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Gestern — 20. Dezember 2025Haupt-Feeds

La Tribune de l’IA | Bourse de Tunis : consolidation des indices et nouvelles opportunités sectorielles

Von: hechmi
20. Dezember 2025 um 19:56

Après une année 2025 marquée par une progression exceptionnelle, la Bourse de Tunis a connu une semaine de consolidation maîtrisée. Entre le 08 et le 12 décembre, les indices ont légèrement reculé, sans pour autant remettre en cause la dynamique positive de fond. Une évolution qui traduit avant tout un marché plus sélectif, où l’attention se déplace des indices vers les valeurs et les secteurs.

Les indices marquent une respiration

Le TUNINDEX a clôturé la semaine à 13 226,89 points, en baisse modérée de 0,31 %, tandis que le TUNINDEX20 s’est établi à 5 895,88 points, en recul de 0,33 %.
Ces variations limitées interviennent après une performance annuelle supérieure à 30 %, confirmant qu’il s’agit davantage d’une pause technique que d’un retournement de tendance.

👉 La tendance de fond demeure haussière, mais le marché devient plus exigeant.

Une activité soutenue, mais plus ciblée

L’activité hebdomadaire a totalisé 54,4 millions de dinars échangés, pour près de 9,5 millions de titres. Un détail attire toutefois l’attention : les volumes progressent, tandis que les capitaux échangés reculent par rapport à la semaine précédente.

Ce décalage reflète un marché davantage animé par les valeurs moyennes et cycliques, plutôt que par les grandes capitalisations financières, traditionnellement plus consommatrices de liquidités.

Rotation sectorielle : les investisseurs reviennent à l’économie réelle

Le fait marquant de la semaine reste la rotation sectorielle observée sur la cote. Plusieurs secteurs liés à l’économie réelle ont enregistré de solides performances :

  • Bâtiment et matériaux de construction : +5,53 %, meilleur secteur de la semaine
  • Matériaux de base : +1,67 %
  • Agroalimentaire et boissons : +1,44 %
  • Biens de consommation : +1,04 %

À l’inverse, les banques, les assurances et les sociétés financières ont terminé dans le rouge, pénalisées par des prises de bénéfices après leur forte hausse depuis le début de l’année.

👉 Cette évolution traduit un repositionnement vers des secteurs perçus comme plus visibles et plus résilients à court terme.

Carthage Cement et Poulina Group Holding en lumière

Sur le plan des valeurs, Carthage Cement s’est distinguée comme la plus active de la semaine, avec plus de 9,4 millions de dinars échangés et une hausse de 7,18 %. Portée par la dynamique du secteur du bâtiment, la valeur attire aussi bien les investisseurs institutionnels que les opérateurs tactiques.

De son côté, Poulina Group Holding a confirmé son statut de valeur défensive de référence. Avec plus de 4,3 millions de dinars de capitaux échangés, le titre est resté stable sur la semaine, tout en conservant une trajectoire haussière de fond.

Un marché à deux vitesses

La semaine a également été marquée par une forte dispersion des performances. Certaines valeurs ont enregistré des hausses spectaculaires, portées par un regain d’intérêt spéculatif, tandis que d’autres ont subi de lourdes corrections.

Cette configuration confirme que la Bourse de Tunis évolue actuellement comme un marché de sélection, où la performance dépend moins de l’indice que du choix des titres.

Quelles perspectives à court terme ?

Pour la semaine à venir, le scénario privilégié reste celui d’un marché stable à légèrement haussier, avec :

  • une poursuite possible de la dynamique sur les valeurs du BTP et de l’industrie,
  • un rôle toujours central des valeurs défensives,
  • et une vigilance accrue sur les valeurs financières, en attente de nouveaux catalyseurs.

Dans ce contexte, la stratégie gagnante repose moins sur une exposition globale que sur une lecture fine des tendances sectorielles et techniques.

À retenir

✔ Une consolidation saine après une année exceptionnelle
✔ Une rotation sectorielle favorable à l’économie réelle
✔ Un marché exigeant, propice à la sélection active des valeurs

La Bourse de Tunis ne ralentit pas : elle change de rythme. Et dans ce nouvel environnement, l’analyse et la discipline restent les meilleurs alliés des investisseurs.

Avertissement — Le présent article a été généré à l’aide d’un outil d’intelligence artificielle à partir des informations publiques contenues dans Le Bulletin hebdomadaire de la Bourse de Tunis. Les analyses, scénarios et simulations proposés ont une vocation strictement informative et pédagogique. Ils ne constituent ni une recommandation d’investissement ni un conseil financier personnalisé. Les données sources demeurent la propriété de leurs émetteurs respectifs.

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JCC 2025 : liberté d’expression et droits humains à l’honneur

Von: hechmi
20. Dezember 2025 um 16:35

JCC 2025Les Journées cinématographiques de Carthage ont annoncé, le vendredi 19 décembre 2025, les prix parallèles de leur 36ᵉ session. Ces distinctions, attribuées en marge du palmarès officiel, mettent en lumière des œuvres abordant des thématiques liées à la liberté d’expression et aux droits humains.

La liberté d’expression au cœur du palmarès

Le « Prix de la liberté d’expression cinématographique », décerné par le Syndicat national des journalistes tunisiens, a été attribué au film Où le vent nous emmène-t-il ? de la réalisatrice tunisienne Amal Guellaty. Cette distinction récompense une œuvre retenue pour son traitement cinématographique des enjeux liés à la liberté d’expression.

Dans le cadre de ce même prix, le jury a également attribué une mention spéciale au film Les oiseaux ne migrent pas du réalisateur tunisien Rami Jarboui.

Un jury composé de professionnels des médias et du cinéma

Le jury du Prix de la liberté d’expression cinématographique était composé du réalisateur Abdallah Chamekh ainsi que des journalistes Jihene Turki et Samah Kasdallah. Les délibérations ont été menées conformément aux critères définis par le syndicat.

Le Prix Lina Ben Mhenni dédié aux droits de l’homme

Le « Prix Lina Ben Mhenni des Droits de l’homme » a été décerné au film Les Lions sur le Tigre du réalisateur irakien Zardasht Ahmed. Cette récompense distingue une œuvre traitant de questions relatives aux droits humains.

Un jury académique pour le Prix Lina Ben Mhenni

Le jury de ce prix était composé des professeurs Amna Ben Ghorbal, Saïda Bennour et Hachemi Ben Fraj. À l’issue de leurs délibérations, un lauréat unique a été désigné pour cette édition.

Des prix parallèles ancrés dans l’identité des JCC

Les prix parallèles des Journées cinématographiques de Carthage s’inscrivent dans une tradition visant à valoriser des œuvres engagées et des regards cinématographiques sensibles aux enjeux sociétaux, en complément de la sélection officielle du festival.

