Au cours de la séance plénière conjointe, tenue dans la soirée de samedi 22 novembre entre l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Conseil national des régions et des districts (CNRD) consacrée à l’examen du projet de budget du ministère des Affaires sociales pour l’année 2026, les députés ont appelé à l’activation en urgence du Fonds d’assurance contre la perte d’emploi et le Fonds de protection sociale des ouvrières agricoles.
Les députés ont critiqué la non publication des décrets d’application organisant ces deux fonds, un an après l’adoption du décret-loi relatif au Fonds de protection sociale des ouvrières agricoles et l’adoption dans la loi de finances de 2025 du projet de création d’un Fonds d’assurance contre la perte d’emploi, malgré les prélèvements effectués pour son financement.
Un certain nombre de députés ont rappelé que le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar, avait annoncé en juin dernier, au cours d’une réunion avec le CNRD, que « les textes d’application étaient prêts et seraient bientôt publiés ». Ils ajoutent que cette mesure n’a toujours pas été exécutée.
Par conséquent, ils exigent la publication des décrets d’application dans le Journal officiel pour activer ces deux fonds en vue d’améliorer le revenu de leur bénéficiaires et de renforcer leur contribution dans le circuit économique.
Les députés ont également exprimé leur mécontentement face à l’absence d’application de la loi interdisant la sous-traitance après la publication du décret numéro 327 de l’année 2025 relatif à l’interdiction de la sous-traitance.
Ils ont souligné que le recours continu à la sous-traitance dans les structures publiques et les établissements privés renforce la précarité de l’emploi et prive les travailleurs de leurs droits, appelant le ministère des affaires sociales à assumer ses responsabilités pour imposer le respect de la loi.
D’autre part, les députés ont appelé à la nécessité d’introduire des réformes au régime de la retraite dans le secteur privé, surtout après la réforme circonstancielle opérée dans le secteur public en 2019.
Certains députés se sont interrogés sur les raisons du retrait des cartes de soins gratuites et des cartes de soins à tarifs réduits « sans justifications », mettant en garde contre les retards administratifs, qui privent les citoyens de leur droit à la santé.
Ils ont également signalé l’absence de mesures concrètes dans la loi de finances de 2026 en faveur des personnes handicapées et l’absence de mécanismes communs avec les ministères de l’éducation et de la formation professionnelle pour réduire le décrochage scolaire et garantir l’inclusion éducative et économique pour cette catégorie.
Par ailleurs, un certain nombre de députés ont appelé à l’augmentation du montant de la prime accordée aux familles démunies fixée à 260 dinars, estimant que cette somme est insuffisante et ne répond pas à leurs besoins vitaux.
Ils ont également souligné le nombre insuffisant des inspecteurs de travail et des assistants sociaux, le manque d’équipements et des moyens de travail et le déséquilibre au niveau de la répartition des bureaux des caisses sociales aux plans local et régional.
La philosophie a été kidnappée. Elle a été arrachée aux agoras, aux cafés, aux rues et aux consciences individuelles pour être emprisonnée dans des facultés aseptisées. Ce que l’on enseigne aujourd’hui sous ce nom n’est trop souvent qu’un simulacre, une momie intellectuelle que l’on commente à l’infini sans jamais lui redonner souffle. Les philosophes médiatiques, quant à eux, sont les bouffons de ce système, des faiseurs d’opinion qui recyclent le bruit ambiant en pseudo-pensée. Mais la philosophie véritable, celle qui mord sur le réel, n’a pas disparu. Elle a déserté les lieux de son supplice pour se réfugier dans le feu de l’acte créateur.
Abdelhamid Larguèche *
La philosophie institutionnelle est une imposture. Elle a oublié que son père fondateur, Socrate, philosophait non pas dans un amphithéâtre, mais sur la place publique. Elle a surtout oublié l’exemple magistral d’Ibn Khaldun, dont les pérégrinations à travers le Maghreb et l’Andalousie furent la matrice vivante de sa pensée. Ce n’est pas dans le silence d’une bibliothèque qu’il élabora sa Muqaddima, mais au contact des tribus, des cours princières, des champs de bataille et des marchés. Sa théorie de la ‘asabiyya (cohésion sociale) et des cycles civilisationnels naquit de l’observation directe des réalités politiques et économiques les plus concrètes, mêlant réflexion méditative et expérience pratique dans un dialogue permanent avec le monde.
L’héritage combattant bafoué
Cet esprit de combat n’a jamais cessé de hanter la vraie philosophie. Marx et Engels ne rédigeaient pas le Manifeste du Parti communiste pour le plaisir de la spéculation abstraite, mais pour armer les prolétaires d’une conscience de classe, transformer la misère quotidienne en force révolutionnaire. Leur célèbre phrase «Les philosophes n’ont fait qu’interpréter le monde diversement ; il s’agit de le transformer» est un acte d’accusation contre toute pensée désincarnée.
