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Heute — 24. Oktober 2025Haupt-Feeds

Le dollar se stabilise dans l’attente des données sur l’inflation américaine

24. Oktober 2025 um 11:03

Le dollar américain s’est stabilisé, vendredi 24 octobre, et est en voie de réaliser un léger gain hebdomadaire par rapport aux principales devises rivales, tout ceci sous font d(attente des investisseurs de la publication des données sur l’inflation…

L’indice du dollar, qui mesure la performance de la devise américaine par rapport à six autres devises, est en passe d’augmenter de 0,37 % cette semaine, atteignant 98,92 lors des échanges récents.

L’euro a peu varié à 1,16195 $ en début de séance, mais devrait reculer d’environ 0,3 % sur la semaine. La livre sterling est restée stable à 1,3331 $, en route vers une baisse hebdomadaire de 0,8 %.

Le yen s’est lui aussi stabilisé à 152,58 face au dollar, après avoir baissé lors de la séance de jeudi, après que les données ont montré que l’inflation de base à la consommation au Japon est restée supérieure à l’objectif de 2 % de la Banque centrale…

Par ailleurs, la rencontre prévue entre Trump et Xi jeudi 31 octobre en Corée du Sud a suscité l’espoir d’une résolution à la guerre commerciale croissante entre les deux plus grandes économies du monde.

Les investisseurs attendent avec impatience l’indice des prix à la consommation américain pour septembre, dont la publication est prévue vendredi. Ils anticipent une hausse de 0,4 % de l’inflation et de 0,3 % de l’inflation sous-jacente sur un mois.

Le Bureau américain des statistiques du travail a dernièrement annoncé qu’il publierait son rapport sur l’inflation malgré la fermeture du gouvernement, qui en est maintenant à sa quatrième semaine.

Bien que les analystes ne s’attendent pas à ce que les données influencent la décision de la Fed de réduire les taux d’intérêt de 25 points de base la semaine prochaine, elles pourraient fournir des indices sur ce que la Banque centrale pourrait faire lors de sa réunion de décembre.

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Gestern — 23. Oktober 2025Haupt-Feeds

La guerre commerciale États-Unis/Chine prend une nouvelle tournure

23. Oktober 2025 um 13:49

L’administration Trump envisage d’imposer des restrictions sur les exportations de logiciels vers la Chine. Elles seraient similaires à celles mises en œuvre par les États-Unis contre la Russie après son opération en Ukraine. Et ce, si Pékin poursuit sa dernière série de restrictions sur les exportations de terres rares.

Les discussions, rapporte Reuters, portent sur l’interdiction d’exporter un large éventail de technologies américaines vers la Chine. Le rapport ne détaille pas de restrictions spécifiques ni de calendrier précis pour l’annonce des nouvelles mesures. Mais ces dernières années, les États-Unis ont mis en place des contrôles sur les exportations de logiciels de planification d’entreprise, de gestion de la relation client et de conception assistée par ordinateur vers la Russie.

Cependant, toute restriction technologique drastique imposée à la Chine pourrait perturber la fragile économie américaine. Laquelle absorbe déjà l’impact des tarifs douaniers de Donald Trump.

Par ailleurs, Pékin et Washington ont tous deux adopté une politique consistant à imposer des mesures commerciales punitives avant les négociations. Fournissant ainsi un levier et des monnaies d’échange pour les discussions visant à réduire les barrières entre les plus grands partenaires commerciaux du monde.

Pour leur part, les États-Unis ont déclaré que cette décision était une mesure de représailles aux restrictions annoncées par la Chine sur le flux de minéraux de terres rares. A savoir, des éléments essentiels nécessaires à la fabrication de nombreux produits de consommation, notamment des moteurs, des semi-conducteurs et des avions de chasse. Ainsi qu’aux nouveaux frais portuaires imposés aux navires américains.

« J’entretiens d’excellentes relations avec le président Xi. J’espère que nous parviendrons à un bon accord », a déclaré Trump. Il s’exprimait de la sorte mardi, lors d’un déjeuner avec des élus républicains dans la roseraie de la Maison Blanche. « Je souhaite qu’il conclue un accord favorable à la Chine, mais il doit être équitable », a-t-il poursuivi.

Au final, « ils ne peuvent pas se procurer de pièces détachées pour leurs avions. Nous construisons leurs avions », a affirmé Trump; et ce, lors d’une rencontre avec le Premier ministre australien Anthony Albanese, à la Maison Blanche.