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Carthage Pro 2025 : quels films primés aux ateliers Chabaka et Takmil ?

Von: hechmi
20. Dezember 2025 um 16:11

JCC 2025Depuis sa création en 2014, Carthage Pro s’est imposée comme une plateforme de soutien aux voix du cinéma arabe et africain. Organisé du 15 au 18 décembre 2025, l’événement a réuni des professionnels autour de deux ateliers complémentaires : « Chabaka », dédié au développement de projets cinématographiques, et « Takmil », consacré à l’accompagnement des œuvres en phase de post-production.

Les travaux ont été évalués par un jury composé de Imad Marzouk, Iman Dijon et Maria Teresa Cavina. À l’issue des délibérations, plusieurs prix ont été attribués afin de soutenir des projets issus de différents pays du continent africain et du monde arabe.

Les lauréats de l’atelier « Chabaka »

Le Prix du Centre National du Cinéma et de l’Image (CNCI) a été décerné au film Du cœur et du poumon de Walid Mattar (Tunisie). Le Prix Al Jazeera est revenu à Through Thick & Thin d’Abedalsalam Alhaj (Jordanie). Le Prix RED SEA a distingué Les Noces du Martyr de Yasir Faiz (Soudan), tandis que le Prix de l’OIF a récompensé Land Beyond de Nadine Salib (Égypte).

D’autres distinctions ont également été attribuées : le Prix Canal+ Afrique pour Dernier Souffle de Kevin Mavakala (République démocratique du Congo), le Prix TV5 Monde pour Land Beyond, le Prix IFT pour Souad et Lamine de Mohamed Ali Nahdi (Tunisie), ainsi que le Prix Rawayat, également décerné à Land Beyond.

Les lauréats de l’atelier « Takmil »

Dans la catégorie post-production, le Prix CNCI a été attribué à Chronicles from the siege d’Abdallah Al-Khatib (Palestine). Le Prix Al Jazeera a distingué Al Maghara de Mona Lotfy (Égypte), tandis que le Prix RED SEA a récompensé Solo d’Amine Boukhris (Tunisie).

Plusieurs partenaires ont également soutenu des projets : MAD Solutions pour Du cœur et du poumon, Pathé Touch Afrique et Leyth Productions pour You don’t die two times d’Ager Ouesleti (Tunisie), Goubantini pour Libre de Tarak Khalladi et Souad et Lamine, DTS pour Je mourrai libre de Mahrez Karoui (Tunisie), OIF et Mosaic Post Production Lab pour Solo, Canal+ Afrique pour WALATA de Boubacar Gakou Touré (Mali), et IFT pour This is my heaven de Marwen El Hechkel (Tunisie).

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Météo : Pluies éparses et baisse des températures attendues en Tunisie

Von: hechmi
20. Dezember 2025 um 12:55

HiverTunis, 20 décembre – Le temps prévu pour la journée de samedi sera marqué par un ciel parfois densément nuageux sur la majorité des régions. Des pluies éparses sont attendues, touchant principalement le Nord et le Centre du pays, selon les prévisions publiées par l’Institut National de la Météorologie.

Les passages nuageux seront parfois abondants, favorisant localement quelques précipitations faibles à modérées. Ces conditions concerneront surtout les régions septentrionales et centrales, tandis que les régions du Sud connaîtront un temps généralement stable, sans phénomènes météorologiques significatifs annoncés.

Vent de secteur ouest

Le vent soufflera du secteur ouest. Il sera relativement fort près des côtes Est, ce qui pourrait avoir un impact sur la navigation et certaines activités maritimes. Dans les autres régions, il restera faible à modéré, sans perturbations majeures prévues.

Mer agitée sur le littoral Est

L’état de la mer sera agité le long des côtes Est, en raison du renforcement du vent dans ces zones. Sur le reste du littoral, la mer sera peu agitée à houleuse. Ces conditions appellent à la prudence pour les usagers de la mer, notamment dans les zones exposées au vent.

Températures en légère baisse

Les températures connaîtront une légère baisse par rapport aux jours précédents. Les maximales seront généralement comprises entre 12 et 17 degrés sur la plupart des régions. Sur les hauteurs, les températures avoisineront les 10 degrés, renforçant la sensation de fraîcheur.

Dans l’ensemble, la journée de samedi s’annonce sous une ambiance hivernale modérée, dominée par des nuages, quelques pluies localisées et des conditions maritimes parfois agitées, notamment sur les côtes Est.

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Loi de finances 2026 : Fiscalité et douanes à l’ère numérique, la réforme silencieuse

Von: hechmi
20. Dezember 2025 um 08:35

Moins visible que les mesures budgétaires ou sociales, la digitalisation de l’administration constitue l’un des axes les plus structurants de la Loi de finances 2026. À travers une série de dispositions techniques, le texte pose les bases juridiques d’une transformation profonde de la relation entre l’État, le contribuable et l’opérateur économique, en généralisant progressivement les procédures dématérialisées dans les domaines fiscal, douanier et de la fiscalité locale.

La Loi de finances 2026 consacre ainsi un tournant majeur, quoique discret, dans le fonctionnement de l’administration tunisienne. Le législateur instaure un cadre juridique destiné à rendre les procédures plus rapides, plus traçables et potentiellement plus efficaces, tout en adaptant les règles existantes aux usages numériques.

La facturation électronique comme pierre angulaire

Premier pilier de cette réforme : la facturation électronique. Le texte prévoit son instauration progressive pour les opérations réalisées entre assujettis à la taxe sur la valeur ajoutée. Si les modalités pratiques, le calendrier de déploiement et le régime de sanctions sont renvoyés à des textes réglementaires [à vérifier], le principe est désormais acté.

L’objectif est double. D’une part, renforcer la traçabilité des transactions économiques afin de limiter les pratiques frauduleuses. D’autre part, améliorer le rendement fiscal en automatisant la collecte et l’exploitation des données, tout en réduisant les coûts de gestion pour l’administration et les entreprises.

Un cycle fiscal entièrement dématérialisé

Au-delà de la facturation, la digitalisation couvre l’ensemble du cycle fiscal. Déclarations, paiements, notifications, réclamations et recours pourront être effectués par voie électronique. Les notifications numériques acquièrent une valeur juridique pleine, les délais légaux pouvant désormais être calculés à partir de leur date d’émission.

Cette évolution modifie en profondeur les pratiques administratives. Elle impose une nouvelle discipline aux contribuables, tenus de suivre leurs obligations via les plateformes numériques, tout en engageant l’administration à garantir la fiabilité, la sécurité et l’accessibilité des systèmes mis en place.

