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Heute — 19. September 2025Haupt-Feeds

Voyage au Maroc : les Tunisiens devront obtenir un visa électronique exceptionnel

19. September 2025 um 19:24
Voyage au Maroc : les Tunisiens devront obtenir un visa électronique exceptionnel

La Royaume du Maroc a annoncé l’instauration d’un visa électronique obligatoire pour les ressortissants tunisiens à partir du 25 septembre 2025 et jusqu’au 26 janvier 2026. Selon un communiqué publié par le consulat général du Maroc à Tunis sur sa page officielle, cette mesure exceptionnelle et temporaire concerne les citoyens des pays habituellement exemptés de […]

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CAN 2025 au Maroc : Un e-visa exceptionnel imposé aux Tunisiens

19. September 2025 um 18:52

Le Maroc et la Confédération africaine de football (CAF) ont annoncé, vendredi, la mise en place d’une nouvelle application baptisée Yalla pour la Coupe d’Afrique des Nations 2025. Ce guichet numérique regroupera la billetterie électronique, le Fan-ID obligatoire et un module e-visa pour les supporters étrangers. Mesure inédite : les citoyens tunisiens devront, eux aussi, obtenir un e-visa exceptionnel et temporaire pour assister à la compétition.

Une application unique pour la CAN

Le comité d’organisation local et la CAF ont confirmé que l’application Yalla sera opérationnelle dès le 25 septembre 2025. Tous les détenteurs de billets devront y créer un compte afin de générer un Fan-ID, carte numérique indispensable pour entrer dans les stades et les fan zones. Sans ce document, aucun accès ne sera autorisé.

Outre la gestion des billets et du Fan-ID, Yalla proposera un service intégré d’e-visa destiné aux supporters internationaux.

Un e-visa imposé aux Tunisiens

Particularité du dispositif : les Tunisiens devront également passer par ce système, comme l’a annoncé le Consulat Général du Royaume du Maroc à Tunis. Le Maroc a décidé, de manière exceptionnelle et temporaire, de soumettre les ressortissants tunisiens et ceux de tous les pays participant à la CAN à l’obtention d’un e-visa spécial CAN. Une dérogation aux règles habituelles de circulation entre les deux pays, qui ne s’appliquera qu’à la durée du tournoi.

Les Tunisiens se rendant donc au Maroc durant la période de la Coupe d’Afrique des Nations seront soumis à une AEVM, une autorisation électronique de voyage au Maroc applicable du 25 décembre 2025 au 25 janvier 2026. Les demandes doivent être établies en ligne au moins 96h avant la date de voyage via la plateforme : www.acces-maroc.ma.

Pour les organisateurs, cette plateforme vise à centraliser et sécuriser l’accès aux infrastructures de la CAN. Elle permet aussi de gérer de manière fluide les arrivées massives de supporters étrangers.

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Mohammed VI inaugure des projets du Complexe portuaire de Casablanca

19. September 2025 um 13:19
Le roi Mohammed VI a procédé, jeudi, à l’inauguration et à la visite de plusieurs projets d’envergure inscrits dans le cadre de la restructuration et du développement du Complexe portuaire de Casablanca, visant à conforter le rayonnement économique et touristique de cette métropole. Ils ont pour vocation de consacrer la métropole en tant que pôle […]

Gestern — 18. September 2025Haupt-Feeds

Le Maroc reçoit 723 bus chinois Yutong haut de gamme

16. September 2025 um 09:40
Le Maroc a reçu le premier lot de 723 bus Yutong haut de gamme en provenance de Chine, dans le cadre des préparatifs du pays pour la 35e Coupe d’Afrique des Nations (CAN), qui débutera le 21 décembre. Guide de voyage au Maroc Le constructeur chinois de bus Yutong a annoncé la livraison sur les […]

Football | La Tunisie gagne 3 places dans le classement Fifa

18. September 2025 um 10:38

L’équipe de Tunisie de football a gagné 3 places dans le dernier classement mondial de la Fifa, publié ce jeudi 18 septembre 2025. Elle doit cette performance à sa récente série de victoires qui lui ont permis de se qualifier pour la 7e fois dans son histoire et la 3e fois consécutive à la Coupe du monde de football 2026.

La Tunisie est désormais classée 46e mondial et 7e en Afrique, après le Maroc (1er africain, 11e mondial), le Sénégal (2e, 18e), l’Egypte (3e, 35e), l’Algérie (4e, 38e), la Côte d’Ivoire (5e, 44e) et le Nigeria (6e, 45e).

