Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 19. Mai 2025Haupt-Feeds

Lancement de la nouvelle liaison aérienne Dublin – Enfidha opérée par TUI Airlines Nederland

19. Mai 2025 um 17:28

TAV Tunisie a le plaisir d’annoncer l’arrivée du tout premier vol direct en provenance de Dublin, opéré par TUI Airlines Nederland, à l’Aéroport International Enfidha-Hammamet.

L’ouverture de cette nouvelle liaison directe entre Dublin et Enfidha-Hammamet marque une avancée majeure dans la diversification des marchés émetteurs vers la Tunisie, en particulier à travers l’accès à un marché stratégique tel que l’Irlande.

La ligne sera opérée à raison d’un vol hebdomadaire, du 19 mai au 15 septembre 2025. Ces vols seront assurés par un Boeing 737-800 d’une capacité de 189 sièges. À leur arrivée, les passagers et l’équipage ont été chaleureusement accueillis par les équipes de TAV Tunisie dans une ambiance festive, avec distribution de fleurs et installation d’une banderole de bienvenue.

Mme Mélanie Lefebvre, Directrice Générale de TAV Tunisie, a déclaré :

« Nous sommes très heureux d’accueillir cette première liaison directe avec Dublin, qui vient consolider notre stratégie d’ouverture vers de nouveaux marchés européens.

L’aéroport Enfidha-Hammamet confirme ainsi son rôle central dans le développement du tourisme tunisien, en offrant aux compagnies aériennes partenaires des infrastructures modernes et des services de haute qualité. »

Cette nouvelle ligne illustre la confiance renouvelée des opérateurs internationaux dans le potentiel de la destination Tunisie, ainsi que dans la capacité de l’aéroport Enfidha-Hammamet, premier aéroport touristique du pays, à accueillir un trafic croissant dans des conditions optimales.

L’article Lancement de la nouvelle liaison aérienne Dublin – Enfidha opérée par TUI Airlines Nederland est apparu en premier sur WMC.

Lancement des Best CSR Brand & Product Awards et des Labels officiels pour marques et produits responsables

19. Mai 2025 um 17:14

Pionnier de la RSE en Tunisie, par le biais du lancement du forum international de la RSE et du prix des meilleures entreprises RSE en Tunisie en 2022 et 2023.

L’équipe de INSIDE ESG, premier cabinet de conseil tunisien spécialisé en CSR, vient de créer le premier projet CSR intégré avec une exclusivité internationale.

En effet, ce projet est axé sur :

  • Une Accréditation internationale CSR exclusive sur l’Afrique du Nord

 Un Training CSR certifié et reconnu à l’échelle internationale

Et dans un souci d’innovation, en Tunisie et ailleurs, INSIDE ESG a créé, en exclusivité, de nouveaux produits CSR afin d’en valoriser l’impact :

  • Best CSR BRAND AWARDS
  • Best CSR PRODUCT AWARDS,

 Et entamé, en collaboration avec un organisme international de certification, la création des labels :

  • Label CSR BRAND
  • Label CSR PRODUCT

 Ces nouveaux produits viennent consolider les acquis, patiemment engrangés, grâce aux supports historiques :

  • Cérémonie de remise des AWARDS
  • Forum international annuel : « Impact de la CSR sur la réputation des marques et produits »
  • Elaboration du reporting CSR annuel
  • Marketing Sociétal Responsable

 Et pour défendre ses intérêts, tant en Tunisie qu’à l’échelle internationale, INSIDE ESG a fait enregistrer ces produits comme des Trade Marks auprès de l’OTDAV et de l’INNORPI, conformément aux standards internationaux.

Pour plus de transparence et d’éthique, nos Awards seront pour la première fois, assistés par IA grâce à une plate-forme VISION CSR en collaboration avec notre partenaire international exclusif en IA : WISDOM.NET (marketing@insidesg.tn)

INSIDE ESG aura ainsi bouclé la boucle et sera désormais l’acteur majeur et incontournable, tant en Tunisie qu’en Afrique du Nord, en matière de CSR.

L’article Lancement des Best CSR Brand & Product Awards et des Labels officiels pour marques et produits responsables est apparu en premier sur WMC.

BIGTECH AFRICA 2025 : startups, investisseurs et experts réunis pour booster l’innovation en Afrique

19. Mai 2025 um 17:01

La deuxième édition du salon panafricain des Technologies, de l’IA et des Startups, “BIGTECH AFRICA”, se tiendra du 9 au 11 septembre 2025, au Parc des Expositions du Kram, à Tunis.

“BIGTECH AFRICA 2025” s’impose comme le rendez-vous incontournable du numérique en Afrique, un événement où startups, investisseurs, entreprises, institutions publiques et experts internationaux se rencontrent pour accélérer le développement technologique du continent. Il vise à positionner l’Afrique comme un hub technologique mondial et connecter l’écosystème tech africain aux opportunités internationales.

BIGTECH 2025 a pour objectifs de connecter les talents, les technologies et les opportunités pour dynamiser l’écosystème numérique africain, d’accélérer la transformation digitale du continent en encourageant collaborations stratégiques et investissements et de favoriser l’innovation en explorant les tendances disruptives et en favorisant l’adoption des nouvelles technologies.

L’article BIGTECH AFRICA 2025 : startups, investisseurs et experts réunis pour booster l’innovation en Afrique est apparu en premier sur WMC.

Coupe de Tunisie : l’Espérance affronte Ben Guerdane, Monastir reçoit le Stade Tunisien en Coupe

19. Mai 2025 um 16:51

Le tirage au sort des demi-finales de la Coupe de Tunisie de football (2024-2025), effectué dimanche, au cours de l’émission “Dimanche Sport”, sur Al Watania 1, a donné lieu aux confrontations suivantes :

Samedi 24 mai
A Monastir (16h00):
US Monastir – Stade Tunisien

Dimanche 25 mai
A Ben Guerdane (16h00):
US Ben Guerdane – Espérance de Tunis

L’article Coupe de Tunisie : l’Espérance affronte Ben Guerdane, Monastir reçoit le Stade Tunisien en Coupe est apparu en premier sur WMC.

