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Tunisie-Jica : clôture de la formation africaine sur la maintenance du matériel médical

07. November 2025 um 15:37

Cérémonie de clôture de la troisième et dernière session de la formation des formateurs sur “les techniques avancées de maintenance et de contrôle qualité du matériel de laboratoire d’analyses médicales”, qui se tiendra le 11 novembre 2025 à partir de 10h à la Cité des Sciences de Tunis. Il s’agit d’un programme triennal de coopération triangulaire entre le Japon, la Tunisie et les Pays Africains, lancé par la JICA à la suite de la TICAD8.

La formation est assurée du 21 octobre 2025 au 11 novembre 2025 par des formateurs tunisiens de l’Institut Supérieur des Technologies Médicales (ISTMT) – Université Tunis-El Manar, au profit de 18 participants de 9 pays africains francophones.

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Sidi Bouzid : une production record de 500 000 tonnes d’olives attendue en 2025

07. November 2025 um 15:32

La campagne de récolte des olives a progressé à hauteur de 4% dans le gouvernorat de Sidi Bouzid, où la production est estimée à 500 mille tonnes pour cette saison, selon le délégué régional au développement agricole, Chokri Aouji.

Le coup d’envoi de la campagne a été donné le 23 octobre dernier, et la production de cette année devrait dépasser les 500 mille tonnes, contre 310 mille tonnes lors de la saison précédente.

Aouji a ajouté que la récolte de Sidi Bouzid représente environ 20 % de la production nationale d’olives et d’huile d’olive, soulignant que cette filière constitue l’un des secteurs les plus importants de la région.

Sur un total de 119 huileries dans le gouvernorat, 34 ont déjà démarré leurs activités, avec une capacité de transformation dépassant les 6 000 tonnes par jour.

En moyenne, 60 % de la récolte sont triturés localement, tandis que 40 % sont transformés en dehors de la région.

La saison en cours est également marquée, pour la première fois, par la mise en place d’un laboratoire d’analyse des huiles au siège du bureau régional de l’Office national de l’huile à Sidi Bouzid.

Ce laboratoire permet d’effectuer des analyses et des tests de dégustation pour déterminer la qualité de l’huile, évitant ainsi aux agriculteurs de devoir se déplacer vers d’autres gouvernorats.

Concernant la gestion des margines (résidus de trituration), la région dispose de deux bassins collectifs conformes aux normes environnementales, d’une capacité totale de 41 000 m³, en plus de 100 bassins individuels.

Avant le démarrage de la campagne, une coordination a été établie avec l’Office des terres domaniales, qui a mis à disposition environ 6 000 hectares de terrains pour l’épandage des margines.

Les oliveraies du gouvernorat de Sidi Bouzid couvrent environ 307 mille hectares, soit 45 % de la superficie totale de la région et 93 % de la superficie arboricole.

Le secteur se distingue également par un patrimoine de plus de 23 millions d’oliviers.

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Tunisie : 14 hectares de terres domaniales restitués à l’État à Manouba

07. November 2025 um 15:25

Les équipes de l’Office des terres domaniales au gouvernorat de Manouba ont réussi à récupérer un terrain domanial agricole couvrant plus de 14 hectares, situé dans la localité d’El Bassatine dans la délégation de Mornaguia.

La restitution à l’Etat de ce terrain, qui était exploité illégalement, intervient dans le cadre de la mise en œuvre d’une décision émise par le gouverneur de Manouba en mars 2024.

L’opération s’est déroulée sous la supervision du délégué de la région et en présence des unités de sécurité. Le terrain récupéré sera placé sous la gestion de l’Office en attendant son exploitation de nouveau.

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Tunisie-Budget Etat 2026 : 460,9 millions de dinars alloués à la culture en 2026

07. November 2025 um 15:09

La Commission du tourisme, de la culture, des services et de l’artisanat, relevant de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), a tenu, vendredi, une séance parlementaire conjointe avec la Commission de l’investissement et de la coopération internationale du Conseil national des régions et des districts (CNRD), consacrée à l’audition de la ministre des affaires culturelles, Amina Srarfi, au sujet du projet de budget du ministère pour l’année 2026.

La ministre a indiqué que les dépenses de gestion, d’investissement et des fonds de trésor du ministère pour l’exercice 2026 ont été fixées à 460,969 millions de dinars, contre 425,490 millions de dinars en 2025, soit une augmentation de 35,479 millions de dinars, correspondant à une hausse de 8 %, précisant que ces fonds représentent 0,73 % du budget de l’Etat.

Elle a, d’autre part, indiqué que la vision stratégique du ministère repose sur la volonté de faire de la culture un levier de développement et un facteur de cohésion sociale, dans le cadre d’une approche globale articulée autour de cinq grands volets : la valorisation économique, l’incitation et l’investissement ; la protection et la préservation du patrimoine ; la création et la participation communautaire ; le rayonnement culturel et artistique  ainsi que la gouvernance et la modernisation administrative.

Concernant la valorisation économique, Amina Srarfi a souligné que le ministère œuvre à intégrer l’économie culturelle et créative dans le système productif national, afin d’augmenter la contribution des industries culturelles et créatives à environ 3 % du PIB. Elle a également annoncé l’augmentation du plafond de garantie accordé par le Fonds de garantie des industries culturelles (FGIC), passant de 90 000 dinars à 300 000 dinars, une mesure qui devrait permettre la création d’environ 200 start-up dans ce secteur.

