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Tunisie | Libération conditionnelle pour Sonia Dahmani  

27. November 2025 um 13:01

Une décision de libération conditionnelle concernant la l’avocate et chroniqueuse Sonia Dahmani a été émise ce jeudi 27 novembre 2025, par la ministre de la Justice, Leïla Jaffel.

C’est ce qu’a indiqué l’Agence Tunis Afrique Presse (Tap), citant une source informée, sans préciser les conditions de cette libération conditionnelle, sachant que la concernée est poursuivie dans plusieurs affaires pour des délits d’opinion et d’expression, dont une affaire déclenchée par une plainte du ministère de la Justice.

Il convient de préciser que Sonia Dahmani est la détenue politique et d’opinion en Tunisie dont l’incarcération a fait le plus de bruit à travers le monde. Ceci explique-t-il cela ?

Rappelons aussi que toutes les demandes de libération déposées par les avocats de la prévenue ont été rejetées jusque-là par la justice tunisienne, dont les voies sont décidément impénétrables.

I. B.     

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«Ghalia», une chanson contre les violences faites aux femmes

27. November 2025 um 09:20

La chanson et le clip «Ghalia» sont produits dans le cadre de la campagne onusienne des «16 jours d’activisme contre les violences faites aux femmes et aux filles» qui a lieu tous les ans du 25 novembre au 10 décembre.

C’est une campagne annuelle de sensibilisation du grand public qui condamne tous les types de violences subies par les femmes, physique, psychologique, économique… et notamment des violences qui touchent davantage les jeunes filles comme le cyber-harcèlement.

Il y a une tendance à minimiser ce phénomène alors que les chiffres sont effarants. Près d’1 femme sur 3 dans le monde subit au moins une fois des violences conjugales ou sexuelles. Les féminicides continuent aussi à inquiéter, ainsi en 2025, 22 femmes ont été tuées sur la base de leur genre en Tunisie.

La chanson et le clip ont été financés et soutenus par la Délégation de l’Union Européenne en Tunisie qui réaffirme ainsi son engagement pour l’égalité et contre toutes les formes de violences basées sur le genre.

Interprétée par Asma Ben Ahmed, Chaïma Mahmoud et le rappeur 4LPHA, la chanson a été écrite et mise en mélodie par Bayrem Kilani, produite par Selim Saïed, réalisée par Zied Litaiem

La chanson met en scène une fille, Ghalia, qui survit aux violences et aspire à l’accomplissement. Le texte invite à condamner ces violences, mais aussi à agir et à dépasser le silence complice.

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Ensemble contre la violence: « Ghalia », une voix d’espoir et de résistance

26. November 2025 um 21:54

Le coup d’envoi des 16 jours d’activisme a été donné avec force et détermination. Des voix s’unissent pour lutter contre les violences faites aux femmes et aux filles, un combat urgent et nécessaire. C’est dans ce cadre que la chanson et le clip « Ghalia » ont été créés, portés par la campagne onusienne “16 jours d’activisme contre les violences faites aux femmes et aux filles”, qui se déroule chaque année du 25 novembre au 10 décembre.

Cette campagne annuelle sensibilise le grand public en condamnant toutes les formes de violences que subissent les femmes : physiques, psychologiques, économiques… Elle met aussi en lumière des violences spécifiques qui touchent particulièrement les jeunes filles, comme le cyber-harcèlement. Trop souvent minimisé, ce phénomène est en réalité alarmant. Près d’une femme sur trois dans le monde subit au moins une fois des violences conjugales ou sexuelles. En Tunisie, les féminicides continuent de semer l’angoisse : en 2025, 22 femmes ont été tuées en raison de leur genre.

La Délégation de l’Union européenne en Tunisie a financé et soutenu la production de cette chanson et de ce clip. Par ce geste, elle confirme son engagement ferme en faveur de l’égalité et de la lutte contre toutes les violences basées sur le genre.

La chanson met en scène une jeune fille nommée “Ghalia”, qui, malgré les violences subies, tient bon et aspire à la réalisation de ses rêves. Le texte est un appel puissant non seulement à condamner ces violences, mais aussi à agir, à briser le silence complice et à construire un avenir plus safe et égalitaire pour toutes.

Avec communiqué

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IA vs déontologie : le nouveau dilemme des salles de rédaction

26. November 2025 um 14:52

Des experts, journalistes et autres membres de la société civile se sont réunis, mercredi 26 novembre, dans un hôtel situé aux Berges du Lac de Tunis autour d’un atelier pour l’élaboration d’une charte nationale sur la déontologie journalistique face à l’intelligence artificielle.

