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L’Egypte et le Maroc, premiers importateurs de charbon américain en Afrique
Un investisseur africain lance Unconventional Capital pour les PME innovantes
Uncap, un investisseur africain en démarrage, a lancé Unconventional Capital, un fonds de 30 millions d’euros (33 millions de dollars) visant à offrir un financement non dilutif basé sur les revenus aux petites et moyennes entreprises (PME) en démarrage dans toute l’Afrique.
Unconventional Capital collaborera avec des partenaires clés, dont SAIS, une initiative agro-technologique financée par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement et mise en œuvre par la GIZ ainsi qu’O-Farms, un programme d’agriculture circulaire géré par Bopinc et financé par la Fondation Ikea.
Le fonds a obtenu le soutien d’institutions mondiales telles que la Fondation Bill & Melinda Gates et la Fondation Bayer, affirmant la confiance dans le modèle de financement flexible et basé sur les revenus d’Unconventional Capital pour les entreprises africaines en démarrage. Uncap a également séparé ses opérations financières de sa plateforme technologique, Level, un outil SaaS qui simplifie la gestion des investissements, lui permettant de se concentrer sur un financement sur mesure tout en développant ses services d’assistance technologique.
Le fonds sera codirigé par Esther Ndeti, directrice des investissements d’Uncap, et Franziska Reh, PDG, toutes deux en tant qu’associées gérantes.
Ndeti a souligné que le capital non conventionnel vise à remodeler le financement des PME, en favorisant un environnement dans lequel davantage d’entreprises sur des marchés mal desservis peuvent prospérer et contribuer à une croissance durable à travers l’Afrique.
Elle a déclaré que les PME représentent environ 90% des entreprises africaines mais sont confrontées à des défis importants pour mobiliser des capitaux. Des marchés de capitaux inefficaces et une visibilité limitée pour une base d’investisseurs plus large continuent de restreindre l’accès au financement essentiel pour les petites et moyennes entreprises à travers le continent.
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- Leconomiste Maghrebin
- Interconnexion électrique Mauritanie-Mali : un potentiel solaire du Sahel à exploiter
Interconnexion électrique Mauritanie-Mali : un potentiel solaire du Sahel à exploiter
Le projet d’interconnexion électrique entre la Mauritanie et le Mali ouvre une nouvelle fenêtre d’espoir pour fournir de l’électricité à 250 millions de personnes dans la région africaine du Sahel. Et ce, en maximisant le bénéfice des abondantes ressources d’énergie solaire de la région.
Ce projet ambitieux s’inscrit dans le cadre de l’initiative « Le désert comme source d’énergie », qui vise à transformer la région du Sahel en la plus grande zone de production d’énergie solaire au monde, avec une capacité de 10 000 mégawatts. C’est ce sue révèlent les suivis effectués par la Specialized Energy Platform (basée à Washington), publiés le 18 septembre 2024.
La région africaine du Sahel est située en Afrique de l’Ouest et du Nord et s’étend d’Est en Ouest à travers le Sénégal, la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, le Niger, le Nigeria, le Tchad, l’Éthiopie, le Soudan et l’Érythrée. Cet avantage géographique confère à ces pays un énorme potentiel de développement des ressources naturelles et énergies renouvelables.
Selon les suivis effectués par la plateforme, ladite initiative devrait accélérer le rythme du développement économique grâce à la diffusion de la technologie de l’énergie solaire.
Un projet ambitieux
Le développement d’un projet d’interconnexion électrique 225 kV Mauritanie-Mali et d’une centrale solaire représente une opportunité stratégique pour soutenir l’innovation technique, améliorer l’efficacité énergétique et réduire les émissions de gaz à effet de serre. Tout en garantissant un accès universel à l’électricité en Afrique du Nord-Ouest, rapporte le site Energy Capital and Power & Power.
Une fois mis en œuvre sur une période de sept ans, de janvier 2024 à décembre 2030, le projet d’interconnexion Mauritanie-Mali, d’un coût de 888 millions de dollars, renforcera la capacité de production d’électricité dans la région.
Le projet comprend l’installation de deux centrales solaires, d’une capacité de 50 mégawatts chacune, dans les villes mauritaniennes de Kiffa et Naama.
L’électricité produite à partir des centrales solaires est transportée par une ligne électrique à haute tension. Laquelle contient des réseaux de distribution d’électricité à moyenne et basse tension s’étendant sur 1 373 kilomètres le long de la côte africaine, reliant la Mauritanie au Tchad via le Mali, le Burkina Faso et le Niger dans sa première phase.
Le projet permettra de connecter 100 000 familles au réseau électrique dans les zones traversées par la ligne, dont 80 000 familles en Mauritanie.
