélection des projets est rigoureuse, et les fonds seront accordés au fil de l’eau. Des campagnes d’information sont d’ores et déjà en cours, à travers les agences régionales de la banque, des séminaires de sensibilisation et la mise en ligne d’un portail dédié. Un dispositif d’accompagnement technique est également prévu, avec des experts mobilisables pour aider les entreprises à structurer leur démarche.

Œuvrer à la souveraineté énergétique !

Lorsqu’un pays dépend à hauteur de 70% sur le plan énergétique d’un autre pays, il est normal que ses institutions financières s’engagent dans le financement des projets d’énergies renouvelables. Amen Bank se positionne, depuis 2014, comme un acteur clé de l’accompagnement à la transition énergétique. À travers sa Banque d’Affaires, elle offre une gamme complète de services de conseil et de financement, adaptés aux besoins des entreprises engagées dans des projets durables.

« La transition n’est plus un choix ; elle est un impératif. C’est pourquoi Amen Bank s’engage avec méthode et ambition dans une stratégie bas-carbone cohérente. »

 

Un accompagnement stratégique et financier sur mesure

Amen Bank a mobilisé une équipe pluridisciplinaire (ingénieurs, analystes, conseillers techniques…) pour accompagner ses clients à chaque étape de leur projet. Elle offre  des conseils stratégiques, une optimisation fiscale, des restructurations financières, des études de rentabilité et d’évaluation des risques environnementaux et sociaux, un montage financier et des solutions de financement adaptées, incluant l’optimisation de la structure de capital (ratio d’endettement, syndication de crédits, ouverture du capital) ainsi que l’élaboration de business plans et de plans d’investissement/financement.

Vers une stratégie bas-carbone cohérente

Amen Bank propose un suivi technique à la décarbonation à travers l’analyse des émissions de gaz à effet de serre (GES), la mise en place de stratégies de réduction des émissions ainsi que le suivi de l’impact climatique et économique des projets.

En 2024, la banque a rejoint le Partnership for Carbon Accounting Financials (PCAF) afin de mesurer ses émissions financées, qui représentent l’essentiel de son empreinte carbone. Le bilan carbone Scopes 1, 2 et 3 a été finalisé au 1er semestre 2025, avec un calcul en cours des émissions financées selon les normes PCAF.

Alors que les défis climatiques s’intensifient, l’engagement pragmatique et visionnaire de l’Amen Bank a décidé de suivre une trajectoire crédible vers une économie verte, résiliente et souveraine. La transition n’est plus un choix ; elle est un impératif. Amen Bank l’a compris, a vu et a agit.

Amel Belhadj Ali

Chiffres clés

  • 323 MD — Engagement financier global d’Amen Bank pour soutenir des projets durables.
  • 179 MD — Montant destiné à financer 53 projets innovants.
  • 25 M€ — Budget du programme ADAPT pour la transition écologique.
  • 70 000 € — Montant maximal de la subvention par projet ADAPT.
  • 31 mars 2028 — Date limite pour déposer un projet au programme ADAPT.

 

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Tunisie–Afrique : Plus de 1000 rencontres B2B au cœur des Africa Business Partnership Days 2025

23. Juni 2025 um 17:46

“La Tunisie croit profondément en une Afrique intégrée, forte et connectée”, a indiqué le Président directeur général du Centre de promotion des exportations (CEPEX), Mourad Ben Hassine , estimant que les “échanges interafricains ne sont plus un choix mais une nécessite stratégique “.

Intervenant lors de l’ouverture de la 1ère édition des journées “Africa business partnership days 2025 “, qui se tiennent du 23 au 25 juin 2025, Ben Hassine a souligné que la Tunisie peut avancer avec ses partenaires africains pour saisir les opportunités et le potentiel du continent africain.

L’objectif, a -t-il dit, est de jouer ensemble un rôle clé dans l’économie mondiale et créer des passerelles avec l’Asie et l’Europe, afin d’attirer des investissements au bénéficie du continent africain.

Ben Hassine a, dans ce cadre rappelle, que les échanges commerciaux intra africains ont enregistre une légère baisse.

