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Gestern — 13. Juni 2025Haupt-Feeds

Israël frappe de nouveau des sites stratégiques iraniens

13. Juni 2025 um 22:16
Israël frappe de nouveau des sites stratégiques iraniens

Le vendredi 13 juin 2025 au soir, la chaîne israélienne 13 a rapporté que l’armée de l’air israélienne a lancé une nouvelle offensive contre des sites iraniens. Selon le communiqué de l’armée israélienne, plusieurs dizaines de cibles appartenant au système de défense aérienne iranien ont été détruites. L’armée a également souligné qu’elle reste prête à […]

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Caravane Soumoud : La Coordination appelle à un sit-in de soutien, samedi 14 juin

13. Juni 2025 um 20:48

La Coordination de l’action commune pour la Palestine a appelle à un sit-in, samedi 14 juin, devant le Théâtre municipal de Tunis pour réaffirmer les objectifs de la Caravane de la Résilience « Soumoud » à savoir; briser le blocus de la bande de Gaza, condamner le génocide et soutenir la cause palestinienne.

Dans une vidéo publiée sur la page officielle de la Coordination sur Facebook, Mourad Ben Jeddou, un des membres, a appelé à des actions similaires à travers les régions du pays, en appui à la caravane et à ses objectifs.

Ces rassemblements sont de nature à conforter la Caravane de la Résistance dans sa tentative de lever le siège de Gaza, un objectif défendu par les défenseurs de la liberté à travers le monde, a-t-il soutenu.

Pour les membres de la Coordination, il s’agit de répondre aux campagnes de dénigrement qui cherchent à nuire politiquement et médiatiquement à la caravane et ses objectifs et aux menaces sionistes qui la ciblent. Et c’est également, l’occasion d’exprimer l’entière solidarité avec les membres de la Flottille de la liberté.

Partie de Tunisie le 9 juin, en direction de Gaza, la caravane est arrêtée depuis jeudi 12 juin, à l’entrée de la ville de Syrte (Libye), à la demande des forces de sécurité et de l’armée relevant des autorités de l’Est libyen. Sur sa page Facebook, la Coordination indique que les responsables sécuritaires exigent d’attendre une autorisation en provenance de Benghazi avant de reprendre la route.

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Tel-Aviv sous les flammes : l’Iran frappe le ministère de la Défense israélien et cause des dégâts majeurs

13. Juni 2025 um 20:30
Tel-Aviv sous les flammes : l’Iran frappe le ministère de la Défense israélien et cause des dégâts majeurs

La situation s’est brusquement détériorée au Moyen-Orient après une offensive massive de l’Iran contre Israël. Selon la chaîne israélienne 13, la région du Grand Tel-Aviv a subi des destructions sans précédent, touchant des dizaines de bâtiments et de véhicules, endommagés à la fois par des missiles iraniens et des interceptions ratées des systèmes de défense. […]

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L’Iran riposte : Tel-Aviv touchée par des frappes directes !

13. Juni 2025 um 19:21

Dans une escalade sans précédent, l’Iran vient de lancer une salve de missiles balistiques en direction d’Israël, touchant directement la région de Tel-Aviv.

Cette riposte survient après une série d’attaques israéliennes sur des cibles militaires et nucléaires iraniennes, notamment dans la région d’Ispahan et près des installations nucléaires sensibles.

Selon des images en direct diffusées par Al Jazeera, plusieurs impacts ont été enregistrés. Des explosions ont été signalées à Tel-Aviv, provoquant visiblement des dégâts matériels.

« Des images filmées à Tel-Aviv montrent des missiles être interceptés par le bouclier anti-missiles israélien Dôme de fer. On peut voir la ville être touchée par une explosion et de la fumée s’en dégager », rapporte dans ce sens BFM TV.

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Nouvelles frappes israéliennes sur Téhéran !

13. Juni 2025 um 17:55
Nouvelles frappes israéliennes sur Téhéran !

Des explosions ont été entendues dans la soirée du vendredi 13 juin 2025 à Téhéran et dans ses environs, rapporte l’agence de presse officielle iranienne IRNA, précisant que l’origine des détonations reste pour l’heure inconnue. Des explosions ont notamment été signalées à l’ouest de la province de Téhéran, dans les villes de Shahriar, Malard et […]

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Macron réaffirme : Israël a le droit de se défendre !

