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Mondial 2026 : comment le Maroc s’est qualifié face au Niger ?

Von: walid
06. September 2025 um 16:45

La sélection marocaine s’est qualifiée pour la phase finale de la Coupe du monde 2026 grâce à sa victoire nette (5-0) face au Niger, vendredi soir au Stade Prince Moulay Abdellah à Rabat. Ce match comptait pour la 7e journée des éliminatoires africaines (Groupe E).

Un festival offensif à Rabat

Les Lions de l’Atlas ont rapidement pris l’ascendant, menant 2-0 à la pause grâce à un doublé d’Ismael Saibari (29e, 38e). En seconde période, Ayoub El Kaabi (50e), Hamza Igamane (68e) et Azeddine Ounahi (84e) ont alourdi le score, scellant une victoire sans appel.

Parcours sans faute

Avec ce sixième succès en autant de rencontres, le Maroc totalise 18 points et conserve la tête de son groupe. Ses poursuivants sont la Tanzanie (10 points), la Zambie et le Niger (6 points chacun), tandis que le Congo ferme la marche avec un seul point. Les Marocains valident ainsi leur ticket pour le Mondial deux journées avant la fin des qualifications.

Une histoire qui continue

La Coupe du monde 2026, organisée conjointement aux États-Unis, au Canada et au Mexique, marquera la septième participation du Maroc à la phase finale. Après 1970, 1986, 1994, 1998, 2018 et 2022, les Lions de l’Atlas signeront une troisième présence consécutive dans la compétition.

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Framboises : Record des exportations du Maroc

05. September 2025 um 11:38
Le Maroc a établi un nouveau record saisonnier dans les exportations de framboises fraîches. Au cours de la saison 2024/25 (juillet-juin), il en a exporté 64 400 tonnes, générant 487 millions de dollars de revenus. Il s’agit d’une augmentation de 13,8% par rapport à la saison précédente et une hausse de 9%, comparée au record de 2022/23, […]

Maroc: Le Grand stade de Tanger sera prêt fin septembre

02. September 2025 um 11:44
Le Grand stade de Tanger, qui connaît actuellement des travaux de rénovation en vue d’accueillir la Coupe d’Afrique des nations (CAN 2025) et le Mondial 2030 de football, sera prêt fin septembre prochain, a assuré Anouar Amraoui, architecte en charge de ce projet. «Tous les espaces intérieurs ont été refaits afin de répondre aux normes […]

‘‘Dames de fraises, doigts de fée’’ | Quand la BD donne voix aux invisibles

02. September 2025 um 07:43

La bande dessinée d’Annelise Verdier, ‘‘Dames de fraises, doigts de fée’’, adaptée de l’enquête de Chadia Arab, ne se contente pas de retracer un parcours migratoire saisonnier : elle ouvre une fenêtre sur un monde souvent ignoré.

Djamal Guettala

Farida, Nadia et Najet ne sont pas des héroïnes au sens classique du terme; ce sont des femmes ordinaires confrontées à l’extrême précarité, au travail harassant et aux humiliations quotidiennes dans les serres de Huelva, en Espagne. Chaque saison, elles quittent le Maroc, laissant derrière elles enfants, maisons et souvenirs, pour s’exposer à une réalité où la nécessité prime sur le choix.

Le récit visuel restitue avec force et sensibilité la douleur physique et psychologique de ces journées interminables, accroupies sous la chaleur, les mains dans la terre et les pesticides. Mais il montre aussi la solidarité et l’entraide qui naissent dans l’adversité. Solidarité, sororité, entraide : c’est dans ces gestes simples mais essentiels que réside leur résistance. Chaque planche, chaque expression traduit à la fois l’épuisement et la dignité, la vulnérabilité et la force, offrant au lecteur une immersion profonde dans un quotidien souvent invisible.

Verdier transforme des statistiques et des constats abstraits en visages et en histoires concrètes. Les «dames de fraises» deviennent des figures humaines, tangibles, avec leurs rêves, leurs absences et leurs sacrifices. Son travail graphique restitue la complexité d’une exploitation profondément ancrée dans des systèmes économiques mondialisés, tout en donnant vie à une sororité qui se tisse dans la lutte et la survie.

La préface de Chadia Arab souligne que ces récits s’ancrent dans une recherche rigoureuse, offrant à la bande dessinée un double niveau de lecture : documentaire et artistique. Le choix de la BD n’est pas anodin : par le dessin, la narration et la couleur, Verdier restitue la réalité des femmes avec une immédiateté et une sensibilité que le texte seul ne pourrait atteindre.

L’ouvrage ‘‘Dames de fraises, doigts de fée’’, de la géographe marocaine et chercheuse au CNRS Chadia Arab, est ainsi passé de pages en planches (122 pages en couleurs). Publiée le 22 août en France, la bande dessinée, actuellement en librairies, reverra le jour au Maroc.

Au-delà de son aspect documentaire, ce graphic novel est une leçon de regard et d’humanité. Il rappelle que derrière chaque main agile et chaque geste précis se cache une histoire de sacrifices, d’absences et de résilience. Il interroge notre rapport au travail invisible, à l’exploitation et à ces voix que le monde globalisé préfère étouffer. Dames de fraises, doigts de fée est une œuvre engagée, sensible et nécessaire, qui redonne dignité à celles que l’on ne voit jamais.

