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Festival international du film du Caire-Prix Parallèles: Deux distinctions pour le cinéma tunisien

21. November 2024 um 14:20

Le cinéma tunisien vient de remporter deux distinctions dans le cadre des prix parallèles de la 45ème édition du Festival international du film du Caire qui se tient du 13 au 22 novembre en Egypte.

Ainsi, le film « Mal Wa Banoun » de Houssem Sanassa, a obtenu une bourse de participation au Mosaik Post-Production Lab, décernée par The Royal Film Commission (RFC) de Jordanie.

De son côté, le film « Barsha » réalisé par Nada Mezni Hfaiedh a été récompensé par le prix « Rough Cut Lab Africa ». Ces distinctions font partie des prix parallèles du festival, en attendant l’annonce des lauréats des différentes catégories de la compétition officielle lors de la cérémonie de clôture.

Présenté en avant-première mondiale, le long-métrage « Nawar achiya » de la cinéaste et productrice tunisienne Khadija Lemkacher est en compétition officielle parmi une sélection de 17 films. Par ailleurs, le film « Qantra » de Walid Mattar, est en lice dans la section « Horizons du cinéma arabe ».

L’actrice tunisienne Dorra Zarrouk a lors de ce rendez-vous cinématographique présenté en avant-première son film documentaire « Win Sirna » (The Life That Remains), sa première expérience en tant que réalisatrice et productrice avec un film sur les conditions des réfugiés palestiniens.

Avec TAP

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Human Screen Festival 2024… et projections de films dans les régions

21. November 2024 um 14:30
Human Screen Festival 2024… et projections de films dans les régions | Univers News

TUNIS – UNIVERSNEWS (CULT) – Le Festival International du Film des Droits de l’Homme, Human Screen Festival – Karama Tunisie-, se déroulera dans sa neuvième édition du 27 au 30 novembre 2024, autour du thème « Féminicide, Paix et Sécurité ».

Organisé par l’association culturelle tunisienne pour l’insertion et la formation (ACTIF) avec le soutien notamment du Centre national du cinéma et de l’image (CNCI), ce rendez-vous cinématographique aura lieu à Tunis, Gabès, Zaghouan (Bir Mecherga et Hammam Zriba), Ben Arous (Mornag) et Bizerte.

La sélection de l’édition 2024 regroupe 52 films en provenance de 24 pays, dont 8 longs métrages fiction, 14 courts métrages fiction, 10 longs métrages documentaires, 11 courts documentaires et 9 films d’animation.

Le jury de la compétition des films documentaire réunit le producteur tunisien Habib Ben Hedi, la professeure universitaire Souad Zribi et le réalisateur-producteur-scénariste Akram Moncer. 

Le jury de la compétition des films fiction est formé de la réalisatrice, scénariste et productrice Mirvet Kammoun, de l’expert en production et assistance à la réalisation Hakim Abdelfattah et du compositeur et producteur de musique Rabii Zammouri.

Le festival invite à découvrir des perspectives issues de pays dont les cultures restent souvent méconnues. Il propose également des débats sur des questions cruciales touchant aux libertés individuelles et collectives, ainsi qu’à l’émancipation nationale et personnelle face aux multiples formes de l’hégémonie coloniale moderne.

Créé en 2012 par l’association ACTIF, Human Screen Festival Tunisie vise à promouvoir la culture des droits humains en Tunisie à travers le cinéma local et international, tout en assurant une ouverture sur les mouvements et changements qui s’opèrent à l’échelle mondiale.

Avec une sélection de 37 films issus de 16 pays, la huitième édition en 2023 a été placée autour du thème « Femmes, Paix et Sécurité ».

Festival international du film du Caire : deux prix pour le cinéma tunisien

Von: La Presse
21. November 2024 um 12:39

Le cinéma tunisien s’est distingué en remportant deux prix parallèles lors de la 45e édition du Festival international du film du Caire, qui se déroule en Égypte du 13 au 22 novembre.

Le film Mal Wa Banoun, réalisé par Houssem Sanassa, a décroché une bourse de participation au laboratoire Mozaïk pour la post-production, offerte par la Commission royale du film de Jordanie. De son côté, le film Barsha, réalisé par Nada Mezni Hfaiedh, s’est vu attribuer le prix Rough Cut Lab Africa. Ces distinctions viennent enrichir les récompenses parallèles du festival, en attendant la révélation des lauréats des prix officiels lors de la cérémonie de clôture.

