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Halim Hamzaoui, pilier de l’OIT en Afrique du Nord

01. September 2025 um 16:46

Mohamed Ali Nafti, ministre des Affaires Étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’Étranger a reçu Halim Hamzaoui Directeur du Bureau de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) pour l’Algérie, la Libye, le Maroc, la Mauritanie et la Tunisie.

Lors de cette rencontre, Halim Hamzaoui a remis ses lettres de créance. Il a aussi souligné l’engagement de l’OIT à renforcer la coopération avec la Tunisie en faveur du travail décent et de la justice sociale. De même qu’il a réaffirmé l’engagement de l’OIT à renforcer la coopération avec la Tunisie en faveur du travail décent et de la justice sociale.

Qui est Halim Hamzaoui?

Halim Hamzaoui est directeur par intérim au bureau de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) à Alger. Lequel couvre plusieurs pays d’Afrique du Nord, dont l’Algérie, la Libye, le Maroc, la Mauritanie et la Tunisie. Il agitdans des actions liées à la protection sociale et à l’amélioration des conditions sociales des populations vulnérables. Il collabore notamment avec des institutions comme la Caisse Nationale de Solidarité en Santé (CNASS) en Mauritanie.

Son parcours inclut également une expérience à l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), où il a œuvré pour le bien-être et la santé du personnel. Il est connu pour son engagement dans la promotion de la coopération internationale en matière de travail et de protection sociale dans la région.

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Kaïs Saïed : « La Tunisie progresse malgré des phénomènes anormaux »

30. August 2025 um 09:23

Le président de la République, Kaïs Saïed, a présidé vendredi 29 août 2025 un Conseil des ministres. Il a réaffirmé la volonté de l’État d’avancer malgré les obstacles, de combattre les pratiques illégales, de consolider l’État social et de réformer les circuits de distribution pour protéger le pouvoir d’achat des citoyens.

Le chef de l’État a ouvert la réunion en soulignant que la Tunisie progresse malgré des phénomènes anormaux qui affectent certains services publics. Il a insisté sur le rôle central de la vigilance et de la conscience du peuple tunisien pour déjouer les tentatives visant à semer le doute, le désespoir et l’abattement.

Transparence et lutte contre les pratiques illégales

Kaïs Saïed a dénoncé de nombreuses pratiques anormales dont les sources et les objectifs sont connus. Il a affirmé que la sécurité et la stabilité du pays reposent sur la conscience citoyenne et sur la volonté ferme de faire face aux défis. Selon lui, les choix du peuple finiront par s’appliquer, en dépit des manœuvres et des manipulations menées par certains acteurs.

Le président a rappelé que l’État social n’est pas un slogan, mais une orientation globale qui doit concerner tous les secteurs et l’ensemble du pays. Il a souligné que toutes les lois doivent répondre aux attentes de la population et que ceux qui les appliquent doivent y croire sincèrement.

L’échec des anciens systèmes de distribution

Kaïs Saïed a critiqué l’échec des anciens systèmes de distribution, qui n’ont pas permis de protéger le pouvoir d’achat des citoyens. Il a appelé à une nouvelle approche pour mettre fin à la spéculation, au monopole et aux pratiques des lobbies, désormais exposés au grand jour.

Le chef de l’État a averti que les responsables de malversations et de corruption « ne resteront pas impunis ». Il a insisté sur le fait que la dignité et la justice des citoyens sont sacrées et ne peuvent être bafouées par les corrompus et leurs alliés.

En conclusion, le président a affirmé que la révolution législative seule ne suffit pas. Elle doit être accompagnée d’une transformation administrative profonde, couronnée par une révolution culturelle qui marquera une rupture définitive avec « le passé révolu ».

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L’économie tunisienne peine à remonter la pente

28. August 2025 um 10:38

La Première ministre, Sarra Zaafrani Zenzeri, a une nouvelle fois appelé à «intensifier les efforts pour concilier croissance économique et justice sociale, tout en renforçant les piliers de l’État social.» Sauf que son gouvernement est davantage concentré sur la réalisation du 1er et du 3e point (justice sociale et Etat social), afin de se conformer aux recommandations du président de la république Kaïs Saïed, que sur le 2e relatif à la croissance économique, laquelle peine à remonter la pente depuis 2011 (elle n’a pas dépassé 1,4% en 2024, malgré une bonne saison agricole et touristique).

