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Mare Nostrum Voice Festival: 25 artistes sur scène et un hommage à la mémoire de Yasser Jradi autour de “la Méditerranée qui chante”

18. September 2024 um 13:37

Après le premier spectacle en 2021 à Paris autour de Mare Nostrum, intitulé “Pérégrinations poétiques et musicales autour de la Méditerranée”, porté par le musicien tunisien installé en France Skander Guetari, se tient la première édition de Mare Nostrum Voice Festival.

Ce festival autour de “La Méditerranée qui chante” propose une croisière musicale axée sur les voix méditerranéennes avec 25 artistes sur scène et un tremplin vocal mettant sur scène les trois finalistes en première partie de soirée, lit-on dans la note de présentation.

Avec en tête d’affiche le chanteur tunisien Mohamed Jebali, parrain du festival, l’événement organisé par l’association Tunisie sur Seine le 22 septembre 2024 au 13ème Art à Paris rendra hommage à la mémoire de l’artiste, musicien et calligraphe feu Yasser Jeradi, décédé le 12 août dernier.

Mettant en avant la richesse et la diversité des talents vocaux du bassin méditerranéen à travers la prestation des trois talents retenus dans le tremplin musical, la soirée sera l’occasion de mettre en lumière des artistes émergents chantant dans les langues et dialectes méditerranéens de différents pays (Tunisie, Maroc, Espagne, Italie, Turquie…) dans des styles musicaux variés oscillant entre tarab, chansons tunisiennes, flamenco etc.

S’associe à ce voyage musical métissé organisé sous la direction artistique de Skander Guetari, une pléiade d’artistes en l’occurrence Mohamed Jebali dans un hommage aux grandes voix arabes telles que Wadi Safi, Abdelhalim Hafedh et Mohamed Jammoussi, la chanteuse italienne Cristina Marocco, Cécile Evrot avec la musique flamenca, la marocaine Ghizlane Melih dans un hommage aux grandes divas orientales (Ismahan, Warda, Fairouz…). La soirée sera également ponctuée de la participation du groupe franco-tunisien SamSa fusionnant sonorités contemporaines et influences traditionnelles méditerranéennes, de l’artiste franco-marocaine Sultana, dans une prestation alliant rythmes latins et mélodies en espagnol ou en français, et de l’artiste turque Emrah Kaptan pour une virée dans l’univers des rythmes et mélodies d’Anatolie.

Bilan des festivals d’été 2024 : Entre sold out et difficultés

16. September 2024 um 10:53

 

Après la clôture des différents festivals d’été, on peut dire que cette année s’annonce celle des records en sold out. Bien que les chiffres officiels des fréquentations n’aient pas été communiqués par les organisateurs, la couverture médiatique de l’été s’est réjouie des longues files à l’entrée et des théâtres archicombles. Cependant, une lecture plus nuancée est nécessaire, surtout que le fossé entre les quelques grands festivals et les autres s’agrandit. Le contexte général et l’avenir s’annoncent plus complexes.

Le secteur culturel est aujourd’hui confronté, d’une manière générale, à une inflation extrêmement forte. Cet été, nous soulignons un record de fréquentations d’après les photos des milliers de spectateurs enthousiasmés qui suscitent l’espoir et les spéculations. Beaucoup de concerts affichent complet. Pourtant, les organisateurs tirent tous la sonnette d’alarme face aux augmentations des coûts de production difficilement surmontables. Les charges ont explosé en raison des salaires, des cachets artistiques des têtes d’affiche, des frais de déplacements, hôtellerie et restauration… D’ailleurs, les organisateurs du Festival international de musique symphonique d’El Jem nous ont confié toute la difficulté qu’ils ont à gérer les frais d’accueil des orchestres symphoniques dont les musiciens dépassent parfois la centaine.

Le maintien de l’équilibre entre l’accessibilité de ces événements et leur rentabilité financière s’avère complexe. Le Festival international de Carthage a dû opter pour la réduction du nombre de soirées, passant de  33 spectacles en 2022 et 31 en 2023 à 18 seulement en 2024.

