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Gestern — 27. Juni 2025Haupt-Feeds

Droits d’auteur au cinéma : une journée d’étude pour moderniser le cadre légal en Tunisie

Von: La Presse
27. Juni 2025 um 21:48

À l’initiative du Syndicat indépendant des réalisateurs-producteurs tunisiens (SIRP) et sous l’égide du ministère des Affaires culturelles, une journée d’étude consacrée aux droits d’auteur et droits voisins dans le cinéma s’est tenue ce mercredi à Tunis.
Organisée en partenariat avec la direction générale des arts dramatiques et visuels, l’Organisme tunisien des droits d’auteur et des droits voisins (OTDAV) et le Centre national du cinéma et de l’image (CNCI), cette rencontre a réuni de nombreux professionnels du secteur audiovisuel et juridique.
Les échanges ont porté sur les enjeux de la propriété intellectuelle, les mécanismes de protection des droits des réalisateurs et des producteurs, ainsi que les défis juridiques et institutionnels liés à l’évolution technologique et numérique du secteur.
Dans un contexte de transformations rapides du paysage audiovisuel, cette journée a été saluée comme une étape stratégique vers la modernisation du cadre légal encadrant la création cinématographique en Tunisie. Elle a permis de poser les bases d’une réflexion collective sur les moyens à mettre en œuvre pour renforcer les droits des auteurs et adapter les textes aux nouvelles réalités du métier.
Le Syndicat indépendant des réalisateurs-producteurs a exprimé ses remerciements à l’ensemble des partenaires et intervenants pour leur contribution au succès de cette journée, soulignant l’importance d’un tel événement pour impulser une dynamique de réforme au service de la création artistique nationale.

Medina Book Club | Rencontre littéraire au Club Tahar Haddad

Von: Yusra NY
27. Juni 2025 um 22:43

Le Club Culturel Tahar Haddad de Tunis accueille, demain samedi 28 juin à partir de 10h, le Medina Book Club pour un moment de partage autour des livres.

Venez papoter de vos lectures, découvrir celles des autres, et passer un bon moment ensemble, commentent les organisateurs, qui promettent aussi une occasion de rencontrer des personnes qui aimeraient aider pour faire revivre le club.

« Communication, graphisme, modération… peu importe votre talent, on a besoin de vous ! », ont-ils précisé.

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Les derviches tourneurs au RIO : Un rituel mystique séculaire

27. Juni 2025 um 18:50

C’est une expérience mystique qui puise ses origines dans la philosophie du poète et mystique soufi Jalâl ad-Dîn Rûmî. « Tous les savoirs nous invitent à une quête introspective, un retour vers soi-même pour se découvrir, car c’est en explorant les profondeurs de l’âme que l’on peut commencer à déchiffrer les mystères de l’univers.

La Presse — Le 24 juin, Le Rio a accueilli un spectacle de l’ensemble de musique soufie et de derviches tourneurs de la municipalité de Konya en Turquie. La soirée a été organisée sous le patronage de l’ambassade de Turquie. en Tunisie, avec la collaboration de l’attaché culturel du ministère turc du Tourisme et de la Culture et de l’Institut Yunus Emre. De nombreux représentants diplomatiques ont été présents ainsi que des membres de la communauté turque vivant en Tunisie.

Devant une salle comble, SEM l’ambassadeur de Türquie à Tunis, Ahmet Misbah Demircan, a souligné dans son mot d’ouverture que ce spectacle est bien plus qu’une prestation artistique. C’est une expérience mystique qui puise ses origines dans la philosophie du poète et mystique soufi Jalâl ad-Dîn Rûmî.

«Tous les savoirs nous invitent à une quête introspective, un retour vers soi-même pour se découvrir, car c’est en explorant les profondeurs de l’âme que l’on peut commencer à déchiffrer les mystères de l’univers. Pour Mawlana Rûmî, la sagesse naît de la connaissance de soi, étape essentielle vers l’union avec la dimension divine », explique SEM l’ambassadeur.

L’ensemble d’artistes, constitué de 11 musiciens, 9 danseurs et un maître spirituel, est originaire de Konya, berceau de la danse soufie. C’est dans cette ville que Rûmi (1207–1273) vécut ses dernières années, laissant derrière lui un héritage profond qui continue de marquer le soufisme. Ce rituel des derviches tourneurs, très codifié, accompagné de musique traditionnelle et de chants religieux, est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2008.

Le spectacle a débuté, comme prévu, par la récitation d’un poème de Rûmî, dont les vers, empreints de sagesse, élèvent l’esprit et préparent le cœur des spectateurs à une expérience mystique intense. Cette introduction sacrée a laissé place aux premières notes des cordes et percussions qui ont doucement installé l’atmosphère avant l’entrée solennelle des danseurs, guidés par leur maître spirituel.

Les tenues, conformément aux rituels, ont été faites de chapeau en poil de chameau avec une longue robe blanche qui symbolise le linceul couverte d’un mante au noir incarnant la tombe. Après des tours de marche lente, les derviches ont retiré leurs manteaux pour tourner de manière plus rapide et continue.

