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Gestern — 20. September 2024Haupt-Feeds

Yutong, leader mondial de la fabrication d’autobus, va s’implanter en Algérie

20. September 2024 um 09:00

La marque chinoise “Yutong”, spécialisée dans la fabrication d’autobus et minibus, a annoncé son retour sur le marché algérien. Il sera officialisé lors de la cérémonie officielle de lancement prévue dimanche 22 septembre 2024.

Dans un communiqué publié jeudi 19 septembre, la société indique que cette cérémonie sera l’occasion de présenter cette marque chinoise, leader mondial dans le domaine de la fabrication de bus et minibus, et d’exposer une variété de ces bus équipés des dernières technologies qui garantissent le luxe à l’usage ainsi que des engagements liés à la préservation de l’environnement, en plus des interventions des représentants de cette marque chinoise et de ses partenaires locaux en Algérie.

Malgré l’état de stagnation dont souffre le marché algérien, compte tenu de l’absence d’approvisionnement due au fait que les quotas d’importation alloués à chaque agent agréé n’ont pas encore été divulgués, le marché local reste important aux yeux des revendeurs et agents qui souhaitent profiter de la forte demande de voitures de toutes catégories et de tous types.

Il convient de noter que la marque chinoise « Yutong » est considérée comme une entreprise active dans le domaine de la fabrication d’autobus et d’équipements lourds. L’entreprise produit environ 65 000 autobus et minibus par an. Ce qui représente environ 40 % de la production d’autobus sur le marché chinois et environ 13 % des exportations chinoises de bus et de minibus vers les marchés mondiaux.

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Tebboune : Je m’engage à offrir une vie digne aux Algériens

18. September 2024 um 21:34
Dans un discours prononcé depuis le Palais des Nations, le président Abdelmadjid Tebboune, réélu pour un second mandat, a tracé les grandes lignes de son nouveau quinquennat, mettant en avant une série de mesures censées améliorer les conditions de vie des Algériens. Parmi les promesses faites au peuple, figurent notamment une augmentation de salaires pouvant […]

Algérie : Tebboune promet l’autosuffisance en blé d’ici fin 2025

18. September 2024 um 10:31

Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a déclaré, mardi 17 septembre 2024, que son pays envisageait d’atteindre “l’autosuffisance pleine et entière en matière de production de blé dur” d’ici fin 2025. L’autosuffisance totale est désormais à portée de main, l’Algérie produisant 80 % des besoins nationaux en blé dur.

L’Algérie est considérée comme un acheteur majeur de blé européen, notamment français. Mais la présence de céréales russes s’est fortement accrue sur le marché algérien ces dernières années.

Auparavant, le président algérien avait ordonné de fixer un objectif stratégique visant à étendre les superficies cultivées dans le Grand Sud à 500 000 hectares. Notamment avec l’investissement de l’État du Qatar de 117 000 hectares, de l’Italie de 36 000 hectares, en plus des investissements nationaux de 120 000 hectares.

Il a également souligné que l’autosuffisance totale est à portée de main, le pays produisant 80 % de ses besoins en blé dur. Tout en considérant qu’il s’agit d’une tradition de production et de consommation algérienne et qu’il s’agit d’un produit de petites quantités sur le marché mondial par rapport au blé tendre.

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Kabyles de France: de l’impasse à la voie de garage   

18. September 2024 um 10:33

Toulouse. Printemps 2024. Inauguration de la rue de la Kahina. Dans la continuité de la création du square Idir lors de l’hiver 2023 dans le vingtième arrondissement de Paris, l’existence d’une conscience franco-kabyle s’est affirmée jusqu’à l’officialisation. Tandis qu’en France les deux dernières séries d’élections (européennes et législatives) ont mis en avant des personnalités politico-médiatiques aux origines maghrébines le plus souvent d’origine algérienne (la secrétaire d’État Sabrina Agresti-Roubache, la députée européenne Malika Sorel…), une prédominance kabyle apparaît nettement si on en affine la prise en compte (Karim Zéribi, Amine El Bahi, Sophia Chikirou… jusqu’à Jordan Bardella du RN!). En ce premier quart de siècle, comment pourrait-on caractériser la coexistence franco-kabyle à travers une déclinaison allochtone plus régionalisante, c’est-à-dire la communauté kabyle installée en France?

Jean-Guillaume Lozato *

Pour répondre à ce qui correspond à un délicat enjeu de réflexion, la première des missions à accomplir serait de rappeler très sommairement ce que l’on définit par «Kabyles». Pour immédiatement après analyser le relationnel avec la France. Afin de pouvoir rendre compte de la position des Kabyles en France.

Pour rappel, les Kabyles s’apparentent au socle des peuples berbères présents en Afrique du nord. Ceci bien avant l’arrivée des Arabes. Vérité historique qui les place en position d’éclaireurs du Grand Maghreb. Sur un spectre de berbérité s’étendant du Maroc jusqu’à l’Ouest de l’Égypte (oasis de Siwa). Une bande territoriale d’une largeur d’environ 2270 kilomètres.

