Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 19. Dezember 2025Haupt-Feeds

Change devises en dinar tunisien : Cours du 19 décembre 2025

19. Dezember 2025 um 13:13

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 2.902 2.953
Euro EUR 1 3.388 3.460
Yen Japonais JPY 1000 18.310 18.999
Livre Sterling GBP 13 3.839 3.984
Franc Suisse CHF 10 35.920 37.464

L’article Change devises en dinar tunisien : Cours du 19 décembre 2025 est apparu en premier sur WMC.

Investissement étranger : une société maltaise prévoit 520 millions d’euros pour une centrale solaire à Gafsa

19. Dezember 2025 um 12:40

Une rencontre a été tenue, jeudi, 18 décembre 2025, à Tunis, entre l’ingénieur général à FIPA-Tunisie, Ibrahim Medini et les représentants de la société malaise « HandsOn Systems Ltd ».

La société maltaise, spécialisée dans les solutions de suivi GPS et de gestion de flotte, la gestion d’actifs RFID, les solutions énergétiques intelligentes et les plateformes IoT,  compte introduire un grand projet d’investissement impliquant la construction d’une centrale solaire photovoltaïque de 350 MW dans la région de Gafsa (sud de la Tunisie), avec un investissement total estimé à environ 520 millions d’euros, a fait savoir la FIPA dans un communiqué publié, vendredi.

La délégation de la société maltaise s’est déclarée satisfaite du climat des affaires en Tunisie tout en réaffirmant son ambition de poursuivre des projets futurs, de renforcer sa présence et d’étendre ses investissements dans le pays.

De son côté, Medini a félicité la délégation maltaise pour cette initiative stratégique, soulignant son rôle en tant que moteur du développement industriel et durable à Gafsa sur le plan technologique et environnemental.

Il a réaffirmé l’engagement de FIPA-Tunisie à soutenir pleinement ce projet et à accompagner sa réalisation.

L’article Investissement étranger : une société maltaise prévoit 520 millions d’euros pour une centrale solaire à Gafsa est apparu en premier sur WMC.

PME : la BFPME lance un nouveau système d’information pour faciliter l’accès au financement

19. Dezember 2025 um 12:28

La Banque de Financement des Petites et Moyennes Entreprises (BFPME) lancera un nouveau système d’information dédié aux PME, visant à contribuer à l’amélioration de la qualité des services d’accompagnement et de financement qui leur sont proposés.

Le lancement et la présentation de système en question seront à l’ordre du jour d’une journée d’information qui sera organisée par la BFPME, samedi 20 décembre, au siège du Centre international de formation des formateurs et d’innovation pédagogique à Tunis.

La banque a appelé, dans ce cadre, les PME à participer à cet événement et à prendre connaissance de ce système, qui facilitera leur accès au financement.

Représentant environ 90 % du tissu économique et fournissant près de 80 % des emplois, les PME qui jouent un rôle primordial dans l’économie tunisienne, se trouvent confrontées à de nombreux défis, dont le plus important est l’accès au financement.

Il convient d e noter que la BFPME est une société bancaire tunisienne à responsabilité limitée, créée en 2005 et placée sous la tutelle du ministère des Finances. Son capital s’élève à 100 millions de dinars, détenus à 100 % par l’État et d’autres actionnaires publics.

La banque est considérée comme un établissement public, selon la loi n°9 de 1989 du 1er février 1989 relative aux participations, entreprises et établissements publics.

Elle est également soumise aux dispositions de la loi n° 65 de 2001 du 10 juillet 2001 relative aux banques et aux établissements financiers annulée et remplacée par la loi n° 48 de 2016 du 11 juillet 2016.

Conformément à sa politique de prêts approuvée par son conseil d’administration le 1er avril 2005, la mission de la banque est de financer la création et le développement des PME productrices de biens et de services.

L’article PME : la BFPME lance un nouveau système d’information pour faciliter l’accès au financement est apparu en premier sur WMC.

Christie’s et l’art MENA : Ridha Moumni anime une masterclass sur la visibilité et la valeur des artistes

19. Dezember 2025 um 12:24

Une masterclass, la première en son genre, intitulée “Visibilité, valeur et le marché mondial de l’art: les maisons de ventes aux enchères et l’art moderne et contemporain de la région MENA”, sera assurée par Ridha Moumni, historien de l’art, curateur et président de Christie’s Middle East and Africa (section régionale de Christie’s, l’une des maisons de ventes aux enchères les plus anciennes et les plus prestigieuses au monde).

Cette formation se tiendra les 22 et 23 décembre 2025 respectivement à Selma Feriani Gallery et à la galerie Archivart à Tunis.

Proposée sur deux jours, la masterclass offre une immersion approfondie dans le fonctionnement des maisons de ventes aux enchères et leur rôle déterminant dans la construction de la valeur artistique et de la visibilité internationale des artistes de la région MENA.

Pensée pour un public large mais spécialisé, cette masterclass s’adresse aux curateurs, historiens de l’art, artistes, collectionneurs, professionnels des secteurs culturel et médiatique, ainsi qu’aux étudiants et à toute personne souhaitant approfondir sa compréhension du marché de l’art contemporain et des pratiques curatoriales liées à l’art dans la région MENA.

Animée par le Tunisien Ridha Moumni, l’une des figures les plus influentes du marché international de l’art en Méditerranée, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, cette rencontre offrira un éclairage précis sur les dynamiques du marché et les stratégies de visibilité des artistes sur la scène mondiale. Les participants bénéficieront notamment d’analyses de cas concrets issus de Christie’s Middle East and Africa, portant sur les processus de sélection, de contextualisation et de promotion des artistes de la région.

Le marché MENA, un véritable “momentum” culturel.

Articulée autour d’ateliers pratiques, d’études de cas et d’échanges interactifs, la formation est conçue comme un espace de partage et de réflexion critique. Elle permettra de mieux appréhender les stratégies du marché, les mécanismes de valorisation des œuvres et la construction de la notoriété artistique à l’échelle internationale, dans un contexte où la région MENA connaît un véritable momentum culturel, marqué par l’ouverture de musées, de foires et par l’essor d’initiatives privées.

Cette réflexion s’inscrit dans un marché mondial de l’art en pleine transformation, où les frontières de la création sont redéfinies. Longtemps sous-représentée, la région Méditerranée, Moyen-Orient et Afrique du Nord s’affirme aujourd’hui comme un vivier de talents émergents. Selon les données mentionnées dans le dossier de presse, le marché du détail dans la région MENA était évalué à 808,51 milliards de dollars en 2024 et devrait atteindre 1 401,32 milliards de dollars d’ici 2032, avec un taux de croissance annuel estimé à 7,30 %.

La visibilité croissante des artistes de la région MENA sur les plateformes internationales a profondément transformé le marché. Entre 2024 et le premier semestre 2025, les ventes d’œuvres d’artistes d’Afrique du Nord ont augmenté, selon la même source,  de 76 %, tandis que celles des artistes du Moyen-Orient ont progressé de 178 % sur le marché européen, illustrant l’intérêt grandissant des collectionneurs internationaux pour l’art moderne et contemporain de la région.