Quelques décennies plus tard, un écrivain, Émile Zola, héritait de ce courage avec son J’accuse!. Ce n’était pas un texte littéraire de plus, c’était un acte philosophique pur : risquer sa réputation, sa liberté, sa vie pour la vérité et la justice d’un officier juif injustement condamné. Il incarnait la pensée en action, refusant la distance confortable de l’intellectuel qui observe depuis sa tour d’ivoire.
Aujourd’hui, que reste-t-il de ce combat ? Une caste de spécialistes qui parlent une langue morte, autiste, pratiquant avec délice la «distanciation» face aux crises qui brûlent le monde. Cette distanciation n’est que le nom savant de la lâcheté, l’exact contraire des pérégrinations khaldouniennes qui engageaient le corps et l’esprit dans la compréhension du réel. C’est la trahison suprême de l’héritage de Socrate, d’Ibn Khaldun, de Marx, de Zola. On a stérilisé la pensée, on l’a coupée de ses racines : la colère, la passion, le désespoir et l’espoir des femmes et des hommes.
L’art, dernier bastion de la pensée en révolte
Face à cette trahison, l’art est devenu la nouvelle guérilla philosophique. Là où le professeur pontifie sur l’aliénation sans jamais affronter le système qui la produit, l’artiste la rend palpable. Là où l’un disserte sur «le mal», l’autre, comme Goya, grave l’horreur de la guerre dans Los Desastres. Là où l’un théorise «le temps», l’autre, comme Chadi Abdel Salam, le rend palpable, structurant comme dans La Momie.
L’artiste est l’héritier direct du philosophe-séditieux, du penseur en mouvement. Comme Ibn Khaldun parcourant les routes pour comprendre les mécanismes de l’histoire, l’artiste arpente les territoires mouvants de la sensibilité contemporaine. Il ne représente pas la pensée; il la fait. Avec ses mains, avec la matière, avec son corps. Il pense en sculptant, en filmant, en peignant. Il se souvient que la philosophie n’est pas une discipline, mais une intensité, un engagement total.
L’IA, nouveau champ de bataille
L’intelligence artificielle (IA), loin d’être une menace pour la pensée, est une gifle salutaire. Elle nous force à cesser de nous adorer nous-mêmes. Que vaut notre «génie créateur» face à une machine qui synthétise et compose ? Notre «libre arbitre» face à un algorithme qui prédit ? C’est une occasion unique de rejouer les grands débats philosophiques, non plus dans l’abstrait, mais dans le concret le plus brutal.
L’IA est le nouveau désert que nous devons traverser, la nouvelle géographie mentale où doivent s’engager nos pérégrinations, comme Ibn Khaldun en son temps. Elle nous interpelle dans la rue numérique : «Connais-toi toi-même, si tu l’oses encore.»
Pour un philosophe en permanente sédition
Le philosophe de demain doit cesser d’être un notaire du passé. Il doit redevenir un dissonant, un pirate des significations établies, un pèlerin du réel à la manière d’Ibn Khaldun. Il n’a pas de chaire, il a un atelier, un studio, un code à écrire, des routes à parcourir. Il est plasticien, cinéaste, poète ou codeur. Son œuvre n’illustre pas un concept; elle «est» le concept en acte. Sa mission n’est pas de répondre, mais de déranger, de créer des brèches dans le confort mental, de maintenir ouvertes les plaies du questionnement.
La philosophie n’est pas morte. Elle a simplement déserté les facultés pour rejoindre la résistance. Elle est dans le geste de l’artiste qui défie, dans le code du développeur qui interroge, dans le corps du danseur qui incarne, dans les pérégrinations de ceux qui, refusant le confort du bureau, vont chercher la pensée au cœur des turbulences du monde. Le vrai philosophe aujourd’hui n’est pas celui qui parle d’une vie qu’il ne vit pas. C’est celui qui se tait, serre les dents, et crée.
Donald Trump a proposé un plan en 28 points pour mettre fin au conflit russo-ukrainien. Ce plan, ébruité vendredi 21 novembre 2025, et dont nous reproduisons ci-dessous l’essentiel, reprend les principales exigences formulées par la Russie depuis le début de l’invasion du territoire de son voisin, au printemps 2022. Il a été préparé sans la participation des Ukrainiens ni des Européens qui les soutiennent et Washington y accepte pratiquement toutes les exigences du Kremlin.
Habib Glenza
Dans le cadre de ce plan, l’Ukraine recevrait des garanties de sécurité sans troupes de l’Otan sur son sol et les Etats-Unis compensés en retour. Par ailleurs, l’Union européenne (UE) aurait un rôle marginal et limité dans cette paix. En accueillant l’Ukraine dans son marché, elle en assumerait le coût.
