Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 13. Februar 2025Haupt-Feeds

Grand Prix Para-athlétisme de Dubai : Yassine Gharbi médaillé d’argent au 800 m chaises (T54)

13. Februar 2025 um 14:29

Le Tunisien Yassine Gharbi a remporté la médaille d’argent du 800 m chaises (T54) en parcourant la distance en 1:34:32, mercredi soir, dans le cadre du meeting international de Dubaï comptant pour le Grand Prix de para-athlétisme.

Il s’agit de la troisième médaille remportée par Yassine Gharbi lors de ce meeting, après l’or du 400 m chaises et le bronze du 1500 m (T54).

L’article Grand Prix Para-athlétisme de Dubai : Yassine Gharbi médaillé d’argent au 800 m chaises (T54) est apparu en premier sur WMC.

Challenger de Manama : Aziz Dougaz éliminé par le Hongrois Marton Fucsovics en deux sets

13. Februar 2025 um 13:15

Le tennisman tunisien Aziz Dougaz (223e mondial) n’a pas réussi à se qualifier pour les quarts de finale du Challenger de Manama (Bahreïn) à 125 points, après sa défaite mercredi en huitièmes, face au Hongrois Marton Fucsovics (97e) et tête de série n.1 en deux sets à 0 (2-6, 3-6).

Dougaz, rappelle-t-on, a accédé en huitièmes de finale aux dépends du Britannique Charles Broom en 2 sets à 1 (7-5, 3-6, 7-6).

L’article Challenger de Manama : Aziz Dougaz éliminé par le Hongrois Marton Fucsovics en deux sets est apparu en premier sur WMC.

Change devises en dinar tunisien : Cours du 13 Février 2025

13. Februar 2025 um 13:08

Change devises en dinar tunisien. Cours d’achats et de vente.

MONNAIE SIGLE UNITE ACHAT VENTE
Dollar US USD 1 3.158 3.243
Euro EUR 1 3.284 3.361
Yen Japonais JPY 1000 20.289 21.053
Livre Sterling GBP 13 3.903 4.050
Franc Suisse CHF 10 34.128 35.594

L’article Change devises en dinar tunisien : Cours du 13 Février 2025 est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : La nouvelle loi sur les chèques et l’augmentation des billets en circulation, un impact économique majeur

13. Februar 2025 um 12:57

«La hausse vertigineuse des billets et monnaies en circulation, enregistrée au cours cette dernière période, est un résultat évident de la nouvelle loi sur les Chèques », a affirmé l’ancien Directeur Général de la politique monétaire à la Banque Centrale de Tunisie (BCT), Mohamed Salah Souilem, dans une interview accordée à l’agence TAP.

Il a fait état d’un recours massif des tunisiens aux liquidités, ces dernières semaines, en substitution à l’utilisation des chèques, lesquels constituent “le moyen de paiement le plus utilisé en Tunisie, il ne faut pas l’oublier».

Il convient de noter que les billets et monnaies en circulation se sont situés au niveau de 22,8 milliards de dinars, à la date du 12 février courant, contre 21,2 milliards de dinars, à la même date de l’année dernière, ce qui représente une hausse de 7,5%, en glissement annuel, d’après les plus récents indicateurs monétaires et financiers publiés par la Banque Centrale de Tunisie (BCT).

«Cela étant, il faut dire que le rythme de progression de la masse des billets et monnaies est en général corrélé à l’inflation et à la croissance du PIB aux prix constants», a relevé Souilem.

Et de prévenir que «tant que nous n’avons pas trouvé d’alternatives au chèque, pour faciliter les paiements entre opérateurs économiques, en mobilisant de nouvelles solutions de paiement électronique, en développant la carte de crédit pour permettre à l’utilisateur de payer par facilités, en généralisant les virements et les paiements électroniques, ou en concevant des garanties pour l’usage des effets de commerce…, il faut s’attendre à de nouvelles hausses historiques pour les billets et monnaies en circulation. Ces hausses seront plus accentuées surtout avec l’avènement du mois de Ramadan et de l’Aïd, caractérisés par l’accroissement de la consommation du Tunisien et du recours massif à l’utilisation du cash».