Chez Christie’s, la vente Modern and Contemporary Middle Eastern Art, organisée à Londres en 2024, a généré 6,43 millions de dollars, portée notamment par des collections prestigieuses.

Cette dynamique se confirme également à travers les foires et plateformes internationales. A Paris, la Menart Fair, dédiée à l’art MENA, a présenté en 2024 plus de 438 œuvres, avec des résultats attestant de l’intérêt soutenu du marché européen. Par ailleurs, le lancement d’Art Basel Qatar, prévu pour février 2026, marquera la première implantation d’Art Basel au Moyen-Orient, consacrant la région comme un nouveau hub stratégique du marché mondial de l’art.

L’article Christie’s et l’art MENA : Ridha Moumni anime une masterclass sur la visibilité et la valeur des artistes est apparu en premier sur WMC.

Entrepreneuriat féminin : le ministère de la Famille et l’ONE signent une convention de partenariat

19. Dezember 2025 um 11:59

Une convention de partenariat sur la promotion de l’entrepreneuriat féminin et de l’investissement a été signée, hier jeudi, entre le ministère de la famille, de la femme, de l’enfance et des personnes âgées et l’Organisation nationale des entrepreneurs (ONE).

Selon un communiqué du ministère de la famille, la convention vise à renforcer la coopération entre les deux parties et à faire connaître le programme national de l’entrepreneuriat féminin et de l’investissement « RAÏDET», ainsi que les différents programmes du ministère dédiés à l’inclusion économique des femmes et des jeunes filles.

Elle vise également, selon la même source, à contribuer à la création et au développement de projets féminins de petite et moyenne taille, à accompagner les porteuses d’idées de projets et à renforcer leurs capacités, de manière à garantir la pérennité et le développement de leurs initiatives.

S’exprimant lors de la cérémonie de signature organisée au siège du ministère à Tunis, la ministre de la famille, Asma Jebri, a précisé que cette convention s’inscrit dans le cadre de la volonté du département de renforcer l’effort national participatif afin de promouvoir davantage l’entrepreneuriat féminin, de surmonter les difficultés existantes et d’encourager les femmes et les jeunes filles dans toutes les régions du pays à lancer des projets, à s’engager dans le monde des affaires et à investir dans des secteurs porteurs, innovants et à forte valeur ajoutée.

Elle a souligné, dans ce contexte, l’importance de mettre en place un programme exécutif en coordination avec l’ensemble des délégations régionales du ministère, afin de mieux faire connaître les mécanismes d’encouragement et les incitations disponibles pour soutenir l’entrepreneuriat féminin en Tunisie, de renforcer les efforts de formation et d’éducation financière, d’accompagner les entreprises féminines avant, pendant et après la création des projets, et de développer les capacités des entrepreneures dans les domaines de la promotion, du marketing, de l’exportation et de l’expansion des projets.

De son côté, le président de l’Organisation nationale des entrepreneurs, Yassine Gouiâa, a exprimé l’engagement de l’Organisation à soutenir les efforts du ministère pour diffuser la culture de l’entrepreneuriat féminin, renforcer les capacités des femmes tunisiennes en matière d’investissement, de création et de développement de projets, améliorer les opportunités de commercialisation des produits des entreprises féminines et accroître leur rayonnement aux niveaux national et international.

L’article Entrepreneuriat féminin : le ministère de la Famille et l’ONE signent une convention de partenariat est apparu en premier sur WMC.

ESET Research analyse les cybermenaces du second semestre 2025, l’IA se place au cœur des attaques

19. Dezember 2025 um 10:44

ESET Research publie son rapport semestriel sur les menaces, couvrant les tendances observées de juin à novembre 2025.
• Les arnaques en ligne se perfectionnent notamment avec des deepfakes plus réalistes, sites de phishing générés par IA et publicités éphémères pour contourner la détection.
• Malgré une brève réapparition après sa perturbation en mai 2025, Lumma Stealer affiche un net déclin, avec une baisse de 86 % des détections au second semestre 2025.
• Les attaques NFC gagnent en ampleur et en sophistication, avec de nouvelles fonctionnalités et campagnes malveillantes détectées au second semestre 2025.

ESET Research dévoile son rapport semestriel couvrant la période de juin à novembre 2025. Ce document analyse les tendances du paysage des menaces, observées à la fois par la télémétrie ESET et par les analyses des experts en détection et en recherche des laboratoires ESET. Au second semestre 2025, les malwares qui utilisent l’intelligence artificielle sont passés du stade conceptuel à des usages concrets. ESET a ainsi identifié PromptLock, le premier ransomware connu, piloté par l’IA, capable de générer dynamiquement des scripts malveillants. Si l’IA demeure aujourd’hui principalement utilisée pour produire des contenus d’hameçonnages et d’escroquerie plus réalistes, PromptLock, aux côtés de quelques autres menaces émergentes basées sur l’IA, amorce une nouvelle ère dans l’évolution des cybermenaces.

« Les opérateurs derrière les arnaques à l’investissement Nomani(1) ont également perfectionné leurs méthodes. Nous avons constaté une nette amélioration de la qualité des deepfakes, l’apparition de sites de phishing générés par l’IA, ainsi que des campagnes publicitaires éphémères pour échapper au mécanisme de détection », explique Jiří Kropáč, directeur des laboratoires de prévention des menaces chez ESET. Selon la télémétrie d’ESET, les détections liées aux arnaques Nomani ont progressé de 62 % sur un an, malgré un léger ralentissement observé au second semestre 2025. Ces arnaques, initialement diffusées sur Meta, sont apparues sur d’autres plateformes, dont YouTube.

Sur le front des ransomwares, le nombre de victimes a dépassé les chiffres de 2024 bien avant la fin de l’année. Les projections d’ESET Research font état d’une hausse annuelle de 40 %. Les groupes Akira et Qilin se sont imposés comme les principaux acteurs du modèle « ransomware as a service », tandis que Warlock, un nouvel entrant plus discret, s’est distingué par l’introduction de techniques d’évasion inédites. Les « tueurs d’EDR ou EDR Killer » continuent de proliférer, confirmant que les solutions de détection et de réponse restent un obstacle majeur pour les cybercriminels.

Après sa perturbation mondiale en mai, Lumma Stealer a tenté deux brèves réapparitions. Toutefois, son déclin semble désormais acté. Les détections ont chuté de 86 % au second semestre 2025 par rapport au premier, et l’un de ses principaux vecteurs de diffusion, le cheval de Troie HTML/FakeCaptcha utilisé dans les attaques ClickFix, a pratiquement disparu de la télémétrie ESET.

A l’inverse, CloudEyE, également connu sous le nom de GuLoader, a connu une croissance spectaculaire, avec une augmentation proche d’un facteur trente selon les données d’ESET. Diffusé via des campagnes d’e-mails malveillants, ce service de téléchargement et de chiffrement de malwares est utilisé pour déployer d’autres charges malveillantes, notamment des ransomwares, ainsi que des voleurs d’informations largement répandus tels que Rescoms, Formbook et Agent Tesla. La Pologne a été le pays le plus touché, concentrant 32 % des tentatives d’attaque CloudEyE détectées au second semestre 2025.