Imed Bahri

Recevant, mercredi 27 août 2025, au Palais du gouvernement à la Kasbah, le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT), Fethi Zouhair Nouri, qui lui a présenté le rapport annuel 2024 de l’Institut d’émission, Mme Zenzeri a mis en exergue l’importance des résultats obtenus par la BCT, notamment en matière de maîtrise de l’inflation, des taux de change et des réserves de change, indicateurs nécessitant le maintien d’une certaine autosuffisance, selon ses termes.

Cette réunion a une nouvelle fois insisté sur la subordination de la BCT au pouvoir exécutif, soulignant son «rôle central dans le soutien des efforts de l’État, tant sur le plan monétaire qu’économique.»

Mme Zenzeri a aussi insisté sur la nécessité de résister à toute pression extérieure, conformément à l’approche du président Kaïs Saied, et a salué la Banque centrale, en tant qu’institution publique clé, pour «sa contribution à la mise en œuvre des politiques publiques de l’État, fondées sur la volonté populaire.»

Le gouverneur Fethi Zouhair Nouri a, pour sa part, souligné l’importance de la concertation entre le gouvernement et la Banque centrale pour élaborer la politique économique du pays au service des intérêts de la Tunisie, ajoutant que la Tunisie a poursuivi ses efforts pour parvenir à la stabilité macroéconomique, améliorer la croissance économique, maîtriser l’inflation, préserver les réserves de devises et la valeur du dinar tunisien. Sauf que les résultats des politiques économiques et monétaires mises en œuvre depuis 2011 restent très mitigés avec des taux de chômage, d’inflation, de déficit public et d’endettement, extérieur et intérieur, qui restent relativement élevés. Alors que les leviers de la prospérité, à savoir l’investissement, la croissance, la productivité et l’exportation, demeurent faibles et peine à redémarrer.

Un contexte général peu propice à la relance

Certes, comme l’a souligné le gouverneur, la politique monétaire a aidé à réduire l’inflation et le taux d’intérêt central a été réduit de 50 points de base le 26 mars 2025, mais aussi bien le taux d’inflation que le taux d’intérêt restent relativement élevés et n’aident pas à la relance de l’investissement et de la croissance. Sans parler du contexte général d’instabilité, de suspicion et d’incertitude où baigne le milieu des affaires.

C’est sur les causes, structurelles et conjoncturelles, de ce blocage de la machine économique dans le pays et des moyens d’y remédier qu’on aurait aimé entendre les analyses de Mme Zaâfrani Zenzeri et, surtout, de M. Nouri, le gouverneur de la BCT le moins versé dans les questions monétaires (c’est un économiste spécialisé dans les questions énergétiques) et aussi le moins loquace que la Tunisie ait eu au cours du dernier demi-siècle. Ceci explique-t-il cela ?  

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Tunisie : Kais Saied insiste sur la justice sociale et la lutte contre la corruption

Le président de la République, Kais Saied, a reçu ce lundi 7 juillet au palais de Carthage la cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzri. La réunion a porté sur plusieurs projets de lois et de décrets actuellement à l’étude.

À cette occasion, le chef de l’État a rappelé que les priorités de l’action gouvernementale doivent être centrées sur la justice sociale, le renforcement de l’investissement et l’éradication de la corruption. Il a souligné que de nombreux services publics ne peuvent remplir efficacement leur mission que si les responsables administratifs répondent de manière proactive aux besoins des citoyens.

« Il ne peut y avoir de véritable réforme législative sans une réforme administrative profonde, elle-même fondée sur un changement culturel dans les mentalités », a déclaré Kais Saied, insistant sur la nécessité de rétablir une relation de confiance forte entre l’administration et les usagers.

Le président a également mis en garde contre les tentatives de déstabilisation menées par des « poches de la contre-révolution ». Selon lui, malgré leurs manœuvres répétées et leurs « masques changeants », ces acteurs sont désormais clairement identifiés par le peuple tunisien.

« Les défis auxquels nous faisons face doivent être relevés avec détermination. Le peuple tunisien poursuivra sa route et fera échec à toutes les conspirations », a-t-il affirmé.

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