Un contrôle fiscal modernisé

Le contrôle fiscal est également concerné. La Loi de finances 2026 autorise le recours partiel ou total aux moyens électroniques pour les opérations de vérification. Cette évolution vise à optimiser l’allocation des ressources de l’administration, à mieux cibler les contrôles et à réduire les délais de traitement, tout en maintenant les garanties procédurales prévues par la législation en vigueur.

Douanes et fiscalité locale à l’ère numérique

Sur le plan douanier, la réforme est tout aussi structurante. Déclarations en douane, paiements des droits et taxes, notifications des décisions, sanctions et recours pourront être traités par des plateformes numériques. Cette dématérialisation ambitionne de fluidifier les échanges, de réduire les délais de dédouanement et d’améliorer la transparence des opérations.

La fiscalité locale n’est pas en reste. La Loi de finances 2026 ouvre la voie à la digitalisation des procédures relatives aux taxes locales, de l’assiette au recouvrement, tout en rappelant le respect des droits et garanties des contribuables.

L’ensemble de ces réformes sera mis en œuvre de manière progressive, selon un calendrier fixé par décrets, en fonction de l’état d’avancement des systèmes d’information. Plus qu’une modernisation technique, la digitalisation inscrite dans la Loi de finances 2026 marque un changement de paradigme : une administration orientée vers la donnée, la traçabilité et l’efficacité.

EN BREF

  • La Loi de finances 2026 pose les bases juridiques de la digitalisation administrative.
  • Instauration progressive de la facturation électronique.
  • Dématérialisation complète du cycle fiscal.
  • Recours aux moyens électroniques pour le contrôle fiscal.
  • Digitalisation des procédures douanières et de fiscalité locale.

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Salaires et retraites : vers une augmentation plafonnée à 4 % ?

Von: hechmi
19. Dezember 2025 um 13:33

La loi de finances pour l’année 2026 a été publiée au Journal officiel de la République tunisienne. Elle apporte un signal positif pour des milliers de fonctionnaires et de retraités, en consacrant le principe d’une augmentation des salaires et des pensions de retraite sur trois années consécutives : 2026, 2027 et 2028.

Malgré cette consécration législative, une part d’incertitude demeure quant aux « taux définitifs » de ces augmentations, alimentant une attente prudente dans les milieux sociaux et syndicaux.

Mécanisme de mise en œuvre : dans l’attente de l’« arrêté conjoint »

Conformément aux dispositions de la loi, les détails précis des augmentations devraient être fixés par un arrêté officiel conjoint émanant des ministères des Affaires sociales et des Finances. Ces textes détermineront les taux appliqués en fonction des crédits effectivement inscrits dans le budget général de l’État, rendant l’annonce officielle étroitement liée aux grands équilibres financiers.

Prévisions des experts : un plafond de 4 % privilégié ?

En attendant des chiffres officiels, plusieurs analystes économiques estiment que l’augmentation dans la fonction publique pourrait ne pas dépasser 4 %. Les premières lectures indiquent également que les hausses ne seront pas uniformes, mais sectorisées, selon les catégories suivantes :

  • la fonction publique ;
  • le secteur public ;
  • le secteur privé ;
  • les retraités.

Retour sur les hausses précédentes

Cette décision intervient alors que les observateurs se réfèrent aux dernières révisions de la grille salariale. La dernière augmentation dans le secteur public avait atteint environ 5%, tandis que celle du secteur privé était plus élevée, oscillant entre 6,5 % et 6,75 %.

Ce décalage soulève la question de savoir si la prochaine orientation accentuera les écarts entre les secteurs ou cherchera à les réduire, dans un contexte marqué par l’érosion du pouvoir d’achat.

Une attente généralisée

Entre le texte de loi publié et les projections prudentes des experts, les fonctionnaires et retraités tunisiens restent dans une situation d’attente. L’enjeu ne se limite plus au principe de l’augmentation, mais à la capacité réelle de ces taux à faire face à l’inflation et à répondre aux attentes d’une classe laborieuse confrontée à des pressions économiques croissantes ces dernières années.

Chiffres et indicateurs clés

  • 2026–2028 — Période couverte par le principe des augmentations salariales et des pensions.
  • 4 % — Taux maximal envisagé par certains experts pour la fonction publique.
  • 5 % — Dernière hausse enregistrée dans le secteur public.
  • 6,5 % à 6,75 % — Fourchette des dernières augmentations dans le secteur privé.
  • 2 ministères concernés — Affaires sociales et Finances pour les arrêtés d’application.

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Météo : Temps pluvieux et baisse des températures vendredi

Von: hechmi
19. Dezember 2025 um 09:37

Meteo froid oiseauTunis, 19 décembre — Le temps sera vendredi densément nuageux et pluvieux sur la plupart des régions, selon les prévisions de l’Institut National de la Météorologie (INM). Les pluies seront temporairement orageuses et localement intenses sur le Sud et le Centre-ouest, avant de concerner, l’après-midi et durant la nuit, les régions du Centre-est et du Nord.

Le vent soufflera de secteur Est. Il sera relativement fort à localement fort près des côtes et faible à modéré à l’intérieur du pays. La mer sera agitée à localement très agitée.

Les températures seront en baisse. Les maximales varieront entre 9 et 14 degrés dans la plupart des régions, et entre 15 et 17 degrés dans les zones côtières, selon la même source.

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Loi de finances 2026 : Régulariser pour encaisser, la logique des amnisties 2026

Von: hechmi
19. Dezember 2025 um 09:16

Dans un contexte de tension persistante sur les finances publiques, la Loi de finances 2026 réactive un outil classique de mobilisation des recettes : la régularisation encadrée des situations fiscales et douanières antérieures. L’objectif affiché est double : améliorer le rendement budgétaire à court terme et réduire un contentieux lourd, coûteux et souvent ancien.

Le texte autorise ainsi les personnes physiques et morales à régulariser des infractions fiscales ou douanières constatées avant le 31 décembre 2025. Cette possibilité est strictement encadrée et renvoie, pour ses modalités d’application, à des textes réglementaires. La logique retenue repose sur un principe simple : le paiement du principal dû en contrepartie d’un abandon partiel ou total des pénalités.

Désengorger le contentieux douanier

Sur le plan douanier, la Loi de finances 2026 ouvre la voie à la régularisation des infractions liées à l’importation ou à l’exportation de marchandises. Les opérateurs concernés doivent s’acquitter des droits et taxes exigibles, auxquels s’ajoute une amende forfaitaire. Les taux, plafonds et conditions de cette amende seront fixés par arrêté du ministre chargé des finances [à vérifier].