Ainsi, il a affirmé que «cette loi va avoir des répercussions négatives sur le citoyen, mais surtout elle va entraver la croissance du pays, car elle va toucher le volume des transactions entre les opérateurs économiques», estimant que «plusieurs secteurs d’activité seront handicapés par les contraintes découlant des nouvelles dispositions de ladite loi».

Un autre problème, pourrait surgir, d’après lui, celui “du besoin de la BCT d’imprimer davantage de billets de banque pour faire face à ce rythme élevé de retrait de cash, ce qui peut entraîner des coûts supplémentaires d’impression pour l’institut d’émission et aussi, l’accélération de l’inflation”.

«Notre grande défaillance en Tunisie, consiste dans le fait que nous ne cherchons pas à identifier des solutions radicales pour nos problèmes, mais juste des solutions faciles», a-t-il dit.

«Personnellement, je pense que c’est inadmissible de changer toute une législation, à savoir celle des chèques, rien que pour quelque 500 personnes emprisonnées pour avoir émis des chèques sans provision », a t-il, encore, avancé, soulignant que le taux de rejet de chèques en Tunisie (chèques impayés) ne dépasse pas 1,5%.

«On aurait du maintenir l’ancienne loi sur les chèques et chercher d’autres solutions pour ce problème. C’est inefficace de tout changer sans préparer les solutions alternatives», a affirmé Souilem, proposant, entre autres, à “l’Etat de payer ses dettes envers plusieurs opérateurs économiques, afin que ces derniers puissent, à leur tour, honorer les chèques déjà émis au profit d’autres opérateurs économiques”.

Pour rappel, la nouvelle loi sur les chèques sans provisions (loi n° 41 de l’année 2024) a été publiée, en août 2024, au Journal Officiel de la République Tunisienne.

L’article Tunisie : La nouvelle loi sur les chèques et l’augmentation des billets en circulation, un impact économique majeur est apparu en premier sur WMC.

Gestion des Déchets : Le CITET veut étendre le compostage aux hôtels de Mahdia

13. Februar 2025 um 12:41

La Directrice Générale du Centre International des Technologies de l’Environnement de Tunis (CITET), Kmaira Ben Jannet a appelé, mardi dernier, à étendre l’activité de la station de valorisation des déchets ménagers par compostage de la commune de Mahdia à l’exploitation des déchets produits par les hôtels de la région.

En visite à cette station, la responsable a également plaidé pour la transformation de la station en projet intégré qui gère d’autres types de déchets tels que le plastique.

L’activité de cette station a évolué et s’étend désormais à la valorisation des déchets ménagers par lombricompostage, une technologie introduite par le CITET en partenariat avec la municipalité de Mahdia depuis 2023.

Selon Ben Jannet, l’expérience devrait être généralisée et le CITET est disposé à fournir l’accompagnement technique nécessaire aux autres municipalités.

Pour rappel, la station de valorisation des déchets ménagers par compostage de la commune de Mahdia a été mise en place dans le cadre du projet CLIMA (Cleaning Innovative Mediterranean Actions to boost economy), financé par l’Union européenne. Elle est bâtie sur un terrain municipal de 5000 m2 dans la zone industrielle de la région, avec une capacité journalière de 5 tonnes de déchets ménagers, soit 1825 tonnes par an.

Cette expérience pilote de gestion des déchets organiques à moyenne échelle, cible dans un premier temps d’essai 120 ménages la zone de Jbal dar Ouaja, à Mahdia.

Le projet CLIMA vise à réduire la pollution due aux déchets organiques, à développer l’économie circulaire par le développement des filières de récupération des déchets valorisables et à améliorer la propreté des villes et le taux de collecte des déchets.

L’article Gestion des Déchets : Le CITET veut étendre le compostage aux hôtels de Mahdia est apparu en premier sur WMC.

Rencontres B2B : CEPEX connecte les exportateurs Tunisiens d’huile d’olive aux acheteurs russes et marocains

13. Februar 2025 um 12:33

Une journée de rencontres professionnelles B to B sera organisée au profit de la filière de l’huile d’olive par le Centre de promotion des Exportations (CEPEX), et ce le 24 février 2025 à la Maison de l’Exportateur.