La Tunisie est également représentée dans la compétition officielle par le film Nwaar Aachiya de la réalisatrice et productrice Khadija Lemkecher, qui sera projeté en avant-première mondiale aux côtés de 17 autres œuvres internationales. Par ailleurs, le film Kantra de Walid Mattar concourt dans la section Horizons du cinéma arabe.

L’actrice tunisienne Dorra Zarrouk a marqué cette édition en présentant son premier documentaire, Wen Sarna, une œuvre qui explore la condition des réfugiés palestiniens. Ce film constitue sa première expérience en tant que réalisatrice et productrice. Zarrouk a également pris part à une table ronde organisée jeudi sur le thème : “Cinéma palestinien et libanais – Histoires d’identité et de résilience”. Elle y a échangé aux côtés de figures du cinéma arabe, notamment Mai Masri, Najwa Najjar et Myriam El Hajj.

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Quand un média algérien découvre les maisons troglodytes tunisiennes

21. November 2024 um 10:55

« Douz, Toudjane, Matmata… Ces noms évoquent des paysages lunaires, des étendues de sable à perte de vue et, nichées au cœur de ces décors grandioses, des habitations aussi étonnantes qu’authentiques : les maisons troglodytes en Tunisie ».

Voilà l’entame d’un article du site algérien algerie360.com titré « A la découverte des maisons troglodytes en Tunisie : un voyage au cœur des forteresses du désert ».

Le média revient sur l’histoire des maisons troglodytes pour souligner que celles-ci ont été creusées dans la roche depuis des millénaires par les Berbères et sont des demeures souterraines qui « sont bien plus qu’un simple héritage architectural  […] Elles sont un témoignage vivant d’une ingéniosité ancestrale et d’une adaptation remarquable à un environnement hostile ».

Pour les touristes férus d’histoire et de découvertes archéologiques, ces villages et régions de la Tunisie valent bien un détour. Il s’agit entre autres de Matmata, Chenini, Douiret, Guermessa, Tamezret…

Algerie360.com se demande « pourquoi avoir choisi de vivre sous terre? »Et il répond en deux mots : « la survie ». Tout en expliquant : « Dans un environnement aussi extrême que le désert tunisien, où les températures oscillent entre des chaleurs torrides et des nuits glaciales, ces habitations offraient une protection naturelle idéale. Les murs de roche, épais et isolants, tempéraient les variations thermiques, créant un microclimat intérieur stable et agréable. De plus, ces demeures étaient discrètes, un atout précieux en des temps où les raids et les invasions étaient fréquents ».

 

Ces maisons troglodytes ont été creusées dans la roche depuis des millénaires par les Berbères et sont des demeures souterraines qui « sont bien plus qu’un simple héritage architectural […] Elles sont un témoignage vivant d’une ingéniosité ancestrale et d’une adaptation remarquable à un environnement hostile ».

 

La même source rappelle que c’est le 7ème art qui a permis aux maisons troglodytes tunisiennes d’acquérir une renommée mondiale. « Qui ne se souvient de la célèbre maison de Luke Skywalker sur Tatooine, dans la saga Star Wars ? ». Et de souligner que « c’est dans l’une de ces habitations, nichée au cœur du désert tunisien, que Georges Lucas a choisi de situer le berceau du célèbre Jedi.

A partir de là, les maisons troglodytes tunisiennes sont passées de l’ombre à la lumière, comme on dit, qui attirent de nos jours des milliers de visiteurs; mais pas suffisamment à notre sens compte tenu de leur potentiel.

En effet, il est souhaitable que les ministères de la Culture et du Tourisme conjuguent leurs efforts pour mettre en place une stratégie nationale internationale de promotion des maisons troglodytes en Tunisie. Car, certes beaucoup de Tunisiens ont entendu parlé de ces maisons authentiques, mais rares d’entre eux ont pu les visiter. Tout simplement parce qu’on n’a pas créé chez eux la curiosité, l’envie, voire la volonté, de le faire.

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Projet Maghroum’in : Soutien à l’inclusion des jeunes tunisiens à travers la culture et le sport

Von: walid
21. November 2024 um 11:41

La ministre des Affaires Culturelles, Amina Srarfi, a eu une rencontre, mercredi, au siège de son département, avec l’ambassadeur d’Espagne en Tunisie, Francisco Javier Puig SAURA, qui était accompagné d’une délégation.

La rencontre a porté sur « les perspectives de développer la coopération existante entre les deux pays dans le domaine culturel à travers l’échange d’expériences et d’expertises ainsi que la formation dans le domaine artistique », indique un communiqué du ministère publié dans l’après-midi.