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Modi au sommet de l’ASEAN, mais virtuellement

23. Oktober 2025 um 11:59

Le Premier ministre indien, Narendra Modi, participera virtuellement au sommet de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (ASEAN) à Kuala Lumpur. Sans doute pour ne pas y rencontrer le président américain, Donald Trump. Ce qui suggère que New Delhi et Washington ne sont pas encore proches d’un accord commercial.

Les États-Unis et l’Inde négocient depuis des mois pour parvenir à un accord commercial. Mais les négociations ont été compliquées par les importations indiennes de pétrole russe. Cette situation a donc incité Washington à imposer des droits de douane punitifs de 25 % sur les produits indiens en août. Ce qui porte le total des droits de douane à 50 % et sera certainement discuté au Sommet de l’ASEAN.

« Nous sommes impatients de rejoindre virtuellement le sommet ASEAN-Inde et d’approfondir le partenariat stratégique global » entre l’Inde et le groupe, a déclaré Modi sur X (anciennement Twitter) jeudi 23 octobre. Tout en  mentionnant une conversation avec le Premier ministre malaisien, Anwar Ibrahim.

Ainsi, le sommet de l’ASEAN se tiendra dans la capitale malaisienne du 26 au 28 octobre. Avec la participation annoncée des dix États membres de l’association et des principaux partenaires commerciaux. A savoir : la Chine, le Japon et les États-Unis.

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En 2025, l’inclusion financière en perte de vitesse (étude)

22. Oktober 2025 um 09:57

L’inclusion financière, qui s’était améliorée à l’échelle mondiale au cours des deux dernières années, a atteint un plateau en 2025, selon le dernier indice mondial d’inclusion financière (l’indice) de Principal Financial Group. Ces résultats marquent un tournant, l’incertitude économique étant due à l’évolution de la dynamique commerciale mondiale et des tensions géopolitiques. Ce qui pousse les entreprises à prendre des mesures en faveur de l’inclusion financière, telles que des rémunérations flexibles ou des prestations d’assurance et de retraite plus généreuses.

 

En réponse, les données montrent que les gouvernements et les systèmes financiers interviennent pour faire progresser l’inclusion financière.

 

L’indice, qui en est à sa quatrième année, est réalisé par le Centre for Economics and Business Research (CEBR) et Principal Asset Management, examinant comment les gouvernements, les systèmes financiers et les employeurs favorisent une plus grande inclusion financière sur 42 marchés.

 

Le rapport fournit une évaluation complète et comparative de l’inclusion financière à l’échelle mondiale, classant les marchés sur une base relative en plus d’une note absolue.

 

Ainsi, Singapour se classe comme le marché le plus inclusif au monde sur le plan financier, une position qu’il occupe depuis le lancement de l’indice.

 

« Les marchés financiers sont intervenus alors que les employeurs ont vu leur capacité à fournir un soutien régresser. Cette année, l’indice met en évidence la manière dont la culture financière crée un cercle vertueux, permettant aux ménages de mieux gérer leur endettement. Ce qui leur libère des fonds pour épargner en vue de la retraite et saisir des opportunités commerciales ». C’est ce qu’a déclaré Kamal Bhatia, président-directeur général de Principal Asset Management.

 

Il poursuit en ces termes : « Au cours d’une année marquée par des chocs géopolitiques et des conditions de financement plus strictes, les marchés dotés d’une meilleure éducation financière et d’un accès facilité par la technologie ont mieux réussi à protéger les familles du stress lié à l’endettement. Ces gains se traduisent par une résilience au niveau national, favorisant la croissance, l’investissement et la stabilité. Tandis que les marchés qui s’appuient sur des approches plus traditionnelles de soutien aux employeurs risquent de prendre du retard à mesure que le rythme de l’innovation financière se divise en deux ».

Principales conclusions de l’étude

Le score global d’inclusion financière mondiale s’élève à 49,4 sur 100, soit une légère baisse de 0,2 point par rapport à 2024.

    • Ce score est nettement supérieur à celui de 41,7 enregistré lors du lancement de l’indice en 2022. En 2025, 20 marchés ont enregistré une amélioration annuelle de leur score, tandis que 19 marchés analysés ont connu une baisse.

Le soutien des employeurs a ralenti à l’échelle mondiale, le score mondial ayant baissé de 0,6 point.

    • Trente-cinq marchés (83 %) ont enregistré une baisse de leur score en matière de soutien des employeurs. Ce qui suggère fortement que les risques géopolitiques et commerciaux ont eu un impact sur la confiance des entreprises, les amenant à adopter des approches plus conservatrices en matière d’avantages sociaux et d’initiatives de rémunération flexible.