Avec les cachets artistiques en pleine explosion, les prix des billets ont connu une hausse sans précédent, notamment pour les stars n’étant plus venues depuis plusieurs années. Ces retrouvailles sont payées au Festival international de Carthage à 90 D pour les gradins et 150 D aux chaises.

Même si les mécènes et les sponsors ont été très présents cette année, comme d’habitude, et ont notamment permis d’éviter une hausse encore plus substantielle du prix du billet, les événements déplorent des financements publics en berne, qui ne leur permettent pas d’être soutenus pour leur fonctionnement, avec toutefois une très grande diversité selon les événements.

Une orientation semble se dessiner

Pour supporter ces coûts, la marge de manœuvre principale est la réduction du budget artistique, ce qui détermine la qualité de programmation. Concernant les concerts de musique actuelle, il y a eu un grand attrait pour les «mélodies orientales» comme genre musical. Les pages officielles des festivals de Carthage et de Hammamet ont affiché complet dès les premiers jours d’ouverture de la billetterie.

L’achat de places en dernière minute au marché noir, à des sommes très élevées, est devenu une pratique plus fréquente. Il s’est avéré très clair que les chaleurs extrêmes n’ont pas démobilisé le public qui a fait la queue plus de quatre heures avant le début du concert. Concernant nos stars nationales, elles sont bien ancrées et les mêmes noms qui ont déjà passé par les grands événements s’emparent cette année des festivals des régions. Pas certain que la carte du festival dans une ville soit différente de  chez ses voisins. Mortadha Ftiti, Raouf Maher ou encore Noordoo multiplient les soirées, au grand bonheur de leurs adorateurs. Les vidéos pullulent sur la Toile, reprenant les meilleures séquences tournées durant les concerts pour montrer les plus beaux moments et l’ambiance, de quoi susciter la nostalgie auprès des festivaliers et faire grandir leur impatience pour la prochaine rencontre. Une orientation semble également se dessiner d’année en année pour le Rap tunisien. Les rappeurs qui sont raillés pour les paroles obscènes de leurs chansons, pour leurs tenues et parfois leur comportement sur scène  ont fait salles pleines, au grand dam des défenseurs du bon goût. En contrepartie, les spectacles de théâtre et de musique symphonique sont accusés de cibler une minorité élitiste, malgré l’effort des organisateurs pour fidéliser leurs visiteurs et recruter de nouveaux festivaliers pour les prochaines éditions. De nombreux festivals dans les régions ont affirmé, cette année encore, une volonté de renouveau et de mise en avant de nouveaux talents. Ils se sont tournés  davantage vers la découverte musicale en proposant des artistes locaux en première partie de grands noms nationaux. Une véritable valeur ajoutée dans leur expérience et qui semble plus que jamais fonctionner.

Des incidents et des anomalies d’organisation

Même s’il reste difficile de comparer des événements par essence incomparables, faute de moyens et d’expérience, on constate d’ores et déjà que des festivals s’en sortent plutôt bien avec des taux de remplissage élevés, une offre très abondante et des recettes conséquentes alors que d’autres ont du mal à trouver une stabilité de fréquentation et ne semblent pas générer un grand enthousiasme auprès de leur public.

Le théâtre antique Cillium de Kasserine a abrité cette année la 43e édition du Festival international de Kasserine, avec le violoniste international Zied Zouari et la Palestinienne Rola Azar pour l’ouverture.

Quelques centaines de spectateurs ont été présents et les deux artistes au talent indéniable ont joué devant un théâtre presque vide. Les journalistes locaux ont dénoncé des problèmes d’organisation, de médiatisation et surtout de mise en vente des billets, comme le programme du festival n’a été annoncé que la veille du spectacle. Face à la désertion du théâtre, pour se rattraper, les organisateurs sont allés jusqu’à mettre des numéros privés de livraison des billets qui sont proposés à cinq dinars seulement. Sans confronter les grands habitués à de nouveaux prétendants, le Festival des jeunes, dans la même ville, qui est à sa 6e édition cette année, est apparu dans un contexte où ceux qui ont de l’expérience sont déjà dans la peine, côté budget et organisation, et a réussi à s’imposer avec un grand succès.

