Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

Elmed | La BEI octroie 12 M€ d’assistance technique à la Tunisie

04. Oktober 2025 um 10:20

L’Union européenne (UE) et la Banque européenne d’investissement (BEI) soutiennent la Société tunisienne d’électricité et de gaz (Steg) par une contribution d’assistance technique d’un montant de 12 millions d’euros (41 millions de dinars).

L’accord de subvention a été signé à Tunis, jeudi 2 octobre 2025, en présence de Dubravka Suica, Commissaire européenne chargée de la Méditerranée, et Ulrich H. Brunnhuber, chef de la division Mena de la BEI, a indiqué l’Union européenne en Tunisie dans un communiqué, soulignant que ce financement soutient le projet Elmed, première interconnexion électrique entre la Tunisie et l’Italie.

Le projet Elmed prévoit une connexion par câble sous-marin de 224 km qui assurera une meilleure intégration des énergies renouvelables, une plus grande sécurité énergétique pour la Tunisie et l’Europe, et une réduction des émissions de CO2. D’un coût total de 921 millions d’euros (3,149 milliards de dinars), Elmed rapproche les marchés de l’électricité des deux rives de la Méditerranée et fait de la Tunisie un acteur clé de la transition énergétique régionale.

L’article Elmed | La BEI octroie 12 M€ d’assistance technique à la Tunisie est apparu en premier sur Kapitalis.

STEG-BEI : une convention majeure pour booster le projet ELMED

03. Oktober 2025 um 08:01

Un accord de don financé par l’Union européenne, d’une valeur de 12 millions d’euros (environ 41 millions de dinars), a été signé jeudi 2 octobre entre la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) et la Banque européenne d’investissement (BEI).

Cet appui technique s’inscrit dans le cadre de la réalisation du projet d’interconnexion électrique entre la Tunisie et l’Italie (ELMED), dont le coût global est estimé à environ 1 milliard d’euros, selon la STEG. Ce projet vise à établir une interconnexion directe entre les réseaux électriques tunisien et italien, à renforcer le réseau national de l’électricité, à encourager l’investissement dans les énergies renouvelables et à contribuer à la sécurité énergétique.

L’accord a été signé par le PDG de la STEG, Faycel Trifa, le chef de division de la BEI pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, Ulrich Brunnhube. Et ce, en présence de l’ambassadeur de l’Union européenne en Tunisie, Giuseppe Perrone, de la commissaire européenne pour la Méditerranée, Dubravka Suica, du directeur du bureau de la BEI, Jean-Luc Revereault, ainsi que de représentants de la délégation de l’UE à Tunis, du bureau de la BEI, du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Energie et de la STEG.

Avec TAP

L’article STEG-BEI : une convention majeure pour booster le projet ELMED est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

ELMED : Signature d’un accord entre la STEG et la BEI pour le projet de raccordement électrique Tunisie-Italie

02. Oktober 2025 um 18:29

Une cérémonie officielle s’est tenue ce jeudi 2 octobre pour la signature d’une convention de don de 12 millions d’euros (environ 41 millions de dinars) entre la Société Tunisienne de l’Électricité et du Gaz (STEG) et la Banque Européenne d’Investissement (BEI). Cette aide, financée par l’Union européenne, vise à apporter un appui technique à la STEG dans le cadre du projet ELMED de raccordement électrique entre la Tunisie et l’Italie.

L’événement s’est déroulé en présence de la commissaire européenne chargée du voisinage et de l’élargissement, Dubravka Šuica, et a réuni plusieurs responsables et représentants des parties prenantes.

L’accord a été signé par le président-directeur général de la STEG, Fayçal Trifa, et le chef de division pour la région MENA à la BEI, Ulrich Brunnhuber. Étaient également présents : Giuseppe Perrone, ambassadeur de l’Union européenne en Tunisie, Jean-Luc Revereault, directeur du bureau de la BEI à Tunis, ainsi que des représentants de la délégation de l’UE, de la BEI, du ministère de l’Énergie et de la STEG.