Cette rencontre sur l’IA et la déontologie journalistique, organisée par le Conseil de presse avec l’appui du programme d’appui aux médias tunisiens (PAMT 2), a pour objectif de jeter les bases d’une charte généraliste suivie de chartes spécifiques pour les différentes composantes du secteur, a indiqué Mannoubi Marrouki, président du Conseil de presse.

Selon Marrouki, les risques déontologiques et éthiques sont de nos jours grands tout comme l’est l’inquiétude des uns et des autres quant à l’utilisation de l’IA.

Cette journée vise, par ailleurs, à rassembler journalistes, responsables de rédaction, syndicats, universitaires, experts juridiques et partenaires institutionnels pour dresser un état des lieux de l’usage de l’IA, analyser les risques déontologiques et formuler, à travers des ateliers thématiques, les premiers principes d’une charte éthique.

« Une telle charte généraliste s’impose particulièrement à la lumière de l’usage  des nouvelles technologies de la transition numérique et dont les dérives ne sont plus à démontrer », avertit le président du Conseil.

Marrouki estime que les discussions qui ont eu lieu tout au long de cette journée d’étude permettront de poser les jalons de la première charte nationale d’éthique sur l’intelligence artificielle.

Des chercheurs locaux et internationaux ont alimenté les différents ateliers organisés dans le cadre de cette journée.

Laurence Dierickx, docteure à l’Université libre de Bruxelles, spécialisée dans l’information numérique et l’IA, a présenté les outils de l’intelligence artificielle mis à la disposition des journalistes par les médias.

Ils permettent, si besoin est, de collecter, traiter, analyser, diffuser l’information et interagir avec le public.

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L’Afrique va multiplier par 5 sa demande en data centers d’ici 2030, selon McKinsey

26. November 2025 um 10:01

3,5 à 5,5 fois. C’est l’ampleur de la hausse attendue de la demande en centres de données en Afrique d’ici 2030, selon le rapport «Building data centers for Africa’s unique market dynamics» publié par McKinsey & Company. Cette étude, rendue publique le 24 novembre 2025, décrit un continent encore très peu équipé — moins de 1% des capacités mondiales — mais doté d’un potentiel immense pour devenir un hub majeur du cloud et de l’intelligence artificielle.

Le rapport explique que les capacités actuelles des centres de données africains, estimées à environ 0,4 gigawatt, pourraient atteindre 1,5 à 2,2 GW à la fin de la décennie. Cette transformation nécessiterait 10 à 20 milliards USD d’investissements et pourrait générer entre 20 et 30 milliards USD de revenus sur l’ensemble de la chaîne de valeur du secteur.

L’Afrique part toutefois d’une base extrêmement faible. Sur les marchés les plus avancés — Égypte, Kenya, Maroc, Nigeria et Afrique du Sud —, les capacités restent largement en dessous de celles d’un seul pays européen comme la France, qui disposait d’environ 0,8 GW en 2024. Cet écart souligne à la fois l’ampleur du défi et l’immensité du potentiel encore inexploité.

Plusieurs facteurs expliquent l’accélération de la demande. D’abord, l’adoption croissante de technologies gourmandes en données, notamment l’intelligence artificielle. Environ 40% des entreprises africaines expérimentent déjà l’IA, et un déploiement élargi pourrait créer entre 60 et 100 milliards USD de valeur dans des secteurs tels que la banque, les télécoms, la vente au détail ou les mines. À cela s’ajoutent les politiques nationales de numérisation: transformation des services publics, généralisation des identités numériques, digitalisation des procédures administratives. La Banque mondiale, via son initiative Digital Economy for Africa (DE4A), a lancé 70 projets dans 37 pays depuis 2019, renforçant la pression sur les besoins locaux en stockage et puissance de calcul.

La migration vers le cloud joue également un rôle clé. Les grandes entreprises africaines prévoient une augmentation notable de leurs charges de travail hébergées dans le cloud d’ici 2030. Dans les technologies, médias et télécommunications, 83% des workloads sont déjà dans le cloud, un chiffre en hausse constante. Le secteur financier progresse aussi, même si seulement 56% de ses charges de travail y sont actuellement migrées.

Face à une demande fragmentée entre pays et à des contraintes fortes, McKinsey souligne qu’un modèle adapté au contexte africain est indispensable. Les centres de données «petits, modulaires et progressifs» constitueront la norme. Alors qu’ailleurs dans le monde les deux tiers des nouveaux data centers auront des capacités comprises entre 50 et 500 MW, en Afrique, deux tiers seront de petite taille (1 à 20 MW) ou de capacité moyenne (20 à 50 MW). Cette approche progressive permet d’adapter les investissements aux réalités locales et de limiter les risques financiers.

