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Gestern — 08. Dezember 2025Haupt-Feeds

Affaire de «complot» | Amnesty demande l’annulation des peines

Von: Yusra NY
08. Dezember 2025 um 20:21

Amnesty International a appelé à la libération des détenus et à l’annulation des peines prononcées en appel dans l’affaire de «complot contre la sûreté de l’Etat».

Dans un communiqué publié ce lundi 8 décembre 2025 Amnesty International a lancé un appel urgent aux autorités tunisiennes en dénonçant « une nouvelle vague d’arrestations visant des figures de l’opposition et des défenseurs des droits humains en Tunisie », en référence à l’interpellation de Chayma Issa, Ayachi Hammami et Ahmed Nejib Chebbi.

La même source dénonce des « arrestations et des condamnations politiques et arbitraires qui s’inscrivent dans un contexte de durcissement visant à faire taire les voix opposées au pouvoir en place...»

L’organisation a de ce fait appelé à libérer les détenus condamnés ou poursuivis dans le cadre de l’exercice pacifique de leurs droits, et à mettre fin aux poursuites à caractère politique contre les opposants et défenseurs des droits humains, lit-on encore dans le communiqué.

Y. N.

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Tunisie: Manifestation à l’avenue Bourguiba

Von: walid
06. Dezember 2025 um 21:02
Tunisie: Manifestation à l’avenue Bourguiba

Des représentants de partis politiques, d’associations et d’organisations de la société civile ont participé samedi à une marche, partie de la place du martyr Helmi Manaï à Bab El Khadhra en direction de l’avenue Bourguiba, à Tunis. Encadrée par un important dispositif sécuritaire, la manifestation a parcouru plusieurs rues avant d’atteindre le centre-ville. Les manifestants […]

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Tunisie | Le CRLDHT exige la libération de Nejib Chebbi

Von: Yusra NY
04. Dezember 2025 um 20:47

Le Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT) a exprimé sa pleine solidarité avec Ahmed Nejib Chebbi, arrêté ce jeudi 4 décembre 2025.

Ahmed Nejib Chebbi fondateur et chef du Front du salut national (FSN), regroupant des partis de l’opposition a été condamné par contumace à 12 ans de prison par la Cour d’appel de Tunis et son arrestation a été opérée dans le cadre de l’exécution de la peine précitée.

Le CRLDHT déplore l’arrestation d’une « personne qui a consacré sa vie à défendre les libertés, la dignité et la démocratie et qui n’a rien fait d’autre que refuser le silence ».

Et d’ajouter : « Ce n’est pas de la justice. C’est une démonstration de pouvoir. Un message adressé à toutes celles et ceux qui osent encore s’exprimer : vous serez punis ».

Dans son communiqué le Comité a par ailleurs exigé la libération immédiate d’Ahmed Nejib Chebbi et de toutes les personnes détenues pour leurs opinions politiques, avant de conclure : «La Tunisie mérite mieux que la peur».

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Tunisie | Arrestation de Ahmed Nejib Chebbi

04. Dezember 2025 um 13:28

Cela fait trois jours qu’il annonce, ainsi que ses avocats et des membres de sa famille, que des policiers en civil encerclent sa maison et le surveillent de près. Ce jeudi 4 décembre 2025, ses proches ont annoncé l’arrestation de Ahmed Nejib Chebbi, le président du Front du salut national (FSN), âgé de 81 ans.

Cette arrestation, annoncée notamment par sa fille, Me Haifa Chebbi, en pleurs, dans une vidéo sur Facebook, survient en application d’une condamnation en appel à 12 ans de prison ferme dans le cadre de l’affaire dite de complot contre la sûreté de l’Etats dans laquelle ont également été condamnés une quarantaine d’opposants politiques, d’hommes d’affaires et d’activistes de la société civile, dont son propre frère Issam Chebbi, secrétaire général du Parti républicain (Al-Joumhouri).

Rappelons qu’après l’annonce du verdict, Chebbi avait annoncé qu’il ne pourvoirait pas en cassation, car il n’en voyait pas l’utilité, le procès ayant, selon lui, une dimension essentiellement politique.

I. B.

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CRLDHT | Rassemblement à Paris pour défendre les libertés en Tunisie

Von: Yusra NY
03. Dezember 2025 um 21:00

Le Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT) a appelé à un rassemblement ce samedi 6 décembre 2025 à Paris afin de dénoncer les jugements prononcés par la Cour d’appel dans l’affaire de «complot».

« Le 27 novembre, la Cour d’appel a prononcé 824 ans de prison contre journalistes, opposants, avocats et défenseur·e·s des droits humains, au terme d’un procès sans accusés, sans débats, sans justice », indique le CRLDHT dans un communiqué publié en solidarité avec les condamnés.

