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Gestern — 20. September 2024Haupt-Feeds

Tunis accueillera bientôt un salon de l’économie verte

20. September 2024 um 12:05

Le Salon de l’Économie verte, de la Finance responsable et du Développement durable se tiendra les 24 et 25 octobre 2024, au siège de l’Utica à Tunis et réunira des experts, des entrepreneurs et des investisseurs. Il ambitionne de devenir un carrefour de réflexion et d’action pour la transition vers une économie plus durable et inclusive.

Avec la mise en place de sa Stratégie de neutralité carbone à l’horizon 2050 et ses avancées en matière d’Objectifs de Développement Durable (ODD), la Tunisie se positionne comme un acteur clé dans la région pour promouvoir l’économie verte. Le salon se veut un levier pour accélérer cette dynamique en fédérant les efforts de tous les intervenants, qu’ils soient nationaux ou internationaux.

Face aux défis mondiaux tels que le changement climatique, la rareté des ressources naturelles et les inégalités sociales, l’économie verte s’impose comme une solution incontournable. Aussi ce salon mettra-t-il en lumière l’importance de l’intégration des pratiques durables dans l’économie tunisienne à travers plusieurs thématiques essentielles, dont la finance responsable, la gouvernance environnementale, et le développement des industries propres. L’objectif est de renforcer la résilience climatique du pays tout en créant des opportunités économiques à forte valeur ajoutée.

Pau programme, des panels de discussion, des ateliers pratiques et des expositions innovantes autour de la transformation économique, de la finance durable et des perspectives de l’économie verte.

Tout en fournissant des opportunités de réseautage avec des experts locaux et internationaux, le salon veut aussi mettre en avant des initiatives pionnières dans le développement durable, aider à développer une collaboration entre le secteur public, le secteur privé et les institutions financières, et favoriser des partenariats stratégiques en vue d’une économie plus résiliente et éco-responsable.

Le salon s’adresse à un large éventail d’acteurs économiques: entrepreneurs et porteurs de projets, notamment ceux souhaitant se lancer dans des projets à fort impact environnemental ; les institutions financières (banques, fonds d’investissement, et institutions de microfinance engagées dans la promotion de la finance verte);  les ministères et agences publiques qui jouent un rôle crucial dans la mise en place de politiques favorables à l’économie verte et les bureaux d’études et experts pour soutenir les entreprises dans l’implémentation de leurs projets durables.

Communiqué.

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Tunisie : 55% de réduction des HCFCs en 2023 grâce au Protocole de Montréal

Von: walid
18. September 2024 um 09:03

La Tunisie a réalisé des progrès en matière de réduction des chlorofluorocarbures dits “HCFCs”, qui sont une sous-classe de gaz fluorés et des substances qui appauvrissent la couche d’ozone et agissent comme de puissants gaz à effet de serre, selon un communiqué de l’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI).

Le progrès salué mardi, par l’organisation à l’occasion de la Journée mondiale de l’ozone, célébrée le 16 septembre, s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Protocole de Montréal

Selon l’ONUDI, qui a qualifié de “grand pas” l’action climatique menée dans ce domaine, la Tunisie a enregistré en 2023, une consommation de 325 tonnes métriques de “HCFCs”, soit une réduction de 55% par rapport au niveau de référence, équivalente à 723 703 tonnes de CO2.

Le pays poursuit cette action de réduction de l’usage des “HCFCs” dans le cadre d’un projet qui s’étend de 2024 à 2029, mis en œuvre par l’ONUDI et le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), sous la coordination d’Unité Nationale d’Ozone de l’Agence Nationale de Protection de l’Environnement (ANPE).

D’après l’organisation onusienne, la Tunisie a également, réussi à instaurer un système national de certification pour les techniciens et sociétés opérant dans le secteur de la réfrigération en plus de la conversion de quatre entreprises, éliminant 80,46 tonnes de “HCFC-141b”, soit 58 332 tonnes équivalent CO2 et la formation de 386 techniciens sur les bonnes pratiques de manipulation des fluides frigorigènes, et 83 agents douaniers pour contrôler les importations de substances réglementées par le Protocole de Montréal.

Les “HCFCs” sont des composés chimiques couramment utilisés dans les secteurs de la mousse, de la réfrigération, l’aérosol, les solvants et la climatisation, qui détruisent la couche d’ozone protectrice et contribuent au changement climatique.

La Journée mondiale de l’ozone, célébrée chaque année le 16 septembre, marque l’importance de la couche d’ozone et de l’accord du Protocole de Montréal de 1987, qui la protège.

Depuis 1993, l’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI), soutient avec le financement du Fonds Multilatéral, plus de 100 pays dans le monde dans la mise en place de projets visant à réduire l’usage des substances nocives pour l’ozone. En 2023, les initiatives menées dans le cadre du Protocole de Montréal et de l’amendement de Kigali ont permis d’éviter l’émission de 41 millions de tonnes de dioxyde de carbone, équivalant à plus de 9,2 millions de voitures retirées de la circulation pendant un an.