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Transition énergétique : Un atelier “AI for Energy” initie les étudiants à l’IA appliquée aux systèmes énergétiques

25. November 2025 um 15:11

Un workshop intitulé « AI for Energy » se tiendra le 26 novembre 2025 à l’École nationale des sciences et technologies avancées (ENSTAB) de Borj Cedria, à l’intention des étudiants en génie énergétique.

Organisé sans prérequis en apprentissage automatique, cet atelier d’une journée cible principalement les étudiants de Master 1 et 2 en génie énergétique ou disciplines connexes, à condition qu’ils possèdent une connaissance de base des systèmes énergétiques.

D’après les informations publiées sur la page Facebook de l’Ecole, les participants manipuleront des jeux de données énergétiques réels, construiront et évalueront des modèles de machine learning, et développeront des réseaux de neurones à l’aide des bibliothèques TensorFlow et Keras.

Une session sera également dédiée aux méthodes d’IA explicable (XAI), essentielles pour interpréter les décisions des modèles d’intelligence artificielle.

Cet événement s’inscrit dans une démarche pédagogique innovante, visant à doter les futurs ingénieurs des compétences numériques nécessaires pour relever les défis de la transition énergétique et de la gestion intelligente des ressources.

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Hackathon “Meet the Professionals” : Trois projets primés pour réinventer l’écriture à l’ère de l’IA

Von: walid
25. November 2025 um 12:34

Le Pôle de créativité et des arts numériques Fadhel Ben Achour “Espace Maken” à la Marsa (Banlieue nord de Tunis) a accueilli lundi la présentation des dix projets finalistes de la première édition du hackathon “Meet the Professionals”, consacrée aux nouvelles pratiques d’écriture à l’ère de l’intelligence artificielle.

Le premier prix, doté de 2 000 dinars, a été attribué au projet « Simplify », une plateforme éducative qui convertit les contenus scolaires en récits numériques interactifs animés par des avatars personnalisables, dont des personnages familiers des enfants. Le dispositif propose aussi des supports pédagogiques générés à l’aide d’outils d’IA.

Le deuxième prix, d’un montant de 1 500 dinars, a distingué le projet « Notre Histoire », qui utilise l’intelligence artificielle pour la valorisation et la transmission du patrimoine. Le troisième prix, doté de 1 000 dinars, est revenu à « Biblioscope », une initiative numérique destinée à promouvoir la lecture auprès du grand public.

Au-delà des récompenses financières, les équipes lauréates bénéficieront d’un programme d’incubation au Centre international de Tunis pour l’économie culturelle numérique (TICDCE). Ce programme comprend un accompagnement éditorial et technique, des ateliers spécialisés, un suivi post-événement ainsi que des perspectives de publication numérique ou d’adaptation audiovisuelle. D’autres projets finalistes pourront également être incubés, sous réserve de répondre aux critères de qualité et d’innovation définis par le centre.

Organisé par le TICDCE en partenariat avec la start-up Feghabook, le hackathon a permis la présentation de projets croisant édition numérique, marketing culturel, outils interactifs d’apprentissage, conservation du patrimoine et solutions de gestion d’événements culturels, tous conçus à partir de technologies d’intelligence artificielle. Les propositions incluaient des applications mobiles, des plateformes web, des formats audio et des prototypes immersifs.

L’événement, qui s’est tenu du 20 au 24 novembre, s’est articulé autour de trois jours de formation portant sur le storytelling, la créativité, la propriété intellectuelle et les outils d’IA, suivis de 24 heures de conception continue et d’une journée finale “Demo Day”. Les équipes ont été évaluées par un jury composé de professionnels et de partenaires du secteur culturel et numérique.

Réunissant auteurs, artistes, designers, développeurs et entrepreneurs culturels, cette première édition de “Meet the Professionals” visait à encourager la création littéraire et artistique assistée par l’intelligence artificielle et à soutenir l’émergence de nouvelles compétences dans le domaine de l’économie culturelle numérique en Tunisie.

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Eaux usées traitées : un usage encadré depuis plus de trente ans

25. November 2025 um 13:50

Depuis 1989, la réglementation encadre strictement la réutilisation des eaux usées traitées. Elle est soutenue par des recherches approfondies sur leurs effets sur les sols, les cultures et la recharge des nappes phréatiques. Parmi les mesures phares, l’obligation pour les terrains de golf d’arroser avec cette eau durable illustre l’importance accordée à cette ressource dans une gestion responsable et innovante.