Face au recul des employeurs, les gouvernements et les systèmes financiers ont intensifié leurs efforts pour améliorer l’accès aux produits et services financiers et leur compréhension.

    • À l’échelle mondiale, le score du soutien gouvernemental a augmenté de 0,6 point, progressant dans toutes les grandes régions. Alors que dans les régions plus riches d’Amérique du Nord, d’Europe et du Moyen-Orient, le score du système financier a également augmenté. 35 marchés ont enregistré des améliorations d’une année sur l’autre pour le score du gouvernement et/ou celui du système financier.

Une modélisation détaillée montre qu’une meilleure éducation financière se traduit par une meilleure gestion de la dette des ménages et une baisse des coûts d’emprunt.

    • Une amélioration de 1 % du niveau d’éducation financière est associée à une réduction de 2,8 % des défauts de paiement sur les prêts aux ménages et à une réduction de 6,7 % du ratio dette/revenu des ménages. Cela a un effet positif perceptible sur le PIB à long terme.

Depuis le lancement de l’indice, les marchés qui ont le plus amélioré leurs scores en matière d’inclusion financière sont ceux qui ont réussi à numériser leurs systèmes financiers grâce à des investissements dans les paiements instantanés et l’open banking.

    • L’Argentine, la Corée du Sud, le Brésil, la Thaïlande et Singapour, qui ont enregistré les plus fortes progressions de l’indice, ont procédé à des réformes phares de leur infrastructure financière numérique.

Les États du Golfe du Moyen-Orient ont enregistré la plus forte augmentation d’une année sur l’autre dans le pilier du système financier, grâce à la technologie financière et à la transformation numérique.

    • Les Émirats arabes unis ont enregistré la plus forte progression dans ce pilier (cinq places et 3,9 points), suivis par l’Arabie saoudite (quatre places et 1,8 point).

 

« Les chocs géopolitiques et les vents contraires économiques remodèlent l’inclusion financière. Les efforts menés par les employeurs perdent de leur élan. Tandis que les gouvernements et les systèmes financiers prennent le relais. Pour soutenir les progrès, nous avons besoin d’une meilleure éducation financière, d’institutions résilientes et de partenariats équilibrés », estime pour sa part Pushpin Singh, économiste en chef au Centre for Economics and Business Research.

 

Les États-Unis affichent des améliorations en matière d’inclusion financière globale malgré des vents contraires sur le plan économique

Les États-Unis ont enregistré une légère augmentation de leur score en matière d’inclusion financière. Tandis que leur classement est resté inchangé à la septième place. Les améliorations ont été principalement dues à un léger rebond du soutien au système financier, notamment grâce à des gains dans les scores sous-jacents relatifs à la présence, et à la qualité des technologies financières, aux droits de protection des emprunteurs et des prêteurs, et à l’accès au crédit, en particulier à l’essor des systèmes de prêt privés.

 

Si l’élargissement de l’accès au crédit et aux outils financiers a favorisé la hausse du score des États-Unis, les données suggèrent que le contexte économique plus difficile a constitué un obstacle à des progrès plus importants. L’accès au crédit a stagné et les indicateurs favorisant la croissance des petites et moyennes entreprises ont reculé, reflétant une disponibilité réduite des financements, due aux inquiétudes et à la confusion entourant les politiques et les fonctions.

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La 16ème Conférence de l’ONU sur le commerce s’ouvre à Genève

20. Oktober 2025 um 14:50

La 16ème Conférence de l’ONU sur le commerce et le développement (CNUCED) s’est ouverte lundi 20 octobre à Genève, présidée par la Suisse. Le ministre de l’Economie, Guy Parmelin, a alerté sur les dangers de la « polarisation croissante » du monde, rapporte RTS.

En ouvrant cette réunion organisée tous les quatre ans, Guy Parmelin a appelé au « dialogue multilatéral » et à la « recherche de consensus » dans un commerce mondial où « les défis sont immenses ».

En effet, selon les chiffres de l’ONU, « actuellement, plus de 700 millions de personnes dans le monde vivent dans une pauvreté extrême avec moins de 2,15 dollars par jour ». En cause, entre autres, les conflits qui affectent le commerce international et la croissance économique, pointe Guy Parmelin. Ainsi, « les prix énergétiques et des matières premières ont augmenté. Alors que les fonds publics se raréfient et les dettes explosent ». D’où son appel à « garantir un système commercial établi sur un cadre réglementaire ».

Sera-t-il entendu surtout du côté de Washington ? Rien n’est moins sûr.

