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Gestern — 20. September 2024Haupt-Feeds

Une société écran du Mossad a fabriqué les bipeurs piégés du Hezbollah

20. September 2024 um 07:33

Le New York Times a publié une enquête préparée par Shierra Franklin, Ronen Bergman et Hwaida Saad dans laquelle ils affirment qu’Israël n’a pas saboté les bipeurs utilisés par le Hezbollah mais les a plutôt fabriqués via une société écran du Mossad, les renseignements extérieurs israéliens, basée en Hongrie dans le cadre d’une opération sophistiquée.

Imed Bahri

Les bipeurs ont commencé à faire retentir les sirènes à 15h30 au Liban mardi 17 septembre alertant les membres du Hezbollah qu’un message était arrivé de leurs dirigeants. Sauf que ce ne sont pas les dirigeants du parti qui ont envoyé ces messages mais plutôt l’ennemi juré du Hezbollah à savoir Israël. Quelques secondes après les messages, des explosions et des cris de douleur et de panique ont été entendus dans les rues, les magasins et les maisons de la plupart des régions du Liban.

La première vague des explosions des bipeurs mardi a tué 11 personnes et en a blessé plus de 3 000. Quant à la deuxième vague survenue mercredi  au cours de laquelle les talkies-walkies ont explosé, elle a tué une vingtaine de personnes et en a blessé des centaines. Tous les morts n’étaient pas des membres du Hezbollah mais il y avait aussi des enfants.

Opération planifiée depuis longtemps

Bien qu’Israël n’ait ni confirmé ni nié sa relation avec l’opération au Liban, 12 responsables israéliens actuels et anciens, qui ont été informés de l’attaque, ont confirmé que Tel Aviv en était responsable. Ils ont décrit l’opération comme complexe et planifiée depuis longtemps. Le journal américain a souligné que les bipeurs et les engins explosifs constituent une balle dans le conflit qui dure depuis des décennies entre le Hezbollah et Israël.

Israël a eu recours au piratage informatique pour retarder les progrès du nucléaire iranien. Au Liban, le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a conclu que l’utilisation par Israël de technologies de pointe pour poursuivre et cibler les dirigeants du parti conduirait à son affaiblissement. C’est pourquoi il a ordonné à ses commandants et à ses soldats de cesser d’utiliser les téléphones portables.

Il a déclaré dans un discours: «Vous demandez, où est l’informateur? Je vous dis que l’informateur est le téléphone entre vos mains et en possession de vos femmes et de vos enfants. Il a appelé les combattants à enterrer les téléphones portables, à les mettre dans une boîte en fer et à la fermer avec un cadenas.»

Le Hezbollah fait pression depuis des années pour investir dans des bipeurs comme moyen de communication low-tech entre ses membres. Ces appareils reçoivent des informations et des appels sans déterminer la localisation de l’appelant ni révéler d’autres informations selon une évaluation américaine.

Le journal affirme que les responsables israéliens ont vu là une opportunité d’infiltrer le Hezbollah. Avant que Nasrallah n’étende l’utilisation des bipeurs, les Israéliens ont élaboré un plan et créé une entité se présentant comme une société internationale pour fabriquer ces appareils.

Le journal affirme que B.A.C. Consulting, une société basée en Hongrie qui avait signé un contrat pour produire les appareils pour le compte d’une société taïwanaise Gold Appolo, produisait des bipeurs réguliers pour d’autres clients mais que le client qui l’intéressait était le Hezbollah et que les bipeurs qu’elle produisait pour le mouvement libanais n’étaient pas ordinaires car ils contenaient des batteries remplies d’explosifs PETN (tétranitrate de pentaérythritol) selon trois agents des renseignements. L’entreprise a commencé à expédier des bipeurs au Liban en 2022 et a augmenté ses cadences de production lorsque Nasrallah a appelé à l’arrêt de l’utilisation des téléphones portables.

Les expéditions de bipeurs vers le Liban ont augmenté au cours de cet été avec des milliers arrivées et distribuées aux officiers du Hezbollah et à leurs alliés selon les responsables du renseignement. Pour le parti, les dispositifs constituaient une mesure défensive tandis que les services de renseignement israéliens les qualifiaient de boutons sur lesquels on pouvait appuyer le moment venu.

Des explosifs actionnés à distance

Il semble que ce moment soit venu cette semaine. Dans un discours prononcé devant son cabinet de guerre, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré qu’il ferait tout ce qui est en son pouvoir pour rapatrier prochainement plus de 70 000 colons des régions du nord frontalières du Liban qui ont été déplacés en raison de la confrontation avec le Hezbollah qui dure depuis octobre 2023.