Dans l’écosystème mobile, les attaques NFC ont gagné en ampleur et en sophistication, comme en témoigne leur augmentation de 87 % dans la télémétrie ESET. NGate, pionnier des menaces NFC, a évolué pour inclure le vol de contacts, ouvrant la voie à des attaques plus ciblées. RatOn, un nouveau malware inédit pour opérer des fraudes NFC, combine de manière originale des fonctionnalités de cheval de Troie et d’accès à distance (RAT), avec des attaques par relais NFC, illustrant la créativité des cybercriminels. RatOn a été diffusé via de fausses pages Google Play et des publicités imitant une version pour adulte de TikTok ou des services bancaires numériques. PhantomCard, variante de NGate adaptée au marché brésilien, a été observé dans plusieurs campagnes locales.

Pour plus d’informations, consultez le rapport complet en accès libre sur WeLiveSecurity.com, disponible en anglais et en français.

(1) https://www.welivesecurity.com/en/scams/investors-beware-ai-powered-financial-scams-swamp-social-media/

À propos d’ESET

ESET® entreprise européenne de cybersécurité reconnue mondialement, se positionne comme un acteur majeur dans la protection numérique grâce à une approche technologique innovante et complète. Fondée en Europe et disposant de bureaux internationaux, ESET combine la puissance de l’intelligence artificielle et l’expertise humaine pour développer des solutions de sécurité avancées, capables de prévenir et contrer efficacement les cybermenaces émergentes, connues et inconnues. Ses technologies, entièrement conçues dans l’UE, couvrent la protection des terminaux, du cloud et des systèmes mobiles, et se distinguent par leur robustesse, leur efficacité et leur facilité d’utilisation, offrant ainsi une défense en temps réel 24/7 aux entreprises, infrastructures critiques et utilisateurs individuels. Grâce à ses centres de recherche et développement et son réseau mondial de partenaires, ESET propose des solutions de cybersécurité intégrant un chiffrement ultra-sécurisé, une authentification multifactorielle et des renseignements approfondis sur les menaces, s’adaptant constamment à l’évolution rapide du paysage numérique.  

L’article ESET Research analyse les cybermenaces du second semestre 2025, l’IA se place au cœur des attaques est apparu en premier sur WMC.

États-Unis : Donald Trump suspend le programme de la “Green Card” après deux fusillades

19. Dezember 2025 um 10:16

Le président américain Donald Trump a ordonné, jeudi, la suspension temporaire du programme de la loterie de la “Green Card”, après que le suspect de deux fusillades survenues à l’université Brown et au Massachusetts Institute of Technology (MIT) est entré aux États-Unis par ce dispositif.

La décision intervient dans un contexte de forte sensibilité sécuritaire. Elle vise le programme de visas de diversité, qui permet chaque année à des ressortissants de pays faiblement représentés aux États-Unis d’obtenir un droit de résidence permanente par tirage au sort.

Une suspension décidée sur instruction présidentielle

La secrétaire à la Sécurité intérieure, Kristi Noem, a annoncé la mesure dans un message publié sur la plateforme X. Elle précise agir sur instruction directe du président Trump et ordonne aux services américains de la citoyenneté et de l’immigration de suspendre le programme « jusqu’à nouvel ordre ».

Dans son message, Kristi Noem affirme : « Il n’aurait jamais fallu permettre à cet individu odieux d’entrer dans notre pays ». Cette déclaration lie explicitement la suspension du programme au profil du suspect impliqué dans les deux attaques armées.

Le fonctionnement du programme en question

Le programme de visas de diversité, communément appelé loterie de la “Green Card”, attribue chaque année jusqu’à 50 000 titres de séjour permanent. Il s’adresse à des candidats originaires de pays dont l’immigration vers les États-Unis reste limitée, dont plusieurs États africains.

Pour l’édition 2025, près de 20 millions de personnes ont participé à la loterie. Plus de 131 000 candidats ont été sélectionnés, en incluant les conjoints des gagnants. La sélection ne garantit toutefois pas l’entrée sur le territoire américain.

Des contrôles prévus après la sélection

Après leur désignation, les candidats retenus doivent se soumettre à une procédure de vérification avant l’obtention d’une autorisation d’entrée aux États-Unis. Le texte ne précise pas à quel stade le suspect impliqué dans les fusillades a franchi ces contrôles

Les chiffres révèlent par ailleurs une forte disparité entre pays. Les citoyens portugais, par exemple, n’ont obtenu que 38 visas lors de cette édition.

Une décision aux implications larges

La suspension du programme touche potentiellement des millions de candidats à travers le monde. Le texte ne précise pas la durée de l’arrêt ni les conditions d’une éventuelle reprise.  Aucune indication n’est donnée sur l’impact immédiat pour les candidats déjà sélectionnés.

L’article États-Unis : Donald Trump suspend le programme de la “Green Card” après deux fusillades est apparu en premier sur WMC.

UBCI à la première édition de « Le Bridge 25 » organisée par la CCITF : un engagement fort pour l’innovation

19. Dezember 2025 um 09:25

L’UBCI, partenaire de la Chambre de Commerce et d’Industrie Tuniso-Française (CCITF), a participé à la première édition de « LeBridge25 », un événement dédié à la mise en relation des entreprises innovantes et des startups, organisé le lundi 15 décembre 2025.

Depuis plusieurs années, l’UBCI entretient une collaboration étroite et constructive avec la CCITF, fondée sur une vision commune de soutien au développement économique. En tant que partenaire financier exclusif de la CCITF, la banque joue un rôle clé dans l’accompagnement des entreprises tunisiennes souhaitant s’exporter, ainsi que des entreprises françaises désireuses de s’implanter ou de se développer en Tunisie, dans un contexte économique marqué par des défis importants et un besoin croissant de solutions concrètes.

La participation de l’UBCI à « LeBridge25 » s’inscrit pleinement dans cette dynamique. L’événement constitue un espace privilégié pour stimuler les échanges, favoriser des collaborations porteuses et connecter entreprises, startups et acteurs de l’innovation. Cette première édition a mis en lumière des discussions autour de l’open innovation, des modèles de coopération entre entreprises et startups, ainsi que des opportunités d’implantation sur le marché français pour les jeunes pousses tunisiennes. Elle a également offert une plateforme de rencontres professionnelles, destinée à faciliter les interactions directes et à multiplier les opportunités de partenariat.

Dans ce cadre, une équipe dédiée de l’UBCI a été mobilisée pour les rencontres B2B avec les entreprises et startups présentes, afin d’identifier des pistes de collaboration, notamment autour de solutions innovantes intégrant l’intelligence artificielle. Ces rencontres ont permis de détecter des opportunités concrètes en matière de financement, développement et innovation.

Convaincue que les passerelles entre les écosystèmes bancaire et entrepreneurial sont essentielles pour encourager l’investissement, l’innovation et la compétitivité, l’UBCI réaffirme son engagement à soutenir le tissu économique tunisien.

Site web : UBCI

L’article UBCI à la première édition de « Le Bridge 25 » organisée par la CCITF : un engagement fort pour l’innovation est apparu en premier sur WMC.