 Djamal Porté par les maisons d’édition française Alifbata et marocaine En toutes lettres, dans le cadre du programme “Livres des deux rives’’ initié par l’Institut français, ce projet a été réalisé par la graphiste française Annelise Verdier.

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Maroc : Les importations de céréales chutent de 11% 

01. September 2025 um 23:58
Le Maroc a réduit ses importations de céréales de 11 % au cours des sept premiers mois de 2025, selon les données de la Fédération nationale des négociants en céréales et légumes. Le pays a importé 5,847 millions de tonnes de céréales entre janvier et juillet 2025, contre 6,57 millions de tonnes à la même […]

Rabat refuse la libération de «Betty» Lachgar, militante des droits humains

01. September 2025 um 11:42

Le tribunal de Rabat a rejeté la demande de libération provisoire de la militante féministe Ibtissame «Betty» Lachgar, 50 ans, accusée de «blasphème et d’atteinte à la religion musulmane». Détenue depuis le 13 août, elle serait malade.

La prochaine audience ordinaire du procès a été reportée au 3 septembre 2025, sur fond de tension dans la salle d’audience due à des contrôles stricts et des perquisitions systématiques.

L’article 267-5 du Code pénal marocain, en vertu duquel la militante est poursuivie, punit de six mois à deux ans de prison ferme «quiconque porte atteinte à la religion musulmane». La peine est susceptible d’être portée à cinq ans d’emprisonnement si l’infraction est commise en public, «y compris par voie électronique».

Lachgar, figure emblématique du Mouvement alternatif pour les libertés individuelles (Mali), a été arrêtée le 13 août pour avoir publié sur les réseaux sociaux une photo d’elle portant un t-shirt jugé blasphématoire. Cet incident a remis au premier plan le débat sur la liberté de conscience et d’expression au Maroc.

La Constitution marocaine, comme la plupart des constitution des Etats autoritaires, «garantit» la liberté d’expression, mais le Code pénal maintient des dispositions strictes concernant la religion, les bonnes mœurs et l’ordre public.

La militante est apparue affaiblie au tribunal, vêtue d’une djellaba et d’un voile léger, avec un bandage couvrant son épaule gauche.

Sa défense affirme qu’elle souffre d’une blessure grave nécessitant une intervention chirurgicale d’urgence, car elle risque une amputation partielle du bras.

L’accusation a rejeté sa demande sa demande de libération, invoquant le respect du cadre juridique et des exigences judiciaires.

Lachgar serait toujours en isolement et ne pourrait même pas participer aux séances d’exercice physique. Ses avocats qualifient ce traitement d’«atteinte à sa dignité» et réclament de meilleurs soins de santé pendant sa détention.

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La faillite du système éducatif tunisien | Comment en sortir ?

01. September 2025 um 07:39

Dans les années 1960-1980, la Tunisie était un phare éducatif en Afrique, mais cet héritage est aujourd’hui en partie perdu. Notre pays ne peut se permettre de perdre une génération entière. La privatisation rampante de l’éducation et l’abandon de l’école publique creusent les inégalités et hypothèquent l’avenir du pays. Chaque jour de retard aggrave la situation et pousse davantage de jeunes vers l’exil ou le désespoir. Agir maintenant, avec vision et responsabilité, c’est investir dans l’avenir du pays et dans la réussite de tous ses citoyens.

Hedi Dardour

Sous Bourguiba, l’éducation était un pilier central de la nation. Il a construit des écoles et des universités qui ont permis aux Tunisiens et aux Tunisiennes de rayonner dans le monde entier. Les universités tunisiennes attiraient des étudiants de toute l’Afrique, témoignant de l’excellence et du prestige du savoir tunisiens.

Pourtant, aujourd’hui, ce système est en déliquescence. Les établissements publics souffrent d’un manque criant de ressources, d’une bureaucratie pesante et d’une gouvernance défaillante. Pire encore, on assiste à une désertification totale de l’école publique au profit des établissements privés, qui croissent à une vitesse exponentielle. Cette dynamique aggrave la fracture sociale entre les familles qui ont les moyens d’offrir à leurs enfants une éducation d’excellence et celles qui n’ont d’autre choix que de se tourner vers un enseignement public en déclin.

La dégringolade des écoles et universités tunisiennes dans les classements mondiaux, comme celui de Shanghai, est le symbole du recul du prestige académique du pays.

Un système à l’agonie : causes et conséquences

1. L’effondrement de l’école publique et l’explosion du privé :

Depuis une décennie, les familles tunisiennes qui en ont les moyens se tournent massivement vers le secteur privé, perçu comme offrant une meilleure qualité d’enseignement et de meilleures perspectives d’avenir. Résultat : les écoles publiques se vident, concentrant les élèves issus de milieux défavorisés, tandis que les établissements privés – souvent chers et inaccessibles à la majorité – deviennent le symbole d’une éducation à deux vitesses.

Conséquence : une fracture sociale éducative sans précédent, où l’accès au savoir et aux opportunités dépend désormais du pouvoir d’achat des parents.

2. Instabilité politique et manque de continuité :

Les changements fréquents de gouvernements et l’absence de vision à long terme ont empêché toute réforme durable. Les priorités éducatives sont constamment repoussées au profit de crises immédiates, laissant le système sans direction claire.