Ces mouvements exécutés dans un rythme hypnotique et fluide font écho à la rotation des planètes autour du soleil.En effet, si l’on remonte aux origines de cette tradition, Rûmî croyait que le corps, en tournant sans fin, pouvait se fondre dans une communion divine, transcendant ainsi les limites terrestres. La danse des derviches a été alors conçue comme une forme d’appel au divin, un acte d’amour pur, dans lequel le corps et l’esprit se rejoignent pour entrer en communion avec l’univers.

Avec leurs gestes fluides et leurs robes flottantes, les derviches se sont élancés, les yeux fermés, dans une chorégraphie où la danse devient prière et la musique un guide vers le divin. Les musiciens ont monté en parallèle le rythme de leurs chants soutenus par des instruments traditionnels dont le nay, l’oud et le qanun. 

Cette valse sacrée, à la fois empreinte de spiritualité et d’une grande finesse artistique, a captivé l’ensemble du public. La vitesse des rotations qui augmente et la musique qui s’intensifie ont créé une poésie visuelle rare. Et, pour souligner davantage l’aspect spirituel et religieux de la soirée, la chorégraphie a été suivie par des prières et une récitation de versets du coran.

L’émotion était palpable parmi les spectateurs, dont un grand nombre assiste à cette performance authentique pour la première fois. Une ovation chaleureuse a suivi la représentation, signe du profond écho suscité par cette expérience artistique et mystique à la fois.

Porté par une mise en scène raffinée et une performance d’une grande intensité, le spectacle des derviches tourneurs a été une découverte de la profondeur de la sagesse soufie.Ce rituel perdure encore aujourd’hui, à la fois comme pratique spirituelle et spectacle traditionnel. En plus du divertissement, cette représentation a agi en un véritable pont artistique, invitant  à s’ouvrir à la diversité culturelle avec respect et émerveillement.

Un vernissage pas comme les autres : Faïrouz, mélodies et couleurs

27. Juni 2025 um 18:20

La Presse — La galerie d’art Sophonisbe de la municipalité de Carthage a accueilli, jeudi 21 juin dernier, une manifestation culturelle « hybride » qui mariait musique et peinture. Cet événement a été organisé à l’initiative du Club de chant Jârat el-Kamar. Ce club a été fondé en 2019 par la chanteuse Hajer Bouzid, artiste militante qui voue la plus grande admiration à la diva libanaise Faïrouz à laquelle elle a emprunté le titre de l’une de ses plus belles chansons pour en faire l’enseigne de ce groupe.

Celui-ci comprend un orchestre de 9 musiciens et 28 choristes, exclusivement féminines, affectueusement surnommées Kmaïrât, et dont le répertoire est quasi uniquement composé de chansons de Faïrouz. A travers ses prestations, ce groupe ne vise pas seulement à célébrer l’incomparable œuvre des Rahabani père et fils qui ont fait de leur épouse et mère une véritable star qui illumine la planète musicale bien au-delà de leur Liban natal et du monde arabe qu’ils ont doté de l’un de ses patrimoines le plus précieux.

Il s’emploie aussi sans relâche depuis sa création à associer ses prestations artistiques à des valeurs de partage et de solidarité avec les causes nobles. « Un pont de musique et de lumière pour l’espoir, parce que l’art n’a de sens que s’il se met au service des hommes. » Voilà la devise de ce groupe qui multiplie les événements, d’ordinaire organisés le jeudi, à travers les quartiers et les villes pour porter le bon message mais aussi pour élargir les horizons, les siens propres et ceux de son public de plus en plus nombreux, à travers des manifestations parallèles qui varient d’une fois à l’autre.

A l’espace Sophonisbe, les organisateurs ont choisi de mêler les arts plastiques à la fête. Une exposition comprenant une majorité d’œuvres picturales mais également des compositions variées à base de tissus, de végétaux, etc. Toutes ont été inspirées par les chansons de Faïrouz dont elles ont emprunté le titre pour figurer sur le cartel, ainsi que les premières paroles pour éclairer la création.

65 œuvres, au total, ont été accrochées pour cet événement. 24 artistes, des femmes, y ont participé aux côtés de…trois hommes. Il y avait là des talents confirmés mais l’écrasante majorité de ces œuvres sont le fruit d’une vocation cultivée de manière spontanée. Et, s’il y a eu quelques acquisitions, il n’en est pas moins évident que c’était vraiment l’art pour l’art qui a motivé les participants, pour la plupart membres du Club. 

Voilà donc « Mélodies et toiles » (titre de la manifestation) qui ont plongé l’assistance dans des moments de pure délectation.

