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Heute — 28. März 2025Haupt-Feeds

À l’UNESCO, la Tunisie plaide pour une diplomatie scientifique contre les inégalités mondiales

28. März 2025 um 08:19

La Tunisie a participé à un dialogue ministériel mondial sur la diplomatie scientifique organisé par l’UNESCO à Paris les 25 et 26 mars, au cours duquel elle a souligné l’urgence de réduire les inégalités scientifiques et technologiques pour atteindre les objectifs de développement durable.

Une délégation de haut niveau, conduite par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mondher Belaïd, accompagnée de l’ambassadeur de Tunisie à Paris, Dhia Khaled, a représenté notre pays lors de cet événement ayant porté sur le thème « La diplomatie scientifique dans un monde en mutation rapide : construire la paix dans l’esprit des hommes et des femmes ».

A cette occasion, Mondher Belaïd a évoqué les principaux obstacles au progrès scientifique, notamment le sous-financement chronique de la recherche, le manque de coopération Sud-Sud et la pénurie de chercheurs qualifiés. Il a tiré la sonnette d’alarme sur l’hémorragie des compétences scientifiques, qualifiant la fuite des cerveaux de « phénomène alarmant », et dénonçant les multiples barrières entravant la mobilité des chercheurs et l’accès aux infrastructures de recherche.

Lire aussi: Philippe de Fontaine-Vive : la fuite des cerveaux est le plus grand risque pour la Tunisie

Tout en réaffirmant l’engagement de la Tunisie en faveur de la science ouverte, Belaïd a salué les initiatives de l’UNESCO visant à faciliter un partage plus équitable des connaissances scientifiques. Il juge nécessaire de renforcer les capacités des pays en développement à exploiter pleinement les résultats de la recherche pour leur développement socioéconomique, souligne la TAP.

Le ministre de l’Enseignement supérieur a par ailleurs souligné le rôle actif de la Tunisie dans la formation de capital scientifique pour les pays du Sud, s’appuyant sur la qualité reconnue de son système d’enseignement supérieur et de recherche.

Il a saisi cette rencontre pour rappeler qu’un nombre croissant d’étudiants étrangers, notamment africains, choisissent la Tunisie pour y poursuivre des doctorats, particulièrement dans les domaines scientifiques et technologiques, rapporte la TAP.

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Signal, l’application préférée des narcotrafiquants et des responsables américains!

28. März 2025 um 07:37

La Maison-Blanche a confirmé en début de semaine qu’un journaliste américain avait été inclus par erreur dans un groupe de discussion ultraconfidentiel sur l’application Signal avec accès à des plans militaires top secrets. Cette faille de sécurité a été considérée comme l’une des plus retentissantes de l’histoire militaire américaine récente mais au-delà de cette erreur, c’est l’utilisation même de Signal qui a nourri la polémique étant donné que cette application était critiquée pour son utilisation par les réseaux de terrorisme et de crime organisé. Sauf que le directeur de la CIA a révélé dans une audition devant le Congrès qu’elle est utilisée par les responsables américains, par la CIA et par lui-même. 

Imed Bahri

Les responsables américains ont longtemps diabolisé les applications en ligne cryptées comme Signal, les considérant comme un refuge pour les criminels et les terroristes et une menace pour la sécurité nationale mais désormais ils les utilisent, a indiqué Matt Sledge dans une enquête publiée par le magazine d’investigation The Intercept.

En pleine polémique concernant la fuite des plans de guerre au Yémen via l’application Signal, le directeur de la CIA John Ratcliffe a, en effet, révélé lors d’une audition devant la commission du renseignement du Sénat mardi 25 mars 2025 que l’application est approuvée pour les communications officielles et est même installée sur les ordinateurs de l’agence.

«Pour les Américains ordinaires, cela peut sembler une erreur involontaire mais c’est une puissante approbation de la valeur de cybersécurité et de confidentialité que représente Signal», a déclaré Shawn Vitka, directeur exécutif du groupe progressiste Demand Progress.

Deux membres du groupe sur Signal ont confirmé avoir discuté de la frappe au Yémen et du moment exact de l’attaque lors de l’audience de ladite commission.

Matt Sledge remarque qu’il y a une certaine ironie dans la présence du directeur du FBI Kash Patel à l’audience du Congrès à laquelle ont  assisté la directrice du renseignement national Tulsi Gabbard et le directeur de la CIA Ratcliffe.

L’espionnage cybernétique

Pendant des années, les directeurs du FBI, de Christopher Wray à James Comey, ont attaqué les applications cryptées. C’est le FBI qui a répandu l’idée que les terroristes et les cartels de la drogue opèrent dans l’ombre et que les forces de l’ordre devaient intervenir et faire quelque chose. L’idée du FBI était de créer une porte dérobée sur les applications permettant au gouvernement d’écouter les conversations.