Rencontrée en marge de l’événement organisé par l’IACE, la révision actuelle du cadre réglementaire vise à repenser la philosophie de gestion de la qualité de l’eau, à concilier usages et traitements, à diversifier les cultures et les usages, et à promouvoir le mélange entre eaux conventionnelles et eaux usées traitées. Cela permet d’économiser les ressources en eau potable tout en valorisant les eaux usées, contribuant aussi à la protection de l’environnement. Le cadre à venir doit lier tous les acteurs, producteurs et consommateurs, tout au long de la chaîne de valeur.

En matière d’innovation, notamment avec l’intelligence artificielle (IA), Olfa Mahjoub, maître de conférences et chercheure, souligne que la recherche tunisienne possède un potentiel important à exploiter. En ce sens, elle ajoute : « Il existe déjà des applications d’IA destinées au pilotage de l’irrigation. L’innovation consiste aussi à adapter les technologies à notre contexte local. Et ce, en privilégiant des solutions décentralisées et adaptées, qui favorisent l’acceptation par les utilisateurs. »

Une approche participative est la clé : co-construire les solutions avec les gestionnaires, agriculteurs et utilisateurs améliore l’appropriation et augmente l’efficacité. Imposer une solution externe sans consultation est voué à l’échec.

Face à la pénurie et au stress hydrique, elle rappelle l’urgence de sensibiliser la population à une consommation d’eau plus responsable, en limitant le gaspillage domestique. Sensibiliser aussi à ne pas jeter de médicaments dans les toilettes contribue à protéger la qualité de l’eau en amont et à diminuer les coûts et impacts des traitements.

Le concept « One Water, One Health » rappelle que l’eau circule en un cycle unique qui relie environnement, santé humaine et animale. Une eau polluée affecte toute cette chaîne, il faut donc agir avec une vision intégrée.

Enfin, l’« approche barrière » qui consiste à instaurer de bonnes pratiques à chaque étape, de la production à la réutilisation, est indispensable. La sensibilisation joue un rôle primordial pour assurer une gestion efficace, durable et acceptée des ressources en eau.

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Rencontre à Paris sur le PLF 2026 de la Tunisie

25. November 2025 um 12:18

Le Centre pour le respect des libertés et des droits de l’homme enTunisie (CRLDHT) organisé, dans le cadre de Liqaaet Eco, une rencontre d’analyse du Projet de loi de finances 2026 (PLF2026) sous le thème «PLF 2026 : l’exercice solitaire du pouvoir budgétaire», le 26 novembre 2026 à 19h au CICP (21ter Rue Voltaire, 75011 Paris).

La rencontre, animée par Karim Belkhiria, verra les interventions de Ali Kooli, ancien ministre de l’Économie et des Finances (2020–2021), expert des questions macroéconomiques, de la dette et du système bancaire; Mohamed Trabelsi, ancien ministre des Affaires sociales, spécialiste du dialogue social, de la protection sociale et des politiques d’emploi ; et Hédi Kammoun, représentant de l’association Alert, engagé sur les enjeux de gouvernance économique, de concurrence et de lutte contre l’économie de rente.

Cette rencontre est organisée «à un moment où la Tunisie traverse l’une des crises économiques, sociales, politiques et institutionnelles les plus graves de son histoire récente» et «à l’heure où les droits reculent et où la pauvreté s’étend, le débat sur le budget n’est pas un exercice technique : c’est un enjeu de justice, de dignité et de démocratie», écrit le CRLDHT dans sa note de présentation, dont nous reproduisons ci-dessous l’essentiel…

«Le budget 2026 est construit dans un contexte de tensions financières explosives : une dette publique qui atteint 147,4 milliards de dinars, soit 80,5 % du PIB, des besoins de financement colossaux de 27 milliards de dinars, et un déficit de près de 11 milliards que le gouvernement veut combler en puisant directement dans la Banque centrale, en émettant des sukuk et en pressurant encore davantage un système bancaire déjà exsangue. Ce choix n’est pas neutre : il engage l’avenir, il hypothèque les droits, et il place le pays dans une spirale dangereuse de dépendance et de fragilisation institutionnelle.

«Le PLF 2026 se présente comme un budget opaque, déséquilibré et construit hors des règles démocratiques. Il contourne les dispositifs de contrôle prévus par la Loi organique du budget, siphonne les ressources vitales de la santé, de l’éducation et de la protection sociale, tout en gonflant les budgets sécuritaires.