Tunisie – Gaza : trois poètes tunisiens dans la mobilisation du Mouvement Poétique Mondial pour la paix

27. Juni 2025 um 15:42

“Ecrire et lire des poèmes ne suffira pas à éteindre la guerre à Gaza ni à empêcher l’extermination du peuple palestinien. Mais cela s’inscrit dans la trame d’une révolution poétique mondiale, destinée à secouer l’esprit confus de notre espèce et à la ramener vers les grands idéaux oubliés de l’Humanité… Et si les peuples du monde sont convaincus qu’ils continueront à défendre l’esprit humain et à poursuivre le rêve de vivre en paix, il est tout aussi vrai que la poésie, voix de l’Humanité, incarne ce rêve”.

Ce sont quelques extraits de la Déclaration du comité de coordination du Mouvement Poétique Mondial (World Poetry Movement WPM), dans le cadre de l’appel lancé aux poètes du monde entier pour une vaste mobilisation poétique “Le Chant d’amour du monde pour Gaza”.

Prévue les 28 et 29 juin 2025, cette action en ligne rassemblera 170 poètes issus de 110 pays, dont la Tunisie, pour une série de lectures poétiques des quatre coins du monde. Cette initiative du WPM, présidé par le poète, journaliste et éditeur colombien Fernando Rendón, se veut d’une ampleur sans précédent, tant par sa portée organisationnelle que par son impact symbolique et humain.

Trois poètes pour représenter la Tunisie

Dans cet élan poétique de solidarité, l’événement prend forme grâce à l’engagement de 76 coordinateurs mobilisés aux quatre coins du monde. Contacté par l’agence TAP, Radhouane Ajroudi, coordinateur du WPM en Tunisie, a précisé que trois poètes ont été choisis par le Mouvement poétique mondial pour représenter chaque pays. Pour la Tunisie, il s’agit de Ahmed Zaabar, poète vivant à Londres, de la poétesse Faten Guemri et du poète Radhouane Ajroudi.

Les lectures, enregistrées sous forme de vidéos sous-titrées en anglais et en espagnol, seront diffusées en ligne à partir du 28 juin à 14h00 GMT depuis Medellín (Colombie), via les réseaux sociaux du mouvement, notamment Facebook et YouTube. Par ailleurs, une quinzaine de poètes de Tunisie, d’Algérie, du Maroc, du Moyen-Orient et du monde arabe participeront à une action nationale en Tunisie, dans le prolongement d’une première initiative organisée en mai dernier baptisée “Toute la poésie du monde avec Gaza”, diffusée notamment sur la page du WPM-Tunisia.

Le Mouvement mondial de la poésie se définit comme une coordination internationale rassemblant plus de 2 150 membres, 187 festivals et 118 associations partenaires. Son siège se trouve à Medellín, en Colombie, qui s’apprête à vivre du 5 au 12 juillet 2025 au rythme de la 35ème édition du Festival international de poésie de Medellín, où de nombreux prix seront remis dont le prix “Mahmoud Darwish”.

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Gabès : Le projet Farhet El Hicha s’étend sur 10 hectares supplémentaires

27. Juni 2025 um 11:25

À Oudhref, dans le gouvernorat de Gabès, les travaux d’extension du projet agricole Farhet El Hicha avancent à un rythme soutenu.

Ce projet, fruit d’un partenariat entre la Tunisie et les Pays-Bas, explique-t-on, vise à renforcer la production de primeurs, en particulier les tomates cultivées sous serre. C’est ce que rapporte l’agence TAP

L’extension en cours prévoit l’aménagement de 10 hectares supplémentaires, pour un coût estimé à 35 millions de dinars. Une fois achevée, la superficie totale exploitée atteindra 60 hectares, représentant ainsi 50 % de l’investissement total annoncé par la société néerlandaise, selon Néjib Zarrouk, partenaire tunisien du projet.

Lire aussi: Tunisie – Pays-Bas : Reinette Klever visite le projet Farhet El-hicha à Gabès

Cette expansion devrait permettre la création de 210 emplois additionnels, portant le nombre total de postes à 1 700. Par ailleurs, les exportations de tomates passeront de 15 000 tonnes actuellement à 18 000 tonnes à l’horizon 2026.

En parallèle, une station de dessalement d’eau est en cours de construction. Dotée d’une capacité de 15 000 m³ par jour, elle devrait fournir 75 000 m³ d’eau d’irrigation d’ici fin avril 2026. Cette capacité sera doublée quelques mois plus tard, en septembre de la même année plus précisément, pour répondre à la demande croissante.

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Le compositeur de Mission impossible tire sa révérence

27. Juni 2025 um 11:16

Le monde artistique est en deuil. En effet, le compositeur argentin Lalo Schifrin, célèbre pour avoir signé le mythique thème de « Mission: Impossible », s’est éteint à l’âge de 93 ans.

Le compositeur emblématique de la série Mission impossible et de films cultes tels que Bullitt, L’Inspecteur Harry ou encore Opération Dragon est décédé jeudi 26 juin à l’âge de 93 ans, des suites d’une pneumonie.

Né en 1932 à Buenos Aires dans une famille de musiciens, Schifrin montra très tôt un talent exceptionnel. Celui lui a permis, grâce à son professeur, d’obtenir une bourse pour étudier à Paris, alors en pleine effervescence jazz dans les années 1950.

