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Qui payera la dette colossale des Etats-Unis ?

05. Dezember 2025 um 09:16

La dette nationale des États-Unis est depuis longtemps un sujet de préoccupation pour les présidents américains. Cependant, malgré les efforts récents pour la réduire, elle a dépassé les 37 000 milliards de dollars. C’est une très mauvaise nouvelle pour les Américains, mais aussi pour les autres nations qui vont, indirectement, acculées à en supporter une partie.

Habib Glenza

Les projections du département du Trésor américain pour janvier 2020 prévoyaient que le déficit du gouvernement fédéral ne dépasserait pas 37 000 milliards de dollars avant la fin de l’exercice 2030. Le 12 août 2025, un rapport du même département a révélé que la dette nationale avait dépassé les 37 000 milliards de dollars, un chiffre atteint bien plus tôt que prévu par les analystes qui le prévoyaient pour 2030.  

Si la dette américaine a augmenté plus rapidement que prévu, c’est en raison de la pandémie mondiale du Covid-19 et du ralentissement économique mondial qui a suivi cet événement imprévisible.

Une dette qui devrait s’alourdir 

Selon l’Associated Press, qui rapportait ces chiffres inquiétants, le gouvernement fédéral a contracté d’importantes dettes sous les présidences de Donald Trump 1 et Joe Biden afin de stabiliser l’économie nationale. Mais les récentes mesures prises par Donal Trump 2, notamment dans le domaine du commerce ou encore de l’immigration, ne vont pas arranger les choses. En effet, l’inflation et le chômage restent élevés. De plus, la nouvelle loi budgétaire de Trump et des Républicains, qui a été adoptée puis promulguée le 4 juillet 2025, va ajouter des milliers de milliards à la dette nationale américaine au cours de la prochaine décennie.

Selon le Bureau du budget du Congrès américain, cette loi devrait alourdir la dette nationale de 4 100 milliards de dollars sur les dix prochaines années, aggravant encore les difficultés auxquelles l’État fédéral est déjà confronté face à l’ampleur de son endettement.

L’un des problèmes les plus préoccupants actuellement à Washington est le rythme auquel la dette nationale augmente. Celle-ci a atteint 34 000 milliards de dollars en janvier 2024, puis 35 000 milliards en juillet 2024. Le seuil suivant a été franchi encore plus rapidement, puisque cette dette a atteint 37 000 milliards en 2025.

En novembre 2024, la dette américaine dépassait déjà les 36 000 milliards de dollars, et à la mi-août, elle atteignit les 37 000 milliards. «Nous ajoutons désormais 1 000 milliards de dollars de plus tous les cinq mois», a expliqué Michael Peterson, expert financier. Au rythme actuel, cette dette devrait atteindre 51 000 milliards de dollars d’ici à 2035.

Michael Peterson est président et directeur général de la Peter G. Peterson Foundation, un groupe qui œuvre à sensibiliser le public à plusieurs défis budgétaires majeurs auxquels sont confrontés les États-Unis. L’expert a récemment déclaré dans un communiqué qu’il ne sera pas facile de rembourser la dette américaine qui a atteint des seuils considérables.

Le 12 août, le Pew Research Center a indiqué dans un rapport que le montant de la dette des États-Unis est actuellement supérieur à son produit intérieur brut (PIB) total, qui s’élevait à 30 300 milliards de dollars au 30 juin 2025. En juin 2025, elle atteignait environ 36 200 milliards de dollars, soit 119,4 % du PIB. Ce chiffre mérite toutefois d’être relativisé : le ratio dette/PIB du pays a déjà été plus élevé par le passé, culminant à un record de 132,8 % en 2020.

L’essentiel de la dette appartient à des étrangers

Le Japon est le plus gros détenteur étranger de la dette américaine. En mai 2025, il en détenait 1 100 milliards de dollars, soit 3,1 % du passif total des États-Unis.

Cependant, l’un des aspects les plus préoccupants de la dette américaine reste le poids croissant de son service (et notamment des intérêts). En 2024, il s’élevait à 879,9 milliards de dollars, soit 13 % de l’ensemble des dépenses fédérales. Un montant supérieur à celui consacré à l’assurance maladie (874,1 milliards) ou encore à la défense (873,5 milliards).