S’agissant de la protection et de la sauvegarde du patrimoine, la ministre a précisé que le ministère poursuivra, en 2026, la mise en œuvre de plusieurs projets nationaux dans les domaines de la numérisation et de la protection technique des monuments et musées, parmi lesquels le projet d’auto-assurance des monuments, sites et musées, le projet de numérisation des archives nationales des arts plastiques, qui compte plus de 14 000 œuvres, ainsi que le projet de restauration et d’entretien des instruments de musique au Centre des musiques arabes et méditerranéennes (CMAM) “Ennejma Ezzahra” à Sidi Bou Saïd.

Pour ce qui est de la création et de la participation communautaire, la ministre a expliqué que son département s’emploie à développer le système de subvention publique aux projets culturels selon des critères de transparence et d’efficacité, tout en lançant des programmes destinés aux jeunes et aux catégories vulnérables, et en créant des centres locaux de créativité pour enfants.

Amina Srarfi a par ailleurs mentionné que le volet du rayonnement culturel vise à renforcer la présence de la culture tunisienne sur la scène internationale, à travers des plateformes numériques spécialisées et un soutien accru aux œuvres artistiques remarquables.

En ce qui concerne la gouvernance et la modernisation administrative, ce volet repose sur une série de réformes structurelles et institutionnelles, parmi lesquelles la création d’un Observatoire national du patrimoine, en tant que structure unique chargée de la gestion et de la valorisation du patrimoine matériel et immatériel, la restructuration de la Cité de la Culture afin d’en renforcer la flexibilité et l’efficacité, ainsi que la numérisation de la gestion des subventions publiques et le projet d’informatisation des bibliothèques publiques, dont l’achèvement est prévu en 2026.

La ministre des affaires culturelles a conclu en affirmant que le budget 2026 vise à soutenir l’économie culturelle nationale et à consolider la place de la culture comme pilier essentiel du développement global.

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Tunisie : plus de 341 000 déchets collectés sur 137 plages par le WWF

07. November 2025 um 15:02

Plus de 341 mille déchets ont été caractérisés sur 137 plages tunisiennes, au cours de la première phase du programme “Adopt a Beach” (Adopte une plage) mené par le Fonds Mondial pour la Nature (WWF) Afrique du nord et visant à surveiller et collecter des données sur les déchets marins et à sensibiliser à la pollution plastique en Méditerranée.

D’après le WWF-Afrique du Nord, les efforts menés par 91 équipes mobilisées par le programme, ont permis d’identifier la nature et la quantité des déchets sur les plages concernées et de les nettoyer en même temps..

Les déchets repérés sont, pour la plupart, des mégots de cigarettes, des morceaux de verre ou de céramique, des bouchons et couvercles en plastique pour boissons, des bouteilles en verre, des restes de sacs en plastique, des bouteilles en plastique et des canettes métalliques

Selon le WWF, la Tunisie est l’un des pays méditerranéens les plus touchés par la pollution plastique. D’après le ministère tunisien de l’Environnement, le pays génère plus de 2,5 millions de tonnes de déchets par an, les déchets plastiques représentant environ 10 % de ce total. 500 000 tonnes de déchets plastiques finissent en mer chaque année, causant de graves dommages environnementaux aux écosystèmes marins et nuisant à la santé humaine.

Lancé en collaboration avec les bureaux WWF en Grèce et en Turquie, le programme “Adopt a Beach” a pour objectif d’encourager les bénévoles, les écoles et les organisations à “adopter” des plages spécifiques en Tunisie, en Grèce et en Turquie pour surveiller et collecter des données sur les déchets marins.

En Tunisie, ce projet d’envergure nationale, vise à créer une plateforme nationale intégrée pour enregistrer la pollution plastique sur les plages avec la participation de citoyens actifs.

Les groupes participants ont été formés par WWF-Afrique du Nord à la procédure de surveillance appropriée à utiliser. Les actions sont répétées à intervalles réguliers sur chaque plage adoptée, aidant les groupes à identifier les solutions appropriées du problème et à favoriser un changement de comportement en ce qui concerne les plastiques.

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Change devises en dinar tunisien : Cours du 07 novembre 2025

07. November 2025 um 13:14

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.929 3.008
Euro EUR 1 3.368 3.446
Yen Japonais JPY 1000 18.886 19.597
Livre Sterling GBP 13 3.802 3.945
Franc Suisse CHF 10 35.709 37.243

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La Chine suspend ses restrictions sur les exportations de terres rares et lithium

07. November 2025 um 13:04

La Chine a annoncé la suspension de certaines mesures de contrôle des exportations qu’elle avait imposées le 9 octobre 2025. La décision concerne principalement des restrictions élargies sur des matériaux et équipements à base de terres rares, ainsi que sur des composants pour batteries au lithium, a précisé le ministère chinois du Commerce vendredi dans un communiqué officiel.

Durée et mise en œuvre de la suspension

Selon le ministère, ces suspensions sont effectives immédiatement et resteront en vigueur jusqu’au 10 novembre 2026. La mesure intervient dans un contexte mondial où les terres rares et les matériaux pour batteries sont stratégiques pour les industries de haute technologie et la transition énergétique.