Le projet ELMED a pour objectif de créer une interconnexion directe entre les réseaux électriques tunisien et italien. Il ambitionne de renforcer le réseau national, de promouvoir les investissements dans les énergies renouvelables et de contribuer à la sécurité énergétique du pays.

La coût total estimé du projet s’élève à environ 1 milliard d’euros.

Lire aussi : 460 millions d’euros : La Tunisie, ce pont d’énergie que l’Europe attendait pour sécuriser son avenir

L’article ELMED : Signature d’un accord entre la STEG et la BEI pour le projet de raccordement électrique Tunisie-Italie est apparu en premier sur webdo.

600-Megawatt-Verbindung “Elmed”: Prysmian-Gruppe gewinnt Ausschreibung

Von: Redaktion
29. September 2025 um 13:40

Die Prysmian-Gruppe hat am Freitag, 26. September 2025, bekannt gegeben, dass sie die Ausschreibung von Terna S.p.A., dem Betreiber des italienischen Stromübertragungsnetzes, und Steg für Mehr

Der Beitrag 600-Megawatt-Verbindung “Elmed”: Prysmian-Gruppe gewinnt Ausschreibung erschien zuerst auf Tunesienexplorer.de.

Prysmian remporte le contrat du câble électrique sous-marin Italie-Tunisie

27. September 2025 um 13:13

Le groupe italien Prysmian a annoncé vendredi 26 septembre 2025 avoir remporté un important contrat pour la construction d’un câble électrique sous-marin entre l’Italie et la Tunisie, dans le cadre du projet Elmed.

Attribué à la suite d’un appel d’offres lancé par l’opérateur italien Terna et la société tunisienne Steg, ce contrat pourrait s’élever à environ 460 millions d’euros, sous réserve de certaines conditions. L’infrastructure reliera le poste de Partanna, en Sicile, au poste de Mlaabi, sur la péninsule tunisienne du Cap Bon.

Cette interconnexion énergétique vise à renforcer la coopération entre l’Europe et l’Afrique du Nord dans le domaine de l’électricité et à soutenir les efforts conjoints de transition énergétique.

«L’interconnexion bénéficiera aux deux pays et soutiendra la transition mondiale vers une énergie plus propre», a déclaré Raul Gil, vice-président exécutif de la division Transmission de Prysmian.

Le projet Elmed, soutenu par l’Union européenne, est considéré comme stratégique pour la sécurité énergétique et le développement des énergies renouvelables en Méditerranée.

L’article Prysmian remporte le contrat du câble électrique sous-marin Italie-Tunisie est apparu en premier sur Kapitalis.

460 millions d’euros : La Tunisie, ce pont d’énergie que l’Europe attendait pour sécuriser son avenir

27. September 2025 um 06:53

Le géant italien Prysmian a remporté le contrat majeur pour l’interconnexion électrique sous-marine Elmed. Ce projet, dont le contrat principal s’élève à 460 millions d’euros, est bien plus qu’une infrastructure ; il est le pivot d’une nouvelle stratégie énergétique européenne. Salué par Ursula von der Leyen, Elmed fait de la Tunisie le premier partenaire africain directement relié au continent par une liaison électrique en courant continu.

L’Enjeu Stratégique : L’Afrique, Nouvel Allié de l’Europe Verte

Le projet Elmed reliera la Sicile (Italie) au Cap Bon (Tunisie) via un câble sous-marin de 600 MW, créant ainsi une voie directe et sécurisée pour l’énergie. Il s’agit de la première liaison en courant continu à haute tension (HVDC) entre l’Europe et l’Afrique.

Dans un contexte de forte incertitude géopolitique, l’objectif principal est de diversifier et sécuriser l’approvisionnement énergétique de l’Europe. Le câble permet d’intégrer massivement les énergies renouvelables (solaire et éolien) de l’Afrique du Nord sur le marché européen. En offrant un débouché pour l’électricité verte tunisienne, il aide l’UE à atteindre ses objectifs climatiques tout en renforçant son autonomie face aux énergies fossiles.