13. Juni 2025 um 17:10
Macron réaffirme : Israël a le droit de se défendre !

À la suite des frappes israéliennes contre l’Iran, Emmanuel Macron a réaffirmé vendredi 13 juin 2025 le droit d’Israël à assurer sa sécurité et à se défendre, tout en condamnant à nouveau le programme nucléaire iranien. Appelant à la « plus grande retenue » pour éviter une escalade régionale, le président français a indiqué s’être […]

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Hausse record du pétrole de 9% suite à l’escalade militaire entre Israël et l’Iran

13. Juni 2025 um 16:16
Hausse record du pétrole de 9% suite à l’escalade militaire entre Israël et l’Iran

Les prix du pétrole ont fortement bondi ce vendredi, enregistrant une hausse de près de 9 %, atteignant ainsi leurs niveaux les plus élevés depuis plusieurs mois. Cette envolée fait suite aux attaques menées par Israël contre l’Iran, au cours desquelles plusieurs hauts responsables militaires iraniens ont été tués. Cette escalade ravive les craintes d’une […]

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Drones contre avions : L’Iran peut-il vraiment affronter Israël sur le plan militaire ?

Face aux frappes israéliennes d’une ampleur inédite, l’Iran révèle les limites de son arsenal militaire conventionnel. Mais derrière ses vieux avions et ses systèmes vieillissants, Téhéran mise sur une stratégie asymétrique redoutable, combinant missiles balistiques, drones kamikazes et saturation des défenses. L’écart technologique est réel, mais la menace iranienne, elle, bien concrète.

Alors que près de 200 avions israéliens ont frappé des sites militaires et nucléaires en Iran dans la nuit de jeudi à vendredi, une question revient avec insistance : que vaut réellement l’armée iranienne face à la puissance de feu israélienne ? Si Téhéran a tenté de riposter par des drones, la comparaison militaire entre les deux pays révèle un déséquilibre profond… mais pas sans surprises.

Une aviation dépassée

La première faiblesse de l’Iran est son aviation. Ses avions de chasse datent d’une autre époque : des F-4 Phantom des années 1960, des F-5 et F-14 américains achetés avant la révolution de 1979, quelques MiG-29 russes… et même, selon certaines sources, d’anciens Mirage F1. Résultat : la flotte iranienne est vieillissante, difficile à entretenir, et incapable de mener des opérations offensives à longue portée, notamment contre Israël.

En face, Israël dispose d’une des armées de l’air les plus modernes du monde, équipée de F-35 furtifs américains, de systèmes de brouillage électronique et d’une expérience opérationnelle inégalée.

Des missiles nombreux, mais inégaux

Si l’aviation iranienne est en retrait, le pays a misé depuis des années sur son programme de missiles balistiques et de croisière. Selon les services de renseignement américains, l’Iran posséderait aujourd’hui la plus grande force de missiles du Moyen-Orient. Certains engins peuvent atteindre des cibles à plus de 2 000 km.

C’est ce qui fait de l’Iran une puissance régionale redoutée : ces missiles peuvent menacer les bases américaines dans la région, les infrastructures pétrolières du Golfe, ou encore Israël. Mais leur précision, leur efficacité réelle et leur capacité à percer les défenses modernes comme le Dôme de fer israélien restent variables.

Les drones, la vraie carte maîtresse de l’Iran

Le domaine où l’Iran s’est réellement modernisé, c’est celui des drones. Ces dernières années, Téhéran a investi massivement dans cette technologie bon marché mais redoutablement efficace. Le drone « Shahed », par exemple, est désormais produit sous licence par la Russie, qui l’utilise dans la guerre en Ukraine.

Ces drones ont plusieurs avantages : ils volent à basse altitude, peuvent parcourir de longues distances et sont très bon marché – jusqu’à 20 fois moins chers qu’un missile de croisière. En avril, l’Iran a envoyé plus de 300 drones et missiles vers Israël dans une attaque largement symbolique, mais qui a montré sa capacité à saturer les défenses ennemies.

Une marine discrète, mais stratégique

Sur le plan naval, l’Iran mise sur une stratégie d’embuscade plutôt que sur la confrontation directe. Avec ses vedettes rapides, ses petits sous-marins et ses mines marines, il cherche à perturber le trafic maritime dans le golfe Persique et à menacer le détroit d’Ormuz – un point clé pour le commerce mondial de pétrole.

Même si ses grands navires de guerre sont peu efficaces, l’Iran espère ainsi jouer la carte de la déstabilisation plutôt que celle de la domination.

Une guerre asymétrique

Militairement, Israël garde une nette supériorité technologique, opérationnelle et stratégique. Mais l’Iran, contraint par les sanctions et les embargos, a appris à faire avec peu : il mise sur la guerre asymétrique, les frappes indirectes, les attaques symboliques… et les surprises.