«Au lieu d’investir dans le soin, le savoir, l’emploi ou l’inclusion, l’État choisit la force, l’opacité et le repli. La disparition du débat public, la marginalisation du Parlement et le recul de la transparence financière ne sont pas des accidents : ils traduisent une volonté assumée de gouverner sans contrôle et sans comptes à rendre.

«En rupture totale avec les engagements internationaux et constitutionnels de la Tunisie, les arbitrages du PLF 2026 représentent une menace directe contre les droits économiques et sociaux. Ce projet budgétaire promet plus d’inégalités, une aggravation de l’effondrement des services publics, et une désindustrialisation qui nourrit un chômage massif, l’exclusion sociale et le désespoir — terreau fertile des dérives autoritaires et des colères collectives.

«Face à cette situation, cette rencontre ambitionne de décortiquer le PLF 2026, d’en dévoiler les implicites politiques et les conséquences humaines, et de construire, avec les participants, des alternatives crédibles. Parce qu’un budget n’est pas seulement une affaire de chiffres : c’est un choix de société. Nous défendons un budget fondé sur la justice sociale, la transparence, et la protection effective des droits fondamentaux — un budget au service du peuple, et non un instrument de consolidation autoritaire.»

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Mahdia : Nouvelles licences de taxi pour renforcer le service

Von: walid
25. November 2025 um 10:54
Mahdia : Nouvelles licences de taxi pour renforcer le service

Près de 91 nouvelles licences de taxi individuel viennent d’être accordées dans le gouvernorat de Mahdia, selon le secrétaire général du syndicat régional des taxis individuels, Ridha Kediri. Il a souligné à l’Agence TAP, que l’attribution de ces licences “s’est faite en toute transparence”, après une période d’attente de plus de 13 ans. Lors de […]

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« Ghalia », un cri et un hymne contre les violences faites aux femmes

25. November 2025 um 09:49

En Tunisie, où les féminicides ont encore endeuillé des familles avec 22 femmes tuées en 2025, le 25 novembre résonne comme un rappel douloureux : la violence continue de frapper, parfois derrière des portes closes, parfois à travers un écran où le cyberharcèlement étouffe les plus jeunes. En lançant « Ghalia » dans le cadre des 16 jours d’activisme, la mobilisation donne un visage, une voix et une dignité à celles qu’on a trop longtemps réduites au silence – pour dire que chaque femme mérite protection, justice et vie pleinement vécue.

La Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes est marquée ce 25 novembre par des appels renouvelés à agir face à un phénomène qui touche près d’une femme sur trois dans le monde. Cette édition met l’accent sur l’essor inquiétant des violences numériques, de plus en plus présentes dans la vie des femmes visibles dans l’espace public.

En Tunisie, cette journée coïncide également avec le lancement de la chanson « Ghalia », une création artistique intégrée à la campagne des 16 jours d’activisme et soutenue par la Délégation de l’Union européenne.

Un fléau mondial qui se transforme avec le numérique

Au niveau international, les organisations rappellent que les violences physiques, sexuelles, psychologiques et économiques restent massives, souvent invisibles et encore sous-déclarées. Cette année, l’alerte porte sur un champ en pleine expansion : les violences en ligne. Cyberharcèlement, menaces, campagnes de diffamation, utilisation détournée de l’IA, deepfakes sexistes – autant de formes nouvelles qui visent particulièrement les femmes journalistes, militantes, créatrices de contenu ou actrices politiques.

La difficulté d’encadrement juridique, l’impunité des plateformes, l’anonymat des agresseurs et la montée de discours hostiles à l’égalité contribuent à l’aggravation du phénomène. La campagne internationale Tous UNiS, lancée ce 25 novembre et prolongée jusqu’au 10 décembre, entend sensibiliser et mobiliser pendant 16 jours, jusqu’à la Journée des droits de l’Homme.

« Ghalia » : un récit musical pour briser le silence et dénoncer les violences

Dans ce contexte, la sortie de la chanson « Ghalia » vient renforcer le message de sensibilisation porté durant les 16 jours d’activisme. L’œuvre aborde notamment les violences subies par les jeunes filles, dont le cyberharcèlement, encore banalisé malgré son ampleur. En Tunisie, les chiffres restent préoccupants : 22 femmes ont été tuées en 2025 sur la base de leur genre.