La porte dérobée (backdoor) est une expression utilisée pour qualifier toute fonctionnalité inconnue de l’utilisateur qui donne un accès secret à l’application et permettant ainsi l’espionnage cybernétique. 

Dans un discours prononcé en 2014, James Comey a déclaré que «le pendule post-Snowden s’est inversé en faveur de la vie privée». Et d’ajouter que «sans prétexte, les affaires de meurtre peuvent être entravées, les suspects peuvent échapper à la sanction et les victimes d’exploitation d’enfants peuvent ne jamais être identifiées ou retrouvées».

Cependant, le FBI n’a fait aucune démarche au Congrès pour obtenir une porte dérobée. De l’autre côté de l’Atlantique, les attaques contre le chiffrement de bout en bout se poursuivent avec des informations selon lesquelles la Grande-Bretagne aurait secrètement ordonné à Apple de créer une porte dérobée. La semaine dernière, l’Assemblée nationale française a voté contre le mandat secret demandé par le ministère français de l’Intérieur. Des pirates informatiques prétendument liés à la Chine auraient ciblé les téléphones de Donald Trump, J.D. Vance et Kamala Harris lors de la campagne présidentielle de l’année dernière. Dans certains cas, ils ont pu obtenir le contenu de conversations textuelles.

En décembre, le FBI continuait de promouvoir ces vulnérabilités sous la bannière de ce qu’il appelle un «chiffrement géré de manière responsable». En même temps, l’Agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures recommande des applications de messagerie cryptées de bout en bout telles que Signal, comme moyen de défense contre les pirates informatiques chinois.

Signal est construit sur un protocole open source géré par une organisation à but non lucratif pour minimiser la quantité d’informations auxquelles l’application peut accéder. Seuls les utilisateurs participant à la conversation disposent de clés de déchiffrement ce qui rend impossible pour Signal de visualiser les conversations non chiffrées. L’organisation ne peut pas non plus afficher les métadonnées telles que les contacts des utilisateurs.

Un niveau élevé de protection

Mardi, Ratcliffe a révélé que le gouvernement avait adopté Signal aux plus hauts niveaux, déclarant: «L’une des premières choses qui se sont produites lorsque j’ai été confirmé comme directeur de la CIA a été que Signal a été installé sur mon ordinateur à l’agence comme c’est le cas pour la plupart des officiers». Ratcliffe a révélé que cette tradition avait commencé sous l’administration de Joe Biden qui avait obtenu l’approbation officielle de la Direction des archives de la CIA à condition que toutes les décisions prises soient enregistrées par les canaux officiels. Les critiques ont été immédiatement alarmés par la possibilité que des fonctionnaires du gouvernement tentent d’éviter de laisser des documents soumis à la loi sur la liberté d’information ou à la loi sur les archives présidentielles en utilisant des dispositifs spéciaux contenant des messages éphémères.

Cependant, les discussions de groupe soulèvent des problèmes de sécurité car elles ne sont pas à l’abri du piratage malgré le niveau élevé de protection offert par le cryptage de bout en bout. Même les applications de messagerie sécurisées ne peuvent pas résoudre le problème des pirates informatiques qui s’introduisent dans l’appareil en les utilisant. Il ne peut pas non plus préserver la confidentialité des informations en cas d’erreur humaine, par exemple lorsqu’un journaliste est ajoutée accidentellement à une discussion sensible sur des frappes militaires.

La directrice du renseignement national Gabbard a refusé de répondre à une question du sénateur démocrate de Rhode Island, Jack Reed, lui demandant si elle avait utilisé son téléphone personnel ou un téléphone fourni par le gouvernement pour la discussion de groupe. Le sénateur républicain du Colorado Michael Bennet a demandé au directeur de la CIA Michael Bennet s’il était au courant que Steve Witkoff, l’envoyé de Trump au Moyen-Orient, était en voyage à Moscou pendant les pourparlers, ce qui a accru les inquiétudes.

L’un des avantages de l’application Signal est qu’elle permet à ses utilisateurs de synchroniser les messages sur plusieurs appareils. Si les fonctionnaires du gouvernement synchronisent des messages avec des appareils privés et vulnérables, cela soulève de nombreuses questions, explique Shawn Vitka. «Cet appareil personnel pourrait être responsable. Si l’un de ces appareils est compromis, la conversation entière est compromise, tout le fil de discussion est compromis et toutes les informations qu’il contient sont alors compromises», a-t-il déclaré.

Les républicains du Sénat ont largement tenté d’éviter les questions sur le groupe de discussion sur le Yémen lors de l’audition du comité mais les démocrates étaient unis dans leurs critiques. «C’est embarrassant et totalement non professionnel et il n’y a eu aucune excuse ni reconnaissance de la gravité de l’affaire», a commenté le sénateur démocrate de Géorgie Jon Ossoff.