A l’origine, cet enracinement ethno-géographique était basé sur une ère culturelle regroupant les cinq Etats actuels de la partie septentrionale du cotinent africain. De nos jours, est perceptible l’éclatement de la berbérité, avec l’édification d’isolats épars. Parmi eux, les Berbères d’Algérie. Qui ne sont ni ceux des étendues désertiques égyptiennes, ni ceux des territoires bédouins de Libye. Qui n’ont pratiquement plus aucun lien avec ceux de Tunisie, encore plus minoritaires et très largement arabisés. Qui n’ont que quelques liens génétiques sans fraternisation réelle avec ceux du Maroc.

Impérativement, tenons à l’esprit que la Kabylie se compose d’une petite et d’une grande «Kabylie». Un découpage administratif se polarisant sur les deux plus grandes villes que sont Béjaïa et Tizi-Ouzou. Deux localités singulières quand on pense que Béjaïa a inspiré le mot «bougie» dans la langue de Molière, et que Tizi-Ouzou trône comme la gardienne du massif montagneux du Djurdjura. Ce toponyme d’un relief que les Romains surnommaient «la montagne de fer» était l’entrée en matière idéale sur la scène française.

La division des indigènes

En effet, du temps de la colonisation, ainsi que l’a souligné le journaliste mais aussi chercheur Yassine Telamli (in ‘‘La genèse de la Kabylie. Aux origines de l’affirmation berbère en Algérie’’): «La formation, dès le début de l’occupation, de préjugés favorables aux Berbères, principalement les Kabyles, ne pouvait, de toute évidence, que servir le projet de division des indigènes».

Les Européens en général avaient peut-être produit un jugement hâtif, motivé par la conquête et la course à la rentabilité, plaçant les Arabes comme des rivaux prioritaires, jusqu’à reléguer les Kabyles au second plan étant donné la difficulté d’accessibilité à leurs zones de peuplement montagneuses, tortueuses et rendue dangereuses par un potentiel climat insurrectionnel.

Le territoire français est resté très longtemps paysan dans son âme, de la période médiévale avec le servage et des localités au plan redessiné en fonction des commodités (pressoir, moulin…) placées plus souvent au sud ou à l’ouest. Sans compter que tout un pays a été gouverné par la royauté jusque dans son expression absolutiste.

Avec un retrait vers les terres dû à la crainte des attaques sur les côtes, et au fait de se consacrer pleinement à un immense espace agricole et forestier. La ruralité des plaines mais aussi des montagnes a donc imprégné longtemps une mentalité française dans sa conception des choses, y compris au sein de sa population urbaine. Comme chez les Kabyles. Voilà pourquoi s’est développé l’a priori moins négatif qu’envers les Arabes.

Ajoutons à cela l’observation chez les Kabyles de certains phénotypes différents des Arabes (une présence plus visible de dolichocéphalie, des teintes de peau plus claires), ou carrément communes aux Indo-Européens (yeux clairs ou cheveux clairs, parfois la combinaison des deux, dans certains cas rares des traits du visage n’ayant rien ou pratiquement rien de méditerranéen). La porte d’entrée rêvée, mieux qu’un visa si on se réfère aux propos de Deborah née en France : «Je peux passer partout et je n’ai jamais rencontré de racisme», explique-t-elle (in : ‘‘Le Syndrome du Nord Magnétique’’), en raison de ses yeux bleus. Un raisonnement qui fait écho à celui exposé par Elizabeth Nelson dans ‘‘Métropolitiques’’ (article intitulé «Les Algériens en région parisienne : entre espaces d’inclusion et d’exclusion»): «Pour eux, vivre dans le centre de Paris pourrait donc être plus facile. En tout cas, certains des enquêtés s’identifiant comme berbères ont mentionné leur capacité à ‘‘s’intégrer’’ grâce à leur peau claire, leurs yeux clairs et leurs cheveux blonds. Par exemple, Soumia une fille d’immigrés berbères de 20 ans, a déclaré : ‘‘Je leur ressemble, donc c’est plus facile pour moi [de m’intégrer]’’.»

La diaspora kabyle en France fait entendre sa différence.

L’expression répétée de toutes ces différences par rapport au reste des Algériens, des émeutes se sont produites «presque» naturellement après l’Indépendance au travers du Printemps Berbère. Avec des sursauts ressentis jusqu’en France. Le dernier en date a été la manifestation organisée par le Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK) place de la Nation, à Paris.

La communauté berbère la plus conséquente d’Algérie s’est effectivement fait remarquer à plusieurs reprises.