A Dogga, des aléas extérieurs ont joué sur la présence des publics, notamment l’éloignement géographique et la météo capricieuse. En contrepartie, la réussite du festival a attiré de nouveaux enjeux et des difficultés.

Pour le concert de Cairokee,  qui a accueilli le plus grand nombre de festivaliers, on a refusé des gens qui ont payé leur laisser-passer. Une réflexion sur la capacité d’accueil est à faire parce que cette situation pourrait se reproduire.

D’autres incidents sont retenus cet été en rapport avec des événements de violence au Festival international de Bizerte où des jets de bouteilles d’eau et des  paroles haineuses ont obligé le public à quitter et le rappeur à interrompre son concert. En somme, pour les festivals, qui sont  des acteurs majeurs du développement, les difficultés sont  hétérogènes d’une manifestation à une autre et d’une édition à une autre. Loin de baisser les bras, les festivals des régions tentent, en fonction de leur territoire, de leur projet et de leur histoire, d’explorer de nouvelles voies. Malgré l’offre «surabondante», nombreux sont les événements qui doivent être  mieux préparés et mieux formés par rapport à leur budget prévisionnel. C’est aussi ça la force de notre pays : une offre riche, diversifiée, qui laisse le choix aux spectateurs même si une bonne fréquentation ne signifie pas un modèle à l’équilibre.

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Ouverture du Festival de l’Intelligence Artificielle et du Web3 à Dubaï

Von: hechmi
12. September 2024 um 17:21

Le Festival de l’Intelligence Artificielle (IA) et du Web3 de Dubaï a ouvert ses portes, mercredi à Madinat Jumeirah, où 6.000 participants venus de 100 pays devront y prendre part en vue de plancher sur l’avancement de l’économie numérique et des applications de l’IA à l’échelle mondiale.

Organisé par Dubaï AI Campus, une initiative du Centre financier international de Dubaï (DIFC), cet événement explorera le potentiel commercial et économique de l’IA ainsi que son rôle dans le soutien au développement durable, a fait savoir l’agence de presse émiratie WAM.

Les organisateurs ambitionnent d’attirer plus de 30.000 participants chaque année pour les prochaines éditions, a ajouté WAM.

Avec un programme riche comprenant la série Future Tech Talks qui met en scène des leaders technologiques, des investisseurs et des régulateurs, cet événement mondial de deux jours se concentrera principalement sur les thèmes de l’autonomisation des économies numériques et de la stimulation de l’innovation.

Les sessions plénières couvriront des sujets tels que le rôle de l’IA dans la transformation du paysage commercial mondial, les tendances futures et le financement de l’IA générative, et les avantages de l’IA pour les secteurs public et privé.

Près de 20 ministères et agences gouvernementales participeront à l’événement, ainsi que 20 grandes entreprises mondiales et 20 grands fonds de capital-risque.

 

 

Marokko – Saïdia ist vom 28. bis 31. August Veranstaltungsort des Festivals „Cinéma sans frontières“

Von: maghreb
26. August 2024 um 10:02

FilmNationale- u. Internationale Filmprojekte werden sich dem Publikum präsentieren. Workshops für Filmemacher zum Austausch vorgesehen. Saïdia – Das neunte Filmfestival „Cinéma sans frontières“ (Kino ohne Grenzen) findet in der Küstenstadt Saïdia vom 28. bis 31. August 2024 statt. Organisiert wird es von der Vereinigung Al Amal für Zusammenleben und Entwicklung, mit Unterstützung verschiedener Partner wie […]

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Djerba Music Land réussit à préserver son ADN malgré le changement de site

L’événement musical de l’année à Djerba s’est achevé la nuit dernière en apothéose avec une nouvelle version améliorée du spectacle « Disco El Araby ». L’édition 2024 avait pour mission de maintenir sa vocation initiale en dépit du changement de son lieu de déroulement.

Pari relevé pour les organisateurs de l’édition 2024 du Djerba Music Land. Le site du Grand Casino, qui a abrité cette année l’événement, a parfaitement répondu aux attentes de la clientèle. Car les 8 dernières éditions de ce festival s’étaient déroulées en bord de mer, sur la plage de l’hôtel Radisson Blu Palace.