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Gestern — 27. März 2025Haupt-Feeds

Le PDL s’exprime sur les verdicts dans l’affaire de l’agression d’Abir Moussi

Von: Yusra NY
27. März 2025 um 23:23

Dans un communiqué publié ce soir, le Parti destourien libre (PDL) a exprimé son indignation suite aux jugements rendus le 26 mars 2025 par le tribunal de première instance de Tunis dans l’affaire de l’agression de sa présidente, Abir Moussi, remontant à 2021.

La chambre correctionnelle a prononcé des peines de prison à l’encontre d’anciens députés impliqués dans cette agression perpétrée à l’Assemblée : Seifeddine Makhlouf a été condamné par contumace à un an de prison, Sahbi Smara à six mois de prison ferme, et une députée d’Ennahdha a écopé de trois mois de prison.

Le PDL a qualifié ces verdicts d’« inadéquats par rapport à la gravité des actes reprochés » et a estimé que les peines prononcées ne reflètent pas la violence de l’agression subie par Abir Moussi au sein du Parlement le 30 juin 2021, un incident qu’il considère comme un « flagrant délit sans équivoque ».

La même source a par ailleurs dénoncé des « violations et des abus juridiques graves » qui auraient entaché la procédure judiciaire et le comité de défense d’Abir Moussi a annoncé son intention de faire appel des jugements et prévoit également d’organiser une conférence de presse pour détailler les « injustices » subies par la présidente du PDL.

Y. N.

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Non, ce n’est pas de l’IA : Pikachu, Batman, Catwoman et même Joker tous en manifestation anti-Erdogan !

27. März 2025 um 22:02
Non, ce n’est pas de l’IA : Pikachu, Batman, Catwoman et même Joker tous en manifestation anti-Erdogan !

Des images surréalistes ont émergé des manifestations anti-Erdogan qui ont secoué la Turquie récemment, où des personnages emblématiques de la culture populaire se sont retrouvés parmi les protestataires. En effet, Pikachu, Batman, Catwoman et même le Joker ont été aperçus en pleine action, comme si la scène venait tout droit d’un film de multivers. Ces […]

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États-Unis : 10 000 suppressions de postes au ministère de la Santé

27. März 2025 um 15:50
États-Unis : 10 000 suppressions de postes au ministère de la Santé

Le ministère de la Santé des États-Unis a annoncé, ce jeudi, son intention de supprimer environ 10 000 emplois dans le cadre d’une vaste restructuration. Cette mesure s’inscrit dans la politique de réduction des dépenses fédérales menée par l’administration du président Donald Trump. Selon le communiqué officiel, cette réorganisation entraînera une baisse du nombre d’employés […]

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Lula critique Trump : “il est président des États-Unis, pas du monde entier”

27. März 2025 um 15:45
Lula critique Trump : “il est président des États-Unis, pas du monde entier”

Lors de sa visite au Japon, le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva a vivement critiqué la décision de Donald Trump d’augmenter les droits de douane sur plusieurs catégories de produits, notamment les voitures importées. Il a exprimé son inquiétude quant aux conséquences économiques de cette mesure, soulignant qu’elle risquait d’aggraver l’inflation aux États-Unis […]

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Amnesty International appelle à la libération d’Abir Moussi

27. März 2025 um 13:17

Amnesty International a lancé un appel aux  autorités tunisiennes pour libérer Abir Moussi et abandonner les charges retenues contre elle. Car elles ne concernent que l’exercice de ses droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique, poursuit l’organisation.

Cet appel intervient suite à la décision du tribunal pénal de Tunisie du 24 mars 2025 de reporter le procès d’Abir Moussi au 24 avril 2025. Ce report concerne l’examen du dossier soulevé à son encontre par l’ISIE et lié à des déclarations médiatiques faites lors d’une conférence de presse du PDL  en décembre 2022.

 

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Biens confisqués en Tunisie : Kais Saïed appelle à une solution définitive

Von: walid
27. März 2025 um 10:56

Le président de la République, Kais Saïed a reçu, mercredi après-midi au Palais de Carthage, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zanzari et la ministre des finances, Mechket Slama Khaldi.

La rencontre a été l’occasion de débattre de plusieurs dossiers, dont notamment, les équilibres financiers de l’Etat et le statut des biens confisqués, cite un communiqué de la présidence de la République.

Au sujet des biens confisqués, la réunion a permis de rappeler que ce dossier qui fait l’objet de nombreuses violations et dépassements, demeure encore en suspens et se trouve être éparpillé entre plusieurs parties intervenantes.

Face à une telle situation, le président de la République a jugé inadmissible de voir un sort se perpétuer, plaidant en faveur de l’impératif d’élaborer une démarche qui soit en mesure de permettre de régler à jamais ce dossier.

Dans ce contexte, le président Saïed a tenu à souligner qu’il n’est plus question de concéder le moindre sou de l’argent du peuple, dès lors qu’il en est le titulaire exclusif.

« Il est grand temps pour que le peuple récupère son argent », a martelé le chef de l’Etat, ajoutant qu’une fois récupéré, cet argent va contribuer à générer de la richesse et à réaliser la justice escomptée.