La même source a par ailleurs déploré l’arrestation de l’avocat Ayachi Hammami et de Chaïma Issa, membre du FSN, ainsi « l’acharnement contre les associations et les journalistes», estimant que cette situation « montre une chose : le pouvoir veut faire taire tout le pays».

Et d’ajouter : « Pendant que la justice est utilisée comme une arme, l’échec social et économique est total : Gabès étouffe sous la pollution, la pauvreté explose, les jeunes partent, et le régime prépare des attaques contre les syndicalistes et l’UGTT», lit-on encore dans le communiqué qui appelle à un rassemblement samedi à partir de 15h, à La fontaine des Innocents située place Joachim du Bellay dans le 1er arrondissement de Paris.

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Affaire du “complot” : Les avocats de Tunis créent une commission pour suivre le dossier d’Ayachi Hammami

Von: walid
03. Dezember 2025 um 18:18
Affaire du “complot” : Les avocats de Tunis créent une commission pour suivre le dossier d’Ayachi Hammami

Le conseil de l’Ordre régional des avocats de Tunis a annoncé mercredi la création d’une commission spéciale pour suivre le dossier de l’avocat Ayachi Hammami, arrêté mardi dans le cadre de l’affaire dite du « complot contre la sûreté de l’État ». La commission sera chargée du suivi juridique, procédural et médiatique du dossier, ainsi […]

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Ahmed Nejib Chebbi déclare qu’il est sur le point d’être arrêté

Von: Yusra NY
02. Dezember 2025 um 22:24

Cité par le Front du salut national (FSN) Ahmed Nejib Chebbi a affirmé, dans la soirée de ce mardi 2 décembre 2025, que les forces de sécurité encerclent sa maison en vue de son arrestation.

On notera que Nejib Chebbi (81 ans) a été condamné à 12 ans de prison par la Cour d’appel de Tunis dans l’affaire du « complot contre la sûreté de l’État ».

Cette déclaration du chef du FSN, front regroupant les partis de l’opposition, intervient après l’arrestation, cet après-midi même de l’avocat Ayachi Hammami, condamné quant à lui à 5 ans ferme dans la même affaire dans laquelle on compte 41 accusés.

Y. N.

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Tunisie | L’avocat Ayachi Hammami arrêté

Von: Yusra NY
02. Dezember 2025 um 19:33

Condamné à la prison ferme dans l’affaire de « complot contre la sûreté de l’État », l’avocat et militant Ayachi Hammami a été arrêté, ce mardi 2 décembre 2025.

Ayachi Hammami a été arrêté chez lui en exécution au verdict prononcé par la cour d’appel, le condamnant pour terrorisme à 5 ans ferme et à deux ans de surveillance administrative.

On notera que l’avocat avait été condamné à huit ans en première instance…

Y. N.

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L’avocat et militant Ayachi Hammami arrêté à son domicile

02. Dezember 2025 um 19:04

L’avocat et militant des droits humains Ayachi Hammami a été arrêté  ce mardi 2 décembre 2025 à son domicile.

Il faisait l’objet d’un jugement en appel dans l’affaire  du « complot contre la sûreté de l’État ». La Cour d’appel avait confirmé une partie du verdict de première instance, réduisant sa peine de huit à cinq ans de prison, accompagnée de deux années de surveillance administrative.

Ancien coordinateur du Comité national de défense des détenus politiques et figure connue du militantisme démocratique, Hammami a toujours rejeté les accusations, qu’il qualifiait de fabrication politique

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Tunisie | Après 33 jours, Jawhar Ben Mbarek suspend sa grève de la faim

Von: Yusra NY
01. Dezember 2025 um 19:51

Jawhar Ben Mbarek a annoncé, ce lundi 1er décembre 2025, avoir levé la grève de la faim qu’il mène depuis 33 jours dans sa cellule à la prison de Belli.

C’est son père Ezzeddine Hazgui qui a annoncé la nouvelle, en précisant que Jawhar Ben Mbarek remercie toutes les personnes qui l’ont soutenu durant ce mouvement estimant que celui-ci a transmis le message, notamment « en mettant en lumière la souffrance des prisonniers politiques en Tunisie ».

Notons que Jawhar Ben Mbarek est poursuivi dans l’affaire de complot contre la sûreté de l’État et a été condamné par la Cour d’appel de Tunis à une lourde peine de 20 ans ferme.