La ministre des Affaires culturelles a souligné la nécessité de renforcer le partenariat bilatéral en matière de formation dans divers domaines tels que la restauration et la préservation du patrimoine ainsi le que les instruments de musique . A cet égard, la ministre a rappelé “l’histoire commune entre la Tunisie et l’Espagne”, lit-on encore.

Elle a également indiqué l’importance de développer les échanges culturels bilatéraux dans divers domaines dont les arts plastiques, la musique et la traduction aussi bien que les résidences artistiques organisées dans les deux pays.

L’ambassadeur espagnol a, de son côté, salué le partenariat culturel tuniso-espagnol, exprimant son “souhait de voir ce partenariat se développer et se diversifier davantage dans tous les domaines artistiques”, ajoute le communiqué.

Les deux parties ont également abordé le partenariat entre le Centre international de Tunis pour l’économie numérique (TICDCE) et l’Agence espagnole de coopération internationale pour le développement (AECID) visant à mettre en place des projets culturels créatifs destinés aux jeunes dans le cadre d’un « Hub créatif » via le projet « Maghrom’in » piloté par le TICDCE.

Notons que « Maghroum’in » est la composante 2 du programme EU4Youth de l’Union Européenne en Tunisie.

Le projet MaghroumIN a démarré en janvier 2022 et durera environ 5 ans. Il est doté d’une enveloppe budgétaire de 15,46 millions d’euros.

Ce projet est mis en œuvre par l’Agence Espagnole pour la Coopération Internationale au Développement et le British Council, avec la Fondation Internationale et Ibéroaméricaine pour l’Administration et les Politiques Publiques (FIIAPP) en tant que troisième partenaire co-délégué.

MaghroumIN vise le renforcement de l’inclusion et la participation des jeunes tunisiens en situation de vulnérabilité dans la vie publique à travers la création, la culture et le sport, tout en prenant en considération les différentes formes d’exclusion.

Remise du Prix « Abou El Kacem Chebbi » de la BT, ce samedi à Tozeur

21. November 2024 um 11:48
Remise du Prix « Abou El Kacem Chebbi » de la BT, ce samedi à Tozeur | Univers News

TUNIS – UNIVERSNEWS (CULT) – L’encouragement de la culture est l’une des honorables traditions de la Banque de Tunisie qui, fidèle à son engagement d’encourager la culture et la création intellectuelle et littéraire, vient d’annoncer que la remise du prestigieux Prix littéraire « Abou El Kacem Chebbi » se tiendra le 23 novembre prochain, dans la région de Tozeur. Pour cette édition, le Prix sera spécialement dédié à la poésie, offrant ainsi une tribune à l’expression artistique et littéraire dans le domaine de la poésie.

Étant donné que cette édition coïncide avec son 140ème anniversaire, la Banque de Tunisie a également annoncé l’attribution d’un autre prix spécial de la littérature arabe qui sera distribué au cours de la même cérémonie.

La Banque de Tunisie fut la première institution financière à parrainer des projets culturels et à encourager les écrivains et romanciers pour présenter des travaux de qualité. Pour cette édition, il est à rappeler que les candidatures pour ce prix ont débuté le 2 avril 2024 et clôturées le 14 juin de la même année.

La BT célèbre le 40ème anniversaire du Prix Abou El Kacem Chebbi

21. November 2024 um 09:56

Retour aux sources sur les lieux où tout a commencé, où est né et grandit notre légendaire poète Abou El Kacem Chebbi.

La Banque de Tunisie, fidèle à sa tradition, a choisi cette année la terre natale du poète, mort dans la fleur de l’âge, pour organiser et célébrer le 40ème anniversaire de la cérémonie de remise de prix Abou El Kacem Chebbi. L’événement aura lieu le samedi 23 novembre 2024 au mausolée Abou El Kacem Chebbi à Tozeur. Et ce, en présence d’un aréopage d’hommes et de femmes de lettres, de mécènes, responsables et de journalistes invités pour la circonstance.

Belle initiative qui se perpétue et se réinvente depuis 40 ans. Qui dit que les banques n’ont pas d’âme et de cœur et une sacrée mémoire?

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Quels sont les enjeux de la pêche durable pour les pays méditerranéens ?

21. November 2024 um 10:01

PoissonsUne vingtaine de pays méditerranéen dont la Tunisie ont adopté 17 importantes décisions, dont une douzaine de recommandations contraignantes pour améliorer la durabilité des pêches et de l’aquaculture en Méditerranée et en Mer Adriatique.