Sur un autre plan, le président de la République a saisi l’occasion pour mettre l’accent sur la nécessité de veiller à préparer au mieux les projets de texte afin qu’ils soient « clairs » et « ne prêtant pas à équivoque ».

Ces projets de texte, a-t-il insisté, doivent s’inscrire dans le droit-fil de la révolution législative et contribuer de manière significative au processus de construction et d’édification du pays

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Kais Saïed insiste sur une nouvelle vision pour résoudre la question des biens confisqués

Von: walid
27. März 2025 um 10:02
Kais Saïed insiste sur une nouvelle vision pour résoudre la question des biens confisqués

Le président de la République, Kais Saïed a reçu, mercredi après-midi au Palais de Carthage, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zanzari et la ministre des finances, Mechket Slama Khaldi, d’après un communiqué officiel. La réunion a porté sur plusieurs questions, dont notamment « les équilibres financiers de l’État et les biens confisqués, qui restent […]

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Après la reprise de Khartoum par l’armée, le Soudan menacé de partition  

27. März 2025 um 08:24

L’armée soudanaise menée par Abdelfattah Al-Burhan a pu après deux ans d’une atroce guerre civile reprendre le contrôle de Khartoum et des institutions officielles à leur tête le Palais présidentiel même s’il reste quelques poches à reconquérir dans la capitale. Un revirement de taille car l’armée soudanaise revient de loin. Il n’y a pas encore longtemps, elle essuyait défaite sur défaite et les Forces d’intervention rapide, la milice menée par Mohamed Hamdan Daglo, étaient en position de force.

Imed Bahri

Que la capitale revienne dans le giron de l’armée est une bonne chose cependant le spectre d’une nouvelle scission du pays pointe de nouveau. Après le sud perdu à l’époque d’Omar Hassan El-Bechir, voilà qu’aujourd’hui le Darfour, fief de Daglo, pourrait ne plus faire partie du Soudan.

Le Financial Times (FT) a rapporté dans une enquête de William Wallis que la bataille actuelle pour la capitale soudanaise Khartoum indique que la fin de la guerre civile au Soudan pointe. La guerre est revenue là où elle a commencé en l’occurrence dans le cœur de la capitale.

Après des jours d’affrontements, les forces fidèles au président de facto, le général Abdelfattah Al-Burhan, ont repris vendredi le palais présidentiel à leurs anciens alliés des Forces de soutien rapide, une organisation paramilitaire. L’armée soudanaise a également repris le contrôle d’autres bâtiments officiels dont la banque centrale marquant un tournant potentiel dans la guerre.

La reprise du Palais présidentiel marque l’aboutissement de plusieurs mois de changements décisifs dans l’équilibre de la guerre civile en faveur de l’armée soudanaise. Si l’armée parvient à consolider son contrôle sur Khartoum, cela permettra au général Al-Burhan de nommer un gouvernement de transition et de tenter d’obtenir une plus grande reconnaissance internationale.

Le risque d’une partition de facto

Cependant, le FT affirme que les récents développements représentent un moment très dangereux pour le Soudan et le général Al-Burhan lui-même car la victoire des Forces de soutien rapide ce week-end dans la région occidentale du Darfour met en évidence le risque d’une partition de facto. «La valeur symbolique et l’élan politique que l’armée pourrait gagner en reprenant le contrôle de la capitale sont importants», a déclaré Suleiman Baldo, expert en résolution des conflits et directeur du Centre de recherche sur la transparence et les politiques au Soudan.

Des soldats ont été vus en train de célébrer l’événement devant des vitres brisées et des entrées de bâtiments incendiées révélant le terrible impact sur la capitale. «Il n’y a plus rien vers quoi les gens puissent retourner», a ajouté Baldo.

La guerre a éclaté au Soudan à la mi-avril 2023 dans la capitale à la suite d’une lutte de pouvoir entre l’armée soudanaise et le commandant des Forces de soutien rapide, Mohamed Hamdan Daglo communément appelé Hemetti, accusé par les États-Unis de génocide au Darfour.

Avant la confrontation militaire entre les deux camps, ces derniers s’étaient unis pour renverser le gouvernement de transition formé après la chute du régime d’Omar Hassan El-Bechir en 2019. Au cours des premiers mois de la guerre, l’armée soudanaise a subi défaite sur défaite déplaçant finalement son centre de commandement à Port-Soudan sur la mer Rouge. Mais depuis septembre dernier, l’armée a repris de vastes étendues de territoire et la majeure partie de la capitale. Un vrai revirement de situation. 

Les combats loin d’être terminés

Le FT considère que les facteurs qui ont fait pencher la balance en faveur des forces armées soudanaises comprenaient le soutien qu’elles ont reçu des brigades islamistes, la réception par l’armée de fournitures d’armes lourdes, la défection de bataillons au sein des Forces de soutien rapide et le déclin du moral de leurs combattants.