Ainsi, en comparaison aux années 2022 et 2023, les échanges commerciaux entre la Tunisie et les pays de l’Afrique subsaharienne ont enregistré une légère baisse, passant de 2 milliards de dinars, à 1, 650 milliard de dinars, en 2024, avec des recettes d’ exportations de plus de 1,2 milliard de dinars, contre des importations de moins de 400 millions de dinars (MD).

Ben Hassine a souligné que le CEPEX dispose d’un programme ciblant plusieurs marchés africains afin de promouvoir les échanges commerciaux de la Tunisie avec les pays de l’Afrique subsaharienne qui sont de seulement 15%, contre des échanges représentant 60% avec les pays de l’Europe, 50% avec les pays d’Asie, et 40% avec les pays d’Amérique du Nord.

Il a rappelé que cette 1ére édition a ciblé 13 marchés africains, à avoir la Tunisie, l’Ouganda, le Congo-Brazzaville, le Ghana, le Gabon, la Guinée, le Burkina Faso, le Kenya, la République démocratique du Congo, la Mauritanie, le Sénégal, le Togo et la Côte d’Ivoire.

Ben Hassine a fait savoir qu’un nouveau partenariat sera signé entre le CEPEX et le centre Côte d’Ivoire Export. Ce partenariat cible l’échange des informations, la réalisation des rencontres professionnelles bilatérales directes entre les deux pays, quelques projets pilotes ciblés, à travers le développement des plateformes numériques d’échange d’information sur les produits et services échangés.

Pour sa part, le ministre du Commerce et du développement des exportations, Samir ABID a mis l’accent sur l’importance de cette manifestation qui renforce l’échange intra-africaine et concrétise la vision vers la complémentarité africaine.

Le ministre a également rappelé que le tissu économique des pays africains est constitué principalement de très petites et de moyennes entreprises, appelant à l’importance d’échanger l’expertise et l’expérience des grandes entreprises avec les TPE et les PME pour garantir leur pérennité, notamment à travers ce genre de manifestations qui doivent être périodiques et intensifiées.

De son côté, le Président de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), Samir Majoul a souligné que la valeur des échanges tuniso-africains est encourageante, mais reste, toutefois, très en-deçà du potentiel réel.

“La tendance est clairement à la hausse. Mais il nous faut aller plus loin, plus vite, et plus fort. Nous devons lever les obstacles logistiques, améliorer nos infrastructures de transport, faciliter la mobilité des hommes d’affaires, harmoniser nos réglementations, digitaliser nos procédures, et investir ensemble dans des projets structurants, intégrateurs, portés par des synergies régionales”, a -t-il poursuivi.

Selon Majoul, l’avenir de l’Afrique qui est un terrain de co création, un espace de valeur ajoutée, un pôle d’innovation et de savoir-faire, se construira à travers des partenariats équilibrés entre les secteurs public et privé.

Le président de l’organisation patronale a également rappelé que l’UTICA agit aux fins de multiplier les rencontres B2B, les forums économiques et les missions croisées, de promouvoir le transfert de compétences et de technologies, soutenir la montée en qualité et la résilience des PME, notamment dans les chaînes de valeur régionales, et d’accompagner les femmes et les jeunes entrepreneurs, qui seront les leaders de demain.

Pour sa part, la Présidente de la Fédération des femmes entrepreneures et femme d’affaires de la CEDEAO (Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest), Candile Leguede a souligné l’importance du rôle des femmes entrepreneures dans l’économie mondiale et notamment en Afrique, car ces sont les femmes qui inaugurent de nouveaux créneaux et qui investissent, d’où l’importance de les intégrer dans le processus d’exportation.

Toutefois, le problème est que la plupart des femmes en Afrique opèrent dans l’informel, d’où l’importance d’essayer de les introduire dans le circuit formel ou de les préparer à l’exportation, même si elles ne peuvent pas exporter en tant que grandes entreprises, a-t-elle encore fait savoir.

Selon Leguede, l’idée est de faire participer les femmes entrepreneures à la chaine de valeur d’exportation, à travers la fourniture des intrants et de produits de qualité aux grandes entreprises exportatrices.