Bourse de Tunis : légère hausse du Tunindex, Amen Bank domine les échanges

19. Mai 2025 um 16:46

Le marché Boursier a clôturé la séance de lundi, 19 mai 2025, dans le vert, s’appréciant de 0,1 % à 11376 points, dans un modeste volume de 7,2 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en Bourse, « Tunisie Valeurs ».

Le titre TUNISIE LEASING & FACTORING s’est offert la palme des hausses. L’action du leader du secteur du leasing en Tunisie s’est bonifiée de 3,9 % à 19,850 D, en animant le marché avec des échanges de 886 mille dinars.

Le titre ATB a terminé la séance sur une note positive. L’action de la filiale du groupe Arab Bank a signé une avancée de 3,2 % à 3,240 D notant que la valeur a amassé des échanges de 258 mille dinars sur la séance.

Le titre SIAME a essuyé la plus forte correction à la baisse de la séance. L’action du spécialiste des appareillages électriques a reculé de –5,6 % à 3,200 D, dans un flux dérisoire de 2 mille dinars.

Le titre ASSAD a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. Transigée à hauteur de 38 mille dinars, l’action du leader des batteries automobiles en Tunisie a reculé de –4 % à 1,920 D.

Le titre Amen Bank a chapeauté le palmarès des échanges sur la séance. L’action du bras financier du groupe PGI a marqué une pause sur la séance à 41,600D, en alimentant le marché avec des capitaux de 1,4 MD.

 

L’article Bourse de Tunis : légère hausse du Tunindex, Amen Bank domine les échanges est apparu en premier sur WMC.

Bizerte : Feu vert pour des projets publics d’une valeur de 5 millions de dinars

19. Mai 2025 um 16:39

La commission des marchés publics à Bizerte a approuvé, lundi, la réalisation d’une série de projets publics pour une valeur de près de 5 millions de dinars.

Les services du conseil régional au gouvernorat ont indiqué, à l’Agence TAP, que ces projets concernent notamment la réhabilitation routière à Bou Mkhila dans la délégation de Mateur (486 mille dinars), l’acquisition d’équipements médicaux au profit de l’hôpital de Menzel Bourguiba (380 mille dinars), l’achat de matériels scolaires (555 mille dinars) et l’aménagement de pistes rurales (660 mille dinars).

Par ailleurs, neuf projets seront réalisés dans le cadre de la deuxième tranche du programme de développement agricole à Ghezela-Joumine-Sejnane, outre la rénovation de huit ascenseurs à l’hôpital universitaire Habib Bougatfa (2 millions de dinars).

L’article Bizerte : Feu vert pour des projets publics d’une valeur de 5 millions de dinars est apparu en premier sur WMC.

Le court-métrage “Mima” de Dorra Sfar primé au Festival du Cinéma Réalité de Tanger

19. Mai 2025 um 16:32

Le court-métrage “Mima” écrit et réalisé par Dorra Sfar a remporté le prix de la meilleure réalisation et de la meilleure interprétation féminine dans la compétition des films d’écoles de cinéma, à la quatrième édition du Festival International du Cinéma Réalité, à Tanger au Maroc.

Le palmarès de cette édition 2025 tenue du 14 au 18 mai, a été dévoilé, dimanche au cours d’une cérémonie organisée au centre culturel de Beni Makada de la ville de Tanger.

“Mima (16′) est une production de 2024 qui figurait parmi une sélection de six films d’étudiants en cinéma représentant le Maroc (3), l’Égypte, l’Irak et la Tunisie.

Le jury a décidé de décerner le prix de la meilleure réalisation à Dorra Sfar et celui de la meilleure interprétation à Hajer Fehri pour son rôle d’une grand-mère.

Dorra Sfar est également lauréate d’une mention spéciale de la meilleure réalisation à la 14ème édition du Festival international du film pour l’enfance et la jeunesse (FIFEJ), tenu du 8 au 12 avril 2025

« Mima » retrace le retour d’une jeune réalisatrice tunisienne dans sa ville natale pour tourner un film dans la maison où elle a passé son enfance. Elle découvre alors que la maison est mise en vente. Elle est tiraillée entre ses racines et le désir de fuir à nouveau vers d’autres cieux.

Dans la compétition des films professionnels, ” Une année, un jour” (14′) de l’italien Daniele Scotchi a remporté le Grand prix du festival en plus du prix du meilleur scénario.

Le prix de la meilleure réalisation est revenu à l’espagnole Alba Losano pour son film “L’étranger” (20′).

Dans la compétition des films amateurs, l’italienne Anna Ciotti a remporté le prix de la meilleure réalisation pour son film « Esclave » (8′)

Le Festival international du cinéma réalité est organisé par l’association marocaine “Les lions du Nord pour la culture et l’art”, avec le soutien du Centre cinématographique marocain et du Conseil régional de Tanger-Tétouan-Al Hoceima.

L’article Le court-métrage “Mima” de Dorra Sfar primé au Festival du Cinéma Réalité de Tanger est apparu en premier sur WMC.

APIA organise une session sur l’étiquetage des denrées alimentaires préemballées

19. Mai 2025 um 15:54

L’Agence de Promotion des Investissements Agricoles (APIA) organisera, jeudi prochain, 22 mai 2025, une formation en ligne sur “La règlementation relative à l’étiquetage des denrées alimentaires préemballées”, et ce, en collaboration avec le projet Projet d’Accès aux Marchés des Produits Agroalimentaires et de Terroir (PAMPAT).

