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Gestern — 27. Oktober 2025Webmanagercenter

Maroc : les 5 tendances fortes de la semaine — économie, diplomatie et culture en mouvement

Von: hechmi
27. Oktober 2025 um 22:52

MarocAu Maroc, la semaine qui s’achève est marquée par une série de signaux forts, conjuguant dynamisme et enjeux : un affermissement économique, des orientations diplomatiques sensibles, des mutations sociales et un regain culturel. Voici les cinq grandes tendances à retenir.

Un bond industriel et logistique confirmé

Le Maroc enregistre cette semaine un nouvel investissement industriel d’envergure : la mise en service de deux lignes de production à l’usine de Coca‑Cola à Nouaceur, près de Casablanca, pour un montant de plus de 300 millions de dirhams, témoignant de la confiance des groupes internationaux dans le pays.

Parallèlement, le développement du port de Nador West Med et l’accélération des zones industrielles logistiques dans l’Oriental confirment le Maroc dans sa trajectoire vers un rôle de hub régional.

Ces mouvements renforcent la diversification de l’économie marocaine et le recentrage vers l’export, la logistique, et l’industrie, au-delà des traditionnels secteurs du tourisme et de l’agriculture.

Diplomatie et enjeux géopolitiques : cap sur le Sahara et les États-Unis

Sur le plan diplomatique, le Maroc voit un regain d’attention de la part des États-Unis sur le dossier du Sahara occidental, avec le conseiller spécial américain aux affaires arabes et africaines affirmant un optimisme quant à une « solution finale » sur la base du plan d’autonomie sous souveraineté marocaine.

Cette ouverture marque un tournant potentiel pour Rabat, qui entend renforcer sa position sur ce dossier central de sa politique étrangère. L’impact politique interne pourrait être notable, avec à la clé une consolidation du rôle marocain dans la région et un message adressé aux partenaires européens et africains.

Société : connectivité aérienne et mobilité internationale

La connectivité internationale du Maroc se renforce : une nouvelle liaison directe inaugurée entre Delta Air Lines (Atlanta) et Marrakech met en exergue l’ouverture américaine sur le royaume et le caractère stratégique du tourisme et de l’investissement transatlantique.

Cette avancée reflète aussi un enjeu social de mobilité accrue pour les citoyens marocains et l’attractivité internationale de certaines villes du pays.

Culture & patrimoine : textile, mode et rayonnement international

Le Maroc se positionne de nouveau sur la scène de la mode et du textile à l’international, comme en témoigne la préparation du salon « Maroc in Mode 2025 », qui accueille notamment une délégation américaine et renforce le rôle du royaume dans les chaînes mondiales de valeur du textile.

Ce mouvement culturel-économique porte un double signal : celui d’un capital culturel marocain capable d’exporter, et celui d’une industrie qui se modernise, se valorise et se rapproche des standards mondiaux.

Gouvernance publique et défi de l’efficacité budgétaire

Enfin, le débat autour de la gestion publique refait surface : selon des experts, tels que l’économiste El Mehdi Fakir, le véritable défi du budget 2026 ne réside pas tant dans l’augmentation des moyens que dans « dépenser mieux ».

Ce questionnement reflète une prise de conscience accrue de la nécessité d’efficacité dans la dépense publique et de rendement des politiques publiques au service du citoyen, plus que de la seule croissance.

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Algérie : médias, économie et culture — les tendances fortes de la semaine

Von: hechmi
27. Oktober 2025 um 22:28
Algérie
Drapeau Algérie

L’actualité algérienne de la semaine oscille entre ouverture économique, tensions médiatiques et effervescence culturelle. L’État renforce sa présence économique en Afrique tout en cherchant à contrôler son récit interne. La société civile, quant à elle, continue de s’exprimer par la culture et les réseaux, signes d’une Algérie en recomposition lente mais constante.

Médias et liberté de la presse : entre soutien étatique et crispation croissante

Le ministre de la Communication, Mohamed Laagab, a réaffirmé la volonté du gouvernement de soutenir les médias nationaux tout en renforçant le cadre légal de la profession. Les mesures annoncées visent à moderniser les rédactions publiques et à encourager la production locale.

Cependant, cette communication officielle intervient dans un contexte de tension médiatique, signalé par Reporters sans frontières (RSF), qui alerte sur une dégradation des libertés journalistiques et plusieurs cas de poursuites.

Cette dualité — soutien structurel d’un côté, contraintes judiciaires de l’autre — nourrit un débat récurrent sur la place de la presse indépendante en Algérie.

L’économie algérienne s’ouvre davantage vers l’Afrique

Sur le plan économique, Alger poursuit une stratégie d’ouverture vers le commerce interafricain. Le ministère du Commerce a intensifié ses démarches pour faciliter les exportations agricoles et renforcer la présence algérienne sur les marchés subsahariens.

Ces mesures s’inscrivent dans le prolongement de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) et traduisent une volonté de diversification économique au-delà des hydrocarbures.

Selon plusieurs observateurs, cette dynamique pourrait faire de l’Algérie un acteur logistique et énergétique central du continent.

Marché des devises : stabilité relative après des semaines d’instabilité

Le marché parallèle des devises à Alger, Oran et Tizi-Ouzou a connu une accalmie. Le taux de l’euro reste proche de 26 100 dinars pour 100 euros, après une période de hausse marquée début octobre.

Cette stabilisation traduit une demande modérée en devises, liée à la baisse saisonnière des voyages et à l’augmentation des contrôles officiels.

Les économistes estiment toutefois que la dualité entre taux officiel et parallèle demeure un frein à la transparence du système financier.

Société et culture : une mémoire en mouvement

Sur le front culturel, la production algérienne se distingue cette semaine par la préparation d’un film historique sur l’Émir Abdelkader, figure fondatrice de la résistance nationale.

Parallèlement, le décès d’une icône de la chanson targuie a suscité une vive émotion dans le Sud du pays, révélant la richesse et la diversité du patrimoine musical algérien.

Festivals, expositions et projets de restauration patrimoniale témoignent d’une vitalité culturelle en progression, soutenue par les institutions publiques et les créateurs indépendants.

Tendances sociétales : entre continuité et aspiration au changement

Dans l’espace social, les débats en ligne ont porté sur le pouvoir d’achat, la situation de la jeunesse diplômée et la question migratoire.

Sur X (Twitter) et Facebook, les hashtags #JeunesseAlgérienne et #EmploiDominant ont généré des milliers d’interactions.

Cette expression numérique traduit une prise de parole citoyenne plus affirmée, marquée par un besoin d’écoute et de perspectives nouvelles.

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Élections à New York 2025 : Zohran Mamdani en tête, un tournant pour la ville

Von: hechmi
27. Oktober 2025 um 22:11

NEW YORK Dans la course à la mairie de New York, l’assemblée générale semble basculer. Zohran Mamdani, jeune député d’État auto­décrit « socialiste démocrate », occupe désormais la tête des sondages à environ 45 % des intentions de vote pour le scrutin général du 4 novembre 2025.

Ses principaux adversaires sont Andrew Cuomo, ancien gouverneur devenu candidat indépendant, estimé à près de 30 %, et Curtis Sliwa, candidat républicain à environ 15-20 %.

La campagne de Mamdani capitalise sur la crise du coût de la vie à New York : logements hors de prix, transports publics saturés, garde d’enfants coûteuse. Il propose des mesures audacieuses telles que le gel des loyers, les bus gratuits et la garde d’enfants universelle, financées par une taxation accrue des plus riches et des grandes entreprises.