3. Crise économique et désinvestissement :

Le budget alloué à l’éducation ne cesse de diminuer. En 2024, seulement 6 % du PIB y était consacré, contre 7-8 % au Maroc, un pays qui a su transformer son système éducatif en un levier de développement.

Les enseignants, confrontés à des conditions précaires, se mobilisent régulièrement pour réclamer de meilleures conditions, tandis que les infrastructures scolaires se dégradent faute d’entretien.

4. Fuite des cerveaux et perte d’attractivité :

Les universités tunisiennes, autrefois prisées, voient leurs effectifs d’étudiants étrangers diminuer. Le Maroc, lui, a su attirer des étudiants africains et arabes grâce à des investissements ciblés et des partenariats internationaux. Pendant ce temps, de nombreux jeunes Tunisiens choisissent de poursuivre leurs études à l’étranger, faute de perspectives locales.

5. Absence de vision stratégique :

Les réformes annoncées (révision des programmes, lutte contre la corruption, développement de l’enseignement professionnel) peinent à se concrétiser. Le système reste centralisé, rigide et incapable de s’adapter aux besoins du marché du travail et aux standards internationaux. Le Maroc, un modèle de réussite ? La comparaison avec le Maroc est édifiante. Grâce à une stabilité institutionnelle, à des investissements massifs dans l’éducation et à une volonté politique affirmée, le Maroc a su moderniser son système éducatif. Des universités comme Mohammed VI Polytechnique (UM6P) sont devenues des références en Afrique, attirant des étudiants et des chercheurs du monde entier.

Appel urgent à la responsabilité politique

Il est temps que les responsables politiques tunisiens fassent de l’excellence éducative une priorité absolue. Une nation ne peut prospérer sans une jeunesse formée aux standards internationaux, capable d’innover et de porter le pays vers l’avenir.

Pour éviter une catastrophe sociale et économique, il est urgent de :

· Sauver l’école publique : redonner aux établissements publics les moyens humains, matériels et pédagogiques pour rivaliser avec le privé. Cela passe par une revalorisation des enseignants, une modernisation des infrastructures et une lutte contre la corruption dans la gestion des ressources.

· Réguler le secteur privé : encadrer les frais de scolarité et imposer des standards de qualité pour éviter que l’éducation ne devienne un luxe réservé à une élite.

· Réformer la gouvernance : décentraliser la gestion des établissements et associer les acteurs locaux (enseignants, parents, entreprises) aux décisions.

· Adapter les programmes aux besoins du marché : développer des filières professionnelles courtes et utiles (numérique, énergies renouvelables, tourisme) pour répondre aux défis économiques actuels.

· Garantir l’égalité des chances : mettre en place des bourses et des mécanismes de discrimination positive pour permettre aux élèves défavorisés d’accéder à une éducation de qualité.

Agir maintenant, pour sauver l’avenir

La Tunisie ne peut se permettre de perdre une génération entière. La privatisation rampante de l’éducation et l’abandon de l’école publique creusent les inégalités et hypothèquent l’avenir du pays. Chaque jour de retard aggrave la situation et pousse davantage de jeunes vers l’exil ou le désespoir. Agir maintenant, avec vision et responsabilité, c’est investir dans l’avenir du pays et dans la réussite de tous ses citoyens.

Le système éducatif tunisien a besoin d’une refonte ambitieuse, portée par une volonté politique forte et une mobilisation collective. L’heure n’est plus aux promesses, mais à l’action. La Tunisie mérite de retrouver sa place de leader éducatif en Afrique – une place où chaque enfant, quel que soit son milieu social, a sa chance. À ses dirigeants de relever ce défi.

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Les Européens veulent abolir les barrières commerciales avec leurs partenaires méditerranéens

27. August 2025 um 07:37

Selon un document de la Commission européenne (CE) consulté par Euronews, plusieurs pays de l’Union européenne (UE) militent pour que le prochain accord stratégique de l’UE sur la Méditerranée permette d’abolir les barrières commerciales avec certains États d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient et de les aligner sur les règles du marché unique de l’UE.

Eleonora Vasques

Cette proposition est présentée dans un résumé préparé par la CE avant avril 2025, consulté par Euronews, qui contient les contributions des États membres de l’UE, des pays partenaires et des parties prenantes au futur Pacte pour la Méditerranée.

Ce pacte, qui devrait être présenté par l’exécutif européen à la mi-octobre, vise à établir une combinaison d’accords bilatéraux existants et nouveaux entre l’UE et certains pays méditerranéens dans divers secteurs.

Le pacte concerne l’Algérie, l’Égypte, Israël, la Jordanie, le Liban, la Libye, le Maroc, la Palestine, la Tunisie et la Syrie.

«Les consultations viseront également à intégrer les points de vue des voisins, notamment les pays du Golfe et la Turquie, reconnaissant leurs intérêts stratégiques importants, leur contribution et leur influence dans la région», indique le document.

Renforcer l’intégration méditerranéenne

Par cette initiative, la CE cherche à renforcer l’intégration dans la région méditerranéenne, notamment au vu des instabilités commerciales avec des alliés traditionnels comme les États-Unis.