Le meilleur classement de la Tunisie, qui date déjà quelque peu, était 13e mondial et 1er africain. Mais au vu de la situation générale du football dans notre pays, qui laisse beaucoup à désirer, le fait que l’on se maintienne encore parmi l’élite africaine est déjà une prouesse.  

Dans le monde, l’Espagne est en tête, suivie de la France, de l’Argentine, du Royaume uni et du Portugal, la puissance montante du football mondial.

I. B.

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Deuxième LGV au Maroc : des progrès spectaculaires en seulement 4 mois

15. September 2025 um 22:07
Deuxième LGV au Maroc : des progrès spectaculaires en seulement 4 mois

Le Maroc poursuit à une cadence impressionnante le chantier de sa deuxième ligne à grande vitesse (LGV), reliant Kénitra à Marrakech, inauguré par le roi Mohammed VI en avril dernier. En seulement quatre mois, les avancées sont spectaculaires : près de 3 500 hectares libérés, des millions de mètres cubes de terrassements réalisés, les premiers […]

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Forum de dialogue de l’Initiative de Défense 5+5 à Tunis

14. September 2025 um 12:20

Lors de l’ouverture du Forum de dialogue de l’Initiative de Défense 5+5, sous la présidence tournante de la Tunisie, le ministre* de la Défense, Khaled Shili, a souligné la nécessité d’établir de nouveaux mécanismes de coopération et de renforcer les relations entre les pays membres dans divers secteurs, dans le cadre de liens institutionnels solides favorisant la sécurité, la paix et la stabilité en Méditerranée occidentale.

L’Initiative de Défense 5+5 est un forum de coopération axé sur les perspectives de défense et de sécurité, qui réunit les pays de la Méditerranée occidentale, cinq de la rive nord (France, Italie, Malte, Portugal et Espagne) et cinq de la rive sud (Algérie, Libye, Mauritanie, Maroc et Tunisie).

La conférence «Forum de dialogue de l’Initiative de Défense 5+5 : Réalités actuelles et perspectives d’avenir», organisée au Cercle des Officiers de Tunis, mercredi 11 septembre 2025, a réuni des représentants militaires et civils des États membres, dont l’Italie, et a offert l’occasion d’un débat ouvert sur l’avenir de l’Initiative dans les années à venir. Son organisation avait été proposée par la Tunisie lors de la 20e réunion des ministres de la Défense de l’Initiative, tenue à Madrid en décembre 2024.

Ce fut également l’occasion d’évaluer les résultats obtenus depuis le lancement de l’initiative en 2004 dans tous les domaines de coopération, de mettre en évidence les points forts et d’identifier les défis, et de présenter des propositions et des visions pour le développement de cadres de coopération, en tenant compte des menaces et des défis futurs pour la sécurité dans la région de la Méditerranée occidentale.

Dans une allocution vidéo préenregistrée prononcée pour l’occasion, le ministre tunisien Khaled Shili a souligné comment la création de nouveaux mécanismes de coopération contribuerait à renforcer la confiance, à consolider les canaux de communication et à promouvoir une réflexion collective fondée sur une conscience partagée en vue d’un avenir unifié fondé sur le respect mutuel, les valeurs universelles et l’engagement collectif envers les questions de sécurité par la solidarité et un dialogue responsable.

L’accueil par la Tunisie de ce forum, a un communiqué du ministère, constitue une confirmation renouvelée de son implication active et de son engagement ferme à soutenir l’initiative, tout en recherchant les moyens de renforcer et d’améliorer ses résultats dans le cadre d’une coopération constructive et fructueuse entre les différents partenaires.

Le ministère a souligné que, depuis deux décennies, l’initiative 5+5 sert de modèle de coopération pour relever les défis sécuritaires communs et contribuer au renforcement des capacités de défense des pays membres à travers l’échange d’expertise, la formation conjointe, le développement de mécanismes de surveillance maritime et aérienne, ainsi que le renforcement des capacités de lutte contre le terrorisme, de cybersécurité et de gestion de crise.