Cette orientation met en lumière un virage vers une gauche progressiste forte, qui surprend une classe politique démocrate traditionnelle comme un signal de renouvellement.

Pour sa part, l’opposition reproche à Mamdani son inexpérience à la tête d’une mégapole, ses prises de position « socialistes » et certaines affaires personnelles remontant à ses anciens tweets ou à son statut de locataire d’un logement à loyer stabilisé.

Au-delà de la course à la mairie, l’élection est scrutée comme un baromètre national avant les midterms de 2026. Le soutien tardif de Hakeem Jeffries, chef des démocrates à la Chambre des représentants, envers Mamdani, illustre la tension entre l’aile progressiste et l’appareil traditionnel du parti.

Un autre élément clé : le vote anticipé. À New York, le vote en avance – qui a commencé le 25 octobre – enregistre une participation beaucoup plus forte que lors d’élections précédentes.

Ainsi, l’élection de New York ne se limite pas à des enjeux municipaux : elle cristallise les questions de leadership, d’identité politique et de participation citoyenne dans une Amérique en mutation. Le 4 novembre pourrait symboliser une nouvelle ère pour la plus grosse ville américaine.

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Élections en Argentine : Javier Milei renforce son pouvoir et promet une révolution économique

Von: hechmi
27. Oktober 2025 um 21:57

Argentine MileiLe président argentin Javier Milei a remporté une victoire politique majeure à l’occasion des élections de mi-mandat, confirmant sa position dominante sur l’échiquier national et renforçant la légitimité de son programme économique radical. Moins d’un an après son arrivée à la Casa Rosada, le chef de l’État libertarien, souvent qualifié de « disrupteur » de la politique argentine, a vu son mouvement La Libertad Avanza (LLA) s’imposer dans plusieurs provinces clés et au Sénat, où il gagne en influence.

Ce scrutin, observé de près par les marchés internationaux et les partenaires régionaux, marque une étape cruciale dans la tentative de Milei de transformer en profondeur l’économie argentine. Son agenda — privatisations massives, réduction du rôle de l’État, dérégulation du travail et libéralisation du commerce — continue de diviser une société déjà fragilisée par des années d’inflation chronique et de dévaluation monétaire.

Alors que l’inflation annuelle dépasse encore 130 %, les premières mesures du président ont suscité des tensions, notamment dans la fonction publique et les milieux syndicaux. Mais les résultats des urnes montrent que le pari populiste et anti-système de Milei conserve une forte traction dans une large partie de l’électorat, lassée des alternances péronistes et conservatrices sans effet tangible sur leur quotidien.

Une victoire interprétée comme un plébiscite

Pour ses partisans, cette victoire constitue un mandat clair pour poursuivre les réformes économiques sans compromis. Les dirigeants du LLA y voient la preuve que les Argentins « veulent tourner la page du déclin » et accepter les sacrifices nécessaires à un redressement durable. Plusieurs médias locaux, comme La Nación et Clarín, soulignent que le président bénéficie encore d’un capital politique inhabituellement élevé à ce stade de son mandat.

À l’inverse, les syndicats et la gauche dénoncent une « dérive autoritaire » et une politique « socialement brutale ». Des manifestations ont eu lieu à Buenos Aires et Córdoba dans les heures suivant l’annonce des résultats, les opposants accusant Milei de vouloir « marchandiser » les services publics essentiels, notamment la santé et l’éducation.

Un signal fort pour l’Amérique latine

La réémergence d’une droite ultralibérale en Argentine résonne au-delà de ses frontières. Dans la région, le phénomène Milei est perçu comme le symptôme d’un réalignement politique. Son discours antisystème, mêlant conservatisme culturel et dérégulation économique, trouve un écho auprès de mouvements émergents au Brésil, au Chili et au Paraguay.

Les États-Unis et les institutions financières internationales, dont le Fonds Monétaire International (FMI), suivent de près l’évolution de la situation. Le gouvernement argentin, toujours en négociation avec le FMI pour restructurer une dette de plus de 40 milliards USD, espère que cette victoire renforcera sa capacité à imposer un plan d’austérité « crédible ».

Vers une recomposition du paysage politique

Sur le plan interne, cette consolidation du pouvoir de Milei ouvre une nouvelle phase de confrontation entre exécutif et institutions. Ses détracteurs au Congrès redoutent une concentration excessive du pouvoir, tandis que ses soutiens y voient la condition nécessaire pour « rompre avec l’immobilisme ».

Pour beaucoup d’observateurs, le résultat des mi-mandats ne clôt pas le débat : il ne fait que l’amplifier. L’Argentine, laboratoire de populismes successifs, teste une fois encore la capacité d’un dirigeant atypique à transformer une crise structurelle en opportunité politique. Reste à savoir combien de temps le souffle de cette révolution économique tiendra face aux réalités sociales d’un pays en quête d’équilibre.

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TRENDS | Tunisie : Economie, Livre, Iran, Expatriés, Foires et Salons

Von: hechmi
27. Oktober 2025 um 21:33

Tunisie OliveEn Tunisie, les signes de redressement économique se multiplient tandis que le champ culturel et sociétal affiche des fractures et des dynamiques de changement (édition en crise, retours d’expatriation, diplomatie renouvelée). Le politique-stratégique reste à surveiller, notamment avec l’ouverture diplomatique vers l’Iran.

Redressement confirmé de l’économie tunisienne
Synthèse : L’économie tunisienne enregistre une croissance de 2,4 % au 1er semestre 2025. La baisse de l’inflation en septembre et un accroissement des réserves en devises sont également observés.

Dynamique : en hausse
Hashtags/Keywords : #Tunisie #Économie #Croissance

Crise dans le secteur du livre tunisien
Synthèse : Le secteur de l’édition tunisienne fait état d’une crise profonde, l’Union des éditeurs tunisiens annonçant la suspension de sa participation à un salon national en signe de protestation.

Dynamique : en hausse (alerte)
Hashtags/Keywords : #Tunisie #Culture #Édition

Diplomatie tunisienne : rapprochement avec l’Iran sous observation
Synthèse : La suppression des visas pour les Iraniens et l’ouverture d’une ligne aérienne entre la Tunisie et l’Iran soulèvent des questions stratégiques, notamment vis-à-vis de partenaires occidentaux.

Dynamique : émergent
Hashtags/Keywords : #Tunisie #Diplomatie #Iran

Société tunisienne : retour de l’expatriée et choc culturel
Synthèse : Des Tunisiennes rentrées au pays après des années à l’étranger témoignent d’un sentiment de « jugement social » et d’aliénation, illustrant les tensions entre attentes familiales/traditionnelles et réalités globalisées.

Dynamique : en hausse
Hashtags/Keywords : #Tunisie #Société #Expatriation

Vie culturelle active à Tunis : salons, congrès et événements 2025
Synthèse : Le calendrier des salons, foires et congrès en Tunisie pour 2025 est publié, révélant une dynamique forte de l’événementiel culturel et de networking dans le pays.

Dynamique : en hausse
Hashtags/Keywords : #Tunisie #Culture #Événementiel

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TRENDS | Afrique du Nord & Monde arabe : Arabie Saoudite, Soudan, Libye, Turquie, industrie musicale

Von: hechmi
27. Oktober 2025 um 21:19

TRENDS MENALa veille de ces dernières 48 h montre un virage fort vers l’économie et l’investissement (train luxe Arabie Saoudite, réforme Argentine), un usage accru des réseaux sociaux comme baromètre de l’actualité (#Milei, #Turk), et des tensions diplomatiques géopolitiques toujours vives (Chine-USA, Libye-Turquie, Turquie-Israël). Dans la région Afrique du Nord/Monde arabe, les thématiques de liberté de la presse et de redéfinition géopolitique maritime gagnent en visibilité.