La 1ère édition de « Africa business partnership days 2025 », a enregistré la participation de plus de 90 entreprises tunisiennes représentées par plus de 100 participants, et 30 opérateurs économiques venus de tous ces pays, en plus de 5 institutions d’appui dans l’Afrique subsaharienne, lesquels sont venus pour tisser un réseau de partenariat, avec au programme comprenant plus de 1000 rencontres B to B entre les entreprises tunisiennes et africaines.

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IDE mondiaux en chute libre : les flux vers les pays en développement au plus bas depuis 2005

Von: walid
23. Juni 2025 um 10:15

Les flux d’IDE vers les économies en développement ont atteint leur niveau le plus bas depuis 2005, sur fond de hausse des obstacles au commerce et à l’investissement, selon une nouvelle étude de la Banque mondiale publiée récemment.

« Ces obstacles mettent gravement en péril les efforts déployés à l’échelle mondiale pour mobiliser des financements en faveur du développement », soulignent les auteurs du rapport.

Et de rappeler qu’en 2023, dernière année pour laquelle des données sont disponibles, les économies en développement n’ont reçu que 435 milliards de dollars d’IDE, soit le niveau le plus bas depuis 2005.

Cette même tendance à la baisse des flux d’IDE a été enregistrée vers les économies à revenu élevé, qui ont également chuté à un niveau sans précédent depuis 1996, pour s’établir à 336 milliards de dollars en 2023.

Les flux d’IDE vers les économies en développement ne représentaient en 2023 que 2,3 % du PIB, soit environ la moitié de leur niveau record en 2008, précise le document.

Pour Indermit Gill, économiste en chef et premier vice-président du Groupe de la Banque mondiale, cette situation est le résultat de choix de politique publique.

« Ce n’est pas une coïncidence si les IDE tombent au plus bas alors que la dette publique, elle, grimpe à des niveaux records. L’investissement privé devra désormais relancer la croissance économique, et il se trouve que les IDE sont l’une des formes d’investissement privé les plus productives. Or, ces dernières années, les gouvernements se sont employés à Il y a lieu de rappeler que la ville de Séville (Espagne) accueillera, du 30 juin au 3 juillet, la 4ᵉ Conférence internationale sur le financement du développement (FFD4). Représentants de gouvernements, d’institutions internationales, d’organisations de la société civile et du secteur privé se réuniront pour se pencher sur les moyens de mobiliser les financements nécessaires à la réalisation des principaux objectifs de développement mondiaux et nationaux.

Selon le nouveau rapport de la Banque mondiale qui présente les politiques à mettre en œuvre pour atteindre ces objectifs, l’assouplissement des restrictions à l’investissement constituera à cet égard une première étape indispensable.

« La moitié de toutes les mesures liées aux IDE annoncées depuis le début de cette année par les gouvernements des économies en développement ont consisté en des restrictions, une proportion jamais atteinte depuis 2010 », rappelle le rapport.

Selon Ayhan Kose, économiste en chef adjoint du Groupe de la Banque mondiale et directeur de la cellule Perspectives, à  l’approche de la Conférence sur le financement du développement, la forte baisse des IDE vers les économies en développement devrait sonner l’alarme pour la communauté internationale.

« Il est indispensable de mettre fin à ce ralentissement, non seulement parce que c’est une nécessité économique, mais aussi parce que c’est essentiel pour créer des emplois, instaurer une croissance soutenue et plus largement réaliser les objectifs de développement », souligne Kose, ajoutant que cela passera à la fois par des réformes nationales qui amélioreront le climat des affaires et par une coopération mondiale résolue qui permettra de relancer les investissements transfrontaliers. »

En 2023, les IDE représentaient environ la moitié des financements extérieurs reçus par les économies en développement.