Passé à une autre dimension cette année et s’étant éloigné du rivage, le Djerba Music Land se devait d’innover tout en restant fidèle à ce qui a fait son succès et sa notoriété. L’espace de deux hectares situé à l’arrière du complexe du casino, qui a pour la première fois accueilli l’événement, a finalement parfaitement rempli la mission qui lui était dévolue lors des 4 soirées.

D’abord en termes de capacité d’accueil du public puisque l’on a enregistré des pointes jusqu’à 3000 personnes lors de certaines soirées avec une parfaite liberté de mouvement. Ensuite en termes de gestion de la foule avec des filtres qui ont permis de canaliser les mouvements d’entrées et de sorties des festivaliers sans la moindre anicroche.

Un véritable village

Mis à part le changement de lieu, le Djerba Music Land s’est présenté cette année comme un véritable village avec la scène comme point d’intérêt principal sur laquelle se sont produits les nombreux DJs qui étaient annoncés. En arrière plan, une énorme installation scénique de 11m de haut et de 24m de large, œuvre de la société PSL, faite d’écrans Led avec un mapping de très haut niveau. En termes d’acoustique également, la qualité sonore offerte cette année a de toute évidence enregistré une évolution très perceptible.

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Certainement la plus grande scène pour un festival en Tunisie, signé PSL (Professional Sound & Lighting).

Face à la scène, le dance floor qui avait été aménagé a ravi les milliers de jeunes qui ont pu approcher les DJs au plus près et apprécier leurs performances artistiques. Et dans le périmètre immédiat, des tables et des assises avaient été disposées en nombre suffisant pour permettre à tous ceux qui le souhaitaient de s’installer de part et d’autre.

Des comptoirs avaient été répartis à plusieurs endroits, de sorte à éviter tout attroupement et pour permettre d’assurer un service rapide en boissons. De même que des stands de Street Food offraient différents choix de collations, café, etc.

L’apport des sponsors

Tunisia Music Land, société organisatrice de l’événement, a réussi à convaincre un certain nombre de sponsors pour mettre la main à la poche. Car sans leur contribution financière, l’événement n’aurait probablement jamais réussi à atteindre cette dimension.

Le Djerba Music Land représente d’ailleurs une plate-forme d’exposition particulièrement impactante pour les annonceurs dans la mesure où la tranche d’âge touchée est particulièrement large, commençant par les ados et finissant jusqu’aux CSP++.

Cet impact a été rendu possible d’abord par le choix musical proposé qui permet d’atteindre différentes catégories socio-professionnelles, mais aussi grâce à un événement qui repose sur un concept attractif, survenant en plein pic estival, dans l’une des principales villes touristiques du pays.

Des arguments qui ont fidélisé des marques comme Play Your Music ou encore Lloyd Assurances qui ont depuis plusieurs années associé leur marque au Djerba Music Land. Le stand de Play Your Music n’a pas désempli durant les 4 soirées tant les activités qui y étaient proposées ont réussi à drainer des visiteurs, tandis que la compagnie d’assurances, elle, a choisi cette année de faire dans la haute voltige avec le déploiement d’une petite montgolfière qui n’est pas passée inaperçue et sur laquelle avait été projeté le logo de l’entreprise.

Destination Clubbing

Pour les organisateurs de l’événement, il s’agit aussi à travers cette manifestation de drainer une autre catégorie de clientèle, à savoir les amateurs de Djing et de grandes soirées festives telles que celles qui se déroulent à Ibiza, Mykonos et autres.

Il est certain que le Djerba Music Land n’a pas à rougir de la programmation de ses DJ, n’ayant rien à envier à ceux qui défilent sous d’autres cieux. La présence à elle seule de Hugel, Francis Mercier et autres a permis de placer la barre très haut.

Reste désormais le défi de voir débarquer à Djerba des clubbers internationaux qui se déplacent tout spécialement pour aller danser au son de leur DJ préféré.