Favorablement, vis-à-vis des autorités autochtones ancestrales. C’est-à-dire dans des perspectives strictement locales, tout au plus régionales. Avec un basculement d’ordre plus national de par l’image de la résistance des combattants kabyles face aux oppresseurs ottomans, arabes ou européens. Le territoire a toujours été défendu, de l’époque de la reine Kahina jusqu’à l’insurrection des Mokrani aux temps de la colonisation française.

Défavorablement, peu après le joug colonial. La faute à quelques incompréhensions entre la population de cette portion de l’est algérien et le pouvoir central conditionné par un Houari Boumediene ayant scandé «Nous sommes Arabes, Arabes, Arabes !». Le gouvernement eut par la suite à affronter les émeutes de 1988 s’ouvrant sur la fameuse décennie noire où extrémistes islamistes et militaires se rejetèrent la responsabilité de bien des séries d’exactions. Une des conséquences en a été le déplacement de la tribune d’expression des revendications kabyles vers l’espace francophone géographiquement (Canada, Belgique et surtout France), culturellement, médiatiquement.

Un sentiment d’exil

Indéniablement, la Kabylie fait partie du patrimoine historique indépendantiste national. Mais le régionalisme semble avoir emprunté un horizon plus enclin au sécessionnisme. Avec l’expatriation, un sentiment d’exil s’est accru au fil des décennies, dont la genèse a été la fin du XIXe siècle. Aux quatre coins de l’Hexagone, une implantation solide a perduré. Nous sommes donc en présence d’un mouvement migratoire de longue date d’un groupe ethnique que l’on peut très logiquement qualifier de fortement enraciné. Ce flux ininterrompu a été le bâtisseur actif de l’itinéraire devenu traditionnel entre la France et l’Algérie. Puis l’anticipateur d’une scission arabo-berbère à l’algérienne. Jusqu’au creusement d’une brèche élargissant le fossé d’avec la population arabophone. Au point de creuser le tombeau des relations entre Algériens Kabyles et non Kabyles?

Il semblerait que les choses empruntent cette voie. Au Canada, les Kabyles qui résident au Québec disposent d’un certain droit à la visibilité audiovisuelle. Alors concernant leurs coreligionnaires de France, la représentativité est encore plus poussée grâce à la francophonie servant des organes médiatiques comme Berbère TV ou Beur FM.

Les Kabyles de France bénéficient d’une image travaillée par la diaspora, à savoir toute une stratégie de différenciation accentuée. Le Kabyle en France, c’est l’Algérien installé tellement tôt qu’il fait partie du décor depuis les premières décennies du XXe siècle (entre 1914 et 1918, on en dénombrait déjà 80 000). Le Kabyle en France, c’est celui dont la présence et la force de travail sont associées à la réglementation dite «Licence IV» pour encadrer un débit de boissons. A la différence de l’épicier renvoyant à l’expression «aller faire des courses chez l’Arabe du coin». Tout une symbolique. Une position qui a eu pour effet de diviser pour mieux régner au profit du colonisateur de l’époque. Une séparation qui a suggéré un séparatisme, entre autres à partir de l’alcool, substance déjà instrumentalisée par le passé aux dépens des Eskimos ou des Indiens d’Amérique. Une notion faisant penser aux analyses de Nessim Znaien dans ‘‘Les raisins de la domination’’ où l’auteur tunisien s’était penché sur la question de l’histoire sociale de l’alcool dans sa patrie. Pour les Kabyles, pourrait-on parler de raisins de l’assimilation?

Entre soubresauts et soulèvements, ce n’est pas la première fois que l’Algérie Berbère se voit animée par une secousse tellurique partant de la contestation pour arriver à la contestation.

Les Kabyles de France affichent leur particularisme culturel.

Concentrons-nous sur notre époque «post-moderne». En Algérie, bien que l’assassinat du chanteur engagé Matoub Lounes eût plongé le pays dans l’émoi en juin 1998, la solidarité interrégionale semble reléguée dans l’armoire à souvenirs. En France, le sentiment communautaire algérien paraît ne se manifester qu’en cas de match de foot international.

Il est évident que cette problématique, mettant en cause l’Algérie nationale et transnationale par le biais de la régionalisation, tombe très mal en ce moment. S’ajoutant à d’autres préoccupations pour son gouvernement déjà confronté à un taux de chômage des jeunes très élevé, à la corruption, à la gestion sécuritaire de son immensité territoriale (2 381 741 km² ), à la gestion d’une économie défaillante dont la perte de vitesse de 1986 n’a jamais été réellement compensée. En plus de ses retards structurels, la vie économique voit son activité contrariée par la croissance des inégalités et le possible réveil du «Hirak» ou de quelque autre forme de contestation populaire.

Accentuation des contrastes interethniques

La réponse à cette problématique peut tout à fait se matérialiser par l’affirmative. La récente requête menée par le chanteur Fehrat Mehenni, au nom du MAK, a été enregistrée officiellement par l’Onu. Avec comme date butoir 2025 pour officialiser l’Indépendance de la Kabylie. Un glissement d’un régionalisme à grande échelle vers l’international.