Le montant actuel du montant des intérêts à payer par le gouvernement américain s’élève actuellement à 1 200 milliards de dollars !

Pour faire face à cette situation, le président Trump pourrait être tenté de chercher un moyen pour faire partager une partie de ce lourd fardeau par des partenaires des Etats-Unis. Et avec un président aussi versatile et no limit, on peut s’attendre à tout et surtout au pire ! 

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Tunisie-Japon : Saïed Réaffirme la Volonté de Consolider la Coopération Bilatérale après la TICAD

Von: walid
03. Dezember 2025 um 12:01

Le président de la République, Kais Saïed, a reçu, mardi, au palais de Carthage, l’ambassadeur du Japon en Tunisie, Takeshi Osuga, venu lui rendre une visite d’adieu à l’occasion de la fin de sa mission dans notre pays.

Selon un communiqué de la présidence de la république, le chef de l’Etat a mis en avant la solidité des relations d’amitié et de coopération fructueuse entre la Tunisie et le Japon, se félicitant des résultats accomplis tant sur le plan bilatéral que dans le cadre de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD), dont la huitième session s’est tenue en Tunisie en 2022 et la neuvième à Yokohama au mois d’août dernier, avec la participation d’une délégation tunisienne de haut niveau.

Lors de cette réunion, le président Saïed a réaffirmé la volonté de la Tunisie de consolider davantage la coopération avec le Japon dans les différents domaines, de manière à ouvrir des perspectives prometteuses et à contribuer à la réalisation de plusieurs projets communs.

Il a en outre salué l’ambassadeur du Japon à Tunis pour ses efforts déployés en vue de raffermir davantage les relations d’amitié et de coopération entre les deux pays qui s’apprêtent à fêter prochainement le 70e anniversaire de l’établissement de leurs relations bilatérales.

Pour sa part, l’ambassadeur nippon s’est félicité de la confiance mutuelle entre les deux pays, saluant le processus de coopération bilatérale entre les deux pays et les solides liens de fraternité liant la Tunisie au Japon.

L’ambassadeur japonais a, par ailleurs, réaffirmé la disposition de son pays à poursuivre la coopération avec notre pays et à diversifier ses projets d’investissement avec la Tunisie, notamment, dans le secteur des infrastructures, faisant part à ce propos de sa gratitude pour le soutien qu’il a reçu durant sa mission en Tunisie.

Un soutien qui lui a permis d’accomplir au mieux sa mission et de développer davantage les relations bilatérales au service des intérêts communs des deux pays et de leurs peuples amis, lit-on encore de même source.

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Le Japon veut élargir ses investissements en Tunisie

03. Dezember 2025 um 09:08

Le président de la République Kaïs Saïed a reçu hier, mardi 2 décembre 2025, l’ambassadeur du Japon en Tunisie, Takeshi Osuga, venu lui présenter ses salutations de fin de mission. Une rencontre placée sous le signe de l’amitié, du bilan et des perspectives, alors que les deux pays s’apprêtent à célébrer les 70 ans de relations diplomatiques.

Le chef de l’État a salué la solidité des liens tuniso-japonais, rappelant les résultats tangibles obtenus tant sur le plan bilatéral que dans le cadre de la TICAD, la conférence internationale de Tokyo sur le développement en Afrique.

Il a souligné l’importance de l’édition organisée à Tunis en 2022 ainsi que la participation tunisienne de haut niveau à la TICAD 9 tenue en août dernier à Yokohama. Kaïs Saïed a réaffirmé la volonté de la Tunisie de renforcer encore cette coopération dans tous les domaines, notamment à travers de nouveaux projets conjoints susceptibles d’ouvrir des horizons prometteurs.

Takeshi Osuga a, de son côté, exprimé sa profonde gratitude pour le soutien reçu tout au long de sa mission. Il a insisté sur la confiance réciproque qui marque la relation entre les deux pays et sur la dynamique positive de la coopération bilatérale.

Elargir la coopération

L’ambassadeur a également mis en avant l’intérêt du Japon pour l’élargissement de ses investissements en Tunisie, particulièrement dans les infrastructures, secteur stratégique pour les deux partenaires. Il a enfin souligné l’attachement du Japon à poursuivre le développement de projets au service des deux peuples.

Avec ce passage de relais diplomatique, Tunis et Tokyo confirment leur volonté commune d’ancrer une coopération durable, modernisée et tournée vers des projets structurants.