Ce projet est une concrétisation du « Global Gateway » de l’UE et du Plan Mattei de l’Italie, qui visent à ériger la Tunisie en partenaire stratégique et en hub d’exportation d’énergie propre pour l’ensemble de l’Europe.

Le Contrat Prysmian et l’Engagement Financier Historique de l’UE

La valeur stratégique du projet est soutenue par un engagement financier conséquent.

Le contrat principal pour la fourniture et l’installation de l’artère sous-marine, remporté par le groupe Prysmian, est évalué à environ 460 millions d’euros.

Bien que le coût total du projet Elmed approche le milliard d’euros, le montage financier est remarquable par l’intervention massive de l’Union européenne :

Un Tremplin Économique et Social : Stabilité et 70 000 Emplois en Vue

Pour la Tunisie, le projet Elmed est un vecteur de transformation crucial, destiné à renforcer sa souveraineté énergétique et à stimuler son économie.

  1. Stabilité du Réseau : L’interconnexion agit comme un filet de sécurité pour la STEG, permettant l’importation rapide d’électricité européenne en cas de besoin, stabilisant le réseau national et garantissant une meilleure qualité de service aux consommateurs.
  2. Moteur de Croissance et d’Emploi : Le câble débloque le potentiel d’exportation de la Tunisie, encourageant les investissements massifs dans la filière nationale des énergies renouvelables. Les partenaires financiers du projet estiment que l’ensemble de cet écosystème en croissance pourrait générer pas moins de 70 000 emplois en Tunisie.

Le chantier, dont la mise en service est attendue en 2028, est donc une étape concrète pour lier de manière durable le destin économique et énergétique des deux rives de la Méditerranée.

Lire aussi: Tunisie – Italie : Elmed, « première liaison en courant continu entre l’Europe et l’Afrique »

L’article 460 millions d’euros : La Tunisie, ce pont d’énergie que l’Europe attendait pour sécuriser son avenir est apparu en premier sur webdo.

La Tunisie face à son plus grand défi : l’énergie de demain

20. August 2025 um 11:10

Selon les dernières données du Bulletin de la conjoncture énergétique de l’Observatoire National de l’Énergie et des Mines pour le mois de juin 2025, la Tunisie se trouve à un tournant critique. Le taux d’indépendance énergétique du pays a chuté de 44 % à 38 % entre 2024 et 2025, signalant une vulnérabilité croissante. La production d’électricité augmente, mais le pays reste dangereusement dépendant du gaz naturel. Si cette situation a permis de répondre à une demande nationale croissante, elle expose la nation à des risques économiques et géopolitiques majeurs.

Le coût de la dépendance : un fardeau économique allégé, mais fragile

Le document officiel révèle une réalité complexe : malgré une dépendance persistante, le déficit de la balance commerciale énergétique s’est amélioré de 7 %, passant de 5 577 MDT à 5 188 MDT à fin juin 2025. Cette amélioration n’est cependant pas le fruit d’une autonomie accrue, mais plutôt le résultat de facteurs externes. La baisse du cours moyen du pétrole Brent (passant de 84 $/bbl à 72 $/bbl) et l’appréciation du dinar tunisien de 2 % face au dollar américain ont considérablement réduit la facture des importations énergétiques.

Cette situation illustre parfaitement la vulnérabilité de l’économie tunisienne : ses finances sont à la merci de la volatilité des marchés internationaux et non d’une maîtrise stratégique de son approvisionnement. En plus de ces fluctuations, la Tunisie subventionne massivement l’énergie pour maintenir des prix bas pour ses citoyens, ce qui représente une lourde charge pour le budget de l’État.

Une production nationale en déclin : l’urgence de la diversification

Le problème est double : non seulement la demande augmente, mais la production nationale est en déclin. Selon le bulletin, les ressources en énergie primaire ont baissé de 8 % au cours des six premiers mois de 2025. Cette chute est due à la diminution de la production nationale de pétrole brut, qui a baissé de 9 % pour atteindre 629 kt, et de celle du gaz naturel, qui a diminué de 5 %.