Très active au Canada ainsi qu’en Belgique, la diaspora l’est encore davantage en France (notamment au travers d’associations comme Kabyles de France et AFKIF, AKFSO, AJKF…). Le militantisme pro-Kabylie y est tellement représenté qu’il pourrait fausser un débat et biaiser les intérêts réels aussi bien nationaux, régionaux, que municipaux en Algérie.

Les préoccupations d’un Algérien Berbère installé en France peuvent nettement différer de celles d’un autre qui réside dans son pays d’origine. Ou même là commencent à se différencier les Kabyles des villes et ceux des campagnes, les Kabyles de Kabylie de ceux établis dans les quartiers algérois de Bab El-Oued, Tilimly ou Tikseraïne.

Par conséquent, pendant cette durée d’un an à compter du printemps 2024, les activistes indépendantistes attendent avec impatience l’issue d’une demande déposée dans une dimension internationale. Avec une possible accentuation des contrastes interethniques vus d’Algérie. Mais surtout vu de France dans un premier temps, sur un territoire où l’instrumentalisation du vote maghrébin est une réalité récurrente.

Chez les expatriés, les sentiments balancent de l’espoir vers l’illusion d’un individu à un autre. «De quoi vont vivre les gens de ma région là-bas? De la vente d’huile d’olive ?», ironise Khaled, Kabyle installé sur Paris. «Avec notre indépendance, c’est un moyen de faire enfin comprendre aux gens du monde entier que nous sommes différents des Arabes», espère un cafetier très sympathique mais conservant l’anonymat. Son fournisseur, algérien moitié arabe moitié kabyle, y va plus prudemment en prophétisant presque : «Le destin réunira les deux groupes à nouveau s’il y a conflit au sujet de l’autodétermination».

Le danger vient justement de la dichotomie. En persistant à se différencier des Arabes sur tous les points, y compris sur le plan de la pratique religieuse, voire carrément de l’obédience (les conversions au christianisme surtout protestant ou l’adhésion à l’athéisme, les répercussions sont multiples, croisées : dans le passé, si l’on prend en note le compte-rendu émis par le Commandant Lesourd, lors de son discours dans le cadre du CHEAM, le 17 décembre 1956, qui y a démontré que «la langue française a, à ce point, pénétré l’esprit kabyle, que certains en arrivent à écrire le nom de leurs morts en caractères français sur les pierres tombales».

Dans le présent : une scission est apparue cette deuxième décennie de notre siècle entre les Arabophones et les Berbérophones de France. D’abord à travers le fait religieux. Il n’y a qu’à remarquer que les associations communautaires (culturelles ou caritatives) arabophones sont bien plus souvent liées à des mosquées. Alors qu’en revanche leurs homologues berbérophones sont quasi systématiquement laïques.

Après cette vision collective des choses, passons à un niveau d’observation plus familial. Apparaissent alors les hésitations, les maladresses et les problèmes d’intégration. Voire d’affirmation ou d’acceptation de soi-même.

Prenons l’exemple de Taos, mère de famille kabyle de la banlieue parisienne, qui décrit ainsi (dans ‘‘Le Syndrome du Nord magnétique’’) ses interrogations et déceptions : «J’ai été mal conseillée au départ. Par des copines de la même région que moi, très peu cultivées, dont deux analphabètes qui m’ont encouragée à oublier et à penser totalement comme les Français(e)s. Le problème, c’est que ni elle ni moi on savait exactement ce que ça voulait dire penser ou vivre à la française.[…] J’ai cru bien faire aussi en cuisinant du porc. J’ai cru bien faire en éloignant mes enfants et mon mari des Algériens, qu’ils soient arabes ou kabyles. Résultat: mes enfants m’ont déçue et se moquent de moi […] J’ai fabriqué des personnes très égoïstes et matérialistes avant tout. Et maintenant je paye tout ça avec mon mari qui m’accuse tous les jours de l’avoir coupé de sa famille et de ses copains».

De prochaines grandes crispations

Cette oppression causée par une course vers l’effacement en guise d’assimilation prend des allures de précipitation vers la reconnaissance. Un concours macabre aux contours imprécis, dictés plus par la subjectivité conformiste que par l’intellect. Avec des aberrations que relève Katia, avenante commerçante spécialisée dans la vente de pâtisseries algériennes, en disant : «Chez nous, on commence à voir des enfants s’appeler Dylan, il y a vraiment des bizarreries. Où ça va nous mener tout ça?»

