Air Algérie lance une liaison aérienne directe sur le Nigeria
L’AI Investment Potential Index (AIIPI) 2025 évalue l’attractivité de 194 pays pour les investissements en IA à travers six catégories d’indicateurs : économie, gouvernance, infrastructures numériques, capital humain, gouvernance des données et capacités statistiques.
Malgré un score global inférieur à la moyenne mondiale selon le rapport de l’AFD (Agence française de développement), dix pays africains présentent un potentiel élevé d’investissement dans l’IA. Cela est dû à des infrastructures numériques bien développées, à une main-d’œuvre qualifiée et à un environnement réglementaire à même de favoriser la croissance de l’IA sur le continent.
Les pays sont classés en quatre stades selon leur score (0-100) :
Les pays du stade 4 offrent un cadre propice aux investissements grâce à des infrastructures avancées et une gouvernance solide. Ceux du stade 3 doivent renforcer l’innovation et la réglementation, tandis que ceux des stades 1 et 2 nécessitent des réformes structurelles pour améliorer leur attractivité.
L’Afrique a obtenu un score moyen de 38,70 points, bien en deçà de la moyenne mondiale. La plupart des pays du continent sont classés au niveau 2, tandis que huit d’entre eux se trouvent au niveau 1, à savoir la Guinée équatoriale, Djibouti, l’Érythrée, la Somalie, le Tchad, le Soudan du Sud, la Guinée-Bissau et la Centrafrique.
Dix pays africains figurent au stade 3, avec des scores notables : l’Afrique du Sud (65,15 points), le Maroc (63,34 points), la Tunisie (63,20 points), l’Égypte (62,31 points), Maurice (60,93 points), le Ghana (57,14 points), l’Algérie (55,37 points), le Kenya (54,34 points), le Sénégal (52,05 points) et le Nigeria (51,81 points).
Autrement dit, huit de ces pays ont obtenu des scores supérieurs à la moyenne mondiale de 52,32 points, grâce au développement avancé de leurs infrastructures numériques, à la disponibilité d’une main-d’œuvre qualifiée et à un environnement réglementaire favorable.
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Les candidatures sont ouvertes pour le programme African German Young Leaders in Business (AGYLE) 2025. Ce programme vise à connecter de jeunes talents d’Afrique et d’Allemagne au sein d’un réseau économique à long terme. Il a pour objectif de favoriser le dialogue afro-allemand et de renforcer la coopération économique entre les deux régions. En encourageant les échanges et la collaboration entre les participants, AGYLE cherche à générer de nouvelles dynamiques dans le cadre de la coopération au développement entre l’Afrique et l’Allemagne.
Le programme réunit des acteurs issus de divers secteurs, allant des startups aux grandes entreprises, en passant par les technologies numériques, les innovations vertes, l’économie circulaire ainsi que les domaines agricole et agroalimentaire. Il est financé par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement et soutenu par l’Agence pour le Développement Économique et des Affaires.
AGYLE s’adresse aux jeunes professionnels âgés de moins de 40 ans, ayant au moins trois ans d’expérience à un poste de direction ou ayant fondé leur propre entreprise. Les candidats doivent être originaires ou avoir exercé une activité professionnelle pendant au moins cinq ans en Éthiopie, au Ghana, au Rwanda, au Sénégal, en Tunisie ou en Allemagne. Le programme met particulièrement l’accent sur les initiatives en faveur d’un avenir durable et de villes plus écologiques. Il s’adresse également aux personnes souhaitant s’engager activement au sein du réseau d’alumni AGYLE.
La participation à l’AGYLE Live Week est prise en charge pour une grande partie des frais, notamment l’hébergement et une partie des repas, à l’exception de certains dîners qui restent à la charge des participants.
La date limite pour postuler la candidature est le 11 avril 2025.
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La Tunisie se classe 70e au niveau mondial dans le Safety Index 2025 publié par Numbeo, avec un score de 54,9. Ce classement, qui évalue la sécurité dans 147 pays, repose sur des enquêtes menées auprès des résidents et des visiteurs. Il prend en compte plusieurs critères, notamment la sûreté lors des déplacements de jour et de nuit, ainsi que divers types de criminalité, tels que les agressions physiques et sexuelles, les vols, les homicides, la discrimination et les crimes contre la propriété.
Au niveau africain, la Tunisie occupe la deuxième place, juste derrière le Rwanda, qui a un score de 73,1. Elle se positionne également comme le pays le plus sûr de l’Afrique Méditerranéenne. À l’inverse, l’Afrique du Sud est classée dernière sur le continent, avec un score de 25,3, la plaçant au 143e rang mondial.
À l’échelle internationale, Andorre domine le classement avec un score de 84,7, tandis que le Venezuela figure en dernière position avec 19,3.
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En effet, dans un nouveau commentaire de Best, intitulé « Les marchés de l’assurance et de la réassurance en Afrique de l’Ouest : éviter les écueils liés à l’incertitude face aux évolutions politiques », AM Best observe que même si les marchés de l’assurance au Niger, au Mali et au Burkina Faso restent relativement de petite taille, les grands risques commerciaux nécessitent la réassurance, qui est principalement fournie au moyen de cessions obligatoires aux porteurs de risques nationaux et régionaux (et rétrocédée aux marchés internationaux) et de souscriptions de réassurances traditionnelles. Elles devraient continuer de jouer un rôle crucial dans le partage des risques; malgré le départ des trois pays de la CEDEAO (Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest).
Pour l’heure, les trois pays restent membres de la Conférence Interafricaine des Marchés d’Assurances (CIMA), qui gère les réglementations relatives à l’assurance sur l’ensemble des pays membres au sein de la région. Toutefois, l’AM Best considère qu’une telle initiative pourrait provoquer quelques incertitudes réglementaires pour les assureurs et réassureurs opérant sur ces marchés.
Donc, les exportateurs et importateurs tunisiens (vers ces trois pays) devaient suivre de près cette situation pour éviter toute éventuelle complication.
D’après communiqué
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*AM Best est une agence mondiale de notation de crédit, un éditeur de presse et un prestataire d’analyses de données spécialisé dans le secteur de l’assurance. Cette société, dont le siège social est situé aux États-Unis, est implantée dans plus de 100 pays et possède des bureaux régionaux à Londres, Amsterdam, Dubaï, Hong Kong, Singapour et Mexico.
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