Cameron Hudson, expert de la Corne de l’Afrique et chercheur principal au sein du programme Afrique du Centre d’études stratégiques et internationales de Washington, commente: «Ils ont remarquablement bien réarmé leurs forces aériennes en les réapprovisionnant avec des drones turcs et des avions de chasse chinois et russes. Parallèlement, les Forces de soutien rapide ont peiné à maintenir leurs lignes d’approvisionnement en provenance des Émiratis via le Tchad et la Libye».

Cependant, les combats à Khartoum sont loin d’être terminés. Une attaque des Forces de soutien rapide vendredi a tué un porte-parole de l’armée et des soldats au Palais présidentiel tandis que la résistance se poursuit dans certaines parties du sud de la capitale. Les forces de soutien ont pris le contrôle d’un avant-poste dans le désert du Nord-Darfour coupant l’approvisionnement de l’armée à la ville assiégée d’El Fasher soulignant la difficulté à laquelle les dirigeants soudanais seront confrontés pour unifier le pays.

«Si l’armée reprend le contrôle de tout Khartoum, ce n’est pas forcément de bon augure pour l’avenir du Soudan car elle ne se soucie pas du Darfour», a déclaré Nour Babiker, un homme politique soudanais du Parti du Congrès vivant en exil. Il a exprimé des inquiétudes quant à la réticence ou l’incapacité de l’armée à poursuivre les combats dans les provinces occidentales après la prise de Khartoum. La motivation des forces armées soudanaises à négocier pourrait diminuer augmentant ainsi le risque que le pays reste divisé. L’avancée de l’armée sur Khartoum est un moment dangereux pour les civils. Plus de 12 millions des 50 millions d’habitants du Soudan ont été déplacés par la guerre et la famine se propage dans certaines régions.

Une capitale vidée de ses habitants

Les deux camps ont commis des atrocités. Ces derniers mois, les forces armées soudanaises et leurs milices alliées ont été accusées d’avoir commis des assassinats ethniques ciblés dans les zones reconquises. Les Forces de soutien rapide, issues des milices arabes Janjaweed accusées de crimes de guerre lors des précédentes guerres du Darfour, ont infligé de lourdes pertes lors de leur retrait. «C’est leur habitude de se venger des habitants lorsqu’ils se retirent», a déclaré Hudson.

Le défi immédiat auquel est confronté le général Al-Burhan est de rétablir l’ordre et les services dans une ville vidée de ses habitants et d’assurer l’approvisionnement en nourriture, en eau et autres produits de première nécessité à mesure que les résidents déplacés commencent à revenir. L’autre dilemme réside dans la nécessité de regagner le soutien international nécessaire à la reconstruction tout en maintenant la cohésion de toutes les forces disparates sous sa bannière.

Les récentes victoires d’Al-Burhan n’auraient pas été possibles sans le soutien des partisans islamistes de l’ancien régime qui continuent de bénéficier du soutien de certains segments de la population. Cependant, ni les gouvernements occidentaux ni les alliés des forces armées soudanaises au Moyen-Orient, l’Égypte et l’Arabie saoudite, ne souhaitent leur retour au pouvoir. En même temps, les rejeter pourrait entraîner une réaction violente.

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Une coopération tripartite pour l’agriculture tunisienne

27. März 2025 um 08:08

Un accord de coopération a été signé, mercredi 26 mars, entre le ministère de l’Agriculture, la Banque tunisienne de solidarité (BTS) et l’Agence allemande de coopération technique (GIZ) pour promouvoir les investissements dans le secteur agricole et dynamiser la relation entre les institutions financières et techniques. C’est ce qu’indique un communiqué du ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche.

La Convention vise à soutenir les jeunes désirant créer des projets agricoles en leur fournissant des mécanismes de financement issus du projet de valorisation des périmètres irrigués, projet axé sur le développement des chaînes de valeurs agricoles dans les gouvernorats de Kairouan, Kasserine et Sidi Bouzid.

Ce projet est financé par la Banque africaine de développement (BAD) et mis en œuvre en coopération entre les différentes parties concernées.

À l’occasion de cette signature, le ministre de l’Agriculture, Ezzeddine Ben Cheikh, a souligné l’importance de cette initiative pour fournir des emplois aux jeunes, promouvoir la production agricole nationale et renforcer le développement économique durable en Tunisie. Il saluera également les efforts de toutes les parties pour créer un environnement incitatif à l’entrepreneuriat dans le secteur agricole.

Outre le ministre de l’Agriculture, étaient également présents le secrétaire d’Etat chargé des Ressources hydrauliques, Hammadi Habib, le directeur général de la Banque tunisienne de solidarité, Khelifa Sbouii, la directrice générale de l’Agence pour la promotion des investissements agricoles, Engi Douggui, le chargé de la gestion du Département de génie rural et d’exploitation des eaux, Kamel Meddeb, la représentante de l’Agence allemande de coopération technique, Kalthoum Ben Jomâa, ainsi qu’un certain nombre de responsables et d’experts dans le domaine financier et agricole.

