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Israël : un projet de loi prévoit d’exécuter les prisonniers palestiniens au poison !

19. November 2025 um 19:44
Israël : un projet de loi prévoit d’exécuter les prisonniers palestiniens au poison !

Un vif débat au sein de la commission israélienne de la sécurité nationale a révélé, mercredi, les détails controversés d’un projet de loi visant à instaurer la peine de mort contre des prisonniers palestiniens. Selon les éléments dévoilés lors de cette séance houleuse, relayée par la chaîne de la Knesset, l’exécution serait effectuée par injection […]

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Le Hamas connaît un regain de popularité à Gaza

19. November 2025 um 12:47

Alors que la population de Gaza a subi pendant deux ans un effroyable génocide commis par Israël et qu’elle continue d’endurer les pires souffrances, le Hamas vit actuellement un sursaut de popularité qui avait connu une baisse durant le conflit.

Imed Bahri

Le mouvement, qui existe depuis plus de 40 ans et qui a réussi à s’imbriquer fortement à la population, est dans le viseur de la communauté internationale et à sa tête les États-Unis qui veulent le désarmer et lui confisquer tout pouvoir de contrôle sur la bande de Gaza, mais en l’absence d’une alternative crédible qui puisse garantir l’ordre public, le Hamas est loin d’être lâché par la population. Il faut dire que les gangs financés et armés par Israël se sont comportés comme des ennemis de la population en pillant les aides, tuant et semant la terreur, et ce sont les combattants du Hamas qui sont venus au secours des victimes et puni les agresseurs. 

Le Wall Street Journal a publié une enquête de Sudarsan Raghavan et Suha Ma’ayeh consacrée la popularité croissante du Hamas à Gaza, un phénomène qui est de nature à compliquer la tentative du président Donald Trump pour désarmer ses combattants. Il indique que la popularité du mouvement a augmenté depuis l’accord de cessez-le-feu négocié le mois dernier par le président américain Donald Trump et son plan en 20 points dont l’un prévoit le désarmement du Hamas dans le cadre des arrangements d’après-guerre.

Le journal américain note que si de nombreux Gazaouis souhaitent le départ du Hamas du pouvoir, ils saluent ses efforts pour lutter contre la criminalité et assurer la sécurité.

Un rôle crucial contre la criminalité

Suite à l’accord de cessez-le-feu, des combattants du Hamas ont investi les rues en tant que forces de police et de sécurité intérieure, patrouillant dans les routes et ciblant les criminels, les rivaux et les détracteurs du mouvement. Malgré la perception négative du Hamas parmi certains Palestiniens de Gaza, nombreux sont ceux qui ont salué son rôle crucial dans la réduction de la criminalité et le maintien de la sécurité.

Le journal cite Hazem Srour, 22 ans, qui déclare : «Même ceux qui s’opposent au Hamas veulent la sécurité car nous souffrons d’une grave insécurité due aux vols, aux actes de violence et à l’anarchie. Seul le Hamas peut arrêter cela, et c’est pourquoi la population le soutient».

Selon le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (Ocha) relevant des Nations Unies, avant le cessez-le-feu, plus de 80% de l’aide humanitaire fournie par les Nations Unies et ses agences partenaires était interceptée et pillée par des habitants de Gaza désespérés ou confisquée par des gangs armées.

Le mois dernier, les vols ciblant les camions ont chuté à environ 5%, d’après l’agence onusienne. Un porte-parole de l’Ocha attribue cette baisse à l’augmentation du flux d’aide et à l’action de la «police bleue» du Hamas pour lutter contre la criminalité.

Le WST rapporte que la baisse de la criminalité et le soutien continu à la résistance armée contre Israël ont permis au Hamas de redorer son image et d’exercer un contrôle plus strict sur la bande de Gaza. D’après des chercheurs, des sondeurs, des analystes et des habitants de Gaza, nombreux sont les Palestiniens qui parlent désormais du groupe armé en des termes plus pragmatiques.