Face à cette contraction de l’offre locale, la demande d’énergie primaire a, au contraire, augmenté de 6 % au cours de la même période, en particulier pour le gaz (+10 %) et les produits pétroliers (+1 %). Cette divergence entre l’offre et la demande rend la Tunisie encore plus dépendante des importations. Les échanges commerciaux le confirment, avec une diminution des exportations de produits énergétiques de 38 % en valeur, contre une baisse de 15 % des importations.

La dépendance stratégique vis-à-vis de l’Algérie

C’est sur le plan de la sécurité énergétique que cette dépendance se manifeste le plus clairement. La Tunisie est encore fortement liée à l’Algérie pour son approvisionnement en électricité. Selon les données officielles du bulletin, les achats directs d’électricité en provenance d’Algérie ont reculé de 19 % à la fin du mois de juin 2025. Malgré cette baisse, ces importations couvraient encore environ 10 % des besoins du marché national, soulignant une vulnérabilité stratégique qui ne peut être résolue que par une plus grande autonomie.

Le solaire, le futur qui s’éclaire déjà

Heureusement, une lueur d’espoir brille pour l’avenir énergétique de la Tunisie. Le potentiel des énergies renouvelables est immense et leur développement a un effet direct sur l’indépendance du pays. Le bulletin souligne d’ailleurs que la mise en service de la centrale photovoltaïque de Tozeur 2 de 10 MW en juin 2022 est un pas dans la bonne direction.

Pour sécuriser son avenir, la Tunisie doit impérativement accélérer sa transition énergétique. Le soleil tunisien est l’actif le plus précieux du pays. Investir massivement dans le solaire, faciliter les projets privés et encourager l’innovation sont les clés pour construire un avenir énergétique plus sûr, moins coûteux et qui garantira une vraie souveraineté pour tous.

Lire aussi:

L’article La Tunisie face à son plus grand défi : l’énergie de demain est apparu en premier sur webdo.

Délestage en Tunisie : Pourquoi la STEG coupe l’électricité par rotation ?

22. Juli 2025 um 08:03

En plein été caniculaire, alors que les climatiseurs tournent à plein régime, la consommation électrique en Tunisie atteint des pics vertigineux. Pour éviter l’effondrement complet du réseau, la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) recourt à une mesure peu connue du grand public, mais aux conséquences bien visibles : le délestage électrique.

Contrairement à une panne classique, le délestage est une opération délibérée de coupure d’électricité dans certaines zones du territoire, par roulement. L’objectif : soulager le réseau lorsqu’il est au bord de la saturation, en supprimant temporairement la charge dans des secteurs non prioritaires.

Ce mécanisme d’urgence permet de maintenir l’alimentation dans les zones dites « sensibles » : hôpitaux, infrastructures critiques, grands axes urbains, etc., tout en évitant un blackout généralisé.

En clair, il s’agit d’un choix stratégique entre une coupure partielle et brève, et un effondrement total du système électrique, avec des conséquences bien plus lourdes.

Inspirée d’une pratique mondiale

La Tunisie n’est pas un cas isolé. Le déstalage – ou load shedding dans les pays anglophones – est pratiqué dans de nombreuses régions du monde, souvent en développement ou confrontées à des déséquilibres entre production et consommation.

En Afrique du Sud, par exemple, ce système est en place depuis des années, géré selon des « niveaux » (stages) en fonction de la gravité de la situation. Le Liban, l’Inde, l’Algérie ou encore certains États des États-Unis l’utilisent également, parfois de manière planifiée et annoncée à l’avance.


Mais si le déstalage évite le pire, il n’est en aucun cas une solution durable. Il révèle au contraire les limites du système énergétique tunisien, notamment en période estivale. La forte demande liée à la climatisation, la vétusté de certaines infrastructures et le retard dans les projets de diversification énergétique, notamment le solaire, fragilisent le réseau.

La situation devient critique lorsqu’elle mène à un blackout, comme ce fut le cas en août 2022 : une coupure géante d’électricité a plongé la majorité du pays dans le noir pendant plusieurs heures. Une alerte rouge pour les autorités et la STEG, confrontées à l’urgence de moderniser le réseau et de gérer la demande.