Enfin, un récent rapport de l’Agence internationale des énergies renouvelables (IRENA) montre que le Mali a le potentiel de produire 3 978,7 GW d’énergie solaire et 1,25 GW d’énergie éolienne. Ce potentiel est concentré dans les régions du sud et du sud-ouest du Mali.
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- Leconomiste Maghrebin
- Karim Ben Kahla : “Les universités tunisiennes doivent s’ouvrir sur l’Afrique”
Karim Ben Kahla : “Les universités tunisiennes doivent s’ouvrir sur l’Afrique”
Karim Ben Kahla, professeur à l’École supérieure de commerce de Tunis, souligne l’importance pour les universités tunisiennes de s’ouvrir davantage sur l’Afrique.
Dans une interview à paraître dans le prochain numéro de L’Économiste Maghrébin, il estime que l’avenir de la Tunisie est lié à celui de l’Afrique subsaharienne, qui fait face à des défis démographiques et éducatifs majeurs.
Il précise dans ce contexte : “Ce n’est pas qu’une question d’immédiateté ou de court terme, mais l’Afrique a un besoin énorme de formation. Si elle ne résout pas ses problèmes d’éducation, elle ne pourra que sombrer et si elle sombre, nous sombrons avec. Il faut aussi comprendre que l’Afrique est le continent le plus jeune. Bien qu’il y ait le changement climatique, ce dernier s’accompagne d’un problème démographique sérieux.”
Il poursuit : “L’enjeu principal pour l’Afrique subsaharienne, c’est l’éducation. Il est donc nécessaire que les universités tunisiennes s’ouvrent sur l’Afrique.”
De plus, il insiste sur le besoin urgent d’éducation en Afrique pour éviter des crises telles que l’insécurité. Selon lui, si des pays voisins comme le Niger ne parviennent pas à éduquer leur population croissante, cela pourrait entraîner des vagues d’immigration climatique vers la Tunisie.
Karim Ben Kahla propose que les universités tunisiennes collaborent avec des institutions internationales pour former des étudiants africains en créant des diplômes adaptés aux besoins du continent.
Et pour finir, il plaide pour un maillage universitaire intégrant des étudiants d’Afrique subsaharienne. Tout en soulignant que cela pourrait renforcer les liens économiques et stratégiques entre la Tunisie et ses voisins.
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Sénégal: Amadou Hott, ancien ministre en lice pour la présidence de la BAD
L’ancien ministre sénégalais de l’Economie, du Plan et de la coopération, Amadou Hott, sera candidat pour le poste du président de la Banque Africaine de Développement (BAD) prévue en mai 2025, a-t-on indiqué auprès de cette institution financière.
En raison de cette candidature, M. Hott a démissionné de ses fonctions d’envoyé spécial du président de la BAD, chargé de l’Alliance pour l’infrastructure verte en Afrique, ajoute-t-on.
‘’Cette décision est motivée par mon intention de briguer la présidence de la Banque Africaine de Développement, ce qui pourrait créer un conflit avec mon rôle actuel à la banque’’, écrit la BAD sur son site internet en citant l’ancien ministre de l’Économie, du Plan et de la Coopération.
M. Hott ‘’a démissionné de son poste avec effet immédiat’’, souligne la même source.
L’ancien ministre sénégalais a rendu hommage au ‘’leadership visionnaire exceptionnel’’ d’Akinwumi Adesina, le Nigérian qui dirige la BAD depuis une dizaine d’années.
Amadou Hott a exprimé sa gratitude pour l’opportunité qui lui a été donnée de contribuer à la mobilisation des ressources au profit de l’Alliance pour l’infrastructure verte en Afrique, note-t-on de même source.
Il avait été nommé envoyé spécial du président de la Banque africaine de développement en décembre 2022, dans le but d’aider l’institution financière à assurer la transition de l’Afrique vers le ‘’zéro émission nette’’, par des investissements dans les infrastructures vertes.
Auparavant, Amadou Hott a exercé les fonctions de vice-président de la BAD, chargé de l’électricité, de l’énergie, de la croissance verte et du changement climatique.
Il avait quitté ce poste après sa nomination au poste de ministre de l’Économie, du Plan et de la Coopération au sein du gouvernement sénégalais.
‘’Je le (Amadou Hott) remercie pour son travail exemplaire et les services qu’il a rendus à la Banque africaine de développement et à l’[Alliance pour l’infrastructure verte en Afrique]’’, indique la BAD en citant Akinwumi Adesina.
Au Sénégal, Hott a exercé aussi les fonctions de conseiller spécial de l’ex- président de la République, Macky Sall (avril 2012-avril 2024), et de directeur général du Fonds de garantie des investissements prioritaires.