Intelligence Artificielle : Les RH face au risque des discriminations invisibles

19. Dezember 2025 um 07:36

Dans un monde où l’intelligence artificielle croît à une vitesse vertigineuse, Nizar Yaiche a rappelé que les Ressources Humaines ne peuvent pas se contenter d’accompagner la productivité. Elles doivent devenir un contre-pouvoir éthique, garantes de l’équité algorithmique et protectrices des millions de personnes qui risquent de ne pas suivre le rythme. Derrière les milliards investis et les projections de richesse, il y a une réalité plus dure : celle des “victimes” de la révolution IA.

L’équité algorithmique est devenue l’un des enjeux les plus cruciaux pour la gestion des ressources humaines. Dans un contexte où les algorithmes interviennent désormais dans des décisions déterminantes — recrutement, évaluation des performances, gestion des carrières — leur usage massif transforme profondément la fonction RH.

Une étude de l’Université de Californie à Berkeley révèle que 76 % des entreprises s’appuient déjà sur ces outils, soulevant des préoccupations éthiques majeures : transparence des processus, prévention des discriminations et respect de l’égalité des chances.

Les recherches de Stanford montrent en effet que ces systèmes peuvent, malgré eux, accentuer des biais existants liés au genre, à l’âge ou à l’origine ethnique, en raison de données d’entraînement imparfaites.

Garantir l’équité algorithmique n’est donc pas une option : c’est une responsabilité fondamentale des RH, appelées à devenir les gardiens de la justice dans un monde où les décisions sont de plus en plus automatisées.

« Ceux qui contrôlent les données contrôlent le monde »

Les chiffres cités par M. Yaïche sont éloquents, nous les rappelons :

  • le marché mondial de l’IA atteint déjà 520 milliards de dollars, avec une croissance annuelle de 28 % ;
  • les investissements en R&D dépassent 220 milliards de dollars, concentrés dans dix pays.
  • L’IA pourrait contribuer à hauteur de 15 000 milliards de dollars au PIB mondial d’ici 2035.
  • 90 % des données mondiales ont été produites en moins de cinq ans, et 80 % sont captées par une dizaine d’acteurs, principalement américains et chinois.

Ces données montrent que l’IA est devenue une infrastructure stratégique. Mais elles posent une question brûlante : comment s’assurer que les algorithmes respectent les valeurs humaines ?

« L’IA sans équité devient une machine à discriminer. »

« Les RH doivent être les garants de l’équité algorithmique »

Pour Nizar Yaiche, l’une des compétences les plus nouvelles et les plus urgentes des DRH sera de garantir l’équité algorithmique. Les algorithmes filtrent, scorent, recommandent, évaluent. Ils influencent nos décisions, nos recrutements, nos carrières.

Cette compétence, encore émergente, devient vitale : s’assurer que les algorithmes ne reproduisent pas des discriminations invisibles, qu’ils ne dévient pas vers des logiques opaques, qu’ils restent au service de l’humain.

« Il y aura de la casse »

La question de l’emploi est au cœur des inquiétudes. Les experts techniques, souvent interrogés, répondent avec prudence : “on ne sait pas”. Mais les signaux sont clairs :

  • déjà 25 à 30 % des travailleurs déclarent ne pas pouvoir suivre le rythme de l’IA ;
  • les projections évoquent des centaines de millions de personnes en difficulté d’adaptation ;
  • la consommation énergétique des data centers IA dépasse déjà 340 TWh/an, soit plus de 1,5 % de la consommation mondiale d’électricité : un indicateur des bouleversements systémiques en cours.
L’intelligence artificielle n’est pas neutre. Elle reflète les données qu’on lui confie et les choix qu’on accepte de déléguer.

 

Nizar Yaiche le dit sans détour : « Il y aura de la casse. »

Et cette casse ne se comptera pas en milliers, mais en millions. Des vies professionnelles brisées, des trajectoires interrompues, des familles fragilisées. Au-delà des promesses de productivité, Nizar Yaïche a rappelé que l’IA peut fragiliser la fonction RH si elle est déployée sans garde-fous.

Les erreurs les plus fréquentes sont parlantes : automatiser sans gouvernance éthique, ignorer les populations en difficulté d’adaptation, réduire l’IA à un simple outil de productivité, négliger la transformation des compétences ou manquer de transparence dans les décisions assistées par algorithmes.

Toutes ces dérives convergent vers un même risque : miner la confiance et accentuer les injustices. C’est pourquoi l’équité algorithmique doit devenir le point cardinal de la fonction RH : auditer, contrôler et corriger les outils pour garantir que l’IA améliore la performance sans créer de discriminations invisibles.

« Les algorithmes influencent désormais les recrutements, les carrières et les évaluations. Sans contrôle, ils peuvent renforcer des injustices invisibles. »

Les RH comme contre-pouvoir constructif

La tentation est grande de céder à l’euphorie des chiffres. L’IA promet des gains de productivité de 20 à 40 % pour les entreprises qui l’intègrent. Elle réduit les délais, optimise les processus, fluidifie la gestion des talents. Mais cette course à la rentabilité peut vite devenir un piège.

Nizar Yaiche met en garde : les RH doivent jouer un rôle inédit, celui de contre-pouvoir constructif. Face aux pressions des actionnaires, des marchés financiers, des indicateurs de rentabilité, ils doivent rappeler que l’humain n’est pas une variable d’ajustement. Ils doivent défendre la dignité, l’équité et la justice sociale.

Anticiper pour protéger

Les licenciements massifs observés dans plusieurs secteurs ne sont pas uniquement liés aux cycles économiques ou aux tensions géopolitiques. L’IA est déjà un facteur de transformation, parfois brutal. Les RH doivent anticiper ces vagues, mettre en place des plans de transition, et surtout, ne pas fermer les yeux.

Car si l’IA promet des gains spectaculaires, elle peut aussi creuser des fractures sociales irréversibles. Les RH doivent inventer des dispositifs de requalification, de mobilité interne, de soutien psychologique. Ils doivent devenir les architectes d’un futur du travail qui ne laisse personne derrière.

Ce troisième volet est un appel à la vigilance. L’IA est une force de transformation historique, mais elle peut aussi devenir une machine à exclure. Les RH doivent se préparer à deux missions :

  • Garantir l’équité algorithmique, pour que les décisions assistées par IA restent justes et transparentes.
  • Sauver les futures “victimes” de l’IA, en accompagnant les millions de personnes qui risquent de ne pas suivre.

Dans cette révolution, les RH ne sont pas seulement des gestionnaires de talents. Ils sont les gardiens de l’humain, les contre-pouvoirs capables de rappeler que derrière chaque algorithme, il y a une vie.

A suivre

Amel Belhadj Ali

EN BREF

  • L’IA transforme profondément les décisions RH, du recrutement à la gestion des carrières.
  • 76 % des entreprises utilisent déjà des algorithmes, selon l’Université de Berkeley.
  • Les recherches de Stanford alertent sur des biais persistants liés au genre, à l’âge et à l’origine.
  • Les investissements massifs et la concentration des données posent un enjeu éthique mondial.
  • Les RH sont appelées à devenir un contre-pouvoir garant de l’équité et de la justice sociale.

 

L’article Intelligence Artificielle : Les RH face au risque des discriminations invisibles est apparu en premier sur WMC.