Y. N.

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Tunisie | Le CRLDHT dénonce «une justice capturée par l’exécutif»

30. November 2025 um 08:53

«Un procès fictif, un jugement illégal et la confirmation d’une justice entièrement capturée par l’exécutif. Une répression judiciaire massive : 45, 35, 33, 25, 20, 18, 17, 14 13, 12, 10, 3 et 2 ans de prison prononcés contre des personnalités politiques, civiles et médiatiques totalisant 824 ans de prison.»

C’est en ces termes que le Centre pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie (CRLDHT) a réagi au verdict d’appel dans l’affaire dite du «complot contre la sûreté de l’Etat 1» .

Dans un communiqué publié le 29 novembre, l’Ong tunisienne basée en France a affirmé que la date du 27 novembre 2025 «restera comme l’une des dates les plus sombres de l’histoire judiciaire tunisienne.» Et elle cite, à l’appui de son affirmation «une procédure disloquée, marquée par les violations les plus graves des garanties constitutionnelles et internationales», et un «verdict, décidé et lu en l’absence des détenus, sans débats, sans plaidoiries, sans confrontation, sans examen des preuves».  

«Le 27 novembre, aucun détenu n’a été amené en salle d’audience. Trois prévenus seulement ont été connectés à distance», rappelle l’organisation, qui détaille les griefs exprimés par les accusés et leurs avocats contre une justice qui a «cessé d’être un pouvoir judiciaire», «est devenue une administration punitive au service du pouvoir exécutif», «destinée à terroriser».

Lire l’intégralité du communiqué.

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Arrestation de Chayma Issa | Amnesty international dénonce «un enlèvement»

Von: Yusra NY
29. November 2025 um 22:44

Amnesty International Tunisie a fermement condamné l’arrestation de Chayma Issa alors qu’elle participait à une marche pour les libertés à Tunis, en qualifiant cette interpellation «d’enlèvement».

La même source a également dénoncé les récents jugements prononcés dans l’affaire de «complot contre la sûreté de l’État», rendus hier par la Cour d’appel de Tunis, estimant que cela « représente une atteinte grave aux droits fondamentaux et au processus démocratique en Tunisie et une nouvelle tentative d’étouffer la dissidence et de réduire au silence les voix critiques».

L’organisation appelle les autorités tunisiennes à annuler immédiatement ces verdicts qu’elle qualifie d’«injustes » et à garantir un traitement équitable et conforme aux normes internationales pour tous les accusés.

Rappelons que Chayma Issa a été condamnée à vingt ans de prison dans l’affaire de «complot» et a été arrêtée dans l’après-midi de ce samedi 29 novembre 2025, alors qu’elle participait à la manifestation pour les libertés à Tunis.

Y. N.

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Affaire du complot | Amnesty appelle la Tunisie à «annuler les lourdes condamnations»

29. November 2025 um 13:54

Dans le communiqué reproduit ci-dessous, publié vendredi 28 novembre 2025, Amnesty International appelle les autorités tunisiennes à «annuler les condamnations lourdes et injustes’’ allant de 5 à 45 ans prononcées contre des opposants politiques, hommes d’affaires et activistes de la société civile dans l’«affaire du complot»

Réagissant à la décision de la cour d’appel de Tunis en date du 27 novembre confirmant les déclarations de culpabilité et les peines allant de cinq à quarante-cinq ans d’emprisonnement prononcées contre 34 personnes poursuivies dans l’«affaire du complot» motivée par des considérations politiques, Sara Hashash, directrice régionale pour l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient à Amnesty International, a déclaré : «La décision de la cour d’appel de Tunis confirmant les condamnations injustes prononcées dans l’‘‘affaire du complot’’ est accablante pour le système judiciaire tunisien. En validant les verdicts de culpabilité fondés sur des accusations sans fondement qui ont été prononcés à l’issue d’un simulacre de procès contre des dizaines de personnes, dont des personnalités politiques, des avocat·e·s et des défenseur·e·s des droits humains, la cour d’appel a délibérément fermé les yeux sur la longue liste de violations du droit à un procès équitable qui entachent cette affaire depuis le premier jour.»

«La cour d’appel a de la sorte également entériné l’utilisation par le gouvernement du système judiciaire pour éliminer la dissidence politique. Si trois relaxes ont été prononcées et plusieurs peines allégées, d’autres peines ont été alourdies – notamment pour Jaouher Ben Mbarek, qui a mené une grève de la faim pendant 31 jours pour protester contre sa détention arbitraire et contre le procès injuste engagé contre lui, et qui a vu sa peine passer de 18 à 20 ans d’emprisonnement. La décision de la cour confirme que la participation à une opposition pacifique demeure passible en Tunisie d’une lourde peine d’emprisonnement.