Une meilleure communication attendue

Alors que le délestage continue d’être appliqué sporadiquement cet été, souvent sans communication préalable, de nombreux citoyens s’interrogent. Pourquoi leur quartier est-il soudainement plongé dans le noir, alors que d’autres restent éclairés ? Un manque de transparence et d’anticipation qui alimente colère et confusion.

Il devient urgent que la STEG, et plus largement l’État, communiquent clairement sur ces mesures, tout en accélérant les réformes nécessaires pour rendre le système plus résilient tant que ces mesures sont préventives.

Lire aussi : Coupures en série : la Tunisie frôle le blackout électrique

L’article Délestage en Tunisie : Pourquoi la STEG coupe l’électricité par rotation ? est apparu en premier sur webdo.

Coupures en série : la Tunisie frôle le blackout électrique

21. Juli 2025 um 19:24

La Tunisie a connu, ce lundi, des interruptions soudaines d’électricité dans plusieurs régions du pays. Contrairement à ce que certains usagers auraient pu penser, il ne s’agit pas de pannes locales isolées. Dans un communiqué publié il y’a peu, la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) a expliqué qu’il s’agissait d’une décision nationale préventive.

Un réseau au bord de la saturation

Selon la STEG, cette coupure volontaire visait à éviter un effondrement complet du réseau électrique, un blackout généralisé, en raison d’un pic de consommation jamais enregistré jusque-là, touchant la majorité des gouvernorats du pays.

La Société publique précise que ses équipes techniques ont immédiatement entamé le rétablissement progressif de l’électricité dans les zones concernées. Elle assure mobiliser toutes ses ressources pour stabiliser le réseau et rétablir la distribution normale dans les plus brefs délais.

Appels à la responsabilité et gestes simples

Face à cette situation hors norme, la STEG en appelle à la patience des citoyens et les encourage à limiter leur consommation, surtout durant les pics de demande. Une recommandation difficile à suivre alors que la chaleur étouffante dépasse les 45 °C, transformant le quotidien en épreuve : ventilateurs inutilisables, climatiseurs coupés, et pénurie d’eau au robinet.

Lire aussi : Grand-Tunis: Ni eau ni électricité en pleine vague de chaleur !

Récemment, la STEG a publié des recommandations destinées au grand public. Elle invite les citoyens à reporter l’usage des appareils les plus énergivores – comme le four, la machine à laver, le sèche-cheveux ou le fer à repasser après 16h. Ce simple geste, précise-t-elle, permet de « se protéger et protéger le pays » face à une demande énergétique en forte hausse.

Ce type de communication n’est pas nouveau. Chaque été, la STEG renouvelle ses appels à la modération, souvent en réaction à des pics records de consommation. En juillet 2023, la Tunisie avait franchi un seuil historique de 4825 MW. En 2024, la tendance s’est poursuivie avec un nouveau pic à 4363 MW, enregistré le 5 juillet selon les données les plus récentes de l’opérateur.

L’article Coupures en série : la Tunisie frôle le blackout électrique est apparu en premier sur webdo.

Tunisie : La grève évitée à la STEG après accord

La grève prévue ce mercredi 16 juillet 2025 au sein de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) a été annulée à la suite d’un accord trouvé entre la direction de l’entreprise et les représentants syndicaux, après douze heures de négociations intenses. C’est ce qu’a annoncé, mardi, le média Echaab News, affilié à l’Union générale tunisienne du travail (UGTT).

Les discussions, entamées lundi et poursuivies jusqu’à l’aube du mardi 15 juillet, ont réuni plusieurs parties prenantes, dont le ministre des Affaires sociales, le secrétaire d’État à la Transition énergétique, des représentants de la présidence du gouvernement, ainsi que la direction de la STEG. Du côté syndical, la Fédération générale de l’électricité et du gaz, conduite par Slaheddine Selmi, secrétaire général adjoint de l’UGTT, a mené les négociations.