Cette formation a pour objectif d’aider les entreprises opérant dans l’agro-alimentaire à mieux comprendre les exigences légales et obligatoires relatives à l’étiquetage et au conditionnement des produits alimentaires, indique l’APIA, dans un communiqué.

Il s’agit également d’une opportunité pour améliorer la qualité et la conformité de l’emballage des produits aux exigences réglementaires, renforcer la compétitivité de sociétés et faciliter leur accès aux marchés locaux et internationaux.

Les sociétés intéressées pourraient s’inscrire via le lien suivant :  httpss://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfFJXJi2bKToUjIiDxpz5TZeeepToVJhcutr9ZwpJLluvIZsA/viewform?pli=1

En Tunisie, la Loi n° 2019-25 du 26 février 2019, relative à la sécurité sanitaire des denrées alimentaires, stipule que “l’étiquette apposée sur les denrées alimentaires préemballées ne devra pas décrire ou présenter le produit d’une façon fausse, trompeuse, mensongère ou susceptible de créer d’une façon quelconque une impression erronée au sujet de sa nature véritable”.

Par ailleurs, aucun produit alimentaire préemballé ne peut être vendu sans étiquetage, et il est interdit de vendre ou de distribuer, à titre gratuit, des produits alimentaires préemballés, à une date postérieure à la date limite d’utilisation portée sur l’étiquetage.

Pour rappel, le Projet d’Accès aux Marchés des Produits Agroalimentaires et de Terroir (PAMPAT) est financé par le Secrétariat d’Etat à l’Economie de la Confédération Suisse (SECO) et est mis en œuvre par l’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI) en étroite collaboration avec le Ministère du Développement, le Ministère de l’Industrie et le Ministère de l’Agriculture tunisiens. Ce projet met sous les projecteurs principalement les produits agroalimentaires du terroir tunisiens.

 

L’article APIA organise une session sur l’étiquetage des denrées alimentaires préemballées est apparu en premier sur WMC.

Mahdia : 20 appels d’offres pour réhabiliter les institutions culturelles tunisiennes

19. Mai 2025 um 15:46

La Directrice Générale de l’Agence de Mise en Valeur du Patrimoine et de Promotion Culturelle (AMVPPC), Rabia Belfguira, a annoncé, dimanche, un projet futur pour réhabiliter l’infrastructure des institutions culturelles dans le gouvernorat de Mahdia.

En prévision de ce projet, vingt appels d’offres seront lancés, a-t-elle déclaré au correspondant de la TAP à Mahdia, en marge de la cérémonie de clôture de la 34ème édition mois du patrimoine (18 avril-18 mai) organisée, dimanche soir, au Musée archéologique Salakta, près de Mahdia.

Cette démarche s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale relative au secteur du patrimoine qui est en cours d’élaboration par le ministère des Affaires Culturelles à travers la réforme du cadre juridique et la réhabilitation des institutions concernées, a fait savoir la responsable .

Elle a souligné un projet qui couvrira la gestion des Ressources humaines dans les différentes institutions qui connaissent une pénurie de personnel surtout avec les départs en retraites avec plus de 44 de hauts fonctionnaires qui prendront leur retraite au cours de l’année 2025.

En vue de compenser la pénurie des Ressources humaines et promouvoir le secteur patrimoniale, le ministère des Affaires culturelles œuvre à mettre en place des solutions novatrices a-t-elle encore dit.

A cet égard, elle a évoqué l’éclairage intelligent des monuments et musées et l’installation des caméras de surveillance ayant jusque-là couvert 80 % des institutions concernées, avec la possibilité de recourir à l’usage des drones dans la surveillance des sites.

La vulgarisation du concept du Musée intelligent, à l’image du projet réalisé au musée archéologique de Salakta, est au cœur du musée de Carthage qui ouvrira ses portes en 2026, et des bassins des Aghlabides à Kairouan, a encore dit la responsable.

La valorisation du patrimoine culturel tunisien est un projet piloté par l’Institut national du patrimoine et l’Agence de mise en valeur du patrimoine et de promotion culturelle avec l’appui de plusieurs partenaires étrangers.

L’article Mahdia : 20 appels d’offres pour réhabiliter les institutions culturelles tunisiennes est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : l’ARP examine un projet de loi pour encadrer les CDD et interdire la sous-traitance

19. Mai 2025 um 15:33

L’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) tiendra demain mardi une séance plénière consacrée au projet de loi relatif à l’organisation des contrats de travail et l’interdiction de la sous-traitance (n° 16 /2025), selon un communiqué publié par l’ARP.

Initiative de la présidence de la République, le projet vise à interdire le recours aux contrats à durée déterminée sauf dans les situations exceptionnelles liées à la nature du travail et à incriminer la sous-traitance de la main- d’œuvre. Il appelle à interdire, également, la conclusion de contrats à durée déterminée (CDD), sauf exceptions comme le travail saisonnier ou temporaire.

Le projet a été déposé auprès du bureau de l’ordre de l’ARP le 14 mars 2025. Il a été ensuite examiné par la commission de la santé, des affaires de la femme, de la famille, des affaires sociales et des personnes porteuses de handicap, le 18 mars 2025.

La commission a tenu une série de réunions durant lesquelles elle a, notamment, écouté le ministre des Affaires sociales ainsi que des représentants de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (UTICA), de Confédération des Entreprises Citoyennes de Tunisie de (CONECT) et d’experts en droit.

Le parlement a, également, organisé, le 30 avril dernier, une journée d’étude consacrée à ce projet de loi, en collaboration avec l’académie parlementaire.