Selon l’étude, ils (IDE) peuvent agir comme un puissant moteur de croissance économique : l’analyse des données de 74 économies en développement entre 1995 et 2019 montre qu’une augmentation de 10 % des flux d’IDE entraîne une augmentation de 0,3 % du PIB réel après trois ans. Et cet impact est même près de trois fois plus élevé, pour atteindre jusqu’à 0,8 %, dans les pays possédant des institutions plus solides, un meilleur capital humain, une plus grande ouverture au commerce et un secteur informel moins prépondérant. De même, l’incidence de la hausse des IDE est bien moindre dans les pays qui ne présentent pas ces caractéristiques.

Selon les données publiées par l’Agence de promotion de l’investissement extérieur (FIPA-Tunisia), les investissements directs étrangers se sont établis à 3200 millions de dinars pour toute l’année 2024, soit une augmentation de 26% par rapport à 2023.

Les IDE se sont établis à 760 MD pour le premier trimestre de 2025 en hausse de 25% par rapport à la même période de 2024, ce qui confirme, selon la FIPA, la tendance haussière de ces investissements et un intérêt croissant pour le site Tunisie de la part de plusieurs nationalités.

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Tarak Cherif : La confiance, levier central pour attirer les investissements en Tunisie

Von: walid
21. Juni 2025 um 10:46

«La confiance c’est le facteur qui influence le plus la décision d’investissement, d’où l’importance de capitaliser sur les investissements déjà implantés dans le pays pour faire parler du site Tunisie et attirer de nouveaux investissements » a souligné, vendredi, le Président du réseau ANIMA, Tarak Cherif.

Dans une déclaration aux médias en marge de la cérémonie du 30ème anniversaire de l’agence de promotion de l’investissement extérieur Fipa Tunisia, organisée vendredi, à Tunis, Cherif qui est aussi fondateur de la deuxième organisation patronale du pays CONECT, a souligné l’impératif d’une adaptation continue du climat des affaires national aux nouveaux besoins des investisseurs, aux évolutions technologiques, et à la montée de la concurrence à l’échelle internationale ».

Il a également mis l’accent sur la nécessité de moderniser l’administration pour accélérer le traitement les exigences des investisseurs -le facteur temps étant primordial dans le monde des affaires- et d’adapter les législations ( fiscalité , foncier…) aux exigences d’investissement.

Il a, en outre, recommandé de réfléchir sur les meilleurs moyens d’attirer les investissements de la Diaspora tunisienne.

S’exprimant lors de la cérémonie, Cherif a déclaré « les Nations Unies viennent de publier les chiffres de l’investissement étranger dans le monde pour 2024 et j’y vois de bonnes nouvelles. Alors que les investissements diminuent en Asie et un peu partout dans le monde, l’Afrique du Nord est l’une des rares régions qui enregistrent une croissance importante des IDE. La Tunisie ne fait pas exception puisque nous avons en 2024 retrouvé des niveaux d’investissement étranger supérieurs à 2019, avant le Covid ».

« Le rapport annonce aussi un boom des nouvelles implantations (greenfield) en Tunisie avec des annonces qui totalisent 13 milliards de dollars »

Soulignant les efforts déployés par le réseau ANIMA pour favoriser l’investissement dans les pays où il opère, dont la Tunisie, Cherif a déclaré « Nous venons d’adopter ce matin la stratégie d’ANIMA pour les années à venir. Elle vise à renforcer encore l’intégration économique de la région autour du bassin méditerranée et elle est aussi centrée sur les grands défis pour nos entreprises au Maghreb à savoir la transition environnementale, notamment pour accéder au marché européen, la transition digitale, et les défis de l’intelligence artificielle dans la production notamment, et l’innovation »

ANIMA, organisation créée il y a 19 ans, est un grand réseau international qui associe les organisations publiques et privées qui accompagnent les investissements et les entreprises entre l’Europe, l’Afrique et le Moyen Orient.

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Les investissements étrangers en Tunisie poursuivent leur envolée

20. Juni 2025 um 20:01

Les investissements étrangers directs (IED) en Tunisie ont atteint 3,2 milliards de dinars en 2024, marquant une progression notable de 26 % par rapport à l’année précédente.

C’est ce qu’a annoncé Jalel Tebib, directeur général de l’Agence de promotion de l’investissement extérieur (FIPA), en marge des célébrations du trentième anniversaire de l’agence, tenues vendredi après-midi à Gammarth, dans la banlieue nord de Tunis.