Dans un futur proche : l’approche de l’échéance quant aux réclamations formulées par le MAK agit comme un compte à rebours de prochaines grandes crispations dans la société algérienne. En Afrique du Nord, l’hostilité qui n’était plus que circonstanciée pourrait reprendre de l’ampleur. En Europe, on serait à même d’imaginer un scénario où les membres des communautés maghrébines s’affronteraient, y compris avec des luttes intestines entre Kabyles engagés et Kabyles modérés, Kabyles conservateurs et Kabyles modernes ou pas croyants. L’altercation d’il y a quelques mois, mettant au prises Malika Matoub (sœur du défunt chanteur) avec des gens de sa wilaya suite à son intention de rencontrer l’actuel président algérien en exercice, ne présage rien de bon.

Avec les résultats électoraux conjoints des européennes et des législatives en France, les citoyens étrangers et français d’origine étrangère sont en train de s’interroger. La polarisation extrême gauche/extrême droite aura-t-elle vocation à un ordre nouveau ou à un désordre nouveau? L’introduction d’une telle problématique allochtone s’y insèrerait dans quel sens dans les mois à venir ?

En dehors du facteur ethnique, le fait religieux tend de façon accélérée à modeler les esprits. Jusqu’aux attitudes. Y compris à travers l’incompréhension comme on a pu le constater avec les polémiques nées à la suite de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris. Or, les ressortissants originaires de Tizi-Ouzou, Béjaïa, Aokas, Asfoun, Azazga ou encore Tigzirt ne sont pas décrits comme les croyants les plus fervents par les autres Nord-africains.

La communauté kabyle, ancestralement liée à l’Algérie, est extrêmement présente en France. Particulièrement en Région Parisienne et sur Marseille. Un étirement géographique qui a en fait tendance à instaurer un itinéraire balisé d’une façon disharmonieuse. Ainsi, une forme de séparatisme apparaît davantage en Île-de-France que dans la deuxième ville du pays où les algériens locuteurs arabophones et berbérophones se «mélangent» plus facilement. Si problème il y aura, cela partira vraisemblablement de l’espace francilien. Avant de se propager jusqu’à l’Algérie. Conséquemment, la Kabylie se trouverait en situation de contorsionniste sur le plan diplomatique, se voyant reprocher l’apparition de complications par les opinions publiques et composantes politiciennes d’Algérie et de France.

En cas d’obtention ou non de l’indépendance, qui correspond à une requête prématurée au vu de l’impréparation de bien des observateurs. Sans oublier que la Kabylie, c’est l’Algérie sans les hydrocarbures. Il eût été plus judicieux de se projeter, pour une telle prospective autonomiste, au moins une trentaine d’année plus tard. Le temps de célébrer le centenaire de l’Algérie indépendante. Le temps de ne pas miser uniquement sur l’oléiculture et l’exploitation des cultures maraîchères. Le temps d’assimiler les paradigmes de l’économie éco-responsable qui pourrait cadrer avec la configuration géographique kabyle. Le temps de réadapter un système de pensée jusque-là reposant essentiellement sur des comités villageois. Le temps de reconsidérer le positionnement par rapport à  la France et par rapport à l’International (le soutien d’Israël étant mal perçu…). Le temps de réaliser que l’Algérie ne pourra pas se passer de la Kabylie et vice versa?

«Une erreur scientifique peut tuer des personnes, mais une erreur culturelle peut tuer des générations», notait à juste titre Mouloud Mammeri, écrivain algérien natif de Tizi-Ouzou.

* Universitaire et écrivain franco-italien.

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Algérie : Impératif d’une numérisation à plus grande échelle

18. September 2024 um 09:57
L’État algérien cherche des incitations pour développer les paiements électroniques et l’utilisation généralisée des services bancaires numériques, et s’efforce d’accélérer la numérisation des transactions commerciales et de parvenir à une plus grande inclusion financière.Les analystes ont souligné les efforts des autorités financières algériennes pour intégrer la numérisation bancaire et les paiements électroniques comme l’un des […]

Algérie : Augmentation de 57% des transactions e-paiement au 1er semestre

17. September 2024 um 17:28

Selon l’Agence APS, le montant des paiements électroniques en Algérie a augmenté de 57% durant le premier semestre 2024. En effet, il a atteint près de 60 milliards de dinars, un chiffre qui confirme la tendance des consommateurs algériens à réduire l’utilisation de l’argent cash.

D’après le dernier rapport du Groupement d’Intérêt Économique de la Monétique (GIE Monétique), le montant total des paiements électroniques (effectués via les terminaux de paiement électroniques, internet ou téléphone mobile) a atteint 59,993 milliards de dinars entre janvier et juin 2024. Il s’agit d’une augmentation de 57,41% par rapport aux 38,113 milliards de dinars enregistrés durant la même période en 2023.

D’après la même source, le nombre total de transactions a dépassé les 43,9 millions depuis le lancement des paiement en ligne en 2016. 

Le paiement mobile est officiellement disponible en Algérie depuis 2022. Ce service a été initialement introduit en interne au sein des banques, particulièrement à la Banque Nationale d’Algérie (BNA), Al Salam Bank Algeria sans oublier l’Algérie Poste.