 

L’article Tunisie : l’ARP examine un projet de loi pour encadrer les CDD et interdire la sous-traitance est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : le “Diaspora Month 2025” mobilise les talents tunisiens du monde entier

19. Mai 2025 um 15:16

La deuxième édition du “Diaspora Month” (Mois de la Diaspora) se tiendra du 15 juillet au 15 août 2025, à l’initiative de l’Association des Tunisiens des Grandes Écoles (ATUGE), dans le cadre de l’alliance WATT (World Alliance of Tunisian Talents).

Sous le thème “Attractivité, Investissement, Innovation : La diaspora connecte les ambitions aux réalités”, cette manifestation vise à transformer la période estivale en un moment stratégique de mobilisation des compétences tunisiennes résidant à l’étranger autour des défis économiques et d’innovation du pays.

Au cœur du programme, le Tunisia Global Forum (TGF), prévu le 22 juillet à Tunis, s’affirme comme le rendez-vous business majeur de cette initiative.

Selon la page officielle de l’ATUGE sur Facebook, cet événement réunira plus de 1500 participants dont des représentants de plus de 120 entreprises, startups, clusters, institutions nationales et organisations internationales. Ce forum proposera un espace d’exposition, des conférences plénières, des ateliers sectoriels, des talks inspirants et des rencontres, le tout centré sur la mobilisation des talents et des écosystèmes d’innovation.

Soutenue par des partenaires internationaux tels que l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration (OFII), l’agence allemande de coopération internationale pour le développement (GIZ), Swiss Contact, ainsi que d’autres organisations engagées dans la promotion du développement économique et social, cette nouvelle édition du “Diaspora Month” s’inscrit dans une dynamique de coopération pour un développement durable. L’initiative ambitionne de faire de la diaspora un levier stratégique de l’attractivité et de la transformation de la Tunisie.

L’article Tunisie : le “Diaspora Month 2025” mobilise les talents tunisiens du monde entier est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : vers l’inscription de la Jebba et du costume de Mahdia au patrimoine immatériel de l’UNESCO

19. Mai 2025 um 13:20

La ministre des Affaires Culturelles, Amina Srarfi, a annoncé, dimanche soir, depuis Salakta, près de Mahdia, qu’une proposition a été faite en vue d’inscrire le costume traditionnel de Mahdia et la « Jebba » tunisienne au patrimoine immatériel de l’UNESCO”.

La ministre s’exprimait à l’occasion de la cérémonie clôture de la 34ème édition mois du patrimoine qui a eu lieu au Musée archéologique Salakta indiquant un évènement qui se tient au terme d’un mois riche en festivités dédiées au riche patrimoine matériel et immatériel national.

Organisé chaque année du 17 avril au 18 mai, le mois du patrimoine 2025 a été placé sous le thème “Patrimoine et art, mémoire de civilisation”.

La ministre a souligné que le choix porté sur le musée de Salakta pour abriter la cérémonie de clôture de cet évènement s’inscrit dans le cadre de la stratégie du ministère en vue de promouvoir le patrimoine culturel national à travers l’usage des technologies.

Elle a évoqué le « Hackathon » immersif lancé depuis Salakta et visant à valoriser le patrimoine par le biais du numérique, indiquant une première expérience à laquelle a participé un groupe de jeunes et 20 institutions culturelles émergentes.

Baptisée « Hack the Heritage – Édition Salakta » ce Hackathon tenu du 15 au 18 mai, est une initiative organisée en partenariat entre le Centre international de Tunis pour l’économie culturelle numérique (TICDCE), la Cité de la Culture et l’Agence de Mise en Valeur du Patrimoine et de Promotion Culturelle (AMVPPC). Cet évènement a pris fin par la remise des prix aux lauréats.

La programmation culturelle et artistique au musée de Salakta a été marquée par un mapping projeté sur la façade du musée et une visite virtuelle dans l’histoire du musée et de la région à travers des images basées sur la technologie de l’hologramme.

Le musée de Salakta est situé au village côtier de Salakta, un nom dérivé du toponyme latin Sullecthum. Construit dans les années 1980, à côté d’une nécropole romaine, le musée expose des objets archéologiques provenant de l’antique Sullectum ainsi que d’autres agglomérations côtières avoisinantes.

Dans les trois salles du musée sont exposées des antiquités puniques et romaines découvertes dans le site de Sullecthum et sa région. La période punique est représentée par des objets funéraires dont un sarcophage en bois, du IVe s. av. J.-C., et des poteries : jarres, lampes, écuelles en terre cuite modelée. La période romaine est représentée par des objets qui reflètent la prospérité économique de Sullecthum en tant que ville portuaire.

Plusieurs spectateurs, notamment des créateurs, ont assisté à cette soirée de clôture du 34ème mois du patrimoine qui a pris fin par un spectacle de la Troupe nationale des arts populaires.

Des manifestations dans toutes les régions de la République sont programmées tout au long du mois du patrimoine afin de réfléchir aux moyens de développer, relancer et valoriser le patrimoine local et régional.

Le 34ème Mois du patrimoine a été ouverte au site archéologique de Kerkouane, au Cap Bon, classé au patrimoine mondial de l’Unesco.

Le démarrage de ce rendez-vous annuel coïncide avec la célébration de “Journée mondiale des monuments” (18 avril) alors que sa clôture avec la “Journée internationale des musées” (18 mai).

La Journée internationale des musées placée cette année sous le thème « L’avenir des musées au sein des communautés en constante évolution », est célébrée en Tunisie à travers une programmation assez variée et la gratuité d’accès aux sites, monuments et musées.

La Journée internationale des musées (JIM) a été instituée en 1977 par le Conseil International des Musées (ICOM) pour sensibiliser davantage le public au rôle des musées dans le développement de la société.