L’accord porte sur un ensemble de revendications professionnelles formulées par les agents de la société publique. Les détails de l’entente n’ont pas encore été rendus publics, mais la conclusion du dialogue a permis d’éviter une grève qui risquait de perturber un service essentiel en pleine saison estivale.

L’article Tunisie : La grève évitée à la STEG après accord est apparu en premier sur webdo.

Évitez le four, le fer et la machine à laver avant 16h : la STEG relance l’alerte estivale

Alors que la canicule s’installe durablement sur le territoire, la Société Tunisienne de l’Électricité et du Gaz (STEG) a relancé, le 12 juillet, son appel habituel à la modération énergétique. Comme chaque été, l’entreprise publique invite les citoyens à limiter leur consommation d’électricité durant les heures dites de « pic », notamment entre 11h et 16h, afin d’éviter une surcharge du réseau national.

Des consignes récurrentes, mais peu évaluées

Dans une publication diffusée sur sa page Facebook, la STEG conseille de reporter l’utilisation d’appareils énergivores tels que le four, la machine à laver, le sèche-cheveux ou encore le fer à repasser après 16h. Ce geste simple, selon l’institution, vise à « se protéger et protéger le pays » dans un contexte où la demande d’électricité explose.

Ce type de communication n’a rien de nouveau. Depuis plusieurs années, la STEG répète les mêmes recommandations à l’approche ou en cours d’été, souvent à la suite de pics record. En juillet 2023, un seuil historique de 4825 MW avait été franchi, et la tendance s’est maintenue en 2024. Cette année encore, un pic de 4363 MW a été enregistré le 5 juillet, d’après les derniers communiqués de l’opérateur national.

Une consommation structurellement élevée en été

Avec la généralisation de la climatisation dans les foyers tunisiens, la demande estivale devient structurellement plus forte, et parfois difficilement compressible. La tranche horaire 11h–16h, correspondant au pic de chaleur et d’activité domestique, est identifiée depuis des années comme la zone critique pour le réseau.

Mais si le rappel est bien rodé, son efficacité concrète reste incertaine. La STEG ne publie aucun indicateur précis permettant de mesurer l’évolution de la courbe de charge après la diffusion de ses messages. L’entreprise ne dispose pas, non plus, d’un mécanisme incitatif — à l’instar d’un tarif différencié selon les heures de consommation — qui permettrait de renforcer l’impact de ses campagnes.

Une stratégie avant tout pédagogique

Ces appels à la vigilance ont toutefois une fonction pédagogique évidente : ils instaurent une forme de conscience collective autour de la vulnérabilité du système énergétique national. Ils soulignent également l’absence d’alternatives rapides dans un contexte marqué par la lenteur des investissements dans les énergies renouvelables, le vieillissement des infrastructures, et la pression croissante sur les ressources de production.

À défaut de solution structurelle immédiate, la STEG parie donc sur la responsabilisation progressive des usagers. Reste à savoir si ce pari suffira à atténuer les tensions récurrentes qui pèsent, chaque été un peu plus, sur l’équilibre énergétique du pays.

L’article Évitez le four, le fer et la machine à laver avant 16h : la STEG relance l’alerte estivale est apparu en premier sur webdo.

STEG: Stabile Stromerzeugung… mit 6 % erneuerbaren Energien

Von: Redaktion
20. Juli 2025 um 15:41

Die nationale Stromerzeugung blieb Ende Mai 2025 mit 7.065 GWh (einschließlich erneuerbarer Eigenproduktion) nahezu stabil, gegenüber 7.039 GWh Ende Mai 2024. Die für den lokalen Mehr

Der Beitrag STEG: Stabile Stromerzeugung… mit 6 % erneuerbaren Energien erschien zuerst auf Tunesienexplorer.de.

Tunisie : Un maillon stratégique dans l’exportation d’électricité vers l’Europe

Le projet Elmed, reliant la Tunisie au sud de l’Italie, positionne la Tunisie comme un acteur clé de l’intégration énergétique euro-africaine. Ce câble sous-marin ouvre la voie à une coopération énergétique renforcée entre l’Algérie, la Tunisie et l’Europe.