«De nombreux États [membres de l’UE] proposent de moderniser les accords existants et d’éliminer les barrières commerciales, appelant à l’alignement sur les règles du Marché unique et à la convergence dans des secteurs tels que le numérique, l’énergie, l’environnement et les normes du travail», peut-on lire dans le document.

Cependant, ce n’est pas la première fois que Bruxelles tente de lancer l’intégration commerciale entre les pays méditerranéens. En 1995, à l’occasion de la «Déclaration de Barcelone», les partenaires ont convenu de créer une zone de libre-échange euro-méditerranéenne (Zleem), un accord qui n’a jamais été concrétisé.

L’UE a déjà conclu un accord commercial préférentiel avec les pays méditerranéens, défini dans la Règle d’origine préférentielle pan-euro-méditerranéenne, connue sous le nom de Convention PEM, un accord commercial multilatéral qui harmonise les règles d’origine.

Cette Convention inclut les pays de l’UE, les membres de l’Aele, les Balkans occidentaux, les partenaires méditerranéens, la Géorgie, l’Ukraine et la République de Moldavie.

Pour un accès pratique aux marchés

Cependant, le document relatif au Pacte méditerranéen consulté par Euronews indique que les États membres de l’UE cherchent à approfondir leurs liens commerciaux avec la région.

Certains [États membres de l’UE] soulignent l’importance d’un commerce inclusif, de tarifs douaniers plus bas et d’un accès pratique aux marchés grâce à des outils tels que Global Gateway et la Convention PEM. Certains plaident en faveur d’une modernisation de la Convention PEM afin de refléter les accords commerciaux actuels de l’UE et d’identifier le commerce comme le domaine offrant le plus grand potentiel d’action conjointe et coordonnée, indique le document.

Selon le document, les partenaires ont des points de convergence sur les questions commerciales, mais ils souhaitent également «un alignement réglementaire, un accès aux marchés et un soutien aux producteurs locaux».

«Un soutien à l’harmonisation réglementaire pour attirer les investissements et construire des chaînes de valeur communes dans les domaines du numérique, des transports et des énergies propres est exprimé», indique le document, faisant référence aux contributions des pays méditerranéens.

«Les chaînes de valeur agro-industrielles transfrontalières, la modernisation des douanes, les systèmes d’exportation sous label vert et l’adoption de règles d’origine PEM modifiées sont également proposés. L’accent est également mis sur la simplification des procédures commerciales, le soutien aux PME et aux entreprises vertes, et l’assouplissement des barrières non tarifaires grâce à des dialogues structurés», ajoute le document.

L’alignement sur la gouvernance numérique et le système douanier de l’UE, ainsi que la simplification des procédures aux frontières, sont également des sujets d’intérêt pour les pays partenaires.

«Les propositions comprennent des lois inspirées du Règlement général sur la protection des données (RGPD) et des outils d’administration en ligne, ainsi que des échanges entre pairs pour favoriser la convergence», indique le document.

«Un groupe de pays partenaires accorde la priorité à la convergence en matière d’énergie propre et de normes environnementales», ajoute le document.

Traduit de l’anglais

Source : Euronews.

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Le Bangladesh va acheter 65 000 tonnes d’engrais auprès de la Tunisie et du Maroc

26. August 2025 um 13:54

Le gouvernement du Bangladesh a approuvé aujourd’hui, mardi 26 août 2025, des propositions distinctes pour l’achat de quelque 65 000 tonnes d’engrais chimiques de la Tunisie et du Maroc, ainsi que les travaux de construction d’un entrepôt d’une capacité de 10 000 tonnes à Bhola, afin de répondre à la demande croissante du pays, a annoncé BSS News.

Ces approbations ont été obtenues lors de la 33e réunion du Comité du Conseil consultatif sur les achats publics de cette année, qui s’est tenue aujourd’hui. Le Dr Salehuddin Ahmed, conseiller financier, a présidé la réunion virtuellement.

Suite à deux propositions distinctes du ministère de l’Agriculture, la Société de développement agricole du Bangladesh (Badc) achètera 25 000 tonnes d’engrais TSP dans le cadre du troisième lot d’un accord avec le Groupe chimique tunisien (Tunisie), pour un prix 602,50 dollars US la tonne.

Par ailleurs, la Badc achètera 40 000 tonnes d’engrais DAP dans le cadre du troisième lot de l’accord d’État avec l’Office chérifien des phosphates (OCP-Maroc), pour un prix de 781,33 dollars US la tonne.

I. B.

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Le mariage en net recul au Maghreb : un bouleversement social en cours

08. August 2025 um 12:56

Autrefois socle de la société, le mariage est en chute libre au Maghreb. En seulement dix ans, le nombre d’unions a dégringolé de 25 à 30 % selon les pays, marquant une rupture majeure avec les traditions. Ce phénomène, loin d’être anodin, révèle un profond changement de mentalité chez les jeunes.

C’est un véritable basculement social qui s’opère, avec des conséquences sur l’économie, la démographie et les politiques publiques. Derrière cette baisse se cachent des raisons à la fois économiques et culturelles.