Rapportées, par l’observatoire national de l’agriculture (ONAGRI), ces décisions ont été prises, au cours de la 47ème session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM) de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), qui s’est tenue à Rome (Italie) du 4 au 8 novembre 2025.

Parmi les décisions adoptées figure « le renforcement des mesures relatives à la gestion de nombreuses espèces prioritaires de la CGPM, notamment l’anguille d’Europe, le corail rouge, la dorade rose, le merlu européen, la langoustine, le sprat, le turbot, le rapina veiné, l’aiguillat commun et l’esturgeon ».

Concernant l’aquaculture, les participants ont salué le progrès accomplis « en faveur du développement durable de ce secteur et ont décidé « de créer un réseau chargé de surveiller les maladies aquatiques et de réduire autant que possible les risques induits par le commerce ».

Par ailleurs, la déclaration de la 47ème session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a mis en relief les progrès sur le plan de la conformité et de l’application des règles pour lutter contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée. La Tunisie, qui compte 1300 kms de littoral, est particulièrement concernée.

A ce propose la réunion précitée a pris acte des avancées majeures qui ont été réalisées ces dernières années, faisant remarquer que la CGPM a joué un rôle déterminant dans les progrès réalisés par de nombreux pays dans la révision de leur législation nationale pour cibler spécifiquement la pêche illicite, non déclarée et non règlementée.

ABS

 

Tunisie : Dynamiser l’aquaculture par l’investissement et la coopération internationale

Von: hechmi
21. November 2024 um 09:11

La Tunisie, l’un des pays pionniers dans l’aquaculture en Méditerranée, œuvre à développer davantage ce secteur et à assurer la durabilité des systèmes de production, et ce, en misant notamment, sur la recherche scientifique, l’infrastructure et sur le renforcement des capacités des producteurs et des différents acteurs de cette filière, a assuré le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzedine Ben Cheikh, lors de l’ouverture des travaux de la 3e Conférence internationale annuelle de la section africaine de la Société mondiale d’aquaculture (Afraq24) qui se tient du 19 au 22 novembre courant à Hammamet.

Et d’ajouter que le pays entend, aussi, encourager l’investissement privé et renforcer les relations régionales, internationales et académiques, afin d’accélérer la transition vers des systèmes de production plus durables et innovants qui soient respectueux des écosystèmes dans les différentes phases de production.

Lors de cette conférence qui rassemble plus de 1100 experts et représentants d’agences africaines et d’organisations internationales comme la Banque mondiale et la FAO, le ministre a souligné que l’aquaculture figure parmi les secteurs les plus dynamiques à l’échelle internationale et connaît, ces dernières années, une croissance considérable dans les pays africains, faisant observer qu’elle constitue une solution permettant de surmonter les défis de la sécurité alimentaire et de la rareté des ressources hydrauliques dans le continent.

De son côté, Nadia Cherif, coordinatrice de la conférence et professeure à l’Institut National des Sciences et Technologies de la Mer (INSTM) a indiqué que cette rencontre revêt un caractère important dans le renforcement des partenariats et dans l’échange des expériences et expertises dans le domaine aquacole.

Elle a, par ailleurs, fait remarquer qu’une exposition dédiée aux dernières techniques de l’aquaculture se tient parallèlement à cette conférence, ajoutant qu’elle compte plus de 70 exposants internationaux.

Selon le responsable du Laboratoire d’Aquaculture Marine et Continentale de l’INSTM, Mohamed Salah Azaza, la production aquacole varie entre 21 et 22 mille tonnes en Tunisie, soit 13% de la production halieutique totale du pays.

La plupart des produits aquacoles sont destinés à la consommation nationale. Seulement 10% à 15% de ces produits sont exportés vers les pays arabes, européens et vers le Canada, a-t-il renseigné.

Il a, dans ce contexte, fait savoir que ce secteur compte aujourd’hui une trentaine d’entreprises en Tunisie, ajoutant qu’il fait face à de nombreux défis à l’instar des autres secteurs de l’agriculture, parmi lesquels la hausse du coût de la production.

 

Lassaad Ben Abdallah, de la scène à l’écriture romanesque

21. November 2024 um 09:45

L’homme de théâtre Lassaad Ben Abdallah passe de la scène à l’écriture littéraire en publiant son premier roman ‘‘Le citronnier malade’’ chez Contraste Éditions à Sousse.