Le thème de cette année vise à mettre en lumière l’importance des musées à une époque de profonds changements sociaux, technologiques et environnementaux, où ils évoluent pour relever les défis d’aujourd’hui tout en façonnant les possibilités de demain.

L’article Tunisie : vers l’inscription de la Jebba et du costume de Mahdia au patrimoine immatériel de l’UNESCO est apparu en premier sur WMC.

Classement WTA : Ons Jabeur en légère progression, Sabalenka toujours en tête

19. Mai 2025 um 13:05

La Tunisienne Ons Jabeur a gagné une place au classement WTA de tennis publié lundi, pour devenir 35e mondiale.

Lors de sa dernière apparition sur les courts de tennis, Jabeur a été éliminée au troisième tour du Masters 1000 de Rome (terre battue), après sa défaite, le 10 mai, face à l’Italienne Jasmine Paolini, futur championne, 4-6, 3-6.

La Biélorusse Aryna Sabalenka conserve toujours la tête du classement mondial, devant l’américaine Coco Gauff finaliste du tournoi de Rome et sa compatriote Jessica Pegula. L’Italienne Jasmine Paolini occupe la 4ème place alors que la Polonaise Iga Swiatek s’est rétrogradée à la cinquième position.

 

L’article Classement WTA : Ons Jabeur en légère progression, Sabalenka toujours en tête est apparu en premier sur WMC.

Fuite des cerveaux : la Tunisie appelle à une coopération équitable Nord-Sud dans le secteur de la santé

19. Mai 2025 um 13:01

Le ministre de la santé, Mustapha Ferjani a plaidé, dimanche pour « une coopération responsable », seule capable de ralentir le phénomène de fuite des cerveaux, soulignant que ce défi de taille menace grandement les pays du sud, dont la Tunisie.

C’était lors de sa participation à la 27ème session des rencontres francophones de la santé à Genève qui ont eu lieu en marge de la 78ème session de l’assemblée mondiale de la santé, en présence du directeur général de l’organisation mondiale de la santé (OMS) et de la directrice générale des entreprises françaises du Médicament.

Lors d’une allocution prononcée sur la migration des compétences dans le domaine de la santé, le ministre a passé en revue une batterie de mesures incitatives lancées par le gouvernement tunisien en vue d’encourager les professionnels de la santé à rester dans leurs pays, notamment, dans les régions de l’intérieur.

Il a dans ce contexte passé en revue les efforts déployés par la Tunisie en vue développer l’infrastructure, de consacrer la digitalisation des services et de procéder à la généralisation de la télémédecine, lit-on dans un communiqué du ministère de la santé.

Ferjani a tenu à souligner que la lutte contre la montée en puissance de ce phénomène, est d’œuvrer autant que possible à améliorer les conditions de travail au niveau local et à promouvoir la coopération institutionnelle entre les pays du Nord et du Sud à travers la conclusion d’accords transparents plutôt que de se contenter des initiatives individuelles qui ne font que fragiliser les systèmes de santé dans les pays en développement.

 

L’article Fuite des cerveaux : la Tunisie appelle à une coopération équitable Nord-Sud dans le secteur de la santé est apparu en premier sur WMC.

Change devises en dinar tunisien : Cours du 19 Mai 2025

19. Mai 2025 um 12:48

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.988 3.067
Euro EUR 1 3.338 3.415
Yen Japonais JPY 1000 20.378 21.145
Livre Sterling GBP 13 3.938 4.086
Franc Suisse CHF 10 35.222 36.735

L’article Change devises en dinar tunisien : Cours du 19 Mai 2025 est apparu en premier sur WMC.

Philippe BAUDIN – Président du salon Equip’autos : vers un nouveau souffle pour la filière automobile

19. Mai 2025 um 08:30

À l’approche de sa 50e édition, le Salon Equip’Auto s’apprête à rassembler à Paris toute la chaîne de valeur de l’après-vente automobile. Constructeurs, équipementiers, réparateurs et distributeurs y dévoileront les dernières innovations, dans un contexte marqué par l’électrification du parc roulant mondial et les défis de relocalisation industrielle. Entre évolutions technologiques, réalités du terrain et perspectives tunisiennes, cette interview décrypte les enjeux clés de l’édition 2025 d’un salon devenu incontournable pour comprendre l’avenir du secteur. Interview avec Mr. Philippe BAUDIN – Président du salon Equip’autos

Le Salon Equip’Autos célèbre ses cinquante ans d’activité. Comment s’annonce l’édition 2025 au mois d’octobre prochain, à Paris ?

Cinquante ans d’activité,  quelle vigueur! Le Salon tient le pari de la longévité. Et toujours une attractivité agissante. Pendant un demi siècle, à une cadence biennale, les années impaires, le Salon réunit l’ensemble de l’écosystème de l’auto. C’est la chaine amont/aval, dans sa globalité qui se retrouve afin de prendre connaissance des nouvelles technologies. C’est crucial que les constructeurs s’adressent à l’univers de l’après-vente.

Equip’Auto synchronise-t-il  les rapports entre tous les corps de métiers de l’auto?

Il s’agit d’un Salon B2B où l’on évoque tout ce qui arrive après la vente de la voiture. Tout l’après-vente et les services sont rassemblés sur un même site. Et en effet cela réaccorde les constructeurs avec les professionnels de la maintenance, des services ainsi que de la réparation.

Constructeurs et équipementiers viennent-ils nombreux ?

Naturellement car ils sont doublement intéressés. D’abord ils viennent rencontrer les distributeurs de pièces de divers réseaux de vente. Ensuite ils viennent pour présenter aux réparateurs leurs nouvelles technologies. Et le Salon est le lieu dédié pour ces deux business. Et il en a vu défiler des innovations.