Donner plus de place aux économies faibles

A noter que cette 16ème conférence, qui constitue en fait une assemblée générale de la CNUCED, la plus grande agence des Nations unies créé en 1964 pour « intégrer » les pays du sud dans l’économie globale, devrait aboutir jeudi 23 octobre à une « feuille de route » pour les quatre prochaines années sur le financement du développement ou la dette des pays à revenus faibles.

Toujours selon RTS, la Conférence devrait constituer « l’occasion de recentrer le débat sur l’apport des pays du sud au commerce mondial ». D’ailleurs, la CNUCED ne manque pas de faire remarquer que « ce sont eux qui ont tiré la croissance au 2ème trimestre 2025 ». Elle estime que « leur prochain défi sera de rattraper leur retard dans l’intégration de l’intelligence artificielle qui pourrait, à terme, peser plus 4 800 milliards de dollars par an au niveau mondial ».

L’organisme onusien rappelle que cette Conférence intervient au moment où «… l’administration Trump a dynamité les échanges mondiaux et que la numérisation de l’économie inquiète autant qu’elle fascine ».

Antonio Guterres attendu à Genève

Par ailleurs, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, est attendu à Genève. Ce qui constitue un signe fort pour la CNUCED et sa patronne, la Costaricienne Rebecca Grynspan, candidate du reste à la succession de Guterres. Raison pour laquelle, peut-être, Mme Grynspan gère-t-elle «… les dommages de la guerre commerciale déclenchée par les Etats-Unis en se voulant toutefois apaisante », sans trop dénoncer cette pratique américaine.

Lors de son intervention, elle a souligné : « Nous saluons le fait qu’il y a actuellement des négociations commerciales, tout particulièrement entre les Etats-Unis et la Chine, les deux plus grandes économies mondiales. Tout ce qu’elles décideront aura un impact sur le reste du monde. De notre point de vue, nous ne sommes pas aujourd’hui dans une situation de guerre commerciale, parce que justement il y a ces négociations ».

Vous avez donc saisi la différence entre la “position“ de Rebecca Grynspan et celles de la directrice générale de l’OMC et ou la Chine.

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Pékin tend la main à Washington pour relancer les négociations commerciales

20. Oktober 2025 um 11:38

La Chine est favorable à de nouvelles négociations commerciales avec les États-Unis « dès que possible ». Alors que les deux pays cherchent à éviter une nouvelle escalade des tarifs douaniers. C’est ce que rapporte l’agence de presse Xinhua.

Cette annonce fait suite à une vidéoconférence entre le principal négociateur commercial de la Chine, le vice-Premier ministre, He Lifeng, et le secrétaire américain au Trésor, Scott Bessent. Au cours de laquelle des discussions « franches, approfondies et constructives » ont eu lieu, a indiqué l’agence de presse chinoise.

En effet, les tensions commerciales entre les deux plus grandes économies du monde se sont récemment intensifiées. Et ce, après que Pékin a annoncé des contrôles plus stricts sur les exportations de terres rares et des technologies nécessaires à leur raffinage.

Ainsi, Scott Bessent a déclaré, vendredi 17 octobre, qu’il rencontrerait He Lifeng cette semaine pour préparer de nouvelles négociations. Ceci montre donc que le gouvernement américain semble jouer la carte de la désescalade. Puisque le président américain indique une fois de plus qu’il est prêt à rencontrer prochainement son homologue chinois, Xi Jinping.

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L’Europe promeut un plan pour protéger son industrie

20. Oktober 2025 um 11:20

L’Union européenne peine à sauver son industrie, menacée par la concurrence des États-Unis et de la Chine. Lesquels ont érodé les systèmes de défense et économiques qui ont soutenu le Vieux Continent pendant 70 ans, rapporte Bloomberg.

Toutefois, les récentes contre-mesures européennes– allant de l’imposition de mesures commerciales protectionnistes à des tactiques agressives de sécurité économique– pourraient s’avérer insuffisantes et trop tardives si l’UE ne changeait pas de vitesse.

Un haut responsable de Commission européenne a averti, lors d’un entretien avec Bloomberg, que le bloc des 27 n’avait pas encore pris la pleine mesure du problème et que la situation semblait empirer. L’UE a adopté une approche fragmentaire pour protéger son industrie et se concentre davantage sur la résolution des problèmes du passé que sur l’élaboration d’une stratégie tournée vers l’avenir, a-t-il averti.

L’Europe a besoin d’un plan pour « ne pas se noyer », a déclaré Maria Demertzis, directrice du Centre d’économie, de stratégie et de finance du groupe de réflexion The Conference Board, basé à Bruxelles. « Nous devons mettre en œuvre des politiques favorables à l’industrie et faire preuve d’impartialité », a-t-elle déclaré. « Nous devons cesser de nous préoccuper de défendre un système multilatéral incapable de lutter contre les pratiques déloyales ».