Le projet Elmed, en phase de finalisation, pourrait bien faire de la Tunisie un acteur central de la nouvelle carte énergétique du bassin méditerranéen. Ce câble électrique sous-marin, qui reliera le réseau tunisien au sud de l’Italie, permettra non seulement de renforcer l’interconnexion entre l’Afrique du Nord et l’Europe, mais aussi de positionner la Tunisie comme hub régional de transit énergétique.

Selon les déclarations de Fayçal Trifa, directeur général de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG), reprises par l’agence italienne Nova, Elmed vise à intégrer les réseaux algérien et tunisien pour faciliter l’exportation de l’électricité vers l’Europe et appuyer la création d’un futur marché énergétique euro-africain.

Ce projet d’envergure, d’une capacité de 600 MW et d’un coût total de 850 millions d’euros, bénéficie d’un financement conséquent : 300 millions d’euros de la Commission européenne et 260 millions de dollars de la Banque mondiale, avec l’implication de la Banque européenne d’investissement (BEI), la KfW allemande et la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).

Pour la Tunisie, les retombées sont multiples. D’un point de vue stratégique, ce projet permettrait de renforcer la sécurité énergétique du pays, tout en l’intégrant pleinement dans les grandes dynamiques de transition énergétique en Méditerranée. Il ouvre également des perspectives commerciales, puisque la Tunisie pourrait bénéficier de droits de transit ou, à terme, exporter elle-même de l’électricité, notamment issue des énergies renouvelables.

En parallèle, l’Algérie mise sur ce couloir tuniso-italien pour renforcer ses exportations électriques, notamment après l’abandon du projet d’interconnexion directe avec la Libye jugé techniquement infaisable. Elle modernise à cet effet ses lignes haute tension vers la Tunisie, tout en développant un ambitieux programme de production électrique, avec des objectifs dépassant les 50.000 MW d’ici dix ans, en partie grâce aux énergies solaire et éolienne.

La Tunisie, en se positionnant comme trait d’union énergétique entre l’Afrique et l’Europe, voit ainsi s’ouvrir de nouvelles perspectives en matière de diplomatie énergétique, d’investissement et d’intégration régionale.

L’article Tunisie : Un maillon stratégique dans l’exportation d’électricité vers l’Europe est apparu en premier sur webdo.

Tunisie : Grève à la STEG le 17 juillet

La Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) sera à l’arrêt le jeudi 17 juillet, suite à l’appel à la grève lancé par la branche sectorielle de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT). L’annonce a été faite ce mercredi Echaab News, organe médiatique de la centrale syndicale, à l’issue d’une réunion de l’instance administrative sectorielle, présidée par Slaheddine Selmi, secrétaire général adjoint chargé des offices et établissements publics.

À l’origine de cette décision : l’impasse persistante du dialogue social entre la direction de la STEG et les autorités de tutelle. Les syndicalistes dénoncent un blocage des négociations tant sur les aspects réglementaires que matériels, dans un contexte marqué par une forte dégradation du pouvoir d’achat et des tensions sociales croissantes.

Ils pointent également les méthodes jugées dilatoires de l’administration, accusée de faire traîner le traitement des revendications légitimes du personnel. Parmi celles-ci figurent l’intégration des augmentations salariales prévues pour les années 2023, 2024 et 2025 dans le salaire de base, ainsi que leur application à la grille des grades d’ancienneté. Le syndicat exige également l’activation immédiate de la circulaire sur les promotions basées sur l’expérience.

Autre point de discorde : la gestion du dossier des contrats liés au développement des projets de production d’électricité photovoltaïque. Le syndicat dénonce des pratiques qualifiées d’illégales et s’oppose à toute tentative d’écarter la STEG des projets publics dans le domaine des énergies renouvelables. Il réclame à ce titre que l’entreprise puisse réaliser sa part des projets, en tant qu’acteur national du service public.

L’UGTT appelle également l’État à allouer à la STEG les subventions supplémentaires dues au titre de la période 2016-2023, considérées comme un investissement public dans la transition énergétique.