JCC 2025 : le Nouveau cinéma arabe face aux mutations sociales et culturelles depuis 2011

18. Dezember 2025 um 22:43

Une table ronde sur le Nouveau cinéma Arabe sera organisée demain mercredi 17 décembre 2025 à l’hôtel Africa à 10h30, dans le cadre de la programmation spéciale de films qui ont marqué les esprits et se sont imposés comme des œuvres uniques dans l’histoire du cinéma arabe, au menu des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC).

Participent à cette rencontre une pléiade de producteurs, distributeurs et réalisateurs, journalistes et critiques de Tunisie, Egypte, Liban Maroc, Jordanie, Irak et Soudan, pour analyser les films qui ont représenté un bond qualitatif dans le fond et la forme, rompant avec le conventionnel et ouvrant une nouvelle voie dans leurs contenus et pour leurs créateurs, suivie par les successeurs de ces derniers.

Ces films donnent un aperçu sur les œuvres cinématographiques réalisées au cours du premier quart du XXIe siècle, notamment dans le sillage des bouleversements qui ont secoué le monde arabe depuis 2011.

En effet, profitant du climat de liberté qui a régné dans la plupart des sociétés arabes, une nouvelle vague d’œuvres cinématographiques a émergé, remettant en question l’ordre établi sous tous ses aspects. Leurs thèmes abordent des sujets auparavant tabous, tels que la sexualité, la condition féminine ou le terrorisme, indiquent les organisateurs.

Ces œuvres ont également connu un bond qualitatif au niveau des nouvelles techniques, dans l’éclairage ou les couleurs, entre autres, tirant parti des progrès technologiques enregistrés et qui sont aussi rapides que fulgurants, alors que le jeu des acteurs se caractérise, de nos jours, par plus de spontanéité et de réalisme. Elles reflètent, par ailleurs, les préoccupations, les angoisses et les craintes de la jeunesse qui les a créées, ainsi que leurs appréhensions quant à leur avenir.

A la lumière de cette évolution, les participants à cette table ronde tenteront de répondre à de nombreuses questions telles que ”Peut-on alors parler d’une nouvelle vague du cinéma arabe ?”, ”Ces œuvres peuvent-elles poser les fondements d’une nouvelle génération de cinéastes et de réalisateurs ?, Ou bien “sont-elles une nécessité dictée par les mutations qui ont affecté le public cinéphile, transformant ses centres d’intérêt et ses aspirations ? ”

Cette rencontre sera un échange d’opinions et d’idées en s’appuyant sur l’expérience des participants à cette rencontre de réflexion collective prévue dans le cadre de la 36ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage organisée du 13 au 20 décembre 2025.

L’article JCC 2025 : le Nouveau cinéma arabe face aux mutations sociales et culturelles depuis 2011 est apparu en premier sur WMC.

Gestern — 18. Dezember 2025Haupt-Feeds

JCC 2025 : une masterclass en hommage à Lakhdar Hamina avec son fils Malik Lakhdar Hamina

18. Dezember 2025 um 22:16

Dans le cadre d’un hommage rendu au réalisateur et producteur algérien Lakhdar Hamina,les JCC organisent une masterclass vendredi 19 décembre 2025 à 11h à la Salle des Jeunes créateurs de la Cité de la Culture avec pour invité Malik Lakdhar Hamina, acteur, réalisateur, scénariste et fils du détenteur de la Palme d’or du festival de Cannes en 1975.

Modérée par l’universitaire et critique Kamel Ben Ouanès, cette rencontre filiale apportera au public des JCC un regard personnel et croisé sur la carrière d’un cinéaste qui a marqué l’histoire du cinéma africain.

Outre la masterclass, l’hommage rendu à Lakhdar Hamina comprend la projection d’une sélection de trois de ses œuvres emblématiques : Chronique des années de braise (1975) en version restaurée, Le Vent des Aurès (1967) et Crépuscule des ombres (2014).

Cette rencontre est organisée dans le cadre de la 36ème édition des Journées cinématographiques de Carthage (JCC, 13-20 décembre 2025).

L’article JCC 2025 : une masterclass en hommage à Lakhdar Hamina avec son fils Malik Lakhdar Hamina est apparu en premier sur WMC.

Bourse Tunis : STAR Assurances porte son capital à 50 millions de dinars après incorporation de réserves

18. Dezember 2025 um 17:13

La Société Tunisienne d’Assurances et de Réassurances -STAR- porte à la connaissance de ses actionnaires et du public que son Assemblée Générale Extraordinaire, réunie le 22 avril 2025, a décidé, sur proposition du Conseil d’Administration, la réalisation successive des deux opérations suivantes :

1) Réduction de la valeur nominale :

La valeur nominale de l’action passera de dix (10) dinars à cinq (5) dinars, ce qui portera le nombre d’actions composant le capital de la STAR de 2 307 693 actions de 10 dinars chacune à 4 615 386 actions de 5 dinars chacune.

A l’issue de cette opération, le capital social demeurera inchangé et égal à 23 076 930 dinars divisé en 4 615 386 actions de 5 dinars chacune.

Le conseil d’administration de la STAR réuni le 12 décembre 2025 a fixé la date de réduction de la valeur nominale au 22 décembre 2025.

2) Augmentation de capital par incorporation de réserves :

Une augmentation de capital par incorporation de réserves qui portera sur un montant de 26 923 085 dinars à prélever du compte résultats reportés.

Le capital social de la STAR sera porté de 23 076 930 dinars à 50 000 015 dinars divisé en 10 000 003 actions de nominal 5 dinars chacune.

Cette augmentation donnera lieu à l’émission de 5 384 617 actions nouvelles gratuites de nominal 5 dinars chacune à attribuer aux anciens actionnaires et aux cessionnaires de droits d’attribution en bourse à raison de sept (7) actions nouvelles pour six (6) actions anciennes.

Le conseil d’administration de la STAR réuni le 12 décembre 2025 a fixé la date d’attribution des actions gratuites au 22 décembre 2025.

Jouissance des actions nouvelles gratuites :

La date de jouissance des actions nouvelles gratuites est fixée pour le 1er janvier 2025.

Cotation en bourse :

Les droits d’attribution seront détachés et négociés en Bourse concomitamment avec la date de la réalisation de la réduction de la valeur nominale soit le 22 décembre 2025.

Les actions nouvelles gratuites seront négociables en bourse à partir du 22 décembre 2025, sur la même ligne que les actions anciennes auxquelles elles seront assimilées dès leur création.

Les droits d’attribution seront négociables en bourse à partir du 22 décembre 2025.

Prise en charge par Tunisie Clearing :

Les actions nouvelles gratuites et les droits d’attribution seront pris en charge par Tunisie
Clearing à partir du 22 décembre 2025.

L’article Bourse Tunis : STAR Assurances porte son capital à 50 millions de dinars après incorporation de réserves est apparu en premier sur WMC.

La Bourse termine dans le vert malgré des replis sur UBCI et TUNINVEST

18. Dezember 2025 um 17:03

Le marché boursier a clôturé la séance de jeudi, sur une note positive, progressant de 0,3 % à 13220,3 points dans un volume soutenu de 14,3 MD, selon l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

La séance a été marquée par la réalisation de deux transactions de bloc sur le titre STAR (4,3 MD) et d’une transaction sur le titre POULINA GROUP HOLDING (1 MD). Le titre SMART TUNISIE s’est offert la meilleure performance de la séance. La valeur a signé une avancée de 3,7 %, à 18,990 D dans un volume de 114 mille dinars sur la séance.