Les actifs russes gelés, majoritairement détenus dans les pays européens, seraient utilisés principalement par les Etats-Unis, a concurrence de 100 milliards de dollars, qui serviraient à financer les efforts de construction et d’investissement en Ukraine, investissements dont la part de Washington s’élèverait à 50%. Le reste des fonds financerait des investissements russo-américains, tandis que l’Europe mettrait sur la table une enveloppe de 100 milliards de dollars.
La mise en œuvre de ce plan serait être assuré par Conseil de paix, sous la supervision du M. Trump lui-même.
Les 28 points du plan de paix sont les suivants:
1. la souveraineté de l’Ukraine sera confirmée;
2. un accord de non-agression complet et exhaustif sera conclu entre la Russie, l’Ukraine et l’Europe. Toutes les ambiguïtés des 30 dernières années seront considérées comme réglées;
3. il est prévu que la Russie n’envahisse pas les pays voisins et que l’Otan ne s’étende pas davantage [à l’est];
4. un dialogue sera organisé entre la Russie et l’Otan, avec la médiation des États-Unis, afin de résoudre toutes les questions de sécurité et de créer les conditions propices à une désescalade, dans le but de garantir la sécurité mondiale et d’accroître les possibilités de coopération et de développement économique futur;
5. l’Ukraine bénéficie de garanties de sécurité fiables;
6. le nombre des forces armées ukrainiennes sera réduit à 600 000 soldats;
7. l’Ukraine accepte d’inscrire dans sa constitution qu’elle ne rejoindra pas l’Otan, et l’Otan accepte d’inclure dans ses statuts une disposition stipulant que l’Ukraine ne sera pas admise à l’avenir;
8. l’Otan accepte de ne pas stationner de troupes en Ukraine;
9. des avions de combat européens seront stationnés en Pologne;
10. la garantie américaine :
– les États-Unis recevront une compensation pour cette garantie;
– si l’Ukraine envahit la Russie, elle perdrait cette garantie;
– si la Russie envahit l’Ukraine, outre une réponse militaire coordonnée décisive, toutes les sanctions internationales seront rétablies, la reconnaissance du nouveau territoire et tous les autres avantages de cet accord seront révoqués;
– si l’Ukraine lance un missile sur Moscou ou Saint-Pétersbourg sans raison valable, la garantie de sécurité serait considérée comme nulle et non avenue;
11. l’Ukraine est éligible à l’adhésion à l’Union européenne et bénéficiera d’un accès préférentiel à court terme au marché européen pendant que cette question est examinée;
12. un ensemble de mesures mondiales puissantes pour reconstruire l’Ukraine, comprenant notamment, mais sans s’y limiter :
a. la création d’un Fonds de développement ukrainien destiné à investir dans les secteurs à forte croissance, notamment les technologies, les centres de données et l’intelligence artificielle;
b. les États-Unis coopéreront avec l’Ukraine pour reconstruire, développer, moderniser et exploiter conjointement les infrastructures gazières ukrainiennes, y compris les gazoducs et les installations de stockage;
c. efforts conjoints pour réhabiliter les zones touchées par la guerre en vue de la restauration, de la reconstruction et de la modernisation des villes et des zones résidentielles, et développement des infrastructures;
e. extraction de minéraux et de ressources naturelles;
f. la Banque mondiale mettra au point un programme de financement spécial pour accélérer ces efforts;
13. la Russie sera réintégrée dans l’économie mondiale :
a. la levée des sanctions sera discutée et convenue par étapes et au cas par cas;
b. les États-Unis concluront un accord de coopération économique à long terme pour le développement mutuel dans les domaines de l’énergie, des ressources naturelles, des infrastructures, de l’intelligence artificielle, des centres de données, des projets d’extraction de métaux rares dans l’Arctique et d’autres opportunités commerciales mutuellement avantageuses;
c. la Russie sera invitée à rejoindre le G8;
14. les fonds gelés seront utilisés comme suit : 100 milliards de dollars provenant des actifs russes gelés seront investis dans les efforts menés par les États-Unis pour reconstruire et investir en Ukraine. Les États-Unis recevront 50% des bénéfices de cette opération. L’Europe ajoutera 100 milliards de dollars afin d’augmenter le montant des investissements disponibles pour la reconstruction de l’Ukraine. Le reste des fonds russes gelés sera investi dans un train d’investissement américano-russe distinct qui mettra en œuvre des projets communs dans des domaines spécifiques. Ce fonds aura pour objectif de renforcer les relations et d’accroître les intérêts communs afin de créer une forte incitation à ne pas revenir au conflit;
15. un groupe de travail conjoint américano-russe sur les questions de sécurité sera créé afin de promouvoir et de garantir le respect de toutes les dispositions du présent accord;
16. la Russie inscrira dans sa législation sa politique de non-agression envers l’Europe et l’Ukraine;
17. les États-Unis et la Russie conviendront de prolonger la validité des traités sur la non-prolifération et le contrôle des armes nucléaires, y compris le traité Start I;