Lire aussi : Leçon inversée : Ce que le Japon peut apprendre de la Tunisie

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Le Musée Fuji de Tokyo accueille une conférence sur les sites archéologiques tunisiens

02. Dezember 2025 um 16:51

Une conférence sur l’histoire et les sites archéologiques de la Tunisie s’est tenue le 29 novembre dernier au Musée Fuji des Beaux-Arts de Tokyo, à l’initiative de l’Ambassade de Tunisie au Japon.

Animée par le professeur Kenichiro Hidaka, éminent spécialiste japonais du patrimoine méditerranéen et enseignant en architecture à l’Université de Tsukuba, cette manifestation a rassemblé des universitaires, des représentants de la société civile, des médias nippons et des passionnés de culture tunisienne.

Dans son allocution, l’Ambassadeur de Tunisie au Japon, Ahmed Chafra, a salué l’engagement du professeur Hidaka dans la promotion du patrimoine tunisien, soulignant l’importance de telles initiatives pour renforcer les relations culturelles et élargir la coopération académique entre les deux pays.

À l’issue de la conférence, les participants ont visité un espace dédié à la Tunisie au sein du musée. Y étaient exposés des objets d’artisanat en bois d’olivier, des motifs décoratifs inspirés du patrimoine, ainsi que des produits alimentaires tels que l’huile d’olive et les dattes. Ce stand a suscité un vif intérêt, enregistrant des ventes significatives et bénéficiant d’une couverture médiatique favorable.

Cette conférence s’inscrit dans le cadre d’un programme culturel conjoint entre l’Ambassade de Tunisie et le Musée Fuji des Beaux-Arts de Tokyo, visant à promouvoir l’identité culturelle tunisienne et à intensifier les échanges académiques et culturels avec le Japon.

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Japon : la “machine à laver humaine” révolutionne le bain en 15 minutes

01. Dezember 2025 um 19:46
Japon : la “machine à laver humaine” révolutionne le bain en 15 minutes

Le Japon continue de surprendre avec ses innovations futuristes, et la dernière en date attire déjà toutes les attentions : la « machine à laver humaine », mise au point par la société Science Inc. Présentée lors de l’Expo Osaka 2025, cette capsule haut de gamme offre un bain complet automatisé en seulement 15 minutes. […]

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Croissance japonaise : Les défis du nouveau gouvernement face aux vents contraires économiques

01. Dezember 2025 um 17:50

Le Japon entre dans une nouvelle ère de politique économique avec l’arrivée au pouvoir de Sanae Takaichi, première femme à occuper le poste de Premier ministre. La cheffe du gouvernement s’est engagée à relancer la croissance du pays à travers ce qu’elle qualifie de « politique budgétaire proactive et responsable ». Cette stratégie vise à concilier des dépenses ciblées dans des secteurs stratégiques avec la préservation de la soutenabilité budgétaire, tout en maintenant le contrôle sur une dette publique déjà élevée. Relancer la croissance reste un défi majeur pour un pays confronté à des problèmes structurels persistants et à un contexte international incertain.

L’économie japonaise a montré des performances décevantes ces dernières années. Après le rebond post-pandémie, la croissance annuelle du PIB réel a fluctué autour de 0,8 % entre 2022 et 2024. Cette année, la reprise reste modeste, soutenue par la hausse des revenus réels, qui stimule la consommation, par des mesures fiscales et par une monnaie dépréciée favorisant les exportations. La croissance pour 2025 devrait atteindre 1,1 %, au-dessus de la moyenne pré-pandémie de 0,9 %. Cependant, ces facteurs favorables s’affaiblissent, tandis que des tendances défavorables s’accumulent, assombrissant les perspectives pour les prochaines années.

Une consommation stagnante

La consommation, qui représente près de 60 % de l’économie japonaise, constitue un frein majeur à la croissance. Malgré une légère amélioration par rapport à 2024, elle reste stagnante. Ce phénomène s’explique notamment par l’érosion du pouvoir d’achat des ménages, confrontés à une inflation élevée. Après plusieurs mois de gains à la fin de l’année dernière, le revenu réel des travailleurs a reculé tout au long de l’année, une tendance qui devrait se poursuivre. À cela s’ajoute la normalisation de la politique monétaire par la Banque du Japon, qui a relevé le taux directeur de -0,1 % à 0,5 %, augmentant le coût du crédit et limitant la marge de manœuvre budgétaire. Ces facteurs négatifs pèsent directement sur la croissance.