L’action CELLCOM s’est bien comportée sur la séance. L’action a pris 2,7 % à 3,000 D en drainant des flux de l’ordre de 44 mille dinars.

Le titre UBCI s’est placé en lanterne rouge du marché, affichant un repli de -4,3 %, à 32,400 D. La valeur a généré un volume dérisoire de mille dinars sur la séance.

Le titre TUNINVEST a figuré parmi les plus grands perdants de la séance, accusant une baisse de –2 % à 44,000 D. L’action de la société d’investissement a drainé des capitaux de 26 mille dinars.

Le titre SFBT a chapeauté le palmarès des échanges avec un volume global de 4,7 MD . Le titre du spécialiste en boissons gazeuses et alcoolisées a clôturé la séance sur une hausse de 0,8 % à 12,440 D .

L’article La Bourse termine dans le vert malgré des replis sur UBCI et TUNINVEST est apparu en premier sur WMC.

Sud Meliane : un projet stratégique de 140 millions de dinars pour renforcer le traitement des eaux usées

18. Dezember 2025 um 16:48

Environ 90 % du budget du ministère de l’Environnement pour la période 2026-2027 seront consacrés aux projets liés à l’assainissement, a indiqué le ministre, Habib Abid, lors d’une journée d’information consacrée à l’état d’avancement du projet de réhabilitation de la station d’épuration du projet “Sud Meliane”.

Le ministre a précisé que l’élaboration du plan du ministère pour la période 2026-2027 est achevée. Ce plan repose sur cinq axes majeurs, portant, essentiellement, sur l’assainissement, la gestion et le traitement des déchets, l’aménagement du littoral ainsi que la réalisation d’une ceinture verte. Cette dernière sera généralisée à sept gouvernorats, à savoir Sfax, Gabès, Kairouan, Sidi Bouzid, Gafsa et Kasserine, dans l’objectif de promouvoir le développement social et économique, de protéger l’environnement et de limiter l’avancée du sable.

Dans le même contexte, le ministre de l’Environnement a fait savoir que son département est parvenu, en partenariat avec le ministère de l’Économie, à inscrire 40 projets prioritaires, dont les études ont été finalisées dans le cadre du programme et du plan de l’année 2026.

Il a ajouté que le ministère a programmé 1 300 projets dans son plan pour la période 2026-2027, pour un coût global avoisinant 4 000 millions de dinars, sur un total de 1 500 projets proposés par les conseils locaux, régionaux et territoriaux.

Concernant les orientations majeures en matière de propreté et de gestion des déchets, Abid a mis l’accent sur la production d’électricité à partir des déchets ménagers. Il a évoqué la possibilité de valoriser environ 2 800 tonnes de déchets produits quotidiennement, dans le Grand Tunis, afin de générer de l’électricité et permettre à la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) de l’exploiter en tant qu’énergie verte.

De son côté, le chef du projet de la station d’épuration de Sud Meliane, Elyes El Mili, a indiqué que ce projet, dont le coût est estimé à environ 140 millions de dinars, revêt un caractère stratégique. Il vise à améliorer les performances de la station en portant sa capacité de traitement de 40 000 à 90 000 mètres cubes par jour, tout en intégrant une unité de traitement tertiaire, afin d’améliorer la qualité des eaux traitées et d’élargir leur utilisation dans les secteurs agricole et industriel.

El Mili a ajouté que la station est équipée des technologies les plus récentes à l’échelle mondiale et qu’elle répond à l’évolution démographique de la banlieue sud de la capitale. Le taux d’avancement des travaux atteint actuellement 50 %, avec un achèvement du projet, prévu vers la fin de l’année 2026.

Par ailleurs, le chef de service à l’Office national de l’assainissement (ONAS), Hatem Drine, a indiqué que le projet de la station d’épuration de Sud Meliane est le plus important parmi les dix projets financés par le programme « Depolmed » dans le gouvernorat de Ben Arous.

Le programme de réduction de la pollution en mer Méditerranée « Depolmed » vise à accompagner l’ONAS dans la mise en œuvre de la première phase d’un programme d’investissement ambitieux dédié à l’assainissement des zones côtières. Selon Hatem Drine, le site de la station de Sud Meliane constitue un modèle de référence, illustrant l’importance des investissements dans le secteur environnemental et leur rôle stratégique dans la gestion durable des eaux usées.

L’article Sud Meliane : un projet stratégique de 140 millions de dinars pour renforcer le traitement des eaux usées est apparu en premier sur WMC.

Langue arabe : entre richesse patrimoniale, évolution naturelle et exigences du numérique

18. Dezember 2025 um 16:39

Le directeur du Département d’Arabe de la faculté des Lettres, des Arts et des Humanités de la Manouba. Taoufik Aloui, a souligné l’importance d’une collaboration étroite entre informaticiens, linguistes et spécialistes des langues pour mettre en lumière l’évolution et la diversité de la langue arabe et parvenir à une numérisation linguistique de pointe, à la hauteur de sa valeur et de son statut.

Lors de la rencontre scientifique organisée, hier jeudi, par le département sur la richesse et la constante évolution de la langue arabe à l’occasion de la Journée mondiale de la langue arabe, il a souligné que la langue arabe possède des caractéristiques structurelles, morphologiques et sémantiques qui la rendent particulièrement adaptée au traitement informatique et lui permettent de suivre le rythme des progrès technologiques et de la numérisation moderne a-t-il expliqué, soulignant l’impératif d’établir un cadre conceptuel et terminologique dynamique qui démontre le potentiel de l’arabe, une langue dont la beauté classique et les qualités poétiques n’empêchent ni son évolution ni sa libération de la stagnation.

Aloui a relevé que cette évolution est une loi naturelle qui régit les langues vivantes, et non pas un simple choix à adopter ou à ignorer en fonction de leur capacité à évoluer avec les sociétés et leurs besoins, et à être influencées par les transformations culturelles, scientifiques et technologiques, qui s’adaptent et se renouvellent au fil du temps. Cette évolution n’est ni un coup porté à la langue ni une insulte, mais plutôt un facteur d’attrait et de développement.

Le Directeur du département d’arabe a également souligné que ce rôle, dans cette évolution, n’incombe pas uniquement aux départements universitaires, mais aussi aux académies de langues, qui possèdent l’autorité scientifique et la référence institutionnelle leur permettant d’établir la terminologie, de normaliser l’usage linguistique et de suivre de manière systématique les transformations scientifiques dans les arts, les sciences humaines et d’autres domaines.

Dans le même esprit, il a invité les amoureux de la langue arabe à consulter des ouvrages fondamentaux de littérature, de linguistique et d’autres disciplines afin de comprendre l’évolution qu’a connue l’arabe depuis ses origines et de découvrir la multiplicité et la diversité de ses structures, considérant cela comme un enjeu primordial.

