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‘‘L’Algérie, ma mère et moi’’ | Les mots frontières de Smaïn Laacher  

13. Dezember 2025 um 07:33

Dans son livre ‘‘L’Algérie, ma mère et moi’’ paru le 8 octobre 2025, Smaïn Laacher revient sur une histoire intime qui résonne bien au-delà de sa seule biographie. Tout commence par une phrase de sa mère, répétée au fil des années comme une sentence douce-amère : «La France a mangé mes enfants». Une parole sans colère, sans rancœur, mais traversée d’une immense résignation. Cette phrase incarne à elle seule la déchirure silencieuse qui habite le livre : celle d’une femme restée prisonnière de son Algérie d’avant, et d’un fils devenu homme dans une France républicaine et savante.

Djamal Guettala 

Laacher grandit dans le bonheur d’une école qui l’intègre et le propulse vers la recherche, mais sa mère, elle, «est restée figée dans l’imaginaire de son pays de naissance». Entre eux, une distance s’installe, sourde, invisible. «Nous n’habitions plus le même monde», écrit-il. Le cœur du livre est là : comprendre comment une mère et un fils, liés par l’amour, se retrouvent séparés par les langues, les gestes, les horizons.

L’extrait consacré à la mort de la mère est l’une des séquences les plus fortes du récit. Il écrit : «Il est 2 h 30 du matin. Je reçois un SMS de mon frère. Je sais avant de le lire. On ne reçoit pas de texto à 2h30 du matin.»

Tout s’arrête. L’annonce n’est pas un choc, mais un basculement. «Voilà, c’est fini, elle ne souffrira plus», pense-t-il d’abord. Mais la disparition ouvre surtout un gouffre intérieur : «Le voyage dans la vie n’est plus le même. Elle s’est arrêtée, et moi je continue.»

Une femme empêchée par une vie de labeur

Dans ces pages de grand dépouillement, Laacher expose la mécanique de ses regrets et de ses remords. Le regret d’avoir pu faire «mieux et plus». Le remords d’avoir parfois laissé transparaître une forme d’impatience, même d’arrogance savante, face à une femme empêchée par une vie de labeur, les non-dits, l’exil, l’absence de maîtrise de la langue française. Elle répétait : «Je sais pas, je sais pas», mélange de français approximatif et d’arabe familier. Pour lui, cette phrase devient aujourd’hui le signe d’une humiliation intériorisée : «Vous, vous savez tout ; moi, je ne sais jamais rien.»

La scène des obsèques apporte une dimension presque cinématographique au récit. Le lecteur assiste à ce moment de vérité où les identités religieuses, sociales, culturelles se croisent et se contredisent. L’auteur raconte : «Nous formons un arc de cercle. Nous sommes une petite vingtaine. Pas exclusivement des musulmans.»

Les rites se confrontent aux gestes spontanés, aux maladresses, aux ignorances. La famille jette des poignées de terre ? Non, ils ne savent pas. Les femmes doivent rester derrière ? Sa sœur s’avance malgré tout. Contre toute attente, l’imam lui fait signe d’approcher, défiant la tradition pour un geste d’humanité simple : permettre à une fille de recouvrir la tombe de sa mère.

Un autre moment suspendu surgit lorsqu’un bouquet est déposé sur la tombe – geste rare dans les enterrements musulmans : «Les anciens employeurs de ma mère ont déposé un joli bouquet au pied de sa tombe.»

Ce geste inattendu marque la vie française de cette femme qui n’a jamais tout à fait trouvé sa place, mais dont la présence a profondément touché ceux qui l’ont côtoyée.

Un livre pudique, lucide et déchirant

Le livre est traversé d’une question fondamentale : qu’est-ce qui sépare une mère de son fils ? Les langues, les non-dits, l’exil ? Ou bien la lente transformation de l’un qui accède à un monde intellectuel, abstrait, théorique, quand l’autre reste arrimée à la survie, aux gestes simples, à une Algérie idéalisée ?

Laacher parle d’un «récit d’ego-sociologie». Il observe la relation filiale comme un terrain d’enquête, où les émotions sont traitées avec la même rigueur que les phénomènes sociaux. Pourtant, le livre n’est jamais sec. Il reste charnel, tremblé, pudique. On sent, derrière chaque réflexion, un fils qui tente de réparer ce qui ne peut plus l’être.

L’un des passages les plus puissants est peut-être celui où il reconnaît, avec une sincérité déchirante : «Sûrement elle avait besoin de moi et moi j’étais à ses yeux un présent-absent.»

