La star portugaise Cristiano Ronaldo dont le contrat avec Al-Nassr est arrivé à son terme, pourrait atterrir à Al-Hilal qui s’apprête à disputer le Mondial des clubs, mais “la négociation est difficile”, a indiqué une source proche du Fonds public d’investissement (PIF), citée par des agences de presse. La star portugaise âgée de 40 ans […]
Le cabinet du Mufti de la République a annoncé, dans la soirée de ce mardi 27 mai 2025, la date officielle de l’Aïd al-Adha (Aïd El-Kébir).
Dans son communiqué le cabinet du Mufti indique que le mercredi 28 mai 2025 marquera le premier jour deDhou al-Hijja, en précisant que cette annonce est en conformité avec celle faite plus tôt par l’Arabie-saoudite.
La même source indique que le jour d’Arafat, le pilier essentiel du pèlerinage, correspondra cette année au jeudi 5 juin 2025, soit le neuvième jour de Dhou al-Hijjah 1446 H.
Le jour de l’Aïd al-Adha, sera ainsi célébré le vendredi 6 juin 2025, correspondant au dixième jour de Dhou al-Hijja.
À l’approche de l’Aïd el-Adha 2025, l’Arabie Saoudite a lancé, ce mardi 27 mai, un appel solennel à l’ensemble des musulmans pour participer à l’observation du croissant lunaire marquant le début du mois de Dhoul-Hijja, essentiel pour déterminer la date du grand pèlerinage (Hajj) et de l’Aïd. La Cour suprême saoudienne a invité tout témoin oculaire ou utilisateur de télescope à signaler ses observations aux autorités religieuses compétentes. Cet appel illustre la responsabilité centrale du Royaume dans la coordination religieuse du calendrier hégirien.
En parallèle, l’Institut d’astronomie d’Égypte a confirmé que le croissant est né ce mardi à 5h03, heure du Caire, et qu’il sera visible dans plusieurs régions du monde musulman, notamment en Arabie Saoudite et en Égypte. Le Centre International d’Astronomie a également validé ces prévisions, annonçant une visibilité favorable du croissant dans diverses zones d’Asie, d’Afrique, d’Europe et des Amériques.
Selon les calculs astronomiques, le mois de Dhoul-Hijja débutera probablement le mercredi 28 mai 2025. Le jour d’Arafat est estimé au jeudi 5 juin, suivi de l’Aïd el-Adha le vendredi 6 juin. Cette séquence spirituelle majeure rassemblera des millions de fidèles autour des rites du Hajj et du sacrifice.
La coordination entre données scientifiques et décisions religieuses illustre une gestion rigoureuse de cette fête centrale de l’islam, tout en soulignant le rôle structurant de l’Arabie Saoudite dans l’unité du monde musulman autour du calendrier sacré.
Selon un communiqué de la direction générale des passeports d’Arabie saoudite, un total de 961 903 pèlerins sont arrivés dans le Royaume à travers ses différents points d’entrée, en préparation pour le pèlerinage. Parmi eux, 912 598 ont atterri par voie aérienne, 45 028 sont entrés par les frontières terrestres et 4 277 ont accosté […]
La dernière visite de Donald Trump en Arabie saoudite, aux Emirats arabes unis et au Qatar – au cours de laquelle il a été surtout question de la relance des Accords d’Abraham visant à liquider définitivement la cause palestinienne – aurait dû être reportée. Ce n’était ni le moment ni l’endroit approprié pour renforcer des liens diplomatiques ou promouvoir des intérêts économiques, alors qu’un génocide des Palestiniens, les nôtres, était perpétré par Israël avec des armes… américaines. Ceux qui s’empressent de normaliser les relations avec l’Etat hébreu, trop tôt, trop brusquement, construisent sur des sables mouvants irrigués par le sang encore chaud des victimes.
Khemais Gharbi
Il arrive parfois que des incompréhensions profondes surgissent entre des personnes pourtant sincères. Ce n’est pas toujours la mauvaise foi qui les anime, mais plutôt un cruel manque de sens du moment, une défaillance du calendrier intérieur. Elles se trompent de date, de contexte, de lecture des événements. Elles célèbrent, elles festoient, pendant que d’autres pleurent et enterrent. Et sous les critiques qu’elles reçoivent, elles ne voient qu’un malentendu injuste, alors qu’en réalité, il s’agit d’une question de regard — ou plutôt de cécité.
Serrer la main au protecteur des bourreaux
C’est comme vouloir commenter un événement heureux, célébrer un anniversaire ou danser de joie au sein d’une communauté qui enterre ses proches massacrés par centaines. C’est comme esquisser un sourire ou applaudir devant un meurtre. Pire encore : c’est comme serrer la main aux bourreaux en invoquant une normalisation des relations avec l’agresseur que rien ne justifie, ni n’impose d’urgence — bien au contraire. Cela ne relève pas de la simple insensibilité, mais d’une forme d’inconscience coupable. Voire d’inhumanité.