H.H

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Djerba Music Land : tout ce qu’il faut savoir sur l’édition 2024

C’est le plus grand événement clubbing de l’été en Tunisie : Djerba accueille du 1er au 4 août la 9e édition du Djerba Music Land, le plus grand rassemblement de DJs en un seul lieu durant 4 soirées d’affilée.

Cette année, cette manifestation artistique prend une dimension encore plus grande et va se dérouler dans un nouvel espace, en l’occurrence la magnifique terrasse-jardin du Grand Casino de Djerba qui va accueillir jusqu’à 3000 personnes en plein-air durant 4 soirées d’affilée de 22h00 à 05h00 du matin à l’initiative de Tunisia Music Land, société organisatrice d’événements musicaux.

Les DJs qui se produiront sont des têtes d’affiches mondialement connues aux côtés des DJ tunisiens parmi les plus talentueux. L’événement s’achèvera par la traditionnelle soirée orientale « Al Disco Al Arabi » qui présentera son nouveau spectacle The Luxury Theater comprenant 50 artistes et qui dure 5h00.

 

Mehdi Maghraoui, directeur artistique du festival, rappelle que depuis 2016, le Djerba Music Land connaît une évolution notable dans sa programmation et dans la présence de DJs parmi les plus en vogue à l’échelle internationale.

En 2024, il s’agira de la session du changement pour accompagner le transfert du festival sur le nouveau site du Grand Casino, situé au cœur de la zone touristique et qui est parfaitement approprié pour accueillir les grands rassemblements à l’instar du Sommet de la Francophonie en novembre 2022.

Au niveau des genres musicaux joués par les DJ, les organisateurs ont tenu à élargir les styles afin de plaire au plus grand nombre avec de l’Afro House, mais aussi de la techno, de la Tech House, de l’électro, etc.

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Affiche Djerba Music Land 2024

Un panel de stars du Clubbing

En termes de présence, on notera la venue de DJs très demandés à l’international dont -et pour la première fois en Tunisie- le trio suisse Mont Rouge spécialisé dans la House mélodique. On notera également la présence du néerlandais Satori (qui puise ses sources musicales dans les racines serbes, sud-africaines…) mais aussi le Français Hugel et également Francis Mercier dont la réputation actuelle n’est plus à faire avec ses productions Afro-House.

L’un des moments forts du Djerba Music Land résidera également dans la prestation que donnera le sud-africain Sona, qui n’est autre que le fils de Black Coffee (déjà venu à Djerba il y a quelques années), accompagné par la chanteuse Lizwi à l’origine de nombreux tubes planétaires actuels.

Des DJs tunisiens, dans le cadre de l’encouragement et le soutien des organisateurs à cette profession et aux jeunes talents locaux, sont également programmés lors des différentes soirées à l’instar de Hriga & Selym, Limoncello Crew avec Basly & Bouaziz, Guesmy & Firas Kobbi, Dr House avec Mo’oez et Anonymos.

Le comité d’organisation du festival annonce également une montée en gamme sur le plan technique, aussi bien sur le plan sonore que pour les lumières, les mappings, les écrans, les lasers d’ambiance qui seront déployés, etc.

Les clubbers qui feront le déplacement à Djerba et disposant d’un pass pourront loger dans des hôtels situés dans le périmètre du site et accessibles à pied. Ils bénéficieront de tarifs préférentiels.

« Notre souhait est de faire de la Tunisie une destination clubbing », souligne encore Mehdi Maghraoui. « Nous n’avons rien à envier à des pays touristiques concurrents sur ce plan et nous avons même une plus longue expérience qui peut faire la différence et drainer une catégorie de clientèle qui recherche des événements de ce type ».

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Il est à noter que cet événement sera suivi du 16 au 18 août sur le même site par un second festival de musique Rap-Hip Hop intitulé Urban Music Fest avec la présence de nombreux rappeurs tels que Naps, Rim’K, Heuss, ALA, …

Avant cela, la star Saber Rebai se produira le lundi 5 août, toujours au Grand Casino de Djerba, pour un spectacle unique organisé par Tunisia Music Land.