C’est le second ouvrage de l’auteur publié par le même éditeur, après un étonnant essai au titre prémonitoire écrit pendant la pandémie ‘‘La fin tragique du théâtre… ?’’ publié il y a quatre ans.

Dans Notes confinées, nous plonge cette fois dans une saga qui s’étend sur trois générations, de 1942 à 2017.

À travers le destin croisé de Betbet, un receleur opportuniste, et de ses victimes, Sleh et Anouchka, l’auteur nous entraîne dans une intrigue, se déroulant sur fond de bouleversements historiques et qui au fur et à mesure prend le format d’un polar.

De la Tunisie du Protectorat français à celle des années 2000, le roman explore les méandres de la société tunisienne à travers les yeux de ses personnages complexes et attachants.

Un récit captivant, dont les événements se déroulent entre la banlieue nord de la capitale et le nord-ouest du pays, où le passé refait surface pour éclairer le futur.

Lassaad Ben Abdallah est metteur en scène, dramaturge et producteur de théâtre. Il a dirigé des compagnies publiques et privées à Tunis où il est né et dans différentes régions du pays. Programmateur et directeur artistique de plusieurs festivals et manifestations culturelles, il collabore avec des associations pour la mise en place de projets à caractère culturels.

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Le renforcement du partenariat culturel tuniso-espagnol à l’examen

21. November 2024 um 08:44
La ministre des Affaires Culturelles, Amina Srarfi, a eu une rencontre, mercredi, au siège de son département, avec l’ambassadeur d’Espagne en Tunisie, Francisco Javier Puig SAURA, qui était accompagné d’une délégation. La rencontre a porté sur « les perspectives de développer la coopération existante entre les deux pays dans le domaine culturel à travers l’échange […]

Au Théâtre Le Rio à Tunis : l’art au-delà des barrières

21. November 2024 um 08:49

‘‘الجبلEl’’ du metteur en scène italien Simone Mannino, une création théâtrale produite par Arts Distribution Le Rio et Nostra Signora, sera présentée le 23 novembre 2024, à 16h00, sur la scène de la salle Le Rio, au centre-ville de Tunis.

Cet événement, organisé dans le cadre du projet de l’Ensemble Théâtral Méditerranéen, se présente comme une réflexion sur les enjeux contemporains liés à la liberté d’expression et à l’évolution des systèmes démocratiques, des thèmes abordés au cœur de cette nouvelle création.

Pourquoi les organisateurs ont-ils fixé la représentation le jour même de l’ouverture des Journées Théâtrales de Carthage? C’est, répondent-ils, pour sortir des cadres et sauter les barrières. L’art comme résistance aux carcans institutionnels et officiels, en quelque sorte.

L’Ensemble Théâtral Méditerranéen œuvre au renforcement des liens culturels pour une meilleure compréhension entre les peuples du monde.

Héliogabale, l’ancien empereur de Rome (203 – 222), est né à une époque similaire à la nôtre, caractérisée par sa diversité ethnique et culturelle, marquée par une période d’opulence touchant à une fin inévitable, au seuil de transformations majeures. Navigant entre l’inexpérience politique et les projets grandioses, le populisme et le raffinement, tout cela confère au jeune Héliogabale un caractère exceptionnellement captivant et étonnamment contemporain.

Avec une distribution internationale d’artistes et d’acteurs provenant du bassin méditerranéen, le spectacle est un manifeste pour le dialogue interculturel, la liberté et la paix, explorant les liens entre genres et différentes cultures.

La performance d’une durée 110 minutes, qui aura lieu en italien, arabe et français, est enrichie par une scénographie visionnaire et multidisciplinaire ainsi qu’une bande sonore en direct, offrant au public une expérience théâtrale immersive et poétique.

D’après ‘‘Il Sole Invincibile’’ de Claudia Salvatori, avec des extraits de ‘‘Héliogabale ou l’anarchiste couronné’’ d’Antonin Artaud ; texte et adaptation: Claudia Salvatori, Simone Mannino; conception, scénographie et mise en scène: Simone Mannino; avec Maher Msaddek, Chiara Muscato, Aymen Mabrouk, Ruth Kemna, Haithem Moumni, Gisella Vitrano, Mariem Sayeh, Valeria Sara Lo Bue, Khouloud Jlidi; musique originale: Gaetano Dragotta, Ruth Kemna; conception sonore: Gaetano Dragotta; Costumes: Philippe Berson ; directeur technique et éclairage: Yazid Bel Hedi; assistante mise en scène: Amal Manai; assistante scénographie: Andrea Mannino; production des costumes: Azais Sartoria et Francesca Pipi; directeur de production: Habib Bel Hedi; production: Théâtre Le Rio, Atelier Nostra Signora, Ensemble Théâtral Méditerranéen.

