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Tunisie : l’ARP débat du projet de loi sur le statut de l’artiste et les professions artistiques

Von: walid
16. Dezember 2025 um 09:27

L’Académie parlementaire de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a organisé lundi une journée d’étude consacrée au projet de loi n° 055-2023 relatif à l’artiste et aux professions artistiques, en présence d’un grand nombre d’artistes et de représentants d’organisations artistiques de divers horizons.

Ce projet de loi, présenté par plus de 130 députés en décembre 2023, a été transmis par le Bureau de l’Assemblée à la Commission du tourisme, de la culture, des services et de l’artisanat le 15 février 2024.

Lors de la présentation du projet de loi, le président de la Commission du tourisme, de la culture, des services et de l’artisanat à l’ARP, Bedis Belhaj Ali, a indiqué que l’idée initiale de ce projet de loi relatif aux artistes et aux professions artistiques a émergé du ministère des Affaires culturelles en 2014. Plusieurs réunions, ateliers de travail et débats ont été ensuite organisés avec la participation de professionnels et de divers intervenants du secteur, qui ont abouti à une version consensuelle adoptée par 133 députés. Cette version a ensuite été présentée à l’ARP et le Comité a entamé ses travaux en février 2024, avec l’audition de nombreuses structures et syndicats représentant le secteur.

Bedis Belhadj Ali a ajouté que cette loi vise à réglementer le secteur artistique, la profession artistique et la pratique artistique en général, le plus important acquis sera la mise en place, dans ce projet, d’un système de couverture sociale spécifique aux professionnels des arts, qui est un système social solidaire inspiré du système de la sécurité sociale des avocats, auxquels s’y ajoutent la question des droits d’auteur et de la propriété intellectuelle et de la rediffusion des œuvres artistiques, qui ne procurent actuellement aucun revenu aux artistes.

Cette journée d’étude fait suite à une douzaine de réunions et d’auditions organisées pour examiner le contenu de ce projet depuis sa soumission au Comité. Les auditions précédentes ont réuni des députés à l’origine de la proposition, des représentants du ministère des Affaires culturelles, des représentants de structures professionnelles à l’instar de syndicats, et d’amicales et d’experts juridiques.

La journée d’étude parlementaire a été marquée par les interventions de Rached Chelli, membre du Bureau exécutif de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), de Nourhene Bouzayane, représentante du syndicat de base des professions des arts dramatiques, de Jamel Aroui, représentant du Syndicat national indépendant des professionnels des arts dramatique, de Maher Hammami, président du Syndicat Tunisien des Métiers de la Musique et des Métiers Voisins, de Wissam Gharsallah, Secrétaire général de l’Union des artistes plasticiens tunisiens et de Mourad Ben Cheikh, réalisateur et membre de la Coopérative des artistes, créateurs et techniciens du secteur culturel.

Les interventions des représentants des structures professionnelles ont porté sur divers aspects du projet de loi tels que le rappel de l’historique de l’élaboration de la loi sur l’artiste, fruit d’une dizaine d’années de réflexion collective et d’expérience partagée par les acteurs du secteur culturel ; et soutien et la mise en relief de ses dispositions au vu de son contenu visant à préserver la dignité des artistes en garantissant leurs droits économiques et sociaux. Selon eux, cela contribuerait à mettre fin à la précarité de la situation des artistes tunisiens. Ils ont toutefois critiqué la définition de l’artiste professionnel figurant dans la loi, ainsi que les conditions d’octroi ou de retrait de la carte professionnelle.

Ils ont insisté sur le fait que cette carte devrait être réservée uniquement à ceux qui exercent une activité artistique et dont le revenu principal provient de ce travail, et non à ceux qui se tournent vers les arts depuis d’autres secteurs.

//Aperçu du projet de loi//

Ce projet de loi, tel qu’énoncé dans son article Un, vise à réglementer le statut juridique de l’artiste, en garantissant ses droits, en définissant ses devoirs et en lui assurant la pleine reconnaissance qu’il mérite en société eu égard au rôle essentiel qu’il joue dans le développement de la vie culturelle, sociale et économique. Il vise également à réglementer les professions artistiques, en permettant à ses membres de bénéficier d’un cadre juridique qui préserve leur dignité, régit leurs champs d’activité et assure leur bien-être matériel, social et professionnel.

Parmi les objectif de ce texte juridique figurent le soutien au droit à la création et à la contribution au développement de la production littéraire et artistique sous toutes ses formes et contenus, afin de soutenir la culture nationale dans son authenticité, sa diversité, son ouverture et son renouvellement.

Cette proposition comprend 45 articles répartis en cinq chapitres. Le premier porte sur les dispositions générales de l’activité artistique et le second concerne l’exercice de l’activité artistique. Il comprend notamment la définition de l’artiste professionnel et présente un cadre conceptuel relatif aux professions artistiques et aux conditions d’obtention de la carte professionnelle, ainsi que les caractéristiques du contrat artistique, les dispositions spécifiques applicables aux artistes étrangers et aux enfants. Le troisième chapitre porte sur la promotion des professions artistiques, le quatrième sur les infractions et les sanctions. Le dernier chapitre concerne les dispositions transitoires.

Selon l’exposé des motifs présenté par les députés à l’origine du projet de loi, ce dernier vise à renforcer le cadre législatif régissant l’activité artistique en vue de reconnaître la noble mission de l’artiste et l’importance de son rôle dans le développement de la vie culturelle, sociale et économique, ainsi que dans le rayonnement culturel et civilisationnel de son pays, outre, la nécessité de lui fournir des cadres juridiques appropriés qui permettent l’organisation des professions artistiques en harmonie avec la spécificité de la pratique culturelle, et au diapason de l’évolution des domaines artistiques et en permettant le renforcement des droits de ceux qui y travaillent.

//Des artistes discutent du contenu de la loi et de la situation des artistes en Tunisie//

Lors des discussions sur le projet de loi et la situation générale des artistes tunisiens, la plupart des participants au débat public ont globalement salué le texte, tout en soulignant qu’il pourrait être amélioré lors de sa présentation en séance plénière.

Plusieurs artistes ont soulevé la question de la carte d’artiste professionnel et des conditions d’obtention. Certains ont jugé ces conditions trop larges, permettant à des non-professionnels d’en bénéficier, tandis que d’autres craignent qu’elles ne limitent la participation future d’artistes talentueux non diplômés des Instituts des arts.

Des artistes ont également insisté sur l’importance d’adapter la législation aux réalités actuelles, afin que cette loi, une fois promulguée, ne soit pas en contradiction avec des lois sectorielles non mises à jour depuis de nombreuses années.

Plusieurs participants ont critiqué l’absence de représentant du ministère des affaires culturelles à cette journée et ont plaidé pour la création d’un Ordre des artistes chargée des démarches administratives liées à l’organisation du travail d’artiste pour faciliter son activité.

Plusieurs interventions ont également mis en évidence l’absence du cinéma dans le texte de loi, d’autant plus que la réalisation cinématographique possède des caractéristiques uniques qui la distinguent des autres formes d’art. Il s’agit d’une forme d’art collaborative qui inclut de nombreux acteurs et comprend plusieurs étapes avant, pendant et post-production.