L’on garde en mémoire la fabrication en série des air bags, puis du freinage ABS, puis de la peinture de carrosserie à l’eau pour ne citer que ceux-là. Aujourd’hui on vit l’afflux de l’électronique. Ainsi donc constructeurs et équipementiers communiquent, à l’adresse des réparateurs au Salon  sur les meilleures pratiques de réparation des systèmes nouveaux.

« Le Salon Equip’Auto synchronise toute la chaîne de l’après-vente automobile, de la pièce au service. »

 

Le Véhicule électrique réduit-t-il le coût de maintenance ?

N’ayant plus de moteur, le véhicule électrique comporte moins de pièces. Cependant tout ce qu’il y autour persiste. Et l’on remarque que l’usure est plus accélérée. C’est le cas des pneumatiques. Sur un moteur thermique leur durée de vie est de 45.000  à 50.000 km, cette fourchette baisse entre 10.000 à 15.000 km avec l’électrique. Pareil pour le freinage et les autres trains roulants.

On voit le véhicule électrique gagner du terrain. Menace-t-il le business du Salon?

A l’heure actuelle le parc roulant mondial compte 1.500.000.000  de voitures. La part du véhicule électrique est de 1,87 %. Vous voyez bien que la pièce détachée n’est pas près de disparaitre. En France le parc roulant compte 42.000.000 de voitures.

Les projections montrent que si le parc électrique augmentait de 25% par an, dans dix ans le véhicule thermique constituerait 90% du parc. C’est vous dire ! Ajouter que pour faire tourner un parc d’un million de voitures électriques, il faut l’équivalent d’une centrale électrique. Mesurez le défi énergétique !

« Avec 1,87 % du parc mondial, l’électrique ne menace pas encore le business des pièces détachées. »

 

L’on parle d’une relocalisation la chaine de valeur Auto. La Chine qui occupe une position prépondérante va-t-elle lâcher du lest ?

Il faut savoir que le barycentre de l’industrie automobile a basculé en Chine et je ne la vois pas lâcher du lest. La Chine produit 30.000.000  de voitures sur un total mondial de 40.000.000   d’inités. Elle est en tête et en pointe sur le véhicule électrique, hautement connecté.

Ses modèles actuels lui procurent une confortable longueur d’avance. Cependant les enseignes européennes et d’ailleurs ne manquent pas d’atouts. La compétition va se réallumer sur ce segment. Mais cela prendra du temps car il faudra renouer avec les cadences des grandes séries.

En 2009 à titre d’exemple, la France produisait sur son sol 4.000.000 de voitures. A l’heure actuelle elle n’en produit plus que 1.300.000 et elle pourrait descendre en-dessous du seuil symbolique du million de voitures. Sachez que Toyota est le plus important fabriquant de voitures en France, à l’heure actuelle.

« La Tunisie a un vrai potentiel dans la R&D et les composants, si elle sait capter les nouvelles technologies. »

 

*Dans le contexte actuel, quelles sont les perspectives de développement de la filière automobile en Tunisie ?

-Je réserverai ma réponse de voir la Tunisie devenir une zone d’accueil de constructeurs à part entière En revanche le positionnement de la Tunisie sur les composants et la recherche& développement est prometteur. Tout cet écosystème performant peut s’adapter peut être plus vite qu’ailleurs aux nouvelles technologies qui  arrivent d’Asie.

Interview conduit par Ali DRISS

EN BREF

    • Le Salon Equip’Auto fête ses 50 ans et reste le rendez-vous clé des professionnels de l’après-vente automobile.
    • L’édition 2025 réunira constructeurs, réparateurs et équipementiers autour des dernières innovations.
    • Le véhicule électrique change la donne, mais la demande en pièces reste massive.
    • La Chine domine la production mondiale avec 30 millions d’unités, loin devant l’Europe.
    • 1,5 milliard — Parc mondial de voitures actuellement en circulation.
    • 1,87% — Part des véhicules électriques dans le parc mondial.
    • En Tunisie, la filière composants et R&D présente un fort potentiel de croissance.

L’article Philippe BAUDIN – Président du salon Equip’autos : vers un nouveau souffle pour la filière automobile est apparu en premier sur WMC.

Gestern — 18. Mai 2025Haupt-Feeds

Gouvernance et gouvernabilité : entre réformes et inertie Pour une refondation du pacte économique et social (Partie 2)

18. Mai 2025 um 08:30
Par Adnene Ben Salah
Adnene Ben Salah

Les distorsions économiques identifiées dans la première partie révèlent une déconnexion entre les mécanismes économiques et la création de valeur réelle. Cette situation met en lumière les défis de gouvernance auxquels notre pays est confronté. La question se pose désormais : comment les structures de gouvernance influencent-elles la mise en œuvre des réformes nécessaires ? Dans cette deuxième partie, nous explorerons les mécanismes de gouvernance et leur impact sur la capacité de l’État à impulser des changements significatifs.

 Il est clair que la situation actuelle qui prévaut en Tunisie exige une réforme en profondeur du modèle. Une réforme qui passe par une revalorisation du rôle de l’investissement productif, une réorientation de la dépense publique vers la création de valeur et un recentrage de l’action politique sur le long terme. Il est impératif de restaurer l’équilibre entre les impératifs de stabilité institutionnelle et les exigences de développement inclusif et durable.

« L’administration n’est pas l’État, et encore moins la nation, c’est le peuple qui l’est. »

 

Faute de quoi, le pays s’expose à une montée inéluctable des tensions sociales, à un affaiblissement de sa souveraineté économique et à un risque systémique majeur, dont les effets pourraient durablement compromettre son avenir.