Contexte économique et stratégique

La Chine est le principal fournisseur mondial de terres rares et de lithium, deux composantes essentielles pour la fabrication de batteries, d’équipements électroniques et de dispositifs industriels avancés. Les restrictions mises en place en octobre avaient suscité des inquiétudes sur les chaînes d’approvisionnement internationales, notamment pour les fabricants de batteries et de véhicules électriques.

La suspension de ces restrictions est susceptible d’apaiser certaines tensions commerciales et de stabiliser les marchés internationaux. Les analystes estiment que cette décision pourrait avoir un impact sur le prix des matières premières et sur la planification des industries dépendantes de ces matériaux.

Implications pour les acteurs mondiaux

L’annonce chinoise pourrait favoriser la reprise des exportations vers les marchés clés, offrant aux entreprises internationales plus de certitude dans leurs approvisionnements. Cette décision est également perçue comme une réponse aux pressions économiques et diplomatiques exercées par certains pays importateurs.

Le ministère du Commerce chinois a toutefois rappelé que ces mesures restent temporaires et pourraient être réévaluées en fonction de l’évolution du marché et des politiques industrielles nationales.

En résumé, cette suspension représente un mouvement stratégique de la Chine visant à réguler les flux de matériaux critiques tout en maintenant un contrôle sur les ressources stratégiques du pays.

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Nature et culture au centre du 12ᵉ symposium interdisciplinaire de l’UMA

07. November 2025 um 12:44

“Nature/Culture” est le thème de la 12ème édition du symposium interdisciplinaire de l’Université de La Manouba (UMA), qui se tiendra du 12 au 14 novembre 2025 au campus universitaire de La Manouba et à l’amphithéâtre Carthage Al Hadatha.

Pendant trois jours d’échanges inter-, multi- et transdisciplinaires, chercheurs, artistes, universitaires, diplomates et acteurs de la société civile échangent les réflexions sur les liens entre nature, culture et savoirs contemporains.

Le programme propose un large panel de conférences, de tables rondes et de masterclass autour de plusieurs thématiques, notamment “Nature/Culture dans le cinéma tunisien : regards croisés sur les représentations et les imaginaires”, “Que devient la culture à l’ère de l’intelligence artificielle et de la globalisation ?” etc.

Une exposition numérique et photographique de Basilio Rodríguez Cañada, photographe et président de l’Association espagnole des africanistes, sera également présentée, en plus d’une projection de courts métrages dans le cadre des Awards 2025 du challenge “Filmer la nature”. Une projection-débat autour du film tunisien “Les Assoiffés” de Ridha Tlili viendra enrichir la réflexion sur la représentation de la nature dans le cinéma tunisien.

Le symposium est organisé en partenariat avec les ambassades d’Espagne, du Venezuela, de Cuba et d’Argentine en Tunisie, ainsi qu’avec la Délégation de l’Union européenne en Tunisie.

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Incendies à Siliana : 1264 hectares de forêt perdus depuis janvier 2025

07. November 2025 um 12:23

Au gouvernorat de Siliana, 1264 hectares de tissu forestier ont été détruits par le feu depuis le début de l’année, ce qui représente des pertes estimées à plus de 227 millions de dinars, selon le président de la direction régionale des forêts Sabri Walani.

Il a souligné à l’Agence TAP qu’en moyenne 8 mille hectares de tissu forestier par an sont endommagés à l’échelle nationale, contre 600 hectares par an dans le gouvernorat de Siliana, mettant l’accent sur l’importance du renforcement des opérations de boisement.

Dans ce sens, la même source a fait savoir que 700 hectares sont programmés pour être plantés dans la région, ajoutant que le coup d’envoi de la saison de boisement sera donné dimanche prochain dans la foret de Daman El-Khir (délégation de Bargou) où un gigantesque incendie a eu lieu en 2022.

A noter qu’au gouvernorat de Siliana, les forêts couvrent 12 mille hectares, soit 30% de la superficie de la région, et comprennent notamment des arbres de pin d’Alep, de caroubier, de romarin et de thym.

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Tunisie : quelle leçon tirer du rebond économique américain ?

07. November 2025 um 12:19

L’Institut Arabe des Chefs d’Entreprise (IACE) estime que la Tunisie pourrait s’inspirer des résultats du protectionnisme aux États-Unis, mais de manière ciblée afin d’éviter les effets négatifs d’une politique générale. Cette analyse a été publiée vendredi dans une note intitulée “Quand le protectionnisme paye”.

Performance économique américaine relance le débat

Selon l’IACE, la relocalisation de la production et le soutien aux entreprises locales ont contribué à la croissance du PIB américain au deuxième trimestre, atteignant 3,8 % contre 3,3 % estimés. Au premier trimestre, le taux avait été négatif à -0,6 %. Parallèlement, les achats locaux de biens d’équipement ont augmenté, les demandes d’allocations chômage ont diminué et le dollar s’est raffermi de 0,66 % face aux grandes monnaies, malgré une baisse du taux directeur et les incertitudes liées à l’inflation.