I. B.

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Maroc : Record d’exportations de maïs doux 

12. September 2025 um 07:24
Le Maroc a franchi un cap record en matière d’exportations de maïs doux, selon EastFruit. Les données de Global Trade Tracker, transmises par l’Office des Changes du Maroc, montrent que le pays a exporté 21 800 tonnes de maïs doux frais entre juillet et juin, générant plus de 20 millions de dollars de recettes d’exportation. Cela […]

Le Maroc accueille 13,5 millions de touristes à fin août 2025

10. September 2025 um 09:59
Le Maroc aura accueilli 13,5 millions de touristes à fin août 2025, en hausse de 15% par rapport à la même période en 2024, selon le ministère du Tourisme, de l’artisanat et de l’économie sociale et solidaire, selon yabiladi. En effet, l’été 2025 a enregistré des performances records avec 4,6 millions de touristes entre juillet […]

Pfizer annonce la nomination de Madame Ouardia Djoudjai au poste de Directrice du Cluster Afrique du Nord.

09. September 2025 um 13:19
Dans ce rôle stratégique, Mme Djoudjai supervisera les opérations de Pfizer en Afrique du Nord, en stimulant la croissance et l’innovation dans plusieurs domaines thérapeutiques. Depuis son arrivée chez Pfizer en 2010, Mme Djoudjai a progressé vers des postes à responsabilités croissantes dans le marketing, la gestion de marque et la direction de catégories. Plus […]

Maroc : Premier salon automobile pour véhicules hybrides et électriques

09. September 2025 um 10:19
Alors que le Maroc s’engage dans une transition vers un transport durable, l’Association des Importateurs de Véhicules du pays (AIVAM) lance Auto Expo, un salon automobile entièrement dédié aux véhicules hybrides et électriques. La première édition du salon se déroulera du 18 au 28 septembre 2025 à l’espace AUDA de Casablanca. Alors que le marché […]

Maroc – Forte baisse du déficit de liquidité des banques

09. September 2025 um 11:09

Le déficit moyen de liquidité bancaire au Maroc diminue de 7,48 % à 130,9 milliards de dirhams entre le 28 août et le 3 septembre 2025. C’est ce que révèlent les données de BMCE Capital Global Research, du 8 courant.

Le centre a expliqué, dans sa note « Fixed Income Weekly », que ce déficit intervient à un moment où le financement de liquidité à sept jours de Bank Al-Maghrib (la Banque centrale) augmente de 1,77 milliard de dirhams pour atteindre 59,05 milliards de dirhams.

En revanche, les placements du Trésor enregistrent une baisse. Avec un maximum journalier enregistré en moyenne de 13,4 milliards de dirhams; contre 19,95 milliards de dirhams durant la période précédente, selon le site marocain Hespress. Le cours moyen pondéré se stabilise à 2,25 %. Tandis que l’indice MONIA recule à 2,21 %.

A cet égard, notons que la moyenne de l’indice marocain représente l’indice monétaire de référence quotidien calculé sur la base des opérations de pension livrées avec des bons du Trésor en garantie.

Au final, BMCE Capital Global Research s’attend à ce que Bank Al-Maghrib réduise ses interventions sur le marché monétaire, fixant le montant des prêts de fourniture de liquidités à sept jours à 56,15 milliards de dirhams.

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Mondial 2026 : comment le Maroc s’est qualifié face au Niger ?

Von: walid
06. September 2025 um 16:45

La sélection marocaine s’est qualifiée pour la phase finale de la Coupe du monde 2026 grâce à sa victoire nette (5-0) face au Niger, vendredi soir au Stade Prince Moulay Abdellah à Rabat. Ce match comptait pour la 7e journée des éliminatoires africaines (Groupe E).

Un festival offensif à Rabat

Les Lions de l’Atlas ont rapidement pris l’ascendant, menant 2-0 à la pause grâce à un doublé d’Ismael Saibari (29e, 38e). En seconde période, Ayoub El Kaabi (50e), Hamza Igamane (68e) et Azeddine Ounahi (84e) ont alourdi le score, scellant une victoire sans appel.

Parcours sans faute

Avec ce sixième succès en autant de rencontres, le Maroc totalise 18 points et conserve la tête de son groupe. Ses poursuivants sont la Tanzanie (10 points), la Zambie et le Niger (6 points chacun), tandis que le Congo ferme la marche avec un seul point. Les Marocains valident ainsi leur ticket pour le Mondial deux journées avant la fin des qualifications.

Une histoire qui continue

La Coupe du monde 2026, organisée conjointement aux États-Unis, au Canada et au Mexique, marquera la septième participation du Maroc à la phase finale. Après 1970, 1986, 1994, 1998, 2018 et 2022, les Lions de l’Atlas signeront une troisième présence consécutive dans la compétition.