«Les autorités ont dès le début compromis l’intégrité de ce procès avec des violations répétées des garanties procédurales, notamment en prenant la décision injustifiée de priver les accusé·e·s incarcérés de leur droit d’être présents dans la salle d’audience et en insistant pour que le procès se déroule à distance. Associés aux attaques incessantes de l’État contre les avocat·e·s représentant les accusé·e·s dans cette affaire, ces agissements mettent en évidence une campagne acharnée visant à éroder les droits et à réduire au silence la dissidence.

«Nous sommes extrêmement préoccupés par le fait que les militant·e·s politiques Chaïma Issa et Ahmed Nejib Chebbi et le défenseur des droits humains Ayachi Hammami risquent à présent d’être arrêtés de façon imminente et arbitraire, la cour d’appel ayant confirmé les déclarations de culpabilité prononcées contre eux et les ayant condamnés respectivement à 20, 12 et cinq ans d’emprisonnement.

«Les autorités tunisiennes doivent immédiatement annuler les déclarations de culpabilité et les peines injustes prononcées contre toutes les personnes poursuivies dans l’ »affaire du complot ». Elles doivent libérer immédiatement et sans condition toutes les personnes détenues uniquement pour avoir exercé leurs droits humains, et mettre fin à la persécution incessante et motivée par des considérations politiques qui est exercée contre celles et ceux qui critiquent les autorités, contre les opposant·e·s et contre les juristes. Tant que le pouvoir judiciaire ne contrôlera pas la répression exercée par le gouvernement, il encouragera un autoritarisme croissant et une véritable crise des droits humains. »

Contexte

L’« affaire du complot » en Tunisie concerne les poursuites engagées contre 37 figures de l’opposition, avocat·e·s et militant·e·s sur la base de graves accusations motivées par des considérations politiques, principalement pour «complot contre la sûreté de l’État». En avril 2025, le tribunal de première instance de Tunis a prononcé de lourdes peines allant de quatre à 66 ans d’emprisonnement à l’issue d’un procès largement condamné pour ses graves violations des règles d’équité, son manque de transparence et l’ingérence du pouvoir exécutif.

Le 24 octobre, les avocat·e·s de la défense ont appris que la première audience d’appel était prévue pour le 27 octobre et se tiendrait à distance par visioconférence pour les 12 accusé·e·s en détention, le tribunal ayant décidé de tenir tous les procès pour terrorisme à distance depuis avril 2024, invoquant l’existence d’un «danger imminent», sans justification. Les accusé·e·s incarcérés n’en ont été informés que le jour même de l’audience, et les autres n’ont reçu aucune convocation. Le 27 octobre, l’audience a été reportée au 17 novembre, puis au 27 novembre.

L’obligation pour les accusé·e·s incarcérés de participer à distance au procès, malgré leurs objections, les a privés du droit d’être physiquement présents au tribunal, en violation de leurs droits à la défense. 

Parmi les 34 personnes condamnées dans cette affaire, six figures de l’opposition – Khayyam Turki (condamné à 35 ans d’emprisonnement) Jaouhar Ben Mbarek, Issam Chebbi, Ghazi Chaouachi, Ridha Belhaj (20 ans d’emprisonnement) et Abdelhamid Jelassi (10 ans d’emprisonnement) – sont en détention arbitraire depuis le début de l’enquête, en février 2023. 

Plusieurs autres personnes condamnées dans cette affaire avaient déjà été placées en détention dans le cadre d’autres affaires à caractère politique, comme par exemple les figures de l’opposition Noureddine Bhiri (condamné à 20 ans d’emprisonnement), Sahbi Atig (10 ans d’emprisonnement) et Saïd Ferjani (10 ans d’emprisonnement) de l’ancien parti au pouvoir Ennahdha. Ces poursuites ont également visé 20 personnes vivant à l’étranger, notamment l’éminente défenseure des droits humains Bochra Bel Haj Hmida, qui a été condamnée à 33 ans d’emprisonnement.

Communiqué.

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Affaire de « complot » | La LTDH demande l’annulation des verdicts prononcés

Von: Yusra NY
28. November 2025 um 22:04

À la suite des récents développements dans l’affaire de « complot contre la sûreté de l’État », et suite au verdicts prononcés par la Cour d’appel la Ligue tunisienne de défense des droits de l’homme (LTDH) a exprimé sa profonde inquiétude.

Dans son communiqué publié vendredi 28 novembre 2025, la LTDH estime que les peines rendues par la Cour d’appel sont extrêmement sévères, tout en pointant du doigt l’absence totale des conditions d’un procès équitable.