Avec TAP

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L’historien Rashid Khalidi dénonce la dérive vichyste de l’Université de Columbia

27. März 2025 um 07:03

L’historien américano-palestinien Rashid Khalidi, titulaire de la chaire Edward Saïd d’études arabes modernes à l’Université de Columbia et longtemps chef de son département Moyen-Orient, s’est demandé si le terme université sied encore à Columbia et a dénoncé une dérive vichyste.

Imed Bahri

Ces critiques sont intervenues après que la célèbre université de l’Ivy League ait accepté la mise sous la tutelle fédérale de son département Moyen-Orient ce qui fait qu’elle a perdu de facto son indépendance et que le lobby sioniste a fini par mettre sa main dessus.

L’administration Trump avait menacé Columbia de lui retirer les 400 millions de dollars que lui alloue chaque année l’État fédéral si elle refusait la tutelle sur le département Moyen-Orient.

Dans une tribune publiée dans les colonnes du quotidien britannique The Guardian, Khalidi a souligné que la célèbre université new-yorkaise a toujours été gérée comme un empire financier et non comme une institution éducative et qu’aujourd’hui elle agit comme «Vichy sur l’Hudson» en référence au gouvernement pronazi de Vichy en France pendant la Seconde Guerre mondiale. 

Khalidi a écrit au début de son article: «Il n’a jamais été question d’éradiquer l’antisémitisme. Il a toujours été question de réduire la Palestine au silence. C’est ce à quoi aboutirait la réduction au silence des manifestants étudiants et maintenant celle des professeurs.» Il a ajouté que de beaucoup des étudiants lourdement sanctionnés pour avoir soutenu Gaza et que nombreux membres du corps enseignant qui perdront leur liberté académique et leur droit de diriger l’université et qui risquent d’être expulsés sont eux-mêmes juifs et même pour certains d’entre eux étant Israéliens. Il a également pointé du doigt la partialité des dirigeants de l’université: «S’il s’agissait réellement de discrimination, l’université aurait pris des mesures contre le harcèlement continu des étudiants et des professeurs palestiniens, arabes et musulmans ainsi que de leurs alliés et sympathisants plutôt que de soutenir leur harcèlement et de le permettre».

Justifier les massacres des Palestiniens

Le cœur du problème n’est pas la discrimination mais plutôt la protection des mensonges évidents selon lesquels la guerre israélo-américaine en cours depuis 17 mois et le génocide contre l’ensemble du peuple palestinien n’étaient rien de plus qu’une guerre contre le Hamas ou que tout ce qui s’est passé le 7 octobre 2023 peut justifier les massacres en cours d’au moins 50 000 personnes à Gaza principalement des femmes, des enfants et des personnes âgées ainsi que le nettoyage ethnique dont sont victimes les Palestiniens dans leur patrie.

Ces mensonges, fabriqués par Israël et imprégnés par le système politique et les élites riches ont été répétés sans relâche sous les administrations Biden et Trump et dans des médias comme le New York Times et Fox News et bénéficient désormais de l’approbation officielle d’une université autrefois grande.

Khalidi ajoute que ces mensonges sont enracinés dans un racisme flagrant. Frantz Fanon écrivait que le dualisme du colonisateur atteint parfois «sa conclusion logique, dépouillant l’indigène de son humanité ou le transformant simplement en animal».

En effet, l’ancien ministre israélien de la Défense Yoav Galant a déclaré en octobre 2023 que les Palestiniens étaient des «animaux humains». Benjamin Netanyahu a déclaré à leur sujet: «Je ne les décrirais pas comme des animaux humains car ce serait une insulte aux animaux».

Khalidi soutient que dans le cadre de cette guerre coloniale et à travers ces prismes, la vie des Palestiniens –ainsi que celle des personnes de couleur et des Noirs– devient une masse sans valeur, sans identité, dépouillée d’humanité tandis que la vie des autres se voit conférer sainteté et pathétique.

Un monde cauchemardesque

L’historien souligne la nécessité de s’accrocher à ces faits le plus longtemps possible car dans ce monde cauchemardesque dans lequel nous sommes entrés même faire référence à la race et au racisme est, ou deviendra bientôt, une violation de la lecture déformée actuelle de la loi fédérale américaine.

Une fois que les traîtres qui dirigent l’Université Columbia auront exécuté les ordres de leurs maîtres à Washington et de «son Conseil des régents» et que ces actions se seront propagées à d’autres universités menacées, enseigner ou même simplement citer un texte juridique deviendra risqué tout comme mentionner la race et le racisme sans parler d’autres questions comme le genre et le handicap.

Khalidi estime que les universités américaines se rapprochent d’une situation similaire à celle des universités chiliennes à l’époque de Pinochet où les idées et les livres étaient interdits, les étudiants expulsés et arrêtés, les départements universitaires saisis par les autorités et les professeurs et le personnel licenciés tout cela à la demande d’un gouvernement autoritaire.