Un contexte extérieur défavorable

Les vents favorables à l’exportation s’affaiblissent également, limitant le soutien à la croissance d’une économie fortement intégrée au commerce mondial. Après une période d’incertitude sur la politique commerciale américaine, un accord a été signé en juillet entre le Japon et les États-Unis, établissant un tarif de base de 15 % sur quasiment toutes les importations japonaises. Pour un pays dont les exportations représentent 20 % du PIB et où les États-Unis constituent le deuxième marché après la Chine, cette mesure représente un obstacle significatif. Le ralentissement attendu du commerce mondial, conjugué à la fragmentation géopolitique, accentue les pressions sur l’économie japonaise.

Un plan de relance ambitieux mais limité

Face à ces défis, le nouveau gouvernement a annoncé un plan de relance de 21 300 milliards de yens (environ 135 milliards de dollars) quelques semaines seulement après son arrivée au pouvoir. Ce programme combine de nouvelles dépenses publiques, un soutien aux ménages et des incitations ciblées à l’investissement pour soutenir la demande.

Cependant, selon les analystes, ce plan ne suffira pas à inverser durablement la tendance de la croissance. Le Japon pourrait ainsi voir sa croissance ralentir à 0,6 % par an entre 2026 et 2027, contre 1,1 % attendue pour 2025.

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Le poème du dimanche | ‘‘Haikus’’ de Matsu Bashô

23. November 2025 um 07:24

Né en 1644 à Iga-Ueno, au Japon, Bashô est poète et enseignant. Il s’adonne aux études de philosophie et à la pensée bouddhiste.

Bashô est considéré comme l’un des grands maîtres du haiku, poème en trois vers, forme brève qui se développe dès le 15e siècle.

A l’origine, le haiku, désigne un thème humoristique. Bashô le fait évoluer vers une écriture simple, inspirée largement de la nature, en suggérant un sens, dans un rapport métaphorique au monde, leçons de choses et de vie.

Il meurt en 1694 à Osaka et laisse plus de 2000 haikus.

Tahar Bekri

Elles vont bientôt mourir

Les cigales ; on ne s’en douterait pas

Lorsqu’on les écoute.

*

Moineau mon ami

Ne mange pas le taon

Qui se joue sur les fleurs

*

Détesté d’ordinaire,

Que le corbeau lui-même

Est beau les matins de neige !

*

Du cœur de la pivoine

L’abeille sort,

Avec quel regret !

*

Il mange les serpents,

M’a-t-on dit du faisan. Terrible

Me paraît maintenant son cri.

*

De temps en temps les nuages

Nous reposent

De tant regarder la lune.

« Anthologie de la poésie japonaise classique », traduction de G. Renondeau, Poésie/Gallimard.

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Crise Chine–Japon : le clash diplomatique vire à la guerre commerciale

22. November 2025 um 13:55

La crise ouverte entre Pékin et Tokyo autour de Taïwan s’est rapidement transformée en bras de fer économique. Depuis la mi-novembre, la Chine multiplie les mesures de rétorsion contre le Japon, après les propos de la Première ministre Sanae Takaichi évoquant une possible intervention militaire en cas d’attaque chinoise contre Taïwan.

Le 21 novembre, Pékin a adressé une lettre officielle au secrétaire général des Nations unies pour dénoncer la position japonaise, tout en accusant Tokyo de menacer sa souveraineté. Cette réaction marque l’internationalisation d’un différend qui s’était, quelques jours plus tôt, limité au terrain diplomatique.

Restrictions économiques et coup d’arrêt au tourisme

Dès le 14 novembre, la Chine a ciblé plusieurs secteurs clés de l’économie japonaise. Pékin a d’abord émis un avertissement de voyage déconseillant les déplacements vers le Japon, suivi par des mesures exceptionnelles dans le transport aérien : plusieurs compagnies chinoises ont proposé des remboursements ou des changements gratuits pour les vols vers Tokyo et Osaka.

Le secteur touristique japonais, très dépendant des visiteurs chinois, redoute un choc similaire à celui de 2023, lorsque les arrivées chinoises avaient fortement chuté.