Parmi d’autres points soulevés figurent le manque de prospection de la loi quant aux possibilités futures, aux spécificités de la collaboration à distance entre artistes, à l’utilisation de l’intelligence artificielle dans l’art et à la nécessité de numériser le patrimoine musical tunisien afin de le protéger du plagiat.

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Loi de finances 2026 : Ce qui change pour la PME et l’entrepreneur

Von: hechmi
16. Dezember 2025 um 09:23

La Loi de finances 2026 mise sur l’allègement des coûts et l’accès au financement, plutôt que sur des aides directes massives.

👉 Ce qui change :

  • Pour les recrutements de diplômés de l’enseignement supérieur, l’État prend en charge, de façon dégressive, la contribution patronale à la sécurité sociale, réduisant ainsi le coût de l’embauche.
  • Des lignes de financement spécifiques sont mobilisées via les banques publiques et le Fonds national de l’emploi, avec parfois des conditions préférentielles.
  • Les entreprises communautaires bénéficient d’un régime incitatif : exonérations temporaires d’impôt, suspension de TVA sur les investissements, prise en charge de cotisations sociales.

Les PME peuvent bénéficier des amnisties fiscales et douanières pour régulariser des situations antérieures avec abandon de pénalités.

👉 Ce qui change aussi, en pratique :

Les obligations fiscales et déclaratives seront de plus en plus digitalisées (facturation électronique, paiements et notifications en ligne).

📌 À retenir
La Loi de finances 2026 cherche à fluidifier l’activité des PME, en réduisant certains coûts et en facilitant le financement, tout en renforçant progressivement le cadre fiscal numérique.

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Coupe Arabe : la Jordanie élimine l’Arabie Saoudite et rejoint le Maroc en finale

Von: walid
16. Dezember 2025 um 08:46

Coupe Arabe : la Jordanie élimine l’Arabie Saoudite et rejoint le Maroc en finaleLa Jordanie s’est qualifiée pour la finale de la Coupe Arabe FIFA Qatar-2025 après sa victoire face à l’Arabie Saoudite (1-0), lundi soir au stade Al Bayt à Doha. Les Jordaniens retrouveront le Maroc lors de l’ultime rencontre du tournoi, programmée le 18 décembre au stade Lusail.

Un succès jordanien construit dans la durée

La demi-finale a été disputée et équilibrée jusqu’à l’heure de jeu. Les hommes de Jamal Sellami ont fait la différence en seconde période grâce à un but de Nizar Al Rashdan, inscrit à la 66e minute. Cette réalisation a suffi pour permettre à la Jordanie de valider son billet pour la finale.

Solide sur le plan défensif, la sélection jordanienne est parvenue à préserver son avantage jusqu’au coup de sifflet final, éliminant ainsi l’Arabie Saoudite sur la plus petite des marges.

Le Maroc impressionne dans l’autre demi-finale

Dans la première demi-finale, le Maroc a confirmé sa solidité en dominant largement la sélection des Émirats arabes unis (3-0). La rencontre s’est disputée au stade international Khalifa, à Al Rayyan.

Les Lions de l’Atlas ont ouvert le score par Karim El Berkaoui à la 28e minute. Après une longue phase de maîtrise, ils ont scellé leur succès en fin de match grâce à Aschraf El Mahdioui (83e) et Abderrazak Hamdallah (90e+2). Cette victoire nette permet au Maroc d’aborder la finale avec confiance.

Une affiche inédite pour le titre

La finale de la Coupe Arabe FIFA Qatar-2025 opposera donc la Jordanie au Maroc, deux équipes qui ont su se montrer efficaces et solides lors des demi-finales. La rencontre se tiendra le 18 décembre au stade Lusail, enceinte emblématique du tournoi.

Aucune indication supplémentaire n’a été donnée concernant l’organisation ou les modalités de cette finale. Les deux sélections tenteront de conclure leur parcours par un sacre continental dans cette compétition.

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Budget 2026 : le déficit ne dit pas tout

Von: hechmi
16. Dezember 2025 um 08:26

La lecture traditionnelle du budget de l’État se concentre sur le déficit budgétaire. Pour 2026, celui-ci s’établit autour de 11 milliards de dinars. Cette approche décrit un déséquilibre annuel entre recettes et dépenses. Elle ne rend toutefois pas compte de l’ensemble des décaissements auxquels l’État doit faire face. Une lecture en cash-flow met en évidence un besoin de financement global supérieur à 27 milliards de dinars, révélant une contrainte de trésorerie plus large.

Un déficit budgétaire mesuré, mais partiel

Sur le plan budgétaire, les équilibres sont clairement identifiés. Les recettes sont projetées à 52,56 MDT, tandis que les dépenses atteignent 63,58 MDT, générant un déficit d’environ 11 MDT. Cette mesure reflète la situation économique de l’exercice. Elle ne renseigne pas sur les flux financiers réels qui conditionnent la liquidité quotidienne de l’État.

Le poids du remboursement du principal de la dette

L’approche en trésorerie intègre un élément absent du déficit budgétaire : le remboursement du principal de la dette. En 2026, ces remboursements représentent 7,93 MDT pour la dette intérieure et 7,92 MDT pour la dette extérieure, soit près de 16 MDT de sorties de trésorerie. Ces montants ne financent ni les dépenses courantes ni les investissements. Ils correspondent uniquement à des engagements contractés antérieurement.

Un besoin de financement total supérieur à 27 MDT

En cumulant le déficit budgétaire, le remboursement du principal de la dette et les opérations de trésorerie, le besoin de financement global atteint 27,06 MDT. Cette configuration signifie que les recettes courantes sont entièrement absorbées. L’État doit ainsi recourir à l’emprunt pour couvrir ses besoins de liquidité, indépendamment de toute nouvelle politique de dépense.

Une dépendance accrue au financement intérieur

La structure du financement met en évidence une prédominance de l’endettement intérieur. Les emprunts domestiques sont estimés à 19,06 MDT, contre 6,81 MDT pour les emprunts extérieurs. Cette répartition concentre la pression de financement sur le marché local, avec des implications directes pour la liquidité bancaire et la capacité de financement du secteur privé.

Un budget sous contrainte de trésorerie

La lecture en cash-flow montre que le budget 2026 est fortement conditionné par le service de la dette. Même sans augmentation des dépenses, le fonctionnement financier de l’État nécessite un volume élevé d’emprunts. La marge de manœuvre budgétaire dépend donc étroitement de la capacité à mobiliser des ressources de financement.

Deux lectures complémentaires

Le déficit budgétaire mesure un déséquilibre annuel. Le cash-flow mesure la pression financière immédiate. Sous l’angle des flux de trésorerie, le budget 2026 apparaît comme un exercice de gestion de liquidité, dominé par les échéances de dette, plutôt que comme un budget d’arbitrage des politiques publiques.