18. l’Ukraine accepte d’être un État non nucléaire conformément au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires;
19. la centrale nucléaire de Zaporijia sera mise en service sous la supervision de l’AIEA, et l’électricité produite sera répartie à parts égales entre la Russie et l’Ukraine (50/50);
20. Les deux pays s’engagent à mettre en œuvre des programmes éducatifs dans les écoles et la société visant à promouvoir la compréhension et la tolérance des différentes cultures et à éliminer le racisme et les préjugés;
a. l’Ukraine adoptera les règles de l’Union européenne en matière de tolérance religieuse et de protection des minorités linguistiques;
b. les deux pays conviendront d’abolir toutes les mesures discriminatoires et de garantir les droits des médias et de l’éducation ukrainiens et russes;
c. Toute idéologie et activité nazies doivent être rejetées et interdites;
21. Territoires :
a. la Crimée, Louhansk et Donetsk seront reconnues comme russes de facto, y compris par les États-Unis;
b. Kherson et Zaporijia seront gelées le long de la ligne de contact, ce qui signifiera une reconnaissance de facto le long de la ligne de contact;
c. la Russie renoncera aux autres territoires convenus qu’elle contrôle en dehors des cinq régions;
d. les forces ukrainiennes se retireront de la partie de l’oblast de Donetsk qu’elles contrôlent actuellement, et cette zone de retrait sera considérée comme une zone tampon démilitarisée neutre, internationalement reconnue comme territoire appartenant à la Fédération de Russie. Les forces russes n’entreront pas dans cette zone démilitarisée;
22. après s’être mises d’accord sur les futurs arrangements territoriaux, la Fédération de Russie et l’Ukraine s’engagent à ne pas modifier ces arrangements par la force. Aucune garantie de sécurité ne s’appliquera en cas de violation de cet engagement;
23. la Russie n’empêchera pas l’Ukraine d’utiliser le Dniepr à des fins commerciales, et des accords seront conclus sur le libre transport des céréales à travers la mer Noire;
24. un comité humanitaire sera créé pour résoudre les questions en suspens :
a. tous les prisonniers et corps restants seront échangés sur la base du principe «tous pour tous».
b. tous les détenus civils et otages seront libérés, y compris les enfants;
c. un programme de réunification familiale sera mis en œuvre;
d. des mesures seront prises pour soulager les souffrances des victimes du conflit;
25. l’Ukraine organisera des élections dans 100 jours;
26. toutes les parties impliquées dans ce conflit bénéficieront d’une amnistie totale pour leurs actions pendant la guerre et s’engagent à ne faire aucune réclamation ni à examiner aucune plainte à l’avenir;
27. cet accord sera juridiquement contraignant. Sa mise en œuvre sera surveillée et garantie par le Conseil de paix, présidé par le président Donald J. Trump. Des sanctions seront imposées en cas de violation;
28. une fois que toutes les parties auront accepté ce mémorandum, le cessez-le-feu prendra effet immédiatement après le retrait des deux parties vers les points convenus pour commencer la mise en œuvre de l’accord.
Le forum régional sur la formation professionnelle et l’emploi dans le secteur du textile a clôturé ses travaux, vendredi 21 novembre, à Sfax, à travers des visites de terrain au Centre sectoriel de formation en habillement « Mohamed-Ali » et à deux entreprises de textile de la région.
L’objectif de ce forum est d’encourager les jeunes à se former dans le secteur du textile, un secteur porteur, employeur et fortement demandeur de main-d’œuvre, a souligné la directrice régionale de l’emploi et de la formation professionnelle, Noura Zaïdi, citée par la TAP.
Dans le cadre de ce partenariat entre le ministère et l’AICS (Agence italienne pour la coopération au développement), les jeunes pourront bénéficier d’une formation professionnelle de qualité, suivie d’un recrutement et d’une intégration au sein des entreprises du textile. a-t-elle ajouté.
Elle a précisé que plus de 300 entreprises du textile sont implantées dans le gouvernorat de Sfax, mais 20 d’entre elles ont adhéré à ce programme.
Parmi ces entreprises, huit grandes structures seront appuyées sur le plan technique, tandis que les unités de plus petite taille bénéficieront d’un dispositif d’accompagnement combinant appui technique et soutien financier.
Ce forum régional a attiré prés de 300 jeunes, issus de niveaux d’enseignement variés, demandeurs d’emploi ou déjà formés dans la formation professionnelle.
Il s’est déroulé sur deux jours en partenariat avec le ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle, l’Agence italienne pour la coopération au développement, les espaces d’exposition représentés par ledit centre sectoriel, des centres privés de formation professionnelle, des entreprises économiques et des structures d’appui.
« Le marché boursier a clôturé la séance de vendredi, 21 novembre 2025, du bon pied. L’indice de référence a pris +0,52% à 13262,04 points, dans un volume soutenu de 9,5 MDT », selon l’analyse de l’intermédiaire en Bourse, Tunisie Valeurs. Et de préciser qu’aucune transaction de bloc n’a été réalisée sur la séance.
