Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 18. August 2025Haupt-Feeds

Croissance en trompe-l’œil : l’INS rassure, Ecoweek alerte

18. August 2025 um 19:20

L’INS annonce une croissance de 3,2 % au deuxième trimestre de 2025, portée par la demande interne. Mais le rapport Ecoweek révèle une réalité plus sombre : déficit d’investissement, marginalisation dans les flux d’IDE, retard numérique. Un contraste qui interroge la crédibilité des politiques économiques.

Une embellie statistique…

L’Institut national de la statistique (INS) a publié des chiffres flatteurs : le PIB a progressé de 3,2 % en glissement annuel, dopé par la demande interne (+3,3 %) et la reprise de l’investissement brut. La consommation et la formation de capital fixe expliquent à elles seules une contribution positive de +3,59 points à la croissance.

Mais cette amélioration apparente est fragilisée par les échanges extérieurs : malgré une hausse des exportations de 9,6 %, les importations ont progressé presque autant (+8,9 %). Résultat : une contribution négative (-0,43 point) du commerce extérieur au PIB.

… qui masque des faiblesses structurelles

Derrière ces indicateurs, Ecoweek tire la sonnette d’alarme. Le think tank rappelle que la Tunisie souffre d’un déficit d’investissement chronique, estimé à 72,5 milliards de dinars entre 2010 et 2024, dont les trois quarts au cours des cinq dernières années. Avec un taux d’investissement moyen de 15,1 % du PIB, loin des 25 % nécessaires, le pays s’enferme dans une croissance molle incapable d’absorber le chômage.

IDE et attractivité : la marginalisation

Les investissements directs étrangers (IDE) illustrent ce déclassement. En 2024, la Tunisie a capté 936 millions de dollars, soit à peine 1,8 % des flux vers l’Afrique du Nord, son plus bas niveau depuis 25 ans. Pendant que l’Égypte accaparait 92 % de ces flux, la Tunisie devenait un « trou noir » sur la mappemonde des investisseurs, selon Ecoweek.

Le décrochage est encore plus flagrant dans l’économie numérique. Alors que les IDE mondiaux dans ce secteur ont triplé depuis 2020, la Tunisie reste hors-jeu, avec une part insignifiante et un retard abyssal en fibre optique (89e sur 93 pays).

Mirage ou réalité ?

Le contraste est saisissant : d’un côté, une croissance conjoncturelle rassurante ; de l’autre, une dégradation structurelle profonde. Tant que la Tunisie se contentera de mettre en avant des chiffres ponctuels, sans stratégie d’investissement et de compétitivité, la croissance restera un mirage dans le désert économique.

L’article Croissance en trompe-l’œil : l’INS rassure, Ecoweek alerte est apparu en premier sur WMC.

Tunisie – Croissance : une progression portée par la demande interne, mais jusqu’à quand ?

18. August 2025 um 19:08

Tunisie Economie reformesL’INS a annonce le 15 août une croissance de 3,2 % au deuxième trimestre 2025. Une demande portée par la demande interne et un rebond de l’investissement. Des chiffres rassurants si nous en faisions une lecture basique si ce n’est que l’économiste Hechmi Alaya, apporte dans le numéro 25 d’Ecoweek des éclairages qui inquiètent. Il y parle de l’effondrement de l’investissement productif, d’une marginalisation dans les flux d’IDE, du recul de la compétitivité numérique et de déséquilibres extérieurs persistants. “Les chiffres sont comme les gens. Si on les torture assez, on peut leur faire dire n’importe quoi.” Cette citation, attribuée à l’écrivain français Didier Hallépée en dit long sur notre capacité à interpréter des chiffres selon nos souhaits.

Un PIB en hausse, dopé par la demande interne d’après l’INS. le produit intérieur brut a progressé de 3,2 % en glissement annuel au deuxième tiers de 2025. Une performance qui semble témoigner d’un retour de la dynamique économique après des années de stagnation. Cette croissance est essentiellement tirée par la demande interne, dont le volume a augmenté de 3,3 %. L’INS met en avant la contribution des dépenses de consommation et surtout de la formation brute de capital fixe – autrement dit, l’investissement –, qui aurait joué un rôle moteur dans ce regain d’activité. La demande interne contribue ainsi à hauteur de +3,59 points au taux de croissance global. Pour le lecteur non averti, le message est limpide : les Tunisiens consomment davantage, les entreprises investissent, et la machine économique se remet en marche.

Mais cette lecture flatteuse occulte une réalité plus nuancée.

Commerce extérieur : une contribution négative

En parallèle, l’INS reconnaît que les échanges extérieurs ont amputé la croissance. Le commerce net de biens et services contribue négativement (-0,43 point) au PIB. Pourtant, les chiffres affichent une hausse des exportations (+9,6 %) légèrement supérieure à celle des importations (+8,9 %). Mais l’écart reste insuffisant pour rééquilibrer une balance commerciale structurellement déficitaire. En clair, la Tunisie continue de dépendre des importations pour alimenter sa demande intérieure, notamment en biens d’équipement, énergie et produits alimentaires, ce qui limite l’effet bénéfique de la croissance sur la souveraineté économique.

« Les chiffres sont comme les gens : si on les torture assez, on peut leur faire dire n’importe quoi. »

Des illusions statistiques : l’INS gomme les déséquilibres

La présentation de l’INS illustre une tendance récurrente du discours officiel : mettre en avant les chiffres conjoncturels positifs tout en minimisant les faiblesses structurelles.

En insistant sur l’accélération de la croissance et sur le rôle moteur de la demande interne, l’institution occulte des réalités préoccupantes :

  • une croissance fragile, tirée davantage par la consommation que par une montée en gamme de l’appareil productif ;
  • un commerce extérieur structurellement déficitaire ;
  • une inflation qui recule très lentement. Le fait de passer de 5,4 de taux d’inflation au mois de juin à 5,3 au mois de juillet ne prouve pas la baisse de l’inflation en elle même mais plutôt le niveau d’augmentation des prix d’un mois à l’autre ;
  • un investissement qui, derrière le rebond statistique, reste inférieur aux besoins du pays. C’est précisément ce que met en lumière Ecoweek, dans son numéro 25 de juin 2025.

Ecoweek démonte le mirage : un déficit d’investissement inquiétant

Pour le Think tank dirigé par Hechmi Alaya, les discours officiels relèvent d’une « utilisation mystificatrice de la statistique ». Loin de l’euphorie suggérée par les communiqués, la Tunisie souffre d’un déficit d’investissement chronique qui met en danger son avenir.