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Gestern — 20. November 2024Haupt-Feeds

25e édition des Journées Théâtrales de Carthage (JTC): Pour plus d’inclusion

Von: La Presse
20. November 2024 um 21:45

Une table ronde sera aussi organisée dans ce sens, intitulée «Théâtre de l’intégration: expression et thérapie» qui abordera différentes expériences tunisiennes et discutera les perspectives, les impacts et les particularités.


Cette année encore, les JTC poursuivent leur démarche inclusive en tentant de rendre accessibles des expériences théâtrales à celles et ceux qui n’y ont pas toujours accès, entre autres les détenus et autres pensionnaires des centres carcéraux, auxquels le festival, à travers la section «Le théâtre la liberté», offre la possibilité de représenter devant un public leurs créations. Onze pièces de 11 institutions pénitentiaires à la section «Théâtre de la Liberté» figurent au programme avec plus de cent détenus qui prennent part à la 25e édition des Journées théâtrales de Carthage. Ces œuvres sont produites par les clubs de théâtre de 11 institutions pénitentiaires : les prisons civiles de Gafsa, Mahdia, Essers, Mornaguia, Sfax et Kébili, les centres de rééducation des mineurs délinquants à Oudhna, El Meghira, Mourouj et Sidi Hani, ainsi que la prison pour femmes de Manouba.

Lire l’intégralité de l’article dans notre version papier du 21 novembre 2024

 

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La salle de cinéma Amilcar rouvre ses portes avec le film événement “Bolice”

20. November 2024 um 21:53
La salle de cinéma Amilcar rouvre ses portes avec le film événement “Bolice”

La mythique salle de cinéma Amilcar, située au Menzah, rouvre ses portes pour accueillir les passionnés du grand écran. Forte de son riche héritage dans l’histoire cinématographique tunisienne, elle promet une expérience unique mêlant confort et luxe. Pour marquer cette réouverture, le film événement “Bolice” du réalisateur Majdi Smiri sera à l’affiche, offrant une occasion […]

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Le renforcement du partenariat culturel tuniso-espagnol à l’examen

20. November 2024 um 20:44

La ministre des Affaires Culturelles, Amina Srarfi, a eu une rencontre, mercredi 20 novembre, au siège de son département, avec l’ambassadeur d’Espagne en Tunisie, Francisco Javier Puig SAURA, qui était accompagné d’une délégation.

La rencontre a porté sur « les perspectives de développer la coopération existante entre les deux pays dans le domaine culturel à travers l’échange d’expériences et d’expertises ainsi que la formation dans le domaine artistique », indique un communiqué du ministère publié dans l’après-midi.

La ministre des Affaires culturelles a souligné la nécessité de renforcer le partenariat bilatéral en matière de formation dans divers domaines tels que la restauration et la préservation du patrimoine ainsi le que les instruments de musique . A cet égard, la ministre a rappelé « l’histoire commune entre la Tunisie et l’Espagne », lit-on encore.

Elle a également indiqué l’importance de développer les échanges culturels bilatéraux dans divers domaines dont les arts plastiques, la musique et la traduction aussi bien que les résidences artistiques organisées dans les deux pays.

L’ambassadeur espagnol a, de son côté, salué le partenariat culturel tuniso-espagnol, exprimant son « souhait de voir ce partenariat se développer et se diversifier davantage dans tous les domaines artistiques », ajoute le communiqué.

Les deux parties ont également abordé le partenariat entre le Centre international de Tunis pour l’économie numérique (TICDCE) et l’Agence espagnole de coopération internationale pour le développement (AECID) visant à mettre en place des projets culturels créatifs destinés aux jeunes dans le cadre d’un « Hub créatif » via le projet « Maghrom’in » piloté par le TICDCE.

Notons que « Maghroum’in » est la composante 2 du programme EU4Youth de l’Union Européenne en Tunisie.

Le projet MaghroumIN a démarré en janvier 2022 et durera environ 5 ans. Il est doté d’une enveloppe budgétaire de 15,46 millions d’euros.

Ce projet est mis en œuvre par l’Agence Espagnole pour la Coopération Internationale au Développement et le British Council, avec la Fondation Internationale et Ibéroaméricaine pour l’Administration et les Politiques Publiques (FIIAPP) en tant que troisième partenaire co-délégué.