Substitution aux importations et politique industrielle

Pour la Tunisie, l’IACE recommande la substitution aux importations dans certains secteurs industriels, déjà existants ou technologiquement accessibles, comme les industries mécaniques, électriques et de matériaux de construction. Cette politique nécessite un encadrement étatique et un soutien financier ciblé, semblable aux programmes tunisiens du siècle dernier ou aux récentes mesures américaines. Les mesures douanières pourraient être appliquées dans le respect des accords bilatéraux et multilatéraux.

Compensation commerciale et stimulation de la production locale

L’IACE suggère également de réintroduire la politique de compensation commerciale des années 1990, obligeant certains importateurs à acheter des produits locaux en proportion de leurs ventes. Cette approche peut concerner les véhicules, le textile et le cuir, et vise à stimuler production, emploi et croissance, bien que les prix des produits importés puissent augmenter.

Protectionnisme sélectif et accords internationaux

L’institut met en garde contre une application généralisée du protectionnisme. Les mesures doivent rester sélectives, graduelles et privilégier la qualité (normes, financement) plutôt que la quantité (taxes). Cette stratégie permet d’éviter les conflits avec les accords d’association, notamment avec l’UE, tout en ciblant les importations provenant d’Asie, comme la Chine ou la Turquie.

Leçons historiques et prudence

L’IACE rappelle que dans les années 1970, la Tunisie avait protégé certaines industries naissantes tout en développant le secteur offshore, ce qui avait permis une croissance annuelle moyenne du PIB de 7 %. La leçon demeure que le protectionnisme, bien étudié et ciblé, peut soutenir l’emploi et la compétitivité, à condition d’être accompagné de réformes et de mesures économiques efficaces.

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Économie de rente en Tunisie : quelles mesures pour renforcer la concurrence ?

07. November 2025 um 11:58

«L’économie tunisienne connaît depuis plusieurs décennies une dynamique freinée par la prédominance d’une économie de rente qui pèse lourdement sur son développement», a souligné l’Institut Tunisien des Etudes Stratégiques (ITES), dans une note qu’il vient de publier sur «la politique de lutte contre l’économie de rente en Tunisie».

D’après l’Institut, «plus de 50% des secteurs économiques en Tunisie sont soumis à des restrictions d’accès, ce qui empêche les nouveaux entrants de concurrencer les acteurs établis et limite la dynamique entrepreneuriale», entraînant «un manque à gagner de 5% de la productivité et la non création de 50 mille emplois annuels».

«L’économie de rente se traduit par la captation de richesses par des groupes bénéficiant de privilèges liés à des monopoles, des licences d’importation, des subventions ciblées, des crédits à taux préférentiels, ou encore des barrières administratives complexes » ; ce qui « bloque la concurrence, limite l’investissement productif, freine l’innovation, crée des distorsions de marché et nourrit les inégalités sociales », a relevé l’ITES.

Par conséquence, « la Tunisie fera face au creusement des inégalités économiques et sociales, à l’amoindrissement des capacités d’innovation dans l’économie, à la désaffection progressive des investisseurs privés, à la polarisation accrue du marché du travail, et au maintien d’une croissance faible »…«La rente détourne la richesse nationale vers des groupes minoritaires aux dépens de la majorité», selon le document.

Afin de faire face à ce problème, l’ITES recommande une série d’actions, à dessein de renforcer la concurrence, améliorer la gouvernance économique, protéger la classe moyenne, stimuler l’innovation, et favoriser une croissance durable et inclusive.

Il s’agit, tout d’abord de promouvoir une concurrence réelle et assainie, à travers le renforcement de l’indépendance du Conseil de la Concurrence, la révision des régulations sectorielles pour éliminer les protections excessives des groupes d’intérêt, l’interdiction formellement de toute exemption légale aux lois anti-cartels…

L’Institut recommande, aussi, de garantir la contestabilité des marchés (éviter les barrières à l’accès de nouveaux professionnels aux marchés publics…), grâce à la simplification des procédures d’attribution de concessions, licences…, à la lutte contre les barrières informelles (clientélisme…) par des mécanismes d’audit indépendants, à la facilitation de l’accès aux financements pour les PME et les start-ups, et à la mise en place des critères transparents pour l’éligibilité aux appels d’offres publiques.

Par ailleurs, il est conseillé de refondre le système fiscal pour restaurer l’équité, en veillant à supprimer progressivement les niches fiscales injustifiées, à renforcer la progressivité de l’impôt sur le revenu et les taxes sur la propriété, à numériser et centraliser les données fiscales pour réduire l’évasion, à mettre en place des dispositifs transparents de contrôle, et à lutter contre les privilèges fiscaux accordés à certains groupes, via des arrangements opaques.

L’ITES a proposé, en outre, de réorienter la politique d’investissement vers la valeur ajoutée, en simplifiant et unifiant le cadre réglementaire pour les investissements, en recentrant les aides et les subventions sur les secteurs à fort potentiel technologique et les PME locales, et en mettant en place un guichet unique dématérialisé pour l’ensemble des démarches, afin d’accélérer la création des entreprises.

Il a recommandé, également, d’améliorer la gouvernance économique et la transparence, à travers l’instauration d’un portail d’open data regroupant toutes les informations publiques, la publication régulièrement des bénéficiaires des concessions, marchés publics…, et la création des instances multi-parties pour le suivi des réformes.