Par ailleurs, les dirigeants européens, qui se réuniront à Bruxelles cette semaine, discuteront donc de ces questions, pour chercher les moyens à même de réduire les « dépendances stratégiques » du bloc et de renforcer sa « base technologique et industrielle de défense ».

Si le concept d’autonomie européenne n’est pas nouveau, il a pris une importance particulière après le déclenchement de la guerre en Ukraine en 2022, renforcée par la réduction des engagements sécuritaires américains envers l’Europe par le président Trump.

Le système commercial multilatéral– un principe fondamental de l’UE– est en pleine désorganisation face aux guerres commerciales multi-fronts de Trump et au nationalisme économique de plus en plus affirmé de la Chine.

Pour ces raisons, la Commission européenne envisage de contraindre les entreprises chinoises à transférer des technologies à leurs homologues européennes, afin qu’elles puissent opérer à l’échelle européenne, relève encore Bloomberg, imitant ainsi la politique de Pékin. L’UE envisage également d’accorder un traitement préférentiel aux entreprises européennes soumissionnant pour des marchés publics d’une valeur de 2 500 milliards d’euros par an.

Enfin, elle prévoit de publier d’ici la fin de l’année une doctrine de « sécurité économique » qui indiquerait comment et quand l’Union peut recourir à des mesures commerciales.

L’UE a également discuté avec ses alliés du G7 de la mise en commun des ressources et de la coordination des efforts pour se procurer des minéraux critiques et des terres rares auprès de sources autres que la Chine.

Cependant, tout cela prendra des années à mettre en œuvre, selon le responsable, et l’Europe n’a plus beaucoup de temps.

Parallèlement, la Chine a connu une forte croissance dans des secteurs tels que les véhicules électriques et les technologies propres, s’intégrant ainsi aux chaînes d’approvisionnement européennes. Pékin a également renforcé les restrictions sur les exportations de terres rares et imposé des exigences contraignantes aux entreprises étrangères opérant en Chine.

Pour l’instant, l’UE ne peut pas faire grand-chose face aux actions de la Chine : les entreprises européennes ont besoin d’accéder à son marché et à ses intrants pour fabriquer des biens.

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L’Égypte a perdu 9 milliards de dollars à cause des Houthis

18. Oktober 2025 um 16:45

Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdel Aty, a déclaré vendredi 17 octobre que la résolution de la question palestinienne était essentielle pour réaliser des progrès dans un projet de transport soutenu par les États-Unis reliant l’Inde à l’Europe via le Moyen-Orient par des des voies maritimes et ferroviaires.

Connu sous le nom de corridor économique Inde-Moyen-Orient-Europe, le projet a été annoncé en marge du sommet du G20 des principales économies en septembre 2023 et a été considéré comme une alternative américaine à l’initiative chinoise « Ceinture et Route ».

La guerre a éclaté dans la bande de Gaza un mois après la déclaration, à la suite d’une attaque lancée par le mouvement Hamas contre Israël, plus précisément le 7 octobre 2023.

« Nous devons garder à l’esprit que la communication est extrêmement importante dans le contexte d’un règlement définitif de la question palestinienne », a déclaré Badr Abdel Aty aux journalistes lors d’une visite à New Delhi.

Il dit avoir discuté du projet de « Corridor économique Inde-Moyen-Orient-Europe » lors de ses entretiens avec son homologue indien, expliquant que l’Egypte était ouverte à faire partie du projet.

A noter que ledit corridor s’étendra de l’Inde à travers la mer d’Arabie jusqu’aux Émirats arabes unis, en passant par l’Arabie saoudite, avant d’atteindre l’Europe via la Jordanie et Israël. L’Inde et les Émirats arabes unis ont signé un accord-cadre pour ce projet l’année dernière.

Des milliards de pertes

Il a ajouté que l’Égypte a subi des pertes dépassant 9 milliards de dollars depuis que les Houthis au Yémen ont commencé leurs attaques contre des navires dans la mer Rouge, qui, selon lui, ont été menées en solidarité avec les Palestiniens.

« Nous payons un lourd tribut. Auparavant, nous recevions au moins 75 navires transitant par le canal de Suez chaque jour, dans les deux sens. Aujourd’hui, ce nombre ne dépasse pas 25, mais 50 au maximum, ce qui représente une baisse d’au moins 60 % ».