Dévoilement du train ultra-luxe « Dream of the Desert » en Arabie Saoudite
Synthèse : Le projet, déjà cité mondialement, mobilise aussi l’attention dans le monde arabe comme signe d’une transformation économique régionale.

Dynamique : en hausse
Hashtags/Keywords : #ArabieSaoudite #TrainLuxe #Vision2030 | tourisme, luxe MENA, diversification
Vu sur : Arab News

Détention du journaliste soudanais Muammar Ibrahim à El-Fasher (Soudan)
Synthèse : Le journaliste a été arrêté lors d’un reportage sur la situation à El-Fasher, ravivant le débat sur la liberté de la presse au Soudan.

Dynamique : en hausse
Hashtags/Keywords : #Soudan #LibertéDePresse #ElFasher | conflit, droits humains, journalisme
Vu sur : Al Jazeera

Coopération et tensions maritimes entre la Libye et la Turquie : zone économique exclusive et ressources
Synthèse : Un nouvel accord libyen-turc, suivi d’une réaction d’Égypte, marque une phase de redéfinition des frontières maritimes en Méditerranée.

Dynamique : émergent
Hashtags/Keywords : #Libye #Turquie #ZEELibye | énergie, géopolitique méditerranéenne, EEZ
Vu sur : Wikipedia

Sujets liés à l’actualité politique régionale sous-médiatisés mais en mouvement : exemple Turquie/Israël
Synthèse : La Turquie est dans la ligne de mire diplomatique alors que l’annonce de non-acceptation de forces turques dans une future mission à Gaza relance les tensions.

Dynamique : en hausse
Hashtags/Keywords : #Turquie #Israël #Gaza | Moyen-Orient, diplomatie, sécurité
Vu sur : Reuters Middle East

Tendance tourisme & culture au Maghreb/MENA : croissance de l’industrie musicale
Synthèse : Une étude révèle que la région MENA connait une croissance forte de son industrie musicale (+22,8 % en 2024) ; même si l’étude date de quelques mois, le sujet reste cité dans les débats culturels régionaux.

Dynamique : en hausse (mais légèrement moins immédiate)
Hashtags/Keywords : #MENA #Musique #IndustrieCulturelle | culture, économie créative, jeunesse
Vu sur : IFPI / BeatPortal

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TRENDS | Monde : Argentine, Dream of the Desert, Chine-États-Unis, guerre russo-ukrainienne, plateformes sociales

Von: hechmi
27. Oktober 2025 um 20:59

TRENDSVictoire de Javier Milei aux élections de mi-mandat en Argentine
Synthèse : Le président argentin Milei et son parti La Libertad Avanza affichent une large victoire, renforçant son agenda économique radical.

Contexte : Une surprise politique qui relance le débat sur les réformes économiques en cours. Dynamique : en pic
Hashtags/Keywords : #Argentina #Milei #midterms | économie, libertarianisme, réforme
Vu sur : The New Arab, Al Jazeera, X/Twitter trends

Inauguration du train ultra-luxe « Dream of the Desert » en Arabie Saoudite
Synthèse : Le Royaume dévoile le design de ce train de haut standing dans le cadre du forum FII9 à Riyad, symbole d’un repositionnement vers le tourisme luxe.

Contexte : Projet dans la stratégie « Vision 2030 ». Dynamique : en hausse
Hashtags/Keywords : #SaudiArabia #LuxuryTourism #DreamOfTheDesert | transport, investissement, tourisme
Vu sur : Arab News, LuxuryTrainClub

Tensions diplomatiques Chine-États-Unis sur terres rares et tarifs
Synthèse : Des discussions entre Washington et Pékin évoquent une pause tarifaire sur certains produits stratégiques, reflétant l’enjeu croissant des matières premières critiques.

Contexte : Rivalité technologique et économique sino-américaine. Dynamique : en hausse
Hashtags/Keywords : #China #USA #RareEarths | géoéconomie, technologie, chaîne-d’approvisionnement
Vu sur : Reuters world news

Regain d’attention sur la guerre russo-ukrainienne et les préparatifs européens
Synthèse : Les experts affirment que l’Europe manque de coordination face à ce qu’ils perçoivent comme une phase de préparation de la Russie à un nouveau conflit ouvert.

Contexte : Guerre en Ukraine toujours au cœur de l’actualité internationale. Dynamique : en hausse
Hashtags/Keywords : #UkraineWar #Russia #EuropeSecurity | défense, OTAN, géopolitique
Vu sur : Al Jazeera, Reuters

Croissance visible des plateformes sociales/trends via X (Twitter)
Synthèse : Les hashtags #Milei et #Turk figurent parmi les plus tweetés aux États-Unis (3,6 M et 3,4 M tweets respectivement) ce jour, montrant l’influence croissante des réseaux en temps réel.

Contexte : Les réseaux sociaux jouent un rôle amplificateur des actualités. Dynamique : en pic
Hashtags/Keywords : #X #TwitterTrends #SocialMedia | viralité, data sociale, tendances
Vu sur : Trends24/X

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Au lieu d’augmenter, le pouvoir d’achat réel des Tunisiens a baissé de 11% depuis 2019, selon Fitch

27. Oktober 2025 um 18:48

Énorme perte en temps et en effort en 6 ans durant. C’est Fitch-Solutions qui le confirme, preuve à l’appui, dans son plus récent rapport sur la Consommation et revenus des ménages tunisiens (22 octobre 2025). L’arbre se juge à ses fruits…

L’Agence londonienne annonce que le pouvoir d’achat moyen des Tunisiennes et Tunisiens a fortement reculé depuis 2019, malgré toutes les annonces et promesses gouvernementales voulant axer ses politiques sur le social et le bien-être des « laissés pour compte » ces couches défavorisées, illettrées et habitées par la confiance aveugle.

Que disent les chiffres de Fitch Solutions…

Dans ce Rapport de 44 pages (réservé aux abonnés et publié uniquement en anglais), l’année de 2019, année d’élection de Kais Saied, est utilisée comme année de référence. Pas de hasard de calendrier, tout est calculé, et soupeser à la virgule près.

Et cela permet de livrer plusieurs indicateurs de rendement sur les impacts des politiques des 6 gouvernements constitués, et qui ont tous gouverné la Tunisie, sous les directives indicatives de son excellence le président Kais Saied, démocratiquement élu et réélu.

On fait la synthèse de ce rapport en 5 points complémentaires :

1- Pouvoir d’achat : Comparativement à 2019, le pouvoir d’achat réel (hors inflation) de 2025 est de 11,1% de moins. Fitch n’est optimiste quand au réalisme des promesses présidentielle relative à la mise ne place de politiques publiques axées sur le social et les couches vulnérables en Tunisie.

Pis, Fitch prévoit, que si rien ne change, à la fin du deuxième mandat présidentiel de Kais Saied (2028), la Tunisie ne retrouverait pas la moyenne du pouvoir d’achat réel de 2019 (base 100 en 2019). Un constat qui appelle à des actions concrètes et urgentes sur ce front.

2- Consommation versus croissance : Un autre constat majeur apporté par ce Rapport soutient une anomalie économique structurelle : un taux de croissance moyen global (du PIB) qui croit aux alentours de 2%, alors que le taux de croissance de la consommation des ménages croit annuellement de 3,8%.