Maroc : une baisse de plus d’un quart en 10 ans

Selon les données du ministère de la Justice, le Maroc a vu le nombre de mariages baisser de plus de 25 % entre 2014 et 2024. Les causes sont multiples : allongement des études, difficultés à trouver un emploi, coût de la vie et du logement, et surtout, l’émancipation des femmes qui redéfinissent leurs attentes vis-à-vis de l’union.

Algérie : 27 % de mariages en moins

En Algérie, l’Office National des Statistiques (ONS) révèle une chute de 27 % des unions, passant de 387 000 mariages en 2014 à 282 000 en 2023. L’âge moyen pour se marier a grimpé, atteignant 27 ans pour les femmes et 34 ans pour les hommes. Le mariage, longtemps perçu comme une étape obligatoire, devient un choix personnel, souvent retardé par les contraintes économiques.

Tunisie : la baisse la plus forte

La Tunisie enregistre la baisse la plus spectaculaire. Les chiffres de l’Institut National de la Statistique (INS) montrent une diminution de près de 30 %, passant de 110 000 mariages en 2014 à seulement 78 500 en 2023. L’âge moyen au mariage frôle les 30 ans, et le nombre de divorces est en forte hausse, signe d’une reconfiguration accélérée des modèles familiaux.

Un phénomène lourd de conséquences

Ce recul du mariage n’est qu’un symptôme. Il s’accompagne d’une baisse de la natalité et d’un vieillissement de la population dans les trois pays. Les effets se font déjà sentir sur l’économie (immobilier, événementiel) et posent des questions cruciales pour l’avenir des sociétés maghrébines.

Comment ces pays, historiquement ancrés dans la tradition de la famille, s’adapteront-ils à une nouvelle génération qui privilégie l’autonomie et le choix personnel ?

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Bière en Afrique du Nord : La Tunisie reste leader

Dans un contexte mondial marqué par une légère contraction du marché de la bière, la Tunisie s’impose discrètement comme l’un des principaux producteurs de bière en Afrique du Nord. C’est ce que confirment les données croisées du dernier rapport BarthHaas 2024/25, référence mondiale du marché du houblon, et les chiffres officiels publiés par la Société de Fabrication des Boissons de Tunisie (SFBT), principal acteur du secteur dans le pays.

Une production stable et structurée

En 2024, la production totale de bière en Tunisie a atteint environ 1,757 million d’hectolitres, dont la majeure partie est attribuée à la Société de Fabrication des Boissons de Tunisie (SFBT), principal acteur du secteur. Selon les données disponibles, près de 1,721 million d’hectolitres ont été écoulés localement. Bien qu’on observe une légère baisse par rapport à 2023 (1,788 million d’hectolitres), cette stabilité traduit la résilience d’une filière industrielle consolidée, au service d’un marché intérieur mature et régulé.

Ce niveau reste légèrement inférieur à celui de 2022 (1,856 million d’hectolitres), mais suffit à placer la Tunisie dans le top 75 mondial, selon les estimations du rapport BarthHaas. Elle devance nettement ses voisins du Maghreb, où les dynamiques sont plus contrastées.

Le Maghreb entre tassement et recomposition

D’après les données du rapport BarthHaas, la production africaine de bière a progressé de +6,7 % en 2024, portée par des géants continentaux comme le Nigeria, l’Afrique du Sud et l’Angola. En Afrique du Nord, en revanche, la croissance est absente voire négative.

Voici les chiffres actualisés pour la région en 2024 :

PaysProduction 2024 (hl)Classement mondial
🇹🇳 Tunisie1 757 000~72e
🇩🇿 Algérie1 503 00080e
🇪🇬 Égypte924 00099e
🇲🇦 Maroc818 000108e
🇱🇧 Liban384 000121e
🇯🇴 Jordanie247 000133e

La Tunisie maintient donc sa position de leader régional depuis 2022, grâce à un marché intérieur solide et une régulation efficace.

Un modèle tunisien original, entre encadrement et efficacité

La réussite relative de la Tunisie dans ce secteur repose sur plusieurs facteurs :

  • Une infrastructure industrielle performante, dominée par la SFBT sous licence du groupe Castel.
  • Un marché local bien structuré, avec des pratiques de consommation conformes aux normes sociales locales.
  • Une fiscalité spécifique qui fait de la bière une ressource budgétaire non négligeable.
  • Un circuit de distribution régulé, notamment à travers les points de vente étatiques et licences privées.

Contrairement à certains voisins, la Tunisie n’exporte officiellement qu’une part très limitée de sa production brassicole. Toutefois, un marché parallèle vers la Libye existe, notamment dans les zones frontalières, représentant un canal informel non quantifié mais économiquement présent.

Au niveau planétaire, le rapport BarthHaas évalue la production mondiale de bière en 2024 à 1,875 milliard d’hectolitres, soit une baisse de 0,3 % par rapport à 2023. Les leaders mondiaux – Chine, États-Unis, Brésil, Allemagne – concentrent toujours près de la moitié du marché global.

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e‑Dirham : le Maroc trace une ligne monétaire souveraine dans un monde fragmenté

26. Juli 2025 um 13:24

À contre-courant de l’Afrique francophone, le Royaume expérimente sa propre monnaie numérique. Une avancée technologique aux implications politiques majeures — entre émancipation, autorité et potentiel glissement vers une société programmable.