CHIFFRES CLÉS

  • 11 MDT : Le déficit budgétaire résulte de l’écart entre 52,56 MDT de recettes et 63,58 MDT de dépenses. Il mesure un déséquilibre annuel.
  • 27,06 MDT : Ce montant agrège déficit, remboursement du principal et opérations de trésorerie. Il traduit la contrainte globale de liquidité.
  • 15,85 MDT : Les remboursements du principal de la dette intérieure et extérieure constituent des sorties de cash incompressibles.
  • 19,06 MDT : Les emprunts intérieurs forment la principale source de financement, concentrant la pression sur le marché local.
  • 6,81 MDT : Les emprunts extérieurs complètent le financement, dans une proportion plus limitée.

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Journées de l’Entreprise | IACE : Fethi Zouheir Nouri plaide pour un New Deal de l’investissement productif

Von: hechmi
16. Dezember 2025 um 07:36

Fethi Zouhair Nouri - IACELe moment est venu pour doper la croissance et d’investir plus. Mais aux meilleures conditions de financement.

Fethi Zouheir Nouri, Gouverneur de la BCT a fait une intervention remarquable lors de la clôture des JES de l’IACE. Un diagnostic réaliste suivi d’un projet de New Deal ambitieux et lucide. Amine Ben Ayed, par conviction s’est ravisé en renonçant à son intervention. Il s’ne explique avec un trait d’élégance ‘’J’adhère totalement au propos de Mr le Gouverneur’’. Le discours fut intensément ressenti de tous. Il faut reconnaitre que l’on s’est éloigné des sentiers battus.

Une nouvelle culture de l’investissement

Le Gouverneur indique que le taux d’investissement dans le pays est à son étiage. A peine 16 % du PIB. Seul trait apaisant, le secteur privé en réalise 58 %. Qu’importe les deux pourcentages sont en-dessous des objectifs souhaitables et souhaités. Et le Gouverneur, de manière didactique, de rappeler que cela est bien contrariant.

Appuyant son propos il fait observer que le pays ne manque ni de talents, ni d’idées, ni de projets. Il concède, toutefois, que l’ordre économique actuel fait planer quelques incertitudes. Et il ajoute courageusement, que certains obstacles au financement, dans notre pays, persistent. Cela fait qu’au final, les chefs d’entreprises repoussent leurs projets à plus tard.

Cette procrastination nous fait du mal à tous. Et d’appeler la communauté d’affaires à investir plus et au système bancaire de financer non point de manière inconsidérée mais de manière professionnelle. La fenêtre de l’investissement ne doit pas rester fermée. Elle doit rester ouverte mais exigeante, précise-t-il.

Les enjeux du moment

Il convient d’aller vers une allocation rationnelle et raisonnable des ressources de façon à privilégier les nouveaux projets productifs. Car ces derniers s’inscrivent dans le moyen et le long terme. le gouverneur a souligné avec contrariété que de 2022 à 2024 les crédits à court terme ont augmenté de plus de 8,3 %. Et, pour leur part, les crédits à moyen et long terme n’ont progressé que de 3 %.

Le bon sens recommande de mettre de l’ordre et de préférer le financement des projets productifs au lieu de la consommation. Et le cœur de cible reste toujours les PME. Il s’agit là d’une question de survie et non d’une simple ambition. Avec gravité le gouverneur affirme que le monde traverse une ère de rupture numérique, énergétique, écologique et géopolitique.

Sous-investir aujourd’hui revient à s’exposer à régresser dans la compétition internationale, demain.

Changer notre façon de faire !

On croyait rêver ! Nous gardons, en mémoire un masque de l’argentier national, austère et constamment sur la réserve. Généralement rivé sur les normes prudentielles. Fethi Zouheir Nouri rompt avec cette posture qu’il juge a-cyclique pour la troquer contre le profil du Mentor de l’expansion en ces temps de disette de l’investissement.

Il faut reconnaitre qu’il en possède la méthode et maitrise le discours. Sans hésitation il affirme, haut et fort, que le risque fait partie du métier. Le moment est venu pour la communauté nationale d’affaires de reconfigurer le schéma de financement des projets.

Auparavant on s’en tenait à un Mix réduit d’autofinancement et d’endettement bancaire. Introduisons l’Equity (Les Fonds propres) de marché. Oui l’écosystème national est équipé en conséquence. pourquoi dés lors ne pas en généraliser la pratique. Cela détendrait les rapports entre opérateurs et banquiers. Ces derniers seront rassurés de voir se redresse le coefficient d’endettement des entreprises.

Et, le gouverneur de pourfendre la crispation sur la question des garanties. Il appelle les investisseurs à jouer le jeu et au lieu de thésauriser de convertir l’essentiel de leur patrimoine en actifs financiers.

Et à l’adresse des banques de signifier que les meilleurs garanties sont dans l’entretien d’entreprises prospères. Le tour est joué. C’est ni plus ni moins qu’un New Deal, fort avisé et de circonstance que le Gouverneur en peu de mots, vient d’esquisser.

Ali DRISS

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Loi de finances 2026 : comment lire les 110 articles par grands axes ?

Von: hechmi
16. Dezember 2025 um 07:20

Derrière l’apparente technicité de la Loi de finances 2026 se dessine une architecture budgétaire structurée autour de quelques axes majeurs : la soutenabilité des finances publiques, le ciblage social, le soutien à l’activité productive et la modernisation profonde de l’action de l’État. Le tableau de synthèse ci-après permet de lire le texte non pas article par article, mais par blocs de politiques publiques, révélant la logique d’ensemble du législateur.

Des premiers articles consacrés à l’équilibre budgétaire, aux recettes et à la trésorerie de l’État, jusqu’aux dispositions finales, la loi déroule une trajectoire claire : stabiliser sans rompre, soutenir sans généraliser, réformer sans brusquer. L’emploi, la santé, l’agriculture et la solidarité bénéficient de mesures ciblées, tandis que la transition énergétique et la digitalisation fiscale s’imposent comme des leviers structurants de moyen terme.

Ce découpage met également en lumière un choix stratégique fort : faire de la réforme administrative et numérique un pilier à part entière de la politique fiscale et douanière, avec plusieurs dizaines d’articles dédiés à la dématérialisation des déclarations, paiements et contrôles. En filigrane, la Loi de finances 2026 ne se limite pas à un exercice comptable annuel : elle esquisse une transformation progressive de la relation entre l’État, l’entreprise et le citoyen.

Ce tableau offre ainsi une clé de lecture essentielle pour comprendre les priorités, les arbitrages et les lignes de force d’un texte appelé à structurer l’action publique tout au long de l’année 2026.