En contrepartie, les poursuites administratives et judiciaires engagées au titre de ces infractions sont abandonnées. Ce mécanisme vise à désengorger les tribunaux et les services douaniers, tout en permettant à l’État de sécuriser des recettes immédiates. Il s’inscrit dans une logique pragmatique, privilégiant le règlement financier des litiges anciens plutôt que leur prolongation contentieuse.

Une logique similaire en matière fiscale

La même approche prévaut en matière fiscale. Les contribuables disposant d’impôts, droits ou taxes impayés au titre de périodes antérieures à 2026 peuvent régulariser leur situation en s’acquittant du principal de l’impôt. Les pénalités de retard peuvent faire l’objet d’un abandon total ou partiel, selon des modalités qui seront précisées par décret, notamment en ce qui concerne les délais de paiement et les taux d’abattement applicables.

Pour l’administration fiscale, ce dispositif permet de récupérer des créances parfois anciennes, dont le recouvrement s’avère incertain. Pour les contribuables, il offre la possibilité de solder des situations complexes, souvent sources d’insécurité juridique et financière.

Un équilibre délicat

Les mécanismes de régularisation fiscale et douanière suscitent toutefois des débats récurrents. S’ils garantissent un rendement rapide, ils interrogent sur l’équité fiscale, en donnant parfois le sentiment que le non-respect des règles peut être régularisé a posteriori à moindre coût. Consciente de ces enjeux, la Loi de finances 2026 encadre ces dispositifs dans le temps et dans leur champ d’application, afin d’en limiter les effets pervers.

Au final, les mesures de régularisation prévues pour 2026 traduisent une volonté de concilier efficacité budgétaire et apaisement du climat fiscal. Elles s’inscrivent dans une stratégie de court terme, en attendant que des réformes structurelles, notamment la digitalisation des procédures et le renforcement du contrôle, produisent leurs effets à plus long terme.

EN BREF

  • La Loi de finances 2026 rouvre des mécanismes de régularisation fiscale et douanière.
  • Les infractions antérieures au 31 décembre 2025 sont concernées.
  • Paiement du principal exigé, avec abandon partiel ou total des pénalités.
  • Régularisation douanière assortie d’une amende forfaitaire.
  • Objectif : recettes rapides et réduction du contentieux.

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Chine : L’eau de mer dessalée moins cher que l’eau de robinet

Von: hechmi
18. Dezember 2025 um 21:11

EauÀ Rizhao, dans la province chinoise du Shandong, un dispositif pilote attire l’attention de plusieurs médias locaux et internationaux. Le projet combine production d’hydrogène et coproduction d’eau dessalée à partir d’eau de mer. L’objectif mis en avant dans les publications est la réduction du coût de l’eau produite, avec un repère fréquemment cité : environ 2 yuans par mètre cube.

Ce chiffre circule dans plusieurs articles, parfois comparé aux tarifs de l’eau du robinet dans certaines villes chinoises. Les sources disponibles ne précisent toutefois pas de manière uniforme s’il s’agit d’un coût de production, d’un prix de vente ou d’un indicateur théorique intégrant des hypothèses spécifiques.

Un dispositif combinant chaleur fatale et électrolyse

Selon les éléments relayés par des médias chinois, le système installé à Rizhao repose sur une unité de 110 kilowatts décrite comme un dispositif de production d’hydrogène par électrolyse directe de l’eau de mer. Le procédé intègre l’utilisation de chaleur fatale, c’est-à-dire des déchets thermiques, afin d’alimenter une étape de dessalement et de coproduction d’eau.

Cette configuration vise à valoriser simultanément l’électricité et la chaleur disponibles, en limitant les pertes énergétiques associées aux procédés séparés de production d’hydrogène et de dessalement.

Capacités techniques annoncées

Plusieurs publications rapportent des ordres de grandeur techniques similaires. La production d’hydrogène atteindrait jusqu’à 22 Nm³ par heure, avec une pureté annoncée supérieure ou égale à 99,999 %. Sur le volet eau, le système traiterait environ 800 tonnes d’eau de mer par an.

La coproduction se répartirait entre environ 450 tonnes annuelles d’« eau de haute qualité », avec une salinité annoncée inférieure à 5 ppm, et environ 350 tonnes de saumure concentrée. Les sources indiquent également que le dispositif aurait dépassé 500 heures de fonctionnement continu lors des phases de test.

Le coût de l’eau, entre annonce et clarification attendue

Le chiffre de 2 yuans par mètre cube constitue l’élément le plus repris dans la couverture médiatique, notamment par un média anglophone basé à Hong Kong. Il est présenté comme un repère permettant d’illustrer le potentiel économique du dispositif.

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Galaxy Z Tri-Fold : Samsung investit le segment stratégique des smartphones tri-pliables

Von: hechmi
18. Dezember 2025 um 18:33

Samsung Tri-FoldSamsung a lancé le Galaxy Z Tri-Fold, un smartphone à trois volets destiné au segment ultra-premium. À travers ce modèle, le groupe sud-coréen renforce sa stratégie de différenciation technologique sur un marché mondial du smartphone en ralentissement, mais toujours porté par l’innovation haut de gamme.

Un positionnement technologique à forte valeur ajoutée

Le Galaxy Z Tri-Fold introduit un format tri-pliable, permettant de passer d’un smartphone classique à un écran proche de la tablette. Une fois déployé, l’écran atteint environ 10 pouces, ciblant des usages professionnels et de productivité mobile.

Ce positionnement s’inscrit dans la continuité de la stratégie de Samsung visant à maintenir son avance sur les écrans flexibles, un segment encore marginal en volume mais à marges élevées.

Un produit premium dans un marché sous pression

Le modèle embarque des composants haut de gamme :

  • processeur Snapdragon 8 Elite,
  • batterie d’environ 5 600 mAh,
  • capteur photo principal de 200 mégapixels,
  • système Android 16 avec One UI.

Avec un poids supérieur à 300 grammes et un prix positionné sur le très haut de gamme, le Galaxy Z Tri-Fold s’adresse à une clientèle de niche, dans un contexte où les ventes mondiales de smartphones restent contraintes par l’inflation et la prudence des consommateurs.

Premiers signaux commerciaux

Le lancement initial en Corée du Sud a été marqué par plusieurs ruptures de stock, indiquant une demande soutenue sur le marché domestique.

Samsung prévoit un déploiement international progressif, avec une extension annoncée vers l’Europe, l’Amérique du Nord et certains marchés asiatiques à partir de 2026.

Les premiers retours des médias spécialisés mettent en avant l’innovation du format, tout en soulignant certaines limites, notamment l’absence de compatibilité avec le S Pen.

Une concurrence qui s’intensifie

Samsung n’est pas seul sur le segment des smartphones tri-pliables. Huawei commercialise déjà le Mate XT sur certains marchés, renforçant la pression concurrentielle, notamment en Asie.