Entre 2010 et 2024, le pays aurait accumulé un manque à investir de plus de 72,5 milliards de dinars, dont 75 % rien qu’entre 2020 et 2024. Un recul qui s’explique par la chute du taux d’investissement, tombé en moyenne à 15,1 % du PIB sur 2020-2024, contre 26,3 % entre 1970 et 2010. Or, c’est précisément ce niveau élevé d’investissement qui avait permis à la Tunisie d’assurer une croissance soutenue de 4 à 5 % sur le long terme.

Actuellement avec un taux d’investissement inférieur à 20 %, le pays est condamné à des taux de croissance médiocres, insuffisants pour créer des emplois, réduire le chômage ou moderniser l’économie.

« Derrière le rebond statistique, l’investissement reste dramatiquement en dessous des besoins du pays. »

Investissements directs étrangers : la Tunisie, lanterne rouge de l’Afrique du Nord

Autre constat sévère : les investissements directs étrangers (IDE). En 2024, la Tunisie a engrangé 936 millions de dollars, en hausse de 21,2 % par rapport à 2023. Un chiffre que l’INS et certains médias officiels présentent comme un signe de reprise. Mais Ecoweek rappelle que cette performance est ridiculement faible rapportée à l’ensemble des flux d’IDE en Afrique du Nord : à peine 1,8 %, le plus bas niveau depuis 25 ans. À titre de comparaison, l’Égypte a capté 92 % de ces flux, le Maroc 3,2 % et l’Algérie 2,8 %. Au niveau continental, la Tunisie n’a attiré que 1 % des IDE reçus par l’Afrique, se plaçant derrière une vingtaine de pays, y compris des économies réputées instables.

Pire, la Tunisie est quasiment absente des rapports internationaux de benchmarking utilisés par les investisseurs : Business Ready de la Banque mondiale, Africa Attractiveness Report d’Ernst & Young, ou encore le FDI Confidence Index de Kearney. La marginalisation est telle que le pays apparaît comme un « trou noir » sur la mappemonde des investisseurs étrangers, selon Ecoweek.

Compétitivité numérique et attractivité : la chute !

Alors que les IDE dans l’économie digitale ont presque triplé au niveau international entre 2020 et 2024, la Tunisie est restée à l’écart.  L’économie numérique est pourtant un moteur incontournable de la croissance mondiale. Avec une part mondiale inférieure à 0,06 %, la Tunisie ne figure tout simplement pas dans les pays susceptibles de bénéficier de cette révolution. Un facteur aggravant : le retard abyssal dans le déploiement de la fibre optique.

L’étude WBBA-Omdia 2024, révèle un retard persistant par rapport aux pays voisins malgré des améliorations dans le haut débit fixe. Bien que l’Afrique du Nord ait connu une accélération du déploiement de la fibre, la Tunisie reste en retrait, particulièrement par rapport au Maroc et à l’Égypte même si des efforts sont déployés pour moderniser l’infrastructure. En d’autres termes, aucune stratégie de digitalisation crédible n’est possible dans ces conditions.

« La Tunisie n’attire plus que 1 % des IDE africains, loin derrière ses voisins. »

 Un avenir menacé par le court-termisme

Le contraste entre le discours officiel et l’analyse indépendante illustre une tendance inquiétante : gouverner par la communication et les statistiques partielles, au lieu d’affronter les défis structurels.

L’INS met en avant une croissance de 3,2 % pour rassurer l’opinion et les bailleurs, mais Ecoweek rappelle que cette croissance est insuffisante pour absorber le chômage et que c’est une croissance qui repose sur la consommation et l’endettement et non sur un regain productif.

L’investissement, clé de tout développement durable ne satisfait pas au potentiel du site Tunisie. Un pays, estime Hechmi Alaya, qui est sorti de la compétition régionale et mondiale dans l’attraction des capitaux et des compétences.

Pour terminer, nous ne pouvons pas ne pas relever qu’l’INS et Ecoweek racontent deux histoires différentes sur une même économie. Le premier vante une embellie passagère, le deuxième décrit une dégradation structurelle profonde.

« Croissance conjoncturelle ou mirage statistique ? L’économie tunisienne joue son avenir.»

 

A supposer que la vérité se situe entre les deux, il est urgent que les décideurs tunisiens arrêtent ces espèces de réflexes devenus structurels, cette fuite en avant et le déni d’une réalité économique peu reluisante aggravée par la promulgation de lois antiéconomiques et   affrontent les véritables défis : rétablir un climat propice à l’investissement, moderniser l’appareil productif, rattraper le retard numérique et restaurer la confiance des investisseurs. Faute de quoi, la croissance annoncée aujourd’hui ne sera qu’un mirage de plus dans le désert économique tunisien.

Et puis une question déterminante : combien de temps encore la Tunisie pourra-t-elle masquer ses faiblesses derrière des statistiques conjoncturelles ?

Amel Belhadj Ali

Chiffres clés

  • 3,2 % — Taux de croissance du PIB au 2e trimestre 2025 (INS)
  • 72,5 Mds TND — Montant du déficit d’investissement accumulé entre 2010 et 2024
  • 15,1 % — Taux moyen d’investissement 2020-2024, contre 26,3 % entre 1970 et 2010
  • 936 M USD — IDE reçus en 2024, soit seulement 1,8 % des flux en Afrique du Nord
  • 0,06 % — Part de la Tunisie dans l’économie numérique mondiale.

 

L’article Tunisie – Croissance : une progression portée par la demande interne, mais jusqu’à quand ? est apparu en premier sur WMC.

Défis du Chott 2025 : là où le désert éprouve l’audace

18. August 2025 um 17:37

Au cœur du sud tunisien, le Chott El Jerid s’étend comme une mer immobile, figée sous une croûte de sel qui scintille à perte de vue. Un décor que l’on croirait hors du temps. Pourtant, chaque automne depuis 28 ans, cette immensité se transforme en arène vivante : un terrain de jeu pour celles et ceux qui aiment se mesurer à plus grand qu’eux.

Le 25 octobre 2025, ils seront 450 — coureurs, randonneurs, aventuriers — à y éprouver leurs limites, ressentir l’adrénaline et inscrire leur nom dans l’histoire des Défis du Chott. Ici, la course n’est pas qu’un chronomètre : c’est une traversée sensorielle, un face à face avec un paysage qui est à la fois allié et adversaire.

Les Foulées du Monde : une tribu guidée par l’intuition

L’histoire commence dans les années 90, quand Philippe Genesio, face à l’immensité blanche, refuse de n’y voir qu’un vide. Il y perçoit un tracé invisible, une ligne d’horizon à rejoindre, une épreuve à inventer. De cette vision naissent les Foulées du Monde, une association de bénévoles passionnés, animés par un goût commun de l’effort et de la découverte.

Depuis, ils transforment chaque année cette intuition en un rendez-vous international où toutes les disciplines trouvent leur place : marathon, semi, 10 km, raids multisports, VTT, marche nordique, rollers, stages motorisés… Plus de 12 000 participants ont déjà foulé le Chott, laissant derrière eux une trace invisible mais mémorable.