🧾 Tableau de synthèse

Articles Catégorie principale Sous-thèmes clés
1 – 12 Budget & finances publiques Recettes, dépenses, trésorerie, emprunts, garanties, BCT
13 – 15 Emploi & salaires Cotisations sociales, revalorisation salaires et pensions
16 – 19 Santé & sécurité sociale Médicaments, équipements médicaux, CNSS
21 Logement & foncier Logement social, opérateurs publics
22 Fiscalité salariale Avantages en nature (transport)
23 – 26 Financement & emploi Fonds national de l’emploi, PME, autofinancement
27 – 31 Agriculture & pêche Crédits agricoles, huile d’olive, produits agricoles
32 – 39 Mesures sociales & solidarité Handicap, maladies rares, dons, associations
40 Entreprises publiques Compagnie des phosphates de Gafsa
41 – 44 Projets publics & coopération Dons, prêts extérieurs, TVA, droits de douane
45 – 47 Transition énergétique Énergies renouvelables, véhicules électriques
48 – 49 Droits d’enregistrement Actes, immobilier
50 Amnistie douanière Régularisation des infractions
51 – 55 Réforme fiscale Facturation électronique, régularisation fiscale
56 – 60 Dispositions générales Entrée en vigueur, exécution
61 – 70 Entreprises communautaires Fiscalité, douane, emploi, TVA
71 – 80 Digitalisation fiscale Déclarations, paiements, contrôle
81 – 90 Procédures fiscales Notifications, recours, garanties
91 – 100 Digitalisation douanière Déclarations, paiements, sanctions
101 – 107 Fiscalité locale Taxes locales, digitalisation
108 – 110 Dispositions finales Abrogations, publication

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Gestern — 15. Dezember 2025Webmanagercenter

Journées cinématographiques de Carthage – JCC 1966-2024 : un festival entre culture, pouvoir et résistance

Von: hechmi
15. Dezember 2025 um 19:17

Tahar Cheriaa - JCCCréées en 1966, les Journées cinématographiques de Carthage (JCC) constituent la plus ancienne manifestation cinématographique du continent africain. Dès leur origine, elles se sont distinguées par une vocation politique affirmée : promouvoir les cinémas africains et arabes dans une perspective de décolonisation culturelle. Plus qu’un festival, les JCC ont été conçues comme un outil de souveraineté symbolique face à la domination des circuits occidentaux de production et de diffusion.

Une genèse militante et panafricaine

La naissance des JCC s’inscrit dans un contexte de déséquilibre structurel. Dix ans après l’indépendance tunisienne, l’absence d’une industrie cinématographique nationale structurée contrastait avec une forte tradition ciné-clubiste. À l’échelle continentale, la distribution restait dominée par des sociétés européennes et américaines. Les JCC émergent alors comme une réponse directe à cette hégémonie, dans ce qui fut qualifié de « guerre de libération cinématographique ».

Tahar Cheriaa, fondateur du festival, incarne cette orientation. À la tête de la Fédération tunisienne des ciné-clubs et responsable institutionnel du cinéma, il défend une stratégie claire : créer une compétition réservée aux cinémas africains et arabes afin d’inverser les rapports de force symboliques. Sa conviction, résumée par la formule « Qui tient la distribution, tient le cinéma », structure durablement l’identité des JCC.

Institutionnalisation et tensions

Jusqu’aux années 1970, les JCC fonctionnent sur un mode biennal et militant. Le tournant de 1978 marque une rupture. L’introduction d’un marché du film et l’ouverture accrue à des figures reconnues du cinéma arabe traduisent une volonté de professionnalisation. Cette évolution suscite des tensions avec les réseaux cinéphiles, attachés à l’idéal anti-commercial des débuts. Le festival entre alors dans une phase de compromis entre mission idéologique et contraintes institutionnelles.

Sous contrôle politique, une marge d’expression

Durant la période du régime de Zine El Abidine Ben Ali, les JCC conservent une visibilité internationale tout en évoluant dans un cadre politique contraint. Le palmarès devient un espace de négociation symbolique. Des films comme Making of, Teza ou Microphone abordent des questions sociales et politiques régionales, sans remettre directement en cause le pouvoir en place. Le festival sert à la fois de vitrine officielle et de plateforme critique limitée.

Après 2011, une nouvelle configuration

La révolution tunisienne ouvre une phase de transformation. Depuis 2015, les JCC sont devenues annuelles, avec une structure permanente et une ambition internationale renforcée. La création du Prix Tahar Cheriaa, dédié aux premières œuvres, vise à institutionnaliser l’héritage du fondateur. Toutefois, un paradoxe persiste : si les JCC offrent une visibilité essentielle aux films du Sud, la faiblesse des réseaux de distribution régionaux limite leur diffusion hors des festivals.

Le Tanit d’or, reflet des enjeux contemporains

L’édition 2024 illustre cette continuité. Le Tanit d’or attribué à Les enfants Rouges de Lotfi Achour consacre une œuvre inspirée de traumatismes nationaux récents. La dédicace du prix à la Palestine rappelle que, près de soixante ans après leur création, les JCC demeurent un espace où cinéma et géopolitique restent étroitement liés.

EN BREF

  • Festival fondé en 1966 dans une logique de décolonisation culturelle.
  • Projet porté par Tahar Cheriaa et le mouvement ciné-clubiste.
  • Tournant institutionnel en 1978 avec la création d’un marché du film.
  • Négociation constante avec le pouvoir sous le régime Ben Ali.
  • Passage à l’annualité après 2015.
  • Enjeu central toujours non résolu : la distribution des films africains et arabes.

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Coupe Arabe FIFA 2025 : le Maroc domine les Émirats (3-0) et file en finale

Von: walid
15. Dezember 2025 um 18:54

La sélection marocaine de football s’est qualifiée pour la finale de la Coupe Arabe FIFA Qatar-2025 après sa large victoire face aux Émirats arabes unis (3-0), lundi, en demi-finale disputée au stade international Khalifa à Al-Rayyan.

Les Lions de l’Atlas ont rapidement pris le contrôle de la rencontre grâce à l’ouverture du score signée Karim El Berkaoui à la 28e minute. Solides défensivement et maîtrisant le rythme du jeu, les Marocains ont accentué leur avance en fin de match par Aschraf El Mahdioui (83e), avant que Abderrazak Hamdallah ne scelle définitivement le sort de la rencontre dans le temps additionnel (90e+2).

En finale, programmée le 18 décembre au stade de Lusail, le Maroc, dirigé par Tarik Sektioui, affrontera le vainqueur de l’autre demi-finale opposant l’Arabie Saoudite de Hervé Renard à la Jordanie de Jamal Sellami.

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Budget de l’État 2026 : déficit, trésorerie et besoins de financement expliqués

Von: hechmi
15. Dezember 2025 um 18:26

Chaque année, la présentation du budget de l’État suscite une incompréhension persistante. Une question revient systématiquement : pourquoi les montants d’emprunts mobilisés sont-ils bien supérieurs au déficit budgétaire annoncé ? Le budget de l’État pour 2026 illustre clairement ce décalage. Alors que le déficit budgétaire est estimé à 11 milliards de dinars, les ressources de financement atteignent près de 27 milliards de dinars. Cette différence s’explique par une distinction fondamentale entre logique budgétaire et logique de trésorerie.

Deux approches comptables distinctes

Le budget de l’État repose sur une approche économique et comptable. Il retrace l’ensemble des recettes, qu’elles soient fiscales, non fiscales ou issues de dons, ainsi que les dépenses liées au fonctionnement de l’administration, aux salaires, aux subventions, aux investissements publics et aux intérêts de la dette. Le solde de ces opérations détermine le déficit ou l’excédent budgétaire.