MaghroumIN vise le renforcement de l’inclusion et la participation des jeunes tunisiens en situation de vulnérabilité dans la vie publique à travers la création, la culture et le sport, tout en prenant en considération les différentes formes d’exclusion.

Avec TAP

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Un nouveau générique du JT de la Télévision nationale tunisienne en préparation, signé Zied Zouari

20. November 2024 um 21:26
Un nouveau générique du JT de la Télévision nationale tunisienne en préparation, signé Zied Zouari

Le musicien et violoniste tunisien Zied Zouari a annoncé le début de l’enregistrement du nouveau générique du journal télévisé de la Télévision nationale tunisienne. Ce projet s’inscrit dans le cadre d’une initiative globale visant à moderniser le contenu audiovisuel de la chaîne. Dans une déclaration, Zied Zouari a exprimé son enthousiasme pour cette collaboration, affirmant […]

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Les spectacles tunisiens de la 25e édition des JTC 2024 (Vidéo)

Von: Yusra NY
20. November 2024 um 20:59

La 25e édition des Journées Théâtrales de Carthage (JTC 2024) se déroulera du 23 au 30 novembre 2024, sous le slogan «Le théâtre de toutes les résistances… l’art de la vie» avec une sélection de 125 spectacles issus de 32 pays arabes, africains et d’ailleurs.

Deux spectacles tunisiens figurent parmi 12 arabes et africains dans la course aux Tanits de cette 25e édition, dont la cérémonie officielle d’ouverture est prévue au Théâtre de l’Opéra à la Cité de la Culture.

Ci-dessous les spectacles tunisiens programmés dans le cadre de la 25e édition des Journées Théâtrales de Carthage :

  • Innocence – Houcem Sehli
  • Confessions – Mohamed Ali Said
  • Othello et après – Hammadi Ouhaibi
  • Le paradis des amoureux – Moez Achouri
  • Mère des Pays – Hafedh Khalifa
  • Kert – Mohamed Bousaidi
  • Portail 52 – Dalila Meftahi
  • Quelqu’un… – Marouen Missaoui
  • Pellicule – Nedra Toumi & Med chawki Khouja
  • Le Chemin – Saber Hammi
  • Vacarme – Kamel Alaoui
  • Poupées – Hatem Maroub
  • Impasse – Karim Achouri
  • Alinéation – Intissar Issaoui
  • Gona – Salle d’attente – Farhat Debbech
  • Untitled – Marwa Manai
  • MHAYER SIKA – Bechir Drissi
  • Comme quoi ! – Nasreddine Hajjaj
  • Atyef – Habiba Jendoubi
  • Au bord du délire – Walid Daghsni
  • Malédiction – Taoufik Jebali
  • Au violon – Mohamed Fadhel Jaziri
  • 21.24 – Youssef Bouajaja
  • Et Si – Fethi Akkari

Communiqué

Vidéo

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La Tunisie œuvre au développement de l’aquaculture (Ministre de l’Agriculture)

20. November 2024 um 18:55

La Tunisie, l’un des pays pionniers dans l’aquaculture en Méditerranée, œuvre à développer davantage ce secteur et à assurer la durabilité des systèmes de production, et ce, en misant notamment, sur la recherche scientifique, l’infrastructure et sur le renforcement des capacités des producteurs et des différents acteurs de cette filière, a assuré le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzedine Ben Cheikh, lors de l’ouverture des travaux de la 3e Conférence internationale annuelle de la section africaine de la Société mondiale d’aquaculture (Afraq24) qui se tient du 19 au 22 novembre courant à Hammamet.

Et d’ajouter que le pays entend, aussi, encourager l’investissement privé et renforcer les relations régionales, internationales et académiques, afin d’accélérer la transition vers des systèmes de production plus durables et innovants qui soient respectueux des écosystèmes dans les différentes phases de production.

Lors de cette conférence qui rassemble plus de 1100 experts et représentants d’agences africaines et d’organisations internationales comme la Banque mondiale et la FAO, le ministre a souligné que l’aquaculture figure parmi les secteurs les plus dynamiques à l’échelle internationale et connaît, ces dernières années, une croissance considérable dans les pays africains, faisant observer qu’elle constitue une solution permettant de surmonter les défis de la sécurité alimentaire et de la rareté des ressources hydrauliques dans le continent.