La LTDH a de ce fait exprimé sa profonde inquiétude « devant une procédure menée sans les garanties minimales d’un jugement juste, sans respect des droits de la défense, sans confrontations, sans plaidoiries, et sans que les détenus aient été présentés devant la chambre, ce qui constitue une violation flagrante de la Constitution, de la loi et des standards internationaux relatifs aux droits humains », lit-on dans le communiqué.

La Ligue qui dénonce des irrégularités graves à tous les niveaux du procès, dénonce par ailleurs la nature politique des verdicts rendus et estime que les décisions prononcées ne visent qu’à réprimer le travail politique, réduire au silence les opposants, et étouffer les voix dissidentes.

Y. N.

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Affaire de «complot» | Détail des peines prononcées en appel

Von: Yusra NY
28. November 2025 um 19:53

La Chambre criminelle spécialisée dans les affaires terroristes près la Cour d’appel de Tunis a rendu son verdict définitif concernant les accusés dans l’affaire dite de complot contre la sûreté de l’État.

Ci-dessous le détail des peines prononcées à l’aube de ce vendredi 28 novembre 2025 :

Accusés en détention :

  • Kamel Ben Youssef Ben Slimane Eltaïef : 30 ans, amende de 100 000 dinars, 5 ans de surveillance administrative (66 ans en première instance).
  • Noureddine Abdallah Salem Bhiri : 25 ans, 5 ans de surveillance administrative (43 ans en première instance).
  • Issam Ben Abdelaziz Ben Ahmed Chebbi : 20 ans, 5 ans de surveillance administrative (18 ans en première instance).
  • Abdelhamid Ben El Kader Ben Mohamed Jlassi : 10 ans, 5 ans de surveillance administrative (13 ans en première instance).
  • Jawhar Ben Ezzedine Ben Mohamed Habib Ben Mbarek : 20 ans, 5 ans de surveillance administrative (18 ans en première instance).
  • Ghazi Ben Mohamed Ben El Hadi Chaouachi : 20 ans, 5 ans de surveillance administrative (18 ans en première instance).
  • Ridha Ben El Bechir Mohamed Belhaj : 20 ans, 5 ans de surveillance administrative (18 ans en première instance).
  • Abdelhamid Ben El Kader Ben Mohamed Jlassi : 10 ans, 5 ans de surveillance administrative (13 ans en première instance).
  • Ali Mahjoub Mohamed Hlioui : 33 ans (confirmé).
  • Ridha Ali Jilani Cherefeddine : 2 ans, plus 3 mois de surveillance administrative (16 ans en première instance).
  • Sahbi Messaoud Salem Atig : 10 ans, 5 ans de surveillance administrative (13 ans en première instance).
  • Seyed Mohamed Bouraoui Ferjani : 10 ans, 5 ans de surveillance administrative (13 ans en première instance).
  • Kamel Bechir Mohamed Bedoui : 13 ans, 5 ans de surveillance administrative (13 ans en première instance)

Accusés en liberté :

  • Ahmed Néjib Abdelaziz Ahmed Chebbi : 12 ans, 5 ans de surveillance administrative (18 ans en première instance).
  • Chaima Issa Ibrahim Ben Behki : 20 ans, amende de 50 000 dinars, confiscation des fonds (18 ans en première instance).
  • Mohamed El Azhari El Akrimi : non-lieu (8 ans en première instance).
  • Chokri Ben Issa Bahriya : 19 ans, 5 ans de surveillance administrative (13 ans en première instance).
  • Ayachi Ahmed Rabah Hammami : 5 ans, 2 ans de surveillance administrative (8 ans en première instance).
  • Mhamed Mabrouk Mohamed Hamdi : 17 ans, amende de 20 000 dinars, 5 ans de surveillance administrative (13 ans en première instance).
  • Noureddine Ahmed Younes Boutar : non-lieu (10 ans en première instance).
  • Karim Farid Laurent Ben Mohamed Gellati : 35 ans, amende de 50 000 dinars, 5 ans de surveillance administrative (25 ans en première instance).
  • Mohamed Bechir Mohamed Bedoui : 13 ans, 5 ans de surveillance administrative (13 ans en première instance).