C’est dire que le pays vit au-dessus de ses moyens. Et qu’au final, la propension moyenne de la consommation (rapporté au revenu) évolue plus vite et plus fort que la propension moyenne à épargner.

3- Chômage : Les niveaux de chômage, sept ans après l’élection présidentielle de 2019, le taux de chômage est plus élevé aujourd’hui qu’il ne l’était avant 2019. C’est un autre constat sans appel quant aux prétentions des politiques publiques voulant mettre le social au cœur de ses préoccupations.

Ce constat en dit long sur l’absence de vision stratégique dans les processus budgétaires, la faiblesse des incitations fiscales pour la création d’entreprises et d’emploi. Le projet des entreprises communautaires prôné par le président Kais Saied est à l’évidence inapproprié, ou mal conçu et mal réfléchi depuis sa mise en chantier en 2021.

4- Dépenses non essentielles : Le rapport de Fitch décrit la structure des dépenses des ménages tunisiens, et arrive des résultats différents de ceux de l’Institut national de la Statistique en Tunisie (INS). On apprend que les dépenses non essentielles (tabac, alcool, restaurant et internet) frôlent ensemble les 9% des dépenses des ménage.

A titre comparatif, Fitch estime les dépenses des ménages en éducation ne dépassent les 1,2% du total des dépenses. Dans les dépenses des ménages, le tabagisme engloutit 4,9 milliards de dinars tunisiens en 2025. Ce post de dépenses croit à 11% par an.

Poste de dépenses atypique est celui des chaussures, Fitch trouve trop élevée les dépenses en chaussure per capita est de 463 dinars par an. Une famille de 4 personnes dépenserait presque 2000 dinars par an en chaussure. Il faut le faire, surtout quand on connait les autres urgences et priorités.

5- Pauvreté : Les auteurs du rapport ont aussi décrit le revenu disponible des ménages selon 3 intervalles. Ils ont recensé un total de 3334 ménages en Tunisie, avec 2,5 actifs occupés par ménage.

Le revenu moyen par ménage est de 30 765 dinars par an en moyenne. En revanche, le revenu disponible (après imposition et prélèvements estimés à 7%) tombe à 10 092 dinars per capita en 2025.

La classe ayant un revenu disponible annuel moyen par ménage (inférieur à 10.000$ par an) a grimpé jusqu’à 95% du total des ménages. Les plus riches, avec un revenu annuel disponible supérieur à 50000$ par an constituent 2% du total des ménages.

Les plus pauvres (revenu inférieur à 5000 dollars par ménage et par an) constituent presque 20% du total des ménages (666 000 ménages, ou 2400 000 personnes).

A se demander si les politiques sociales prônées par le président Kais Saied arrivent à cibler et à lister de manière crédible et efficace ces populations indigentes et précaires pour les sortir de leur indigence.

Les personnes âgées, les personnes en perte de mobilité, les femmes et surtout celles de la GenZ sont les plus impactées par ces inégalités et déséquilibres socio-économiques. Des enjeux qu’on ne peut pas gérer par la répression, ni par les discours ou autres juridismes caduques et inefficaces.

Moktar Lamari – E4T, 22 octobre 2025

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Foire nationale du livre : les éditeurs tunisiens boycottent l’édition 2026

Von: walid
27. Oktober 2025 um 17:28

L’Union des éditeurs tunisiens a annoncé suspendre sa participation à la 5e édition de la Foire nationale du livre programmée du 8 au 18 janvier 2026 dénonçant « la marginalisation méthodique » exercée par le ministère de la Culture envers les éditeurs et leurs institutions.

Cette décision a été prise lors de l’assemblée générale de l’Union tenue samedi 25 octobre.

Dans une déclaration dont copie est parvenue à la TAP, les éditeurs tunisiens font part de leur inquiétude face à la dégradation du secteur du livre, appelant la présidence de la République à l’urgence d’intervenir.

L’éditeur tunisien vit une crise sans précédent en l’absence de la subvention publique et la régression des politiques de promotion du livre, souligne la même source qui critique l’éloignement de l’Union des postes de décision et des commissions nationales concernées par le secteur.

L’Union a également dénoncé son exclusion de l’organisation de la Foire nationale du livre de Tunis, tenant à rappeler que cette manifestation culturelle a été lancée par l’Union en 2018 et organisé, durant les quatre précédentes éditions, en partenariat avec le ministère de tutelle.

L’Union évoque dans sa déclaration, son exclusion de plusieurs commissions et consultations culturelles dont la commission des achats et les commissions préparatoires pour la participation de la Tunisie en tant qu’invité d’honneur aux foires internationales.

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Crédits à la Poste ? La Poste Tunisienne met fin aux rumeurs

27. Oktober 2025 um 17:21

La Poste Tunisienne a précisé, lundi, dans un communiqué, qu’elle n’est pas autorisée à octroyer quelque type de crédit que ce soit et qu’elle n’offre pas ce service.

Le communiqué de la Poste intervient suite à des rumeurs circulant sur les réseaux sociaux, concernant l’octroi, par la Poste, de microcrédits.

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Rallye Fenix 2025 : la Tunisie accueille une aventure motorisée de 1 894 km à travers le désert

27. Oktober 2025 um 17:14

La Tunisie accueillera, du 31 octobre au 6 novembre prochain, la cinquième édition du Rallye Fenix International, sous l’égide de la Fédération tunisienne de l’automobile (FTA).

Quelque 37 voitures de type SSV, 28 véhicules tout-terrain, 6 camions et 13 motos participeront à cet événement sportif.

Le départ du Rallye Phénix sera donné le 31 octobre courant depuis Monastir en direction de Tozeur. Les concurrents y entameront, à partir du 1er novembre, 6 étapes, dont 5 se dérouleront dans le désert tunisien, pour une distance totale de 1894 km.

Voici les étapes du rallye :

1er novembre – étape 1 : Tozeur > Nefta > Douz (292 km)
2 novembre – étape 2 : Douz > Douz (362 km)
3 novembre – étape 3 : Douz > Ksar Ghilane > Douz (520 km)
4 novembre – étape 4 : Douz > Sabria > Douz (316 km)
5 novembre – étape 5 : Douz > Kébili > Kairouan > Monastir (404 km)
6 novembre – étape 6 : Monastir > Makthar > Zaghouan > Nefidha > Monastir, suivie de la cérémonie de clôture.

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Théâtre de l’Opéra de Tunis : 140 artistes réunis pour “La Traviata – Version tunisienne”

27. Oktober 2025 um 17:05

La création “La Traviata – Version Tunisienne” puisée du chef-d’œuvre de Giuseppe Verdi sera de nouveau à l’affiche à la Salle de l’Opéra de Tunis de la Cité de la Culture Chedly Klibi le vendredi 31 octobre 2025 à 19h30. Sous la baguette de Nicoletta Conti avec les solistes, les chœurs et les danseurs du Ballet de l’Opéra de Tunis, le baryton Haytem Hdhiri incarnera le rôle de Giorgio Germont, père d’Alfredos, et la soprano Lilia Ben Chikha celui de Violetta Valéry, une production du Théâtre de l’Opéra de Tunis. Ce spectacle est destiné aux amateurs d’opéra et à toutes les personnes en quête d’un spectacle et d’une distribution exceptionnels avec la participation des plus belles et plus inspirantes voix lyriques tunisiennes.

Avec cette nouvelle représentation de l’opéra de Verdi qui mobilise 140 artistes pour le plaisir du public, le Théâtre de l’Opéra invite à vivre et partager une expérience artistique unique par son intensité émotionnelle et sa qualité artistique.