L’Académie des Oscars a rendu hommage à Lalo Schifrin, jeudi 26 juin, sur X en déclarant : « Le compte à rebours débute, la mèche s’enflamme, la musique s’élance, et soudain, vous êtes plongé au cœur de l’action. Voilà tout le génie de Lalo Schifrin. » Elle a souligné que l’artiste « ne se contentait pas de composer, il créait du suspense, faisait monter l’adrénaline et insufflait un rythme haletant aux récits ». Elle a salué « un compositeur capable de transformer chaque battement en frisson et chaque silence en tension palpable ».

Le secrétaire à la culture argentin, Leonardo Cifelli, a de son côté déclaré sur son compte X : « C’est avec une grande tristesse que nous recevons la nouvelle de la perte de Lalo Schifrin, un génie musical qui a transcendé les frontières et les générations et dont l’héritage s’étendra à jamais dans l’histoire culturelle de notre pays et du monde ».

Lalo Schifrin, pianiste et chef d’orchestre argentin naturalisé américain, a marqué l’histoire du cinéma avec plus de cent compositions pour le grand écran. Nominé six fois aux oscars, il a reçu en 2018 un Oscar d’honneur.

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Festival arabe de la radio et de la télévision : La Tunisie distinguée par quatre prix

Von: La Presse
27. Juni 2025 um 10:25

La Tunisie a brillamment marqué la 25e édition du Festival arabe de la radio et de la télévision, organisée par l’Union des radios et télévisions arabes (ASBU), du 23 au 26 juin 2025 à la Cité de la Culture Chedly Klibi à Tunis. La cérémonie de clôture, tenue jeudi soir au Théâtre de l’Opéra, a révélé un palmarès riche dans lequel la Tunisie s’est distinguée à quatre reprises.

L’Établissement de la télévision nationale tunisienne a été doublement récompensé : il a obtenu le premier prix dans la catégorie « programmes de débat » pour l’émission Iradat al-Hayat (Volonté de vivre), et le deuxième prix en « nouveaux médias » pour la coproduction La Tunisie et Malte, mémoire de la Méditerranée.

Du côté de la radio, l’Établissement de la radio nationale tunisienne a décroché le premier prix dans la catégorie dramatique (œuvres inspirées de la littérature mondiale) avec la production Les règles de l’amour… en quête de soi.
La radio privée Diwan FM a également été distinguée en remportant le premier prix des programmes sportifs (spécial sport féminin) grâce à son émission Championnes d’or.

Cette édition a rassemblé 299 œuvres – 145 productions radiophoniques et 154 télévisuelles – issues de 15 pays arabes et partenaires : Tunisie, Palestine, Qatar, Émirats, Arabie saoudite, Chine, Algérie, Maroc, Égypte, Irak, Soudan, Liban, Jordanie, Oman et Koweït. 109 radios et 107 chaînes TV ont concouru officiellement, accompagnées de 83 participants aux compétitions parallèles.

La clôture a été marquée par un spectacle poético-musical intitulé Le cheval et la nuit, une création de Karim Thlibi, dirigée par Raçem Dammak, qui a fait voyager le public entre poésie classique arabe et envolées musicales contemporaines, dans un hommage vibrant à l’identité culturelle arabe.

Aujourd’hui… festival de l’épervier d’El Haouaria!!!

27. Juni 2025 um 10:10
Aujourd’hui… festival de l’épervier d'El Haouaria!!! | Univers News

TUNIS-UNIVERSNEWS- (CULT) – La ville d’El Haouaria abrite le fameux festival de l’épervier qui a lieu cette année du 27 au 29 juin 2025. Organisé par l’Association régionale des fauconniers du gouvernorat de Nabeul El Haouaria, le Festival de l’épervier d’El Haouaria se tiendra avec le soutien du ministère des Affaires culturelles.

Cette nouvelle édition essaie de promouvoir la culture et le patrimoine de la région sur un fond d’animation varié et alléchant avec au menu un concours de Ball trap au club des fauconniers, des exhibitions de fauconnerie, des spectacles de folklore, de cavalerie, de fantasia. El Haouaria compte environ 150 éleveurs d’éperviers et une dizaine d’éleveurs de faucon borni. Le club de la fauconnerie abritera, le samedi 28 juin, un séminaire scientifique intitulé : «Du local à l’international» qui sera consacré aux connaissances, compétences et traditions liées à l’art de la fauconnerie dans la région. Une exposition photographique sur la «mémoire d’El Haouaria» est prévue sur le même lieu.