Comme le résume un rapport de l’Institut français des relations internationales (IFRI), la vraie force de l’Iran réside dans la combinaison de ses missiles, de ses drones, et de sa capacité à saturer les défenses adverses. Pas de quoi l’emporter dans une guerre frontale, mais suffisant pour dissuader, riposter… et faire trembler toute une région.

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Iran – Israël : Le monde financier en alerte, l’or noir s’enflamme

Alors que le conflit entre Israël et l’Iran franchit un nouveau cap, les marchés financiers mondiaux vacillent. Hausse brutale du pétrole, envolée de l’or, chute des Bourses : les investisseurs redoutent une guerre élargie dans une région clé pour l’économie mondiale.

À la suite des frappes israéliennes contre des installations nucléaires et militaires en Iran, les prix du pétrole se sont envolés. Le baril de brut américain (WTI) a bondi de plus de 8 %, frôlant les 74 dollars, tandis que le Brent de la mer du Nord a grimpé de près de 7,6 %. En pleine nuit, les hausses avaient même dépassé les 12 %.

Pourquoi ? L’Iran est l’un des dix plus gros producteurs mondiaux de pétrole. Et une guerre au Moyen-Orient, notamment dans la région stratégique du Golfe, menace de perturber l’un des axes maritimes essentiels pour l’approvisionnement mondial en or noir. « Un quart du pétrole mondial transite par cette zone », rappelle Ricardo Evangelista, analyste chez ActivTrades.

Comme souvent en période de crise, les investisseurs se tournent vers les valeurs dites « refuge ». Résultat : le cours de l’or a gagné près de 1 %, atteignant les 3 418 dollars l’once (31,1 grammes). Le dollar s’est également renforcé face à l’euro (+0,74 %), profitant de son statut de monnaie refuge.

Les principales places boursières ont ouvert en net recul ce vendredi :

  • Wall Street : S&P 500 -1,00 %, Nasdaq -1,26 %, Dow Jones -1,05 %
  • Europe : Paris -0,80 %, Francfort -1,10 %, Milan -0,99 %, Londres -0,24 %
  • Asie : Tokyo -0,89 %, Séoul -0,87 %, Shanghai -0,75 %, Hong Kong -0,57 %

Les marchés redoutent une escalade incontrôlable, surtout après les propos de l’armée iranienne qui promet une riposte « sans limite ». Selon le ministère iranien des Affaires étrangères, les frappes israéliennes constituent une « déclaration de guerre ».

Les analystes financiers prévoient un week-end particulièrement volatil. « Une riposte massive de l’Iran pourrait bouleverser les équilibres économiques mondiaux », prévient Stephen Innes de SPI Asset Management. « De nombreux investisseurs pourraient réduire leur exposition au risque en attendant de voir comment la situation évolue », renchérit Ipek Ozkardeskaya de Swissquote Bank.

Certaines entreprises du secteur énergétique, en revanche, profitent de cette envolée des cours du pétrole. À Paris, TotalEnergies gagnait +1,72 %, BP +2,5 % à Londres, Shell +1,6 % et Repsol +1,5 % à Madrid. Aux États-Unis, ExxonMobil et Chevron gagnaient près de 3 % en avant-Bourse.

Le regain de tension entre Israël et l’Iran ne se limite pas au terrain militaire. Il fait vaciller l’équilibre fragile des marchés mondiaux, déjà secoués par les incertitudes politiques et économiques. Entre pétrole, or, devises et Bourses, le moindre tir de missile pourrait désormais faire trembler les courbes économiques de la planète.

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Frappes israéliennes sur des cibles nucléaires : le Moyen-Orient s’embrase

13. Juni 2025 um 12:07

Nouveau cycle de violences au Moyen-Orient. Dans la nuit de jeudi à vendredi, Israël a procédé à des frappes contre des sites militaires et nucléaires en Iran. Téhéran réplique ce matin en attaquant l’Etat hébreu avec une centaine de drones.

Le Moyen-Orient est au cœur d’une nouvelle zone de turbulences. En effet, à quelques jours d’un sixième cycle de négociations entre Washington et Téhéran visant à résoudre la crise nucléaire par la voie diplomatique, Israël a mené, dans la nuit de jeudi 12 à vendredi 13 juin, une attaque, la plus vaste et la plus meurtrière jamais lancée par l’Etat hébreu contre la République islamique d’Iran, ciblant son programme nucléaire, ses installations militaires, ainsi que plusieurs hauts commandants et des scientifiques de premier plan.