Enfin, les syndicalistes exigent le versement immédiat des arriérés de droits et l’application intégrale des accords signés, notamment le procès-verbal de la réunion du 28 avril 2025, resté jusqu’ici lettre morte.

L’article Tunisie : Grève à la STEG le 17 juillet est apparu en premier sur webdo.

Électricité en Tunisie : Un tarif moyen de 472 millimes/kWh, fortement dépendant du gaz naturel

Lors d’une audition parlementaire, des responsables du ministère de l’Industrie ont précisé que le prix moyen de l’électricité en Tunisie est actuellement de 472 millimes par kilowattheure, dont 70% lié au coût du gaz naturel. Un équilibre fragile, maintenu grâce aux subventions et au recours à des financements islamiques.

Le tarif de l’électricité en Tunisie s’élève en moyenne à 472 millimes par kilowattheure, ont indiqué lundi des responsables du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, lors d’une séance d’audition tenue par la commission parlementaire des Finances et du Budget. Une grande partie de ce coût – 70% exactement – est liée au prix du gaz naturel, principale source d’approvisionnement énergétique du pays.

Des subventions lourdes

Cette audition a été consacrée à l’examen de l’accord de financement dit « Mourabaha », conclu entre la Société tunisienne d’électricité et de gaz (STEG) et la Société internationale islamique de financement du commerce (ITFC), pour assurer l’importation de gaz naturel. Il s’agit d’un mécanisme de financement conforme aux principes de la finance islamique, destiné à renforcer la trésorerie de la STEG.

Les représentants du ministère ont précisé que 85% des abonnés de la STEG consomment moins de 200 kWh par mois, un chiffre qui témoigne d’une consommation modérée mais aussi d’un poids élevé des subventions. En effet, près de 40% du tarif de l’électricité serait actuellement couvert par l’État, un effort budgétaire considérable.

Vers une réforme tarifaire conditionnée

Les responsables gouvernementaux ont souligné qu’aucune hausse des tarifs de l’électricité ou du gaz ne sera envisagée sans la réalisation préalable d’une étude approfondie, insistant sur la nécessité pour la STEG de réduire ses coûts de production. L’objectif à moyen terme est de garantir une vision claire de la tarification pour les années à venir, en intégrant davantage d’énergies renouvelables afin de renforcer l’indépendance énergétique du pays.

L’article Électricité en Tunisie : Un tarif moyen de 472 millimes/kWh, fortement dépendant du gaz naturel est apparu en premier sur webdo.

Solarförderung für Haushalte: Tunesien investiert 370 Mio Dinar

Von: Redaktion
27. September 2024 um 12:40

Mit einem umfassenden Förderpaket zielt die tunesische Regierung darauf ab, den Ausbau privater Solaranlagen zu fördern. Die tunesische Regierung hat 121 Millionen Dollar (370 Mio Mehr

Der Beitrag Solarförderung für Haushalte: Tunesien investiert 370 Mio Dinar erschien zuerst auf Tunesienexplorer.de.

600-Megawatt-Verbindung „Elmed“: Grünes Licht vom italienischen Umweltministerium

Von: Redaktion
15. Mai 2024 um 14:46

Das italienische Ministerium für Umwelt und Energiesicherheit hat mit einem Dekret vom 10. Mai 2024 Elmed, die Stromverbindung zwischen Italien und Tunesien, die von Terna Mehr

Der Beitrag 600-Megawatt-Verbindung „Elmed“: Grünes Licht vom italienischen Umweltministerium erschien zuerst auf Tunesienexplorer.de.

Tunesien: Parlament (ARP) genehmigt Darlehen für die STEG

Von: Redaktion
31. Januar 2024 um 17:59

Die Versammlung der Volksvertreter (ARP) hat am Dienstag, den 30. Januar 2024, in einer Plenarsitzung den Gesetzentwurf zur Genehmigung der am 22. Juni 2023 zwischen Mehr

Der Beitrag Tunesien: Parlament (ARP) genehmigt Darlehen für die STEG erschien zuerst auf Tunesienexplorer.de.

❌
❌