Ce dynamisme semble se poursuivre en 2025. Selon le responsable, les IED ont totalisé 760 millions de dinars durant le premier trimestre de l’année en cours, soit une hausse de 25 % par rapport à la même période en 2024. Pour Jalel Tebib, ces chiffres confirment « la tendance haussière des investissements et l’intérêt croissant des investisseurs internationaux pour la Tunisie ».

Confiant, il estime que la Tunisie pourrait attirer entre 6 et 8 milliards de dinars d’investissements étrangers dans les années à venir, à condition de réunir les efforts pour améliorer le climat des affaires et renforcer l’attractivité du pays. « Ce n’est pas un excès d’optimisme, mais une conviction fondée sur les acquis du pays et la compétence de ses ressources humaines », a-t-il affirmé.

Toutefois, il a souligné que la réalisation de ces ambitions reste tributaire de la capacité à relever plusieurs défis, dont la concurrence internationale, les avancées technologiques, ainsi que la nécessité d’adapter et de moderniser continuellement le cadre législatif.

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Tunisie : les investissements étrangers atteignent 3200 MD en 2024, une dynamique en progression

20. Juni 2025 um 17:00

Les investissements directs étrangers se sont établis à 3200 millions de dinars pour toute l’année 2024, soit une augmentation de 26% par rapport à 2023 a fait savoir, le directeur général de l’Agence de promotion de l’investissement extérieur “FIPA-Tunisia”, Jalel Tebib.

Le responsable, qui s’adressait aux médias, en marge de la cérémonie du 30ème anniversaire de la FIPA, organisée vendredi après-midi à Gamarth (banlieue nord de la capitale Tunis), a également indiqué que les IDE se sont établis à 760 MD pour le premier trimestre de 2025 en hausse de 25% par rapport à la même période de 2024, ce qui confirme selon lui la tendance haussière de ces investissements et un intérêt croissant pour le site Tunisie de la part de plusieurs nationalités d’investisseurs.

Le responsable s’est dit optimiste quant à l’avenir des IDE en Tunisie, estimant que le pays pourrait attirer des investissements de l’ordre de 6000 MD voire 8000 MD dans les années à venir, si tous les efforts sont conjugués pour améliorer davantage le climat des affaires et réunir les conditions de réussite pour les entreprises qui s’installent en Tunisie.

“Il ne s’agit pas d’un optimisme démesuré” a-t-il affirmé, mais “d’une confiance dans les atouts du pays et dans ses compétences . Mais atteindre ces chiffres reste aussi conditionné par la capacité de faire face à certains défis dont la concurrence d’autres pays, les évolutions technologiques, le besoin continu d’adapter et de moderniser les législations… “.

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Forum de Saint-Pétersbourg : la Tunisie présente ses atouts d’investissement aux acteurs russes

20. Juni 2025 um 13:45

Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh s’est entretenu, les 18 et 19 juin 2025 à l’occasion de la 28ème édition du Forum international à Saint-Pétersbourg, en Russie, avec le ministre du Commerce à la Commission économique eurasiatique, M. Andrey Slepnev, le président du Conseil des affaires russes, M.Rubik Alexay, et le président de la Chambre de commerce et d’industrie de Saint-Pétersbourg Vladimir Katenev, qui ont mis en relief le nombre d’opportunités visant à consolider les relations économiques bilatérales.

Les responsables russes ont exprimé, à cette occasion, leur intérêt pour la Tunisie en tant qu’espace fournissant de nombreux avantages pour l’investissement, ainsi que pour établir des partenariats fructueux dans de nombreux domaines.

Les réunions, ont représenté une opportunité au cours de laquelle Samir Abdelhafidh a loué les relations entre la Tunisie et la République fédérale de Russie et le développement réalisé dans de nombreux domaines.