Il a recommandé de privilégier une écriture vivante et percutante, dans une langue créative qui respecte la lisibilité et prenne en compte la capacité du lecteur à comprendre et à s’impliquer, répondant ainsi à ses besoins dans diverses disciplines, qu’elles soient scientifiques, littéraires ou artistiques, et capable de satisfaire des intérêts variés sans compromettre la rigueur scientifique ni la valeur esthétique de l’expression.

Cette rencontre entre divers universitaires a comporté plusieurs présentations dans le cadre des défis auxquels la langue arabe est confrontée et de la question centrale de savoir dans quelle mesure elle suit le rythme des développements modernes en matière de numérisation et de technologie, et dans quelle mesure elle réussit à établir un discours linguistique pertinent et expressif de ces développements.

Plusieurs présentations consacrées à la langue arabe ont notamment porté sur L’Occident chrétien dans les sources hafsides à travers le langage présenté par professeur Lotfi Ben Milad du département d’histoire, L’arabe comme narrateur : les genres narratifs dans le patrimoine arabe par Noureddine Benkhoud,  Les enjeux de l’arabe dans le cadre de l’unité et de la diversité par le professeur Haykel Ben Mustapha du département de français,  Grammaire et linguistique arabes et La langue arabe comme affirmation identitaire chez les Morisques présentées par le professeur Ridha Mami du département d’espagnol et professeur Mehrez Boudhia a présenté “La langue dans le livre de Sibawayh” .

Les deux séances programmées, présidées par les professeurs Raja Ben Salama et Sourour Lahiani, se sont conclues par des discussions sur les moyens de développer la langue arabe, de s’adapter aux évolutions, de la moderniser, d’enrichir son expressivité et d’intégrer de nouveaux termes et concepts dans divers domaines scientifiques et littéraires.

Les participants ont également parlé du rôle joué par les différents départements qui contribue à renforcer la vitalité de la langue et à garantir sa capacité à se perpétuer et à interagir efficacement avec les exigences de l’ère moderne.

L’article Langue arabe : entre richesse patrimoniale, évolution naturelle et exigences du numérique est apparu en premier sur WMC.

Les RH face à l’IA : comment l’IA transforme concrètement les pratiques RH – Nizar Yaïche au HR AWARDS

18. Dezember 2025 um 16:32

Après avoir montré l’ampleur des chiffres et des enjeux macroéconomiques, Nizar Yaiche a, lors de la 12 -ème édition des HR Awards organisée vendredi 12 décembre à Tunis par l’Arforghe et la KAS, consacré une partie de son intervention à l’impact concret de l’IA sur les Ressources Humaines.

Automatisation, recrutement intelligent, learning adaptatif, inclusion numérique : les promesses sont nombreuses, mais elles exigent une transformation profonde des compétences des DRH. L’IA n’est pas seulement un outil, elle impose une nouvelle culture et une nouvelle responsabilité : protéger l’humain dans un monde où l’intelligence devient dynamique.

Nizar Yaiche (N.Y) s’en inquiète et à juste titre, lui qui considère que l’éthique doit occuper une place centrale dans les débats autour de l’intelligence artificielle. Car en transformant en profondeur les sciences sociales — de l’économie à la gestion — l’IA introduit de nouveaux outils, tels que les chatbots fondés sur des modèles de langage de grande taille (LLMs).

S’ils offrent des gains notables en productivité et en qualité rédactionnelle, ces dispositifs soulèvent néanmoins des questions sensibles : comment garantir l’attribution juste des idées, préserver l’originalité intellectuelle et, surtout, maintenir la place de l’homme au cœur de la création et de la décision ?

« L’intelligence artificielle oblige les RH à protéger l’humain dans un monde dynamique. »

L’IA au service des RH : une liste d’opportunités en expansion

N.Y rappelle dans sa présentation que 70 % des activités RH sont aujourd’hui partiellement automatisables. Cela ouvre un champ immense comprenant une cartographie dynamique des compétences : grâce aux “skills graphs”, les entreprises peuvent suivre en temps réel l’évolution des talents et anticiper les besoins et un learning adaptatif puisque l’IA permet de personnaliser les contenus de formation selon le profil, le rythme et la performance de chaque collaborateur.

Résultat : des formations plus efficaces et moins coûteuses, une requalification accélérée, une prévention de l’obsolescence des compétences.

D’autres parts grâce à l’IA, on peut procéder à des analyses prédictives RH : certains outils, là où la loi le permet, peuvent anticiper les démissions, mesurer la motivation ou détecter les risques sociaux.

L’IA ouvre la voie à une optimisation inédite des parcours de carrière : les algorithmes peuvent personnaliser la mobilité interne à grande échelle, en alignant les aspirations des collaborateurs avec les besoins stratégiques de l’entreprise, renforçant ainsi leur fidélisation.

À cela s’ajoute l’automatisation du back-office RH — génération de documents, reporting, communications — qui, dans certains cas, permet de multiplier la productivité par deux à quatre.

Les Bots RH intelligents, disponibles en continu, offrent quant à eux un accompagnement personnalisé : répondre aux questions, faciliter l’onboarding et fluidifier l’expérience employé. Enfin, l’IA contribue à l’inclusion numérique en réduisant la fracture digitale grâce à des interfaces accessibles et des tutoriels adaptés aux différents profils.

Toutes ces promesses de l’IA offrent-elles véritablement les garanties du succès ?

« Cette automatisation ouvre un champ immense d’opportunités, mais aussi de risques. »

Faire, ce n’est pas être le premier ; faire, c’est obtenir les résultats escomptés

Ces solutions existent déjà, mais leur déploiement dépend de la maturité des entreprises, des contraintes légales et de la protection des données. Certaines expériences montrent les limites d’une adoption trop rapide :

  • des campagnes de recrutement menées par des agents IA ont échoué, les candidats ayant rejeté l’idée d’un entretien automatisé ;
  • des algorithmes peuvent réduire certains biais, mais ils peuvent aussi en introduire de nouveaux si la gouvernance n’est pas rigoureuse ;
  • la prudence est donc de mise, insiste Nizar Yaïche : intégrer l’IA ne signifie pas seulement l’utiliser, mais l’utiliser correctement, avec des résultats tangibles.

Les DRH doivent se transformer, se convertir et s’adapter

Pour intégrer ces solutions, les directions RH doivent évoluer. Elles doivent acquérir une première liste de compétences techniques :

  • culture IA et compréhension technologique : savoir comment fonctionnent les modèles et les algorithmes.
  • data literacy avancée : analyser, interpréter et challenger les données produites par l’IA ;
  • redesign des processus RH : automatiser, optimiser et personnaliser grâce à l’IA ;
  • workforce planning assisté par IA : projection des métiers futurs, identification des compétences critiques ;
  • change management : gérer la résistance et accompagner l’adoption des outils IA.

Ces compétences ne sont plus optionnelles : elles sont indispensables pour crédibiliser la fonction RH dans un monde où les décisions sont de plus en plus algorithmiques.

« Les RH doivent éviter que certains deviennent les victimes invisibles de la révolution IA. »

Sauver les futures “victimes” de l’IA

Nizar Yaïche a mis l’accent sur un enjeu majeur, porté avec une intensité toute personnelle: l’IA risque d’accentuer le “digital divide” soit une fracture numérique qui peut creuser l’écart entre les employés, rappelant en cela Charles Darwin qui estime que “les espèces qui survivent ne sont pas nécessairement les plus fortes ou les plus intelligentes, mais celles qui s’adaptent le mieux aux changements de leur environnement”.