Pour cette 28ᵉ édition, les parcours ont été repensés. Certains stimulent les muscles, d’autres l’orientation, tous défient la stratégie autant que l’endurance. Les 450 participants vivront chacun leur propre récit : une aventure où l’effort se transforme en récompense, et où le désert façonne les caractères autant que les corps.

Mais l’édition 2025 promet plus qu’un dossard. Les organisateurs proposent des séjours complets : vols aller-retour, hébergement, repas et un programme d’activités conçu pour vivre le désert de l’intérieur.

Entre deux épreuves, les participants peuvent explorer les oasis, déambuler dans les villages, rencontrer des artisans, s’asseoir autour d’un thé à la menthe, ou lever les yeux vers un ciel constellé d’étoiles. On repart avec des souvenirs qui ne tiennent pas seulement dans un album photo : ici, la performance sportive se mêle à la découverte culturelle et sensorielle.

Défis du Chott 2025 : courir, ressentir, se souvenir

Début septembre 2025, l’Institut français de Tunisie accueillera la conférence de presse officielle. Philippe Genesio et son équipe y dévoileront les détails des parcours, les nouveautés et les ambitions de cette édition. L’occasion de mesurer que les Défis du Chott ne sont pas seulement une compétition : ce sont des histoires qui se tissent, des rencontres qui changent les trajectoires, un projet où le sport devient un langage universel.

Chaque édition porte le même message : ici, la victoire ne se mesure pas uniquement en minutes et en secondes. Ce qui compte, c’est d’avoir osé, d’avoir ressenti, d’avoir partagé.

Ceux qui traversent le Chott repartent changés, porteurs d’un fragment de désert qui ne les quittera plus. Et à chaque édition, une page nouvelle s’ajoute à cette aventure humaine et sportive qui, depuis près de trois décennies, continue de repousser l’horizon.

L’article Défis du Chott 2025 : là où le désert éprouve l’audace est apparu en premier sur WMC.

Bourse Tunis : Recul de l’indice, Monoprix chute, BTE progresse

18. August 2025 um 17:21

Le marché boursier a clôturé la séance en territoire négatif. L’indice de référence a inscrit une baisse de 0,19 % à 11 816,9 points, dans un volume modeste de 7 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre BTE s’est retrouvé en haut de l’affiche. Sans faire l’objet de transactions sur la séance, l’action de la banque s’est bonifiée de 4,4 % à 4,5 D.

Le titre CIMENTS DE BIZERTE a affiché un bon parcours boursier. Sans drainer des flux sur la séance, l’action du cimentier a signé une avancée de 4,3 % à 0,490 D.

Le titre MONOPRIX a accusé la plus forte baisse de la séance. Dans un volume de 6 mille dinars, l’action du spécialiste de la grande distribution a enregistré une régression de 4,5 % à 6,210 D.

Le titre TELNET a terminé la séance sur une note morose. L’action a reculé de 3,2 % à 7,010 D, dans un volume de 33 mille dinars sur la séance.

Le titre SFBT a chapeauté le palmarès des échanges. L’action du géant de l’agroalimentaire a clôturé la séance sur une note d’optimisme (+0,3 % à 12,110 D), en alimentant le marché avec des capitaux de 1,4 MD (soit 20 % du volume échangé sur le marché).

Site web : BTE

L’article Bourse Tunis : Recul de l’indice, Monoprix chute, BTE progresse est apparu en premier sur WMC.

Festival Cinétoile 2025 à Nabeul : art, cinéma et rencontres internationales sous les étoiles

18. August 2025 um 14:50

Le festival international du court métrage Cinétoile revient dans une huitième édition du 24 au 29 août 2025. Ce nouveau rendez-vous cinématographique se déroulera au site archéologique Néapolis, au fort de Hammamet et au Centre culturel Néapolis à Nabeul (Cap Bon).

En attendant d’annoncer sa programmation, le festival a dévoilé l’affiche officielle signée par l’artiste Shawki Boukef, une identité visuelle, où l’art et le symbole se rencontrent. Sur fond d’horizon marin constellé d’étoiles, une mouette au regard vif, parée de coquillages, domine les vagues comme une sentinelle du large. Entre l’écume et la lumière, l’oiseau devient métaphore du cinéma tout court : libre, audacieux, prêt à s’élancer vers d’autres rivages. Les marches rouges qui se perdent dans la mer évoquent l’ascension vers l’écran, porte ouverte sur des récits venus du monde entier, invitant à un voyage cinématographique où chaque court métrage est une étoile nouvelle dans le firmament de Cinétoile.

Organisé par la délégation régionale aux affaires culturelles de Nabeul, avec le soutien du Centre National du Cinéma et de l’Image (CNCI), de l’Agence de mise en valeur du patrimoine et de promotion culturelle (Amvppc) et de la municipalité de Nabeul, le festival rassemble chaque année des cinéphiles, des réalisateurs, des producteurs et des critiques du monde entier, créant ainsi un espace de rencontre et d’échange autour du cinéma.

Depuis sa création en 2017, le festival “Cinétoile” s’est imposé comme un événement culturel offrant dans la région une sélection de films et d’activités variées autour du cinéma. Le surnom “Cinéma sous les étoiles” prend tout son sens avec des projections nocturnes en plein air qui invitent le public à vivre le cinéma autrement, sous le ciel étoilé.

L’article Festival Cinétoile 2025 à Nabeul : art, cinéma et rencontres internationales sous les étoiles est apparu en premier sur WMC.

Huawei nommé leader dans le Magic Quadrant de Gartner® pour la gestion des conteneurs

18. August 2025 um 14:33

Le 6 août, Gartner a publié le Magic Quadrant pour la gestion des conteneurs 2025, positionnant Huawei dans le quadrant des leaders. Cette reconnaissance est attribuée à l’expertise approfondie et aux investissements stratégiques de Huawei Cloud dans Cloud Native 2.0. Huawei Cloud est à l’avant-garde, en lançant plusieurs produits de conteneur innovants tels que CCE Turbo, CCE Autopilot, Cloud Container Instance (CCI) et le service distribué natif du cloud UCS. Ces produits fournissent l’infrastructure native du cloud optimale pour la gestion de charges de travail conteneurisées à grande échelle et évolutives dans les cloud publics, les cloud distribués, les cloud hybrides et les environnements de périphérie.

Huawei Cloud est compétitif dans tous les exemples d’utilisation étudiés, y compris les nouvelles applications natives du cloud, la conteneurisation des applications existantes, les conteneurs IA, les applications de périphérie et les applications cloud hybrides, en particulier dans le domaine des conteneurs IA.