De son côté, Nadia Cherif, coordinatrice de la conférence et professeure à l’Institut National des Sciences et Technologies de la Mer (INSTM) a indiqué que cette rencontre revêt un caractère important dans le renforcement des partenariats et dans l’échange des expériences et expertises dans le domaine aquacole.

Elle a, par ailleurs, fait remarquer qu’une exposition dédiée aux dernières techniques de l’aquaculture se tient parallèlement à cette conférence, ajoutant qu’elle compte plus de 70 exposants internationaux.

Selon le responsable du Laboratoire d’Aquaculture Marine et Continentale de l’INSTM, Mohamed Salah Azaza, la production aquacole varie entre 21 et 22 mille tonnes en Tunisie, soit 13% de la production halieutique totale du pays.

La plupart des produits aquacoles sont destinés à la consommation nationale. Seulement 10% à 15% de ces produits sont exportés vers les pays arabes, européens et vers le Canada, a-t-il renseigné.

Il a, dans ce contexte, fait savoir que ce secteur compte aujourd’hui une trentaine d’entreprises en Tunisie, ajoutant qu’il fait face à de nombreux défis à l’instar des autres secteurs de l’agriculture, parmi lesquels la hausse du coût de la production.

Avec TAP

 

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Abdessalem El Oued réélu à la tête du Conseil oléicole international

20. November 2024 um 18:41

Abdessalem El Oued, membre du bureau exécutif de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), a été réélu, mardi 19 novembre, au poste de président du Comité consultatif du conseil oléicole international (COI), lors de sa 63e session, tenue à Madrid en Espagne, en présence de représentants de 23 pays producteurs d’huile d’olive.

L’un des principaux sujets à l’ordre du jour de cette réunion consacrée à la discussion du présent et de l’avenir de l’oléiculture fut le développement durable et la résilience climatique.

A cette occasion et réélu pour le mandat 2025-2026, El Oued a souligné l’importance de préserver un niveau de prix qui garantit des revenus respectables aux agriculteurs et leur permet de développer leurs productions et investissements.

Il a aussi mis l’accent sur l’importance d’encourager la consommation de l’huile d’olive à l’échelle mondiale, sachant qu’elle ne représente aujourd’hui que 2 % des huiles alimentaires consommées de par le monde. Il a suggéré à cet égard, de créer un comité de suivi au sein du COI pour suivre la réalisation de ces objectifs.

Il est important d’encourager la consommation de l’huile d’olive à l’échelle mondiale, sachant qu’elle ne représente aujourd’hui que 2 % des huiles alimentaires consommées de par le monde.

El Oued a, par ailleurs, plaidé pour la mise en place de mécanismes efficaces pour protéger les producteurs, préserver leurs droits fondamentaux et garantir la durabilité de la filière oléicole, ajoutant que garantir des revenus dignes aux agriculteurs est une condition essentielle pour une oléiculture durable.

Il a appelé à supprimer les taxes douanières sur l’huile d’olive entre tous les pays du monde, quel que soit le pays d’origine, en admettant la qualité comme étant la seule condition d’accès aux marchés mondiaux, et a suggéré d’organiser une grande campagne de promotion pour encourager la consommation d’huile d’olive, ce qui contribuerait à équilibrer l’offre et la demande, en particulier avec l’augmentation attendue du volume de production.

De son côté, le directeur exécutif du COI, Jaime Lillo, a mis l’accent sur l’importance de la sensibilisation à la valeur sanitaire de l’huile d’olive, en particulier de l’huile d’olive extra vierge.

Nécessité de supprimer les taxes douanières sur l’huile d’olive entre tous les pays du monde, quel que soit le pays d’origine, en admettant la qualité comme étant la seule condition d’accès aux marchés mondiaux.

Pour sa part, Joseph Profaci, représentant de l’Association de l’Amérique du Nord de l’Huile d’Olive (NAOOA), s’est dit préoccupé par l’intention de l’administration américaine nouvellement élue d’imposer des droits de douane sur les importations d’huile d’olive, ce qui pourrait limiter les quantités exportées vers le marché américain.

Le secteur oléicole étant confronté aux pressions croissantes du changement climatique, les participants ont discuté, généralement, des stratégies possibles d’adaptation pour assurer le développement de l’oléiculture, améliorer la production et les techniques de gestion de l’eau et des sols, et renforcer la biodiversité.

La production mondiale de l’huile d’olive est estimée à 3,3 millions de tonnes, avec des hausses de production prévues en Tunisie, en Espagne et en Turquie.

Avec TAP

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