Dans le cas présent, précise Yaïche, certains collaborateurs s’adapteront vite, d’autres resteront en marge. Les RH doivent anticiper ce phénomène et mettre en place des solutions pour accompagner les plus vulnérables :

  • former ceux qui n’ont pas les compétences numériques ;
  • garantir que l’IA ne devienne pas un facteur d’exclusion ;
  • positionner les RH comme garants de justice et d’équité.

Car derrière les promesses de productivité, il y a des vies humaines. Et l’une des missions les plus nobles des RH sera de protéger ces vies, de donner une chance à ceux qui pourraient devenir les “victimes invisibles” de la révolution IA.

Le deuxième volet de la présentation de Nizar Yaïche à la 12ème édition des HR Awards de l’Arforghe, nous rappelle que l’IA n’est pas seulement une affaire de technologie. Elle est une affaire de dignité. Les DRH doivent apprendre à manier les outils, mais aussi à incarner des valeurs. Ils doivent être à la fois ingénieurs des compétences et gardiens de l’humain.

La suite de l’intervention de Nizar Yaiche approfondira encore cette responsabilité : comment les RH peuvent devenir les garants de l’équité algorithmique et accompagner les personnes en difficulté d’adaptation.

A suivre

Amel Belhadj Ali

EN BREF

  • L’IA transforme concrètement les pratiques RH.
  • 70 % des activités RH sont partiellement automatisables.
  • Les promesses sont fortes, mais les risques aussi.
  • L’éthique et la gouvernance deviennent centrales.
  • Les RH doivent protéger les plus vulnérables face à la fracture numérique.

 

L’article Les RH face à l’IA : comment l’IA transforme concrètement les pratiques RH – Nizar Yaïche au HR AWARDS est apparu en premier sur WMC.

Vacances d’hiver : les hôtels de Tozeur affichent complet avec un taux de réservation attendu à 100 %

18. Dezember 2025 um 16:27

Le gouvernorat de Tozeur devrait enregistrer un afflux touristique accru durant la période des vacances d’hiver, qui sera marquée par une hausse des réservations dans les établissements hôteliers et un renforcement des activités touristiques proposées aux visiteurs.

Le président de la fédération régionale des agences de voyages du sud-ouest 1, Abdelfattah Mlik, a indiqué que le taux des réservations dans les hôtels de la région devrait atteindre 100%, durant cette période.

Il a ajouté que l’infrastructure touristique dans la région vient d’être renforcée avec l’inauguration de deux unités hôtelières à Tamaghza et Nefta, outre l’ouverture prochaine d’un nouvel hôtel à Tozeur.

Par ailleurs, les préparatifs logistiques se poursuivent dans les hôtels et les maisons d’hôtes, ainsi qu’au niveau des agences de voyages, selon la même source.

L’article Vacances d’hiver : les hôtels de Tozeur affichent complet avec un taux de réservation attendu à 100 % est apparu en premier sur WMC.

L’Université de Tunis renforce son engagement citoyen avec SOS Villages d’Enfants

18. Dezember 2025 um 16:23

L’Université de Tunis et l’Association SOS Villages d’Enfants ont signé une convention de partenariat marquant une nouvelle étape dans leur engagement commun en faveur de la jeunesse.

Selon une publication diffusée ce jeudi sur la page officielle de l’Université de Tunis, ce partenariat permet aux clubs ambassadeurs de SOS Villages d’Enfants d’intervenir dans l’ensemble des établissements relevant de l’Université de Tunis, contribuant ainsi à la promotion des valeurs de solidarité et de citoyenneté auprès des étudiants.

Il offrira également aux clubs étudiants de l’Université de Tunis, ainsi qu’aux étudiants de l’Institut Supérieur de l’Animation pour la Jeunesse et la Culture (ISAJC), l’opportunité de s’impliquer lors de leurs stages dans des actions de soutien aux enfants accompagnés par l’association.

“Cette convention s’inscrit pleinement dans la stratégie d’ouverture et de responsabilité sociale de l’Université de Tunis, qui réaffirme ainsi son rôle actif dans le renforcement du lien entre l’Enseignement Supérieur et la société”, lit-on de même source.

L’article L’Université de Tunis renforce son engagement citoyen avec SOS Villages d’Enfants est apparu en premier sur WMC.

Issam Lahmar appelle à unifier les politiques sociales arabes pour un développement inclusif

18. Dezember 2025 um 15:53

Le ministre des affaires sociales, Issam Lahmar, a appelé, ce jeudi, les pays arabes à mettre en place des programmes communs et à unifier leurs politiques et leurs efforts afin de parvenir à un développement inclusif plaçant l’être humain au cœur de ses priorités, avec pour objectif la réalisation de la justice sociale et la garantie d’une vie décente à l’ensemble des sociétés arabes, en particulier aux catégories vulnérables et marginalisées.

S’exprimant lors des travaux de la 45è session du Conseil des ministres arabes des affaires sociales, organisée par le Secrétariat général de la Ligue des États arabes en Jordanie du 15 au 18 décembre en cours, Issam Lahmar a souligné que la Déclaration de Doha pour le développement social, constituera une véritable feuille de route pour l’ensemble des pays arabes en vue d’adopter de nouvelles approches plus efficaces, à même de répondre aux aspirations des peuples arabes face aux mutations économiques, sociales et climatiques actuelles, selon un communiqué du ministère des affaires sociales.

Dans son intervention, Lahmar a présenté l’approche renouvelée de la Tunisie en matière de développement, consacrée par la Constitution et basée sur le renforcement du rôle social de l’État, la garantie de l’égalité des chances entre les catégories sociales et les régions, ainsi qu’une répartition juste et équitable des richesses, tout en consolidant les valeurs de la démocratie sociale et de l’État de droit.

Lahmar a affirmé que la Tunisie mise sur le capital humain pour garantir le développement global, à travers l’investissement dans le développement des capacités humaines et l’amélioration des conditions de vie par la garantie d’un revenu décent.

Dans ce cadre, Issam Lahmar a passé en revue plusieurs mesures sociales adoptées par la Tunisie, notamment le renforcement du système de protection sociale selon une approche globale fondée sur les droits, visant à réduire la pauvreté multidimensionnelle et à promouvoir l’insertion économique des catégories vulnérables à travers le financement de projets individuels ou collectifs, favorisant ainsi leur autonomie.

Par ailleurs, le ministre des affaires sociales s’est félicité de l’inscription d’un point permanent à l’ordre du jour du Conseil consacré à la situation sociale en Palestine, afin de mettre en lumière les conditions humanitaires catastrophiques subies par le peuple palestinien en raison de la guerre d’extermination menée par l’occupation, en violation flagrante du droit international humanitaire et des droits humains fondamentaux.

Il a, dans ce contexte, appelé à redoubler les efforts arabes pour soutenir le peuple palestinien et garantir son droit naturel et humain à une vie digne.

L’article Issam Lahmar appelle à unifier les politiques sociales arabes pour un développement inclusif est apparu en premier sur WMC.

❌
❌