Tunisie, «plateforme naturelle» de production pour les entreprises italiennes
Quelque 990 entreprises italiennes sont présentes en Tunisie, avec plus de 83 000 salariés directs et un chiffre d’affaires de 1,1 milliard d’euros (3,7 milliards de dinars).
C’est ce qu’on a appris en marge de la rencontre «Tunisie : une porte vers l’Afrique» organisée par l’Unione Industriali et la Chambre de commerce de Turin avec l’ambassade de Tunisie à Rome et Fipa Invest, avec la participation des représentants de 120 entreprises piémontaises et du conseiller régional pour les Finances et l’Internationalisation, Andrea Tronzano.
«Cette rencontre représente un moment important pour consolider les relations économiques entre les deux pays, et le premier pas dans ce sens sera la mission entrepreneuriale prévue en novembre, au cours de laquelle auront lieu des rencontres B2B avec des entreprises et institutions tunisiennes», a expliqué Giorgia Garola, vice-présidente de l’Unione Industriali de Turin. «La Tunisie constitue une plateforme naturelle de production pour nos entreprises soucieuses de diversifier leurs activités et de pénétrer de nouveaux marchés au Maghreb, en Afrique subsaharienne et dans le Golfe», a-t-elle ajouté.
«Ensemble, nous pouvons construire un avenir de prospérité partagée basé sur les valeurs communes de coopération, d’innovation et de développement durable», a expliqué, de son côté, l’ambassadeur tunisien en Italie, Mourad Bourehla.
En Tunisie, en 2023, l’Italie a pris part dans 164 projets d’investissement qui ont créé 3 074 emplois, et au premier semestre 2024, l’Italie était le deuxième investisseur après la France, selon les données de Fipa Invest en Tunisie.
I. B. (avec Ansamed).
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Maroc : Les recettes fiscales grimpent de 11,7%
Tebboune : Je m’engage à offrir une vie digne aux Algériens
Voici les 7 pays africains les mieux outillés en cybersécurité
46 pays sont considérés comme les mieux préparés en matière de cybersécurité. Et parmi eux, 7 pays africains, mais la Tunisie n’en fait pas partie. C’est ce que révèle le dernier classement Global Cybersecurity Index (GCI) de l’Union internationale des télécommunications (UIT), qui vient d’être publié.
Le classement couvre 194 pays et se base sur cinq piliers/critères. Il « donne un aperçu des pays les plus aptes à faire face aux menaces et aux incidents cybernétiques », soulignent nos confrères du site afrique.le360.ma qui ont lu le rapport.
Quelques chiffres. Les actes liés au cyber-crime ont coûté 6 000 milliards de dollars dans le monde, en 2021 ; un chiffre qui, selon les estimations des experts, pourrait dépasser les 10 000 milliards de dollars, en 2025, surtout lorsqu’on associe tous les risques liés.
« Or, la cybercriminalité ne constitue qu’une des facettes des risques aux côtés des cyberattaques et du cyberterrorisme. De ce fait, les gouvernements, les particuliers, les entreprises, les organismes à but non lucratif… risquent donc tous les jours de subir des cyberattaques et des violations de données ».
Développement des technologies et accroissement des menaces cybernétiques
Malheureusement, les technologies numériques vont de plus en plus favoriser ces attaques. Autrement dit, le nombre de ces cyberattaques évoluera proportionnellement à la vitesse de l’évolution des technologies.
De ce point de vue, chaque pays se doit de disposer d’excellents dispositifs de cybersécurité pour minimiser, autant que possible, le risque d’une attaque et sécuriser les systèmes et les données qui présentent des enjeux économiques, stratégiques et politiques qui vont bien au-delà de la seule sécurité des systèmes d’information, invite le rapport.
À noter que « le Global Cybersecurity Index (GFI) permet d’évaluer le niveau de préparation des pays en matière de cybersécurité, c’est-à-dire la capacité des États à protéger leurs infrastructures critiques, leurs données sensibles et à répondre efficacement aux menaces et incidents cybernétiques ».
C’est ainsi que le Global Cybersecurity Index (GCI) de l’Union internationale des télécommunications (UIT), une agence des Nations unies pour le développement spécialisée dans les technologies de l’information et de la communication, dévoile la liste des pays les plus et les moins outillés en cybersécurité.
Pour ce faire, « l’UIT mesure les engagements des pays en matière de cybersécurité sur 5 piliers fondamentaux: mesures juridiques (lois et réglementations sur la cybersécurité et la cybercriminalité), mesures techniques, mesures organisationnelles (stratégies nationales et organisation), capacités de développement (sensibilisation, formation, éducation et incitations), coopération (partenariats entre agences, entreprises et pays). Ces 5 piliers comportent 20 indicateurs et sous-indicateurs.