Sans faire l’objet de transactions sur la séance, le titre SIPHAT s’est adjugé la meilleure performance de la cote, signant une progression de 4,5% à 7,780 D.
Le titre Tuninvest a inscrit une avancée de 4,5% à 38,750 D. La valeur a été transigée à hauteur de 54 mille dinars sur la séance.
Le titre Somocer a accusé la plus forte baisse de la séance. L’action du spécialiste en céramique s’est effritée de 4,4% à 0,430 D, dans un volume très réduit de 3 mille dinars.
Le titre SIAME a, lui aussi, terminé la séance sur une note morose. Dans un volume limité de 7 mille dinars, l’action a reculé de 4,3% à 2,480 D.
Le titre SAH Lilas s’est adjugé le volume le plus élevé de la séance. L’action a gagné 1,1% à 13,500 D en animant le marché avec des capitaux de 1,6 MDT.
Le président de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky, a déclaré, jeudi 20 novembre, avoir accepté de travailler sur le plan de paix élaboré par les États-Unis et la Russie, dans le but de « parvenir à une fin juste à la guerre ».
Dans un communiqué de la présidence ukrainienne, Kiev annonce avoir reçu officiellement le plan de Washington. Lequel peut donner un nouvel élan aux efforts diplomatiques visant à mettre fin au conflit. « Les parties se sont engagées à travailler sur les dispositions du plan de manière à parvenir à une fin juste à la guerre ». C’est encore ce qu’indique le communiqué publié après la rencontre de Zelensky avec des hauts gradés américains à Kiev.
Selon le même communiqué, Zelensky prévoit de discuter dans les prochains jours avec le président Trump « des possibilités diplomatiques existantes et des points clés nécessaires pour parvenir à la paix ».
Rappelons que l’envoyé spécial du président américain Donald Trump, Steve Witkoff, a présenté à Kiev un document en 28 points. Il s’était entretenu auparavant à Miami avec Rustam Umerov, actuel secrétaire du Conseil national de sécurité et de défense ukrainien et ancien ministre de la Défense.
Le projet exigerait que l’Ukraine abandonne le reste du Donbass encore sous contrôle de Kiev et réduise de moitié la taille de son armée. Il demanderait également à Kiev de renoncer à certaines catégories d’armements clés et prévoit la fin de l’aide militaire américaine. Un soutien pourtant vital pour la défense du pays.
L’acceptation d’un tel plan constituerait un revers majeur pour Kiev…
Daten des HCP zeigen einen Rückgang der Lebenshaltungskosten im Oktober, während die Jahresinflation kaum spürbar ist. Die Entwicklung des Verbraucherpreisindexes (VPI) bzw. Inflation in Marokko ist ein wichtiger Indikator für die wirtschaftliche Stabilität und Entwicklung für die Verbraucherinnen und Verbraucher. Das Haut-Commissariat au Plan (HCP), die offizielle Statistikbehörde des Landes, veröffentlichte kürzlich ihre Zahlen für […]
Les Prix Ali Bousnina de recherche en cardiologie et chirurgie cardiovasculaire 2025, initiés des Laboratoires Saiph, ont été décernés dans la soirée du 20 novembre 2025, à Tunis, par le Professeur Mustapha Ferjani, ministre de la Santé, en marge de la cérémonie d’ouverture du 45e Congrès national de cardiologie et de chirurgie cardio-vasculaire.
Le 1er prix a été attribué à l’équipe du service de cardiologie de l’Hôpital de Menzel Bourguiba, pour son travail intitulé «Multifactorial cardioprotective effects OG Grape seed flour in post-ACS : a randomized controlled» (Effets cardioprotecteurs multifactoriels de la farine de pépins de raisin après un syndrome coronarien aigu).
Le 2e prix a été attribué l’équipe du service de cardiologie de l’Hôpital Hédi Chaker de Sfax, pour son travail intitulé : «Effectiveness on an impedance cardiography guided treatment strategy to improve blood pressure control» (Efficacité d’une stratégie thérapeutique guidée par la cardiographie d’impédance (ICG) pour améliorer le contrôle de la pression artérielle).
La cérémonie de remise des prix s’est déroulée en présence d’un grand nombre de cardiologues et chirurgiens cardiovasculaires tunisiens et étrangers et du Professeur Souad Bousnina épouse de feu Ali Bousnina.
Le Prix Ali Bousnina a été initié en 2006 par le ministère de la Santé, la Société tunisienne de cardiologie et de chirurgie cardio vasculaire (STCCCV) et les Laboratoires pharmaceutiques Saiph, pour encourager la recherche nationale en matière de prévention et de prise en charge des pathologies cardiaques.
En 19 ans ce prix a permis d’enrichir la recherche médicale tunisienne de centaines d’études qui ont contribué à une meilleure prise en charge des pathologies cardiovasculaires, premières causes de mortalité en Tunisie.