Un pionnier africain face aux géants du Sud globa

Alors que les regards africains restent rivés sur les crises économiques, les monnaies arrimées au franc CFA ou aux pressions inflationnistes, le Maroc avance, sans bruit, dans une direction que peu anticipent vraiment. Le 21 juillet 2025, lors d’une intervention très attendue, le gouverneur de Bank Al-Maghrib, Abdellatif Jouahri, annonce l’expérimentation d’un e-dirham — une monnaie numérique de banque centrale (CBDC), émise et garantie par l’État.

Ce n’est pas une cryptomonnaie. Ce n’est pas une application. Ce n’est pas un gadget.
C’est une mutation profonde de la souveraineté monétaire, ancrée dans une technologie maîtrisée, une architecture programmable, et une intention stratégique claire.

Le Maroc devient ainsi le premier pays d’Afrique du Nord à s’engager aussi concrètement dans cette voie, alors que la Chine, l’Inde ou encore le Nigeria ont déjà entamé leurs propres transitions. Plus encore : Bank Al-Maghrib confirme avoir lancé un test de transfert transfrontalier direct avec l’Égypte, sans passer ni par le dollar ni par le système SWIFT. Un acte de rupture monétaire à peine dissimulé, au moment où les BRICS eux-mêmes cherchent à contourner l’hégémonie financière occidentale.

Ni l’Algérie, ni la Tunisie, ni même les pays d’Afrique subsaharienne francophone n’ont atteint un tel stade d’expérimentation. Le Maroc se positionne, de facto, comme un laboratoire continental de la souveraineté numérique.

Le retour du politique dans l’architecture monétaire

À première vue, le e-dirham ressemble à une évolution technologique : un dirham digital, circulant entre deux téléphones, appuyé sur une blockchain privée. En réalité, c’est une réinvention de la monnaie comme instrument d’action publique.

Selon les informations officielles, cette monnaie numérique :

  • est émise directement par Bank Al-Maghrib,
  • conserve une parité stricte avec le dirham physique,
  • circule sans intermédiaire bancaire,
  • est programmable : sa durée de validité, sa destination géographique, ou son usage peuvent être définis à l’avance.

Cela signifie que les aides sociales peuvent être versées sous forme numérique, avec une date d’expiration ou une restriction d’usage. Une subvention logement, par exemple, ne pourra pas être détournée pour acheter un smartphone ou être transférée à un tiers. Une aide alimentaire ne pourra être utilisée que dans une zone donnée, auprès de commerçants certifiés.

Derrière cette logique : la volonté de moderniser la redistribution, de cibler les politiques publiques, et de lutter contre les abus, tout en désintermédiant les banques privées du circuit de l’aide sociale.
Un objectif en apparence pragmatique, mais dont la portée est éminemment politique.

L’efficacité contre la liberté ? Vers une société programmable

Ce que le Maroc inaugure avec le e-dirham, c’est aussi une ère nouvelle : celle de l’argent conditionnel.
Une aide sociale qui expire. Une allocation scolaire qui ne fonctionne que dans certains commerces. Une subvention carburant géolocalisée.
Derrière les promesses d’efficacité, surgit une question cruciale : souhaitons-nous d’un argent qui obéit ?

Dans un système basé sur une blockchain privée, l’État peut, en théorie, suivre chaque transaction, activer ou désactiver une allocation, restreindre un usage.
La traçabilité devient un outil de contrôle. La monnaie devient un code.
C’est une puissance nouvelle, qui ne dit pas encore son nom, mais dont les implications doivent être pensées maintenant.

Si la technologie peut permettre des avancées significatives — lutte contre la fraude, inclusion financière, réduction du cash — elle peut aussi devenir le socle technique d’un contrôle social fin, algorithmique, et silencieux.

À long terme, si ces logiques se généralisent, le rapport entre État et citoyen peut basculer : l’argent cesse d’être un bien neutre et devient un outil actif de conditionnement.

Le test marocain, une brique stratégique

Il serait naïf de croire que le e-dirham n’est qu’un projet parmi d’autres. En réalité, il s’inscrit dans une vision plus large : celle d’un Maroc qui cherche à devenir un pôle autonome, numérique, africain, avec ses propres règles, ses infrastructures souveraines, ses flux internes et sa capacité à se soustraire, partiellement, aux chaînes monétaires globales.

C’est une réponse monétaire à la fragmentation du monde.
C’est aussi une reprise en main du levier monétaire par le politique.
Et c’est, surtout, un pari risqué mais assumé sur la programmable power.

Ce pouvoir-là — celui de moduler la monnaie elle-même, en fonction d’objectifs stratégiques — pourrait devenir l’un des principaux marqueurs de puissance des États au XXIe siècle. Il n’est donc pas anodin que ce soit un pays africain qui s’en empare en premier dans sa région.

Reste à voir si ce pouvoir sera encadré, transparent, et démocratiquement débattu.

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Royal Air Maroc Tunisie: un nouveau représentant pour assoir le partenariat avec les agences


C’est Anouar Mabrouki qui reprend le flambeau à la tête de la représentation de Royal Air Maroc en Tunisie en remplacement de Mohamed Issam Mosseddaq. Le nouveau représentant a été désigné pour poursuivre le travail de son prédécesseur et réaliser la nouvelle vision de la compagnie aérienne. 