Le clip met en scène une jeune héroïne qui refuse la résignation et aspire à la reconstruction. Le texte appelle à condamner les violences, à agir et à sortir du silence complice. Le projet, financé et soutenu par la Délégation de l’Union européenne en Tunisie, s’inscrit dans un engagement institutionnel en faveur de l’égalité et contre toutes les formes de violences basées sur le genre.

Interprétée par Asma Ben Ahmed, Chaïma Mahmoud et le rappeur 4LPHA, écrite et composée par Bayrem Kilani, produite par Selim Saïed et réalisée par Zied Litaiem, « Ghalia » se veut un outil culturel et social pour éveiller les consciences, toucher les plus jeunes et renforcer la mobilisation.

La Journée du 25 novembre et la sortie de « Ghalia » rappellent que la lutte contre les violences repose aussi sur l’implication des familles, des institutions éducatives, des médias et des autorités publiques.

Le message central reste le même : protection, écoute des victimes, reconnaissance des violences numériques, refus de la banalisation et action collective.

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ESENet Talent Fair 2025 : l’ESEN met l’accent sur l’IA et le business à la Manouba

Von: walid
24. November 2025 um 17:45

L’École Supérieure d’Économie Numérique (ESEN) organise le 26 novembre 2025 au Technopôle de la Manouba, la 7e édition du salon des talents « ESENet Talent Fair » sous le thème : “Synapse : IA to Business”, ont annoncé les organisateurs.

Cette édition met en lumière l’intelligence artificielle et le monde des affaires, pour créer de la valeur durable. Selon l’ESEN, l’événement vise à être un “carrefour d’idées, d’innovation et de collaboration , entre le milieu académique, les acteurs économiques et les jeunes talents “.

Cet évènement annuel vise à favoriser la rencontre entre les acteurs clés de l’économie numérique, mettre en valeur les talents et la formation interdisciplinaire des étudiants de l’ESEN, promouvoir les échanges entre le milieu académique et le secteur socio-économique et encourager la contribution active à l’écosystème digital tunisien.

Le programme prévoit une conférence autour de trois axes : la stratégie nationale et l’éthique de l’IA, les témoignages de start-up IA et un dialogue entre étudiants et experts sur les compétences de demain. Plus de trente entreprises, start-up et organisations partenaires sont attendues.

Le salon se conclura par un atelier en gestion de projets, destiné à renforcer les compétences pratiques des participants.

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Grombalia accueille le premier Festival tunisien du fruit du dragon et de la papaye

Von: walid
24. November 2025 um 17:02

La ville de Grombalia, dans le gouvernorat de Nabeul, a accueilli, dimanche, la première édition du Festival des fruits du dragon et de la papaye tunisienne.

L’évènement a connu la participation de plusieurs agriculteurs, ingénieurs agronomes, techniciens et investisseurs intéressés par la culture des fruits tropicaux, dans le cadre du soutien aux cultures alternatives.

Ce festival, organisé tout au long de la journée du dimanche, a été l’occasion de mieux faire connaître ce type de culture et d’encourager les agriculteurs à s’y initier, à travers notamment la présentation des méthodes et règles à suivre pour réussir l’investissement dans la production du fruit du dragon.

L’agriculteur Mohamed Ben Dhaou, organisateur de cet événement, a souligné, dans une déclaration accordée à la TAP, l’importance du fruit du dragon, qu’il cultive depuis plus de dix ans, comme culture alternative adaptée aux changements climatiques et à la rareté de l’eau, étant donné qu’elle est économique et nécessite peu d’irrigation.

Il a appelé les agriculteurs à mieux découvrir ses caractéristiques et ses méthodes d’entretien, ajoutant qu’il s’agit d’un secteur prometteur à même de diversifier la production agricole en Tunisie.

Il a également mis en avant la valeur commerciale de ce fruit et sa rentabilité, compte tenu de sa culture qui ne nécessite ni de grandes superficies, ni beaucoup de main-d’œuvre.

« Elle peut en effet être pratiquée sur une terrasse ou dans un jardin domestique », a-t-il ajouté. Il a précisé que de plus en plus d’agriculteurs s’orientent vers cette culture comme alternative à d’autres productions dont les coûts augmentent constamment.

On compte aujourd’hui plus de 120 producteurs de fruit du dragon répartis dans les différentes régions du pays.

Le fruit du dragon, surnommé « l’arbre d’or » dans son pays d’origine, le Mexique, avant de se répandre en Asie de l’Est puis dans les pays arabes, dont la Tunisie, se caractérise par une longue période de production s’étendant de juin à décembre chaque année.