“La Tunisie poursuit ses progrès avec le lancement de la phase 1 de l’amendement de Kigali, qui vise à réduire de plus de 23% l’usage des HFCs, entre 2024 et 2030”, a déclaré Lassaad Ben Hassine, représentant de l’ONUDI en Tunisie. On estime qu’une mise en œuvre réussie de l’amendement de Kigali, associée à des mesures d’efficacité énergétique, permettra d’éviter jusqu’à 10 °C de réchauffement de la planète d’ici à 2100.

Ben Hassine dont les propos sont rapportés dans le communiqué, a également souligné l’importance de la coopération avec les autres agences du Protocole de Montréal, telle que la PNUE. “Ce type de coopération est crucial pour relever les défis en Tunisie et dans le monde, et le Protocole de Montréal continue de protéger à la fois les populations et la planète. L’ONUDI est engagée à fournir des solutions concrètes”, a souligné le responsable,

Selon Gerd Müller, directeur général de l’ONUDI, cité également, dans le communiqué de l’ONUDI, “le protocole de Montréal est un exemple puissant de coopération internationale réussie face aux défis environnementaux mondiaux. L’ONUDI, l’une des agences de mise en œuvre en a aidé les industries du monde entier à subir des transformations importantes pour se conformer au protocole de Montréal. Les industries ont su s’adapter et investir dans des technologies respectueuses de l’environnement, stimulant ainsi l’innovation et la création d’emplois tout en protégeant la planète”.

L’ONUDI est l’une des quatre agences de mise en œuvre du protocole de Montréal et est à l’avant-garde de l’action climatique. L’amendement de Kigali au protocole de Montréal, qui est entré en vigueur en 2019, vise à réduire progressivement, l’utilisation des hydrofluorocarbures (HFC), un autre groupe de puissants gaz à effet de serre qui ont remplacé les CFC.

Énergie nucléaire : Un atout clé pour la lutte contre le changement climatique, selon l’AIEA

17. September 2024 um 16:37

L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a une nouvelle fois relevé ses prévisions concernant l’expansion de la capacité de production nucléaire, de plus en plus vue comme un levier de décarbonation, selon un communiqué publié lundi.

“L’élan mondial en faveur de l’énergie nucléaire se poursuit à un rythme soutenu”, a déclaré le directeur général de l’instance onusienne, Rafael Grossi, à l’ouverture de la conférence générale de l’AIEA à Vienne.

L’atome est désormais “de plus en plus reconnu comme une source d’énergie propre et sûre” aux côtés des renouvelables face au défi du changement climatique, a-t-il affirmé.

Dans le scénario le plus favorable au nucléaire, l’AIEA prévoit plus du doublement de la puissance installée, qui grimperait à 950 gigawatts en 2050 contre 371 GW fin 2023 avec 413 réacteurs en opération. Elle misait auparavant sur 890 GW.

Dans le cas le moins optimiste, l’organisation table sur 514 gigawatts…

“Nous avons 31 pays qui exploitent l’énergie nucléaire aujourd’hui, et près de 30 qui s’embarquent sur cette voie, dont trois sont à des stades avancés de construction et produiront de l’électricité dans les années venir”, a expliqué à la presse Henri Paillere, directeur des études économiques au sein de l’AIEA.

Les partisans de l’atome soulignent qu’il s’agit d’une source d’énergie très peu émettrice de CO2 et pilotable, c’est-à-dire qui peut être mobilisée en fonction des besoins, à l’inverse du vent ou du soleil. Mais en raison du coût et des risques, des pays restent résolument contre ou hésitent à franchir le pas.

OMM: la Tunisie est la plus touchée par la baisse de la production céréalière

02. September 2024 um 15:09

Selon un nouveau rapport de l’Organisation météorologique mondiale (OMM), l’Afrique supporte un fardeau de plus en plus lourd en raison du changement climatique et des coûts disproportionnés pour l’adaptation essentielle au climat.

Les pays africains perdent désormais en moyenne 2 à 5% de leur produit intérieur brut (PIB) en raison des vagues de chaleur meurtrières, des fortes pluies, des inondations, des cyclones et des sécheresses prolongées.

En Afrique subsaharienne en particulier, le coût de l’adaptation est estimé entre 30 et 50 milliards de dollars par an au cours de la prochaine décennie, soit 2 à 3% du PIB de la région.

«Au cours des 60 dernières années, l’Afrique a observé une tendance au réchauffement qui est devenue plus rapide que la moyenne mondiale. En 2023, le continent a connu des vagues de chaleur meurtrières, de fortes pluies, des inondations, des cyclones tropicaux et des sécheresses prolongées», a déclaré la secrétaire générale de l’OMM, Celeste Saulo.

En outre, le rapport indique que les extrêmes climatiques, notamment les inondations et les sécheresses, ont également eu un impact majeur sur la sécurité alimentaire.

En particulier, la production céréalière de l’Afrique du Nord en 2023 était inférieure d’environ 10% à la moyenne quinquennale estimée à 33 millions de tonnes en 2023, soit un résultat similaire à la récolte de l’année précédente, déjà frappée par la sécheresse. La Tunisie a été la plus touchée.

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