L’effort doit être orienté, aussi, selon l’ITES, vers la réforme du système bancaire (renforcer la transparences sur les critères d’octroi de crédits, instaurer des dispositifs spécifiques d’accès au financement pour les PME innovantes…), à la réforme administrative (réduire les contacts physiques entre les acteurs économiques et l’administration, assurer l’archivage et l’auditabillité numérique de toutes les procédures économiques…), à la réforme foncière (publier les prix fonciers par zone géographique, mettre en place une taxation différenciée sur les plus-values foncières non productives ou spéculatives…), et à la réforme capital humain (assurer la transparence dans les recrutements publics, lutter contre les rentes d’accès au marché du travail, via les réseaux informels…).

L’ITES a assuré, finalement, que la lutte contre l’économie de rente « est un chantier majeur et complexe, nécessitant une coordination entre les différentes composantes de l’Etat, le secteur privé, la société civile, et les partenaires internationaux », ajoutant que « le succès dépendra non seulement des réformes techniques, mais aussi d’une volonté politique constante et partagée ».

Placé sous la tutelle de la Présidence de la République, l’ITES est un établissement public à caractère industriel et commercial, doté de la personnalité civile et de l’autonomie financière.

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Budget de l’État tunisien : rôle de la Banque centrale et indicateurs économiques clés

07. November 2025 um 11:45

Le gouvernement tunisien a choisi de recourir à la Banque centrale de Tunisie afin de mobiliser davantage de ressources nationales et préserver l’indépendance de la décision souveraine du pays, a déclaré Samir Abdelhafidh, ministre de l’Économie et de la Planification du Budget.

Cette annonce a été faite mardi soir lors de la séance plénière consacrée à la discussion des projets de budget de l’État et du budget économique pour 2026.

Trois sources principales de financement

Selon le ministre, le financement du budget national repose sur trois sources principales : la dette intérieure, la dette extérieure et les avances de la Banque centrale.
« Chacune de ces options présente ses avantages et ses limites, mais le choix demeure avant tout d’ordre politique », a-t-il précisé en réponse aux interventions des députés.

Indicateurs économiques encourageants

Samir Abdelhafidh a présenté plusieurs indicateurs économiques positifs pour le pays : une hausse de plus de 20 % des investissements étrangers, une baisse du taux de chômage à 15,3 %, la maîtrise du déficit budgétaire et une réduction de l’inflation à 4,9 %.
Ces performances ont contribué à l’amélioration de la notation souveraine de la Tunisie, selon le ministre.

Tourisme et climat des affaires

Le gouvernement entend renforcer le secteur touristique, notamment dans le sud du pays, via la diversification des activités et le soutien aux manifestations valorisant les produits locaux et le patrimoine régional.
Le ministre a également souligné que l’amélioration du climat des affaires est un processus continu, rappelant que plusieurs projets bloqués dans les régions ont pu être relancés.

Réforme des entreprises publiques et emploi

Abdelhafidh a insisté sur la nécessité de réformer les entreprises publiques, qualifiées de « lourd fardeau pour l’État », citant la Compagnie des Phosphates de Gafsa, la STEG et l’Office des céréales.
Il a ajouté que des mesures incitatives seront adoptées pour encourager les entreprises privées à recruter les diplômés de l’enseignement supérieur.

Réformes législatives en cours

Le ministre a indiqué que plusieurs projets de loi sont en cours d’élaboration dans différents ministères, notamment les codes des changes, des forêts et de l’investissement, afin d’apporter des avancées juridiques significatives.
Il a conclu en reconnaissant le mécontentement des députés face aux retards de transmission des projets, tout en saluant leur disponibilité à les examiner dès leur soumission.

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Monastir et Sousse : 2 km de route renforcée dans le cadre du Programme de Développement Régional

07. November 2025 um 11:40

Le coup d’envoi  des travaux de réaménagement et de renforcement de la route reliant la délégation de Sahline Mootmar (gouvernorat de Monastir) et la délégation de Zaouia-Ksiba-Thrayet (gouvernorat de Sousse) sur une longueur de 2 km, a été donné jeudi.

Ces travaux font partie de la troisième tranche du Programme de Développement Régional au gouvernorat de Monastir qui comprend également la réhabilitation et le pavage de la route reliant Chrahil et Sidi Bennour sur une distance de 1,3 km ainsi que la route menant au Stade municipal à Menzel Kamel sur une longueur de 1,5 km, pour un coût total d’environ 2,3 millions de dinars. Les travaux se poursuivront durant une période de 180 jours.

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Patrimoine tunisien : une série d’affiches met en lumière le musée du Bardo et le site d’Oudhna

07. November 2025 um 11:37

Dans le cadre de ses efforts pour faire connaître et valoriser les institutions muséales ainsi que les sites et monuments historiques, l’Agence de mise en valeur du patrimoine et de promotion culturelle (AMVPPC) a lancé une série d’affiches promotionnelles mettant en avant plusieurs trésors patrimoniaux emblématiques, notamment le musée du Bardo et le site d’Oudhna.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la stratégie de l’AMVPPC, qui vise à mettre en lumière la diversité géographique et culturelle du patrimoine tunisien tout en incitant le public à visiter ces témoins vivants de l’histoire et de la mémoire nationales.

Les affiches ont été installées aux principales entrées des villes et le long des circuits menant aux musées et sites archéologiques, leur offrant une visibilité marquante, capable de capter le regard des passants et d’éveiller leur curiosité.