Khalidi commente: «Nous ne devrions pas être tristes de ce qu’est devenue l’Université Columbia. Aussi formidable qu’elle ait été, ce qui se passe aujourd’hui n’est pas nouveau».

Avant la vague actuelle d’expulsions et de suspensions, Columbia n’avait expulsé qu’une seule fois un étudiant pour avoir manifesté pacifiquement dans son histoire. C’était en 1936, lorsqu’un étudiant avait été expulsé pour avoir protesté contre le fait de donner une tribune aux Nazis. En 1953, le président de l’université a signé une lettre déclarant que les communistes n’étaient pas qualifiés pour enseigner. Les administrateurs de l’Université de Columbia ont également renvoyé deux membres du corps enseignant pour s’être opposés à la Première Guerre mondiale pour des raisons pacifistes tandis que les étudiants qui refusaient de participer à la guerre pour des raisons de conscience ont été arrêtés et même emprisonnés.

Une longue tradition de répression

L’Université Columbia a longtemps été gérée davantage comme un vaste et riche empire commercial et immobilier que comme un établissement d’enseignement. C’est un endroit où les politiques sont imposées par les administrateurs, les donateurs et les instituts professionnels influents et non par le corps universitaire.

Au printemps 2024, les deux tiers des professeurs du Collège des arts et des sciences ont voté pour destituer la présidente de l’université qui avait cédé à la pression extérieure, abdiqué ses responsabilités et même appelé le département de police de New York sur le campus pour la première fois depuis 1968. Cependant, celle qui lui a succédée l’a dépassée, renforçant la longue tradition de répression de l’université et sa soumission humiliante aux diktats du gouvernement, promue et soutenue avec enthousiasme par des collaborateurs au comportement honteux au sein de l’institution.

Pour Rashid Khalidi, après sa reddition vendredi dernier, Columbia ne mérite guère d’être appelée une université. Son enseignement et ses recherches sur le Moyen-Orient –et bientôt sur d’autres domaines– seront étroitement surveillés par un «vice-président principal pour l’éducation inclusive», qui est en fait un vice-président principal pour la propagande israélienne.

Les partisans d’Israël, irrités par la présence de recherches sur la Palestine à l’Université de Columbia, ont surnommé cette initiative «Birzeit sur l’Hudson» par référence à l’université palestinienne de Birzeit en Cisjordanie. Mais si elle mérite encore d’être appelée une université, elle devrait plutôt s’appeler «Vichy sur l’Hudson» et non «Birzeit sur l’Hudson».

Articles de Rashid Khalidi dans Kapitalis:

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Un plan d’urgence pour récupérer les biens mal acquis

27. März 2025 um 05:49

Un conseil ministériel restreint s’est tenu le 26 mars 2025 au palais du gouvernement de la Kasbah, présidé par Sarra Zaafrani Zenzri, cheffe du gouvernement, pour examiner les mesures relatives à la confiscation, à la récupération et à la gestion des biens acquis de manière illicite et issus de la corruption. La réunion a réuni Mohamed Ali Nafti (Affaires étrangères), Michket Slama Khaldi (Finances), Oujdi El Hadhili (Domaines de l’État) et Mohamed Ben Ayed (secrétaire d’État aux Affaires étrangères).

La cheffe du gouvernement a appelé à accélérer les travaux des commissions chargées de ce dossier, en insistant sur la nécessité de garantir le droit de l’État à récupérer ses biens. Elle a souligné l’importance de suivre les recommandations du président de la République pour une gestion rigoureuse des biens confisqués, afin de préserver le patrimoine national.

Elle a également mis l’accent sur la coordination des efforts pour une récupération efficace des biens confisqués et une gestion optimale des biens immobiliers et mobiliers confisqués, considérés comme propriété publique. Un suivi continu de ce dossier sera assuré par la présidence du gouvernement et les ministères concernés.

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Kaïs Saïed plaide pour une solution pour les biens confisqués

27. März 2025 um 05:36

Le président de la République, Kaïs Saïed, a rencontré  dans la journée du mercredi 26 mars 2025  Sarra Zaafrani Zenzri, cheffe du gouvernement, et  Michket Slama Khaldi, ministre des Finances. Les discussions ont porté sur plusieurs sujets prioritaires, notamment les équilibres financiers de l’État et le dossier des biens confisqués, qui demeure en suspens ou éparpillé entre différentes entités, une situation désormais jugée inacceptable.