La cérémonie d’ouverture sera marquée par un spectacle d’animation qui sera organisé à l’avenue Habib-Bourguiba. La soirée verra un évènement qui s’intitule : «La nuit des étoiles» qui sera organisé au club de la fauconnerie, en partenariat avec la Cité des Sciences de Monastir. (M.S)

Festival ASBU : quatre prix pour la Tunisie et une clôture avec « Le Cheval et la Nuit », une ode poético-musicale à une mémoire partagée

27. Juni 2025 um 10:32
La Tunisie a remporté quatre prix à la clôture de la 25ème édition du Festival arabe de la radio et de la télévision organisée du 23 au 26 juin 2025 par l’Union des radios et télévisions arabes (ASBU). Le palmarès des compétitions, officielle et parallèle, a été dévoilé lors de la cérémonie de clôture qui […]

Revue │ ‘‘Notre regard’’ pour accompagner le cinéma tunisien  

27. Juni 2025 um 08:19

La dynamique du cinéma tunisien et sa présence à l’échelle internationale ne sont plus à prouver. Aussi était-il important de l’accompagner par une revue tenue par des spécialistes et des critiques qui suivent son parcours depuis des décennies.

Voilà la revue ‘‘Notre regard’’, qui paraît à Paris, dont le numéro 3 (juin 2025) propose des entretiens comme celui de Selma Baccar ou des gros plans sur des films comme ‘‘Thalathoun’’ de Fadhel Jaziri ou des hommages rendus à Moufida Tlatli et Kahina Attia. L’actualité ne manque pas, Lotfi Achour et ses ‘‘Enfants Rouges’’.

La revue se veut aussi l’écho solide du cinéma arabe et africain de l’Algérienne Assia Djebar au Palestinien, Rachid Mashrawi et Malien Souleymane Cissé.

Fiches techniques, dossiers, datations, photos historiques, problématiques posées avec sérieux sur la production, le financement, l’industrie du cinéma, etc., font de cette revue bien imprimée et dans une mise en page agréable et accessible, un vrai outil de travail, outre ce qu’elle apporte comme plaisir de lecture.

Tahar Bekri

Contact : notreregard@cinematunisien.com

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Fadhel Jaziri hospitalisé : inquiétude autour de la santé du grand artiste tunisien

26. Juni 2025 um 21:48
Fadhel Jaziri hospitalisé : inquiétude autour de la santé du grand artiste tunisien

Le célèbre metteur en scène et artiste tunisien Fadhel Jaziri a récemment été admis à l’hôpital militaire de Tunis à la suite d’une crise de santé ayant perduré plusieurs jours. Son état, actuellement stable, fait l’objet d’un suivi médical attentif. Figure incontournable du paysage culturel tunisien, Jaziri a marqué des générations par son engagement artistique, […]

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« Le Cheval et la Nuit » clôture le festival de ASBU: Un tableau vivant de l’âme arabe

26. Juni 2025 um 19:42

Dans un monde morcelé, « Le cheval et la nuit » tente de rassembler. Karim Thlibi orchestre un récit en musique et en images, convoquant deux symboles universels de la culture arabe pour parler à l’âme : la liberté du cheval, le mystère de la nuit. Un voyage sensoriel d’une rare intensité que l’artiste orchestre tel un hymne visuel et musical.

En clôture de la 25e édition du Festival arabe de la radio et de la télévision, l’Opéra de la Cité de la Culture accueillera une création inédite : «Le cheval et la nuit», une immersion onirique signée Karim Thlibi. Bien au‑delà d’un simple concert, cette œuvre hybridaire tisse un pont entre mémoire collective et imaginaires contemporains, convoquant deux symboles puissants de la culture arabe : le cheval, emblème de majesté et de liberté, et la nuit, voile propice à l’introspection et à la rêverie.

L’ossature du spectacle repose sur 21 pièces, mêlant compositions originales et réinterprétations de chants classiques. Chaque séquence est pensée comme une scène visuelle et sonore : musiques, chants, lumières et projections dialoguent pour créer une écriture scénique évocatrice, où le temps suspend son cours.

Sept voix arabes, autant d’itinérances et d’univers poétiques, incarnent ce récit collectif.

Rassem Dammak

Le Marocain Radouane El Asmar navigue entre mélancolie traditionnelle et modernité urbaine. La Mauritanienne Mouna Dendeni exhale la douceur saharienne du chant Hassani. Le Saoudien Abdelmajid Ibrahim, à l’âme voyageuse, insuffle la chaleureuse influence des terres du Golfe, d’Egypte et du Maghreb. Christia Kassab, du Liban, mêle raffinement classique et langue familière. Souha Al‑Masri, du Yémen, prête à la création une profondeur mélodique ancrée dans son patrimoine. Ahmed Rebai, jeune chantre tunisien, incarne l’avenir du chant classique avec grâce et rigueur. Enfin, Baha Eddine Ben Fadhel, compositeur et orchestrateur tunisien, structure l’ensemble d’une architecture musicale solide et inventive.

Tous évoluent sous la baguette de Rassem Dammak, dont la direction fera vibrer la diversité des timbres arabes. L’orchestre devient un espace de dialogue entre les uns et les autres, un lieu où se mêlent les héritages vocaux et instrumentaux.      