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Le mariage en net recul au Maghreb : un bouleversement social en cours

08. August 2025 um 12:56

Autrefois socle de la société, le mariage est en chute libre au Maghreb. En seulement dix ans, le nombre d’unions a dégringolé de 25 à 30 % selon les pays, marquant une rupture majeure avec les traditions. Ce phénomène, loin d’être anodin, révèle un profond changement de mentalité chez les jeunes.

C’est un véritable basculement social qui s’opère, avec des conséquences sur l’économie, la démographie et les politiques publiques. Derrière cette baisse se cachent des raisons à la fois économiques et culturelles.

Maroc : une baisse de plus d’un quart en 10 ans

Selon les données du ministère de la Justice, le Maroc a vu le nombre de mariages baisser de plus de 25 % entre 2014 et 2024. Les causes sont multiples : allongement des études, difficultés à trouver un emploi, coût de la vie et du logement, et surtout, l’émancipation des femmes qui redéfinissent leurs attentes vis-à-vis de l’union.

Algérie : 27 % de mariages en moins

En Algérie, l’Office National des Statistiques (ONS) révèle une chute de 27 % des unions, passant de 387 000 mariages en 2014 à 282 000 en 2023. L’âge moyen pour se marier a grimpé, atteignant 27 ans pour les femmes et 34 ans pour les hommes. Le mariage, longtemps perçu comme une étape obligatoire, devient un choix personnel, souvent retardé par les contraintes économiques.

Tunisie : la baisse la plus forte

La Tunisie enregistre la baisse la plus spectaculaire. Les chiffres de l’Institut National de la Statistique (INS) montrent une diminution de près de 30 %, passant de 110 000 mariages en 2014 à seulement 78 500 en 2023. L’âge moyen au mariage frôle les 30 ans, et le nombre de divorces est en forte hausse, signe d’une reconfiguration accélérée des modèles familiaux.

Un phénomène lourd de conséquences

Ce recul du mariage n’est qu’un symptôme. Il s’accompagne d’une baisse de la natalité et d’un vieillissement de la population dans les trois pays. Les effets se font déjà sentir sur l’économie (immobilier, événementiel) et posent des questions cruciales pour l’avenir des sociétés maghrébines.

Comment ces pays, historiquement ancrés dans la tradition de la famille, s’adapteront-ils à une nouvelle génération qui privilégie l’autonomie et le choix personnel ?

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Bière en Afrique du Nord : La Tunisie reste leader

Dans un contexte mondial marqué par une légère contraction du marché de la bière, la Tunisie s’impose discrètement comme l’un des principaux producteurs de bière en Afrique du Nord. C’est ce que confirment les données croisées du dernier rapport BarthHaas 2024/25, référence mondiale du marché du houblon, et les chiffres officiels publiés par la Société de Fabrication des Boissons de Tunisie (SFBT), principal acteur du secteur dans le pays.

Une production stable et structurée

En 2024, la production totale de bière en Tunisie a atteint environ 1,757 million d’hectolitres, dont la majeure partie est attribuée à la Société de Fabrication des Boissons de Tunisie (SFBT), principal acteur du secteur. Selon les données disponibles, près de 1,721 million d’hectolitres ont été écoulés localement. Bien qu’on observe une légère baisse par rapport à 2023 (1,788 million d’hectolitres), cette stabilité traduit la résilience d’une filière industrielle consolidée, au service d’un marché intérieur mature et régulé.

Ce niveau reste légèrement inférieur à celui de 2022 (1,856 million d’hectolitres), mais suffit à placer la Tunisie dans le top 75 mondial, selon les estimations du rapport BarthHaas. Elle devance nettement ses voisins du Maghreb, où les dynamiques sont plus contrastées.

Le Maghreb entre tassement et recomposition

D’après les données du rapport BarthHaas, la production africaine de bière a progressé de +6,7 % en 2024, portée par des géants continentaux comme le Nigeria, l’Afrique du Sud et l’Angola. En Afrique du Nord, en revanche, la croissance est absente voire négative.

Voici les chiffres actualisés pour la région en 2024 :

PaysProduction 2024 (hl)Classement mondial
🇹🇳 Tunisie1 757 000~72e
🇩🇿 Algérie1 503 00080e
🇪🇬 Égypte924 00099e
🇲🇦 Maroc818 000108e
🇱🇧 Liban384 000121e
🇯🇴 Jordanie247 000133e

La Tunisie maintient donc sa position de leader régional depuis 2022, grâce à un marché intérieur solide et une régulation efficace.