Apple, qui ne propose toujours pas d’iPhone pliable, reste observé par les acteurs du secteur. Toute entrée du groupe américain pourrait modifier rapidement l’équilibre du marché.

Enjeux industriels et perspectives

Avec le Galaxy Z Tri-Fold, Samsung poursuit une stratégie axée sur l’innovation matérielle afin de soutenir la valeur moyenne de ses ventes. Le succès commercial à long terme dépendra toutefois de la maîtrise des coûts, de la durabilité du produit et de l’adoption du format par un public plus large.

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REVUE DE PRESSE | Économie mondiale : banques, pétrole, agriculture et huile d’olive en focus

Von: hechmi
18. Dezember 2025 um 16:03

huile d'oliveLes dernières 24 heures ont été marquées par des annonces de régulation bancaire, des signaux de marché sur le pétrole liés aux sanctions, et des repères de prix sur l’huile d’olive. Plusieurs décisions d’autorités (Royaume-Uni, Inde, États-Unis) et mouvements de marché (Brent/WTI) structurent l’actualité économique mondiale.

Banques : supervision et cadre des indices de référence

Au Royaume-Uni, le gouvernement a annoncé une refonte du régime des benchmarks financiers afin de réduire la charge de conformité et de recentrer l’encadrement sur les indices jugés systémiques ; la réduction visée du nombre d’administrateurs concernés est estimée à 80–90%.

En Inde, la banque centrale (RBI) a imposé des restrictions à une banque coopérative urbaine, incluant l’interdiction d’octroyer de nouveaux prêts et un plafond de retrait de dépôts (sur une période annoncée de six mois).

Aux États-Unis, la Réserve fédérale a, selon des sources, clos des notifications formelles adressées à Citigroup concernant des faiblesses de gestion des risques de trading (MRIAs), un signal suivi par les marchés bancaires.

Énergie : pétrole soutenu par le risque sanctions/blocage

Les cours du pétrole ont progressé avec des informations faisant état de sanctions américaines potentielles visant l’énergie russe et d’un risque lié à un blocage de tankers vénézuéliens. Reuters rapportait un Brent autour de 60,10 $/b et un WTI autour de 56,38 $/b à l’instant mentionné.

Dans les majors, BP a annoncé la nomination de Meg O’Neill (Woodside) comme prochaine CEO, avec prise de fonctions annoncée pour avril 2026, après la sortie de Murray.

Agriculture : repères sur les flux céréaliers

Un repère de marché publié par l’USDA (édition décembre 2025) met en avant une dynamique d’exportations américaines de maïs et une prévision d’exportations 2025/26 à 81,3 Mt, avec une mention de volumes inspectés au premier trimestre 2025/26 dépassant 19 Mt.

Huile d’olive : points de prix “à l’origine”

Des relevés de prix “à l’origine” agrégés par Oleista indiquent (dernières mises à jour affichées) une extra-vierge à 3,73 €/kg en Tunisie (maj 2025-12-08) et 4,82 €/kg en Grèce (maj 2025-12-09).

Chiffres clés

  • Brent : 60,10 $/b (niveau rapporté par Reuters, instant cité).
  • WTI : 56,38 $/b (niveau rapporté par Reuters, instant cité).
  • Maïs US : 81,3 Mt (prévision export 2025/26, USDA).
  • Huile d’olive (Tunisie) : 3,73 €/kg extra-vierge.

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Huile d’olive : pourquoi l’Italie reste plus chère que ses voisins

Von: hechmi
18. Dezember 2025 um 15:36

Huile d'oliveLes indicateurs disponibles sur le dernier mois signalent une détente des prix en Méditerranée. Les niveaux restent toutefois très différenciés selon les pays, avec une Italie positionnée nettement au-dessus de ses concurrents. Les données européennes et internationales décrivent parallèlement un marché où les volumes et les valeurs à l’export se réajustent, dans un contexte de nouvelles estimations de production pour la campagne 2025/26.

Italie au sommet des prix, Espagne et Grèce plus accessibles

Selon le tableau de bord « olive oil » de la Commission européenne, les prix moyens nationaux de l’huile d’olive extra vierge atteignent en octobre 2025 912,5 €/100 kg en Italie. Ils se situent à 425,0 €/100 kg en Espagne et 442,6 €/100 kg en Grèce. L’écart demeure donc marqué entre l’Italie et les autres grands pays producteurs de l’Union européenne.

Pour la catégorie vierge, les niveaux sont plus resserrés mais restent différenciés : 406,9 €/100 kg en Italie, 364,0 €/100 kg en Espagne et 350,0 €/100 kg en Grèce. Ces données confirment un positionnement prix structurellement plus élevé de l’Italie, y compris hors segment extra vierge.

Tunisie : repères récents issus de suivis privés

Des suivis spécialisés diffusent des repères hebdomadaires hors UE. Une cotation « extra virgin » en Tunisie est par exemple affichée à 3,73 €/kg (mise à jour du 08/12/2025), tandis qu’une référence grecque ressort à 4,82 €/kg (mise à jour du 09/12/2025). Ces séries proviennent de sources privées et peuvent varier selon la place de marché et la méthodologie employée. Elles offrent néanmoins des points de comparaison avec les niveaux observés au sein de l’UE.

Commerce extérieur : volumes en hausse, prix en repli

Sur le plan du commerce extérieur, l’International Olive Council indique qu’en septembre 2025, la valeur unitaire des exportations d’huile d’olive de l’UE vers les pays tiers s’établit à 526 €/100 kg pour l’ensemble des huiles, et à 580 €/100 kg pour l’extra vierge. Le volume total exporté atteint 66 163 tonnes, traduisant une hausse des flux dans un contexte de normalisation des prix.

Le tableau de bord de la Commission européenne fait état, côté valeurs, d’un total de 4 186 M€ pour le commerce d’huile d’olive extra-UE sur la période octobre 2024 – septembre 2025.

Production mondiale : nouvelles estimations pour 2025/26

Pour la campagne 2025/26, la production mondiale d’huile d’olive (hors grignons) est estimée à 3 440 kt. La part de l’UE s’élèverait à 2 056 kt, contre 1 384 kt pour les pays non-UE. Ces volumes, combinés aux écarts de prix, structurent la concurrence entre pays du bassin méditerranéen.

Dans ce cadre, l’Italie conserve un positionnement prix élevé, tandis que l’Espagne, la Grèce et la Tunisie évoluent à des niveaux inférieurs selon les séries disponibles, sur fond de rééquilibrage progressif du marché.

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Météo : des pluies éparses attendues sur plusieurs régions

Von: hechmi
18. Dezember 2025 um 10:12

Météo PluieTunis, 18 décembre – Des brumes locales denses marqueront la journée de jeudi, notamment durant la matinée, selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie (INM). Ces conditions réduiront temporairement la visibilité avant une amélioration progressive au fil des heures.