Lire aussi : Israël lance une attaque massive contre les infrastructures nucléaires iraniennes

D’énormes explosions ont été entendues dans la nuit du vendredi à vers 3h30 du matin (heure locale) à Téhéran, mais aussi dans les villes d’Ispahan, Arak, Kermanshah et Tabriz, qui abritent des complexes militaires et industriels.

Des assassinats ciblés

L’aviation israélienne aurait simultanément attaqué au moins six bases militaires autour de Téhéran et ciblé des domiciles dans deux complexes hautement sécurisés réservés aux commandants militaires, ainsi que plusieurs bâtiments résidentiels à travers la capitale.

Ainsi, des assassinats ciblés ont été confirmés par la télévision d’État iranienne qui a indiqué que plusieurs figures militaires et nucléaires de haut rang avaient été tuées, dont le général de division Hossein Salami, chef des Gardiens de la révolution, Mohammad Mehdi Tehranchi, professeur de physique réputé, Fereydoon Abbasi, ancien directeur de l’organisation iranienne de l’énergie atomique, le général Mohammad Bagheri, chef d’état-major des forces armées iraniennes et deuxième plus haut commandant après le Guide suprême, ainsi que le général Gholamali Rashid, commandant adjoint des forces armées. Après avoir été hospitalisé en urgence, Ali Shamkhani, qui dirigeait les négociations nucléaires pour le compte du Guide suprême, a également succombé à ses blessures à la suite d’une frappe sur son domicile.

Trump s’en lave les mains

Les Américains étaient-ils informés au préalable de cette attaque massive et inédite? Donald Trump a confirmé jeudi 12 juin à Fox News que son pays était au courant des frappes à l’avance. Mais il nie toute implication militaire des Etats-Unis dans cette opération. Il a ajouté « ne pas souhaiter qu’Israël attaque l’Iran », car cela pourrait « faire capoter » les pourparlers.

Lire également : Israël bombarde des sites nucléaires et militaires iraniens 

Toujours est-il qu’avant cette opération, les États-Unis ont retiré des diplomates d’Irak mercredi et autorisé le départ volontaire des familles du personnel militaire américain du Moyen-Orient par mesure de précaution.

Fanfaronnades

Pour sa part, et se basant sur des soi-disant indications collectées ces dernières semaines par les services de renseignement israéliens, selon lesquelles l’Iran « courait vers la bombe nucléaire » et « disposait désormais de suffisamment de matériel pour assembler quinze bombes nucléaires » en quelques jours, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré que l’attaque nocturne a été « très réussie ». Et d’ajouter : Israël avait frappé des commandants de haut rang iraniens, des installations nucléaires et des scientifiques de haut rang chargés de faire progresser les armes nucléaires. Il a également appelé la population (israélienne) à se préparer à passer une période prolongée dans des abris.

Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a pour sa part prévenu que son pays s’attendait à une riposte iranienne « par une attaque de missiles et de drones contre l’État d’Israël et sa population civile … dans un avenir très proche ».

Le chef d’état-major israélien, le général Eyal Zamir, a averti dans une allocution télévisée que la riposte de l’Iran serait probablement différente des contre-attaques précédentes : « Je ne peux pas promettre un succès absolu, le régime iranien tentera de nous attaquer en réponse, le bilan attendu sera différent de ce à quoi nous sommes habitués », a-t-il prévenu.

Selon des officiels israéliens, la réplique attendue de Téhéran pourrait prendre la forme d’un tir de centaines de missiles balistiques.

Israël a fermé son espace aérien et interdit la plupart des rassemblements non essentiels. L’aéroport Ben Gourion, principal aéroport du pays, a été fermé jusqu’à nouvel ordre. Des sirènes ont retenti à Tel Aviv et Jérusalem, poussant la population à se réfugier dans les abris. Toutes les écoles et la plupart des lieux de travail sont fermés vendredi.

Washington impliqué?

Pour sa part, la République Islamique a plusieurs fois averti qu’elle riposterait à toute attaque, réaffirmant cette semaine qu’elle pourrait viser des bases américaines dans toute la région.

Cela étant, de nombreux observateurs s’interrogent sur le rôle joué par Washington, le principal allié d’Israël, dans cette opération de grande envergure. Et ce, bien que les États-Unis aient officiellement exprimé leur opposition à la décision d’Israël d’une action militaire offensive contre l’Iran pour ne pas dynamiter les prochaines négociations entre Washington et Téhéran sur le programme nucléaire iranien. Mais une question est sur toutes les lèvres : est-il possible que les avions israéliens aient parcouru entre 3 000 et 4 000 km sans ravitaillement aérien que seuls les Américains sont en mesure d’assurer? Elémentaire, mon cher Watson!