Accusés en fuite (peines de 33 ans avec exécution immédiate confirmées) :

  • Hamza Mohamed Rajeb Ali El Moaddab
  • Mongi Salah El Arbi Dhouadi
  • Kamel Salem Saïd El Guizani
  • Ridha Mahmoud Mohamed Idriss
  • Mustapha Kamel El Haj Ali Ennaabli
  • Kawthar Mohamed El Kamel Amara Eddaassi
  • Mohamed Abderraouf Abderrahmane Mohamed El Wassif Khalfallah
  • Abd El Majid Omar Ahmed Ezzar
  • Tasnim Rached Mohamed El Khrigi
  • Nadia El Bajy Hattab Akrache
  • Rafik Ahmed Abderrahmane Chaabouni

Peines aggravées pour certains accusés en fuite :

  • Najla Abdelatif Khalifa Eltaïef : 43 ans, amende de 50 000 dinars, 5 ans de surveillance administrative (33 ans en première instance).
  • Bernard-Henri Lévy : 43 ans, 5 ans de surveillance administrative (33 ans en première instance).
  • Bochra Belhaj Hmida : 33 ans, amende de 50 000 dinars, 5 ans de surveillance administrative (confirmé).

Source : Agence Tap

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Détails des jugements prononcés en appel dans l’affaire du “complot contre la sûreté de l’État”

28. November 2025 um 15:41

La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme auprès de la Cour d’appel de Tunis a rendu, à l’aube de ce vendredi, un verdict définitif concernant les accusés dans l’affaire connue sous le nom de « complot contre la sûreté de l’État ».

Selon une source judiciaire citée par l’agence TAP, les peines prononcées à l’encontre des accusés détenus vont de 10 à 45 ans de prison, tandis qu’un accusé a bénéficié d’un non-lieu.

Pour les accusés en liberté, les peines varient entre 5 et 35 ans de prison, et deux d’entre eux ont également bénéficié d’un non-lieu.

Quant aux accusés en fuite, la cour a confirmé les peines prononcées en première instance — 33 ans de prison avec exécution immédiate — tout en portant certaines d’entre elles à 43 ans.

Par ailleurs, la cour d’appel a assorti certaines condamnations d’amendes de montants variés, ainsi que de la confiscation des fonds détenus par les accusés dans des établissements financiers tunisiens.

Selon une source de la Cour d’appel de Tunis, les verdicts ont été rendus comme suit :

Accusés détenus :

Mohamed Khayem Ben Ibrahim Ben Mustapha Turki : 45 ans, amende de 100 000 dinars, confiscation des fonds, 5 ans de surveillance administrative (48 ans en première instance).

Kamel Ben Youssef Ben Slimane Eltaïef : 30 ans, amende de 100 000 dinars, 5 ans de surveillance administrative (66 ans en première instance).

Noureddine Abdallah Salem Bhiri : 25 ans, 5 ans de surveillance administrative (43 ans en première instance).

Issam Ben Abdelaziz Ben Ahmed Chebbi : 20 ans, 5 ans de surveillance administrative (18 ans en première instance).

Jawhar Ben Ezzedine Ben Mohamed Habib Ben Mbarek : 20 ans, 5 ans de surveillance administrative (18 ans en première instance).

Ghazi Ben Mohamed Ben El Hadi Chaouachi : 20 ans, 5 ans de surveillance administrative (18 ans en première instance).

Ridha Ben El Bechir Mohamed Belhaj : 20 ans, 5 ans de surveillance administrative (18 ans en première instance).

Abdelhamid Ben El Kader Ben Mohamed Jlassi : 10 ans, 5 ans de surveillance administrative (13 ans en première instance).

Hattab Fathi Hattab Salama : non-lieu (4 ans en première instance).

Ali Mahjoub Mohamed Hlioui : Non lieu

Ridha Ali Jilani Charefeddine : 2 ans, plus 3 mois de surveillance administrative (16 ans en première instance).

Sahbi Massoud Salem Atigue : 10 ans, 5 ans de surveillance administrative (13 ans en première instance).

Sayed Mohamed Bouraoui Ferjani : 10 ans, 5 ans de surveillance administrative (13 ans en première instance).

Kamel Bechir Mohamed Bedoui : 13 ans, 5 ans de surveillance administrative (13 ans en première instance).

Accusés en liberté :

  • Ahmed Néjib Chebbi : 12 ans, 5 ans de surveillance administrative (18 ans en première instance).
  • Chaima Issa Ibrahim Ben Behki : 20 ans, amende de 50 000 dinars, confiscation des fonds (18 ans en première instance).
  • Mohamed El Azhari El Akrimi : non-lieu (8 ans en première instance).
  • Chokri Ben Issa Bahriya : 19 ans, 5 ans de surveillance administrative (13 ans en première instance).

Ayachi Ahmed Rabah Hammami : 5 ans, 2 ans de surveillance administrative (8 ans en première instance).

Mohamed Mabrouk Mohamed Hamdi : 17 ans, amende de 20 000 dinars, 5 ans de surveillance administrative (13 ans en première instance).