Huawei Cloud est un contributeur open source actif et un leader dans l’écosystème de technologie native du cloud. En tant que contributeur de longue date à la Cloud Native Computing Foundation (fondation CNCF), Huawei Cloud a participé à 82 projets de la CNCF, détient plus de 20 postes de mainteneur de projet, et est le seul fournisseur de cloud chinois à occuper un poste de vice-président au sein du Comité de supervision technique (TOC) de la CNCF. Huawei Cloud a fait don de plusieurs projets à la CNCF, dont KubeEdge Karmada, Volcano et Kuasar, et a contribué à des projets de référence tels que Kmesh, openGemini et Sermant en 2024.

Huawei Cloud offre la matrice de produits de conteneur la plus complète du secteur, couvrant le cloud public, le cloud distribué, le cloud hybride et les scénarios de périphérie. Il a été largement adopté dans des secteurs tels que l’Internet, la finance, la fabrication, le transport, l’électricité et l’automobile, offrant une valeur native du cloud omniprésente. En outre, les services de conteneurs Huawei Cloud sont activement déployés dans le monde entier. La croissance rapide de l’informatique native du cloud est largement reconnue par les utilisateurs du monde entier et aide continuellement à la réussite des entreprises des clients.

Starzplay, une plateforme OTT au Moyen-Orient et en Asie centrale, a utilisé le CCI Huawei Cloud pour passer à une architecture sans serveur. Ce changement a permis à la plateforme de gérer des millions de demandes d’accès pendant la Coupe du monde de cricket 2024, tout en réduisant les coûts des ressources de 20 %.

Ninja Van, l’un des principaux fournisseurs de services logistiques rapides à Singapour, a entièrement conteneurisé ses services à l’aide de du CCE Huawei Cloud. Cette architecture de service d’IA native du cloud est à la fois agile et efficace, garantissant un service ininterrompu pendant les heures de pointe et améliorant l’efficacité du traitement des commandes de 40 %.

Chilquinta Energía, l’une des trois principales compagnies d’électricité du Chili, a mis à niveau sa grande plateforme de données vers une architecture native du cloud à l’aide du CCE Turbo Huawei Cloud. La nouvelle plateforme affiche une amélioration de 90 % des performances moyennes, propulsant Chilquinta vers des opérations plus intelligentes et automatisées.

Konga, la plateforme de e-commerce la plus complète du Nigeria, est entièrement passée à une architecture native du cloud basée sur CCE Turbo. Cette approche agile et flexible a efficacement assuré une expérience d’achat fluide pour ses millions d’utilisateurs actifs mensuels.

Meitu, l’une des principales plateformes de création visuelle en Chine, exploite les services cloud CCE et Ascend pour gérer efficacement les ressources de calcul IA. Cela prend en charge le déploiement et l’inférence de divers modèles et algorithmes, assurant une itération rapide de la formation à grande échelle et permettant à 200 millions d’utilisateurs actifs mensuels de partager leurs moments de vie en temps réel.

À l’ère de l’IA, Cloud Native 2.0 a été entièrement mis à niveau pour intégrer l’intelligence. Huawei Cloud construit une infrastructure AI native du cloud de nouvelle génération alimentée par des technologies d’IA avancées.

  • Dans le cloud pour l’IA, les clusters d’IA CCE forment l’infrastructure native du cloud pour les supernœuds CloudMatrix384. Ces clusters offrent une planification à grande échelle tenant compte de la topologie des supernœuds, une mise à l’échelle de la séparation PD, une mise à l’échelle automatique tenant compte des caractéristiques de la charge de travail de l’IA et des démarrages de conteneurs ultra-rapides. Ces fonctionnalités accélèrent considérablement l’entraînement et l’inférence de l’IA, améliorant l’efficacité globale des tâches d’IA.
  • L’IA révolutionne également l’expérience des services cloud. Huawei Cloud s’engage à intégrer l’IA dans ses offres cloud et a lancé CCE Doer. CCE Doer intègre des agents d’IA tout au long du processus d’utilisation des conteneurs, fournissant des Q&R, des recommandations et des diagnostics intelligents. Il peut diagnostiquer plus de 200 scénarios d’exception critiques avec un taux de précision des causes premières supérieur à 80 %, ce qui permet une gestion automatisée et intelligente des clusters de conteneurs.
  • Le natif du cloud évolue rapidement vers le sans serveur. Huawei Cloud propose deux produits de conteneur sans serveur : le CCE Autopilot du cluster Kubernetes sans serveur et l’instance de conteneur sans serveur CCI, qui permettent aux utilisateurs de se concentrer sur le développement d’applications et d’accélérer l’innovation des services. Les conteneurs sans serveur d’informatique générale et d’informatique générale Kunpeng récemment lancés améliorent la rentabilité de l’informatique jusqu’à 40 %, ce qui en fait la solution évolutive idéale pour les entreprises dont le trafic est multiplié par dix.

Huawei Cloud continuera à s’associer avec des opérateurs mondiaux pour faire progresser les innovations technologiques natives du cloud et partager ses réussites. Cette collaboration entraînera une transformation sans précédent du secteur, ouvrant de nouvelles opportunités pour une société numérique plus inclusive, plus accessible et plus résiliente.

——————————————————————————————-

Source : Gartner, Magic Quadrant for Container Management 2025, 6 August 2025

Limitations de responsabilité : Gartner ne soutient aucun fournisseur, produit ou service présenté dans ses publications de recherche et ne recommande pas aux utilisateurs de technologies de ne sélectionner que les fournisseurs les mieux notés ou ayant reçu une désignation particulière. Les publications de recherche de Gartner contiennent des opinions des organisations de recherche et de conseil de Gartner et ne doivent pas être interprétées comme des déclarations de fait. Gartner décline toute garantie, explicite ou implicite, en rapport avec cette recherche, y compris les garanties de valeur marchande ou d’adéquation à un usage particulier.

GARTNER, MAGIC QUADRANT et PEER INSIGHTS sont des marques déposées de Gartner, Inc. et/ou de ses filiales aux États-Unis et dans le monde, et sont utilisées ici avec autorisation. Tous droits réservés.

L’article Huawei nommé leader dans le Magic Quadrant de Gartner® pour la gestion des conteneurs est apparu en premier sur WMC.

Change devises en dinar tunisien : Cours du 18 août 2025

18. August 2025 um 13:28

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.895 2.972
Euro EUR 1 3.375 3.454
Yen Japonais JPY 1000 19.431 20.163
Livre Sterling GBP 13 3.879 4.025
Franc Suisse CHF 10 35.354 36.873

L’article Change devises en dinar tunisien : Cours du 18 août 2025 est apparu en premier sur WMC.