Lors de sa création et de sa première donnée au mois de mai de cette année, le spectacle a été chaleureusement accueilli et applaudi par un public, manifestement connaisseur en la matière et depuis, il a eu le temps de murir et de se bonifier afin de déployer pleinement son pouvoir d’enchantement indiquent les organisateurs.

Dans une démarche ambitieuse de renforcer son potentiel créatif et d’étendre son rayonnement à l’international , le Théâtre de l’Opéra de Tunis s’est emparé de chefs d’œuvre du répertoire opératique universel pour en livrer une version originale, à la fois conforme aux codes en usage, mais aussi chargée de couleurs, de parfums et de sensibilité bien de chez nous.

Après Carmen de Georges Bizet, c’est au tour de la Traviata de Giuseppe Verdi d’être à l’affiche. Avec une distribution artistique qui réunit les plus belles voix lyriques du pays, une orchestration fougueuse et passionnée, des danseurs au mieux de leur forme et enthousiastes, des décors et des costumes inspirants, des lumières et des projections dont l’effet amplifie l’espace de la scène et en approfondit la perspective, la Traviata qui vous est proposée a de quoi satisfaire toutes les attentes ajoute la même source.

Haythem Hadhiri est un chanteur d’opéra, chef de chœur, comédien, directeur du chœur de l’opéra de Tunis puis responsable de la formation lyrique et scénique de 2021 jusqu’à 2024. Professeur de chant lyrique à l’institut supérieur de musique de Tunis de 2019 jusqu’à 2023 et actuellement professeur à l’école du comédien au théâtre national Haythem Hadhiri est l’un des artistes les plus remarquables de la scène tunisienne.

Né en 1986, il a eu ses premiers contacts avec la musique dès son enfance en grandissant dans une famille mélomane. Il a intégré le conservatoire national à l’âge de 7 ans dans le but d’étudier le Oûd et le chant arabe avec Abdelkarim S’habou. Il réussit son diplôme de musique arabe à l’âge de 16 ans, et obtient sa carte professionnelle à l’âge de 17 ans.

À l’âge de 22 ans, il obtient sa maîtrise en chant lyrique et arts de la scène de l’institut supérieur de musique de Tunis après quatre ans d’études des théories de la musique arabe et occidentale avec des professeurs de renommée tels que Hristina Hadjieva. Après deux ans d’études à l’école normale de Paris “Alfred Cortot”, il commence sa carrière de baryton en interprétant des rôles majeurs dans des productions de Verdi, de Mozart, de Pergolesi et d’autres grands compositeurs en Tunisie, en France, en Italie, en Espagne, en Géorgie, en Allemagne et au Qatar.

L’une des ses distinctions les plus remarquables et son obtention du premier prix de la compétition “Clef d’Or” à Paris en 2010. Sa passion pour la chorale s’est manifestée depuis ses premiers pas dans la musique classique, en 2019, il a monté sur scène un spectacle remarquable avec le chœur du théâtre NoNo à Marseille, cette réussite à donné naissance à une tournée en France, en Finlande et en Russie.

Il a notamment marqué la scène tunisienne par de nombreuses productions comme le spectacle Mahaba , la Hadhra (sous la direction de Fadhel Jaziri) , El Mahfel à l’ouverture du festival de Carthage , La Traviata une coproduction tuniso-italienne, et récemment l’opéra Carmen d’abord en sa version originale puis en version Tunisienne présentée pour la première fois au festival de Carthage le 21 juillet 2024.

En 2021-2022, Haythem Hahdiri entame une nouvelle expérience de musique électroacoustique avec le producteur et Dj Benjemy dans le projet Sinouj (un projet de musique populaire / soufi ) des dates importantes qui ont marqué le projet dont Munich en 2024 et 2025 , Festival international de Hammamet 2025 .

Il participe notamment avec Benjemy au festival international de Hammamet dans son projet Sueurs chaudes en 2022.

Haythem Hadhiri continue en ce moment à se produire dans divers projets dont Sinouj qui continue à se produire, un duo exclusif avec Benjemy, des projets d’opéra, de musique soufi, son spectacle Arboun qui apparaîtra dans sa nouvelle version et bien d’autres projets a l’échelle nationale et internationale.

Connue pour être la voix la plus polyvalente de sa génération, Lilia Ben Chikha, pour sa part, est une chanteuse tunisienne à la voix exceptionnelle alliant avec virtuosité l’Opéra, le Jazz/Pop et la musique Arabe. Diplômée de l’Institut Supérieur de Musique de Tunis et de l’Académie de Musique de Ruse (Bulgarie), elle s’impose comme une soprano colorature d’une grande sensibilité et d’une maîtrise technique remarquable. Finaliste du concours international Ghena Dimitrova, elle a illuminé plus de 160 scènes à travers le monde (Olympia à Paris, El Jem, Carthage, New York, Alexandrie…).

Son rôle signature, Violetta dans La Traviata de Verdi, révèle toute l’étendue de son talent, de sa puissance dramatique et de son intensité émotionnelle. Elle l’a incarné avec succès création du théâtre de l’opéra de Tunis (2025) et au Metro Opera Tech de New York (2022).

Lilia a également brillé dans les rôles de Rosina, Olympia, Lakmé, Lucia et La Reine de la Nuit, alliant virtuosité, émotion et élégance entre lyrisme occidental et influences orientales.

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Nouveau Code du travail : entre stabilité, mobilité et paradoxes

27. Oktober 2025 um 16:55

Les Journées de l’emploi organisées par Keejob à l’UTICA les 2 et 3 octobre 2025 ont donné lieu à des échanges nourris autour du futur Code du travail. L’un des moments forts fut l’intervention de Hédi Dahmen, expert en politiques sociales et consultant auprès de l’UGTT, qui a livré un éclairage approfondi sur les fondements juridiques, les enjeux économiques et les implications sociales de cette réforme.

Des fondements juridiques encore flous

L’exposé de motifs présenté par le gouvernement le 24 mars 2025 reste, à ce jour, le seul document explicitant les raisons de la refonte du Code du travail. Or, souligne Dahmen, ce texte « ne s’inscrit pas clairement dans le cadre des conventions internationales » relatives à la législation du travail.

Le gouvernement avance un second motif, d’ordre social : doter la Tunisie d’un cadre favorisant l’accès à un travail décent, pour sortir d’un système marqué par la précarité et des conditions d’emploi dégradées.

« Le texte présenté par le gouvernement ne s’aligne pas pleinement sur les conventions internationales du travail, ce qui fragilise ses fondements juridiques. »

Le concept de travail décent fait son entrée

C’est une première dans le droit tunisien : la distinction entre travail décent et travail indécent est désormais introduite. Inspiré des normes de l’Organisation internationale du travail (OIT), le travail décent dépasse les simples conditions matérielles. Il repose sur quatre piliers : un salaire équitable, la sécurité de l’emploi, la santé au travail et le respect des droits fondamentaux.

Pour Hédi Dahmen, il s’agit d’une évolution nécessaire :

« Il est temps de réconcilier le peuple avec des formes de travail nouvelles, adaptées à un monde en mutation. »

Une réforme structurelle de 22 articles

Le projet touche 22 dispositions du Code du travail, dont la définition même du contrat. La réforme tend à favoriser le passage des CDD aux CDI, afin de renforcer la stabilité dans le secteur privé. Le secteur public, lui, est encadré par un texte complémentaire.