Toute la force du livre tient dans cet aveu : l’amour était là, mais sans langage commun pour l’exprimer.

Avec ‘‘L’Algérie, ma mère et moi’’, Smaïn Laacher livre l’un de ses textes les plus humains. Ce n’est pas seulement l’histoire d’une migration, d’un décalage culturel, d’un fossé linguistique. C’est l’histoire d’une femme qui a traversé la vie en silence, et d’un fils qui tente, après coup, de lui rendre justice par l’écriture.

Smaïn Laacher est sociologue, Professeur émérite à l’université de Strasbourg. Il a été de 1998 à 2014 Juge assesseur représentant le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) à la Cour nationale du droit d’asile (Paris). De 2019 à 2023, il fut président du conseil scientifique de la Délégation Interministérielle à la Lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH). Il est actuellement directeur de l’Observatoire du fait migratoire et de l’asile de la Fondation Jean-Jaurès. Son dernier ouvrage, ‘‘L’immigration à l’épreuve de la nation’’ (éd. L’Aube, 2024).

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Migration : Berlin cite la Tunisie parmi les pays potentiels pour des centres de retour

11. Dezember 2025 um 11:07

Le gouvernement allemand envisage la création de « centres de retour » hors de l’Union européenne pour y transférer certains migrants en situation irrégulière, selon une information du quotidien allemand Bild. Parmi les pays évoqués figure la Tunisie, aux côtés de l’Ouganda, mais aucun accord n’a été conclu et Tunis n’a pas été officiellement sollicitée. Selon le journal, d’autres pistes sont également étudiées, dont la région du Kurdistan irakien, considérée par Berlin comme relativement stable et susceptible d’accueillir des structures similaires.

Selon Bild, Berlin cherche à externaliser une partie du traitement des migrants déboutés ou non expulsables et a identifié plusieurs États potentiels pour accueillir des centres de transit. La Tunisie apparaît dans cette liste préliminaire, dans un projet encore en phase exploratoire.

Le journal précise que ce dispositif ne viserait pas spécifiquement des Tunisiens et qu’il ne s’agit pas d’un mécanisme de renvoi automatique de migrants non tunisiens vers la Tunisie. À ce stade, aucune base juridique ni coopération bilatérale ne permettent de tels transferts.

Pas de consultation de Tunis

Aucune réaction officielle tunisienne n’a été publiée concernant les informations rapportées par Bild. Selon les données disponibles, Tunis n’a pas été associée aux discussions évoquées par la presse allemande.

Depuis 2023, le président Kaïs Saïed a à plusieurs reprises affirmé que la Tunisie « n’acceptera jamais d’être un pays de réinstallation » et refuse d’accueillir des migrants dont les États européens cherchent à externaliser la prise en charge.

Le 6 décembre 2025 à Genève, Mohamed Ali Nafti, ministre tunisien des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, a réaffirmé cette position lors d’une table ronde de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), déclarant que la Tunisie refuse d’être un pays de transit ou d’installation pour les migrants irréguliers.

Tunisiens expulsés d’Allemagne : ce qui existe déjà

Les expulsions de ressortissants tunisiens depuis l’Allemagne ne sont pas nouvelles et s’inscrivent dans un cadre distinct des projets évoqués par Bild.

Entre 2018 et 2025, environ 1780 Tunisiens ont été renvoyés vers leur pays d’origine lors de vols de retour organisés, selon des données compilées par plusieurs ONG spécialisées. L’an dernier, près de 300 Tunisiens ont fait l’objet d’une expulsion après le rejet de leur demande d’asile ou la perte de leur statut légal. Ces retours forcés, effectués au cas par cas, relèvent des procédures bilatérales classiques entre Tunis et Berlin et ne sont pas liés au concept de « centres de retour » actuellement à l’étude par l’Allemagne.

Un projet européen encore incertain

L’idée de centres de retour fait suite à l’approbation par les ministres de l’Intérieur de l’UE d’une position commune sur les pays sûrs et le futur règlement relatif au rapatriement. Les négociations doivent maintenant s’ouvrir avec le Parlement européen.

Le projet reste néanmoins lointain : plusieurs questions juridiques, financières et diplomatiques demeurent sans réponse, et aucun État tiers n’a pour l’instant accepté d’héberger de telles structures.

Au niveau européen, la faisabilité de ces centres reste incertaine. Plusieurs groupes du Parlement estiment que l’externalisation des procédures d’asile pourrait contrevenir aux règles européennes et au droit international, tandis qu’aucun dispositif similaire n’a jamais été mis en œuvre malgré plusieurs tentatives de l’UE ces dernières années.