41% des Gazaouis voteraient pour Hamas

Dans un sondage publié le mois dernier par le Centre palestinien de recherche sur les politiques et les sondages d’opinion de Ramallah, 51% des habitants de Gaza interrogés ont exprimé une opinion positive sur l’action du Hamas pendant la guerre, contre 43% en mai et 39% il y a un peu plus d’un an. La marge d’erreur du sondage est de 3,5 points. 

À une question distincte portant sur le soutien aux partis politiques lors d’élections hypothétiques, 41% des habitants de Gaza ont déclaré soutenir le Hamas soit une hausse de 4 points par rapport aux cinq mois précédents et c’est le niveau de soutien le plus élevé depuis décembre 2023.

Le journal rapporte aussi que la réalisation de sondages est difficile dans les villes dévastées de la bande Gaza. Toutefois, les chercheurs ont mené des entretiens en face à face avec des personnes vivant du côté contrôlé par le Hamas, le long de la ligne de cessez-le-feu. Pour les autres Gazaouis, Khalil al-Shaqaqi, directeur du centre ayant mené le sondage, a indiqué que les enquêteurs les ont interrogés dans leurs tentes à l’aide de tablettes et de téléphones portables et que les résultats ont directement été transmis aux serveurs informatiques du centre.

Le nombre des Gazaouis interrogés étaient critiques envers le Hamas. La tendance observée au cours des 12 derniers mois, comme le reflétaient les sondages précédents, était à un déclin de la popularité du mouvement islamiste, en particulier à Gaza.

Al-Shaqaqi a déclaré à propos du groupe armé: «Cette guerre a prouvé, dans une certaine mesure, aux habitants de Gaza et à d’autres, qu’Israël n’est pas parvenu à le vaincre. Le Hamas ne disparaîtra pas demain et nous devons vivre avec cette réalité»

Plus tôt cette année, des centaines de Gazaouis, épuisés par le déplacement et la faim, ont manifesté contre le Hamas, qui a mené l’opération Déluge d’al-Aqsa le 7 octobre 2023. Nombre d’entre eux ont reproché au Hamas sa lenteur à mettre fin à ce conflit qui dure depuis deux ans. Beaucoup restent frustrés par le Hamas et horrifiés par sa répression brutale. Le journal a cité Mohammed Burno, 33 ans, militant anti-Hamas et partisan du Fatah, mouvement rival : «C’est le Hamas qui crée ce chaos. De leur point de vue, ils appellent cela maintenir la sécurité mais la véritable sécurité ne s’obtient pas par la brutalité».

Le Hamas contrôle actuellement environ 47% de la bande de Gaza, la zone située à l’ouest de la ligne jaune qui marque le point de retrait des forces israéliennes dans le cadre de la première phase du plan de paix de Trump. De l’autre côté de la ligne jaune, soit environ 53% de la bande de Gaza, le territoire est sous contrôle militaire israélien.

En attendant l’émergence d’une alternative

Le WSJ souligne que le soutien croissant au Hamas à Gaza pourrait poser un dilemme à Trump et à son plan dont la deuxième phase prévoit le désarmement du mouvement et sa renonciation à tout rôle dans un futur gouvernement dans la bande en échange du retrait des forces israéliennes et de leur remplacement par une force internationale de stabilisation.

Les Palestiniens interrogés à Gaza étaient partagés sur la question du désarmement du Hamas: 55% s’y opposent et 44 % y sont favorables. Par ailleurs, 52% d’entre eux sont opposés au déploiement d’une force internationale chargée de désarmer le Hamas.

«Cette majorité signifie que beaucoup de gens souhaitent que le Hamas continue de posséder des armes, même s’ils ne le soutiennent pas», a déclaré Shaqaqi. Il a ajouté: «On craint l’objectif ultime d’Israël dans cette guerre et à court terme, le chaos».