Pendant que le peuple palestinien est martyrisé, exterminé à grand feu dans un silence complice, les dirigeants des pays du Golfe ont trouvé encore le moyen de se réjouir, de publier des images de festivités, de convier à des célébrations. Et cela, sans même réaliser que leur bonheur apparent devient une offense insupportable pour ceux qui comptent leurs morts par milliers, leurs blessés par dizaines de milliers, leurs déplacés par millions.
Le problème ne réside pas seulement dans l’action elle-même, mais dans l’absence totale de discernement. On mélange tout, on confond les émotions, on met sur le même plan la peine et la joie, la justice et l’oubli, la mémoire et l’indifférence. Et comme toujours, ce sont les plus lucides qui doivent porter la responsabilité de remettre un peu d’ordre dans ce chaos émotionnel. Ils doivent réveiller les consciences, rappeler qu’il y a un temps pour chaque chose ; que même dans la souffrance, on peut rester digne ; mais qu’on ne peut pas, sans heurts, festoyer pendant que nos proches enterrent leurs morts.
Cela dit, il serait injuste de jeter l’opprobre sur toute personne qui, de bonne foi cherche à traiter de sujets académiques ou culturels en dehors de toute considération politique. Il peut y avoir erreur de jugement, maladresse, manque de sensibilité ou de timing — mais cela ne suffit pas à les cataloguer parmi les traîtres. Le discernement vaut dans les deux sens : dénoncer les silences coupables sans condamner aveuglément les intentions sincères.
Ce qui se passe aujourd’hui en Palestine n’est pas une question d’opinion : c’est un drame humain, un génocide à ciel ouvert. Voir des personnes continuer à normaliser les relations avec les bourreaux israéliens, tenir des réunions, afficher une légèreté, c’est manquer de respect aux morts. C’est ignorer les larmes des vivants. Et c’est affronter des peuples entiers au nom d’une neutralité illusoire, en prétendant que cela n’a rien à voir.
Mais depuis toujours, l’humanité a su faire la différence entre les jours de deuil et les jours de fête. Même les animaux, dit-on, ont des gestes de silence et de respect quand l’un des leurs meurt. Alors pourquoi certains humains oublient-ils cela? Le respect des morts, c’est le dernier lien entre notre monde et notre humanité. Si ce lien se brise, que restera-t-il de nous?
Il y a un exemple historique qui illustre puissamment cette nécessité de respecter les moments de deuil collectif : celui du massacre de Sabra et Chatila, en 1982. Alors que les camps de réfugiés palestiniens à Beyrouth étaient plongés dans l’horreur — des centaines, peut-être des milliers de civils massacrés en quelques jours —, certains dirigeants internationaux poursuivaient leurs agendas politiques comme si de rien n’était. Ce silence, cette indifférence, ont été vécus comme une trahison. Cela a creusé un fossé qui n’a jamais été comblé.
À l’opposé, certaines sociétés savent suspendre toute activité festive par respect pour les morts ou pour un pays endeuillé. Lorsque la Crète a été frappée par un tremblement de terre meurtrier en 2021, causant la mort de quelques dizaines de personnes, la Grèce a décrété plusieurs jours de deuil national : drapeaux en berne, festivités annulées, émissions de divertissement interrompues. Un pays s’est arrêté. Non par excès, mais par humanité.
Ces deux exemples — l’un issu d’une catastrophe naturelle, l’autre d’une tragédie humaine — montrent à quel point le silence ou la fête peuvent être lourds de sens. Ils rappellent qu’il ne peut y avoir de paix durable ni de joie sincère là où l’on méprise la douleur des autres. Savoir faire une pause, savoir pleurer ensemble, c’est le minimum que l’on doit à la mémoire des morts — face à ce génocide du peuple palestinien, et à l’humanité s’il nous en reste.
Aucun dirigeant de la génération actuelle ne devrait ignorer les leçons de l’histoire. Il est essentiel de relire les récits des guerres passées, des massacres et des génocides — non pour s’y complaire, mais pour comprendre un mécanisme tragique : ceux qui s’empressent de normaliser les relations, trop tôt, trop brusquement, construisent sur des sables mouvants irrigués par le sang encore chaud des victimes.
Ils oublient que le temps est un acteur fondamental dans tout processus de réconciliation, qu’il faut parfois des décennies pour que les plaies se referment, que la douleur s’apaise, que les rancœurs s’estompent, et que le désir de vengeance cède la place à une volonté sincère de reconstruire.