Après la dissipation des brumes, le temps deviendra partiellement nuageux sur l’ensemble du pays. Les nuages seront toutefois parfois denses, en particulier sur les régions de l’Ouest du centre et du sud. Ces zones connaîtront des chutes de pluies éparses, pouvant être temporairement orageuses, précise la même source.

Évolution des précipitations au cours de la nuit

Les précipitations ne se limiteront pas aux régions initialement concernées. Selon l’INM, les pluies s’étendront progressivement vers le reste des régions du pays au cours de la nuit. Cette évolution nocturne pourrait toucher plusieurs zones après une journée marquée par une alternance de passages nuageux et d’éclaircies.

Les épisodes pluvieux resteront épars et irréguliers. Leur caractère orageux sera temporaire et localisé, sans indication d’intensité généralisée. Aucune alerte spécifique n’a été signalée dans les prévisions communiquées.

Vent soutenu sur les côtes et le sud

Le vent soufflera du secteur Est. Il sera relativement fort à fort près des côtes ainsi que sur le sud du pays. Dans ces régions, il provoquera des tourbillons de sable locaux, susceptibles d’affecter la visibilité par endroits.

Dans les autres zones, le vent restera faible à modéré. Cette différence d’intensité marquera un contraste notable entre les régions côtières, le sud et le reste du territoire.

Mer très agitée et températures modérées

Les conditions maritimes seront difficiles. La mer sera très agitée, en lien avec la force du vent annoncée, notamment sur les côtes exposées.

Les températures maximales varieront généralement entre 17 et 21 degrés. Sur les hauteurs Ouest, les maximales seront plus basses, avoisinant les 12 degrés. Ces valeurs traduisent un temps relativement frais dans les zones élevées, comparativement aux régions de plaine.

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REVUE DE PRESSE | Tunisie : Huile d’olive, stockage, chiffres récents et repères de campagne

Von: hechmi
18. Dezember 2025 um 09:47

Huile d'oliveSur les dernières 48 heures, l’actualité tunisienne s’est articulée autour de signaux sur la filière huile d’olive, d’éléments institutionnels liés à la Loi de finances 2026, de la programmation des Journées cinématographiques de Carthage (JCC), et de repères calendaires concernant la CAN 2025 (organisée au Maroc).

Huile d’olive : décisions de stockage et enjeux de saison

Des informations publiées ces derniers jours font état d’un démarrage d’un programme de stockage de l’huile d’olive, annoncé comme ayant été approuvé lors d’un Conseil ministériel restreint du 25 octobre 2025.

Côté repères de marché/flux, des suivis sectoriels (campagne 2024/2025) rapportent des éléments sur prix moyens et indicateurs de filière.

Loi de finances 2026 : jalons parlementaires et publication

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) affiche le dossier du projet de loi de finances 2026 et mentionne une loi promulguée datée du 12 décembre 2025 relative à la loi de finances 2026.

JCC : programmation en cours à Tunis

Le site officiel des JCC publie une programmation datée du jeudi 18 décembre 2025, avec des séances et lieux à Tunis (ex. Africa, Cine Avenue), et des focus/sections indiquées sur la page “Programmes”.

CAN 2025 : calendrier officiel CAF et fenêtre de compétition

La Confédération africaine de football (CAF) met à disposition un document “match schedule” de la CAN (Maroc 2025).

Des médias rappellent la fenêtre du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026 au Maroc.

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Loi de finances 2026 : Fiscalité verte, crédit subventionné et les signaux de 2026

Von: hechmi
18. Dezember 2025 um 09:14

Dans un contexte de dépendance énergétique persistante et de pression sur les équilibres extérieurs, la Loi de finances 2026 confirme une orientation progressive vers la transition énergétique. Sans introduire de contraintes réglementaires lourdes, le texte privilégie des incitations financières et fiscales ciblées afin d’orienter l’investissement vers l’efficacité énergétique, les énergies renouvelables et la mobilité électrique, tout en maintenant une approche prudente et encadrée.

Le cœur du dispositif repose sur l’élargissement des missions du Fonds de transition énergétique. Désormais, ce fonds prend en charge une partie de la différence entre le taux d’intérêt appliqué aux crédits d’investissement et le taux moyen du marché monétaire, dans des limites strictement définies. Ce mécanisme vise à réduire le coût du financement des projets liés à l’efficacité énergétique et aux énergies renouvelables, dans un contexte marqué par des taux d’intérêt élevés. L’objectif est d’améliorer la rentabilité des investissements verts et d’en faciliter le déploiement, sans recourir à des subventions directes massives.

Mobilité électrique : un soutien ciblé

La Loi de finances 2026 accorde également une attention particulière à la mobilité électrique. Les crédits destinés à l’acquisition de véhicules électriques bénéficient d’un appui spécifique, notamment pour les chauffeurs de taxi et les centres de formation à la conduite, via la Banque tunisienne de solidarité. Cette orientation vise à favoriser l’adoption de véhicules moins énergivores dans des segments à forte intensité d’usage, où les gains économiques et environnementaux peuvent être rapides.

En parallèle, les équipements de recharge profitent d’avantages fiscaux ciblés. Les réductions de droits de douane et l’application d’un taux de taxe sur la valeur ajoutée réduit visent à accélérer le déploiement des infrastructures nécessaires, condition essentielle à l’essor de la mobilité électrique. Le texte cherche ainsi à lever les freins structurels liés à l’insuffisance des points de recharge.

Soutien industriel et diversification technologique

Sur le plan industriel, la Loi de finances 2026 introduit des avantages fiscaux en faveur de la fabrication de batteries au lithium. Les intrants non fabriqués localement, indispensables à cette activité, sont exonérés de droits de douane et soumis à un taux réduit de TVA. Cette disposition traduit une volonté de positionner la Tunisie sur des segments industriels liés à la transition énergétique, en soutenant l’investissement productif et la montée en gamme industrielle.

Par ailleurs, les avantages fiscaux accordés aux véhicules électriques sont étendus aux véhicules hybrides rechargeables. Ce choix élargit le champ des technologies encouragées et reflète une approche graduelle de la transition, destinée à accompagner les consommateurs et les opérateurs économiques sans rupture brutale.

Une transition pensée comme levier économique

Dans son ensemble, la Loi de finances 2026 aborde la transition énergétique comme un levier économique et financier, plus que comme une contrainte environnementale. En s’appuyant sur le crédit, la fiscalité et le soutien ciblé à certaines filières, le texte cherche à amorcer une transformation progressive du modèle énergétique. Cette stratégie vise à concilier objectifs énergétiques, contraintes budgétaires et capacités industrielles, dans une logique d’ajustement progressif plutôt que de changement radical.