Sarra Zaafrani Zenzri au Japon pour la 9ᵉ Conférence internationale sur le développement de l’Afrique

18. August 2025 um 12:40

La cheffe du gouvernement Sarra Zaafrani Zenzri a quitté lundi, Tunis, vers la ville japonaise Yokohama pour participer à la 9eme Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Africain (TICAD 9).

Elle est accompagnée dans sa visite au Japon, par des responsables du de la présidence de la du gouvernement et du département des affaires étrangères .

Au programme de la visite figurent des entretiens et rencontres avec des responsables japonais et africains. Le chefs de   gouvernement japonais et plusieurs chefs d’Etats et des  gouvernements africains prennent part à ce sommet.

L’article Sarra Zaafrani Zenzri au Japon pour la 9ᵉ Conférence internationale sur le développement de l’Afrique est apparu en premier sur WMC.

QNB – Revue Economique : Commodity prices signal softer global growth ahead

18. August 2025 um 08:00

After a turbulent first half of 2025 marked by sharply elevated US tariff uncertainty following President Trump’s sweeping “Liberation Day” trade measures, the global economy is adjusting to a more restrictive trade environment, leaving economists and investors increasingly cautious.

Despite the initial rounds of US trade deals not fully addressing policy uncertainty, commodity prices provide more concrete indicators of underlying global demand, inflationary pressures, and investor sentiment. Historically reliable as real-time barometers, recent commodity price trends are now signalling moderating growth prospects and lower risks of runaway inflation dynamics ahead. Three factors support this position.

 

First, the overall performance of commodity indices remains well below their cyclical highs from May 2022, while trading in a relatively tight range since the beginning of 2025. This stabilization challenges both extremes of the macro narrative – neither pointing to untamed nominal growth re-acceleration nor to a more significant slowdown or recession. In fact, the absence of renewed volatility or major price spikes in cyclical commodities (energy and industrial metals) reinforces the ongoing disinflationary trend, despite the sharp depreciation of the USD and the risk of short-term inflation in the US due to the new

tariffs. At the same time, steady year-to-date price levels imply underlying resilience in global demand, especially for construction and industrial activity. Notably, base metals (copper, aluminium, lead, nickel, tin and zinc) have posted some gains this year, reflecting optimism around a growth acceleration in emerging technologies and in Asia, particularly with regards to electric vehicles, AI, and China.

Second, the copper-to-gold ratio – often used as a proxy for market expectations on growth, inflation and risk appetite – continues to drift lower. This contrasts with the scenario in which markets would be pricing in a robust pro-growth, pro-inflation policy agenda under Trump 2.0. In such a case, copper (a growth sensitive asset) would be expected to outperform gold (a defensive hedge), pushing the ratio higher. The current downtrend suggests instead a more conservative stance by investors, consistent with an outlook of moderate slowdown with well-anchored inflation expectations.

Third, the sustained strength in gold prices appears to reflect heightened geopolitical uncertainty and a flight to jurisdiction-free assets, rather than signals of impeding inflation or overheating demand. Gold is currently trading near record highs – around USD 3,330 per troy ounce – marking close to an 80% increase since the 2022 peak in commodity prices. In contrast, silver, which is both a monetary and industrial metal with key applications in green technology, has been lagging behind until now. However, in recent months, silver prices started to pick up and catch up with the strong performance of gold, suggesting that industrial demand may have bottomed. Were markets expecting a broad-based macro upcycle or runaway inflation, silver would typically lead gold by a significant margin.

All in all, despite policy noise and concerns over the potential inflationary impact of Trump 2.0, the signal from commodity markets remains broadly benign. Most industrial inputs are trading sideways at levels significantly below their 2022 peaks. The declining copper-to-gold ratio and the relative underperformance of silver versus gold reinforce the view that growth should slowdown and inflationary pressures remain contained. In our assessment, the commodity complex is pricing in a soft landing: a glide path of moderate global growth with continues disinflation – a reassuring scenario amid a turbulent political backdrop.

 

L’article QNB – Revue Economique : Commodity prices signal softer global growth ahead est apparu en premier sur WMC.

Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

Gouvernance : La filiation, le mal qui gangrène le secteur public

16. August 2025 um 08:10

La filiation dans l’administration et en entreprise, tendance à se faire succéder automatiquement par un membre de la famille après la retraite ou en cas d’invalidité, serait, selon des observateurs, l’une des entraves majeures à la création de richesses en Tunisie. Ce phénomène freinerait la croissance et perpétuerait des fragilités structurelles telles que les disparités régionales, la pauvreté multidimensionnelle et l’inégalité des chances.

Origines historiques et cadre sociopolitique

Utilisé abusivement depuis l’indépendance par dirigeants et chefs d’entreprises, ce mécanisme — héritage de l’époque makhzenienne ottomane — leur a permis de contrôler le recrutement dans les secteurs public et privé. En l’absence d’État de droit fort et de contre-pouvoirs crédibles, les décideurs, issus de régimes autoritaires, ont massivement recruté des proches. Le tribalisme professionnel et entrepreneurial a ainsi remplacé le tribalisme primaire que Bourguiba voulait combattre.

Tolérance dans le privé, inacceptabilité dans le public

Si la filiation peut se comprendre dans le privé — un chef d’entreprise « family friendly » relayé par ses enfants ou son épouse —, elle est inacceptable dans le secteur public, financé par l’argent des contribuables. Depuis l’indépendance, le pouvoir politique a été mobilisé au profit de certaines castes et régions.

Ampleur et pratiques sectorielles

Aujourd’hui, dans presque tous les secteurs, les jeunes cadres et ouvriers accèdent aux postes grâce à des liens familiaux avec des responsables influents. Le phénomène touche aussi les universités et le corps médical, où l’on retrouve souvent des familles entières dans une même spécialité. Parfois, la filiation bénéficie d’arrangements légaux, conclus avec la complicité de l’UGTT, permettant l’embauche sans concours dans des secteurs comme les banques, l’énergie, les mines ou les établissements publics. Les institutions les plus rémunératrices — Banques, Compagnie des phosphates de Gafsa, Groupe chimique, ETAP, SNDP, STEG… — sont particulièrement concernées.

Impact sur les disparités régionales

La généralisation de la filiation, en toute impunité, a accentué les inégalités entre régions côtières et intérieures. L’indice de développement régional 2025 montre des écarts marqués entre gouvernorats côtiers comme Tunis, Monastir, Ben Arous et Sousse, et régions comme Kasserine, Kairouan, Jendouba et Sidi Bouzid. Ces disparités avaient déjà alimenté les révoltes de 2010–2011.

Transparence et digitalisation : progrès et limites

Depuis, la digitalisation et une volonté politique relative ont permis des avancées, mais les effets restent limités. Des affaires récentes montrent que les fuites aux concours et le copinage persistent, y compris sous la présidence de Kaïs Saïed.