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Algérie:Tebboune prête serment au Palais des nations

17. September 2024 um 12:56

Le président algérien Abdelmadjid Tebboune, ”président de la République, prête serment au Palais des nations en présence de toutes les hautes instances de la Nation, conformément aux dispositions de l’article
89 de la Constitution, suite à sa réélection pour un second manda présidentiel à l’élection du 7 septembre 2024, indique mardi un communiqué de la Présidence de la République Algérienne

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Sonelgaz exporte des équipements électriques vers l’Irak

17. September 2024 um 11:02
Le groupe « Sonelgaz » a annoncé, samedi dans un communiqué, avoir procédé à l’exportation d’équipements électriques importants vers l’Irak, soulignant avoir réussi à relancer des partenariats commerciaux importants sur les plans local et international. La cérémonie de l’opération d’exportation est prévue, samedi au niveau de l’usine de la société General Electric Algeria Turbines « GEAT » à Batna, […]

El Mordjene : l’Interdiction de la pâte à tartiner algérienne sur le marché ruropéen

15. September 2024 um 18:10
El Mordjene : l’Interdiction de la pâte à tartiner algérienne sur le marché ruropéen

La pâte à tartiner algérienne El Mordjene, qui avait récemment conquis le marché français avec son goût rappelant celui du Kinder Bueno, est désormais interdite d’importation en Europe. La décision, annoncée par le média algérien TSA le vendredi 13 septembre, intervient alors que le produit était en rupture de stock dans de nombreux magasins en […]

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Présidentielle en Algérie : La Cour constitutionnelle valide la réélection de Tebboune

Von: hechmi
14. September 2024 um 19:57

TebbouneLa Cour constitutionnelle a proclamé, samedi, M. Abdelmadjid Tebboune, président de la République algérienne démocratique et populaire pour un second mandat, suite à sa victoire à la Présidentielle du 7 septembre 2024 avec 84,30% des suffrages exprimés.

Il est mentionné dans la proclamation des résultats définitifs de l’élection du président de la République, par le président du Conseil constitutionnel, M. Omar Belhadj, qu’en vertu de la décision numéro 7 de la Cour constitutionnelle du 12 septembre 2024 concernant le recours contre les résultats provisoires introduit par le représentant du candidat Hassani Cherif Abdelaali pour le Mouvement de la société pour la paix (MSP) et en vertu de la décision numéro 8 de la Cour constitutionnelle du 12 septembre 2024 concernant le recours contre les résultats provisoires introduit par le représentant du candidat Aouchiche Youcef pour le Front des forces socialistes (FFS), et après avoir écouté les membres rapporteurs, examiné différents documents électoraux, y compris les bulletins nuls et les procurations, et rectifié les erreurs matérielles, la Cour constitutionnelle est parvenue aux résultats définitifs suivants :

  • Nombre total d’électeurs inscrits à l’intérieur du pays et à l’étranger : 24.351.551
  • Nombre total d’électeurs votants : 11.226.065
  • Taux global de participation : 46,10%
  • Bulletins nuls : 1.764.637
  • Suffrages exprimés : 9.461.428
  • Majorité absolue : 4.730.715

Suffrages obtenus par chaque candidat par ordre décroissant :

  • M. Tebboune Abdelmadjid a recueilli 7.976.291 voix, soit 84,30%
  • M. Hassani Cherif Abdelaali a recueilli 904.642 voix, soit 9,56%
  • M. Aouchiche Youcef a recueilli 580.495 voix, soit 6,14%.

Considérant qu’en vertu de l’article 85 (alinéa 2) de la Constitution, l’élection est acquise à la majorité absolue des suffrages exprimés des électeurs et considérant que le candidat Tebboune Abdelmadjid a obtenu la majorité absolue des suffrages exprimés des électeurs, la Cour constitutionnelle proclame M. Tebboune Abdelmadjid président de la République algérienne démocratique et populaire pour un second mandat. Il entre en fonction aussitôt après sa prestation de serment, conformément à l’article 89 de la Constitution.

La présente proclamation est publiée au Journal officiel de la République algérienne démocratique et populaire. (Source : APS)

 

Algérie : une famille entière de 5 membres calcinée dans un incendie

14. September 2024 um 20:29
Algérie : une famille entière de 5 membres calcinée dans un incendie

En Algérie, un incendie tragique a coûté la vie à cinq membres d’une même famille dans leur domicile à Oran, ce samedi 14 septembre 2024. Parmi les victimes, on compte le père, la mère, leurs deux filles et leur fils, tous retrouvés totalement calcinés. Les services de la protection civile ont indiqué avoir rencontré des […]

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Tunisie : Légère baisse de la production totale d’électricité

Von: walid
14. September 2024 um 16:41

La production totale d’électricité a enregistré, à fin juillet 2024, une baisse de 1% pour se situer à 11127 GWh (y compris autoproduction renouvelable) contre 11214 GWh à fin juillet 2023, selon le rapport sur la conjoncture énergétique pour juillet 2024 publié par l’observatoire national de l’Energie et des mines. La production destinée au marché local a enregistré une légère hausse de 1%. Ainsi les achats d’électricité de l’Algerie et de la Libye ont couvert 14% des besoins du marché local à fin juillet 2024.