La trésorerie obéit à une logique différente. Elle mesure exclusivement les flux financiers réels, c’est-à-dire les entrées et sorties effectives de liquidités, sans considération pour leur qualification économique.

Le remboursement du principal, source de confusion

La principale incompréhension porte sur le traitement du remboursement du principal de la dette. Contrairement aux intérêts, considérés comme une charge annuelle, le remboursement du capital ne constitue pas une dépense budgétaire. Il ne finance aucune action publique et correspond à la restitution d’un emprunt contracté antérieurement. D’un point de vue budgétaire, il s’agit donc d’une opération financière, inscrite hors dépenses.

Cette exclusion n’implique toutefois aucune neutralité financière.

Un impact direct sur les liquidités

Sur le plan de la trésorerie, le remboursement du principal représente une sortie de cash immédiate. En 2026, le remboursement de la dette intérieure dépasse 7,9 milliards de dinars, tandis que celui de la dette extérieure avoisine également 7,9 milliards de dinars. Ces montants s’ajoutent au déficit budgétaire et doivent être intégralement financés.

Du déficit budgétaire au besoin de trésorerie

La différence entre les deux notions est alors claire. Le déficit budgétaire résulte de l’écart entre dépenses et recettes budgétaires. Le besoin de trésorerie correspond au déficit budgétaire auquel s’ajoutent les remboursements du principal de la dette. Pour 2026, ce mécanisme conduit à un déficit d’environ 11 milliards de dinars, mais à un besoin de trésorerie global de 27 milliards de dinars, couvert par des emprunts intérieurs, extérieurs et des ressources de trésorerie.

Une logique comparable à celle d’un ménage

À l’image d’un ménage, les dépenses courantes et les intérêts d’un crédit pèsent sur le budget. Le remboursement du capital n’est pas une dépense, mais il réduit néanmoins le solde bancaire. L’État fonctionne selon une logique identique.

CHIFFRES CLÉS

  • 11 milliards de dinars — Déficit budgétaire estimé en 2026
  • 27 milliards de dinars — Besoin total de trésorerie
  • 7,9 milliards de dinars — Remboursement de la dette intérieure
  • 7,9 milliards de dinars — Remboursement de la dette extérieure

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Loi de Finances 2026 | Comprendre le Budget : Recettes, dépenses et financement du déficit

Von: hechmi
15. Dezember 2025 um 18:07

La loi n°17 de l’année 2025, datée du 12 décembre 2025, fixe les équilibres du budget de l’État pour l’exercice 2026. Le texte a été adopté par l’Assemblée des représentants du peuple et le Conseil national des régions et des districts. Il a été publié au Journal officiel de la République tunisienne n°148 du 12 décembre 2025.

Un déficit budgétaire de 11,015 milliards de dinars

Pour 2026, les recettes de l’État s’élèvent à 52,56 milliards de dinars. Les dépenses atteignent 63,575 milliards de dinars. L’écart entre ces deux agrégats se traduit par un déficit budgétaire de 11,015 milliards de dinars. Ces données constituent l’équilibre général du budget tel que défini par la loi de finances.

Une structure de recettes dominée par la fiscalité

Les recettes fiscales représentent la principale source de financement du budget. Elles totalisent 47,773 milliards de dinars, soit 90,9 % des recettes de l’État. Les recettes non fiscales atteignent 4,437 milliards de dinars, correspondant à 8,4 % du total. Les dons sont évalués à 350 millions de dinars, soit 0,7 % des recettes globales.

Cette répartition confirme la forte dépendance du budget de l’État aux ressources fiscales, conformément aux dispositions de l’article 2 de la loi de finances.

Des dépenses encadrées par des crédits de paiement et d’engagement

Les dépenses budgétaires sont arrêtées à 63,575 milliards de dinars en crédits de paiement. Les crédits d’engagement atteignent 66,8 milliards de dinars. La loi prévoit une ventilation des dépenses par missions, missions spécifiques et programmes, détaillée dans les tableaux annexés.

Un financement reposant sur les emprunts intérieurs et extérieurs

Le financement du déficit et des besoins de trésorerie repose sur des ressources totales de 27,064 milliards de dinars. Les emprunts extérieurs sont plafonnés à 6,808 milliards de dinars. Les emprunts intérieurs représentent 19,056 milliards de dinars. Les ressources de trésorerie complètent cet ensemble à hauteur de 1,2 milliard de dinars.

Ces ressources sont utilisées pour financer le déficit budgétaire, à hauteur de 11,015 milliards de dinars. Elles servent également au remboursement du principal de la dette intérieure pour 7,932 milliards de dinars et de la dette extérieure pour 7,917 milliards de dinars. Les prêts et avances de trésorerie s’élèvent à 200 millions de dinars.

Comptes spéciaux, effectifs et encadrement financier

Les comptes spéciaux du Trésor sont dotés de 1,924 milliard de dinars. Les comptes de fonds de participation atteignent 53,104 millions de dinars. Les ressources et dépenses des établissements publics rattachés sont évaluées à 1,586 milliard de dinars.

Le nombre total d’agents de la fonction publique autorisés pour 2026 est fixé à 687.000. La loi encadre également les plafonds financiers, notamment les garanties de l’État, les prêts du Trésor aux entreprises publiques et les avances de la Banque centrale de Tunisie, définies sans intérêts et remboursables sur quinze ans, avec trois années de grâce.

EN BREF

  • Le budget de l’État pour 2026 est régi par la loi n°17 de 2025.
  • Les recettes s’élèvent à 52,56 milliards de dinars.
  • Les dépenses atteignent 63,575 milliards de dinars.
  • Le déficit budgétaire est fixé à 11,015 milliards de dinars.
  • Les recettes fiscales représentent plus de 90 % des ressources.
  • Le financement repose principalement sur les emprunts intérieurs.
  • Les effectifs publics autorisés sont de 687 000 agents.

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Renouvellement automatique des titres de séjour en France : Ce que prévoit la loi ?

Von: hechmi
15. Dezember 2025 um 17:39

Carte de séjour FranceL’Assemblée nationale a adopté en première lecture, le 11 décembre 2025, une proposition de loi visant à instaurer un renouvellement automatique des titres de séjour de longue durée. Le texte, déposé le 16 septembre 2025 sous le numéro 1799, entend simplifier les démarches administratives des ressortissants étrangers et réduire la charge pesant sur les préfectures.

Cette proposition de loi part d’un constat partagé par plusieurs parlementaires : les délais de renouvellement des titres de séjour sont souvent longs et sources d’incertitude juridique pour les personnes concernées. Dans certains cas, ces retards peuvent entraîner une perte temporaire de droits, notamment en matière d’emploi ou de protection sociale.

Des titres de séjour de longue durée concernés

Le dispositif concerne deux catégories de titres. Il s’applique, d’une part, aux cartes de séjour pluriannuelles, délivrées pour une durée de deux à quatre ans. Il inclut, d’autre part, les cartes de résident, valables dix ans. Ces titres sont généralement accordés à des étrangers installés durablement sur le territoire français.