Les mesures ont ensuite touché le domaine culturel. Depuis le 17 novembre, certaines sorties de films japonais en Chine ont été suspendues ou reportées, un signal inhabituel de la part de Pékin dans le cadre d’un désaccord bilatéral.

La crise s’est amplifiée le 19 novembre, lorsque les autorités chinoises ont annoncé la suspension des importations de plusieurs produits de la mer japonais. Cette décision intervient seulement quelques jours après la reprise partielle des achats chinois dans ce secteur, interrompus depuis 2023.
Dans l’agroalimentaire comme dans le tourisme, les entreprises japonaises s’inquiètent désormais d’une dégradation durable de leurs débouchés en Chine.

Tensions navales et impasse diplomatique

En parallèle, les tensions se sont renforcées en mer de Chine orientale, où des patrouilles chinoises ont été signalées autour des îles Senkaku/Diaoyu, revendiquées par les deux pays. Tokyo a dénoncé une brève incursion de navires chinois dans ses eaux territoriales.

Les rencontres diplomatiques des 15 et 18 novembre n’ont pas permis d’aplanir les divergences.
La lettre adressée à l’ONU symbolise désormais une nouvelle phase : celle d’une crise diplomatique qui touche directement les marchés, les secteurs stratégiques et les relations commerciales entre les deux économies les plus importantes d’Asie.

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Tunisie-Japon : Un doctorat binational pour former les ingénieurs du futur

23. Oktober 2025 um 11:33

L’Université de Tunis El Manar et l’Université japonaise des communications électroniques (UEC-Tokyo) viennent de franchir une étape majeure dans la coopération scientifique tuniso-japonaise. Un accord signé mercredi prévoit la création du premier doctorat professionnel conjoint en ingénierie électronique et industrielle, une première en Tunisie.

Une alliance académique pour l’innovation appliquée

Lors de la cérémonie de signature tenue à Tunis, en présence de plusieurs responsables universitaires, les deux institutions ont officialisé leur partenariat dans le domaine du génie des communications électroniques.

Ce programme doctoral, conçu sur un modèle professionnalisant, permettra à chaque doctorant d’être encadré à la fois par des chercheurs tunisiens et japonais, tout en collaborant avec une entreprise partenaire.

Selon Moez Chafra, président de l’Université de Tunis El Manar, cet accord a pour objectif de renforcer la recherche appliquée et de favoriser le transfert technologique vers l’industrie tunisienne, notamment dans les secteurs de l’électronique, des télécommunications et de l’ingénierie des systèmes.

Un écosystème académique tourné vers l’international

Dans le même contexte, M. Chafra a annoncé la signature prochaine d’un accord de coopération avec la République populaire de Chine, ainsi que la préparation de nouveaux partenariats avec l’Union européenne, les États-Unis et le Canada.

L’Université de Tunis El Manar, déjà reconnue comme la première université nationale et maghrébine, figure à la 41ᵉ place au niveau arabe selon le classement QS 2025. Elle regroupe 15 établissements universitaires, 109 laboratoires de recherche et deux pôles d’excellence : l’Institut Pasteur de Tunis et l’Institut de la recherche agronomique.

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Japon : Sanae Takaichi, Première ministre et pionnière

21. Oktober 2025 um 10:03

Le 21 octobre 2025, Sanae Takaichi a été élue Première ministre du Japon par la Chambre basse du Parlement, devenant ainsi la première femme à occuper ce poste dans l’histoire du pays.

Âgée de 64 ans, elle a obtenu la majorité absolue dès le premier tour, avec 237 voix sur 465. Sa nomination sera officialisée après sa rencontre avec l’empereur Naruhito, prévue dans la journée.

Takaichi hérite d’une situation politique complexe. Le Parti libéral-démocrate (PLD), qu’elle préside, a perdu sa majorité dans les deux chambres du Parlement, notamment en raison de scandales financiers. Elle devra naviguer dans un paysage politique fragmenté et gérer des tensions internes au sein de sa propre coalition.

Sur le plan international, Takaichi s’apprête à accueillir le président américain Donald Trump la semaine prochaine. Cette visite sera un test crucial pour sa politique étrangère, notamment en ce qui concerne les relations avec les États-Unis et la gestion des tensions en Asie de l’Est.

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