Solution sous contrainte : une autre voie possible

Afin d’imaginer une voie cohérente permettant de maximiser l’utilité pour la communauté, il nous faut définir les objectifs à atteindre et il s’agit, pour ce qui nous concerne, essentiellement de :

  • relancer la croissance,
  • réduire l’endettement public,
  • améliorer les services publics,
  • augmenter le pouvoir d’achat des ménages,
  • réduire le déficit budgétaire,
  • développer les infrastructures,
  • désenclaver les régions et développer la mobilité,
  • améliorer la couverture de la balance commerciale,
  • réduire la dépendance énergétique et technologique pour qu’entre autres la défense nationale soit autonome, indépendante et performante.

Contraintes endogènes et exogènes : un double défi

Quels sont les contraintes auxquelles fait face le pays ? Deux types de contraintes majeures :

  1. Des contraintes exogènes sur lesquelles nous n’avons quasiment aucun contrôle.
  2. Des contraintes endogènes que nous subissons mais que nous pouvons influencer.

Les contraintes endogènes agrègent des problématiques ayant directement trait aux politiques internationales et au positionnement du pays dans son environnement immédiat, tel que les relations bilatérales et multilatérales retenues par notre pays et les choix relationnels avec les institutions financières internationales et régionales ; avec un impact direct sur le pays et sur l’éventail d’opportunités qui se présentent.

« Sans réforme structurelle, la Tunisie risque un effondrement systémique. »

 

Les contraintes exogènes regroupent quant à elles des problématiques liées aux crises mondiales, et aux risques d’instabilités et de conflits majeurs avec un impact direct sur les flux économiques mondiaux et un impact indirect sur notre pays.

Retenons les contraintes les plus significatives suivantes :

  1. Les conditions de mobilisation de ressources financières institutionnelles, contraignantes voire prohibitives.
  2. Les pressions économiques et financières institutionnelles sur les flux commerciaux et financiers.
  3. Les probabilités de contraintes sur le commerce international et de crises économiques des ‘Acteurs Majeurs’.
  4. La prévision de contraintes environnementales et ses conséquences sur les ressources hydriques et la production agricole.
  5. Une compétition et une concurrence de plus en plus forte sur les axes principaux de positionnement économique de notre pays.

Relancer la croissance : l’investissement productif comme levier

Relancer la croissance, passant inéluctablement par la relance de la production et de l’activité des entreprises, l’identification d’opportunités de projets et d’investissements devient alors la condition sine qua non de tout projet. Ainsi, la nation accusant un retard important en termes d’infrastructures et de prestations de services publics, tous les projets d’infrastructures et de prestations de services publics s’érigent en opportunités d’investissements et de production, assurant ainsi le premier substrat de la relance économique.

« Les projets autoporteurs sont le levier d’un tourbillon vertueux de croissance. »

 

Les contraintes financières du pays ne permettant pas de maintenir simultanément le train de vie de l’administration et le financement des projets nationaux, c’est à ce niveau que l’ingénierie spécifique est mise à contribution. C’est en imaginant, pour tous les projets, des solutions autoporteuses, génératrices de rendement économique, que l’on proposera à des investisseurs nationaux de trouver une opportunité de relance d’activité et de mobilisation de ressources financières domestiques.

L’État pourra alors réaliser simultanément plusieurs projets d’infrastructures, de services, de mise à niveau technologique et de prestations sociales, au profit des citoyens, sans mobilisation de ressources publiques et sans aucun endettement public de quelque nature que cela soit.

Un tourbillon vertueux autocentré : vers une croissance inclusive

La mise en projets autoporteurs de tous besoins en infrastructures et services publics générera une relance rapide de l’activité économique. L’injection d’investissements massifs sans recours à la dette publique dans l’économie permettra de doter le pays d’un levier accélérateur de relance et de croissance.

« La souveraineté économique passe par une autonomie énergétique, technologique et décisionnelle. »

 

La priorisation de la préférence pour des opérateurs économiques nationaux, lors de la mise en œuvre, de la réalisation et de la gestion des projets pour le compte de l’État en son lieu et place et au profit de la communauté nationale, permettra la réduction du déficit budgétaire, la mobilisation de ressources par les opérateurs économiques, la réduction de l’exposition au change et aux financements étrangers, la création de valeur nationale, l’accroissement des ressources budgétaires, la création d’une forte demande d’emplois et d’opportunités de création d’entreprises pour les jeunes et surtout de satisfaire rapidement aux attentes des citoyens en termes de services publics et d’infrastructures publiques.

Création d’emplois et amélioration des revenus

La création d’emplois et l’amélioration des revenus entraîneront à court terme une hausse significative de la consommation intérieure. Cela contribuera à la croissance économique et à la diversification de la production. Cette relance rapide, combinée à l’augmentation de la rentabilité des investissements, attirera les flux financiers d’investisseurs privés internationaux.

Contexte mondial et opportunités pour la Tunisie

La crise mondiale et l’incertitude des flux financiers internationaux incitent à rechercher des refuges stables et des opportunités d’investissements attractifs. Face à cette situation, la Tunisie pourrait devenir un centre d’attractivité, grâce à ses performances économiques et à la diversité de ses projets d’investissement.

Perspectives à moyen terme

La monnaie domestique gagnera en valeur et les réserves en devises stables augmenteront. La dette publique se résorbera et les notations de risque pays deviendront positives. Les partenariats avec des opérateurs étrangers permettront un transfert de savoir-faire et de technologies, positionnant ainsi la Tunisie comme un acteur stratégique en Afrique.

Un tourbillon vertueux à mettre en place

Il est crucial de libérer cette dynamique positive en établissant un “tourbillon vertueux autocentré”. À chaque étape, une ingénierie économique et financière spécifique devrait être mise en œuvre pour éviter les dérapages.