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Israël frappe l’Iran : Téhéran crie à la « déclaration de guerre »

Après des frappes israéliennes massives sur des sites nucléaires en Iran, Téhéran crie à la déclaration de guerre. La riposte est immédiate et l’escalade militaire menace d’embraser toute la région.

Les tensions au Moyen-Orient ont franchi un nouveau seuil critique ce vendredi 13 juin. Après une série de frappes israéliennes d’une ampleur inédite contre des installations militaires et nucléaires iraniennes, Téhéran a réagi avec une virulence sans précédent, qualifiant l’attaque de « déclaration de guerre ».

Selon les autorités iraniennes, l’opération israélienne – baptisée Rising Lion – a ciblé une centaine de sites stratégiques, notamment les complexes nucléaires de Natanz et Ispahan. Des frappes aériennes massives ont visé également des centres de commandement, des bases des Gardiens de la révolution et des scientifiques de haut rang. Plusieurs responsables militaires de premier plan, dont les généraux Hossein Salami et Mohammad Bagheri, auraient été tués dans l’offensive.

« Ce qui s’est produit est une déclaration de guerre claire contre la souveraineté iranienne. Le Conseil de sécurité des Nations unies doit agir immédiatement », a déclaré Abbas Araghchi, ministre iranien des Affaires étrangères, dans un message adressé à l’ONU. Le Guide suprême, Ali Khamenei, a promis une riposte « douloureuse et sans limites », affirmant que « le régime sioniste devra en payer le prix fort ».

En réaction, l’Iran a lancé plus d’une centaine de drones en direction d’Israël, selon les médias officiels iraniens. L’armée israélienne (IDF) affirme avoir intercepté la majorité de ces engins grâce à son bouclier antimissile, mais l’alerte a été déclenchée dans plusieurs régions, de Tel-Aviv au sud du pays.

Donald Trump a exhorté l’Iran à conclure un accord nucléaire « avant qu’il ne reste plus rien », tout en dénonçant les pertes humaines et matérielles causées par le conflit. « Il est encore temps d’arrêter ce massacre », a-t-il lancé, sans pour autant condamner les frappes israéliennes.

Selon des sources diplomatiques relayées par Reuters, les États-Unis n’auraient pas directement participé aux frappes mais auraient fourni un soutien logistique et du renseignement à leur allié israélien. L’administration américaine s’est toutefois gardée de commenter publiquement la situation, appelant « à la retenue » de toutes les parties.

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Israël frappe l’Iran : Trump menace d’un massacre et de nouvelles attaques encore plus brutales

13. Juni 2025 um 12:37
Israël frappe l’Iran : Trump menace d’un massacre et de nouvelles attaques encore plus brutales

Le président américain Donald Trump a adressé, vendredi 13 juin 2025, un message de fermeté à l’Iran après les frappes israéliennes qui ont visé plusieurs sites stratégiques à Téhéran, notamment des installations nucléaires. Sur son réseau Truth Social, il a exhorté les autorités iraniennes à « conclure un accord avant qu’il ne reste plus rien […]

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Iran hisse la bannière rouge de la vengeance après une attaque israélienne sur Téhéran

13. Juni 2025 um 12:10
Iran hisse la bannière rouge de la vengeance après une attaque israélienne sur Téhéran

L’Iran a hissé, ce vendredi matin, la « bannière rouge de la vengeance » au sommet du dôme de la mosquée Jamkaran à Qom, au sud de Téhéran, comme l’a rapporté l’agence iranienne Fars en diffusant une vidéo de l’événement. Ce geste hautement symbolique intervient dans un contexte de tensions extrêmes entre Téhéran et Tel-Aviv. […]

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Après l’attaque foudroyante israélienne, l’Iran compte les dégâts et les morts

13. Juni 2025 um 12:10

L’attaque israélienne contre l’Iran, ce vendredi 13 juin 2025, quelques minutes après minuit, a été minutieusement préparée sur le plan diplomatique, avec l’accord tacite des Etats-Unis, qui se sont officiellement tenus à l’écart de l’opération, et opératoire, notamment sur celui du renseignement militaire.

Deux cents avions de chasse de l’Etat hébreu ont ainsi frappé des sites nucléaires et militaires disséminés sur tout le territoire du pays, notamment autour de la capitale Téhéran. L’offensive, baptisée «Rising Lion» («le lion qui se lève»), a été jugée «très réussie» par Benjamin Netanyahu.