Réalisées d’après une conception visuelle contemporaine, à la croisée du documentaire et de l’esthétique, ces affiches restituent aux espaces patrimoniaux leur place dans le paysage urbain et réaffirment leur rôle en tant que lieux vivants d’apprentissage et de découverte.

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BH Leasing : Thouraya Mzougui prend la direction générale par intérim

07. November 2025 um 10:59

Le conseil d’administration de BH Leasing a décidé, lors de sa réunion du 31 octobre 2025, de nommer Thouraya Mzougui à la tête de la Direction générale par intérim, en remplacement de Brahim Ammar.

Cette décision, prise à l’unanimité, est entrée en vigueur le jour même, selon un communiqué de la société.

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🚨 Transparence fiscale : la Tunisie avance… ou recule ?

07. November 2025 um 07:09
Caisse Enregistreuse
Caisse Enregistreuse

Souvent perçue comme un simple outil de transaction, la caisse enregistreuse incarne bien plus qu’un terminal de paiement. Elle structure le quotidien des commerçants, sécurise les flux financiers, facilite la gestion des stocks et garantit la transparence vis-à-vis des clients comme des autorités fiscales. Dans un contexte où la traçabilité, la rapidité et la fiabilité sont devenues des exigences incontournables, elle joue un rôle stratégique dans la fluidité des opérations et la crédibilité de l’établissement.

Qu’il s’agisse d’un petit commerce de quartier ou d’une grande enseigne, la caisse enregistreuse est le point de convergence entre gestion, relation client et conformité réglementaire.

Depuis des années, la traçabilité des opérations commerciales est au cœur des préoccupations fiscales en Tunisie. Et pour cause, non seulement la contrebande et ses acteurs animent des pans non négligeables de l’économie nationale mais aussi dans les secteurs de la consommation sur place — cafés, restaurants, bars, gargotiers — la fraude est facilitée par l’absence de facturation systématique.

Les clients, souvent des particuliers, n’exigent pas de facture, ce qui permet à certains établissements d’émettre des centaines de tickets sans les enregistrer en comptabilité.

Résultat : des recettes réelles largement sous-déclarées.

« Plus qu’un terminal de paiement, la caisse enregistreuse structure le quotidien des commerçants, sécurise les flux financiers et renforce la transparence fiscale. »

Une réforme attendue… et retardée

Face à ce constat, une loi a été adoptée en 2016, du temps de feu Slim Chaker, pour imposer l’usage de caisses enregistreuses dans toutes les activités de consommation sur place. Mais il a fallu attendre 2019 pour que le décret d’application voie le jour. Ce décret précise les obligations des deux parties : l’administration fiscale et les entreprises concernées. Il définit aussi les caractéristiques techniques des caisses, qui doivent être connectées à une plateforme du ministère des Finances, garantissant l’enregistrement simultané des opérations.

Les données saisies ne peuvent être modifiées ou annulées, et toute réparation ou changement doit être signalé à l’administration. En cas de panne, la durée de réparation ne doit pas excéder trois jours. Des sanctions sont prévues pour les contrevenants.

 Un calendrier progressif

L’arrêté fixant les dates d’entrée en vigueur publié le 14 octobre 2025 instaure l’obligation d’équiper les établissements de consommation sur place de caisses enregistreuses. Cette mesure sera mise en œuvre de manière progressive :

  • dès le 1er novembre 2025, elle concerne les restaurants touristiques, les salons de thé ainsi que les cafés classés en deuxième et troisième catégorie ;
  • Entre le 1er juillet 2026 et 2028, l’obligation s’étendra ensuite aux autres catégories d’établissements, avec une généralisation prévue d’ici 2028. Extension s’étendra aux autres établissements, jusqu’aux plus petits gargotiers.

Personne n’échappera à cette obligation. Le temps d’adaptation a été accordé, mais l’objectif est clair : mettre fin à l’opacité fiscale dans un secteur lucratif où l’État ne perçoit qu’une fraction des recettes réelles.

« Dans les cafés et restaurants, l’absence de facturation systématique permet encore d’émettre des centaines de tickets non déclarés. »

Une incohérence législative ?

Mais alors que cette réforme avance, une autre mesure phare est sur le point d’être supprimée : l’article 45, qui interdit les paiements en espèces au-delà de 5 000 dinars, notamment dans les transactions immobilières. Cet article impose la mention des références de paiement (chèque, virement, etc.) dans les actes de cession, garantissant une traçabilité essentielle.

Supprimer cet article serait un recul grave. Il a été contesté à ses débuts, mais il est désormais intégré aux pratiques courantes. Promoteurs et particuliers s’y sont habitués.

Pourquoi revenir en arrière ? Pour relancer une activité bloquée ? Cela reviendrait à légaliser l’illicite sous prétexte de crise économique. Qui en a eu l’idée et pourquoi l’avoir proposé ? Dans quel intérêt ? Et quels risques que la Tunisie, après l’abrogation de l’article en question soit de nouveau intégrée sur la liste grise du GAFI ?

« Revenir sur la limite des paiements en espèces affaiblirait la traçabilité et profiterait à ceux qui opèrent hors du cadre légal. »

Un signal dangereux

Dans un pays qui prétend défendre la transparence, lutter contre la corruption et garantir l’équité, la suppression de l’article 45 enverrait un signal contradictoire. Ce sont ceux qui disposent de liquidités non déclarées qui en profiteraient. Une telle proposition ne devrait même pas être envisagée.