Cette mesure vise à régulariser près de 60 000 travailleurs en situation précaire. Mais elle soulève aussi des interrogations : quel impact pour les entreprises, déjà confrontées à des marges réduites ? Quelles conséquences budgétaires pour l’État et les contractuels ?

« Il faut réconcilier le peuple avec des formes de travail nouvelles, adaptées à un monde en mutation. »

Entre stabilité et flexibilité

Le texte cherche à concilier stabilité de l’emploi et mobilité professionnelle. Le contrat deviendrait plus souple, pouvant être rompu sous conditions de préavis, sans que le salarié perde ses droits fondamentaux.

Mais ce modèle, inspiré d’une logique de flexibilité économique, pose plusieurs paradoxes. D’une part, il n’a pas fait l’objet d’une concertation tripartite entre l’État, le patronat et l’UGTT. D’autre part, sa mise en œuvre risque de provoquer des tensions dans la sous-traitance et le transfert d’emplois du public vers le privé.

« C’est à partir de l’année prochaine que l’impact réel de la réforme sera mesurable, notamment sur la formation et l’investissement. »

Des effets à surveiller dès 2026

Selon Dahmen, l’impact réel de cette réforme se mesurera à partir de l’année prochaine. Les effets pourraient se traduire sur les budgets de formation, les ressources humaines et les investissements des entreprises.

Pour lui, la réussite de ce nouveau cadre dépendra moins du texte lui-même que de sa capacité à garantir un équilibre durable entre compétitivité, justice sociale et protection des travailleurs.

Amel Belhadj Ali

EN BREF

  • Le gouvernement a présenté en mars 2025 un projet de réforme du Code du travail.
  • La notion de travail décent est introduite pour la première fois en Tunisie.
  • 22 articles sont modifiés, dont la définition du contrat de travail.
  • L’objectif est de favoriser la stabilité et régulariser 60 000 emplois précaires.
  • Les experts alertent sur les risques de déséquilibre et de manque de concertation.
  • Les effets concrets sont attendus dès 2026.

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Gaza aux yeux de la Tunisie : appel aux artistes tunisiens pour documenter la souffrance palestinienne

27. Oktober 2025 um 16:40

La Fondation palestinienne “Sayidatou Al Ardh” (La dame de la terre, ndlr) a annoncé l’ouverture d’un appel à la participation d’artistes plasticiens tunisiens à l’initiative « Gaza aux yeux de la Tunisie » en vue de renforcer le rôle de l’art comme moyen de résistance en documentant les souffrances du peuple palestinien face au génocide et à la famine.

La Fondation, dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux, que cette initiative visuelle réunira des œuvres qui “expriment la douleur, transmettent la vérité et incarnent l’espoir inhérent à la volonté de vivre de notre peuple à Ghaza, dans un message créatif affirmant que Ghaza est un projet de vie, et non un projet de mort”.

Cette initiative comprend un événement artistique majeur en Tunisie, au cours duquel sera inaugurée une exposition internationale intitulée “Ghaza aux yeux de la Tunisie”. Cette exposition sera présentée dans plusieurs capitales du monde.

La cérémonie d’ouverture sera marquée par la participation de nombreux artistes tunisiens et arabes, ainsi qu’une retransmission en direct depuis Ghaza, “afin que le moment du vernissage de l’exposition soit un vibrant pont d’amour, de persévérance et de communication vivante entre les peuples”, selon la même source.

S’agissant du choix de la Tunisie comme pays de lancement de cette initiative, le communiqué précise qu’il émane de la « positionnement historique, culturel et pionnier de la Tunisie dans le soutien aux causes de la libération », qui a conduit l’initiative à s’adresser aux artistes plasticiens tunisiens afin qu’ils puissent porter à travers leurs pinceaux “la voix de Ghaza et la souffrance de son peuple”.

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Théâtre tunisien : entre identité, altérité et quête d’un modèle national

27. Oktober 2025 um 16:33

Les participants au colloque intitulé “Le théâtre tunisien : questions d’identité, d’altérité et de représentations de la subjectivité-Vers une école théâtrale tunisienne ?” ont à l’unanimité souligné que l’identité théâtrale tunisienne n’est pas une question purement théorique, mais un acte vivant et continu dans le temps et l’espace, reflétant la Tunisie dans sa pluralité, sa richesse et son esprit créatif.

Organisé à Tozeur les 25 et 26 octobre 2025 dans le cadre de la troisième édition du Festival national du théâtre tunisien “Saisons de la création” (du 24 octobre au 8 novembre 2025), le colloque a été une occasion pour mettre l’accent notamment sur l’importance de mettre en place un projet intellectuel collectif visant à bâtir une école tunisienne de théâtre capable d’intégrer les transformations esthétiques et philosophiques contemporaines sans renier ses racines.

La rencontre, organisée par le Théâtre National Tunisien (TNT) en partenariat avec l’Académie tunisienne des sciences, des lettres et des arts -Beit al-Hikma-,  a réuni une pléiade d’universitaires, de critiques et de créateurs venant de toutes les régions du pays et de toutes disciplines confondues.

Moez Mrabet : l’alliance entre art, science et esthétique

Dans son mot d’ouverture, Moez Mrabet, directeur général du Théâtre National Tunisien et du festival, a souligné que cet événement est dans son essence un projet qui allie la réflexion et la pratique, l’art et la connaissance. Il a dans ce contexte souligné l’importance du partenariat entre les institutions culturelles, notamment avec Beit al-Hikma, afin d’élaborer des projets communs qui s’inscrivent dans la durée et ouvrent de nouvelles perspectives à la culture et à l’art en Tunisie.

Moncef Ben Abdeljelil : le théâtre fait son entrée à Beit al-Hikma

Moncef Ben Abdeljelil, président du comité consultatif de la Revue de l’Académie tunisienne, a annoncé que le prochain numéro de la revue sera consacré au théâtre tunisien et qu’un “Guide complet du théâtre tunisien” est en préparation, réunissant les contributions des chercheurs et différents intervenants.

Abdelwahed Mabrouk : le Sud, un espace de création

Le directeur du Centre des arts dramatiques et scéniques de Tozeur, Abdelwahed Mabrouk, a affirmé que l’organisation de ce colloque dans la région de Tozeur vient couronner les efforts du centre pour dynamiser la vie culturelle dans le Sud. Il a à cet égard présenté le projet des “Rencontres du Sud pour le théâtre”. Placées sous le thème “La ville et le théâtre”, ces rencontres visent à reconnecter la scène avec le public et à créer un véritable mouvement théâtral dans le sud.

Abderraouf Basti : l’identité, une quête permanente

Dans sa conférence inaugurale, Abderraouf Basti, ancien ministre de la Culture, est revenu sur l’histoire du théâtre tunisien depuis ses origines au début du XXème siècle, soulignant que la question de l’identité a toujours accompagné son évolution. De la résistance coloniale à l’ère postindépendance, en passant par les expériences du nouveau théâtre et du théâtre de Taoufik Jebali, il a montré que le théâtre tunisien est une création hybride, à la fois enracinée et ouverte sur le monde. Selon lui, “l’identité n’est pas une question figée, mais un processus vivant de transformation et de dialogue”.

Mohamed Mediouni : entre enracinement et acculturation

Dans son intervention intitulée “Représentations de l’identité et de l’altérité dans le théâtre tunisien : entre enracinement et acculturation”, Mohamed Mediouni a rappelé que le théâtre tunisien est né d’initiatives citoyennes et non de décisions administratives. Il a retracé les débuts des associations théâtrales au tournant du XXème siècle, soulignant le rôle des intellectuels réformistes dans la reconnaissance du théâtre comme un droit culturel et un instrument de modernité.