Un questionnaire de 82 questions a été adressé aux 194 États membres pour disposer des données nécessaires afin d’établir le classement. « L’un des principaux changements apportés dans cette édition est le passage d’un classement des pays à l’utilisation d’un niveau à cinq niveaux pour visualiser les engagements des pays en matière de cybersécurité. Cette perspective par niveaux permet de se concentrer davantage sur l’ampleur des progrès des engagements en matière de cybersécurité et sur ce que cela peut signifier pour les pays », lit-on dans le rapport.
Les 46 les mieux outillés
En effet, cette méthode permet de savoir que toutes les régions comptent des pays aux performances élevées et faibles. Mais sur les 194 pays concernés par le classement, seuls 46 sont classés dans le niveau 1 (T1), le plus élevé. Il s’agit de pays qui ont réalisé des améliorations significatives dans les cinq piliers du GCI.
Et l’UIT d’avertir : « Même si une note 100/100 reflète un fort engagement en matière de cybersécurité, cela ne signifie pas que des travaux supplémentaires ne sont pas nécessaires en termes d’adoption de mesures de cybersécurité appropriées en réponse à l’évolution des environnements opérationnels des pays et à l’évolution de l’écosystème de cybersécurité ».
Et surprise, l’Afrique compte 7 représentants parmi les 46 pays qualifiés de “mieux outillés“ dans le classement GCI 2023-2024.
Il s’agit de l’Égypte et Maurice qui sont les pays africains les mieux outillés avec des scores parfaits de 100 points, obtenus au niveau des cinq piliers, à raison de 20/20 pour chaque pilier, détaille l’UIT…
Ces deux pays sont suivis du Ghana (99,27 points/100), de la Tanzanie (99,26), du Kenya (98,59), du Rwanda (98,32) et du Maroc (97,50).
Vous aurez remarqué que, malheureusement, la Tunisie n’y figure pas.
Les 7 pays africains les mieux outillés pour faire face aux menaces et aux incidents cybernétiques (score/100)
Égypte | Ghana | Kenya | Maurice | Maroc | Rwanda | Tanzanie | |
Mesures légales | 20 | 20 | 19,52 | 20 | 20 | 20 | 20 |
Mesures techniques | 20 | 20 | 19,07 | 20 | 18,12 | 18,98 | 19,69 |
Mesures organisationnelles | 20 | 20 | 20 | 20 | 20 | 19,34 | 20 |
Capacités de développement | 20 | 19,27 | 20 | 20 | 19,38 | 19,76 | 19,57 |
Coopération | 20 | 20 | 20 | 20 | 20 | 20 | 20 |
Score global | 100 | 99,27 | 98,59 | 100 | 97,50 | 98,32 | 99,26 |
Source: Global Cybersecurity Index (GCI) de l’UIT, 2024
Toujours selon le rapport, 105 des 194 pays ont été classés dans les catégories T3 et T4 – ceux qui ont encore du travail à faire pour mieux être outillés et pouvoir faire face aux menaces cybernétiques. C’est le cas par exemple de la Centrafrique qui ne réalise qu’un score général de 4,76 points/100, points obtenus uniquement au niveau du pilier «Mesures juridiques».
De son côté, l’Algérie a obtenu un score global de 65,87 points/100, avec un score de 19,18/20 au niveau des « Mesures légales », mais seulement 8,57/20 pour les « Mesures techniques », 11,02/20 pour les « Mesures organisationnelles » (11,02/20), 13,91/20 pour le « Développement des capacités » et 13,19/20 pour la « Coopération ».
Enfin, on espère que la cinquième édition de l’Indice mondial de la cybersécurité de l’UIT aidera les pays africains les moins bien classés à identifier les domaines à améliorer et les encourager à agir pour renforcer les capacités et les aptitudes dans chaque pilier afin de mieux faire face aux menaces cybernétiques.
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Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a reçu, mardi, au siège de son département, l’ambassadrice de Guinée Equatoriale, doyenne du Groupe des ambassadeurs africains accrédités en Tunisie, Gertrudis Nsang Ndong Nsuga.
La rencontre a été l’occasion de valoriser l’importance des relations de fraternité qui unissent la Tunisie et la République de Guinée Equatoriale ainsi que la nouvelle dynamique qu’elles connaissent, et de souligner la volonté de renforcer et développer davantage ces relations dans divers domaines, lit-on dans un communiqué du département.
“Le ministre a, à cette occasion, réitéré l’attachement de l’autorité politique en Tunisie à promouvoir davantage la coopération avec tous les pays africains frères, sur les plans bilatéral et multilatéral, dans le cadre de la consécration de la dimension africaine de la politique étrangère de la Tunisie et ce, en vue de répondre aux aspirations des peuples du Continent à la sécurité, à la stabilité et au développement durable”, selon la même source.
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