La STEG conserve toujours la part du lion dans la production électrique avec 96% de la production nationale à fin juillet 2024.

L’électricité produite à partir de gaz naturel (STEG + IPP) a enregistré une baisse de 2%. La production d’éléctricité à partir des énergies renouvelables s’est située à 5.3%.

Par ailleurs, 260 MW de toitures photovoltaiques ont été installées dans le secteur residentiel et 314 autorisations ont été octroyées pour une puissance totale de 112MW dans les secteurs industriel, tertiaire et agrigulture.

La pointe a enregistré une baisse de 6% pour se situer à 4550 MW à fin juillet 2024 contre 4825 MW à fin juillet 2023.

Les ventes d’électricité ont enregistré une diminution de 1% entre fin juillet 2023 et fin juillet 2024.

Les ventes des clients de la haute tension ont enregistré une diminution de 13%, celles des clients de la moyenne tension ont enregistré, par contre, une légère hausse de 0.7%.

A noter que pour les ventes, basse tension destinées majoritairement au secteur résidentiel (près de 75% en moyenne), les statistiques basées sur la facturation bimestrielle, dont près de la moitié est estimée, ne permettent pas d’avoir une idée exacte sur la consommation réelle.

Les industriels restent les plus grands consommateurs d’électricité avec 59% de la totalité de la demande des clients HT&MT à fin juillet 2024. La majorité des secteurs ont enregistré une baisse des ventes principalement l’industrie du papier et de l’edition (-14%), les industries IMCCV (-11%), les industries metallurgiques de base (-9%) et l’industrie alimentaire et de Tabac (-6%) contre une hausse des ventes des industries chimiques et du pétrole (+5%) et les industries extractives (+6%).

“El Mordjene” : la pâte à tartiner algérienne qui dépasse Nutella et conquiert le monde

12. September 2024 um 21:41
“El Mordjene” : la pâte à tartiner algérienne qui dépasse Nutella et conquiert le monde

“El Mordjene”, la pâte à tartiner algérienne au chocolat et à la noisette, connaît un succès mondial retentissant, surpassant même des marques emblématiques comme Nutella dans le cœur des consommateurs. Ce phénomène a explosé à l’été 2024 grâce aux vidéos virales sur TikTok, où des influenceurs de divers pays ont partagé leur expérience gustative, louant […]

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Algérie : 6 victimes carbonisées dans un violent accident de la route

12. September 2024 um 16:45
Algérie : 6 victimes carbonisées dans un violent accident de la route

Un tragique accident de la route a coûté la vie à six personnes ce jeudi dans la wilaya de Touggourt, au sud de l’Algérie. Selon un premier bilan, l’accident s’est produit suite à une collision entre un bus de transport de passagers et une voiture de tourisme. Le véhicule s’est enflammé, et les victimes ont […]

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2023 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée au Maroc

12. September 2024 um 13:15

Comme pour le reste des pays d’Afrique du nord, 2023 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée au Maroc, indique une étude de l’Organisation météorologique mondiale (OMM). Les températures élevées et la sécheresse extrême ont mis à genoux l’agriculture et les ressources en eau.

Les mois de juillet et août 2023 ont par exemple été particulièrement chauds pour la ville d’Agadir, qui surplombe l’Atlantique et qui a enregistré un record inédit de 50,4 degrés centigrades.

Le rapport de l’OMM détaille les graves impacts climatiques en Afrique du Nord. Le Maroc, ainsi que l’Algérie et la Tunisie voisines, ont été au centre d’anomalies de température parmi les plus importantes dans la région, combinées à des niveaux de précipitations annuelles bien inférieurs à la normale.

Dans certaines régions du Maroc, le déficit pluviométrique a dépassé 150 millimètres, exacerbant encore la pression sur les systèmes d’approvisionnement en eau. Le deuxième plus grand barrage du pays, Al-Massira, a diminué à 6% de sa capacité, contre 99% en 2013.

Les précipitations de la saison 2022-2023 ont été inférieures de 28% à la moyenne, marquant la quatrième année consécutive de sécheresse, qui a eu des répercussions dévastatrices sur le secteur agricole.

La production céréalière, par exemple, en a subi les contrecoups, chutant de 30% en dessous des niveaux moyens habituels. Et il y a des retombées économiques qui, selon les experts de l’OMM, pourraient coûter aux pays africains entre 2 et 5% de leur produit intérieur brut annuel. Sans mesures immédiates, jusqu’à 118 millions d’Africains pourraient être vulnérables aux conditions météorologiques extrêmes d’ici 2030.