Quant à la papaye, elle se caractérise par une production continue tout au long de l’année.

Cet événement a également comporté des animations, des séances de dégustation, une exposition-vente de plants, ainsi que la conclusion de partenariats.

Il a attiré un large public de visiteurs désireux de découvrir davantage les fruits tropicaux à haute valeur nutritive et de bénéficier de leurs nombreuses vertus pour la santé.

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Monia Ben Jemia | «Il n’y a plus de dialogue aujourd’hui en Tunisie»

24. November 2025 um 07:49

Lors des Nouvelles Rencontres d’Averroès, vendredi 21 novembre 2025, au théâtre de La Criée, à Marseille, Monia Ben Jemia, juriste et militante tunisienne emblématique, a livré un témoignage sans concession sur la situation politique et sociale de son pays.

Djamal Guettala 

Ancienne présidente de l’Association tunisienne des femmes démocrates (ATFD, 2016‑2018), dont les activités viennent d’être suspendues pour un mois par les autorités, et présidente de EuroMed Droits, l’activiste a souligné le rôle vital des réseaux de défenseurs des droits humains en Méditerranée pour contrer les dérives autoritaires et protéger les populations vulnérables.

Revenant sur l’histoire du féminisme en Tunisie, elle a rappelé que les avancées des femmes ont été le fruit de luttes acharnées et non d’un cadeau de l’État. Le mouvement, né dans les années 1970, s’est structuré autour d’associations autonomes et a trouvé un nouvel élan après la révolution de 2011, lorsque la société civile a pu peser sur le débat public et promouvoir des réformes législatives et sociales majeures. «Ces acquis sont le résultat de décennies de mobilisation et de courage, mais ils restent fragiles», a-t-elle souligné.

Fermeture totale de l’espace politique

Aujourd’hui, selon Monia Ben Jemia, le tableau est préoccupant. «Sous Ben Ali, il existait encore des moyens d’approcher certains ministres, de dialoguer et de trouver des solutions à des problèmes majeurs. Aujourd’hui, aucun dialogue n’est possible.»

Le pouvoir centralisé autour de Kaïs Saïed impose une fermeture totale de l’espace politique et institutionnel, plus sévère encore que sous le régime précédent. Pour elle, la rue reste désormais le seul espace de dialogue : manifester et se mobiliser collectivement sont les seules façons pour les citoyen·ne·s de se faire entendre.

Elle a également confié qu’elle ne peut plus retourner en Tunisie, risquant «le même sort» que d’autres militants, juristes ou défenseurs des droits humains ciblés par le régime.

À Marseille, Monia Ben Jemia a conclu sa masterclasse en dédicaçant son dernier ouvrage, ‘‘Dominer et humilier. Les violences sexistes et sexuelles en Tunisie’’ (Éditions Cérès). Un geste simple mais symbolique, qui illustre sa conviction : la lutte pour les droits et la démocratie est avant tout une question de parole, de visibilité et de courage.

La démocratie reste un combat quotidien

Son intervention rappelle, dans un contexte méditerranéen fragilisé, que défendre la démocratie reste un combat quotidien. Les mots, lorsqu’ils sont portés par l’expérience et l’engagement, deviennent une arme contre les injustices et les dérives autoritaires, et un appel à la mobilisation collective.

«La décennie que Kaïs Saïed qualifie aujourd’hui de décennie noire a été la plus belle de ma vie. Nous avons obtenu de nombreuses avancées pour les droits des femmes et la lutte contre les violences, qui ont soulevé beaucoup d’espoirs pour les femmes du monde arabe. Aujourd’hui la plupart des associations de défense des droits humains en Tunisie sont suspendues ou menacées de dissolution. Les femmes victimes de violence n’ont plus de recours, plus de secours. C’est grave !», explique l’activiste.

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Grombalia war Veranstalter des ersten tunesischen Festivals für Drachenfrucht und Papaya

Von: Redaktion
23. November 2025 um 22:53

Die Stadt Grombalia im Gouvernorat Nabeul war am Sonntag Gastgeber der ersten Ausgabe des Festivals für Drachenfrüchte und tunesische Papayas. An der Veranstaltung nahmen zahlreiche Mehr

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Grombalia lance le premier Festival tunisien des fruits du dragon et de la papaye

23. November 2025 um 21:43
Grombalia lance le premier Festival tunisien des fruits du dragon et de la papaye

La ville de Grombalia, dans le gouvernorat de Nabeul, a célébré ce dimanche la toute première édition du Festival tunisien des fruits du dragon et de la papaye, un rendez-vous inédit dédié aux cultures tropicales en plein essor. L’événement a rassemblé agriculteurs, experts agronomes, techniciens et investisseurs, tous réunis pour promouvoir ces fruits exotiques comme […]

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Décès de l’acteur Noureddine Ben Ayed

23. November 2025 um 10:42

L’acteur et comédien Noureddine Ben Ayed est décédé ce dimanche 23 novembre 2025, a annoncé son collègue Mokdad Sehili sur sa page Facebook.