Les Gazaouis se plaignent depuis longtemps des pillages et des violences perpétrés par des gangs armés sur l’ensemble du territoire pendant la guerre. «Le danger, en l’absence d’une autorité centrale, est que Gaza soit réparti entre 10 ou 20 milices différentes», a déclaré Miqdad Miqdad, un chercheur de 31 ans qui travaille avec des organisations humanitaires locales et vit à Gaza.

Avec le cessez-le-feu et la diminution de la crainte des bombardements israéliens, Miqdad est rentré chez lui, se sentant plus en sécurité maintenant que l’ordre est revenu dans les rues. «Lorsque les armes ont proliféré sans contrôle et qu’il n’y avait aucun système ni autorité pour faire respecter le pouvoir, ces groupes ont commencé à opérer librement. Les gens ne souhaitent pas forcément que le Hamas reste au pouvoir indéfiniment. Ils veulent simplement la stabilité jusqu’à la formation d’un nouveau gouvernement», explique-t-il. 

Ibrahim Miqdad, 47 ans, habitant de Deir al-Balah, dans le centre de Gaza, a déclaré que la population ne se sent plus perdue avec l’administration du territoire actuellement par Hamas. Il souhaite que le groupe armé conserve ses armes afin de pouvoir continuer à tenir tête à Israël jusqu’à ce que les droits soient rétablis et que la Palestine soit reconnue comme État. 

Si Trump est parvenu à négocier un cessez-le-feu à Gaza, cette accalmie a permis au Hamas de consolider sa position, faute d’alternative crédible sur le territoire qu’il contrôle.

Durant la guerre, le gouvernement israélien a essuyé de vives critiques, y compris de la part de ses propres services de sécurité, pour son incapacité à développer une alternative viable au Hamas. Le WSJ cite Kobi Michael, chercheur principal à l’Institut d’études de sécurité nationale de Tel-Aviv et à l’Institut Misgav, un groupe de réflexion israélien, qui affirme que les Palestiniens continueront à soutenir le Hamas, ou du moins à ne pas s’y opposer, jusqu’à l’émergence d’une alternative.

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Ghaza : l’UNRWA alerte sur l’hiver meurtrier qui menace les déplacés

Von: walid
18. November 2025 um 08:39
Ghaza : l’UNRWA alerte sur l’hiver meurtrier qui menace les déplacés

L’Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a alerté, lundi, sur la situation humanitaire dramatique à Ghaza, où des centaines de milliers de personnes déplacées affrontent l’hiver dans des conditions extrêmement précaires. Selon l’agence, ces familles vivent dans des tentes délabrées, dépourvues d’accès aux besoins essentiels. Dans un message diffusé sur les réseaux […]

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Rakefet, la prison souterraine où Israël entasse les Palestiniens

16. November 2025 um 10:11

Il ne faut plus parler de système carcéral en Israël mais de système de torture. Après le camp de la mort de Sde Teiman dans le désert du Néguev et l’enfer de Megiddo (auquel nous avons consacré un article intitulé Les oubliés du bagne israélien de Meggido), un autre lieu sinistre appelé Rakefet fait parler de lui. Il s’agit d’une prison souterraine conçue pour la détention des 25 pires criminels de droit commun d’Israël. Fermée pendant plus 40 ans car incompatible avec la dignité humaine, elle a été rouverte par le ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben-Gvir en 2023 pour y entasser arbitrairement des Palestiniens, des hommes mais aussi des femmes! 

Imed Bahri

The Guardian a publié une enquête exclusive révélant qu’Israël détient des dizaines de Palestiniens de Gaza dans une prison souterraine appelée Rakefet où les détenus sont privés de la lumière du jour, de nourriture suffisante et de tout contact avec leurs familles ou le monde extérieur. 