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OIM 2025 : la Tunisie obtient l’appui du Groupe africain pour sa première vice-présidence

09. Dezember 2025 um 15:15

La Tunisie a été soutenue à l’unanimité par le Groupe africain, le 8 décembre 2025, pour la candidature de sa première vice-présidente au Conseil de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).

Selon la page Facebook de la Mission permanente de la Tunisie à Genève, cette initiative a eu lieu lors de la séance inaugurale de la 116ᵉ session du Conseil de l’OIM, qui se tient du 8 au 10 décembre 2025 au Centre des congrès de Genève.

Ce soutien unanime des États membres du Groupe africain témoigne de la reconnaissance internationale du rôle actif de la Tunisie dans les questions migratoires et de sa contribution aux travaux de l’OIM.

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Nafti : La Tunisie Refuse d’être une Terre de Transit ou d’Installation pour les Migrants Irréguliers

Von: walid
08. Dezember 2025 um 11:24

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti a réaffirmé, lors de sa participation à une table ronde ministérielle organisée, samedi à Genève, par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), la position de principe et constante de la Tunisie refusant d’être un pays de transit ou une terre d’installation pour les migrants en situation irrégulière.

Il a souligné que la mobilisation de ressources humaines et matérielles pour protéger les frontières tunisiennes ne saurait en aucun cas être “une forme de rejet de l’autre”, précisant que la Tunisie demeurera une terre de rencontre des civilisations, dès lors que les règles de séjour y sont respectées.

Cité dans un communiqué du ministère des affaires étrangères, Nafti a présenté les efforts déployés par la Tunisie pour contribuer à trouver des solutions pratiques au phénomène de la migration irrégulière, insistant sur le fait que ces efforts s’inscrivent dans une approche globale fondée sur le respect de la dignité des migrants victimes des réseaux de traite des personnes et sur le sauvetage des vies humaines.

Il a également indiqué, dans ce contexte, l’importance de concilier la dimension humaine avec les impératifs de sécurité, de développement, de partage des responsabilités et de coordination entre tous les partenaires régionaux et internationaux touchés par les fléaux de migration irrégulière.

Le ministre a, à cette occasion, évoqué les différentes mesures et dispositions opérationnelles prises par les autorités tunisiennes compétentes pour assurer le bon déroulement du processus de retour volontaire des migrants, en étroite coordination avec le bureau de l’OIM en Tunisie.

Il a, dans ce sens, insisté sur la nécessité de renforcer l’efficacité de cette démarche à travers une meilleure coordination régionale et internationale afin de freiner davantage et d’éliminer les activités des réseaux de traite des personnes.

La table ronde ministérielle, intitulée « La migration en Afrique à la croisée des chemins : de la coopération à la recherche de solutions », a réuni des ministres et responsables en charge du dossier migratoire dans plusieurs pays africains.

Par ailleurs, le ministre a eu un entretien avec la directrice générale de l’OIM, Amy Pope ainsi qu’avec plusieurs responsables de l’organisation.

Les discussions ont porté notamment les relations de coopération entre la Tunisie et l’OIM, ainsi que sur l’accélération des programmes de retour volontaire des migrants irréguliers vers leurs pays d’origine, avec un accompagnement visant à les aider à lancer des projets de développement dans leurs régions.

Nafti a également rencontré son homologue du Bénin. L’entretien a permis de saluer la coopération économique et universitaire existante entre les deux pays et de convenir d’une préparation adéquate de la prochaine échéance bilatérale, afin de développer davantage cette coopération et d’en élargir les perspectives.

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Après les tirs à Washington, Trump va stopper l’immigration en provenance du « tiers-monde »

28. November 2025 um 06:51

Au lendemain de la fusillade qui a coûté la vie à une membre de la Garde nationale à Washington, le président américain Donald Trump a annoncé vouloir « suspendre définitivement » l’immigration en provenance de ce qu’il appelle les pays du « tiers-monde ». Une déclaration à tonalité radicale, formulée à chaud après l’attaque survenue près de la Maison-Blanche et commise par un ressortissant afghan arrivé aux États-Unis en 2021.

L’auteur présumé de la fusillade, interpellé après avoir tiré sur deux soldats, faisait partie des milliers d’Afghans réinstallés aux États-Unis après la chute de Kaboul. Selon les autorités, le drame a immédiatement relancé le débat sur la politique d’accueil de ressortissants venant de zones de conflit. La mort de la militaire Sarah Beckstrom a ajouté un poids émotionnel considérable à une affaire déjà politiquement explosive.