EN BREF

  • Orientation progressive vers la transition énergétique.
  • Soutien au crédit vert via le Fonds de transition énergétique.
  • Appui ciblé à la mobilité électrique, notamment pour les taxis.
  • Avantages fiscaux pour les équipements de recharge.
  • Incitations industrielles pour la fabrication de batteries au lithium.

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Loi de finances 2026 : Agriculture, soutien ciblé plutôt que subventions généralisées

Von: hechmi
17. Dezember 2025 um 15:11

Dans un contexte marqué par la volatilité des prix agricoles, les aléas climatiques et des marges budgétaires limitées, la Loi de finances 2026 adopte une approche sélective en matière de soutien à l’agriculture et au monde rural. Le texte ne revient pas à des subventions généralisées, mais privilégie des instruments financiers ciblés et des ajustements fiscaux précis, orientés vers la production, la compétitivité et la stabilisation des petits exploitants.

Le premier axe concerne le financement des petits agriculteurs. La loi prévoit la mise en place de lignes de crédit dédiées, notamment pour répondre aux besoins saisonniers. Ces crédits sont accordés à des conditions avantageuses, afin de permettre aux exploitants de couvrir leurs charges courantes, financer les intrants et assurer la continuité de l’activité. L’objectif est de limiter les ruptures de trésorerie, fréquentes dans les cycles agricoles, sans alourdir excessivement l’endettement des exploitations.

Alléger le coût du crédit d’investissement

Le deuxième levier porte sur le coût du financement de l’investissement agricole. La Loi de finances 2026 prévoit que l’État prenne en charge une partie de la différence entre le taux d’intérêt appliqué par les banques et le taux moyen du marché monétaire, dans des limites strictement encadrées. Ce mécanisme vise à rendre les projets d’investissement plus accessibles, notamment pour la modernisation des exploitations, l’amélioration des rendements et le développement d’activités connexes.

Cette prise en charge exclut toutefois les activités à caractère purement commercial ou spéculatif, confirmant l’orientation productive du dispositif. Le soutien est ainsi conditionné à des projets directement liés à l’activité agricole, dans une logique d’efficacité économique et de maîtrise de l’impact budgétaire.

Focus sur la filière de l’huile d’olive

La Loi de finances 2026 accorde également une attention particulière à la filière de l’huile d’olive, considérée comme stratégique pour les exportations tunisiennes. Les intrants nécessaires au conditionnement bénéficient d’avantages fiscaux ciblés, notamment l’exonération de droits de douane et la suspension de la taxe sur la valeur ajoutée. Cette mesure vise à encourager la transformation locale et la valorisation du produit, plutôt que l’exportation en vrac.

À travers ces incitations, le texte traduit une volonté de montée en gamme et de renforcement de la compétitivité sur les marchés internationaux, tout en soutenant une filière structurante pour de nombreuses régions rurales.

Des exonérations ponctuelles et sectorielles

Par ailleurs, certaines exonérations ciblent des produits agricoles spécifiques. La pomme de terre, par exemple, bénéficie d’un allègement de certaines contributions parafiscales. Là encore, l’approche reste ponctuelle et sectorielle, conçue pour répondre à des tensions conjoncturelles plutôt que pour instaurer un soutien généralisé.

Au final, la Loi de finances 2026 confirme une ligne directrice claire : soutenir l’agriculture sans déséquilibrer les finances publiques. En misant sur le crédit, l’allègement du coût du financement et des incitations fiscales ciblées, le texte cherche à préserver le tissu agricole et les territoires ruraux. Une politique d’ajustement plus que de rupture, qui reconnaît le rôle central de l’agriculture dans l’équilibre économique et social du pays.

EN BREF

  • Soutien agricole ciblé sans retour aux subventions généralisées.
  • Lignes de crédit saisonnier pour les petits exploitants.
  • Allègement du coût du crédit d’investissement agricole.
  • Avantages fiscaux pour la filière de l’huile d’olive.
  • Exonérations ponctuelles pour certains produits agricoles.

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Automobile : HEV et PHEV, de quoi parle-t-on exactement ?

Von: hechmi
17. Dezember 2025 um 10:50

Dans le débat fiscal autour de la mobilité verte, les termes hybride et hybride rechargeable sont souvent utilisés de manière imprécise. Or, la distinction est essentielle, tant sur le plan technologique que fiscal.

HEV – Hybrid Electric Vehicle

Hybride non rechargeable 

Un HEV est un véhicule équipé de :

  • un moteur thermique (essence ou diesel),
  • un moteur électrique,
  • une batterie de faible capacité, non rechargeable sur prise.

La batterie se recharge uniquement :

  • par la récupération d’énergie au freinage,
  • par le moteur thermique.

Le moteur électrique :

  • assiste le moteur thermique,
  • peut propulser seul le véhicule à basse vitesse ou sur de très courtes distances.

👉 Avantage clé :
Réduction significative de la consommation et des émissions sans dépendre d’une infrastructure de recharge.

👉 Limite :
Autonomie électrique faible.

PHEV – Plug-in Hybrid Electric Vehicle

Hybride rechargeable

Un PHEV combine :

  • un moteur thermique,
  • un moteur électrique plus puissant,
  • une batterie de capacité nettement supérieure, rechargeable sur une prise électrique externe.

Il peut rouler :

  • en mode 100 % électrique sur plusieurs dizaines de kilomètres,
  • ou en mode hybride lorsque la batterie est vide.

👉 Avantage clé :
Potentiel de roulage quotidien sans émissions si le véhicule est régulièrement rechargé.

👉 Limite :
En l’absence de recharge fréquente, le PHEV fonctionne comme un véhicule thermique plus lourd, avec une efficacité parfois inférieure à celle d’un HEV.

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Loi de finances 2026 : Ce qui change pour l’agriculteur

Von: hechmi
17. Dezember 2025 um 09:25

Le monde agricole bénéficie d’un soutien ciblé et productif, centré sur le financement et la compétitivité.

👉 Ce qui change :

  • Mise en place de crédits saisonniers dédiés aux petits agriculteurs, pour couvrir les besoins de trésorerie.
  • Prise en charge partielle par l’État du coût du crédit d’investissement, afin d’encourager la modernisation des exploitations.
  • Avantages fiscaux pour certaines filières, notamment l’huile d’olive (exonérations de droits de douane et suspension de TVA sur les intrants de conditionnement).
  • Exonérations ciblées sur certains produits agricoles pour soulager les coûts de production.

👉 Ce qui ne change pas :

  • Pas de retour à des subventions agricoles généralisées.
  • Le soutien reste conditionné et encadré.