Le défunt a connu son heure de gloire dans les années 1980-2000 en jouant dans plusieurs séries et feuilletons télévisés. Ses duos humoristiques avec Mongi Ouni régalaient les téléspectateurs. Il a aussi tâté du théâtre, mais il n’a pas fait la carrière qu’il souhaitait dans ce domaine.

Ses deux dernières apparitions sur le petit écran remontent à 2019 dans la série Familia Si Taïeb et en 2022 dans Ken Ya Makenech.

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Mehdi Ben Gharbia : Nouvelle condamnation et engrenage judiciaire

23. November 2025 um 09:34

L’ancien ministre et homme d’affaires Mehdi Ben Gharbia a été condamné à deux ans de prison par la sixième chambre spécialisée du Tribunal de Tunis. Le verdict tombe alors que l’intéressé fait déjà face à plusieurs peines liées à des affaires financières et demeure incarcéré dans le retentissant dossier du meurtre de Rahma Lahmar. Ce nouveau jugement confirme l’escalade judiciaire autour d’une figure politique autrefois influente.

Un verdict qui s’ajoute à une série noire

La décision marque une nouvelle étape dans l’accumulation des condamnations visant Mehdi Ben Gharbia. La juridiction pénale spécialisée a retenu contre lui des infractions douanières et bancaires impliquant des sociétés commerciales qu’il dirigeait. La peine : deux ans de prison ferme, assortis d’amendes.

Mais ce jugement n’arrive pas dans un vide judiciaire. Depuis début 2025, l’ancien ministre est rattrapé par une succession de décisions sévères. En détention depuis octobre 2021 et poursuivi dans plusieurs affaires, l’homme d’affaires et ancien ministre, avait été condamné en janvier dernier à quatre ans de prison et à une amende de cinquante mille dinars pour corruption financière et administrative au sein de deux sociétés de transport et de conseils qui lui appartiennent.

Quelques mois plus tard, en juin, la justice avait prononcé huit ans supplémentaires, répartis sur quatre dossiers distincts de corruption financière, blanchiment et fraude douanière contre l’ancien ministre des Relations avec les instances constitutionnelles, la société civile et les droits de l’homme.

Ces affaires impliquaient deux de ses entreprises et mettaient également en cause des collaborateurs considérés comme ses complices. Les décisions, successives et cumulatives, ont installé Ben Gharbia dans l’une des trajectoires judiciaires les plus lourdes enregistrées contre un ancien membre du gouvernement ces dernières années.

L’ombre persistante de l’affaire Rahma Lahmar

À ces condamnations financières s’ajoute un dossier beaucoup plus sensible : celui du meurtre de Rahma Lahmar, retrouvée morte en 2020 à Aïn Zaghouan. En mai 2025, un rebondissement inattendu avait conduit à l’incarcération officielle de Mehdi Ben Gharbia dans cette affaire, alors qu’il n’avait jamais été publiquement lié au dossier auparavant.

L’annonce avait créé la stupeur : la disparition et la mort violente de la jeune femme avaient marqué l’opinion, déclenchant une vague d’indignation nationale. L’implication judiciaire d’un ancien ministre dans une affaire criminelle aussi emblématique avait dès lors changé l’échelle politique et médiatique du cas Ben Gharbia.

Aujourd’hui, cette affaire reste ouverte, et l’enquête continue d’alimenter les spéculations sur la nature exacte de son implication.

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Tunisie : Mehdi Ben Gharbia condamné à deux ans de prison et plus de 15 millions de dinars d’amendes

22. November 2025 um 20:23
Tunisie : Mehdi Ben Gharbia condamné à deux ans de prison et plus de 15 millions de dinars d’amendes

La sixième chambre correctionnelle spécialisée dans les affaires de corruption financière auprès du Tribunal de première instance de Tunis a condamné, hier vendredi, l’ancien ministre et homme d’affaires Mehdi Ben Gharbia à deux ans de prison, assortis de amendes dépassant 15 millions de dinars. Cette décision intervient dans le cadre d’une affaire à caractère douanier […]

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