Badr Abdel Aty est arrivé jeudi en Inde pour une visite de deux jours consacrée à des entretiens bilatéraux, au cours desquels il a également rencontré le Premier ministre Narendra Modi. Il a indiqué qu’il rencontrerait des dirigeants d’entreprises indiennes dans le cadre des efforts déployés par l’Égypte pour attirer davantage d’investissements indiens.

Il a ajouté : « Nous disposons d’une zone industrielle pour la Chine dans cette région, ainsi que pour la Russie. Nous encourageons la création d’une zone industrielle indienne le long de la zone économique du canal de Suez »…

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Le pétrole enregistre une perte hebdomadaire de 3 %…

18. Oktober 2025 um 12:52

Les prix du pétrole ont enregistré de légères hausses lors de la négociation de vendredi 17 octobre, mais ont enregistré une perte hebdomadaire d’environ 3 % après que l’Agence internationale de l’énergie (AIE) a prévu une surabondance de l’offre et que les présidents américain, Donald Trump, et russe, Vladimir Poutine, ont convenu de se rencontrer à nouveau pour discuter de la fin de la guerre en Ukraine.

Les contrats à terme sur le pétrole brut Brent ont augmenté de 23 cents, soit 0,38 %, pour s’établir à 61,29 dollars le baril, tandis que les contrats à terme sur le pétrole brut West Texas Intermediate (WTI) américain ont augmenté de 8 cents, soit 0,14 %, pour atteindre 57,54 dollars.

Les prévisions de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) concernant une offre excédentaire croissante en 2026 ont été l’un des facteurs principaux limitant la hausse des prix du brut. L’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA) rapporte que les stocks américains de brut ont augmenté de 3,5 millions de barils pour atteindre 423,8 millions de barils la semaine dernière, alors que les analystes tablaient sur une hausse de 288 000 barils, ce qui a pesé sur les prix.

Trump et Poutine ont convenu de tenir un autre sommet sur la guerre en Ukraine dans les deux prochaines semaines en Hongrie. Cet événement intervient alors que le cessez-le-feu se poursuit dans la bande de Gaza.

Parmi les raisons de la baisse des prix figurent l’escalade des tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine, qui a accru les inquiétudes concernant un ralentissement de l’économie et une baisse de la demande énergétique.

Rappelons enfin que l’augmentation plus importante que prévu des stocks de pétrole brut est en grande partie due à une baisse de la production des raffineries en raison des travaux de maintenance effectués durant l’automne.

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S&P abaisse la note de la France de AA- à A+

18. Oktober 2025 um 11:25

L’agence de notation S&P Global Ratings a dégradé, vendredi 17 octobre 2025, la note de la France, alors que le gouvernement de Lecornu tente de faire passer un budget de resserrement budgétaire pour faire face à la dette publique élevée.

Dans une évaluation non programmée, l’agence a abaissé la note de la France de AA- à A+, expliquant que l’incertitude autour du budget du pays « reste élevée » malgré la soumission d’un projet de budget pour 2025.

Cette dégradation signifie que la France a perdu sa note double A de deux des trois principales agences de notation en l’espace de quelques semaines, autrement dit, certains fonds aux critères d’investissement extrêmement stricts vont se précipiter pour vendre des obligations d’État françaises.

Grâce à sa nouvelle notation, S&P place désormais la France au même niveau que l’Espagne et le Portugal, six crans au-dessus de la catégorie « junk »…

Reconnaissant le coup porté par la dégradation de la note, le ministre de l’Economie et des Finances, Roland Lescure, a réaffirmé la détermination du gouvernement à atteindre l’objectif de déficit de 5,4% cette année et a déclaré que la France restait déterminée à réduire le déficit en dessous de 3% du PIB d’ici 2029.

« Il est désormais de la responsabilité collective du gouvernement et du Parlement d’assurer l’approbation d’un budget compatible avec ce cadre avant la fin de 2025 », a déclaré R. Lescure dans son communiqué.

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Fiscalité mondiale en mutation : colloque international à Tunis les 23 et 24 octobre

17. Oktober 2025 um 20:20

« La coopération fiscale internationale à l’aune du nouvel ordre fiscal international ». C’est le thème d’un colloque international qui se tiendra les 23 et 24 octobre 2025 à Tunis.

Organisé par l’Observatoire tunisien de l’économie (OTE), en partenariat avec le Laboratoire des sciences constitutionnelles, administratives et financières (LSCAF) de la Faculté de droit et des sciences politiques de Tunis, cet événement vise à explorer les défis contemporains et les réponses possibles à la transformation du système fiscal mondial.

