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Tunis, UNIVERSNEWS (MONDE) – Le mouvement houthi « Ansar Allah » au Yémen donne du fil à retordre aux israéliens qui sèment la terreur à Tel Aviv, avec ses missiles qui s’abattent sur l’aéroport Ben Gourion, particulièrement. Il a annoncé vendredi avoir ciblé l’aéroport israélien avec un missile balistique.
« La force de missiles a mené une opération ciblant l’aéroport Ben Gourion, situé dans la zone occupée de Jaffa, en utilisant un missile balistique hypersonique », a-t-il indiqué dans un communiqué.
Les Houthis ont confirmé que l’opération avait atteint sa cible avec précision et avait été un succès, provoquant la panique, avec un grand nombre de personnes fuyant vers des abris et paralysant les activités de l’aéroport.
Les opérations militaires se poursuivent et s’intensifieront jusqu’à ce que l’agression contre la bande de Gaza soit arrêtée et que le siège soit complètement levé, a souligné le communiqué.
Tunis, UNIVERSNEWS (MONDE) – La Libye s’est réveillée avec la crainte d’une journée sanglante, dans la capitale Tripoli. Plusieurs groupes et pages Facebook ont appelé à une manifestation aujourd’hui à Tripoli pour exiger la formation d’un nouveau gouvernement qui organisera des élections et unira l’est, l’ouest et le sud.
Les manifestations s’intensifient contre Abdelhamid Dbeïbah, qui reste accroché à son poste, refusant de céder le pouvoir sauf à un gouvernement élu. Pendant ce temps, les tensions persistent entre la Chambre des représentants, le Conseil présidentiel et le Conseil suprême de l’État, tandis que l’Armée nationale libyenne, dirigée par Haftar, contrôle l’est.
Les Libyens craignent que le « mercredi sanglant », comme ils l’appellent, ne se reproduise, étant donné la présence de forces de sécurité armées qui échangent des accusations et peut-être même des balles.
Des manifestations sont prévues aujourd’hui, après la prière du vendredi. Il s’agit d’une tradition suivie par les Libyens qui manifestent sur la place des Martyrs, au centre de Tripoli, qui s’appelait auparavant Place Verte.
L’administration du président américain Donald Trump a annoncé jeudi 22 mai 2025 qu’elle annulait le droit de l’université Harvard d’inscrire des étudiants étrangers, dans un contexte de conflit croissant entre le locataire de la Maison-Blanche et cette prestigieuse institution éducative.
Dans une lettre adressée par la ministre de la Sécurité intérieure des États-Unis, Kristi Noem, à l’Association Ivy League, qui regroupe huit des universités les plus célèbres du pays, il est indiqué : « Avec effet immédiat, la licence accordée au programme des étudiants et visiteurs étrangers de l’université Harvard est annulée », faisant référence au principal système permettant aux étudiants étrangers d’étudier aux États-Unis.
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La Commission européenne, l’organe exécutif de l’UE, a proposé ce fonds en mars alors que les dirigeants européens craignaient de plus en plus de ne pas être sûrs que l’administration de Donald Trump les défendrait contre les attaques.
Alarmés par la progression de l’armée russe en Ukraine et craignant d’être la prochaine cible de Moscou, les pays de l’UE ont déjà augmenté leurs dépenses de défense de plus de 30 % au cours des trois dernières années. Mais les dirigeants européens estiment que cela n’est pas suffisant.
L’initiative de l’UE, connue sous le nom de Security Action for Europe (SAFE), vise à briser les barrières nationales en finançant des projets communs entre les pays de l’UE et comporte un fort élément « acheter européen » car elle vise à renforcer l’industrie de la défense du continent, comme le rapporte Reuters.
Pour qu’un projet soit éligible au financement SAFE, 65 % de sa valeur doit provenir d’entreprises basées dans l’UE, dans l’Espace économique européen au sens large ou en Ukraine.
Toutefois, les entreprises des pays ayant signé un partenariat de sécurité et de défense avec l’UE peuvent également être éligibles, à condition de remplir des conditions supplémentaires.
Ces prêts seront ouverts aux pays non membres de l’UE, comme la Norvège et l’Ukraine, qui ont signé un partenariat de défense et de sécurité, ainsi qu’au Royaume-Uni. La Grande-Bretagne, qui a signé un accord de partenariat similaire avec l’UE le 19 mai à Londres, ou les pays candidats.