📌 À retenir
La Loi de finances 2026 privilégie un soutien par le financement et la fiscalité ciblée, avec l’objectif de préserver l’activité agricole sans déséquilibrer les finances publiques.

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La Tribune de l’IA | Fiscalité verte : quand la Loi de finances 2026 pénalise la transition qu’elle prétend accélérer

Von: hechmi
17. Dezember 2025 um 07:41

AUTO HEV PHEVEn consacrant un avantage fiscal massif aux hybrides rechargeables, la Loi de finances 2026 affiche une ambition écologique assumée. Mais en excluant brutalement les hybrides non rechargeables des exonérations douanières et en les soumettant, au-delà de certains seuils, à une fiscalité équivalente à celle des thermiques classiques, le texte introduit une rupture controversée. Derrière le signal politique, cette tribune interroge la cohérence technologique, l’équité fiscale et les effets économiques d’un choix qui pourrait freiner, plutôt qu’accélérer, la transition énergétique.

La Loi de finances 2026 marque incontestablement un tournant dans la politique tunisienne de mobilité verte. À travers l’article 47, le législateur affiche une volonté claire : accélérer l’électrification du parc automobile en favorisant massivement les véhicules électriques et les hybrides rechargeables. L’intention est louable. Mais la méthode interroge. Car en excluant brutalement les hybrides non rechargeables des exonérations douanières et fiscales, le texte introduit une rupture technologique, économique et sociale difficilement justifiable.

Une fiscalité écologique à géométrie variable

Le dispositif est sans ambiguïté. Les hybrides rechargeables bénéficient d’un régime exceptionnellement favorable : exonération totale des droits de douane, intégration dans les régimes de TVA avantageux, assimilation progressive aux véhicules électriques et encouragement explicite de l’infrastructure de recharge jusqu’en 2028. À l’inverse, les hybrides non rechargeables — pourtant largement reconnus comme une technologie de transition efficace — sont relégués à un régime résiduel, plafonné et contraint.

Pire encore, au-delà d’une cylindrée de 1700 cm³ pour les motorisations essence, ces véhicules basculent dans le régime de plein tarif douanier (Exemple: une Toyota RAV4 Hybride passerait d’un prix de 168.000 dinars à plus de 200.000 dinars), comme s’ils ne présentaient aucun bénéfice environnemental par rapport aux thermiques classiques. Une telle approche binaire trahit une vision administrative plus que technologique de la transition énergétique.

« La Loi de finances 2026 affiche une ambition écologique claire. Mais la méthode retenue soulève des interrogations sur sa cohérence. »

Une confusion entre capacité technique et usage réel

Le cœur du problème réside dans une hypothèse implicite mais discutable : un véhicule hybride rechargeable serait, par nature, plus vertueux qu’un hybride non rechargeable. Or, cette affirmation ne résiste ni à l’analyse des usages réels, ni aux données d’émissions constatées.

De nombreuses études internationales montrent que les hybrides rechargeables sont souvent peu ou mal rechargés, notamment en l’absence d’infrastructures suffisantes ou de contraintes incitatives. En conditions réelles, certains hybrides non rechargeables modernes affichent des consommations et des niveaux d’émissions inférieurs à ceux de PHEV lourds, utilisés majoritairement en mode thermique. La fiscalité tunisienne choisit pourtant d’ignorer l’usage effectif au profit d’un critère purement formel : la possibilité de recharge.

« En privilégiant la capacité de recharge, la fiscalité fait abstraction des usages réels observés sur le terrain. »

Le retour d’un critère obsolète : la cylindrée

Autre angle mort du texte : la résurgence de la cylindrée comme pivot fiscal. Fixer un seuil à 1700 cm³ pour l’essence revient à ressusciter un indicateur largement abandonné dans les politiques fiscales modernes. À l’heure des moteurs à haut rendement, des cycles Atkinson, de la récupération d’énergie et des normes Euro avancées, la cylindrée ne dit plus rien — ou presque — de la performance environnementale d’un véhicule.

Cette approche conduit à des situations paradoxales : un SUV hybride non rechargeable efficient et conforme aux standards environnementaux les plus exigeants se retrouve plus taxé qu’un hybride rechargeable plus lourd, plus coûteux et parfois moins vertueux à l’usage.

Une transition écologiquement radicale mais socialement risquée

En pratique, l’article 47 instaure une transition à deux vitesses. D’un côté, une mobilité électrique subventionnée, encore coûteuse et dépendante d’infrastructures inégalement réparties. De l’autre, une technologie intermédiaire éprouvée, accessible aux classes moyennes, soudainement pénalisée par la fiscalité.

Les effets économiques sont prévisibles : hausse des prix, déséquilibre des gammes, fragilisation des concessionnaires historiquement positionnés sur l’hybride non rechargeable, et réduction du choix pour le consommateur. La fiscalité, censée accompagner la transition, devient alors un facteur de rupture plutôt que de progression.

« Le dispositif crée une fracture entre mobilité subventionnée et solutions intermédiaires pénalisées. »

Pour une fiscalité écologique plus intelligente

Accélérer la transition énergétique ne devrait pas signifier sacrifier la neutralité technologique. Une fiscalité réellement verte devrait s’appuyer sur des critères objectifs : émissions réelles, consommation mesurée, usage effectif, contribution globale à la réduction du carbone. En l’état, l’article 47 privilégie une solution technologique unique, sans tenir compte des réalités du marché, des comportements des usagers ni des contraintes d’infrastructure.

La transition écologique ne peut être ni punitive ni dogmatique. Elle doit être progressive, inclusive et économiquement soutenable. À défaut, elle risque de produire l’effet inverse de celui recherché : ralentir l’adhésion plutôt que l’accélérer.

« Pour être efficace, la transition doit rester progressive et économiquement soutenable. »

 

À retenir

  • La Loi de finances 2026 accorde une exonération totale de droits et taxes aux véhicules hybrides rechargeables, les assimilant fiscalement aux électriques,
  • Les hybrides non rechargeables sont exclus de ces avantages et restent soumis aux droits de douane au plein tarif au-delà de 1700 cm³ pour l’essence, 50% des droits pour les autres cylindrées,
  • Le critère fiscal retenu repose sur la capacité de recharge et la cylindrée, et non sur les émissions réelles ou l’usage effectif.
  • Cette approche crée une rupture technologique et économique, pénalisant une solution de transition pourtant éprouvée.
  • Une fiscalité écologique efficace devrait encourager la réduction réelle des émissions, plutôt qu’imposer un choix technologique unique.

 

(Nota : « Cette Tribune a été générée par un outil d’intelligence artificielle à partir de données publiques. Elle a été relue, contextualisée et validée par la rédaction. » – IA utilisé ChatGPT).

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