Après des années à menacer le régime iranien d’une attaque contre son programme nucléaire, présenté comme une «menace existentielle» pour l’Etat hébreu, qui se réserve la primauté dans ce domaine sur le plan régional, le premier ministre israélien est passé aux actes, profitant d’une conjoncture régionale très favorable, avec la quasi-élimination des alliés arabes de Téhéran, à Gaza, au Liban, en Syrie, et à un degré moindre en Irak et au Yémen.

Les explosions ont été particulièrement violentes dans certains quartiers de l’est de Téhéran, où résident de haut gradés des gardiens de la révolution, l’armée idéologique du régime iranien, et où sont implantés de nombreuses bases aériennes, des casernes et des dépôts d’armes, les explosions ont été particulièrement violentes. Ces détonations se sont ensuite propagées à toute la capitale et à d’autres villes iraniennes, notamment Tabriz (nord-ouest), Qom, Natanz, Arak (centre) et Ilam (sud-ouest).

Plusieurs hauts responsables iraniens, dont le chef d’état major Mohammed Bagheri, ont été tués dans l’attaque israélienne.

L’attaque israélienne n’a pas ciblé que les installations nucléaires de la République islamique, elle a aussi touché sa chaîne de commandement militaire, des bases de missiles et des scientifiques impliqués dans le programme nucléaire. « Nous venons de mener une attaque d’ouverture très réussie», a déclaré Netanyahu, quatre heures après le début de l’offensive, se félicitant du «succès remporté». Succès qui a sans doute rempli d’aise les alliés d’Israël, y compris parmi les Etats du Golfe pour lesquels une éventuelle arme nucléaire iranienne aurait constitué une «menace existentielle».

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Trump met en garde l’Iran : « Il faut conclure un accord avant qu’il ne reste plus rien »

Alors que les frappes israéliennes contre l’Iran provoquent une flambée des tensions au Moyen-Orient, Donald Trump appelle Téhéran à conclure rapidement un accord diplomatique. L’ex-président américain avertit que sans compromis, les prochaines attaques seront « encore plus brutales », et que l’Iran pourrait être détruit.

Dans un message publié ce vendredi 13 juin sur sa plateforme Truth Social, le président américain Donald Trump a lancé un avertissement ferme à l’Iran, au moment où les frappes israéliennes visant des sites militaires et nucléaires iraniens se poursuivent. Il estime qu’un accord diplomatique est encore possible, mais que le temps presse.

    « L’Iran doit conclure un accord avant qu’il ne reste plus rien », a écrit Trump, ajoutant que les prochaines attaques israéliennes pourraient être « encore plus brutales ».

Le dirigeant républicain affirme avoir donné « chance après chance » à Téhéran pour renégocier un accord sur le nucléaire, et accuse les dirigeants iraniens d’avoir ignoré ces opportunités. Il a salué la puissance de feu d’Israël, soulignant que l’État hébreu dispose « d’armes létales fabriquées aux États-Unis » et « sait s’en servir ».

Tout en dénonçant les « nombreuses pertes humaines et destructions » déjà causées, Trump assure qu’il est encore temps d’« arrêter ce massacre », avant que l’Iran ne subisse des dégâts irréversibles.

Frappes massives et riposte iranienne

L’opération israélienne, baptisée Operation Rising Lion, aurait ciblé plus de cent installations stratégiques en Iran, notamment les sites nucléaires de Natanz et d’Ispahan. Les médias internationaux rapportent des frappes aériennes massives et l’élimination de plusieurs hauts responsables des Gardiens de la Révolution, dont les généraux Hossein Salami et Mohammad Bagheri.

En réaction, Téhéran a lancé une centaine de drones armés en direction du territoire israélien, provoquant une alerte régionale et la fermeture de plusieurs espaces aériens au Moyen-Orient.

Washington en retrait, mais attentif

Selon l’agence Reuters, l’administration Trump aurait signifié à Israël qu’aucune assistance militaire offensive ne serait fournie pour ces opérations, tout en maintenant un appui en matière de renseignement et de défense, notamment en cas de représailles iraniennes.

Donald Trump a insisté sur le fait que les États-Unis n’étaient pas impliqués dans l’offensive israélienne, tout en profitant de la situation pour renouveler son appel à une résolution diplomatique. En février dernier, il avait réactivé sa stratégie de « pression maximale » contre l’Iran, combinant sanctions économiques renforcées et menaces militaires.