A propos de Tunisia Music Land :

Tunisia Music Land est une société spécialisée dans l’organisation d’événements artistiques et musicaux d’envergure. Elle est dirigée par des professionnels chevronnés ayant une longue expérience à la fois dans le Djing, la communication et l’événementiel. Elle a pour ambition de soutenir l’image de la Tunisie en tant que Destination Clubbing afin de promouvoir cette offre touristique à l’échelle internationale.

Tunisia Music Land ambitionne par ailleurs d’étendre le concept à d’autres régions de la Tunisie et notamment Tozeur avant la fin de l’année 2024.

Dans son Business Plan, l’entreprise envisage de développer au moins un événement annuel de ce type dans plusieurs gouvernorats, et ce dans le but d’y soutenir le développement touristique en générant une dynamique économique profitant à tout l’écosystème local.

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Comment le Djerba Music Land fait battre le tempo touristique de l’île

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Matmata va accueillir le Fenix Sound, festival de musique électronique

Un festival de musique électronique, intitulé « Fenix Sound », est annoncé du 19 au 21 avril 2024 à Matmata, village pittoresque à forte consonance touristique.

Le tout premier chapitre de Fenix Sound, qui se présente en tant que manifestation avant-gardiste, fait partie des nouveaux concepts cherchant à cultiver une image contemporaine, engagée et plus branchée en alliant art et culture, tout en participant à de nouvelles dynamiques sociétales et touristiques.

Matmata, lieu de l’événement, est réputée pour ses paysages extraordinaires, caractérisée par des habitations troglodytes et des décors désertiques époustouflants. Le cadre distinctif de ce village offre un arrière-plan visuellement frappant qui enrichit l’expérience globale de ce festival.

Le choix du site est motivé par ses caractéristiques distinctives, sa signification culturelle, sa beauté naturelle, son implication communautaire, son attrait touristique ainsi que la promesse d’offrir une expérience exclusive et mémorable pour tous les participants.

Cette originalité du lieu sera mise en valeur lors du dernier jour du festival ; la soirée de clôture se tiendra dans la cour centrale de l’hôtel Diar El Barbar, offrant un cadre distinctif, une décoration et une atmosphère uniques.

600 personnes sont attendues sur les lieux pour danser et vibrer sur les sons d’une vingtaine de DJ tunisiens ainsi que de VJing professionnel.

Portée touristique

L’équipe organisatrice se dit unie par sa passion commune pour la musique, sa fascination pour les paysages de la Tunisie et son désir collectif de cultiver une communauté qui l’accompagnera tout au long de ce festival.  L’objectif ultime annoncé est de fournir une expérience audiovisuelle exclusive et unique qui captivera le public et laissera des souvenirs et des impressions durables chez les Tunisiens passionnés de musique mais aussi chez les expatriés vivant et travaillant en Tunisie, ainsi que les touristes internationaux qui constituent environ 15% de cette communauté, amoureux de la Tunisie, voyageant spécifiquement pour assister à cet évènement et créer des liens avec des personnes partageant les mêmes centres d’intérêt et passions.

Également, l’équipe organisatrice di Fenix Sound affirme être déterminée à rehausser l’expérience avec une line-up riche, des décorations annoncées comme « monumentales, des conceptions de scène immersives comprenant d’incroyables créations personnalisées de VJing, un éclairage, un mapping et une animation avec un écran 4K de 20m X 10m… »

Belle brochette de DJ

On annonce également que les meilleurs DJ tunisiens seront présents, accompagnés de VJing professionnel : Haze-M, Ben Deeper, Kadhem, Adwas, Kosh, Mehdi Maghraoui, Saif Touati, Ghassan Ghazouani, Noyara, Nebilla Deussal, Joss, Mo’ezz, Hamra B2b Magada, Marwen Ben Nasr, Mehdi Ben Nasr, Baqoosh, Bennour, Aith, Rou-H.

Notant que l’équipe de photographes et vidéographes de l’organisateur et producteur principal du festival, ARMADA Prod, se chargera tout au long des 3 jours de cet évènement grandiose de capturer des photos et d’enregistrer des vidéos de toute la magie!

Les réservations, les passes, et surtout les opérations cashless sur place se dérouleront via IJA Solutions, un outil innovant pour sécuriser les paiements sur site et assurer le data feedback.

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