 

Le chef de l’État a insisté sur la nécessité d’élaborer une nouvelle approche pour clore définitivement ce dossier, rappelant que « les fonds publics appartiennent au peuple et qu’aucune négligence ne saurait être tolérée. Il a également souligné l’importance de préparer minutieusement les projets de textes législatifs pour qu’ils soient clairs, cohérents et s’inscrivent dans le cadre de la révolution législative, contribuant ainsi à la relance économique et au développement du pays. »

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Sahline : une vidéo d’agression policière sur un vieil homme déclenche des protestations (vidéos)

26. März 2025 um 23:40
Sahline : une vidéo d’agression policière sur un vieil homme déclenche des protestations (vidéos)

La ville de Sahline a été secouée par des scènes de violence ce mercredi soir, suite à la diffusion d’une vidéo choquante sur les réseaux sociaux montrant des agents de sécurité agressant un homme âgé et sa famille. L’incident, survenu après qu’un jeune homme ait refusé de présenter sa carte d’identité, a provoqué une vague […]

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Seifeddine Makhlouf et d’autres ex-députés condamnés pour l’agression d’Abir Moussi

26. März 2025 um 23:03
Seifeddine Makhlouf et d’autres ex-députés condamnés pour l’agression d’Abir Moussi

La neuvième chambre correctionnelle du tribunal de première instance de Tunis a rendu son verdict dans l’affaire de l’agression de la députée et présidente du Parti destourien libre, Abir Moussi, au sein du Parlement en 2021. Le tribunal a condamné, par contumace, l’ancien député du Parlement dissous, Seifeddine Makhlouf, à une peine d’un an de […]

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Le ministre des affaires étrangères en visite de travail en Espagne les 27 et 28 mars

26. März 2025 um 16:16

Le ministre des Affaires Etrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’Etranger, Mohamed Ali Nafti effectuera, les 27 et 28 mars 2025, une visite de travail à Madrid (Espagne), à l’invitation de son Homologue espagnol, José Manuel Albares, ministre des Affaires Etrangères, de l’Union Européenne (UE) et de la Coopération.

Cette visite s’inscrit dans le cadre de la volonté commune de donner un nouvel élan aux relations bilatérales et renforcer davantage les liens d’amitié et de coopération dans plusieurs domaines. notons que les deux pays célèbrent cette année, le 30ème anniversaire du Traité d’Amitié, de Bon Voisinage et de Coopération, conclu en 1995.

La visite sera également une opportunité pour consolider le dialogue et la concertation entre les deux pays sur un certain nombre de questions régionales et internationales d’intérêt commun, notamment dans la région méditerranéenne, lit-on dans un communiqué du département des Affaires étrangères.

Avec TAP

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Assassinat du martyr Chokri Belaïd : audience du 7 avril consacrée à la défense

26. März 2025 um 12:51

La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme tiendra, le 7 avril, une audience consacrée aux plaidoiries dans le cadre du dossier de l’assassinat du martyr Chokri Belaïd.

Le 27 mars 2024, la chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme du tribunal de première instance de Tunis a rendu son verdict dans l’affaire Chokri Belaïd. Voici les différentes peines encourues par les accusés :

Peine capitale pour :

  • Mohamed Amine Guesmi, conducteur du scooter Vespa utilisé lors de l’attentat commandité par Abou Iyadh.

  • Azedine Abdellaoui, ancien agent de sécurité radié, et Mohamed Laouadi, pour avoir assisté à une réunion au domicile d’Abou Iyadh, chef du groupe terroriste interdit Ansar Al-Charia, à Hammam Lif, où ils avaient donné leur aval à l’assassinat du secrétaire général et porte-parole du parti el Watad.

  • Mohamed Akkari, responsable du service de sécurité d’Ansar Al-Charia.

Réclusion à perpétuité pour :

  • Mohamed Ali Dammak, pour avoir loué le véhicule utilisé dans l’attaque.

  • Le médecin Abderraouf Talbi.

Les autres verdicts varient entre des peines d’emprisonnement allant jusqu’à un total de 120 ans, des condamnations exécutoires immédiates et, pour certains accusés, des acquittements. Par ailleurs, cinq accusés ont bénéficié d’un non-lieu. En effet, le tribunal a estimé qu’ils avaient déjà été jugés pour des faits similaires dans d’autres affaires.

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Nafti en visite de travail en Espagne les 27 et 28 mars

26. März 2025 um 14:18

Le ministre des Affaires Etrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’Etranger, Mohamed Ali Nafti effectuera, les 27 et 28 mars 2025, une visite de travail à Madrid (Espagne), à l’invitation de son Homologue espagnol, José Manuel Albares, ministre des Affaires Etrangères, de l’Union Européenne et de la Coopération.

Cette visite s’inscrit dans le cadre de la volonté commune de donner un nouvel élan aux relations bilatérales et renforcer davantage les liens d’amitié et de coopération dans plusieurs domaines. notons que les deux pays célèbrent cette année, le 30ème anniversaire du Traité d’Amitié, de Bon Voisinage et de Coopération, conclu en 1995.

La visite sera également une opportunité pour consolider le dialogue et la concertation entre les deux pays sur un certain nombre de questions régionales et internationales d’intérêt commun, notamment dans la région méditerranéenne, lit-on dans un communiqué du département des Affaires étrangères.

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