Ce enquête, élaborée par la journaliste Emma Graham-Harrison, s’appuie sur les témoignages d’avocats du Comité public contre la torture en Israël (PCATI, Public Committee against torture in Israel) qui se sont rendus sur place et ont rencontré deux détenus civils.

L’une des personnes détenues est une infirmière arrêtée dans l’exercice de ses fonctions en décembre 2023 et l’autre est un vendeur ambulant de 18 ans arrêté à un point de contrôle en octobre 2024.

Tous deux ont été transférés à la prison souterraine de Rakefet en janvier dernier et affirment être régulièrement battus et maltraités, ce qui, selon le journal britannique, correspond aux méthodes de torture déjà signalées dans les prisons israéliennes.

Du crime organisé aux détentions arbitraires des Palestiniens

Construite au début des années 1980 pour incarcérer des membres dangereux du crime organisé, la prison a été fermée quelques années plus tard en raison de ses conditions de détention inhumaines. Cependant, le ministre de la Sécurité nationale d’extrême droite Itamar Ben-Gvir l’a rouverte après le 7 octobre 2013, déclarant : «Le lieu de prédilection des terroristes: sous terre !»

Ce qui distingue cette prison, selon le Guardian, c’est qu’elle est entièrement souterraine : les cellules, la petite cour de promenade et la salle des avocats sont dépourvues de fenêtres et de lumière naturelle.

Conçue à l’origine pour accueillir seulement 15 détenus, la prison en abrite aujourd’hui une centaine, d’après les informations recueillies par le journal auprès du PCATI. 

L’enquête confirme que nombre de détenus sont des civils et que les tribunaux israéliens prolongent leur détention par de brèves visioconférences, sans la présence d’avocats, justifiant cette pratique par la simple phrase: «jusqu’à la fin de la guerre»

Malgré l’accord de cessez-le-feu d’octobre 2015 –en vertu duquel Israël a libéré 1 700 prisonniers de Gaza sans inculpation–, plus d’un millier d’autres restent détenus dont l’infirmière qui n’a pas vu la lumière du jour depuis janvier 2015.

Conditions de détention inhumaines et torture systématique

Le journal britannique cite des avocats décrivant la scène dans la prison lors de leur visite : «Des gardes cagoulés et armés les conduisent en bas des escaliers vers des pièces infestées d’insectes morts et les toilettes sont si sales qu’elles sont inutilisables».

Ils ont ajouté que des caméras surveillent même les réunions des avocats, violant ainsi le droit au respect de la vie privée des détenus. Ils ont également déclaré que les mains et les pieds des détenus sont liés et que leur tête est forcée vers le bas dès leur arrivée.

L’une des avocates, Saja Mishriqi Bransi, a rapporté les propos de l’infirmière lors de leur première rencontre : «Où suis-je? Pourquoi suis-je ici?». Quant au jeune vendeur ambulant, il a dit à l’avocate: «Vous êtes la première personne que je vois depuis mon arrestation. Revenez me voir, s’il vous plaît!» 

Me Mishriqi a ajouté: «La dernière fois que l’infirmière a vu la lumière du jour, c’était le 21 janvier dernier».

Impact psychologique et physique dévastateur

Tal Steiner, directrice générale du PCATI, a décrit la détention souterraine comme «délibérément cruelle avec des conséquences psychologiques et physiques dévastatrices. Il est difficile pour une personne de rester en bonne santé dans des conditions aussi dure».

Elle a souligné que le manque de lumière naturelle provoque des troubles du sommeil et des problèmes de production de vitamine D, affectant ainsi l’immunité et la santé en générale.

Réponses officielles contradictoires

Le Guardian a rapporté que l’administration pénitentiaire israélienne affirme agir conformément à la loi et que la prison est contrôlée mais refuse de divulguer le nombre ou l’identité des prisonniers détenus à Rakefet.

Le ministère de la Justice a déclaré avoir renvoyé les questions à l’armée qui les a, à son tour, renvoyées à l’administration pénitentiaire, dans un cycle d’esquive institutionnelle délibérée.