Le ministre a, dans ce contexte, souligné les perspectives prometteuses et les opportunités disponibles pour renforcer davantage les relations économiques, en particulier au niveau des échanges commerciaux et de l’investissement, mettant en exergue les avantages que compte la Tunisie, notamment sa situation géographique dans l’espace euro-méditerranéen et africain, en plus de la compétence de ses ressources humaines.

Le ministre a souligné l’importance de consolider la coopération entre les structures du secteur privé des deux parties à travers l’intensification des réunions et des manifestations promotionnelles ainsi que la préparation des structures publiques tunisiennes, notamment celles concernées par l’investissement,  tout en assurant un soutien et un accompagnement aux hommes d’affaires et institutions russes désirant lancer des projets en Tunisie ou établir des relations commerciales.

 

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Tunisie – Oman : vers un partenariat stratégique dans l’industrie, l’agriculture et les énergies renouvelables

20. Juni 2025 um 12:38

Des responsables de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (UTICA) et une délégation du ministère omanais du Commerce et de l’Industrie ont discuté des préparatifs de la visite du ministre omanais de l’Industrie et de la Promotion de l’investissement en Tunisie prévue en septembre 2025.

La réunion, tenue, jeudi dernier à Tunis, présidée par Samir Majoul,  président de l’Organisation Patronale, en présence d’une délégation officielle du Sultanat d’Oman, conduite par le sous-secrétaire du ministère du Commerce et de l’Industrie, Salah Mousen a évoqué la possibilité d’organiser un forum d’affaires et des réunions bilatérales qui rassemblent les chefs d’entreprises des deux pays dans des secteurs prioritaires.

Les deux parties ont examiné les relations historiques distinguées entre la Tunisie et le Sultanat d’Oman, notamment, estimant toutefois que le niveau des échanges commerciaux reste encore en deçà des capacités des deux parties.

La réunion a abordé l’importance d’élever ces relations au niveau de partenariat réel et stratégique, en particulier à la lumière des incitations que le Sultanat offre aux investisseurs étrangers, et les compétences et progrès dont la Tunisie bénéficie dans de nombreux secteurs.

La réunion a également discuté des opportunités de coopération et d’intégration entre la Tunisie et le Sultanat d’Oman dans les domaines des industries pharmaceutiques, des énergies renouvelables et de l’agriculture, ainsi que des moyens de surmonter les défis logistiques et de stimuler les échanges, tout en soulignant l’importance d’exploiter le positionnement de la Tunisie et du Sultanat pour conquérir des marchés prometteurs.

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La Tunisie capte l’attention des investisseurs : forte hausse des IDE et projets massifs en 2024

Von: walid
20. Juni 2025 um 10:47

En 2024, les Investissements Directs Etrangers (IDE) en Tunisie ont augmenté de 21 % par rapport à 2023, pour atteindre 936 millions de dollars, selon le dernier Rapport sur l’investissement dans le monde publié, jeudi, par la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED).

Avec l’Egypte, la Tunisie a contribué de « manière significative » à la hausse de la valeur de nouveaux projets en Afrique du Nord, où les investissements ont augmenté de 12 % pour atteindre 76 milliards de dollars, soit les deux tiers des dépenses d’investissement du continent.

Ainsi, la Tunisie a contribué à cette évolution, avec des annonces d’investissement d’une valeur de 13 milliards de dollars, outre une augmentation considérable du nombre de projets.

Selon la CNUCED, l’Afrique du Nord a été la seule région du continent qui a enregistré une hausse de la valeur de nouveaux projets.

Elle a d’ailleurs attiré le plus d’investissements directs étrangers dans le continent, avec une valeur de 51 milliards de dollars, contre 13 milliards de dollars, en 2023.

Par ailleurs, le rapport a mis en lumière une reprise significative des flux d’IDE vers l’Afrique qui ont bondi de 75 % pour atteindre 97 milliards de dollars, soit 6 % des IDE mondiaux, contre 4 % l’année précédente.

Cette hausse est en grande partie due à un accord international de financement de projets de développement urbain en Égypte, explique la même source.

Hors cette augmentation, les IDE en Afrique ont tout de même progressé de 12 % pour atteindre environ 62 milliards de dollars, soit 4 % des flux mondiaux.