La Commission a utilisé une procédure accélérée pour lancer la législation, contournant le Parlement européen et ne nécessitant qu’une majorité qualifiée des 27 États membres de l’UE.
Les ambassadeurs représentant ces pays se sont mis d’accord mercredi sur une législation négociée au cours des deux derniers mois, qui conserve une grande partie de la proposition initiale. Les ministres devraient l’approuver le 27 mai, dernière étape juridique du processus.
Antonio Costa, président du Conseil européen des dirigeants de l’UE, a salué l’accord de mercredi comme « une étape importante vers une Europe plus forte ».
La proposition de règlement en cours d’approbation stipule que le coût des composants produits par l’industrie européenne de défense (établie dans l’UE, dans un pays de l’EEE/AELE ou en Ukraine) ne doit pas être inférieur à 65 % du coût total de l’équipement militaire final. Le pourcentage restant, jusqu’à 35 %, peut provenir de pays non membres de l’UE, de pays de l’EEE/AELE ou d’Ukraine.
Il est à noter que pour la participation de la Turquie, comme pour tous les autres pays candidats à l’adhésion, un type d’accord différent doit être conclu, qui sera approuvé par le Conseil.
« Safe » fait partie d’un programme plus vaste de réarmement du continent européen, « ReArm Europe », présenté fin mars par la Commission européenne, qui vise à mobiliser jusqu’à 800 milliards d’euros.
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« L’économie allemande sera affectée dans un avenir proche par deux facteurs : la politique douanière américaine et le plan économique du gouvernement ». C’est ce qu’a déclaré mercredi 21 mai la présidente du Conseil allemand des experts économiques, Monika Schnitzer. Elle présentait plus tôt dans la journée le rapport de printemps des « sages » de l’économie et mettait en avant simultanément le défi et l’opportunité de la période actuelle.
« Cependant, les risques risquent de l’emporter sur les avantages cette année. L’économie allemande traverse encore une phase de forte faiblesse et a récemment peu bénéficié de la croissance économique mondiale. L’introduction de droits de douane par les États-Unis pèse sur l’activité économique mondiale et le commerce international de marchandises »,indique encore le rapport. Tout en soulignant que le marché américain est le plus important pour les exportateurs allemands. Puisque ces derniers y ont exporté 10,4 % de leurs marchandises en 2024. Soit le pourcentage le plus élevé depuis 2002.
« Si le conflit commercial entre l’UE et les États-Unis s’intensifie davantage, cette incertitude en matière de politique commerciale pourrait avoir un impact négatif sur les décisions d’investissement des entreprises ». Ainsi ont déclaré les économistes, expliquant la révision à la baisse de leur précédente prévision de croissance de 0,4 %. Sachant que la Commission européenne a déjà révisé ses prévisions pour l’économie allemande, de 0,7 % à zéro. Les cinq « sages » estiment cependant que le PIB allemand augmentera de 1 % en 2026.
Le Conseil s’attend simultanément à un coup de pouce significatif à l’économie grâce au prochain paquet économique du nouveau gouvernement fédéral. Et il évalue positivement les récents changements constitutionnels concernant le « frein à l’endettement ». « Si elles sont utilisées correctement, elles offrent des opportunités de modernisation et de relance économique », souligne le rapport. Et ce, en vue de lever les restrictions d’emprunt et de créer un fonds spécial de 500 milliards d’euros pour l’entretien des infrastructures de base. Le « défi principal » est l’utilisation des fonds pour véritablement conduire à la croissance.
« L’impact à long terme sur le PIB est d’autant plus important que ces fonds sont utilisés à des fins d’investissement. Si, au contraire, ces fonds sont davantage utilisés pour la consommation, cela augmenterait le ratio d’endettement », a averti Achim Truger, membre du Conseil. Tout en qualifiant d’« insuffisantes » les mesures de protection prises jusqu’à présent, qui, estime-t-il, « créent une marge de manœuvre importante pour réaffecter les dépenses du budget principal, à hauteur de 1,2 % du PIB ».
Au final les économistes considèrent que les mesures prises jusqu’à présent pour limiter la bureaucratie sont insuffisantes. De même qu’ils estiment le coût de l’accomplissement des obligations bureaucratiques à environ 65 milliards d’euros par an. Le rapport souligne également que « l’acceptation sociale des changements structurels dépend dans une large mesure de notre capacité à créer des perspectives d’avenir pour les régions particulièrement touchées par la stagnation économique ».