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Israël lance une attaque massive contre les infrastructures nucléaires iraniennes

13. Juni 2025 um 10:30

Israël a lancé une série de frappes aériennes contre l’Iran tôt vendredi, visant des sites liés au programme nucléaire iranien. Mohammad Bagheri, chef des forces armées iraniennes et plus haut responsable militaire du pays, a été tué au cours de ces frappes. Le même sort a été réservé au commandant en chef du Corps des gardiens de la révolution islamique, Hossein Salami. Les frappes aériennes israéliennes ont également visé et tué deux principaux scientifiques nucléaires iraniens.

Le guide suprême de l’Iran, Ali Khamenei, a promis de venger ces attaques. C’est pour cette raison que le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a déclaré l’état d’urgence et a averti la population qu’une attaque de missiles et de drones contre l’État hébreu est attendue dans un avenir immédiat.

Lire aussi : Israël bombarde des sites nucléaires et militaires iraniens 

Benjamin Netanyahu, le Premier ministre, a déclaré que cette opération se poursuivra aussi longtemps qu’il le faudra pour « éliminer cette menace ». Il a prévenu les résidents israéliens qu’ils pourraient devoir passer de longues périodes dans des abris antiatomiques en prévision des représailles attendues de l’Iran.

En attendant, l’espace aérien a été fermé et tous les vols entrants et sortants ont été suspendus.

 

Mohammad Bagheri

 

Les frappes aériennes sur la ville de Natanz, qui abrite une installation nucléaire clé, ont été confirmée. Parmi les autres cibles, il y a aussi la ville de Khandab, où se trouve un réacteur nucléaire à eau lourde, et Khoramabad, qui abrite une base de missiles balistiques.

Les États-Unis n’auraient pas participé à l’opération militaire, mais le président Donald Trump en aurait été informé au préalable.

Au cours de la journée de jeudi, le président des Etats-Unis a déclaré aux journalistes qu’une attaque israélienne « semble être quelque chose qui pourrait très bien se produire », tout en soulignant que les États-Unis préféreraient négocier un accord sur l’enrichissement nucléaire plutôt que d’assister à une attaque militaire.

Immédiatement, les prix du pétrole ont flambé, sur fond de craintes d’une guerre régionale plus étendue.

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Escalade Israël-Iran : l’offensive nocturne qui change la donne

13. Juni 2025 um 09:41

Dans la nuit du 12 au 13 juin, des explosions violentes ont retenti à Téhéran, marquant le début d’une vaste offensive israélienne contre des cibles stratégiques en Iran, dont plusieurs sites liés à son programme nucléaire. La télévision nationale iranienne a confirmé des frappes dans plusieurs quartiers de la capitale, faisant état de victimes civiles, y compris des enfants.

 Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a justifié cette attaque comme une action préventive visant « le cœur du programme d’enrichissement iranien » et « le cœur de son programme de missiles balistiques ». Parmi les cibles figurent le complexe nucléaire de Natanz et des scientifiques clés du programme. L’armée israélienne a mobilisé des dizaines de chasseurs pour cette première phase, affirmant avoir atteint ses objectifs militaires.  

Invité sur Jawhara FM, le 13 juin 2025  l’ancien diplomate Abdallah Laabidi a livré une analyse alarmante de cette escalade, y voyant le prélude d’un conflit plus large. « Les guerres commencent souvent par une étincelle, mais personne ne sait comment elles finissent », a-t-il déclaré, accusant Netanyahu et Donald Trump d’exploiter les tensions pour des calculs politiques internes.

Selon lui, les deux dirigeants, affaiblis par des crises domestiques – procédures judiciaires pour Trump, isolement politique pour Netanyahu –, instrumentalisent les opérations militaires pour détourner l’attention. « Netanyahu n’est plus un homme de consensus, même ses anciens alliés le critiquent ouvertement », a-t-il souligné. M. Laabidi met en garde contre l’implication probable du Hezbollah et des Houthis. Il évoque  des transferts d’équipements militaires depuis la Chine vers le Yémen. Il souligne aussi le rôle du complexe militaro-industriel occidental : « Une guerre sert toujours des intérêts économiques colossaux. »

Initiatives symboliques

Sur le plan diplomatique, il juge les initiatives symboliques, comme la caravane Al Soumoud en direction de Gaza, inefficaces. Et ce, face à la machine de guerre israélienne. « Que valent ces gestes quand les États arabes dépensent des milliards en armes plutôt qu’en solidarité concrète ? ». Le convoi humanitaire  pourrait buter sur les accords de Camp David, qui limitent les mouvements dans le Sinaï. « L’Égypte ne peut pas laisser passer des civils sans violer ses engagements avec Israël », explique Laabidi.
 