Il a déclaré qu’ils ne pourront pas rentrer sans un changement fondamental dans la sécurité dans le nord, a indiqué un communiqué du Premier ministre. Mardi, l’ordre a été donné d’actionner à distance les bipeurs en envoyant des messages en arabe qui semblaient être des ordres des dirigeants et quelques secondes plus tard, le chaos régnait au Liban.

Dans le sud du Liban, la fillette Fatima Abdullah, âgée de 9 ans, est arrivée de la ville de Sarein après son premier jour d’école en quatrième année. Elle a entendu le bip de l’appareil de son père et lorsqu’elle l’a pris, il a explosé et elle est décédée.

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Pour les États-Unis, la gestion des affaires du monde est devenue un casse-tête!

19. September 2024 um 08:08

À l’heure où le monde est en ébullition, les relations internationales vivent un moment charnière et la première puissance mondiale une élection présidentielle cruciale, le leadership américain semble plus que jamais défié et en difficulté. Dans un monde multi-crises où les acteurs non-étatiques sont devenus de plus en plus nombreux et puissants, les guerres asymétriques (non conventionnelles) mais aussi avec des entreprises si influentes qui façonnent le monde, gérer les affaires du monde est devenu compliqué et se révèle être un vrai casse-tête pour les États-Unis. 

Imed Bahri

Dans sa tribune hebdomadaire consacrée à la politique internationale dans le New York Times, le journaliste américain Thomas Friedman aborde les dilemmes auxquels est confrontée la politique étrangère américaine et qui font que son rôle dans la gestion des affaires du monde semble plus difficile qu’il ne l’était même pendant la guerre froide. 

Friedman a décrit la gestion des dossiers de politique étrangère comme étant beaucoup plus compliquée que la plupart des Américains ne l’imaginent. Il considère que cette gestion est presque impossible à une époque qui oblige les États-Unis à gérer des superpuissances, des entreprises géantes, des individus et des réseaux superpuissants, des tempêtes violentes, des États embourbés dans l’échec et des services de renseignement de plus en plus performants. Il a souligné que tous ces éléments sont étroitement liés créant un réseau incroyablement complexe de problèmes qui doivent être résolus pour accomplir quoi que ce soit.

Une géopolitique compliquée

L’auteur a comparé la situation actuelle aux conditions qui prévalaient à l’époque de la guerre froide caractérisée par ce qu’il appelait une diplomatie audacieuse et dont le héros de l’époque était le secrétaire d’État Henry Kissinger qui n’a pas déployé de gros efforts pour formuler les accords de désengagement historiques après la guerre d’octobre 1973 entre Israël, l’Égypte et la Syrie. Kissinger traitait avec des États contrairement à l’actuel secrétaire d’État américain Anthony Blinken qui, selon Friedman, n’a pas eu de chance lorsqu’il a assumé ce poste car lui ainsi le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan et le directeur de la CIA William Burns ont entrepris des tâches difficiles et les ont bien gérées d’après lui.

L’éditorialiste de la politique étrangère du NYT a fait une autre comparaison entre le Moyen-Orient à l’époque de Kissinger et Blinken soulignant que cette région n’est plus composée d’États d’obédience nationalistes solides mais plutôt d’États en faillite, d’États fantômes avec des groupes «révolutionnaires, puissants et armés de missiles guidées». Il a expliqué qu’il entendait par là le Mouvement de la résistance islamique Hamas à Gaza, le Hezbollah au Liban, Ansar Allah alias les Houthis au Yémen et les groupes armés chiites en Irak.

Pour ce qui est de la Syrie, jadis pièce maîtresse dans le Moyen-Orient, Friedman rappelle que le gouvernement n’est responsable que de Damas tandis que le reste du pays est un mélange de zones contrôlées par la Russie, l’Iran, la Turquie, le Hezbollah, les forces américaines et des factions kurdes.

L’auteur a souligné que les États-Unis ne peuvent communiquer avec le réseau du Hamas dans la bande de Gaza que par l’intermédiaire de médiateurs qataris et égyptiens. L’une des complications auxquelles est confrontée aujourd’hui la politique étrangère américaine est que le Hamas a une aile militaire à l’intérieur de Gaza et une aile politique à l’extérieur de la bande.

À la lumière de ces complications, Friedman estime que ce qui est clair pour lui dans le nouveau monde géopolitique que devra gérer le prochain président américain, c’est qu’il a besoin de nombreux alliés ajoutant que la gestion des problèmes internationaux actuels ne se limite pas à la seule Amérique mais plutôt à l’Amérique et ses amis réunis. 

Combattre simultanément sur les trois fronts

C’est la raison pour laquelle, Friedman préfère la candidate du Parti démocrate Kamala Harris à son adversaire républicain Donald Trump pour être présidente du pays car elle a travaillé dans l’administration de l’actuel président Joe Biden dont le plus grand héritage en politique étrangère était sa capacité à construire des alliances.