Exemples récents

Concours des inspecteurs du ministère de l’Éducation : allégations de fuites d’épreuves avant examen, entraînant enquêtes et réactions syndicales.
Affaire Mohamed Abidi : un bachelier de 18/20 orienté vers une filière non demandée, privant l’accès aux facultés de médecine et de pharmacie. Le problème a été corrigé après médiatisation.

Pratiques sous régimes passés

Sous Bourguiba, Ben Ali et les islamistes, l’orientation universitaire était influencée par l’origine sociale et familiale. Abid Briki a révélé que sous Ben Ali, des enfants de syndicalistes entraient en médecine avec 10/20 de moyenne.

Conséquences économiques

Pour les économistes, la filiation dégrade les performances administratives et entrepreneuriales, plaçant parfois des personnes non qualifiées à des postes stratégiques.

La filiation existe ailleurs mais reste exacerbée en Tunisie. Sa persistance menace la stabilité et appelle des mesures législatives sévères. L’idéal serait une réforme en profondeur de l’État, avec un véritable État de droit, contrôlé par des contre-pouvoirs forts: justice indépendante, syndicats libres, presse libre, parlement légitime.

Abou SARRA

EN BREF

  • Pratique : La filiation consiste à faire succéder un proche dans l’administration ou l’entreprise.
  • Origine : Héritage de l’époque ottomane, renforcé depuis l’indépendance.
  • Impact : Freine la croissance, aggrave les inégalités régionales et sociales.
  • Secteurs concernés : Administration, entreprises publiques, universités, corps médical.
  • Actualité : Malgré la digitalisation, des affaires récentes révèlent fuites aux concours et copinage persistants.

L’article Gouvernance : La filiation, le mal qui gangrène le secteur public est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : le compositeur Amine Bouhafa en lice pour la meilleure bande originale du film “Ni chaînes, ni maîtres”

15. August 2025 um 19:11

Le compositeur franco-tunisien de musique de films Amine Bouhafa a annoncé sur sa page sa sélection dans la shortlist du Public Choice Award de la 25ème édition du World Soundtrack Award (WSA), qui se tiendra dans le cadre du 52ème Festival international du film de Flandre-Gand (Film Fest Gent), et ce, du 08 au 19 octobre 2025 à Gand, en Belgique.

Amine Bouhafa été retenu pour la bande originale du film “Ni chaînes, ni maîtres” (No Chains, No Masters, 2024), oeuvre dont il a déclaré être “particulièrement fier, tout comme du film”, premier long métrage du cinéaste franco-béninois Simon Moutairou, qui traite de l’esclavage et du marronnage à l’île Maurice au XVIIIème siècle.3

Le World Soundtrack Award -Public Choice Award est un prix décerné chaque année lors des World Soundtrack Awards qui récompensent les meilleures musiques de films et de séries. Le Public Choice Award, en particulier, est attribué par le vote du public à la meilleure bande originale parmi une sélection internationale. Pour l’édition 2025, le vote est ouvert jusqu’au 21 août prochain. Les finalistes seront annoncées à la mi-septembre, et les lauréats seront révélés le 15 octobre 2025 lors de la cérémonie des World Soundtrack Awards.

Auteur de nombreuses musiques de films à succès à l’échelle internationale, Amine Bouhafa est considéré comme un véritable génie musical. Il a marqué de nombreuses productions, de la fiction aux documentaires, en passant par l’animation. Il a notamment collaboré avec le réalisateur égyptien Adel Adib sur trois séries arabes (Bab El Khalkh, Place on the Palace et Jebel El Halel), offrant à chaque fois des musiques bouleversantes et mémorables. Il a également signé le générique de la série à succès “El Hachachine”, réunissant l’acteur Karim Abdel Aziz et le réalisateur Peter Mimi, sur un scénario d’Abdel Rahim Kamal. En France, il a participé à plusieurs projets, dont la série “Le Monde de demain” (2022), “Tapie” (2023), la série documentaire “Histoires d’une Nation” (2018) ainsi que “Les Aventures de Paddington ” (2019).

En 2018, il assure, au piano et la direction artistique, le spectacle d’ouverture du 18ème Sommet de la Francophonie à l’île de Djerba, avec l’Orchestre symphonique tunisien, sous la direction de Mohamed Bouslama, accompagné d’artistes tunisiens, arabes et européens de renom.

Son parcours est jalonné de récompenses prestigieuses dont en 2015, le César de la meilleure musique de film pour “Timbuktu” du réalisateur mauritanien Abderrahmane Sissako. En 2017, il obtient le prix de la meilleure Création Sonore au Festival de Cannes pour la musique du film “La Belle et la Meute” de Kaouther Ben Hania. En 2020, il décroche le prix de la meilleure musique au Festival du Film d’Odessa pour “Tu Mourras à vingt ans” du cinéaste soudanais Amjed Abou Alala. En 2023, il décroche le Critics Awards de la meilleure musique de film pour “Sous les figues” d’Erige Sehiri. En 2025, il a été récompensé par le prix de la Meilleure musique pour “Aicha” de Mehdi Barsaoui, lors de la 9ème édition des Critics Awards for Arab Films, organisée dans le cadre de la 78ème édition du Festival de Cannes.

L’article Tunisie : le compositeur Amine Bouhafa en lice pour la meilleure bande originale du film “Ni chaînes, ni maîtres” est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : la BNT enrichie par la collection exceptionnelle d’Abdelaziz Daoulatli sur l’art et l’architecture

15. August 2025 um 19:06

L’historien et chercheur Abdelaziz Daoulatli a fait don de sa bibliothèque personnelle à la Bibliothèque nationale de Tunisie (BNT), en vertu d’une convention définissant les modalités de cette donation, a annoncé la BNT sur sa page officielle.

Cette collection, riche et spécialisée dans l’histoire de l’art, l’archéologie et l’architecture, comprend de nombreux ouvrages rares et précieux. Elle constitue, ajoute la même source, un apport significatif pour les fonds de la Bibliothèque nationale de Tunisie et contribuera à renforcer sa mission de préservation et de valorisation du patrimoine culturel et documentaire du pays.

Spécialisé en histoire de l’art et de l’architecture islamiques, ainsi qu’en conservation et valorisation du patrimoine culturel, Abdelaziz Daoulatli a occupé plusieurs postes, notamment conservateur de la médina de Tunis et directeur général de l’Institut national du patrimoine (1992-1997). Il a été entre autres président de l’ICOMOS Tunisie (1980-1995) et, à l’échelle internationale, expert consultant auprès de l’UNESCO (Centre du patrimoine mondial) et expert auprès de l’ALECSO (2002-2004).

Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont “La mosquée Zitouna : dix siècles d’architecture tunisienne” (en arabe, français et anglais), ainsi que de nombreux articles sur l’histoire de l’art, les monuments et la médina, et des études sur le secteur artisanal. Il a été récompensé par plusieurs distinctions, notamment le prix de l’Organisation des villes arabes et le prix Aga Khan d’architecture islamique.

L’article Tunisie : la BNT enrichie par la collection exceptionnelle d’Abdelaziz Daoulatli sur l’art et l’architecture est apparu en premier sur WMC.

ATFP : nouvelles mesures pour améliorer le suivi et la coordination des programmes de formation

15. August 2025 um 19:00

Le conseil d’administration de l’Agence tunisienne de la formation professionnelle (ATFP) a adopté, jeudi, une série de mesures visant à améliorer le suivi des programmes de formation et à renforcer la coordination entre les différentes administrations. Ces décisions ont été prises lors d’une réunion présidée par le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Riadh Chaouad, en présence des responsables de l’Agence.

Le ministre a insisté sur l’importance d’une préparation rigoureuse de la prochaine rentrée de formation 2025-2026, appelant à mobiliser toutes les ressources pour atteindre les objectifs stratégiques du secteur. Il a annoncé que cette année serait marquée par des avancées quantitatives et qualitatives, tout en relevant les défis liés à la modernisation des méthodes de travail. Soulignant la nécessité d’innover, Chaouad a exhorté à abandonner les pratiques laxistes et à instaurer une culture d’évaluation permanente.

De son côté, Elyes Cherif, chargé de la gestion de l’agence, a mis l’accent sur la diffusion d’une information fiable et sur l’implication accrue des cadres dans les activités départementales. Les discussions ont également porté sur la garantie de conditions de formation accessibles à tous les stagiaires, en adéquation avec les besoins du tissu économique national.

L’article ATFP : nouvelles mesures pour améliorer le suivi et la coordination des programmes de formation est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : Saisie de 3 295 climatiseurs non certifiés lors d’une campagne nationale de contrôle

15. August 2025 um 18:54

La campagne nationale conjointe de contrôle des climatiseurs individuels, lancée, jeudi dernier, a permis de saisir 3295 unités de climatisation non certifiées et 86 autres unités d’origine inconnue, et de signaler 124 infractions économiques et 22 infractions douanières, indique le ministère du Commerce et du Développement des exportations a précisé, vendredi, dans un communiqué.

Les infractions économiques incluent le non-affichage des prix, l’absence de déclaration de l’activité de distribution des produits électro-ménagers, l’absence de factures, et la non-conformité du produit aux réglementations en vigueur.

La campagne nationale, supervisée par les gouverneurs, a été effectuée par les services de contrôle économique en collaboration avec les services du ministère de l’Intérieur, les services de Douane tunisienne et des représentants de l’Agence Nationale de la Maitrise de l’Energie (ANME)

Le contrôle économique est revenu sur les points les plus importants notamment la vérification de l’origine des produits (détention des factures d’achat), l’obtention du cahier des charges liées à la régulation de la pratique du commerce dans la distribution des produits électro- ménagers, la présence de la certification énergétique, et la mesure dans laquelle une étiquette affichée sur les équipements lorsqu’il est mis en vente portant un QR et indiquant le niveau de sa consommation d’énergie.

Il comprend également la vérification que le code QR est correct et permet de vérifier les caractéristiques du produit sur la plateforme électronique, et le niveau d’efficacité énergétique dépassant le niveau 3, ainsi que la transparence des transactions et l’affichage des prix.

Cette campagne, à laquelle participent 50 équipes communes, s’inscrit dans le cadre de la lutte contre la promotion des climatiseurs en provenance du marché parallèle et de la prévention contre les achats de climatiseurs interdits sur le marché intérieur. Il s’agit également de vérifier si les climatiseurs proposés et en service sont conformes aux conditions techniques stipulées dans les lois et réglementations en vigueur en Tunisie.

L’article Tunisie : Saisie de 3 295 climatiseurs non certifiés lors d’une campagne nationale de contrôle est apparu en premier sur WMC.

AFSA lance “La bataille pour l’agriculture africaine”, un podcast pour défendre la souveraineté alimentaire

15. August 2025 um 18:48

L’Alliance pour la souveraineté alimentaire en Afrique (AFSA) vient d’annoncer le lancement de son nouveau podcast, “La bataille pour l’agriculture africaine”, animé par le coordinateur général de l’AFSA, Dr Million Belay.

Il s’agit d’une nouvelle série audacieuse qui lève le voile sur l’héritage durable du colonialisme dans les systèmes alimentaires africains, remet en question les discours dominants des entreprises et met en avant des solutions agroécologiques fondées sur la justice, la biodiversité et la souveraineté alimentaire.

À travers une analyse rigoureuse et des récits provocateurs, le podcast montre comment les lois sur les semences, les politiques commerciales et les plans d’adaptation au changement climatique sont souvent détournés par les intérêts des entreprises, tout en rendant hommage aux agriculteurs et aux mouvements qui ripostent avec des pratiques agroécologiques et le savoir autochtone.

“À l’heure où l’agriculture industrielle continue de dominer les politiques, les médias et les marchés, avec des conséquences dévastatrices pour le climat, la culture et les communautés, “The Battle for African Agriculture Podcast ” crée un espace de résistance, de dialogue et de transformation, indique l’AFSA, dans un communiqué.

Chaque épisode proposera des conversations critiques avec certains des scientifiques, dirigeants d’OSC et militants les plus perspicaces au monde, qui travaillent à l’intersection des systèmes alimentaires, du pouvoir et de l’écologie.

“Je rêve d’une Afrique où nos systèmes alimentaires reflètent la diversité de nos cultures, de nos écologies et de nos connaissances autochtones”, a déclaré le Dr Million Belay, cité dans le communiqué de l’AFSA. “Nous sommes en pleine guerre des récits : qui définit ce qu’est une bonne agriculture ? Qui décide de l’avenir de notre alimentation ? J’ai lancé ce podcast pour remettre en question la mentalité coloniale qui continue de façonner nos systèmes alimentaires et pour faire entendre la voix de ceux qui construisent quelque chose de mieux : une agriculture digne, écologique et fondée sur les connaissances africaines. »

“La bataille pour l’agriculture africaine” est sur les plateformes de streaming suivantes: YouTube, Spotify,
Apple Podcast et RSS.

L’article AFSA lance “La bataille pour l’agriculture africaine”, un podcast pour défendre la souveraineté alimentaire est apparu en premier sur WMC.

Mission économique à Bruxelles et Luxembourg : la CCTBL ouvre de nouvelles opportunités pour les investisseurs tunisiens

15. August 2025 um 18:35

La Chambre de commerce tuniso-belgo-luxembourgeoise (CCTBL) organise une mission économique à Bruxelles et Luxembourg les 12 et 13 novembre 2025, destinée à un groupe d’hommes d’affaires et d’investisseurs tunisiens.