D’après le site de l’Observatoire, la coopération fiscale internationale s’impose aujourd’hui comme un champ de réflexion et d’action prioritaire, en raison des mutations profondes de l’économie mondiale. La mondialisation, la digitalisation de l’économie et l’intensification de la concurrence fiscale entre États ont fragilisé les systèmes fiscaux nationaux, entraînant des pertes de ressources significatives.

Un engagement crucial…

Le colloque analysera les réponses à ces défis, notamment le cadre BEPS 2.0 de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), considéré comme insuffisant, et l’avancée décisive que représente le processus en cours aux Nations unies pour l’élaboration d’une convention-cadre sur la coopération fiscale internationale. Pour des pays comme la Tunisie et ceux d’Afrique du Nord, confrontés à la nécessité d’accroître leurs recettes fiscales, l’engagement dans cette dynamique est crucial.

La première journée sera consacrée à l’étude du nouvel ordre fiscal international, en explorant le rôle respectif de l’OCDE et de l’ONU, ainsi que les défis et perspectives des réformes pour les systèmes fiscaux des pays d’Afrique du Nord.

 

Les défis spécifiques de la coopération fiscale

La deuxième journée portera sur les défis spécifiques de la coopération fiscale, tels que l’évasion fiscale, l’économie numérique et le financement d’un développement équitable. Les panels aborderont des thèmes comme l’adaptation des standards de droit fiscal international, la taxation du numérique, la résolution des différends et l’articulation entre conventions bilatérales et objectifs de développement.

Cet événement réunira des universitaires, des experts, des praticiens et des représentants de la société civile pour débattre des contours et des enjeux de ces réformes majeures du système fiscal international.

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BCE : les taux d’intérêt sont « en bonne position », déclare Christine Lagarde

17. Oktober 2025 um 15:24

Les taux d’intérêt sont « à un bon niveau », déclare la présidente de la Banque centrale européenne (BCE), Christine Lagarde. D’ailleurs, elle a reçu le soutien de la quasi-totalité de ses collègues.

Les décideurs politiques s’exprimant en marge des réunions annuelles du FMI dans la capitale américaine ont fait écho aux propos de Christine Lagarde, la présidente de la BCE. Tout en suggérant qu’il est peu probable que son institution réduise son taux de dépôt, qui est à 2 % depuis juin.

« Nous sommes en bonne position. Cependant, nous devons être prêts à toute éventualité », soulignait-elle jeudi 16 octobre, lors d’une interview sur CNBC. « Nous sommes en mesure de réagir à toute éventualité », poursuivait-elle.

Lorsqu’on lui demande si l’assouplissement monétaire est terminé, elle répond : « Je ne dirais jamais cela, car je crois que le travail d’un banquier central ne se termine jamais. »

Opinions divergentes

Certains avertissent que les risques d’inflation sont davantage orientés à la baisse et soutiennent qu’une baisse des taux est la prochaine mesure la plus probable. D’autres expriment leur inquiétude quant à une pression sur les prix plus forte que prévu et ouvrent la voie à une hausse des taux comme prochaine étape pour la BCE.

D’autres encore, qui souffrent toujours des effets des instruments non conventionnels utilisés pour faire face aux crises précédentes, veulent conserver leur puissance de feu. De même qu’ils croient que la BCE a rempli sa mission; à moins qu’elle ne soit confrontée à un autre choc majeur.

Pour sa part, l’économiste en chef Philip Lane a maintenu le scénario concernant la politique monétaire future. « Nous sommes sérieux lorsque nous affirmons que cela dépend des données, réunion après réunion », reprenant ainsi la position officielle de la BCE.

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FMI : la dette mondiale devrait dépasser 100 % du PIB d’ici la fin de la décennie

16. Oktober 2025 um 10:32

La dette publique mondiale est en passe de dépasser 100 % du PIB d’ici la fin de la décennie, atteignant son plus haut niveau depuis 1948, peu après la Seconde Guerre mondiale. Ainsi prévient le Fonds monétaire international, dans le dernier rapport du Fiscal Monitor publié mercredi 15 octobre. 

Le coût croissant du service de la dette publique exerce une pression sur les budgets des gouvernements. Alors que la situation est aggravée par l’augmentation rapide des dépenses de défense et le vieillissement de la population, souligne le FMI.

« Sur la base de déficits et de dettes déjà très élevés, l’insistance à dépenser plus que les recettes fiscales poussera la dette à des niveaux encore plus élevés, menaçant la durabilité et la stabilité financière », souligne le Fonds dans son rapport.

Le responsable des questions de gestion budgétaire du FMI, Vitor Gaspar, a même averti que dans un « scénario négatif, mais possible », la dette mondiale pourrait dérailler, atteignant 123 % du PIB en 2029. Tout en approchant le sommet historique de 132 % enregistré après la Seconde Guerre mondiale.