Le rôle de l’État et de l’administration publique

Pour réussir cette transformation, il est essentiel que l’État et l’administration publique redéfinissent leur rôle. La distinction entre définir et fournir des services publics et les gérer eux-mêmes est fondamentale : « L’administration n’est pas l’État, et encore moins la nation, c’est le peuple qui l’est. »

Par Adnene Ben Salah

L’article Gouvernance et gouvernabilité : entre réformes et inertie Pour une refondation du pacte économique et social (Partie 2) est apparu en premier sur WMC.

Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

Paris : Amir Abdallah en concert à l’IMA pour célébrer la musique arabo-andalouse

17. Mai 2025 um 17:53

Le chanteur tunisien Amir Abdallah est à l’affiche d’un concert exceptionnel réunissant trois solistes maghrébins, qui sera donné, le mardi 20 mai, au siège de l’Institut du monde arabe (IMA) à Paris.

Ce concert sera donné à la clôture de la journée de rencontres dédiée à « La pensée et la création au Maghreb » sera organisée en partenariat entre l’IMA et la Fondation de la pensée arabe, à l’occasion de la publication du treizième rapport sur le développement culturel dans le monde arabe intitulé « Cartographie intellectuelle et culturelle des pays du Maghreb ».

Amir Abdallah partagera la scène avec Chaïmae Imounachen du Maroc et m Imène Sahir d’Algérie, pour célébrer fraternellement la musique arabo-andalouse et ses riches déclinaisons.

L’Orchestre sera composé de Farhat Bouallagui, à la direction d’orchestre et au violon , Farouk Benny au clavier , Imed Labidi a la derbouka, Abdellah Benkirane aux percussions (târ, daff) et Sofiane Negra au oud.

● Amir Abdallah est un chanteur tunisien dont l’art vocal s’exprime à travers une voix puissante et authentique. Amir Abdallah maîtrise un large éventail de registres musicaux, allant du malouf tunisien traditionnel aux styles contemporains, qu’il explore avec sensibilité et créativité.
Son univers musical s’articule entre créations originales et reprises réinterprétées.

● Ingénieure de profession, Chaïmae Imounachen est une artiste marocaine nourrit depuis l’enfance une passion profonde pour le gharnati, héritée de son père musicien. Elle débute à l’âge de 6 ans au sein de l’orchestre Mannix à Oujda, où elle se forme à la mandoline et au chant.

Sa carrière prend une dimension internationale dès sa première participation au Festival du Gharnati d’Oujda, à travers ses concerts en France, en Tunisie, au Festival international de Carthage ou en Espagne avec la chorale Ribat Al Fath.

En 2020, elle se fait connaître du grand public grâce à un cover sur YouTube qui cumule plus de 4 millions de vues. Depuis, elle multiplie les concerts en Europe, notamment à Bruxelles, en Italie, et entame en 2025 une tournée européenne aux côtés de l’artiste Boudchart.

● Née en 1988 à Alger dans une famille passionnée de musique andalouse, Imène Sahir débute sa carrière artistique à 19 ans après 16 années de formation dans des associations musicales.

Remarquée pour sa voix, son jeu de violon et sa maîtrise de la kouitra, elle enregistre son premier album Nouba Ghrib en 2008 et rejoint plusieurs ensembles prestigieux. Elle se produit ensuite sur des scènes nationales et internationales, notamment au Maroc, en France, en Allemagne ou encore au Japon.

De 2014 à 2018, elle dirige artistiquement deux associations et forme de jeunes artistes tout en enrichissant sa discographie avec l’album Hawzi-M’dih et un coffret dédié au genre Aâroubi.

En 2020, elle s’installe à Paris et fonde le “Imène Sahir Quintet” avec lequel elle poursuit son exploration musicale, aboutissant à un nouvel album sorti en 2024.

L’article Paris : Amir Abdallah en concert à l’IMA pour célébrer la musique arabo-andalouse est apparu en premier sur WMC.

Tunis accueille le Forum F2SPH’2025 sur biodiversité, climat et intelligence artificielle

17. Mai 2025 um 14:23

Placée sous le thème « Biodiversité, Changement climatique et intelligence artificielle », la première édition du Forum Sciences et Société : Partenariats et Horizons pour un Développement Durable (F2SPH’2025) se tiendra les 26 et 27 mai 2025 à la Cité des Sciences de Tunis (CST).

Organisé par la CST en partenariat avec l’Institut Français de Tunisie et sous l’égide du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, cet événement d’envergure internationale mettra en lumière le potentiel transformateur de l’intelligence artificielle face aux défis environnementaux contemporains.

Selon le site web dédié, le Forum mobilise sciences, technologies et coopération internationale, en particulier la coopération Afrique-Europe pour développer des solutions durables et inclusives face aux problématiques de biodiversité, de changement climatique et de santé humaine. L’IA y est présentée comme un levier stratégique pour surveiller les écosystèmes, modéliser les impacts sanitaires et développer des stratégies innovantes d’adaptation climatique.

Experts, chercheurs, décideurs politiques, représentants d’ONG et professionnels des secteurs technologique et environnemental participeront aux débats, avec une forte présence attendue d’étudiants et jeunes chercheurs.

Les discussions s’articuleront autour de trois axes principaux, avec des panels thématiques sur l’agriculture durable, la résilience climatique, les transitions énergétiques et les interactions entre santé humaine et biodiversité.

Une soirée astronomique interactive, ouverte au grand public, clôturera l’événement avec des activités immersives autour des sciences des données, de l’IA et de l’observation spatiale.

À l’issue des deux journées, le forum devrait aboutir à la publication d’un rapport de synthèse et de recommandations destiné aux acteurs politiques et scientifiques, à la création d’un réseau Afro-Européen d’experts et partenaires, ainsi qu’au lancement de projets concrets de coopération régionale.

L’article Tunis accueille le Forum F2SPH’2025 sur biodiversité, climat et intelligence artificielle est apparu en premier sur WMC.

❌
❌