Cette mesure ne relève pas d’un simple impératif fiscal : elle répond à une exigence internationale cruciale. En effet, la Tunisie court le risque d’être réintégrée sur la liste grise du GAFI, un groupe de juridictions sous surveillance renforcée pour leurs lacunes dans la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.

Une telle réintégration, bien qu’exempte de sanctions directes, pourrait gravement affecter la réputation du pays, freiner les investissements, et inciter les institutions financières à redoubler de prudence dans leurs opérations. La traçabilité des transactions, notamment en espèces, devient ainsi un enjeu de souveraineté économique et de crédibilité internationale.

La grande question est qui dessine les politiques économiques de la Tunisie et comment ?

Une question qui mérite réponse, le peuple a le droit de savoir !

Amel Belhadj Ali

Chiffres clés

  • 2016 : Année de la loi initiée par Slim Chaker pour encadrer la facturation dans les commerces de consommation.
  • 2019 : Le décret d’application établit la connexion obligatoire au ministère des Finances.
  • 2025–2028 : Mise en œuvre progressive selon les catégories d’établissements.
  • 3 jours : Délai maximum de réparation en cas de panne, sous peine de sanction.
  • 5 000 dinars : Seuil au-delà duquel les paiements en espèces sont interdits dans les transactions officielles.

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Gestern — 06. November 2025Haupt-Feeds

FIX’N’GO lance une application mobile innovante pour les automobilistes

06. November 2025 um 22:19

FIX’N’GO, leader de l’entretien automobile rapide en Tunisie, annonce le lancement officiel de sa nouvelle application mobile “MYFIXNGO”.

Cette application se présente comme un véritable carnet d’entretien digital pour les propriétaires de véhicules particuliers et les flottes et comprend un ensemble de fonctionnalités permettant aux conducteurs de gérer l’entretien de leur véhicule en toute simplicité générant un gain de temps appréciable.

« A travers cette nouvelle application, FIX’N’GO innove et se rapproche encore plus de ses clients pour leur offrir de nouveaux services connectés et modernes dans le cadre de sa stratégie d’amélioration continue de ses prestations », a déclaré à cette occasion M. Wissem Ammar, Directeur d’Exploitation de FIX’N’GO.

L’application MYFIXNGO permet par ailleurs de bénéficier d’une large panoplie de services allant de l’établissement du planning d’entretien constructeur (selon la marque, le modèle et le kilométrage du véhicule) à la possibilité de demander un devis en ligne tout en prenant un rendez-vous pour son véhicule. Ceci outre la possibilité de mémoriser et suivre l’historique des interventions.

Les clients et automobilistes y trouveront par ailleurs les offres et les promotions régulièrement proposées.

L’application inclut de même la géolocalisation des différents centres FIX’N’GO situés à Jbel Jloud, Boumhel, Mnihla, la Soukra, le Kram et depuis peu la station Agil sur la GP9 Tunis-La Marsa.

FIX’N’GO confirme à travers ce nouveau service son adaptation aux nouvelles attentes de ses clients et partenaires et sa stratégie de développement continu.

S’appuyant sur plus de 20 ans d’expérience et sur un engagement qualité reconnu, FIX’N’GO a bâti une solide réputation grâce à sa capacité à allier rapidité, qualité et accessibilité.

Certifiée ISO 9001 depuis 2005, l’entreprise place la satisfaction client au cœur de sa stratégie, une approche qui lui a valu la confiance de milliers de particuliers et d’entreprises, tous secteurs confondus.

Avec chaque intervention, FIX’N’GO propose un contrôle préventif gratuit comprenant plus de 59 points de vérification couvrant les principaux organes du véhicule. Cette démarche vise à garantir la sécurité, la fiabilité et la longévité de chaque voiture qui passe dans ses ateliers. Grâce à ce diagnostic complet, les techniciens peuvent anticiper d’éventuelles anomalies et conseiller le client sur les entretiens préventifs à prévoir, évitant ainsi des pannes coûteuses à long terme.

De grandes flottes professionnelles, incluant véhicules de tourisme et utilitaires, choisissent chaque jour l’enseigne FIX’N’GO pour leur entretien régulier et leurs interventions techniques.

Vidange, pneumatique, électricité, freinage, changement de batterie ainsi que climatisation et diagnostic électronique constituent les principaux services offerts en concordance avec les besoins des véhicules modernes et garantissent une prise en charge rapide, transparente et fiable.

Il est à rappeler que la facture pour chaque intervention réalisée est une garantie des pièces et main d’œuvre offerte aux clients.

Le personnel qualifié est formé pour accueillir et conseiller chaque client avec professionnalisme et attention.

Pour télécharger l’application : https://bit.ly/3JthxAo

 

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KIKO Milano poursuit son expansion en Tunisie et inaugure une nouvelle boutique à Tunis-Lafayette

06. November 2025 um 22:12

Dans le cadre de sa stratégie de développement en Tunisie, KIKO Milano, la marque N°1 de maquillage en Italie, annonce l’ouverture d’un nouveau point de vente à Tunis, au cœur du quartier animé de Lafayette.