Les relations durables ne se décrètent pas et ne s’imposent pas par la force. Elles ne naissent ni de résolutions internationales ni d’accords signés à huis clos. Elles se forgent lentement, à mesure que les sociétés meurtries pansent leurs blessures, enterrent leurs morts avec dignité, transmettent leur mémoire sans la charger de haine, et permettent ainsi aux nouvelles générations d’avancer, libérées du poids des offenses passées.
Ce n’est qu’alors qu’une normalisation devient véritablement possible — parce qu’elle est naturelle, non imposée ; ressentie, non proclamée; et surtout, respectueuse du rythme intime des peuples qui ont saigné.
La récente tournée de Donald Trump au Moyen-Orient n’a rien d’anodin. En Arabie Saoudite, aux Emirats et au Qatar, il déploie une énergie presque messianique, celle des hommes qui n’ont jamais accepté la fin. Il parle, il promet, il vend. Il distribue les rôles, comme s’il avait encore la scène pour lui seul. Et il l’a, en partie.
Manel Albouchi *
La levée des sanctions militaires contre la Syrie n’est pas un détail. C’est un signal. Comme les mots d’Erdogan «mon ami Trump». Des mots lourds, doux en surface, tranchants en profondeur. Il y a là des deals anciens, des ambitions nouvelles, des intérêts recomposés à l’ombre des alliances. Une chorégraphie huilée entre le faste et la menace.
On parle de contrats, de milliards, de livraisons d’armes, de satellites, d’intelligence artificielle. Et, en coulisses, la promesse d’un contrôle sur l’Afrique, au nom d’un équilibre fragile, face à la Chine, à la Russie. L’Amérique transactionnelle avance à visage découvert. L’État profond, lui, reste masqué.
Le pouvoir se donne en spectacle
Mais ce serait une erreur de lire cette visite uniquement à travers les lentilles géopolitiques. Car ce qui se joue ici, c’est aussi une scène intérieure. Une tentative de réécrire le récit. Trump revient là où le pouvoir se donne en spectacle, là où l’autorité peut se rejouer en miroir : entre guerre et paix, entre chaos et contrôle.
Il donne, il retire. Il flatte, puis menace. Il ne négocie pas, il dramatise. Figure paternelle autoritaire, mais instable. Charismatique, mais inquiétant.
Et derrière lui, les États-Unis continuent à rejouer leur vieille pièce. Ils veulent encore incarner l’ordre, dicter les termes. L’espoir d’un nouvel ordre mondial, bien sûr, écrit selon leur syntaxe. Mais l’illusion s’effrite. Israël, qui pariait sur la constance américaine, découvre une loyauté qui se renégocie au gré des intérêts. Une alliance historique peut devenir secondaire, quand les ambitions personnelles et les calculs l’emportent.
Et Gaza ? Et les Palestiniens ?
Elle disparaît lentement du récit dominant. Sacrifiée sur l’autel de la normalisation. Les «deals de paix» sont devenus des marchés d’armement. La parole des peuples, elle, reste tenue à l’écart. On les montre rarement. On les invite encore moins.
Les silences trompeurs des peuples
Pourtant, il faudrait prêter l’oreille. Car c’est dans ces silences, dans ces résistances sans caméra, que naissent les vraies alternatives.
Après le printemps arabe, un été aride. On attend l’automne. Pour voir ce qui tombera.
Car peut-être que l’histoire, la vraie, ne se joue pas là où les projecteurs brillent le plus. Peut-être qu’elle est en train déjà de s’écrire ailleurs… dans le murmure. Là où l’on espère sans spectacle.
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L’Arabie saoudite a approuvé une décision autorisant le ministère des Affaires municipales, rurales et du Logement à vendre les unités résidentielles de ses projets immobiliers à des personnes ne bénéficiant pas du soutien gouvernemental au logement. Cette mesure vise à optimiser l’utilisation du parc immobilier public et à accroître la flexibilité du marché.
Selon Abdulrahman Al-Tawil, vice-ministre chargé de l’offre résidentielle, l’objectif est d’élargir l’accès à la propriété à de nouveaux profils, comme les célibataires ou ceux ayant déjà obtenu un prêt immobilier. Ces acheteurs pourront acquérir des logements construits au cours des deux dernières années, mais à prix de marché. Les bénéficiaires de l’aide continueront, quant à eux, de recevoir un soutien financier.
Chaque projet réservera une période de quatre mois exclusivement dédiée aux bénéficiaires avant d’ouvrir à un public plus large.
Cette initiative permet d’ajuster l’offre aux besoins urbains, avec plus de 100 000 unités disponibles à Riyad.