L’ancien diplomate fustige l’inaction des régimes arabes : « La société civile occidentale est organisée et soutenue. La nôtre est abandonnée. Le vrai problème, c’est la complicité des dirigeants. » Alors que l’état d’urgence est déclaré en Israël, la région s’enfonce dans une crise aux répercussions imprévisibles. Les frappes israéliennes, présentées comme défensives, pourraient bien être le début d’un embrasement bien plus vaste.

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Le pétrole grimpe de 6 % après les tensions Israël-Iran

13. Juni 2025 um 09:30

L’escalade des tensions entre l’Iran et Israël a accru la probabilité de perturbations de l’approvisionnement en pétrole.

Les prix du pétrole ont bondi de plus de 4 dollars le baril vendredi 13 juin, atteignant leur plus haut niveau en près de cinq mois après l’attaque israélienne contre l’Iran, aggravant considérablement les tensions au Moyen-Orient et suscitant des inquiétudes quant à une perturbation des approvisionnements en pétrole.

Les contrats à terme sur le brut Brent ont bondi de 4,60 $, soit 6,63 %, à 73,96 $ le baril après avoir atteint un sommet intra-journalier de 78,50 $, le plus haut depuis le 27 janvier.

Le brut américain West Texas Intermediate a augmenté de 4,99 $, soit 7,33 %, à 73,03 $ le baril après avoir atteint un sommet de 77,62 $, le plus haut depuis le 21 janvier.

L’escalade des tensions avec l’Iran a accru la probabilité de perturbations de l’approvisionnement en pétrole.

A rappeler que les opérations commerciales maritimes du Royaume-Uni ont averti mercredi que la montée des tensions au Moyen-Orient pourrait entraîner une escalade de l’activité militaire, ce qui pourrait avoir un impact sur le trafic maritime dans les principales voies navigables.

Selon JP Morgan, les prix du pétrole pourraient augmenter entre 120 et 130 dollars le baril si le détroit d’Ormuz était fermé, un scénario que la banque considère comme dangereux mais avec une faible probabilité.

L’envoyé spécial américain Steve Witkoff prévoit de rencontrer dimanche à Oman le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araqchi, pour discuter de la réponse de Téhéran à la proposition américaine d’un accord nucléaire. Mais cette réunion risque de ne pas avoir lieu, compte tenu des frappes israéliennes contres des sites nucléaires et militaires iraniens.

A rappeler au passage que Conseil des gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a déclaré jeudi 11 juin que l’Iran avait violé ses obligations de non-prolifération nucléaire pour la première fois depuis près de 20 ans.

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La Russie condamne « l’escalade » après les frappes israéliennes en Iran

Au lendemain de frappes israéliennes sur des sites nucléaires et militaires en Iran, la Russie exprime sa « profonde préoccupation » et condamne une « escalade dangereuse » au Moyen-Orient. Moscou, allié stratégique de Téhéran, appelle à la retenue tout en mettant en garde contre le risque d’un embrasement régional majeur.

La Russie a exprimé, ce vendredi 13 juin, sa profonde préoccupation et condamné fermement la « forte escalade des tensions » après les frappes aériennes israéliennes ayant visé des installations nucléaires et militaires en Iran.

Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a assuré que le président Vladimir Poutine était tenu « informé en temps réel » de l’évolution des événements. Dans la foulée, l’ambassade russe en Israël a déconseillé tout déplacement vers ce pays.

Moscou rappelle régulièrement sa position : toute action militaire contre les installations nucléaires iraniennes doit être exclue, invoquant le risque d’une « catastrophe régionale ». Début avril, M. Peskov avait déjà souligné la nécessité d’un règlement diplomatique des tensions liées au nucléaire iranien.

La visite surprise du président Poutine en Iran en janvier 2025 avait renforcé les liens entre les deux pays : un traité stratégique global de coopération a été signé, couvrant l’énergie nucléaire civile, la défense, le commerce et la mise en place d’un corridor économique reliant la Russie à l’Inde via l’Iran.

Pourtant, cette alliance reste prudente : si la Russie soutient des sanctions légales et non militaires contre l’Iran, le partenariat ne comprend pas d’engagement de défense mutuelle.

En avril dernier Moscou avait mis en garde contre toute frappe visant les sites nucléaires iraniens, avertissant qu’une telle action pourrait déclencher une « catastrophe régionale ».

La Russie avertit que les frappes de l’opération israélienne dite Operation Rising Lion – ayant touché jusqu’à 100 installations dont des sites nucléaires – risquent de déclencher une spirale incontrôlable

Les déclarations russes et les initiatives diplomatiques dans les prochains jours seront déterminantes pour savoir si la région s’approchera de la guerre ou si une désescalade maîtrisée sera possible.

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