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Tunis, UNIVERSNEWS (MONDE) – Le chef du gouvernement de l’entité sioniste est dans une course contre la montre pour échapper à la justice de son pays… Toutefois, en plus du génocide qu’il est en train d’accomplir à Gaza, avec la bénédiction de son mentor, le président américain Donald Trump, Benyamin Netanyahu est poursuivi par la justice de son pays… pour corruption, et il vient de comparaitre pour la 33e fois devant un tribunal pour rendre compte de ses méfaits.
Certes, les massacres qu’il est en train d’accomplir, sous prétexte de défendre « la sécurité d’Israël » lui ont donné un sursis et une excuse pour reporter les procès… mais, maintenant, il est dos au mur, surtout que de nombreux de ses anciens alliés commencent à lui tourner le dos, ne pouvant plus supporter les atrocités qu’il est en train de réaliser, surtout que cela dépasse tous les stades de la sauvagerie et sont bien pire que le pseudo-holocauste dont les Juifs avaient été victimes.
Les tirs de soldats israéliens contre une délégation de diplomates européens en visite à Jénine, en Cisjordanie occupée, sous prétexte qu’ils avaient dévié de leur itinéraire, est fallacieux… c’est la goutte qui a fait déborder le vase, et les réactions n’ont pas manqué d’intervenir, rapidement.
Comble de l’arrogance, l’armée sioniste a reconnu avoir procédé à des tirs de sommation en direction de diplomates étrangers en visite à Jénine, en Cisjordanie occupée, après que l’Autorité palestinienne ait accusé des soldats israéliens d’avoir ouvert le feu « à balles réelles » sur ces hauts fonctionnaires. Selon des sources diplomatiques, des diplomates de Chine, du Japon et du Mexique ainsi que de plusieurs pays européens, dont la France, les Pays-Bas et la Roumanie participaient à cette visite.
L’incident survient sur fond de pressions internationales accrues sur Israël pour sa conduite de la guerre à Gaza, ou de nombreux pays dénoncent l’intensification et l’élargissement de sa campagne militaire et les souffrances des civils, qui manquent de tout. « Les pressions extérieures ne détourneront pas Israël de sa voie pour défendre son existence et sa sécurité », ont affirmé mardi les Affaires étrangères israéliennes.
Mais, il semble que ce grave incident a été la goutte qui a fait déborder le vase. Le parlement espagnol a, déjà, approuvé un projet de loi, qui recommande de ne vendre aucune arme à Israël et d’interdire les équipements, casques et armures qui pourraient jouer un rôle dans cette guerre.
L’Union européenne, de son côté, a protesté avec véhémence et de nombreux pays ont convoqué les ambassadeurs de l’entité sioniste, alors que d’autres vont le faire. Le ministère italien des Affaires étrangères a annoncé la convocation de l’ambassadeur israélien à Rome. La Chine, pour sa part, a appelé à une enquête minutieuse sur ces comportements de l’armée sioniste.
A trop tirer sur la corde, elle casse… et le « boucher de Gaza » va le constater, certainement, à ses dépens, puisque la « sympathie » des dirigeants occidentaux commence à s’effriter… et, même Donald Trump ne veut plus discuter avec lui. D’ailleurs, il n’y a qu’à voir la réaction de l’ancien premier ministre sioniste, Ehud Olmert, pour s’en assurer. Il a considéré les agissements d’Israël comme un crime de guerre.
Olmert a souligné que ce que fait Israël à Gaza « s’apparente beaucoup à un crime de guerre » en raison du meurtre de milliers de civils palestiniens innocents, en plus de la mort de nombreux soldats israéliens.
Dans une interview à la BBC, Olmert a décrit la guerre comme « sans but » et sans aucune chance d’accomplir quoi que ce soit qui pourrait sauver la vie des otages, considérant sa poursuite comme «répugnante et exaspérante». Il a souligné qu’Israël combat le Hamas, et non les civils, déclarant: «Nous combattons les assassins du Hamas, et non les civils innocents. Cela doit être clair»… mais, Netanyahu n’a pas d’autre choix que de poursuivre ses méfaits, pour faire retarder l’échéance fatidique de son procès.
F.S.