Les États-Unis ont élaboré un plan visant à mettre fin à la guerre en Ukraine et ont exhorté le président Volodymyr Zelensky à l’accepter. Ce projet, présenté comme une base de négociation, demanderait à Kiev de céder des territoires et de renoncer à certaines capacités militaires jugées essentielles.
Selon plusieurs sources, le texte prévoit notamment une réduction significative des forces armées ukrainiennes. Washington souhaiterait que Kiev accepte les éléments centraux de ce plan.
Comme l’a rapporté mercredi 19 novembre le Financial Times, l’envoyé spécial du président américain Donald Trump, Steve Witkoff, a présenté cette semaine à Kiev un document en 28 points. Il s’était entretenu auparavant à Miami avec Rustam Umerov, actuel secrétaire du Conseil national de sécurité et de défense ukrainien et ancien ministre de la Défense.
Le projet exigerait que l’Ukraine abandonne le reste du Donbass encore sous contrôle de Kiev et réduise de moitié la taille de son armée. Il demanderait également à Kiev de renoncer à certaines catégories d’armements clés et prévoit la fin de l’aide militaire américaine. Un soutien pourtant vital pour la défense du pays.
L’acceptation d’un tel plan constituerait un revers majeur pour Kiev. Alors que la Russie poursuit ses avancées dans l’est du pays et que l’administration Zelensky est fragilisée par un scandale de corruption ayant conduit à la suspension des ministres de l’Énergie et de la Justice.
En déplacement en Turquie, mercredi 19 novembre pour rencontrer Recep Tayyip Erdogan, Zelensky doit recevoir jeudi des responsables militaires américains à Kiev. Ces initiatives diplomatiques ont entraîné mercredi la plus forte hausse des obligations souveraines ukrainiennes depuis plusieurs mois.
Des terres contre des garanties ?
Selon Axios, qui cite un responsable américain, le nouveau plan prévoirait que l’Ukraine cède une partie de l’est du pays qu’elle ne contrôle déjà plus. Et ce, en échange de garanties de sécurité américaines destinées à protéger Kiev et les pays européens contre une nouvelle agression russe.
Un diplomate européen a estimé qu’il pourrait s’agir d’une tentative de l’administration Trump « d’acculer Kiev ». Tout en rappelant qu’aucune solution viable ne saurait ignorer la position de l’Ukraine ni celle des alliés européens. Un autre diplomate a jugé que la proposition de réduire l’armée ukrainienne ressemblait davantage à une demande russe qu’à une initiative crédible.
La municipalité de Sidi Bouzid poursuit la réalisation d’une série de projets d’infrastructure, pour un investissement global estimé à près de 11 millions de dinars, couvrant divers domaines de services municipaux et d’aménagement urbain.
Les projets déjà parachevés ou en cours de réalisation au sein de la municipalité de Sidi Bouzid mobilisent un investissement de 8,6 millions de dinars, a indiqué à la TAP Mohamed Salah Khaskhoussi, chargé de la gestion municipale.
Ils portent notamment sur l’alimentation en eau potable de quartiers périurbains, le revêtement de trois routes d’un coût global de 4,5 millions de dinars, ainsi que l’aménagement de pistes rurales et d’espaces résidentiels.
La municipalité intervient également dans le renforcement de l’éclairage public dans les zones d’extension des délégations de Sidi Bouzid-Est, Ouest et Hichria, avec l’installation de 89 points lumineux à énergie solaire, pour un montant de 561 mille dinars.
S’y ajoutent des projets de construction civile, dont une station d’épuration à l’abattoir municipal (2,5 millions de dinars), une circonscription municipale à Hichria (700 mille dinars) et un futur centre d’archivage pour environ 240 mille dinars.
Le défenseur brésilien du Real Madrid, Eder Militao, souffre d’une blessure à l’adducteur de la jambe droite, a annoncé mercredi le club madrilène sans fournir de précision sur la durée de son indisponibilité.
L’international brésilien, âgé de 27 ans, a été remplacé à la 58e minute du match amical disputé mardi soir par la Seleçao face à la Tunisie (1-1).
Les examens effectués mercredi par les médecins du Real ont révélé qu’il souffrait d’une “blessure musculaire à l’adducteur majeur de la jambe droite”, précise le club dans un communiqué.
Les médias espagnols évoquent une indisponibilité de l’ordre de deux semaines. Militao ne devrait pas être aligné ce week-end contre Elche en championnat et la semaine prochaine en Ligue des champions contre l’Olympiakos.
Avec les absences longue durée d’Antonio Rüdiger et de David Alaba, l’entraîneur madrilène Xabi Alonso ne dispose plus que deux défenseurs centraux de métier, Raúl Asencio et Dean Huijsen.