La passation de flambeau entre Mohamed Issam Mosseddaq et Anouar Mabrouki , respectivement ancien et nouveau représentants de Royal Air Maroc en Tunisie, a été effectuée le 16 juin courant lors d’une soirée organisée à Tunis et placée sous le slogan « Cap vers de nouveaux horizons ». Celui-ci incarne la nouvelle vision de la compagnie axée sur trois termes essentiels avec un focus sur l’Afrique : grandir, innover et connecter avec plus de destinations en créant plus d’opportunités pour ses partenaires agences de voyages à travers des offres répondant aux attentes du client final.

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Passage de flambeau à la direction de la RAM à Tunis: Mohamed Issam Mossadeq (à droite) cède sa place à Anouar Mabrouki.

Bilan élogieux

Après 7 ans à la tête de la représentation de la RAM en Tunisie, Mohamed Issam Mosseddaq voit sa mission s’achever; l’occasion pour lui de dresser le bilan de son mandat. Il est donc revenu lors de l’événement auquel a pris part notamment Hassan Ben Brahim, chef du département animation des ventes à la direction au Maroc pour Maghreb, Moyen-Orient et Asie, sur les réalisations majeures accomplies durant les dernières années malgré les contraintes liées particulièrement à la crise sanitaire. Il s’agissait notamment de la consolidation de la ligne Tunis-Casablanca à raison de deux fréquences quotidiennes afin de garantir la régularité des différents services et le confort des passagers.

Le renforcement de cette offre a permis d’enregistrer une hausse de trafic entre 2018 et 2024 de plus de 20% accompagnée d’une nette amélioration du coefficient de remplissage. Le deuxième fait saillant du mandat de Mohamed Issam Mosseddaq a été le renforcement de la proximité de la compagnie aérienne avec le circuit de distribution à travers des événements, des workshops et des éductours. « Cela démontre notre résilience notamment pendant la crise sanitaire particulièrement en termes de gestion de remboursement des avoirs au profit des clients », a-t-il déclaré.

Après 7 années à Tunis, Mohamed Issam Mossadaq est nommé à Bruxelles au siège de la représentation pour le Bénélux.

Par ailleurs, la RAM en Tunisie a pu tripler le nombre de contrats commerciaux sur la base de la performance des partenaires tout en mettant en place un nouveau programme Corporate intégrant des réductions et des avantages exclusifs pour ses clients professionnels. Outre ce dispositif visant la fidélisation davantage de ses clients, elle a déployé la solution de vente Venga dédiée aux vendeurs avec la mise en service d’une nouvelle plateforme.

De plus, la représentation de la RAM en Tunisie a enrichi, avec l’appui des équipes du siège au Maroc, son dispositif de distribution sur le marché par l’intégration des cartes tunisiennes de paiement sur son site marchand afin de mieux répondre aux attentes d’une clientèle de plus en plus digitalisée.

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Etaient présents lors de la cérémonie de passation entre les deux représentants de la RAM à Tunis des diplomates marocains et africains accrédités en Tunisie.

Sur le plan de la communication, elle a également déployé plusieurs campagnes 360° : des mailings, des spots TV et radio, de l’affichage urbain sur les bus et dans des lieux stratégiques, des campagnes digitales ciblées et diverses actions de sponsoring visant à ancrer son image aussi bien auprès du grand public que chez les professionnels.

Perspectives de développement

Lors de l’événement, Hassan Ben Brahim -qui a fait le déplacement spécialement pour cet événement- a d’abord félicité Mohamed Issam Mosseddaq pour le travail accompli permettant de renforcer durablement la présence de Royal Air Maroc sur le marché tunisien. « Ce moment de passation s’inscrit dans un contexte d’évolution stratégique pour notre compagnie. Le Maroc est aujourd’hui au cœur de nombreuses dynamiques portées par une attractivité renforcée par l’organisation de plusieurs événements comme la Coupe d’Afrique des nations en fin de l’année 2025 et début 2026 ainsi que la Coupe du monde en 2030. La RAM veut donc être au niveau de ces événements », a-t-il indiqué.

Dans cette nouvelle stratégie de développement, la compagnie va poursuivre sa transformation profonde et structurée autour d’une vision stratégique à l’horizon de 2037.

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Hassan Ben Brahim, chef du département animation des ventes à la direction au Maroc pour Maghreb, Moyen-Orient et Asie pour la RAM.

Une flotte de 200 avions à l’horizon 2037

Il s’agira tout d’abord de porter la flotte globale de la RAM à 200 avions au lieu de 50 actuellement. En outre, elle prévoit de densifier davantage son réseau avec une connectivité internationale élargie. Hassen Ben Brahim a, par ailleurs, affirmé que la transformation de la compagnie est déjà en marche et elle est sur les bons rails avec la réouverture récente de Luanda (Angola), le lancement d’Abuja à Nigéria et l’ouverture d’autres destinations comme Toronto (Canada) et São Paolo (Brésil) avec la réouverture de Beijing (Chine) marquant ainsi une présence sur le marché asiatique.

« Ce développement s’accompagnera d’un effort soutenu pour améliorer l’expérience client sachant que la RAM est classée 4 étoiles sur Skytrax et elle est pour la onzième année consécutive désignée meilleure compagnie régionale en Afrique », s’est-il félicité. En invitant ses partenaires tunisiens à soutenir cette dynamique, il a insisté sur la nécessité d’être au rendez-vous avec les futurs challenges.