Israël semble s’accrocher à ce type de détention qui viole les droits humains les plus élémentaires même si les services de renseignement israéliens ont averti que les mauvais traitements infligés aux prisonniers palestiniens menacent la sécurité l’État hébreu à long terme. 

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Gaza : 1872 prisonniers palestiniens libérés dans le cadre de la deuxième vague d’échanges

13. Oktober 2025 um 16:00

Les forces d’occupation israéliennes ont libéré lundi 1872 prisonniers palestiniens, dans le cadre de la deuxième vague de libérations prévues par l’accord de cessez-le-feu signé le 9 octobre.

Trente huit bus et dix ambulances ont transporté les anciens détenus depuis le centre de détention de Ketziot (Néguev) vers la bande de Gaza, où ils ont été accueillis dans une scène d’émotion au complexe médical Nasser à Khan Younès. Plusieurs libérés ont immédiatement reçu des soins médicaux avant de retrouver leurs proches.

Cette deuxième vague comprend 154 prisonniers condamnés à de lourdes peines ou à la perpétuité, transférés vers l’Égypte, ainsi que 1718 détenus originaires de Gaza, arrêtés après le 7 octobre 2023.

Plus tôt dans la journée, une première vague de 96 prisonniers, dont plusieurs condamnés à perpétuité, avait été relâchée du centre pénitentiaire d’Ofer vers Ramallah, dans le cadre du même accord.

Cet accord de cessez-le-feu, annoncé par le président américain Donald Trump, prévoit notamment la fin de la guerre contre Gaza, le retrait des troupes israéliennes, l’entrée massive de l’aide humanitaire et l’échange de prisonniers entre les deux parties.

Selon les organisations de défense des détenus palestiniens, plus de 11 000 personnes restent encore incarcérées dans les prisons israéliennes, souvent dans des conditions inhumaines marquées par la torture, la privation et la négligence médicale.

Depuis le 7 octobre 2023, l’agression contre Gaza a fait 67.869 martyrs et plus de 170.000 blessés, majoritairement des femmes et des enfants. La famine provoquée par le siège a également causé la mort de 463 civils, dont 157 enfants.

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Israël : Un projet de loi pour exécuter les prisonniers palestiniens discuté à la Knesset

29. September 2025 um 12:19

Une commission parlementaire israélienne a examiné hier un projet de loi hautement controversé visant à instaurer la peine de mort pour les prisonniers palestiniens. Soutenu par le ministre de la Sécurité nationale d’extrême droite, Itamar Ben-Gvir, le texte doit encore passer en première lecture devant l’Assemblée générale de la Knesset.

Le projet de loi prévoit l’exécution des prisonniers palestiniens condamnés pour avoir tué des Israéliens, rapporte lundi, l’Agence de presse palestinienne WAFA. Lors de la réunion du Comité de sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir a rejeté les appels à reporter le débat, affirmant : « Cette loi est une question d’actualité, pour créer une forte dissuasion et imposer la peine de mort aux prisonniers. »

L’initiative s’inscrit dans les accords de coalition signés fin 2022 entre le Likoud de Benjamin Netanyahu et le parti d’extrême droite Otzma Yehudit de Ben-Gvir.

En mars 2023, une première version de la loi avait déjà franchi l’étape de la lecture préliminaire à la Knesset, avec le soutien du Premier ministre Netanyahu.

Cette relance intervient alors que l’armée israélienne poursuit ses agressions à Gaza et en Cisjordanie depuis octobre 2023. Plus de 66.000 Palestiniens ont été tués selon les sources palestiniennes, dans un contexte de destructions massives et de tensions exacerbées.

La proposition de loi est perçue par de nombreux observateurs comme une nouvelle escalade de la politique sécuritaire de l’entité sioniste, renforçant l’arsenal répressif contre les prisonniers palestiniens.

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