La Tunisie vient de franchir une étape majeure dans la valorisation de sa filière dattière, avec l’intégration officielle de la Deglet Nour dans la nouvelle norme internationale du Codex Alimentarius dédiée aux dattes fraîches. Grâce à l’implication active du Centre Technique des Industries Alimentaires (CTIA) et du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, […]
Les principales difficultés du système de santé en Tunisie, ainsi que les revendications des jeunes médecins ont été au centre des interventions des députés de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), ce mercredi, lors de la séance plénière conjointe avec le Conseil national des régions et des districts (CNRD) consacrée à l’examen du budget du ministère de la santé au titre de 2026.
Les députés ont évoqué le manque de personnel médical et paramédical, l’insuffisance des équipements, la dégradation des infrastructures et l’impact de ces lacunes sur la qualité des services, particulièrement dans les régions intérieures et les zones rurales.
Ils ont appelé à transformer certains hôpitaux locaux en hôpitaux régionaux, en les dotant de médecins spécialistes, d’équipements de diagnostic modernes et d’unités médicales complètes, tout en assurant la continuité du travail dans les services d’urgence.
Plusieurs députés ont également rappelé l’importance de mettre en œuvre les accords conclus avec les jeunes médecins et la nécessité de garantir leur stabilité afin d’assurer la continuité des soins pour tous les patients.
Le député Houssem Mahjoub a rappelé les défis majeurs auxquels fait face le système de santé, citant notamment le manque de personnel, les équipements insuffisants et la dégradation des infrastructures.
Il a, dans ce contexte, appelé à l’extension de l’hôpital local de Msaken et à sa transformation en hôpital régional, ainsi qu’au renforcement du nombre de médecins spécialistes, notamment en ophtalmologie et en gynécologie-obstétrique.
Il a aussi signalé le manque important d’agents de gardiennage, nettoyage, maintenance et demandé l’application des accords avec les jeunes médecins.
Pour sa part, le député Mohsen Hermi a évoqué les difficultés du secteur de la santé dans la région de Fernana et au Nord de Jendouba, où les consultations externes sont presque inexistantes. Il a signalé une forte pénurie de médicaments, surtout pour les maladies chroniques, ainsi que l’absence régulière de médecins dans certains dispensaires. Il a également alerté sur la vétusté des infrastructures et le manque d’équipements dans les services d’urgence.
Le député Fadhel Ben Torkeya a indiqué que l’hôpital de Kélibia souffre d’un manque de personnel médical, administratif et d’agents, relevant le manque déplorable de médecins spécialistes, ce qui limite les services offerts dans cette région peuplée.
Il a, en outre, souligné le besoin de remplacer plusieurs cadres médicaux dans les délégations voisines.
De son côté, la députée Basma Hammami a dénoncé le manque de communication entre le ministère et les députés, ce qui entrave la résolution des problèmes sanitaires des régions intérieures. Elle a aussi souligné la nécessité d’appliquer les accords conclus avec les jeunes médecins.
La députée a également évoqué l’infrastructure vétuste de l’hôpital régional de Siliana, le manque de centres de santé de base fonctionnels dans les zones rurales et l’insuffisance des services de secours dans plusieurs délégations appelant à améliorer l’intervention rapide dans les zones lointaines pour sauver les vies.
Le député Mohamed Ali a appelé à accélérer la mise en œuvre de l’accord du 3 juillet 2025 portant sur la régularisation de la situation des jeunes médecins, estimant que sa non application nuit à la crédibilité de l’État et accentue la crise du manque de personnel médical.
Au cours des neuf premiers mois 202, les exportations des secteurs agricole et agroalimentaire vers le marché marocain ont dépassé les 338,5 millions de dinars .
L’huile d’olive et les dattes figurent parmi les produits tunisiens les plus importants destinés à ce marché, selon les données du Centre de Promotion des Exportations (CRPEX).
En effet, le centre a organisé des rencontres professionnelles bilatérales entre une délégation d’acheteurs marocains et des représentants de 20 entreprises tunisiennes opérant dans l’agroalimentaire.
Organisées par le CEPEX, en coordination avec sa représentativité commerciale à Casablanca, ces rencontres se veulent une occasion pour renforcer la présence des produits tunisiens sur le marché marocain et de prospecter les opportunités de coopération et de développement des échanges commerciaux entre les deux pays.
La visite de la délégation marocaine se poursuit les 19 et 20 novembre. Au programme figurent des visites de terrain auprès de plusieurs entreprises tunisiennes exportatrices de l’huile d’olive, des dattes et des conserves.
L’objectif est de prendre connaissance directement de la qualité des produits alimentaires tunisiens et leur conformité aux normes internationales.
Le marché boursier a gagné quelques points sur la séance (+0,09 %), terminant à 13 153 points. En l’absence de transactions de bloc, les échanges ont été modestes, cumulant une enveloppe de 6,7 millions de dinars (MDT), selon l’intermédiaire en Bourse, Tunisie Valeurs.