Un modèle tunisien original, entre encadrement et efficacité

La réussite relative de la Tunisie dans ce secteur repose sur plusieurs facteurs :

  • Une infrastructure industrielle performante, dominée par la SFBT sous licence du groupe Castel.
  • Un marché local bien structuré, avec des pratiques de consommation conformes aux normes sociales locales.
  • Une fiscalité spécifique qui fait de la bière une ressource budgétaire non négligeable.
  • Un circuit de distribution régulé, notamment à travers les points de vente étatiques et licences privées.

Contrairement à certains voisins, la Tunisie n’exporte officiellement qu’une part très limitée de sa production brassicole. Toutefois, un marché parallèle vers la Libye existe, notamment dans les zones frontalières, représentant un canal informel non quantifié mais économiquement présent.

Au niveau planétaire, le rapport BarthHaas évalue la production mondiale de bière en 2024 à 1,875 milliard d’hectolitres, soit une baisse de 0,3 % par rapport à 2023. Les leaders mondiaux – Chine, États-Unis, Brésil, Allemagne – concentrent toujours près de la moitié du marché global.

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e‑Dirham : le Maroc trace une ligne monétaire souveraine dans un monde fragmenté

26. Juli 2025 um 13:24

À contre-courant de l’Afrique francophone, le Royaume expérimente sa propre monnaie numérique. Une avancée technologique aux implications politiques majeures — entre émancipation, autorité et potentiel glissement vers une société programmable.

Un pionnier africain face aux géants du Sud globa

Alors que les regards africains restent rivés sur les crises économiques, les monnaies arrimées au franc CFA ou aux pressions inflationnistes, le Maroc avance, sans bruit, dans une direction que peu anticipent vraiment. Le 21 juillet 2025, lors d’une intervention très attendue, le gouverneur de Bank Al-Maghrib, Abdellatif Jouahri, annonce l’expérimentation d’un e-dirham — une monnaie numérique de banque centrale (CBDC), émise et garantie par l’État.

Ce n’est pas une cryptomonnaie. Ce n’est pas une application. Ce n’est pas un gadget.
C’est une mutation profonde de la souveraineté monétaire, ancrée dans une technologie maîtrisée, une architecture programmable, et une intention stratégique claire.

Le Maroc devient ainsi le premier pays d’Afrique du Nord à s’engager aussi concrètement dans cette voie, alors que la Chine, l’Inde ou encore le Nigeria ont déjà entamé leurs propres transitions. Plus encore : Bank Al-Maghrib confirme avoir lancé un test de transfert transfrontalier direct avec l’Égypte, sans passer ni par le dollar ni par le système SWIFT. Un acte de rupture monétaire à peine dissimulé, au moment où les BRICS eux-mêmes cherchent à contourner l’hégémonie financière occidentale.

Ni l’Algérie, ni la Tunisie, ni même les pays d’Afrique subsaharienne francophone n’ont atteint un tel stade d’expérimentation. Le Maroc se positionne, de facto, comme un laboratoire continental de la souveraineté numérique.

Le retour du politique dans l’architecture monétaire

À première vue, le e-dirham ressemble à une évolution technologique : un dirham digital, circulant entre deux téléphones, appuyé sur une blockchain privée. En réalité, c’est une réinvention de la monnaie comme instrument d’action publique.

Selon les informations officielles, cette monnaie numérique :

  • est émise directement par Bank Al-Maghrib,
  • conserve une parité stricte avec le dirham physique,
  • circule sans intermédiaire bancaire,
  • est programmable : sa durée de validité, sa destination géographique, ou son usage peuvent être définis à l’avance.

Cela signifie que les aides sociales peuvent être versées sous forme numérique, avec une date d’expiration ou une restriction d’usage. Une subvention logement, par exemple, ne pourra pas être détournée pour acheter un smartphone ou être transférée à un tiers. Une aide alimentaire ne pourra être utilisée que dans une zone donnée, auprès de commerçants certifiés.

Derrière cette logique : la volonté de moderniser la redistribution, de cibler les politiques publiques, et de lutter contre les abus, tout en désintermédiant les banques privées du circuit de l’aide sociale.
Un objectif en apparence pragmatique, mais dont la portée est éminemment politique.