Cette mission, placée sous le slogan « L’Europe ouvre ses portes », vise à explorer de nouvelles opportunités d’investissement pour la Tunisie et à tirer pleinement parti de l’accord de partenariat avec l’Union européenne. La CCTBL entend ainsi renforcer les relations économiques bilatérales, en particulier dans les secteurs des technologies de l’information et de la communication, des services financiers et comptables, du textile, ainsi que des industries agroalimentaires et pharmaceutiques.

Selon l’Institut national de la statistique (INS), les exportations tunisiennes vers la Belgique ont atteint 595,5 millions de dinars durant les sept premiers mois de 2025, en recul par rapport aux 683,8 millions de dinars enregistrés sur la même période en 2024. Les importations en provenance de la Belgique se sont, quant à elles, élevées à 420,5 millions de dinars, contre 455 millions un an plus tôt.

En revanche, les échanges commerciaux entre la Tunisie et le Luxembourg restent quasi inexistants, selon les dernières données de l’INS.

L’article Mission économique à Bruxelles et Luxembourg : la CCTBL ouvre de nouvelles opportunités pour les investisseurs tunisiens est apparu en premier sur WMC.

Kébili : 10 femmes bénéficient de financements pour créer leurs projets dans le cadre du programme Raidet

15. August 2025 um 18:22

Quelque 10 avis d’approbation de financement de projets ont été remis au profit à des femmes porteuses de projets par le commissariat de la famille à Kébili, en marge de le fête de la femme tunisienne.

Une enveloppe de 131 mille dinars a été allouée aux femmes bénéficiaires pour créer leurs projets, dans le cadre du programme national d’entreprenariat féminin Raidet, a souligné, vendredi, à l’Agence TAP le commissaire régional de la famille, Sami Bekri.

Il a indiqué qu’un fonds de 50 mille dinars destiné à l’acquisition du matériel agricole a été également attribué, dans le cadre du programme d’autonomisation économique des femmes.

Au cours des trois dernières années, le programme Raidet a permis d’octroyer un 480 mille dinars en faveur de 160 femmes dans la région, d’après la même source.

L’article Kébili : 10 femmes bénéficient de financements pour créer leurs projets dans le cadre du programme Raidet est apparu en premier sur WMC.

BNA Assurances en hausse après son introduction à la Bourse de Tunis

15. August 2025 um 18:15

La tendance haussière entamée depuis le début de l’année s’est essoufflée durant cette semaine. Le Tunindex s’est effrité de -0,2 % à 11 839,55 points, affichant une performance positive de 19,7 % depuis le début de l’année 2025.

Le titre BTE s’est retrouvé en haut du palmarès. L’action de la banque privée a affiché la meilleure performance de la semaine, se hissant de +13,7 % à 4,310 Dt, dans un volume quasi-nul.

▪ Le titre BNA ASSURANCES a figuré parmi les plus grands gagnants de la semaine. L’action de l’assureur multibranches, nouvellement cotée, a gagné 7,9 % à 3,750 Dt, en amassant un volume de 182 mille dinars sur l’ensemble de la semaine.

▪ Le titre SOTETEL s’est retrouvé en lanterne rouge du marché. Le titre du spécialiste en télécommunication a reculé de –7,6 % à 5,700 Dt, dans un volume quasi-nul.

▪ UNIMED a été le titre le plus dynamique de la semaine, drainant un volume dépassant les 8,6 MDt sur la cote, soit 49 % du volume transigé sur le marché. Le titre du spécialiste en pharmaceutique s’est effrité de -2,5 % à 9,150 Dt.

▪ Sur le front des échanges, le volume total échangé sur cette semaine écourtée a été modeste, en l’absence de transactions de bloc, totalisant une enveloppe de 17,6 MDt, soit un volume quotidien moyen de 4,4 MDt. UNIMED a été le titre le plus échangé, accaparant 49 % du volume total échangé sur la semaine, soit 8,6 MDt.

▪ BNA ASSURANCES : Offre 25,1% de son capital au public par voie d’inscription directe au marché principal de la Bourse de Tunis La Bourse de Tunis a célébré, le 14 août 2023, l’introduction sur le marché principal de la Cote, de la société « BNA ASSURANCES ».

Cette introduction porte à 75 le nombre des sociétés cotées. L’assureur multibranches a fait son introduction en bourse au moyen d’une procédure d’inscription directe au marché principal de la Bourse de Tunis. Le Conseil d’Administration de la BVMT a décidé de retenir un cours d’introduction qui sera égal au cours moyen pondéré sur les cinq dernières séances de bourse qui précèdent le jour d’introduction, fixé à 3,480 Dt, et ce conformément aux dispositions de l’article 69 du Règlement Général de la Bourse. Au terme de la première séance de bourse, le cours du titre s’est hissé de 7,75% pour s’établir à 3,750 Dt.

▪ SFBT : Publication des états financiers semestriels Au terme des six premiers mois de l’exercice 2025, la SFBT a affiché un chiffre d’affaires de 357,8 MDt, en léger repli de -2,5% par rapport à la même période en 2024. Le leader des boissons gazeuses et alcoolisées en Tunisie a réussi à améliorer son résultat d’exploitation de 1,2 % à 80,3 MDt. Le géant de l’agroalimentaire a dégagé un bénéfice de 169,6 MDt, en évolution de 9,7% par rapport à la même période en 2024 et ce, grâce à la bonne tenue des produits financiers nets qui se sont élevés à 5,1 MDt, contre 0,9 MDt à fin juin 2024.

L’article BNA Assurances en hausse après son introduction à la Bourse de Tunis est apparu en premier sur WMC.

Jeux mondiaux Chengdu 2025 : le Tunisien Fares Seboui 5e en force athlétique

15. August 2025 um 18:09

Le Tunisien Fares Seboui a pris, ce jeudi, la cinquième place sur un total de six participants à l’épreuve de force athlétique avec un score de 108,90 points, dans le cadre des Jeux mondiaux qui se déroulent actuellement à Chengdu, en Chine.

La première place est revenue à l’Ukrainien Anatolii Novopysmennyi (119,41 points), la deuxième au Suédois Gustav Hedlund (116,57 points) et la troisième à son compatriote Emil Norling (113,93 points), tandis que la quatrième place a été occupée par le Britannique Christian Ayandok (113,42 points).

La sixième place est, quant à elle, revenue au Canadien Walter Karyazo (106,97 points).

L’article Jeux mondiaux Chengdu 2025 : le Tunisien Fares Seboui 5e en force athlétique est apparu en premier sur WMC.

❌
❌