Le titre UBCI s’est adjugé la plus forte hausse de la séance, l’action du banquier s’est appréciée de 4,5 % à 28,540 D, dans de maigres échanges de 7 000 dinars.
LAND’OR a été la valeur vedette de la séance. L’action du fromager a chapeauté le palmarès des volumes en drainant une enveloppe de 794 000 dinars. La valeur s’est bonifiée de 3,7 % à 14,200 D sur la séance.
Le titre AIR LIQUIDE a accusé la plus forte correction à la baisse de la séance. L’action a reculé de 3,2 % à 150 D, en amassant un flux très réduit de 6 000 dinars.
Le titre MAGASIN GENERAL a, également, été mal orienté sur la séance, cédant 2,3 % à 8,600 D. La valeur a brassé des capitaux limités de 14 000 dinars sur la séance.
Le Panama, Haïti et Curaçao ont validé leur billet pour la Coupe du monde 2026 en terminant premiers de leurs groupes lors des éliminatoires de la zone Concacaf, dans la nuit de mardi à mercredi.
Des victoires décisives pour le Panama et Haïti
Le Panama a conclu sa campagne sur un succès convaincant 3-0 contre le Salvador dans le groupe A, participant ainsi à sa deuxième Coupe du monde après 2018. Haïti, surnommé « Les Grenadiers », s’est imposé 2-0 face au Nicaragua dans le groupe C et disputera également son deuxième Mondial, après 1974.
Curaçao, le plus petit pays qualifié de l’histoire
Dans le groupe B, Curaçao a tenu la Jamaïque en échec (0-0) pour conserver la première place. Avec environ 150.000 habitants, l’île devient le pays le moins peuplé à se qualifier pour une Coupe du monde.
Vers les barrages intercontinentaux
Les co-organisateurs États-Unis, Canada et Mexique rejoignent ces équipes parmi les nations directement qualifiées de la région. Les deux meilleurs deuxièmes de la zone Concacaf participeront en mars à un tournoi de barrages intercontinentaux avec l’Irak, la République démocratique du Congo, la Bolivie et la Nouvelle-Calédonie, pour tenter de décrocher les deux derniers billets pour le Mondial 2026.
Le marché boursier a clôturé la séance sur une note haussière. L’indice de référence a pris 0,3 % à 13140,6 points dans un volume modeste de 5,4 millions de dinars (MD) , selon l’analyse quotidienne de l’intermédiaire en bourse Tunisie valeurs.
La séance a été marquée par la réalisation d’une transaction de bloc sur le titre POULINA GROUP HOLDING, portant sur un montant de 1 MD. Le titre BNA ASSURANCES s’est offert la meilleure performance de la séance. L’action de la compagnie d’assurances s’est hissée de 3,5 % à 3D, dans un faible volume de 186 mille dinars. Le titre TUNISAIR s’est retrouvé parmi les plus fortes hausses de la séance.
L’action du transporteur national s’est bonifiée de 2,9 % à 0,350 D, dans un flux dérisoire de mille dinars. Le titre ESSOUKNA s’est placé en lanterne rouge du Tunindex. L’action du promoteur immobilier a trébuché de –2 % à 2,450 D, dans de maigres échanges de 6 mille dinars. Le titre SAM a affiché un parcours boursier décevant sur la séance.
L’action a accusé une glissade de -1,9 % à 5,600 D dans un volume limité de 19 mille dinars. POULINA GROUP HOLDING a été la valeur la plus échangée de la séance, ayant amassé un volume de 1,6 MD. Le titre du plus grand holding en Tunisie a gagné 0,4 % à 17,200 D.
Les travailleurs du secteur privé de la région de Sfax ont observé, ce mardi, une grève de travail pour protester contre “l’atteinte au droit syndical, le blocage des négociations sociales et leur privation de l’augmentation salariale au titre de l’année 2025”. Dans une déclaration à l’agence TAP lors d’un rassemblement ouvrier devant le siège de […]
Ce mardi 18 novembre, les automobilistes empruntant la N3 A1 en direction de Sousse et Hammamet devront suivre une déviation partielle, le temps des travaux sur l’échangeur de l’Hôpital des Grands Brûlés à Ben Arous. La mesure, mise en place dès 9h30, s’inscrit dans le projet d’extension de l’entrée sud de Tunis.
Une bretelle provisoire pour sécuriser les travaux
Les travaux concernent l’échangeur reliant la Route Nationale n°3 A1 et la Route Régionale n°22, dans le cadre du lot n°03 du projet d’extension sud de la capitale. Pour permettre aux équipes de poursuivre les interventions en toute sécurité, la circulation a été redirigée vers une bretelle provisoire récemment aménagée.
Les automobilistes venant de l’intersection de la Yahoudia et de la Nationale n°3, et se dirigeant vers la banlieue sud ou Hammamet, doivent désormais emprunter cette voie temporaire. Les autorités routières recommandent prudence et respect de la signalisation pour éviter tout incident.