L’efficacité contre la liberté ? Vers une société programmable

Ce que le Maroc inaugure avec le e-dirham, c’est aussi une ère nouvelle : celle de l’argent conditionnel.
Une aide sociale qui expire. Une allocation scolaire qui ne fonctionne que dans certains commerces. Une subvention carburant géolocalisée.
Derrière les promesses d’efficacité, surgit une question cruciale : souhaitons-nous d’un argent qui obéit ?

Dans un système basé sur une blockchain privée, l’État peut, en théorie, suivre chaque transaction, activer ou désactiver une allocation, restreindre un usage.
La traçabilité devient un outil de contrôle. La monnaie devient un code.
C’est une puissance nouvelle, qui ne dit pas encore son nom, mais dont les implications doivent être pensées maintenant.

Si la technologie peut permettre des avancées significatives — lutte contre la fraude, inclusion financière, réduction du cash — elle peut aussi devenir le socle technique d’un contrôle social fin, algorithmique, et silencieux.

À long terme, si ces logiques se généralisent, le rapport entre État et citoyen peut basculer : l’argent cesse d’être un bien neutre et devient un outil actif de conditionnement.

Le test marocain, une brique stratégique

Il serait naïf de croire que le e-dirham n’est qu’un projet parmi d’autres. En réalité, il s’inscrit dans une vision plus large : celle d’un Maroc qui cherche à devenir un pôle autonome, numérique, africain, avec ses propres règles, ses infrastructures souveraines, ses flux internes et sa capacité à se soustraire, partiellement, aux chaînes monétaires globales.

C’est une réponse monétaire à la fragmentation du monde.
C’est aussi une reprise en main du levier monétaire par le politique.
Et c’est, surtout, un pari risqué mais assumé sur la programmable power.

Ce pouvoir-là — celui de moduler la monnaie elle-même, en fonction d’objectifs stratégiques — pourrait devenir l’un des principaux marqueurs de puissance des États au XXIe siècle. Il n’est donc pas anodin que ce soit un pays africain qui s’en empare en premier dans sa région.

Reste à voir si ce pouvoir sera encadré, transparent, et démocratiquement débattu.

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Royal Air Maroc Tunisie: un nouveau représentant pour assoir le partenariat avec les agences


C’est Anouar Mabrouki qui reprend le flambeau à la tête de la représentation de Royal Air Maroc en Tunisie en remplacement de Mohamed Issam Mosseddaq. Le nouveau représentant a été désigné pour poursuivre le travail de son prédécesseur et réaliser la nouvelle vision de la compagnie aérienne. 

La passation de flambeau entre Mohamed Issam Mosseddaq et Anouar Mabrouki , respectivement ancien et nouveau représentants de Royal Air Maroc en Tunisie, a été effectuée le 16 juin courant lors d’une soirée organisée à Tunis et placée sous le slogan « Cap vers de nouveaux horizons ». Celui-ci incarne la nouvelle vision de la compagnie axée sur trois termes essentiels avec un focus sur l’Afrique : grandir, innover et connecter avec plus de destinations en créant plus d’opportunités pour ses partenaires agences de voyages à travers des offres répondant aux attentes du client final.

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Passage de flambeau à la direction de la RAM à Tunis: Mohamed Issam Mossadeq (à droite) cède sa place à Anouar Mabrouki.

Bilan élogieux

Après 7 ans à la tête de la représentation de la RAM en Tunisie, Mohamed Issam Mosseddaq voit sa mission s’achever; l’occasion pour lui de dresser le bilan de son mandat. Il est donc revenu lors de l’événement auquel a pris part notamment Hassan Ben Brahim, chef du département animation des ventes à la direction au Maroc pour Maghreb, Moyen-Orient et Asie, sur les réalisations majeures accomplies durant les dernières années malgré les contraintes liées particulièrement à la crise sanitaire. Il s’agissait notamment de la consolidation de la ligne Tunis-Casablanca à raison de deux fréquences quotidiennes afin de garantir la régularité des différents services et le confort des passagers.

Le renforcement de cette offre a permis d’enregistrer une hausse de trafic entre 2018 et 2024 de plus de 20% accompagnée d’une nette amélioration du coefficient de remplissage. Le deuxième fait saillant du mandat de Mohamed Issam Mosseddaq a été le renforcement de la proximité de la compagnie aérienne avec le circuit de distribution à travers des événements, des workshops et des éductours. « Cela démontre notre résilience notamment pendant la crise sanitaire particulièrement en termes de gestion de remboursement des avoirs au profit des clients », a-t-il déclaré.