Vision claire

Anouar Mabrouki, qui a été appelé afin de poursuivre le déploiement de cette vision claire de la compagnie sur le marché tunisien, a affirmé sa détermination à poursuivre le travail engagé en essayant d’apporter une nouvelle énergie, une écoute constante et une orientation vers la performance et la satisfaction des clients de la compagnie aérienne.

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Anouar Mabrouki, nouveau représentant de la RAM en Tunisie.

Il est à rappeler que le nouveau représentant est doté d’une expérience de 30 ans. Il a représenté la RAM dans plusieurs marchés internationaux notamment en Europe comme l’Italie et l’Espagne. Il était jusqu’à récemment à la tête de la représentation de la compagnie au Sénégal qui est devenu son plus grand marché en Afrique.

K.C

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Royal Air Maroc, compagnie de référence pour relier Tunis à l’Afrique

Royal Air Maroc déploie une vaste campagne estivale baptisée “MORE FOR AFRICA”, en parfaite cohérence avec son positionnement stratégique porté par les signatures #DREAMAFRICA #MEETMOROCCO.

Alors que les échanges entre la Tunisie et le continent africain se renforcent, Royal Air Maroc s’impose comme un acteur central de la connectivité panafricaine. Grâce à son hub stratégique de Casablanca, la compagnie propose une offre étendue, des horaires flexibles et fiables, reliant Tunis à plus de 25 destinations africaines avec des temps de transit optimisés et un accompagnement soigné à chaque étape.

Une passerelle fluide et renforcée vers l’Afrique

Royal Air Maroc consolide son rôle de partenaire incontournable entre Tunis et l’Afrique en étendant son réseau avec de nouveaux vols de jour et des fréquences renforcées sur les liaisons les plus prisées. Grâce à des correspondances optimisées via Casablanca, un accompagnement en transit attentif, une qualité de service reconnue et une politique tarifaire compétitive, la compagnie offre à ses passagers un parcours fluide, flexible et confortable à travers tout le continent.

Au carrefour des échanges

En multipliant les liaisons africaines, Royal Air Maroc joue pleinement son rôle de passerelle entre Tunis et les grandes métropoles du continent et s’impose comme le partenaire de renom des voyageurs tunisiens en quête de nouvelles perspectives, qu’elles soient professionnelles ou personnelles.

Elle connecte Tunis aux capitales dynamiques du continent — de Nouakchott à Bamako, en passant par Dakar, de Ouagadougou à Niamey, de Conakry à Abidjan… — tout en offrant l’hospitalité d’un voyage pensé pour ses clients, des correspondances rapides et une qualité de service reconnue.

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Top Events annonce exporter son savoir-faire au Maroc

L’agence Top Events saisit l’occasion de son 15e anniversaire pour annoncer son expansion vers le Maroc sur les segments qui ont fait sa renommée en Tunisie.

Nabil Messaoud ne se satisfait jamais du statu quo. Le fondateur de l’agence Top Events est tourné vers l’horizon, là où se dessinent les marchés de demain. Et après 15 ans d’activités intenses en Tunisie, c’est vers le Maroc qu’il regarde désormais.

A l’occasion des 15 ans de son entreprise, Nabil Messaoud vient d’annoncer à ses partenaires et clients l’ouverture d’une filiale à Casablanca qui portera le nom de Top Events Maroc.

«Avec cette nouvelle implantation, Top Events renforce sa présence régionale et confirme sa volonté d’offrir un service de proximité, personnalisé et de haute qualité sur l’ensemble du territoire maghrébin», explique-t-il dans un communiqué.

Activités en pleine croissance

Est-ce à dire qu’après le Maroc, Nabil Messaoud poursuivra son expansion encore ailleurs ? Porté par une ambition sans limite, ceux qui l’ont côtoyé ou qui ont fait appel à ses services connaissent sa volonté constante de faire croître ses activités.

Après avoir ratissé large sur le territoire tunisien et après avoir chapeauté plusieurs centaines d’événements pour le compte d’entreprises et autres associations, souvent de dimension internationale, Top Events compte capitaliser sur ce savoir-faire au Maroc, toujours dans le périmètre qui est le sien: organisation d’événements corporate, séminaires et conférences, voyages incentives et lancement de produits, team-buildings et programmes à la carte, services logistiques et location de limousines avec chauffeur…

Une large panoplie doublée par une activité d’agence de voyages permettant la vente de billets d’avion, l’organisation de séjours et d’excursions, mais aussi de réceptions, mariages, etc.

«Grâce à la relation durable que nous avons entretenue avec nos partenaires et clients, nous avons pu bâtir une entreprise fondée sur l’excellence, la créativité et l’engagement», a déclaré Nabil Messaoud lors de la cérémonie d’anniversaire.

L’occasion pour lui de retracer le parcours de cette entreprise qu’il a créée en 2010 et qui s’est imposée depuis comme un acteur majeur dans son domaine, doublé d’un partenariat avec les hôtels de la place, notamment le Mövenpick Gammarth ou encore l’Oceana Hammamet, dans une démarche gagnant-gagnant qui a toujours animé son fondateur.

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