Ce spectacle-anthologie ne suit pas un récit conventionnel mais propose un parcours intérieur, une construction symbolique nourrie d’éclats de mémoire, de fulgurances musicales et de silences habités.

À une époque où la fragmentation culturelle gagne du terrain, «Le cheval et la nuit» apparaît comme une réponse sensible et incarnée, un appel à l’union par l’émotion et la beauté.   

L’œuvre transpose dans le présent un vieux vers d’Al-Mutanabbi : «Le cheval, la nuit et le désert me connaissent». Mais ici, il ne s’agit pas seulement de se souvenir : il s’agit de recréer, de redonner vie à une appartenance vivante et plurielle, dans un geste artistique lumineux et fraternel.

Festival International du Cirque et des Arts de la Rue jusqu’au 29 juin: Le cirque s’invite dans nos rues

26. Juni 2025 um 19:30

Placée sous le thème  « L’art pour tous, l’art dans la rue», cette édition a mis à l’honneur des performances d’acrobatie et de jonglage, des spectacles de clowns comiques et des ateliers participatifs pour petits et grands.

La Presse — La 8e édition du Festival international du cirque et des arts de la rue bat son plein depuis quelques jours déjà, avec des spectacles gratuits en plein air dans les places publiques de plusieurs régions tunisiennes. Elle a réuni des artistes venus de 10 pays, dont la Tunisie, l’Italie, le Mexique, le Kenya, l’Argentine, le Chili et d’autres encore.

L’événement, qui est le premier en son genre en Afrique du Nord, est organisé depuis 2018 par le Paparouni Circus avec le soutien des ministères des Affaires culturelles, du Tourisme et de l’Artisanat.

Après une ouverture haute en couleur le 12 juin à l’avenue Habib-Bourguiba à Tunis, le festival a parcouru plusieurs villes tunisiennes, faisant escale le 13 juin à la corniche de Radès, puis le 14 juin devant la Maison de la culture de Mateur (gouvernorat de Bizerte), à Sfax le 21 juin, Sidi Bouzid le 22 juin, pour se poursuivre à Sousse aujourd’hui 26 juin avant de clôturer sa tournée à Zaghouan le 29 juin.

Placée sous le thème « L’art pour tous, l’art dans la rue », cette édition met à l’honneur des performances d’acrobatie et de jonglage, des spectacles de clowns comiques et des ateliers participatifs pour petits et grands.

En vue de soutenir les talents émergents, le festival a lancé, depuis 2024, une compétition nationale des arts du cirque. Cette compétition inédite en Tunisie donne l’occasion à de jeunes artistes tunisiens de se produire devant un jury national et de présenter leurs numéros au grand public.

 

Au programme aussi des workshops en arts du cirque et de la danse, de quoi permettre aux participants de perfectionner leurs compétences et d’élargir leurs horizons pour intégrer les écoles spécialisées dans les différentes disciplines.

Pour préparer le spectacle de clôture, une résidence artistique s’est tenue du 13 au 15 juin à la Maison de la culture Ibn Rochd à M’hamdia (Ben Arous), sur le thème « Appuie-toi sur moi », encadrée par Claudia Franco du Cirque Cometa (Italie).

Cirque Cometa est une compagnie italo-péruvienne de cirque contemporain, née de la rencontre entre deux parcours différents mais profondément liés, celui de Claudia Franco et Cristian Trelles. Tous deux diplômés d’écoles professionnelles de cirque, ils partagent la scène pour la première fois en 2015 au Pérou, et depuis, ils poursuivent ensemble leur chemin artistique.

Cartographie des politiques publiques du livre dans le monde arabe: Miroir d’un monde arabe en mutation

26. Juni 2025 um 19:30

Fruit de cinq années de travail coordonné par l’Alliance internationale de l’édition indépendante (Aiei), en partenariat avec le ministère tunisien des Affaires culturelles, l’Alecso et l’OIF, cette étude de 130 pages vise à fournir une base de données fiable sur les politiques publiques du livre dans 18 pays arabes.     

Au cœur d’une rencontre professionnelle exceptionnelle à Tunis, réunissant 30 maisons d’édition de 17 pays arabes et francophones, la Palestine s’est imposée non seulement comme sujet central, mais aussi comme révélateur des fractures et aspirations du secteur du livre dans le monde arabe. Cet événement, organisé dans le cadre du lancement de la «Cartographie des politiques publiques du livre dans le monde arabe», a dressé un tableau sans concession des défis structurels, tout en mettant en avant des dynamiques de solidarité éditoriale inédites.

Fruit de cinq années de travail coordonné par l’Alliance internationale de l’édition indépendante (Aiei), en partenariat avec le ministère tunisien des Affaires culturelles, l’Alecso et l’OIF, cette étude de 130 pages vise à fournir une base de données fiable sur les politiques publiques du livre dans 18 pays arabes. Toutefois, seules 11 ont pu être couvertes, en raison de contraintes majeures:  absence de données officielles, méconnaissance du cadre juridique par les professionnels et décalage entre lois et pratiques.