Houssem Messaadi : Taoufik Jebali et l’esthétique de la différence

Houssem Messaadi a consacré son intervention à Taoufik Jebali, analysant son parcours à travers le prisme de l’identité et de la différence. De « Klem Ellil » à « Le Sultan », Taoufik Jebali a construit une écriture scénique expérimentale, fondée sur la déconstruction du récit et l’utilisation poétique de la langue tunisienne. Selon Houssem Messaadi, « l’œuvre de Jebali incarne une identité tunisienne ouverte, où la singularité locale devient un moyen d’accéder à l’universel ».

Mohamed Moumen : le théâtre comme expérience existentielle

Dans son intervention « La rencontre et l’identité : approche sémiologique et phénoménologique », Mohamed Moumen a proposé une réflexion sur le rapport entre l’acteur et le spectateur. Pour lui, le véritable théâtre est une expérience de présence et de transformation réciproque : « le théâtre qui ne change pas celui qui regarde n’est qu’un spectacle, non un acte de vie », a-t-il affirmé.
Nizar Saidi : la marionnette, mémoire vivante du théâtre tunisien.

Dans une intervention à dimension anthropologique, Nizar Saïdi a réhabilité le rôle des arts de la marionnette dans l’histoire du théâtre tunisien. Il a montré que la marionnette, héritière des rituels et des fêtes populaires, représente un corps symbolique et une mémoire collective souvent effacée du récit officiel. Aujourd’hui, a-t-il conclu, « redonner place au théâtre de marionnettes, c’est réactiver la mémoire esthétique du peuple tunisien ».

Abdeljelil Bouguerra : le théâtre radiophonique et l’Etat national

Abdeljelil Bouguerra a, dans son intervention « Le théâtre radiophonique et la construction de l’Etat national », montré que, dès les années 1950, la radio tunisienne a joué un rôle central dans la diffusion d’un imaginaire collectif à travers de nombreuses créations qui, a-t-il expliqué, ont accompagné le projet moderniste de la jeune République, en contribuant à forger une conscience nationale et culturelle.

Faouzia Mezzi : du centre vers l’intérieur

La chercheuse Faouzia Mezzi a examiné le rapport entre le centre et les régions dans le développement du théâtre tunisien depuis les années 1960. Elle a montré que les troupes régionales ont joué un rôle essentiel dans la démocratisation de la pratique théâtrale et dans l’émergence d’un discours scénique populaire et critique. Elle a plaidé pour une politique culturelle équitable qui reconnaisse la contribution des régions à la vitalité du théâtre national.

Karim Thlibi : langue et identité dans le texte dramatique tunisien

Karim Thlibi a exploré la relation entre la langue et l’identité dans le théâtre tunisien contemporain. Il a souligné comment la langue populaire, longtemps marginalisée, s’est transformée en un vecteur de poésie dramatique et de vérité sociale, donnant au texte théâtral tunisien une voix singulière enracinée dans le quotidien

Om Ezzine Ben Chikha: Le théâtre et la « décolonialité » de l’imaginaire

Dans une intervention intitulée « Le théâtre et la décolonialité de l’imaginaire : corps, discours, imaginaire », la chercheuse Om Ezzine Ben Chikha a relevé que le théâtre tunisien est aujourd’hui appelé à s’engager dans de nouveaux paradigmes philosophiques et esthétiques enracinés dans la mémoire et l’imaginaire local.

Elle a proposé une lecture critique de la pièce « Jacaranda », texte d’Abdelhalim Messaoudi mis en scène par Nizar Saïdi, qu’elle considère comme un modèle de libération de la langue de son étrangeté et de l’emprise du récit occidental. Selon elle, la décolonialité permet au théâtre tunisien d’inventer sa propre langue et de remodeler son imaginaire culturel, en dehors de toute forme de dépendance esthétique occidentale.

Omar Aloui : La cloche du théâtre et la géographie du soi

Le chercheur Omar Aloui a choisi d’aborder dans sa communication « La cloche du théâtre et la géographie du soi » l’acte théâtral sous un angle philosophique et ontologique. Il considère que le son de la cloche constitue un appel au passage entre le temps terrestre et le temps spirituel.

Le spectacle « Cloche » de Assem Bettouhami devient ainsi, selon lui, une méditation sur l’être, sur l’espace et sur le vide. Pour lui, le théâtre permet à la subjectivité de se découvrir dans sa légèreté existentielle, en repensant les frontières entre soi et l’autre.

Tahar Ben Guiza : Esthétiques de la libération et dépassement du modèle

Dans sa présentation intitulée « A la recherche d’esthétiques de la libération et du dépassement du modèle : vers l’ouverture des références et le renouvellement des visions créatives », le chercheur Tahar Ben Guiza a analysé les expériences de Mohamed Driss dans « Haddatha Abou Houraira qal » et de Wafa Taboubi dans « La dernière ». Il a montré comment le théâtre tunisien, à travers ces œuvres, se libère des modèles occidentaux et du texte comme centre unique, au profit d’une vision scénique où la mise en scène devient langage. Selon lui, le théâtre de Wafa Taboubi incarne une esthétique post-dramatique et une libération de la parole féminine dans une perspective humaine et universelle.

Abdelhalim Messaoudi : Le théâtre tunisien à la recherche de sa langue

Dans son intervention « Le théâtre tunisien à la recherche de sa langue », Abdelhalim Messaoudi a affirmé que la langue constitue l’essence même de l’expérience théâtrale tunisienne, car c’est en elle que se forme la conscience esthétique et politique.

Il a retracé le parcours de l’écriture dramatique tunisienne depuis Mohamed  Aroussi El Metoui et Ezzedine Madani jusqu’au théâtre contemporain, soulignant que la coexistence entre arabe classique et dialectal a enrichi l’identité théâtrale nationale. Le véritable enjeu aujourd’hui, selon lui, réside dans la création d’une langue poétique capable d’exprimer la complexité du « soi tunisien » sans tomber dans la simple imitation.

Hatem Tlili Mahmoudi : Le théâtre tunisien et la post-modernité

Le critique Hatem Tlili Mahmoudi a évoqué dans son intervention sur « Le théâtre tunisien et la post-modernité » les relations entre le théâtre tunisien et les mutations intellectuelles et esthétiques du post-modernisme. Il a souligné que les expériences tunisiennes ne se sont pas constituées en écoles fermées mais dans une dynamique d’interaction libre avec les modèles occidentaux et locaux.

Certaines créations récentes, a-t-il expliqué, traduisent de nouveaux glissements esthétiques mêlant déconstruction, intertextualité et réflexion sur l’identité, plaçant ainsi le théâtre tunisien au cœur d’un dialogue mondial sur le sens de la création à l’ère du vide.

Faiza Messaoudi : L’école théâtrale tunisienne entre localité et universalité

La chercheuse Faiza Messaoudi a présenté une communication intitulée « L’école théâtrale tunisienne entre localité et universalité ». Elle est revenue sur l’évolution du théâtre tunisien depuis les années 1970, saluant la génération des pionniers formés en Occident qui ont su insuffler l’esprit de renouveau sur la scène tunisienne. Selon elle, parler d’une « école tunisienne » ne signifie pas uniformité, mais pluralité d’approches et de visions, où la modernité s’articule à la singularité culturelle tunisienne au sein de la mosaïque mondiale du théâtre.