Noureddine Ahmed Younes Bouttar : non-lieu (10 ans en première instance).

Karim Farid Laurent Ben Mohamed Gellati : 35 ans, amende de 50 000 dinars, 5 ans de surveillance administrative (25 ans en première instance).

Mohamed Bechir Mohamed Bedoui : 13 ans, 5 ans de surveillance administrative (13 ans en première instance).

Accusés en fuite (peines confirmées)  – Peine confirmée de 33 ans avec exécution immédiate pour :

Hamza Mohamed Rajeb Ali El Moaddab

Monji Salah El Arbi Dhouadi

Kamel Salem Saïd El Guizani

Ridha Mahmoud Mohamed Idriss

Mustapha Kamel El Haj Ali Ennaabli

Kawthar Mohamed El Kamel Amara Eddaassi

Mohamed Abderraouf Abderrahmane Mohamed El Wassif Khalfallah

Abd El Majid Omar Ahmed Ezzar

Tasnim Rached Mohamed El Khrigi

Nadia El Bajy Hattab Akrache

Rafik Ahmed Abderrahmane Chaabouni.

Peines aggravées pour certains accusés en fuite :

Najla Abdelatif Khalifa Eltaïef : 43 ans, amende de 50 000 dinars, 5 ans de surveillance administrative (33 ans en première instance).

Bouchra Belhaj Hmida : 33 ans, amende de 50 000 dinars, 5 ans de surveillance administrative (confirmé).

Bernard-Henri Lévy : 43 ans, 5 ans de surveillance administrative (33 ans en première instance).

Cette affaire remonte à février 2023, lorsque plusieurs responsables politiques de différents courants, ainsi que d’anciens ministres, avocats, hommes d’affaires et sécuritaires, avaient été interpellés pour des accusations liées notamment à la formation d’une entente en vue de comploter contre la sûreté intérieure et extérieure de l’État.

 

Les charges retenues contre près de 40 accusés portaient, entre autres, sur :

  • complot contre la sûreté intérieure et extérieure de l’État,
  • formation d’une entente terroriste et appartenance à celle-ci,
  • tentative de changer la forme de l’État par la violence,
  • incitation des populations à s’attaquer mutuellement,
  • troubles, meurtres et pillages liés à des crimes terroristes,
  • atteinte à la sécurité alimentaire et à l’environnement.

Le 19 avril 2025, la cinquième chambre criminelle spécialisée du tribunal de première instance de Tunis avait prononcé des peines allant de 4 à 66 ans de prison.

Trois accusés avaient été radiés du dossier au stade du jugement de première instance, après avoir fait recours en cassation :

  • Riadh Khmaïs Ammar Chebbi (liberté),
  • Mohamed Kamel Hassouna Amara Jendoubi (en fuite),
  • Noureddine Hamed Belgacem Ben Ticha (en fuite).

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Affaire du complot : Liste nominative et peines détaillées

28. November 2025 um 13:09

Le verdict en appel de l’affaire dite du « Complot contre la sûreté de l’État » est tombé, confirmant les craintes de l’opposition et des défenseurs des droits de l’Homme : les peines de prison prononcées en première instance ont été maintenues, allant jusqu’à 66 ans de réclusion pour l’homme d’affaires Kamel Letaïef et 35 ans pour le militant Khayam Turki.

Au total, ce sont quarante figures politiques, militantes et hommes d’affaires – dont plusieurs par contumace – qui ont été lourdement sanctionnées.

Le tableau exclusif des condamnations, basé sur des documents fuités du dossier, révèle notamment que le lobbyste français Bernard-Henri Lévy et d’autres accusés en fuite ont écopé de 33 ans ferme avec exécution immédiate, marquant un nouveau rebondissement judiciaire