Peu après l’annonce du décès de la soldate, Trump a publié un message dans lequel il affirme que la « migration permanente en provenance de nations pauvres et instables sera mise en pause pour de bon ». Cette formulation, inédite, laisse entendre un gel potentiellement massif qui dépasserait le seul cas afghan. Les États-Unis avaient déjà entrepris un réexamen complet des cartes vertes délivrées à des ressortissants de 19 pays considérés comme à haut risque.

Suspension de démarches

La Maison-Blanche avait par ailleurs suspendu toutes les demandes d’immigration afghanes en cours, une mesure qui pourrait désormais s’étendre à un groupe plus large de pays. Le gouvernement justifie cette ligne dure par des impératifs sécuritaires, tout en affirmant que les programmes existants de réinstallation ont « laissé passer des individus dangereux ».

Cette réaction soulève de nombreuses interrogations. Plusieurs organisations de défense des droits humains dénoncent une logique de punition collective qui assimile l’ensemble des migrants de certains pays à une menace potentielle. D’autres observateurs rappellent que la majorité des 77 000 Afghans accueillis depuis 2021 n’ont aucun lien avec des activités criminelles, et que ce durcissement risque de fragiliser des familles déjà exposées à des situations dramatiques.

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Afrique-Europe : la Tunisie appelle à une mobilité légale et responsable

25. November 2025 um 19:44

Lors de la septième Sommet Afrique-Europe, qui s’est tenu les 24 et 25 novembre en Angola, le ministre tunisien des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens de l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a réaffirmé la position de son pays en faveur d’une approche globale et multidimensionnelle de la migration. Selon lui, cette approche doit conjuguer les dimensions humanitaires, économiques, sociales et culturelles, tout en reposant sur la responsabilité partagée et l’équité, notamment face aux disparités de développement et aux inégalités entre le Nord et le Sud.

Dans son intervention lors de la session consacrée à « un avenir prospère et durable pour l’Afrique et l’Europe et le partenariat pour la migration et la mobilité », le ministre tunisien a appelé à accélérer la mise en œuvre de programmes de mobilité légale et circulaire entre les deux continents. Il a également proposé la création d’une plateforme commune entre l’Union africaine et l’Union européenne pour encourager l’investissement conjoint dans les pays d’origine des migrants.

Mohamed Ali Nafti a insisté sur le fait que l’avenir de l’Afrique et de l’Europe dépend de la capacité à établir des parcours de migration réguliers, transparents et attractifs, sans compromettre les ressources humaines des pays exportateurs de compétences. Il a souligné la nécessité de prévenir la fuite des cerveaux en mettant en place des partenariats solidaires et des mécanismes favorisant le retour des experts, tout en soutenant les systèmes nationaux d’enseignement supérieur, de formation professionnelle et d’apprentissage tout au long de la vie. Pour lui, « la migration peut devenir un moteur de développement et de richesse lorsque son organisation est sûre, légale et respectueuse de la dignité humaine ».

Co-travail avec l’Organisation internationale pour les migrations

Le ministre a également évoqué les défis posés par la migration irrégulière, soulignant que ce phénomène est alimenté par les réseaux de trafic et d’exploitation des êtres humains. Il a salué le co-travail avec l’Organisation internationale pour les migrations visant à créer de nouvelles opportunités et à mobiliser les ressources humaines pour investir au profit des migrants dans leurs pays d’origine.

Enfin, Mohamed Ali Nafti a rappelé l’engagement de la Tunisie envers le multilatéralisme et la nécessité de renouveler la coopération internationale dans un monde en profonde mutation, où les crises économiques, sécuritaires, environnementales et humanitaires se croisent. Il a plaidé pour la construction de systèmes plus justes et pour un changement de politique fondé sur l’humain comme moteur réel du développement, au service des générations présentes et futures.

La réunion a conduit à l’adoption d’une déclaration conjointe Afrique-Europe, qui fixe les grandes orientations et priorités de la coopération entre les deux continents pour les années à venir. Les engagements portent sur le renforcement du partenariat dans les domaines de la paix, de la sécurité, de la migration et du développement, ainsi que sur le soutien au multilatéralisme et à sa réforme pour assurer une représentation équitable de l’Afrique face aux défis communs des deux continents.

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Tunesischer Innenminister Fekih besucht Innenminister Karner in Wien

Von: Redaktion
16. April 2024 um 18:15

Der tunesische Innenminister Kamel Fekih war am 15. und 16. April 2024 bei Innenminister Gerhard Karner für Arbeitsgespräche in Österreich. Im Zentrum der Gespräche standen Mehr

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