Maintenir des alliances, selon lui, n’est jamais une affaire facile surtout à une époque où les États-Unis semblent militairement mal préparés à affronter la Russie, l’Iran et la Chine qui s’emploient depuis des années à renforcer leurs capacités militaires tandis que Washington manque littéralement d’armes. Il est nécessaire de combattre simultanément sur les trois fronts selon Friedman.

L’auteur s’est dit convaincu que la vice-présidente Harris serait effectivement qualifiée pour le poste de commandant en chef des forces armées si elle remportait la présidence contrairement à Trump qui a tort sur deux questions: la construction des alliances et la lutte contre l’immigration. Il estime que le choix de Donald Trump basé sur le principe de «l’Amérique seule» est la recette pour une Amérique faible, isolée, fragile et en déclin. Et son leadership sera malmené. 

En définitive, Thomas Friedman estime que le leadership américain ne peut être préservé et que les États-Unis ne peuvent aborder les enjeux du monde actuel qu’en agissant avec ses alliés et ses partenaires.

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L’Occident complice du terrorisme de l’État d’Israël

19. September 2024 um 07:24

Les récents événements tragiques au Liban, où des dispositifs de communication ont explosé et causé la mort de neuf personnes et blessé 2 800 autres, principalement des civils, prouvent une fois de plus la brutalité du terrorisme de l’État d’Israël, et la complicité active dont il bénéficie de la part des Etats occidentaux, lesquels se gardent bien de condamner.  

Leith Lakhoua *

Ces attaques, survenues mardi 17 et mercredi 18 septembre 2024, et qui ont plongé la capitale libanaise dans une désolation totale, met en lumière une stratégie profondément cynique visant à atteindre des objectifs militaires en sacrifiant des vies innocentes.

Les médias israéliens, dans un élan d’autosatisfaction, parlent de succès dans leur opération contre le Hezbollah. Cependant, ce discours ne fait que mettre à nue l’aberration d’une politique qui se vante de la destruction des adversaires tout en laissant des milliers de victimes civiles sur son passage. Cette vision machiavélique, qui considère la vie humaine comme un simple dégât collatéral, témoigne d’une dérive morale alarmante.

L’utilisation de dispositifs civils pour perpétrer de tels massacres n’est pas seulement une violation des droits humains, mais constitue également une méthode éprouvée de terrorisme d’État. En s’attaquant délibérément à des populations non armées, Israël fait preuve d’une inhumanité sans pareille.

Le comble de l’ironie réside dans le fait que ce régime, tout en orchestrant des attaques aussi dévastatrices, se présente comme un défenseur de la démocratie, celle-là même dont se targuent les Etats Occidentaux qui le soutiennent aveuglément comme leur agent dans au Moyen-Orient.

Il est essentiel que la communauté internationale prenne conscience de cette réalité et condamne fermement ces actes. L’aveuglement complice des puissances occidentales face à ces crimes ne fait qu’encourager une escalade de la violence et un cycle de souffrance inacceptable. La véritable lutte contre le terrorisme ne peut se faire en fermant les yeux sur les agissements d’un État qui, au nom de sa propre sécurité, s’adonne au terrorisme le plus abject.

Il est impératif que les voix qui s’élèvent contre cette barbarie soient entendues. Les civils libanais, tout comme tous les innocents touchés par ces actes, méritent justice et protection. La lutte pour la paix et les droits humains doit se poursuivre, en mettant fin à l’impunité des États qui choisissent la voie de la terreur.

* Consultant en logistique et organisation industrielle.

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Explosions de bipeurs au Liban : le Mossad pointé du doigt

18. September 2024 um 10:18

L’explosion simultanée de centaines de bipeurs de radiomessagerie utilisés par des membres du Hezbollah a provoqué plusieurs morts et blessé plus de 2 750 personnes à travers le Liban. Cette cyberattaque inédite attribuée à Israël « va recevoir son juste châtiment », avertit la milice chiite libanaise.

Neuf personnes ont été tuées dont une fillette, près de 2 800 autres blessées au visage, à la main, au ventre et même aux yeux dont l’ambassadeur iranien au Liban, Mojtaba Amani. Tel est l’effroyable bilan provisoire de l’explosion simultanée de bipeurs, un système de radiomessagerie, qui s’est produite mardi 17 septembre 2024 dans différentes régions du Liban.

Pour rappel, un bipeur est un petit appareil, largement utilisé avant l’arrivée des smartphones, permettant de recevoir un signal via des ondes radio. Lorsqu’un message est envoyé à un bipeur, il est relayé par une station émettrice qui diffuse le signal radio. Le bipeur capte alors ce signal, émet une alerte sonore et affiche un numéro ou un bref message que l’utilisateur peut consulter.