Un principe de renouvellement par défaut

Le texte instaure un mécanisme fondé sur une présomption de renouvellement. Concrètement, le renouvellement deviendrait la règle, sauf si l’administration identifie un motif de refus. L’examen individuel ne disparaît pas, mais il serait inversé dans sa logique : l’absence de décision explicite vaudrait maintien du droit au séjour.

La proposition encadre également les conditions de refus. Lorsque l’administration s’appuie sur des informations transmises par des tiers pour refuser un renouvellement, elle serait tenue d’en communiquer la teneur et l’origine à la personne concernée. Cette disposition vise à renforcer les garanties procédurales.

La question des délais administratifs

Des amendements ont été discutés afin d’évaluer les conséquences de la perte du droit au séjour lorsque la demande de renouvellement n’est pas traitée dans un délai de trois mois. Cette question reste un point sensible du débat parlementaire, en lien avec le fonctionnement des services préfectoraux.

Un parcours législatif encore incertain

Si le texte a été adopté en première lecture par l’Assemblée nationale, son adoption définitive n’est pas acquise. Il a été transmis au Sénat, où l’équilibre politique pourrait conduire à des modifications substantielles, voire à un rejet.

Le gouvernement s’est opposé à la proposition lors des débats, évoquant des risques juridiques et constitutionnels. Selon l’exécutif, un renouvellement automatique pourrait entrer en tension avec le principe d’examen individuel des situations administratives.

À ce stade, la réforme du renouvellement des titres de séjour reste donc en discussion. Son issue dépendra des travaux du Sénat et, le cas échéant, d’une éventuelle commission mixte paritaire.

EN BREF

  • Une proposition de loi sur le renouvellement automatique des titres de séjour a été adoptée en première lecture.
  • Le texte vise les cartes de séjour pluriannuelles et les cartes de résident.
  • Le renouvellement deviendrait la règle, sauf motif de refus explicite.
  • L’administration serait tenue de mieux encadrer les décisions de refus.
  • Le gouvernement exprime des réserves juridiques.
  • Le Sénat doit désormais examiner le texte.

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Expertise France célèbre 10 ans en Tunisie et mise sur l’innovation, le climat et l’emploi

Von: walid
15. Dezember 2025 um 16:11

« La Tunisie et la France partagent des défis communs, mais aussi des opportunités uniques pour construire ensemble une Méditerranée plus résiliente, plus inclusive et plus durable », a affirmé le Directeur général d’Expertise France, Jérémie Pellet.

Intervenant, lundi 15 décembre 2025, à Tunis, lors de la célébration de 10 ans d’Expertise France en Tunisie, il a ajouté que l’intelligence artificielle (IA) et les technologies de pointe figurent parmi les opportunités à saisir dans l’avenir.

Pour la Tunisie, la France et l’Europe, l’enjeu est double, a-t-il dit.

Il s’agit de maîtriser ces outils pour renforcer la souveraineté technologique, et en faire un levier de développement économique et social. L’objectif est de faire de la Méditerranée un acteur clé de la révolution numérique, a-t-il souligné.

« Nous allons continuer de travailler avec la Tunisie sur les sujets majeurs tels que l’emploi et la formation professionnelle ainsi que les thématiques de l’intégration économique régional», a affirmé Pellet.

Evoquant le défi des changements climatiques, il a indiqué qu’Expertise France est aux côtés des ministères tunisiens et des acteurs locaux, pour renforcer les capacités d’adaptation des territoires, soutenir la transition vers une économie sobre en carbone et promouvoir les énergies renouvelables pour faire de la Tunisie un modèle méditerranéen de résilience climatique, en combinant innovation technologique et savoir-faire local.

Le DG d’Expertise France a évoqué que la mobilité humaine demeure importante, aussi, pour parler de l’avenir. « Il ne s’agit plus seulement de gérer les flux migratoires, mais de construire des partenariats équilibrés, fondés sur la mobilité régulière, l’insertion professionnelle des Tunisiens de retour dans le pays et la valorisation des compétences de la diaspora » a-t-il expliqué.

Depuis sa création, Expertise France accompagne les pays partenaires en mobilisant son expertise technique et ses solutions innovantes.

En Tunisie, l’agence met en œuvre près de vingt projets nationaux et régionaux sous l’égide du Ministère Tunisien de l’Économie et de la Planification, ainsi, que des ministères porteurs des projets de coopération.

Ces projets, financés principalement par l’Union européenne et l’Agence française de développement (AFD), contribuent à la modernisation des institutions, à la dynamisation de l’économie et à l’inclusion sociale et territoriale.

En 2025, le nombre de projets s’élevé à 26 (dont 4 régionaux). Environ 2 311 entreprises ont été accompagnées dans leur croissance et leur internationalisation et 1 773 jeunes et femmes ont été accompagnés vers l’emploi ou l’entrepreneuriat, selon les données publiées par Expertise France.

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Tunisie : lancement du projet « Watani » pour mobiliser la diaspora au service de l’entrepreneuriat

Von: walid
15. Dezember 2025 um 15:34

Le projet « Watani » destiné à stimuler l’entrepreneuriat, renforcer l’innovation et soutenir l’inclusion économique en Tunisie en s’appuyant sur les dynamiques et les compétences de la diaspora, a été lancé lundi 15 décembre 2025 à Tunis.

Une convention a été, dans ce cadre, signée entre la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), l’Agence Française de Développement (AFD) et  l’agence de coopération technique française « Expertise France »  à l’occasion de la célébration de ses 10 ans en Tunisie.

 Moyennant une enveloppe de 5 millions d’euros, le projet

«Watani » est financé par l’AFD et mis en œuvre par Expertise France. Il s’appuie sur le rôle structurant de la CDC dans le développement économique et inclusif national.

« Ce projet incarne notre volonté commune de faire de l’entrepreneuriat un levier de développement inclusif et durable, en mobilisant, notamment, les compétences et les ressources de la diaspora tunisienne », a avancé le Directeur général d’Expertise France, Jérémie Pellet.

 Et de poursuivre que ce partenariat va permettre aux 500 entrepreneurs, dont une majorité de jeunes et de femmes, de bénéficier d’un accompagnement personnalisé pour créer ou développer leur entreprise.

 Le projet prévoit, également, la régionalisation de The Dot, un centre dédié aux start-up et à la promotion du numérique, ainsi que la création d’une plateforme innovante pour mobiliser l’épargne de la diaspora, a-t-il fait savoir.

 Présidé par la CDC, le comité de pilotage du projet rassemble des acteurs nationaux majeurs pour garantir une mise en œuvre cohérente et alignée avec les priorités du pays.

De son côté, la Directrice générale de la CDC Nejia Gharbi,a affirmé que le projet « Watani », s’inscrit dans le cadre de la mobilisation de l’apport de la diaspora tunisienne en Tunisie que ce soit à travers l’instrument épargne diaspora dédié vers l’investissement ou à travers la mise en place de projets au niveau de la Tunisie pour la diaspora de retour en Tunisie ou la collaboration avec l’écosystème entrepreneurial en Tunisie.