« La situation la plus inquiétante serait un scénario de turbulences financières », a-t-il déclaré, citant le rapport du FMI sur le risque d’une correction « désordonnée » des marchés mondiaux. Cela pourrait créer un cycle destructeur pour la politique budgétaire, comme en 2010, lorsque la crise de la dette souveraine a éclaté en Europe.

Le FMI note également que la période d’emprunts bon marché entre la crise financière mondiale et la pandémie de Covid-19 est terminée. Les coûts de service pesant déjà sur les budgets des États.

Une part importante des dépenses publiques est consacrée au paiement des salaires, représentant en moyenne 25 % des dépenses dans les économies avancées et 28 % dans les économies émergentes. « Les dépenses consacrées aux retraites, à l’éducation, à la santé et aux salaires tendent à persister. Lier l’âge de la retraite à l’espérance de vie peut réduire les rigidités des dépenses et améliorer la viabilité des retraites, en particulier dans les économies avancées. Des réformes progressives, harmonisées avec les périodes de croissance économique et combinées à des politiques redistributives, peuvent atténuer la résistance des groupes d’intérêts », note le FMI.

Les réformes sont plus importantes que jamais

Cependant, dans son rapport économique mondial publié mardi 14 octobre, le FMI a revu à la hausse ses prévisions de croissance pour 2025. A cet égard, il affirme que les pires scénarios de tensions commerciales ne se sont pas encore matérialisés. Il avertit toutefois qu’une reprise de la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine pourrait ralentir considérablement l’économie mondiale…

Le FMI indique également que de nombreuses économies riches ont déjà des niveaux d’endettement public supérieurs à 100 % du PIB ou devraient dépasser ce niveau, notamment les États-Unis, le Canada, la Chine, la France, l’Italie, le Japon et la Grande-Bretagne.

En effet, aux États-Unis, la dette publique par rapport au PIB a dépassé son niveau le plus élevé de la Seconde Guerre mondiale pendant la pandémie et devrait dépasser 140 % du PIB d’ici la fin de la décennie, selon M. Gaspar.

De son côté, la dette publique chinoise augmente également fortement, et devrait passer de 88,3 % du PIB à 113 % d’ici 2029, selon les prévisions du FMI.

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L’or dépasse les 4 224 dollars l’once

16. Oktober 2025 um 09:44

L’or a atteint un niveau record ce jeudi 16 octobre, bénéficiant de l’appétit des investisseurs pour le métal précieux. Et ce, dans un contexte d’incertitude géopolitique et économique persistante, d’attentes croissantes d’une baisse des taux d’intérêt américains et d’un dollar plus faible.

L’or au comptant était en hausse ce matin de 0,4 % à 4 224,79 dollars l’once, après avoir atteint un record de 4 225,69 dollars.

Les contrats à terme sur l’or américain pour livraison en décembre ont augmenté de 0,9 % à 4 239,70 dollars, a rapporté Reuters.

L’or est considéré comme une valeur refuge en période d’incertitude et prospère généralement dans un environnement de taux d’intérêt bas. Son cours a progressé de 61 % depuis le début de l’année.

De son côté, l’indice du dollar a chuté de 0,1 %, oscillant près d’un plus bas d’une semaine. Ce qui rend l’or coté en billet vert moins cher pour les détenteurs d’autres devises.

Par ailleurs, les responsables américains ont critiqué mercredi les contrôles renforcés de la Chine sur les exportations de minéraux de terres rares. Ils les décrivent comme une menace pour les chaînes d’approvisionnement mondiales et s’engagent à réagir.

En outre, les États-Unis et la Chine ont échangé cette semaine des droits de port sur leurs navires respectifs, accentuant ainsi les tensions dans le conflit commercial en cours.

La hausse du prix de l’or est attribuée à une combinaison de facteurs, notamment les risques géopolitiques, les attentes de taux d’intérêt plus bas aux États-Unis et l’augmentation des achats de métal précieux par les banques centrales.

Les investisseurs sont susceptibles de mettre en œuvre une baisse des taux d’intérêt de 25 points de base lors de la réunion de la Réserve fédérale ce mois-ci, suivie d’une autre baisse en décembre.

Parmi les autres métaux précieux, l’argent au comptant a augmenté de 0,2 % à 53,16 $ l’once, après avoir atteint un record de 53,60 $ mardi.

Le platine est en hausse de 0,7 % à 1 665,70 $. Tandis que le palladium a chuté de 0,3 % à 1 540,36 $.

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