Ces appareils de communication sans fil sont utilisés depuis plusieurs mois par les combattants du Hezbollah, la milice chiite libanaise, afin d’éviter l’emploi de téléphones portables qu’Israël serait parvenu à infiltrer et pirater grâce à la localisation de ces appareils.

Des images qui circulent sur les réseaux sociaux montrent des hommes les mains ensanglantées, d’autres, à terre, gisent dans leur sang avec de profondes blessures à la tête, à l’aine ou au dos. Selon des témoignages relayés sur les réseaux sociaux, certains propriétaires de ces engins les auraient brusquement sentis chauffer et s’en seraient débarrassés avant qu’ils n’explosent.

La main du Mossad

« En théorie, on peut faire surchauffer la batterie lithium de ces appareils jusqu’à son explosion. Mais c’est du point de vue technique une prouesse extraordinaire », relève un ingénieur informatique libanais. Selon l’agence Reuters, l’attaque a seulement porté sur le modèle introduit par le Hezbollah au cours des dernières semaines. Celui-ci serait en provenance d’Iran.

Toutefois, plusieurs sources évoquaient mardi soir (17 septembre) la possibilité que le Mossad ait « infiltré le processus de production et ajouté dans les bipeurs un composant explosif et un détonateur activable à distance, sans éveiller les soupçons ».

Selon les experts, il est même probable que le Mossad ait placé une quantité d’explosif liquide PETN (tétranitrate de pentaérythritol) sur la batterie des appareils de communication du Hezbollah et l’ait fait exploser en augmentant la température de la batterie.

Pointé du doigt, Israël n’a pas revendiqué cette attaque. Mais selon le quotidien israélien Haaretz, Tel-Aviv craignait une action militaire du Hezbollah dans les prochains jours, du fait notamment de « signes inhabituels de préparatifs militaires du Hezbollah dans le sud du Liban ». L’opération menée mardi, qui place le parti chiite dans l’incapacité de communiquer avec certaines de ses troupes, pourrait avoir été une attaque préventive afin de l’éviter.

Sabotage informatique

Mais comment les techniciens israéliens ont-ils pu saboter à si grande échelle des milliers de bipeurs appartenant aux combattants du Hezbollah?

Gérôme Billois, expert français en cybersécurité, rappelle que les bipeurs sont généralement moins faciles à pirater à distance que des smartphones parce qu’ils ont moins de fonctionnalités. La grande inconnue est donc de comprendre comment on peut les faire exploser.

Première hypothèse : l’existence d’une faille dans le matériel qui peut être exploitée par un piratage logiciel. Concrètement, il peut y avoir un problème de conception de la batterie, et on peut, grâce au piratage d’une fonction du bipeur, la faire chauffer jusqu’à l’incendie et l’explosion. Généralement, il y a des mécanismes mis en place pour éviter ces surchauffes et là il peut y avoir un défaut de fabrication qui empêche ces sécurités de se déclencher et qui a été découvert puis exploité pour une attaque à distance.

Deuxième piste : le bipeur a été piégé dès sa fabrication, au niveau de l’assemblage en usine ou lors de la fabrication de certains éléments par des sous-traitants. Certaines pièces auraient ainsi pu être piégées pour fonctionner comme des explosifs qu’on peut activer à distance.

Risques d’instabilité

Rappelons enfin que le mouvement chiite a affirmé qu’Israël était « entièrement responsable » de cette opération. Tout en assurant que « l’entité sioniste allait recevoir son juste châtiment à la suite de cette agression criminelle ».

Pour sa part, le porte-parole du Département d’État, Matthew Miller, a déclaré à la presse que les Etats-Unis « n’ont pas été impliqués là-dedans, qu’ils n’étaient pas au courant de cet incident à l’avance. Et à ce stade nous collectons de l’information ».

Il a par ailleurs exhorté Téhéran à éviter tout acte qui aggraverait les tensions. « Nous exhortons l’Iran à ne pas se servir du moindre événement pour tenter d’alimenter l’instabilité et d’aggraver encore les tensions dans la région », a-t-il ajouté.

De toute évidence, les Américains craignent d’être entraînés dans le conflit entre le Hezbollah et l’État hébreu qui survient en pleine montée des tensions à la frontière libanaise et qui menace à tout moment de dégénérer en guerre totale.

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Explosion d’appareils de communication au Liban : un piratage ciblant le Hezbollah?

17. September 2024 um 19:11
Explosion d’appareils de communication au Liban : un piratage ciblant le Hezbollah?

Un incident majeur s’est produit au Liban, où des centaines de personnes ont été blessées suite à l’explosion de dispositifs de communication portables. Selon un responsable militaire interrogé par la chaîne “Al-Hurra”, il est probable que la fréquence utilisée par ces appareils ait été piratée, provoquant une surchauffe des batteries au lithium, entraînant leur explosion. […]

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