Nom & Prénom(s)Statut Judiciaire (Arrestation/Libération/Fuite)Peine de Prison (Jugement initial)Décision en Appel / État d’exécution
01Kamel Ben Youssef Ben Slimane LetaïefDétenu66 ans45 ans
02Mohamed Khayam Ben Brahim Ben Moustapha TurkiDétenu48 ans35 ans + amende
03Noureddine Abdallah Salem BhiriDétenu43 ans20 ans
04Issam Ben Abdelaziz Ben Ahmed ChebbiDétenu18 ans20 ans
05Jawher Ben Ezzedine Ben Mohamed Lahbib Ben MbarekDétenu18 ans20 ans
06Ghazi Ben Mohamed Ben Saâdi ChaouachiDétenu18 ans20 ans
07Ridha Ben Bachir Mohamed El BalhajiDétenu18 ans20 ans
08Abdelhamid Ben Khader Ben Mohamed JelassiDétenu13 ans10 ans
09Oumayma Fethi Hattab SalmaDétenue4 ans2 ans
10Ahmed Néjib Abdelaziz Ben Ahmed ChebbiLibéré18 ans20 ans
11Chaima Issaï Ben Ibrahim Ben Yahia (dite « Om Chaima »)Libérée18 ans20 ans
12Mohamed Azhar El AkremiLibéré8 ansNon lieu
13Chokri Ben Mohamed Ben Issa BelaïdLibéré14 ans13 ans
14Ayachi Ahmed Rabah El HammamiLibéré13 ans13 ans
15Mohamed MabroukMohamed El Hamdi (dit « Zerguisaâg »)Libéré13 ans17 ans
16Riyadh Khemis Omar ChaâbiLibéréSuppression du dossier
17Noureddine Ahmed Younès Boutar (dit « Sahib Idhaâ Moutefaja »)Détenu (dans autre affaire)10 ansnon lieu
18Ridha Ali Jilani CharfeddineDétenu (dans autre affaire)16 ans2 ans
19Sahbi Massoud Salem AtigDétenu (dans autre affaire)13 ans10 ans
20Essaied Mohamed Bouraoui FerjaniDétenu (dans autre affaire)13 ans10 ans
21Kamel Bachir Mohamed El BedouiDétenu (dans autre affaire)13 ans13 ans
22Mohamed Bachir Mohamed El BedouiLibéré13 ans13 ans
23Ali Mahjoub Mohamed El HliouiEn fuite33 ansExécution immédiate
24Hamza Mohamed Rjab Ali El MeddebEn fuite33 ansExécution immédiate
25Monji Salah Larbi El DhaouadiEn fuite33 ansExécution immédiate
26Kamel Salem Saïd El GuizaniEn fuite33 ansExécution immédiate
27Ridha Mahmoud Mohamed IdrissEn fuite33 ansExécution immédiate
28Moustapha Kamel El Hajj Ali NabliEn fuite33 ansExécution immédiate
29Mohamed Kamel Hassouna Amara JendoubiRadié (décision)Suppression du nom du dossier
30Noureddine Hamed Belkacem Ben TichaRadié (décision)Suppression du nom du dossier
31Kawther Mohamed El Kamel Amara El DaassiEn fuite33 ansExécution immédiate
32Mohamed Abdelraouf Abdelrahman Mohamed El Wssif KhalfallahEn fuite33 ansExécution immédiate
33Abdelmajid Omar Ahmed EzzarEn fuite33 ansExécution immédiate
34Tasnime Rached Mohamed El KherijiEn fuite33 ansExécution immédiate
35Nadia El Beji Hattab AkachaLibérée25 ansExécution immédiate
36Karim Farid Laurent Ben Mohamed El GalletiEn fuite33 ansExécution immédiate
37Rafik Ahmed Abdelrahman ChaâbouniEn fuite33 ansExécution immédiate
38Najla Abdelatif Khalifa LetaiefEn fuite33 ansExécution immédiate
39Bochra El Haj HamidaEn fuite33 ansExécution immédiate
40Bernard-Henri LévyEn fuite33 ansExécution immédiate

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Affaire de complot : lourdes condamnations, jusqu’à 45 ans de prison et confiscations de fonds

Von: walid
28. November 2025 um 10:24
Affaire de complot : lourdes condamnations, jusqu’à 45 ans de prison et confiscations de fonds

La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme près la Cour d’appel de Tunis a rendu, à l’aube de ce vendredi, un jugement définitif à l’encontre des accusés dans l’affaire connue sous le nom de “complot contre la sûreté de l’État”. Selon une source judiciaire citée par l’Agence Tunis Afrique-Presse (TAP), les peines prononcées […]

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Affaire de «complot» | Appel à un rassemblement devant la Cour d’appel de Tunis

Von: Yusra NY
26. November 2025 um 20:30

Le collectif des familles des détenus dans l’affaire de complot contre la sûreté de l’Etat a appelé à un rassemblement demain jeudi 27 novembre 2025 devant la Cour d’appel de Tunis.

Cet appel à se rassembler a été lancé à l’occasion de l’examen de l’affaire précitée par la chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme près de la Cour d’appel de Tunis.

Celle-ci avait décidé, lundi 17 novembre, le renvoi de l’audience au 27 du même mois, et ce, afin de permettre l’examen des requêtes présentées par la défense.

On notera par ailleurs que le tribunal de première instance de Tunis avait rendu des jugements à des peines allant de 4 à 66 ans de prison prononcées à l’encontre de 40 accusés.

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