Les efforts de facilitation des investissements ont continué de jouer un rôle important en Afrique, représentant 36 % des mesures politiques favorables aux investisseurs.

La libéralisation est également restée un élément clé de l’élaboration des politiques d’investissement en Afrique et en Asie, représentant un cinquième des mesures adoptées en 2024.

Le continent a attiré en 2024 une part croissante des mégaprojets mondiaux, dont sept sont évalués à plus de 4 milliards de dollars.

Parmi les plus grandes annonces figurent un mégaprojet dans le secteur des énergies renouvelables en Tunisie, d’une valeur totale de 6 milliards de dollars.

Au niveau sectoriel, les secteurs de la construction et des produits métalliques ont enregistré les plus fortes hausses d’investissements dans les projets entièrement nouveaux, tandis que les projets d’approvisionnement en électricité et en gaz ont reculé de 51 milliards de dollars.

D’après le rapport, les investisseurs européens détiennent le plus grand stock d’IDE en Afrique, suivis par les États-Unis et la Chine.

Les investissements chinois, évalués à 42 milliards de dollars, se diversifient dans des secteurs tels que l’industrie pharmaceutique et l’agroalimentaire.

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Dhafer Seghiri plaide pour une réforme législative urgente pour relancer l’investissement en Tunisie

Von: walid
20. Juni 2025 um 10:07

«Plusieurs textes législatifs doivent être révisés afin de parvenir à regagner la confiance des hommes d’affaires tunisiens et d’attirer de nouveaux investisseurs étrangers », c’est ce qu’a indiqué le député à l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP), Dhafer Seghiri, lors de la rencontre « 90 minutes avec l’IACE », organisée mercredi soir, sur le thème « Les propositions économiques de l’ARP ».

Seghiri a à cet égard, souligné, l’impératif d’adopter dans les plus brefs délais des textes à caractère économique dont le Code de Changes…, afin d’être à la page des évolutions économiques et de manière à booster le développement et à assurer la relance économique.

Evoquant le projet de loi sur la liberté économique et la lutte contre l’économie de rente, le député a fait savoir que ce dernier consacre la liberté économique, limite la criminalisation des activités économiques, garantit la liberté d’investissement, protège la concurrence loyale.

Il a estimé, dans ce cadre, qu’il est indispensable, aujourd’hui, d’œuvrer à activer la législation favorisant l’investissement et l’initiative privée, à renforcer les mécanismes d’appui financier, à finaliser la transition vers l’administrative numérique afin de faire face à la corruption et à adopter des peines alternatives pour les investisseurs, en cas d’infractions financières, afin d’assurer la pérennité de l’activité de leurs entreprises.

« Parallèlement, il faut alléger les procédures, limiter la bureaucratie administrative et activer le rôle des organismes de contrôle et de conseil, et revoir le rôle de l’État dans l’investissement », a-t-il souligné, estimant que l’Etat doit investir davantage dans les secteurs promoteurs tels que le phosphate, l’agriculture et le tourisme afin de favoriser la création des richesses.

Le député a appelé, en outre, à renforcer la coordination entre les différents départements et structures de l’Etat concernés par l’investissement, afin de réaliser des progrés.

Il a recommandé, aussi, de veiller à la promotion du secteur logistique (ports, aéroports…) pour soutenir les secteurs économiques, notamment dans le cadre des projets de partenariat public-privé.

Il convient de rappeler que le projet de Loi sur la liberté économique et la lutte contre l’économie de rente a été déposé à l’ARP, en novembre 2024, et il a été examiné par la Commission des Finances et du Budget, au cours du mois de mai 2025.

Une réunion avec les différentes parties prenantes (patronat, ministère de finances…) est prévue, à l’ARP, au cours du mois de juillet 2025.

A noter que L’IACE (l’Institut Arabe des Chefs d’Entreprises) se présente comme un Think Tank international indépendant qui s’engage à promouvoir l’entreprise et à améliorer l’environnement des affaires, et ce, en formulant des recommandations et des propositions de réformes avec le concours des chefs d’entreprises, des universitaires et autres acteurs de la société civile.

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