Après 7 années à Tunis, Mohamed Issam Mossadaq est nommé à Bruxelles au siège de la représentation pour le Bénélux.

Par ailleurs, la RAM en Tunisie a pu tripler le nombre de contrats commerciaux sur la base de la performance des partenaires tout en mettant en place un nouveau programme Corporate intégrant des réductions et des avantages exclusifs pour ses clients professionnels. Outre ce dispositif visant la fidélisation davantage de ses clients, elle a déployé la solution de vente Venga dédiée aux vendeurs avec la mise en service d’une nouvelle plateforme.

De plus, la représentation de la RAM en Tunisie a enrichi, avec l’appui des équipes du siège au Maroc, son dispositif de distribution sur le marché par l’intégration des cartes tunisiennes de paiement sur son site marchand afin de mieux répondre aux attentes d’une clientèle de plus en plus digitalisée.

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Etaient présents lors de la cérémonie de passation entre les deux représentants de la RAM à Tunis des diplomates marocains et africains accrédités en Tunisie.

Sur le plan de la communication, elle a également déployé plusieurs campagnes 360° : des mailings, des spots TV et radio, de l’affichage urbain sur les bus et dans des lieux stratégiques, des campagnes digitales ciblées et diverses actions de sponsoring visant à ancrer son image aussi bien auprès du grand public que chez les professionnels.

Perspectives de développement

Lors de l’événement, Hassan Ben Brahim -qui a fait le déplacement spécialement pour cet événement- a d’abord félicité Mohamed Issam Mosseddaq pour le travail accompli permettant de renforcer durablement la présence de Royal Air Maroc sur le marché tunisien. « Ce moment de passation s’inscrit dans un contexte d’évolution stratégique pour notre compagnie. Le Maroc est aujourd’hui au cœur de nombreuses dynamiques portées par une attractivité renforcée par l’organisation de plusieurs événements comme la Coupe d’Afrique des nations en fin de l’année 2025 et début 2026 ainsi que la Coupe du monde en 2030. La RAM veut donc être au niveau de ces événements », a-t-il indiqué.

Dans cette nouvelle stratégie de développement, la compagnie va poursuivre sa transformation profonde et structurée autour d’une vision stratégique à l’horizon de 2037.

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Hassan Ben Brahim, chef du département animation des ventes à la direction au Maroc pour Maghreb, Moyen-Orient et Asie pour la RAM.

Une flotte de 200 avions à l’horizon 2037

Il s’agira tout d’abord de porter la flotte globale de la RAM à 200 avions au lieu de 50 actuellement. En outre, elle prévoit de densifier davantage son réseau avec une connectivité internationale élargie. Hassen Ben Brahim a, par ailleurs, affirmé que la transformation de la compagnie est déjà en marche et elle est sur les bons rails avec la réouverture récente de Luanda (Angola), le lancement d’Abuja à Nigéria et l’ouverture d’autres destinations comme Toronto (Canada) et São Paolo (Brésil) avec la réouverture de Beijing (Chine) marquant ainsi une présence sur le marché asiatique.

« Ce développement s’accompagnera d’un effort soutenu pour améliorer l’expérience client sachant que la RAM est classée 4 étoiles sur Skytrax et elle est pour la onzième année consécutive désignée meilleure compagnie régionale en Afrique », s’est-il félicité. En invitant ses partenaires tunisiens à soutenir cette dynamique, il a insisté sur la nécessité d’être au rendez-vous avec les futurs challenges.

Vision claire

Anouar Mabrouki, qui a été appelé afin de poursuivre le déploiement de cette vision claire de la compagnie sur le marché tunisien, a affirmé sa détermination à poursuivre le travail engagé en essayant d’apporter une nouvelle énergie, une écoute constante et une orientation vers la performance et la satisfaction des clients de la compagnie aérienne.

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Anouar Mabrouki, nouveau représentant de la RAM en Tunisie.

Il est à rappeler que le nouveau représentant est doté d’une expérience de 30 ans. Il a représenté la RAM dans plusieurs marchés internationaux notamment en Europe comme l’Italie et l’Espagne. Il était jusqu’à récemment à la tête de la représentation de la compagnie au Sénégal qui est devenu son plus grand marché en Afrique.