Selon les signataires, le projet « Watani » vise à structurer un environnement propice à la création d’opportunités durables et à l’ancrage territorial de l’innovation entrepreneuriale, et ce, en renforçant les structures d’appui, en facilitant l’accès aux ressources, et en reconnectant les talents.

 Ce projet s’inscrit dans un contexte où la Tunisie a structuré, depuis plus d’une décennie, un tissu entrepreneurial remarquable porté par l’engagement croisé d’acteurs publics, privés et de la société civile.

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Journée mondiale de la langue arabe 2025 : l’UNESCO mise sur l’innovation pour un avenir linguistique inclusif

Von: walid
15. Dezember 2025 um 15:12

L’UNESCO célèbre le 18 décembre la Journée mondiale de la langue arabe, en organisant à son siège parisien un événement consacré aux voies innovantes pour un avenir linguistique inclusif.

Cette rencontre, qui se tiendra de 10h45 à 16h30 (GMT+2) dans la salle IV, se déroulera en français, arabe et anglais.

Placée sous le thème « Voies innovantes pour l’arabe : orientations et pratiques pour un avenir linguistique plus inclusif », l’édition 2025 mettra en avant le rôle de l’innovation et de l’inclusion dans le développement de la langue arabe. Éducation, médias, technologies numériques et politiques publiques seront au cœur des discussions visant à renforcer la présence de l’arabe dans les systèmes éducatifs, les plateformes numériques et l’espace public, en particulier dans les contextes multilingues ou à ressources limitées.

Au fil des siècles, la langue arabe a joué un rôle central dans la création de liens entre les sociétés et la promotion du développement culturel, scientifique et intellectuel. Aujourd’hui, elle est parlée par 450 millions de personnes, coexiste avec de nombreux dialectes et figure parmi les six langues officielles des Nations Unies. Sa calligraphie est inscrite au Patrimoine immatériel de l’UNESCO et son influence se retrouve dans plus de 50 langues à travers l’Asie, l’Afrique et l’Europe. Des générations de scientifiques et de penseurs ont également produit des découvertes majeures en arabe, illustrant son rôle durable dans la transmission du savoir et des valeurs à l’échelle mondiale.

Depuis 2016, l’UNESCO s’engage à renforcer l’usage de l’arabe en son sein, avec le soutien de la Fondation Sultan Bin Abdulaziz Al Saoud, partenaire clé de l’événement. La Fondation contribue à la promotion de la langue arabe, à la transmission du patrimoine linguistique et à l’innovation dans l’éducation, et considère la langue comme un vecteur de cohésion, d’autonomisation des communautés et d’inspiration pour les générations futures.

Selon Gabriela Ramos, Sous-Directrice générale pour les Sciences sociales et humaines de l’UNESCO, « La langue arabe joue un rôle majeur dans la promotion de la compréhension mutuelle et de la création de connaissances. Sa contribution à l’humanité ne peut être réduite à un seul peuple, car elle est un héritage civilisationnel destiné au monde entier ».

Organisée en collaboration avec la Délégation permanente du Royaume d’Arabie saoudite auprès de l’UNESCO, la célébration met également en lumière le Programme Prince Sultan Bin Abdulaziz Al Saoud pour la langue arabe, qui soutient la recherche, la formation et la coopération internationale pour renforcer la place de l’arabe dans les milieux académiques et scientifiques.

L’événement se veut une plateforme internationale de dialogue, d’innovation et de promotion de la diversité linguistique, réaffirmant le rôle de la langue arabe comme patrimoine universel et vecteur de savoir et de culture.

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Le Prix « Bank of the Year » une autre distinction pour la BT en 2025 

Von: walid
15. Dezember 2025 um 15:04

Pour la deuxième année consécutive, la Banque de Tunisie a  été honorée par le magazine « The Banker », publication éminente du  Financial Times, en décrochant le titre prestigieux de « Bank of the  Year – Tunisia ». Cette distinction renouvelée, ne relève plus de la  simple performance annuelle, mais consacre la trajectoire robuste et  la cohérence stratégique d’une institution ancrée dans son temps.  Dans un paysage financier mondial marqué par la turbulence, cette  reconnaissance souligne la résilience d’un modèle qui allie pertinence  et avant-gardisme.

Outre la solidité de ses fondamentaux, la pertinence de son modèle et  sa résilience face à un contexte aussi compliqué qu’incertain, le jury  du prix « Bank of the Year – Tunisia » a apprécié à juste titre la  poursuite méthodique d’une transformation numérique devenue  moteur autonome de croissance de la BT.

Le « LABTINNOV », laboratoire interne dédié à la recherche et au  développement, incarne cette volonté de faire de l’innovation une  culture d’entreprise. Outre la digitalisation des processus, il s’agit de  concevoir également des solutions capables de répondre aux défis  concrets et aux besoins spécifiques des entreprises et des particuliers.

Cette année 2025 a également confirmé le rôle de pilier structurant de  la Banque de Tunisie pour l’économie nationale ainsi que son rôle  central dans le financement du commerce extérieur. Cette influence  s’appuie sur un pilotage optimisé, certifié par les normes  internationales MSI 20000 et AML 30000, gages de transparence, de  sécurité et de gestion proactive des risques financiers.

Le modèle opérationnel a été repensé pour plus d’agilité et de  proximité. Le réseau de la banque a été réorganisé pour optimiser la  relation client et étendre son influence territoriale. Cette refonte  structurelle s’accompagne d’une offre segmentée et ciblée, capable de

répondre précisément à des profils variés tout en maintenant une  ambition inclusive d’accessibilité aux services financiers.

Ce deuxième prix consécutif « Bank of the Year – Tunisia », intervenant  alors que la Banque de Tunisie célèbre 141 ans d’histoire, est bien plus  qu’un honneur. C’est la marque d’une institution centenaire qui se  réinvente sans faillir à ses principes. Il récompense le travail collectif  des équipes dont l’engagement quotidien façonne un savoir-faire à la  fois ancré dans les territoires et ouvert sur le monde. Entre excellence  opérationnelle, innovation technologique et contribution au  développement économique, la Banque de Tunisie démontre, par ses  résultats, qu’une approche responsable et durable est la clé pour créer  de la valeur pérenne pour ses clients, ses parties prenantes et  l’ensemble de l’écosystème tunisien. C’est ainsi qu’elle trace avec  détermination la voie d’une résilience active, prouvant que la  modernité tournée vers le futur peut s’enraciner dans la solidité d’un  héritage assumé.

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Loi de finances 2026 : Salaires, pensions, solidarité et les ajustements sociaux de 2026

Von: hechmi
15. Dezember 2025 um 14:59

Face à la pression persistante sur le pouvoir d’achat, la Loi de finances 2026 introduit une série de mesures sociales ciblées, sans engager de refonte globale du système de protection sociale. Le choix assumé est celui d’ajustements progressifs, destinés à amortir les effets de l’inflation sur les revenus, dans un contexte de marges budgétaires limitées.

Le texte prévoit d’abord une revalorisation des salaires et des pensions sur la période 2026–2028. Les montants précis et les modalités d’application sont renvoyés à des décrets ultérieurs [à vérifier], mais l’orientation est clairement affichée. L’objectif est de préserver le pouvoir d’achat des actifs et des retraités, confrontés à une érosion continue des revenus réels. Plus qu’un levier structurel, cette mesure s’inscrit comme un signal politique adressé aux ménages.