Hiba Messaoudi : Les esthétiques de la subjectivité dans les expériences théâtrales tunisiennes
Dans sa communication « Les esthétiques de la subjectivité dans les expériences théâtrales tunisiennes », Hiba Messaoudi a introduit le concept de « sécurité culturelle » qu’elle relie aux problématiques d’identité et de subjectivité dans la pratique artistique.

Elle considère le théâtre comme un espace de reconstruction du soi et de libération de l’aliénation et de la répétition. Pour elle, la subjectivité n’est pas un donné mais un acte continu qui se crée dans la pensée et la performance.

Certaines expériences scéniques tunisiennes récentes illustrent, selon elle, cette « sécurité culturelle », c’est-à-dire la capacité de l’art à transformer le trouble intérieur en énergie esthétique. Le théâtre, lorsqu’il écoute ses voix intérieures, devient ainsi un acte de libération et une affirmation de l’existence dans ses dimensions spirituelles, corporelles et intellectuelles.

Hassan Mouadhen : Quel théâtre tunisien voulons-nous ?

Le metteur en scène Hassan Mouadhen a conclu le colloque par une intervention intitulée « Quel théâtre tunisien voulons-nous ? ». Il a appelé à l’élaboration d’un projet national du théâtre conciliant liberté créatrice et responsabilité intellectuelle.

Selon lui, le théâtre tunisien doit aujourd’hui renouveler ses outils critiques et rétablir le lien entre le créateur et le public afin d’éviter que l’acte théâtral ne devienne un luxe réservé à une élite.

Il a estimé que le théâtre rêvé est celui qui puise son sens dans la réalité tunisienne avec toutes ses contradictions, tout en s’ouvrant à l’humain universel. La force du théâtre tunisien réside, conclut-il, dans son ouverture et dans sa capacité à interroger le pouvoir, la mémoire et le sens à travers une langue scénique vivante et en perpétuelle mutation.

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Challenger de Bratislava : Le Tunisien Moez Chargui affronte l’Américain Spizzirri

27. Oktober 2025 um 16:19

Le joueur de tennis tunisien Moez Chargui, actuellement classé 1er mondial [cohérence à vérifier], entamera ce mardi sa participation au tournoi Challenger de Bratislava 2, en Slovaquie. Il affrontera dès le premier tour l’Américain Eliot Spizzirri, classé 100e mondial.

Un nouveau défi après Brest

Chargui revient d’un parcours honorable au tournoi Challenger de Brest, en France, disputé la semaine dernière. Le Tunisien avait atteint les huitièmes de finale, avant de s’incliner face au Français Arthur Bouquier (228e mondial) en deux manches, 6-4, 6-2.

Cette élimination n’a pas freiné la dynamique du joueur, qui enchaîne les compétitions sur le circuit ATP Challenger, étape cruciale pour gagner des points au classement mondial et se rapprocher des tournois majeurs.

Une saison 2025 déjà bien remplie

Moez Chargui réalise une saison remarquable. Le Tunisien a décroché plusieurs titres, confirmant sa régularité et son niveau de jeu en progression. Il s’est notamment imposé au Challenger d’Hersonissos (Grèce) et au Challenger de Porto (Portugal). Il a également remporté le tournoi Future International de Monastir, disputé sur ses terres.

Ces victoires lui ont permis de grimper dans la hiérarchie du tennis professionnel et de gagner en confiance avant d’aborder la fin de saison sur le circuit européen.

Objectif : consolider son classement

À Bratislava, Chargui tentera de poursuivre sur sa lancée et de consolider son classement mondial. Une bonne performance pourrait lui offrir de précieuses unités ATP et renforcer sa position parmi les meilleurs joueurs du circuit Challenger.

Le tournoi slovaque, qui réunit plusieurs espoirs et joueurs confirmés du top 200, représente un nouveau test pour le tennisman tunisien, déterminé à maintenir sa régularité et à franchir un nouveau palier.

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Agrumes à Nabeul : la production en hausse de 10 % malgré les défis climatiques

27. Oktober 2025 um 16:16

La récolte des agrumes au gouvernorat de Nabeul, qui contribue à 75% de la production nationale, devra atteindre cette année 270 mille tonnes.

Les quantités produites sont en hausse de 10% par rapport à l’année précédente, ce qui signifie que la récolte est également “bonne” cette saison malgré une légère baisse de la production de Clémentine (Mandarine), a indiqué à l’Agence TAP le président de l’Union locale de l’Agriculture à Beni Khaled, Béchir Ounallah.

La même source a fait remarquer que le secteur traverse de grandes difficultés depuis des années, aussi bien au niveau de la production que sur le plan de commercialisation, et ce en raison de l’absence d’une stratégie claire pour la préservation de cette activité agricole, notamment face à la propagation de nombreuses maladies causées par les changements climatiques.

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Juventus Turin : Igor Tudor limogé après huit matchs sans victoire

27. Oktober 2025 um 16:03

La Juventus Turin a annoncé lundi avoir démis de ses fonctions l’entraîneur Igor Tudor, au lendemain d’un nouveau faux pas contre la Lazio Rome, marquant la pire crise du club depuis quinze ans.
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Dans un communiqué, la Juve a annoncé “avoir relevé ce lundi de ses fonctions d’entraîneur de son équipe première Igor Tudor, ainsi que son staff composé d’Ivan Javorcic, Tomislav Rogic et Riccardo Ragnacci”.

Le club le plus titré du football italien, qui occupe actuellement une décevante 8e position de la Serie A, a précisé que l’équipe sera confiée lors de son prochain match, mercredi contre l’Udinese pour le compte de la 9e journée, à l’actuel entraîneur de la réserve, Massimiliano Brambilla.

Avec cette nouvelle défaite contre la Lazio (1-0), le technicien croate enchaîne huit matchs sans victoire entre la Serie A et la Ligue des Champions, une période difficile qui a débuté immédiatement après ce qui, paradoxalement, reste leur dernière victoire par 4-3 dans le derby d’Italie contre l’Inter.

Depuis ce triomphe de la mi-septembre, qui semblait annoncer la renaissance de l’équipe, la Vieille Dame a perdu le nord avec des performances irrégulières et un jeu confus qui ont accompagné un déclin dépassant le record de 2009 sous Claudio Ranieri.

Ancien joueur de la Juve, Igor Tudor avait succédé en mars dernier à Thiago Motta, limogé neuf mois après sa prise de fonction. Le Croate de 47 ans avait atteint l’objectif que lui avaient alors assigné ses dirigeants en décrochant la 4e place, synonyme de qualification pour la Ligue des Champions.

Les Bianconeri vont donc connaître leur cinquième entraîneur depuis mai 2024 et le départ de Massimiliano Allegri, quelques jours après avoir remporté la Coupe d’Italie 2024.

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Tunisie–BERD : vers une coopération renforcée dans le cadre du Plan de développement 2026-2030

27. Oktober 2025 um 15:56

Les orientations et les priorités en matière de développement pour la période à venir  afin d’assurer une bonne coordination dans l’élaboration des prochains programmes de travail, ont été au centre d’une rencontre tenue, lundi, à Tunis, entre le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh et  des conseillers du Conseil d’administration de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).

La cheffe de la délégation de la BERD,  Emily Keenan  a indiqué que cette visite s’inscrit dans le cadre de suivi  de l’état d’avancement des différents axes et programmes de coopération entre la Banque et la Tunisie, selon un communiqué publié  par le département de l’Economie.

Abdelhafidh a notamment souligné, à cette occasion,  l’importance   de consolider davantage la coopération financière et technique entre la Tunisie et la BERD et à diversifier ses domaines dans le cadre du Plan de développement 2026-2030.

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