K.C

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Royal Air Maroc, compagnie de référence pour relier Tunis à l’Afrique

 

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Royal Air Maroc, compagnie de référence pour relier Tunis à l’Afrique

Royal Air Maroc déploie une vaste campagne estivale baptisée “MORE FOR AFRICA”, en parfaite cohérence avec son positionnement stratégique porté par les signatures #DREAMAFRICA #MEETMOROCCO.

Alors que les échanges entre la Tunisie et le continent africain se renforcent, Royal Air Maroc s’impose comme un acteur central de la connectivité panafricaine. Grâce à son hub stratégique de Casablanca, la compagnie propose une offre étendue, des horaires flexibles et fiables, reliant Tunis à plus de 25 destinations africaines avec des temps de transit optimisés et un accompagnement soigné à chaque étape.

Une passerelle fluide et renforcée vers l’Afrique

Royal Air Maroc consolide son rôle de partenaire incontournable entre Tunis et l’Afrique en étendant son réseau avec de nouveaux vols de jour et des fréquences renforcées sur les liaisons les plus prisées. Grâce à des correspondances optimisées via Casablanca, un accompagnement en transit attentif, une qualité de service reconnue et une politique tarifaire compétitive, la compagnie offre à ses passagers un parcours fluide, flexible et confortable à travers tout le continent.

Au carrefour des échanges

En multipliant les liaisons africaines, Royal Air Maroc joue pleinement son rôle de passerelle entre Tunis et les grandes métropoles du continent et s’impose comme le partenaire de renom des voyageurs tunisiens en quête de nouvelles perspectives, qu’elles soient professionnelles ou personnelles.

Elle connecte Tunis aux capitales dynamiques du continent — de Nouakchott à Bamako, en passant par Dakar, de Ouagadougou à Niamey, de Conakry à Abidjan… — tout en offrant l’hospitalité d’un voyage pensé pour ses clients, des correspondances rapides et une qualité de service reconnue.

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Top Events annonce exporter son savoir-faire au Maroc

L’agence Top Events saisit l’occasion de son 15e anniversaire pour annoncer son expansion vers le Maroc sur les segments qui ont fait sa renommée en Tunisie.

Nabil Messaoud ne se satisfait jamais du statu quo. Le fondateur de l’agence Top Events est tourné vers l’horizon, là où se dessinent les marchés de demain. Et après 15 ans d’activités intenses en Tunisie, c’est vers le Maroc qu’il regarde désormais.

A l’occasion des 15 ans de son entreprise, Nabil Messaoud vient d’annoncer à ses partenaires et clients l’ouverture d’une filiale à Casablanca qui portera le nom de Top Events Maroc.

«Avec cette nouvelle implantation, Top Events renforce sa présence régionale et confirme sa volonté d’offrir un service de proximité, personnalisé et de haute qualité sur l’ensemble du territoire maghrébin», explique-t-il dans un communiqué.

Activités en pleine croissance

Est-ce à dire qu’après le Maroc, Nabil Messaoud poursuivra son expansion encore ailleurs ? Porté par une ambition sans limite, ceux qui l’ont côtoyé ou qui ont fait appel à ses services connaissent sa volonté constante de faire croître ses activités.

Après avoir ratissé large sur le territoire tunisien et après avoir chapeauté plusieurs centaines d’événements pour le compte d’entreprises et autres associations, souvent de dimension internationale, Top Events compte capitaliser sur ce savoir-faire au Maroc, toujours dans le périmètre qui est le sien: organisation d’événements corporate, séminaires et conférences, voyages incentives et lancement de produits, team-buildings et programmes à la carte, services logistiques et location de limousines avec chauffeur…

Une large panoplie doublée par une activité d’agence de voyages permettant la vente de billets d’avion, l’organisation de séjours et d’excursions, mais aussi de réceptions, mariages, etc.

«Grâce à la relation durable que nous avons entretenue avec nos partenaires et clients, nous avons pu bâtir une entreprise fondée sur l’excellence, la créativité et l’engagement», a déclaré Nabil Messaoud lors de la cérémonie d’anniversaire.

L’occasion pour lui de retracer le parcours de cette entreprise qu’il a créée en 2010 et qui s’est imposée depuis comme un acteur majeur dans son domaine, doublé d’un partenariat avec les hôtels de la place, notamment le Mövenpick Gammarth ou encore l’Oceana Hammamet, dans une démarche gagnant-gagnant qui a toujours animé son fondateur.

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