Un renforcement de la solidarité ciblée

Au-delà des revenus, la Loi de finances 2026 renforce plusieurs dispositifs de solidarité ciblée. La création d’un Fonds de promotion des personnes en situation de handicap constitue l’une des principales nouveautés. Doté de ressources dédiées, ce fonds vise à soutenir l’insertion économique, la formation et l’autonomie. Il marque un glissement vers une approche plus active, privilégiant l’intégration et l’accès à l’emploi plutôt qu’une assistance strictement compensatoire.

 

Cette orientation s’inscrit dans une logique de ciblage assumé. Le texte prévoit également des allocations mensuelles au profit de personnes atteintes de certaines maladies rares ou chroniques. Ces mesures entendent répondre à des situations de vulnérabilité spécifiques, identifiées comme prioritaires dans le cadre des politiques sociales actuelles.

Soutien au tissu associatif et incitations fiscales

La Loi de finances 2026 accorde par ailleurs une attention particulière au rôle des associations sociales et culturelles. Elle élargit les avantages fiscaux qui leur sont accordés et améliore la prise en compte des dons dans le calcul de l’impôt. L’objectif est double : encourager l’engagement citoyen et soutenir des acteurs souvent en première ligne dans l’accompagnement social, sans alourdir directement les dépenses publiques.

Là encore, la logique reste sélective. Les incitations fiscales sont conçues pour maximiser l’impact social tout en maîtrisant la charge budgétaire, dans un contexte où l’État cherche à concilier soutien social et discipline financière.

Un équilibre sous contrainte

La Loi de finances 2026 ne prétend pas répondre aux fragilités sociales structurelles. Elle procède par ajustements successifs, cherchant à maintenir la cohésion sociale sans remettre en cause l’architecture globale du système de protection sociale. Le texte reflète un équilibre délicat entre contraintes budgétaires et impératif social, privilégiant des réponses ciblées à court et moyen terme plutôt qu’une réforme d’ensemble.

EN BREF

  • Revalorisation annoncée des salaires et pensions sur 2026–2028.
  • Absence de réforme globale du système de protection sociale.
  • Création d’un Fonds de promotion des personnes en situation de handicap.
  • Allocations mensuelles pour certaines maladies rares ou chroniques.
  • Avantages fiscaux élargis pour les associations et les dons.

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Classement ATP : Carlos Alcaraz franchit le cap des 50 semaines au sommet

Von: walid
15. Dezember 2025 um 14:05

Carlos Alcaraz continue d’inscrire son nom dans l’histoire du tennis mondial. L’Espagnol a officiellement atteint les 50 semaines passées à la première place du classement ATP, devenant le 14e joueur à franchir ce seuil symbolique depuis la création du classement. À seulement 22 ans, il confirme son statut parmi les références du circuit masculin.

Un cap symbolique dans l’histoire du tennis

Le classement publié ce lundi consacre une étape marquante dans la carrière d’Alcaraz. Avec 50 semaines cumulées comme numéro 1 mondial, il rejoint un cercle restreint de joueurs ayant dominé durablement le tennis international. Ce chiffre, souvent considéré comme un repère de constance au plus haut niveau, place l’Espagnol aux côtés de figures majeures du sport.

L’accès à ce palier souligne la régularité de ses performances au sommet du classement ATP. Peu de joueurs parviennent à s’y maintenir suffisamment longtemps pour atteindre un tel total, ce qui renforce la portée symbolique de cette étape.

Un leadership assuré sur la durée

À 22 ans, Carlos Alcaraz est assuré de conserver sa place de numéro 1 mondial au moins jusqu’après l’Open d’Australie 2026. Cette garantie lui permettra de continuer à augmenter son nombre de semaines passées au sommet dans les prochains mois. Cette stabilité en tête du classement confirme sa position dominante sur le circuit masculin.

Sans projection chiffrée supplémentaire [à vérifier], cette continuité ouvre la voie à un renforcement progressif de son empreinte statistique dans l’histoire du classement ATP, déjà marquée par ce cap des 50 semaines.

Une place dans une élite restreinte

Franchir ce seuil signifie rejoindre un groupe de joueurs considérés comme les plus dominants de l’ère moderne. Carlos Alcaraz figure désormais aux côtés de noms tels que Novak Djokovic, Roger Federer, Rafael Nadal ou Pete Sampras, cités comme références parmi ceux ayant atteint ou dépassé ce total.

Cette comparaison ne préjuge pas de la suite de sa carrière, mais situe clairement l’Espagnol dans une trajectoire déjà remarquable à un âge précoce. Le classement ATP, fondé sur des résultats accumulés semaine après semaine, continue ainsi de refléter son statut de leader du tennis mondial.

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Loi de Finances 2026 : baisse de l’impôt sur les retraites… mais pas tout de suite

Von: hechmi
15. Dezember 2025 um 13:48

RetraiteL’article 56, paragraphe II, de l’article 26 du Code de l’impôt sur le revenu des personnes physiques et de l’impôt sur les sociétés est modifié comme suit :

Les pensions de retraite et les rentes viagères bénéficient d’un abattement égal à 25 % de leur montant brut pour le calcul de l’impôt.

Ce taux d’abattement est relevé progressivement comme suit :

  • 30 % à partir du 1er janvier 2027,
  • 40 % à partir du 1er janvier 2028,
  • 50 % à partir du 1er janvier 2029.

RAPPEL -Imposition des pensions de retraite au titre de l’IRPP

Abattement de base

En Tunisie, pour le calcul de l’impôt sur le revenu des personnes physiques (IRPP), les pensions de retraite et les rentes viagères bénéficient d’un abattement forfaitaire de 25 % du montant brut avant imposition.

Exonérations existantes

Une partie importante des retraités bénéficie déjà d’une exonération totale de l’IRPP et de la contribution sociale si leur revenu annuel imposable est faible. Ainsi près de 56 % des retraités avec un revenu imposable annuel inférieur à 5 000 dinars ne paient pas d’impôt ni de contribution sociale.

Régime spécial pour pensions de source étrangère

Abattement renforcé pour pensions étrangères

La législation tunisienne prévoit un abattement de 80 % pour les pensions ou rentes viagères de source étrangère, à condition qu’elles soient transférées en Tunisie ou déclarées à l’importation.

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Coupe arabe FIFA Qatar-2025 (demi-finales) : Le programme

Von: walid
15. Dezember 2025 um 13:42

Programme des demi-finales de la Coupe arabe FIFA Qatar-2025 de football (1-18 décembre), prévus lundi (heures tunisiennes) :

Demi-finales

Lundi 15 décembre 2025 :

Au stade Khalifa International : Maroc – EAU 15h30

Au stade Al-Bayt : Arabie saoudite – Jordanie 18h30

Jeudi 18 décembre 2025 :

Au stade Khalifa International (Match pour la 3e place) 12h00

Au stade Lusaïl (Finale) 17h00.

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