Parmi les principales recommandations : la réforme des cadres juridiques, la promotion de la liberté d’expression, le soutien à l’édition indépendante, la lutte contre le piratage et l’amélioration de la formation professionnelle, quasi inexistante dans la région. L’étude pointe également le manque criant de politiques culturelles claires dans certains pays comme le Yémen ou le Soudan, ainsi que le rôle trop exclusif des institutions officielles dans la définition de ces politiques.

Si les éditeurs palestiniens n’ont pu être présents, empêchés par la guerre en cours dans les Territoires occupés depuis octobre 2023, leur voix a résonné à travers les livres présentés par leurs confrères. Cette solidarité s’est matérialisée par la mise à disposition d’une collection d’ouvrages palestiniens pour échange de droits de traduction ou de réédition.

Des œuvres comme «Un pays appelé Jabalia» de Hassan Hamid, récit poignant d’un directeur d’hôpital à Gaza, «Portrait collectif d’une femme» d’Amal Ismail ou encore «Je ne partirai pas, mon histoire est celle de la Palestine» de Mohamed El Sabaaneh, bande dessinée en noir et blanc sur la résistance palestinienne, incarnent une littérature de témoignage, de mémoire et d’engagement. Autant de récits qui redessinent les contours d’une lutte pour la dignité, au-delà des frontières.

La cartographie révèle un paradoxe : alors que le livre est porteur de mémoire, d’émancipation et d’identité, les politiques publiques dans le monde arabe entravent souvent sa libre circulation. Les éditeurs dénoncent la censure — qu’elle soit administrative, judiciaire ou électronique —, la lourdeur des procédures fiscales, l’inadéquation des lois sur la propriété intellectuelle, et un manque flagrant de soutien à la traduction.

Par ailleurs, l’absence de statistiques fiables empêche une lecture claire des besoins et des évolutions du secteur. Dans ce contexte, les éditeurs indépendants jouent un rôle crucial mais sous-financé. La solidarité éditoriale, comme celle exprimée envers les éditeurs palestiniens, devient un levier de résilience et de création.

L’événement de Tunis n’a pas esquivé les enjeux futurs : les ateliers consacrés à l’intelligence artificielle ont posé la question de l’éthique, des droits d’auteur et du rôle de la technologie dans une industrie encore marquée par des outils traditionnels. Le professeur tunisien Hamadi Jaballah a rappelé combien, dans l’histoire du monde arabe, la publication de livres a souvent été synonyme de résistance, face à la répression politique ou religieuse.

La Tunisie, le Maroc, l’Algérie, l’Égypte ou l’Arabie saoudite ont également contribué à cette mosaïque éditoriale en présentant des œuvres traduites, rééditées ou engagées, telles que «Masque de la couleur du ciel» de Bassem Khondaqji, lauréat du «Booker du roman arabe» 2024, écrit depuis une prison israélienne, ou encore «Souvenirs de Jérusalem» de Sirine Husseini Shahid, mémoire historique d’un exil.

La cartographie initiée par l’Aiei ouvre une voie, mais reste inachevée. Le défi est double : construire des politiques publiques cohérentes, inclusives et transparentes, tout en préservant la liberté de création et la diversité éditoriale. La Palestine, bien que meurtrie, s’affirme comme un catalyseur symbolique, rappelant que la culture est un territoire de résistance autant que de dialogue.

Cette rencontre inédite à Tunis a permis de mettre en lumière l’urgence d’une réforme globale du secteur du livre dans le monde arabe. Une réforme qui passe autant par la volonté politique que par la mobilisation des éditeurs, auteurs, traducteurs et lecteurs. La Palestine y tient lieu de boussole morale et littéraire.

Synthèse Asma DRISSI avec TAP

« Trois lunes derrière une colline » au B7L9:  Une poésie pastorale née du silence

26. Juni 2025 um 18:10

Depuis l’enfance, passée dans les hauteurs de l’Atlas marocain, Abdellatif Fdil observe ces hommes veiller sur leurs troupeaux, silhouettes discrètes mais puissantes. Leur présence, leur rapport au vivant, leur lenteur essentielle, sont autant de gestes qui le touchent.

Une très belle œuvre cinématographique est à découvrir au centre d’art B7L9 à Bhaz Lazreg aujourd’hui jeudi 26 juin 2025. Il s’agit du documentaire «Trois lunes derrière une colline» du réalisateur marocain Abdellatif Fdil. Il y explore la force d’un émoi, presque instinctif, porté par une fascination intime pour la figure du berger.  C’est un poème amazigh, qui a animé le cinéaste pour concevoir son documentaire. L’histoire commence à l’aube d’un printemps agréable, promettant une belle inspiration poétique. Chaque jour, les bergers se préparent, à leur façon, à escorter leurs animaux pendant des jours jusqu’aux contreforts des montagnes. Là, où la solitude annonce leur transformation utopique en poètes bergers. Ils rendent la poésie populaire, réécrivent l’histoire de leurs régions et rejoignent les arènes poétiques qui sont organisées lors des célébrations locales…