Cette ouverture vient renforcer la présence de la marque sur le territoire et confirme son succès grandissant auprès des consommatrices tunisiennes.

Avec cette nouvelle adresse, le huitième point de vente de son réseau en Tunisie, KIKO Milano réaffirme sa volonté d’être toujours plus proche des femmes désireuses d’exprimer leur personnalité à travers la couleur, la créativité et l’innovation.

Depuis son implantation en Tunisie, la marque ne cesse de séduire une clientèle variée, fidèle et passionnée. Le lancement du site de vente en ligne www.kikocosmetics.tn a marqué une nouvelle étape dans cette croissance, confirmant un engouement constant tant en boutique que sur le digital.

Le nouveau magasin KIKO Milano Lafayette s’inscrit pleinement dans cette dynamique : un espace moderne, lumineux et immersif, pensé pour offrir une expérience beauté unique fidèle à l’univers de la marque.

Les clientes y retrouveront l’ensemble des gammes de maquillage, soins, accessoires, parfums et produits capillaires, ainsi que les collections en édition limitée qui font le succès international de KIKO Milano.

Comme dans tous les points de vente de la marque, des conseillères beauté expertes accompagnent les clientes dans le choix de leurs produits, en leur proposant des conseils personnalisés selon leurs besoins et leur style.

Conçus à Milan, capitale mondiale de la mode et du design, 99 % des produits KIKO Milano sont fabriqués en Europe, selon les standards les plus exigeants de qualité et de sécurité.

Avec plus de 1 200 références, KIKO Milano propose des produits performants, accessibles et inspirés de l’élégance italienne.

À propos de KIKO Milano

Fondée en 1997, KIKO Milano a pour mission d’encourager l’expression de soi à travers la couleur, la créativité et l’art du maquillage. Présente dans plus de 65 pays, la marque capte les tendances mondiales et y insuffle son style unique, inspiré de ses racines italiennes.

En Tunisie, KIKO Milano est représentée par le groupe UTIC et dispose désormais de huit boutiques :
Carrefour La Marsa, Manar City, Mall of Sousse, Mall of Sfax, Azur City, Tunis City, Le Bardo et, désormais, Tunis-Lafayette, en plus de sa boutique en ligne www.kikocosmetics.tn

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“Tunis Arkana” : le premier roman mystique de Sofiane Ben M’rad explore l’âme de la capitale

06. November 2025 um 22:05

Premier roman de l’auteur tunisien Sofiane Ben M’rad, “Tunis Arkana” vient de paraître aux Éditions Sikelli (414 pages). Thriller érudit et mystique, l’ouvrage entremêle histoire, mythologie et symbolisme pour explorer les zones d’ombre de la mémoire tunisienne.

Le roman, paru le 31 octobre, est désormais disponible dans les librairies de la capitale.

Troisième titre publié par Sikelli, Tunis Arkana se présente comme « un véritable tour de force : éveiller en chacun de nous une conscience plus profonde de notre mémoire collective », souligne l’éditeur.

Et si Tunis cachait plus qu’une histoire, mais une âme ? Dans “Tunis Arkana”, la Capitale devient le théâtre d’un voyage où le réel côtoie l’invisible, et où les secrets du passé refont surface sous la plume d’un conteur moderne.

Le roman imagine Tunis comme une porte vers l’invisible. Deux amis, au détour d’un voyage ordinaire, se retrouvent entraînés dans une aventure où le passé ressurgit, chargé de secrets et de révélations interdites. À travers la voix d’un vieil érudit, les siècles s’entremêlent : l’Europe des Lumières rencontre la Régence de Tunis, les sciences occultes croisent la mémoire des saints.

De Tripoli à la Zitouna, du Bardo à Byzance, Tunis Arkana fait voyager le lecteur dans un labyrinthe d’histoires et d’âmes où l’Histoire se confond avec la légende. « Chaque ville a son secret. Mais Tunis, elle, en a plusieurs », résume le récit.

L’intrigue s’ouvre sur une expérience mystérieuse menée dans un château allemand par un savant en quête d’un secret perdu. Cette quête le conduit, à travers une vision fulgurante, jusqu’à Tunis. Des siècles plus tard, un narrateur contemporain et son ami Tahar croisent le chemin de Slim Ben Raïes, conteur et gardien de secrets oubliés, qui leur révèle l’existence d’un trésor spirituel et historique caché à Tunis.

Entre princes, corsaires, francs-maçons et espions, le roman revisite les affrontements discrets entre Orient et Occident. Tunis Arkana mêle récit d’aventure et méditation sur la foi, la transmission et l’identité, offrant une réflexion sur la mémoire enfouie des villes et des civilisations.

Fin connaisseur de l’histoire ancienne et contemporaine de la Tunisie, Sofiane Ben M’rad signe un texte ambitieux, où le mystère se conjugue à la rigueur historique.

Fondée en 2025, la maison Sikelli se veut généraliste et ouverte à la diversité des voix littéraires et intellectuelles. Son nom rend hommage à Jawhar al-Siqilli (Sicile, 911 – Le Caire, 992), général sicilien et fondateur du Caire au Xe siècle. Par ce choix, l’éditeur inscrit son projet dans un héritage historique et universel, tout en affirmant son ancrage dans la création contemporaine.

 

 

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