I. B.

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L’unité de l’Algérie se chante aussi en kabyle  (Vidéo)

12. September 2024 um 09:30

«Pour une Algérie unie et indivisible», tel est le titre d’un clip patriotique qui tourne en boucle sur les réseaux sociaux, le but étant de rappeler que les Kabyles sont des Algériens à part entière et que les revendications séparatistes de ces derniers remontent à la colonisation française qui a cherché à diviser pour régner.

Le clip montre deux chanteurs, un homme et une femme, tous deux kabyles, qui chantent les vertus patriotiques dans un langage où se mêlent l’arabe et le kabyle pour souligner l’unité d’une Algérie qui a su combattre la colonisation et verser le sang de ses enfants, tous ses enfants, sans distinction ethnique, religieuse ou autre, pour acquérir son indépendance.

Ce rappel, en cette année 2024, 62 ans après l’indépendance du pays, peut étonner plus d’un non-Algérien, mais quand on sait la sensibilité de la question kabyle, sur laquelle la colonisation française avait beaucoup joué pour imposer sa domination sur le pays pendant près d’un siècle et demi, on comprend l’importance que met le pouvoir actuel à Alger sur l’«algérianité» de cette minorité très attachée à sa culture, à sa langue et à sa spécificité au sein d’une si jeune nation.

I. B.            

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Algérie : Le projet Fiat prend forme et crée des emplois

Von: hechmi
11. September 2024 um 20:07

Lors d’une rencontre tenue mardi à Alger, le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun, a fait le point avec le PDG de Stellantis Algérie sur l’avancée du projet de construction d’une usine Fiat en Algérie. Cette visite a permis d’évaluer l’état d’avancement des travaux et de discuter des prochaines étapes de ce projet d’envergure.

Les deux parties ont évoqué les progrès réalisés dans la construction des unités de soudure, d’emboutissage et de peinture, des étapes clés dans la fabrication de véhicules. Par ailleurs, des accords ont été signés avec des fournisseurs et sous-traitants locaux afin de renforcer l’intégration industrielle et de créer de la valeur ajoutée en Algérie.

Un accent particulier a été mis sur la création d’emplois et la formation de la main-d’œuvre. Le PDG de Stellantis Algérie a souligné que plus de 1000 personnes travaillent déjà sur le site de production, bénéficiant d’une formation de qualité conforme aux normes internationales.

Le ministre Aoun a réaffirmé le soutien du gouvernement à ce projet stratégique, soulignant l’importance de renforcer les capacités de production de l’usine pour répondre aux besoins du marché algérien. Il s’est engagé à accompagner Stellantis Algérie dans toutes les démarches nécessaires à la réussite de ce projet. (Source : D’après APS)

 

Tunisie-Algérie : Kaïs Saïed félicite Abdelmajid Tebboune pour sa réélection

Von: La Presse
09. September 2024 um 12:04

 

Le Président de la République, Kaïs Saïed, a adressé hier ses félicitations, par téléphone, à son homologue algérien, Abdelmadjid Tebboune, pour sa réélection à la présidence de la République algérienne démocratique et populaire.

Dans cet entretien téléphonique, le Chef de l’Etat a exprimé au président Tebboune ses vœux  de «plus de succès et de réussite», soulignant «les liens fraternels distingués entre la Tunisie et l’Algérie et la ferme détermination à les développer davantage et à aller de l’avant, ensemble, pour poursuivre l’édification d’un avenir commun», indique la présidence de la République, dans un communiqué.

L’Autorité nationale électorale indépendante des élections (Anie) en Algérie a annoncé, hier, la réélection d’Abdelmadjid Tebboune avec 94,65% des voix des électeurs lors de l’élection présidentielle qui s’est déroulée samedi. Trois candidats ont été en lice pour cette échéance électorale: le président sortant Abdelmadjid Tebboune en tant que candidat indépendant, Youcef Aouchiche, secrétaire général du Front des forces socialistes, et Abdelali Hassani Cherif, président du Mouvement de la société pour la paix.

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Tunisie-Algérie : La Sonelgaz fournit 1.000 mégawatts d’électricité à la Steg

Von: La Presse
09. September 2024 um 11:40

 

La Société tunisienne de l’électricité et du gaz (Steg) et son homologue algérienne (Sonelgaz) ont annoncé, dans un communiqué conjoint, que cette dernière a exporté 1.000 mégawatts d’énergie électrique vers la Tunisie, samedi 7 septembre 2024, à la suite d’une panne survenue au niveau d’une centrale électrique d’une capacité de 400 mégawatts de la Steg.

Cette intervention qui s’est faite en un temps record a permis d’assurer la continuité de l’approvisionnement de la Tunisie en électricité et de garantir l’équilibre du système national des transports.

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