«Trois lunes derrière une colline», c’est surtout l’histoire de rencontres avec 5 bergers-poètes dont Zaid Ouzdig (73 ans), Sidi Amer, pionnier de la chanson amazighe dans la région Mbark El Moudden (27 ans) d’Aghdou à Ait Hdidou et Itto Zaqa (75 ans) qui ont tendance à commencer leurs «Timdyazin» (pluriel de «tamdyazt», qui sont de longs poèmes dans la poésie amazighe, souvent considérés comme des chroniques de la société) par la fin. Les «Timdyazin» que le réalisateur déterre dans mon film expriment une vision de l’existence et de la vie, un souffle omniprésent dans toutes les activités de l’homme amazigh: naissance, mariage, cueillette, tissage, moisson, fêtes, rites, etc..  Les Amediyaz (poètes amazighs) sont des figures singulières qui incarnent une parole vivante, enracinée dans l’oralité et l’improvisation. Une parole poétique qui s’ancre autant dans la mémoire que dans la voix, le chant, la musique ou encore la danse. Elle se manifeste dans les gestes, les intonations, les silences, les instruments, les rituels festifs ou religieux, et même dans les réactions du public. Tous ces éléments constituent la trame sensible de cette poésie orale — et, par extension, celle du film. 

Depuis l’enfance, passée dans les hauteurs de l’Atlas marocain, Abdellatif Fdil observe ces hommes veiller sur leurs troupeaux, silhouettes discrètes mais puissantes. Leur présence, leur rapport au vivant, leur lenteur essentielle, sont autant de gestes qui le touchent.

Dans ces régions, il est d’usage d’inviter des «Amediyaz» à chanter lors des fêtes et mariages. Ces bergers deviennent alors, le temps d’une célébration, des passeurs de poésie et de mémoire. Le tournage du film a eu lieu dans les montagnes du Moyen Atlas où dominent des teintes solaires, propices à une photographie sensible. Le travail sonore occupe une place essentielle dans la narration : le souffle des marcheurs, les bruits amplifiés de leurs environnements immédiats et les silences rituels viennent enrichir la dimension sensorielle du récit.

A voir absolument !

Nabeul : des journalistes revendiquent l’accès à l’information

26. Juni 2025 um 16:53

Les journalistes du gouvernorat de Nabeul ont exprimé leur mécontentement face au refus de certains responsables de coopérer ou de fournir des déclarations, dénonçant une atteinte au droit d’accès à l’information.

Ce constat a été soulevé, mercredi 25 juin, lors d’une réunion avec les membres de la section Centre et Sahel du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), consacrée au suivi de la situation des professionnels des médias dans les régions.

Selon un communiqué publié, jeudi 26 juin, les syndicalistes ont relevé plusieurs difficultés persistantes, notamment l’accès restreint aux informations, la précarité de l’emploi pour les diplômés de l’Institut de presse et les faibles salaires face à la charge de travail.

Les membres du SNJT ont également rencontré la gouverneure de Nabeul, Hana Chouchani, à qui ils ont rappelé l’importance du droit des citoyens à une information locale et régionale fiable. Celle-ci s’est engagée à faciliter le travail des journalistes et à encourager les directeurs régionaux à collaborer davantage avec les médias, dans le respect de la déontologie journalistique.

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Siliana : 47% de la récolte céréalière achevée avec 790 000 quintaux collectés

26. Juni 2025 um 14:40

Le taux d’avancement de la récolte céréalière dans le gouvernorat de Siliana a atteint 47%, après la collecte de 790 mille quintaux.

Le chef du service des grandes cultures au commissariat régional au développement agricole, Mohamed Taher Azzouz a indiqué, jeudi, à l’Agence TAP, que les quantités de céréales collectés s’élèvent jusqu’à présent à 511 mille quintaux d’orge, 52 mille quintaux de blé tendre et 227 mille quintaux de blé dur.

Il a ajouté que certains centres de collecte ont connu un volume de stockage dépassant leur capacité, soulignant que 160 mille quintaux de céréales sont déjà stockés dans les silos de l’Office des céréales dans la région.

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Siliana : 790 000 quintaux de céréales collectés à ce jour

26. Juni 2025 um 13:01

Le taux d’avancement de la récolte céréalière dans le gouvernorat de Siliana a atteint 47 %, avec un total de 790 mille quintaux collectés.

Le chef du service des grandes cultures au commissariat régional au développement agricole (CRDA), Mohamed Taher Azzouz, a indiqué jeudi à l’Agence TAP que les quantités récoltées se répartissent comme suit : 511 mille quintaux d’orge, 52 mille quintaux de blé tendre et 227 mille quintaux de blé dur.

Il a précisé que certains centres de collecte ont enregistré un volume de réception dépassant leur capacité, ajoutant que 160 mille quintaux sont déjà stockés dans les silos de l’Office des céréales de la région.

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