Des acheteurs en provenance de la Russie et du Maroc seront au rendez-vous pour découvrir l’offre tunisienne de l’huile d’olive et nouer des relations commerciales avec les entreprises tunisiennes exportatrices de ce produit.

Les entreprises tunisiennes intéressées par la participation à cet évènement doivent s’inscrire avant le 20 février 2025 via le lien suivant: httpss://forms.gle/pjZfrzh3jqKdSUAPA 

L’article Rencontres B2B : CEPEX connecte les exportateurs Tunisiens d’huile d’olive aux acheteurs russes et marocains est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : 18,1 milliards de dinars de dettes extérieures remboursés depuis 2019

13. Februar 2025 um 11:52

«La Tunisie est parvenue à rembourser des dettes extérieures contractées auprès des marchés financiers internationaux, à hauteur de 18,1 milliards de dinars, depuis l’année 2019 jusqu’à ce jour», a indiqué l’ancien Directeur Général de la politique monétaire à la Banque Centrale de Tunisie (BCT), Mohamed Salah Souilem, dans une interview accordée à l’Agence TAP.

Il a précisé que ces emprunts ont été contractés en dollar américain (3 235 millions de dollars, l’équivalent de 10,3 milliards de dinars), en euro (1 750 millions d’euros, soit environ 5,8 milliards de dinars) et en yen japonais (97 milliards de yens, soit 2 milliards de dinars). Il s’agit là, d’après lui, «d’émissions de grandes masses» que la Tunisie a réussi à honorer en une marge de temps très réduite (la période 2019-2025).

«L’unique échéance d’émission sur le marché financier pour cette année, vient d’être remboursée, le 30 janvier 2025, d’une valeur de 1 milliard de dollars (contractée durant le mois de janvier 2015, sur une période de 10 ans) », a-t-il noté, révélant qu’il ne nous restera, pour les 11 prochains mois, qu’à payer les dettes bilatérales et multilatérales (contractées auprès des différents bailleurs de fonds et pays amis), représentant de plus petits montants.

La Tunisie a remboursé le 1/5 de ses services de la dette publique, au 1e mois de 2025

Souilem a fait savoir, en outre, qu’au cours du premier mois de l’année 2025, la Tunisie a réussi, selon ses propres estimations, à rembourser le 1/5 de ses services de la dette publique (intérieure et extérieure) pour l’année en cours, soit 5 milliards de dinars sur un total de 25 milliards de dinars (entre principal et intérêts).

«Cet effort déployé par la Tunisie en vue d’honorer ses engagements financiers, est colossal», a t-il souligné, expliquant que “le remboursement de ces émissions internationales est épuisant pour une petite économie comme la notre”.

«Contrairement aux dettes bilatérales ou multilatérales, dont le paiement du principal et des intérêts est échelonné dans le temps (par tranche périodique), le principal des émissions sur les marchés financiers internationaux est remboursé « in fine » (en une seule fois à sa date d’échéance).

Autrement dit, à partir de la date d’émission jusqu’à la date d’échéance, nous ne remboursons que les intérêts, et au terme de l’échéance de crédit, nous remboursons le principal du crédit».

« C’est dans ce contexte, que plusieurs experts avaient exprimé leur inquiétude, il y a quelques années, de voir la Tunisie s’orienter vers le Club de Paris, pour défaut de paiement d’emprunts extérieurs », a t-il rappelé.

Et d’ajouter «même les agences de notation avaient mis notre pays sous les feux de projecteurs, par crainte qu’il ne parvienne pas à réaliser ses objectifs escomptés, dont la croissance, les recettes fiscales… et, qu’il risque de ne pas honorer les échéances financières, d’autant plus que la Tunisie a choisi de ne pas recourir au soutien du FMI”.

En 2033, la Tunisie aura honoré la totalité de ses émissions obligataires

En ce qui concerne les échéances futures, l’expert bancaire a fait savoir que «la Tunisie doit rembourser une dernière émission contractée en euro, d’une valeur de 700 millions d’euros, en 2026, et une dernière émission en dollars  (150 millions de dollars) , en 2027. A cela s’ajoute quatre autres petites émissions en yen japonais à rembourser, séparément, en 2027 (30 milliards de yens), en 2030 (15 milliards de yens), en 2031 (20 milliards de yens) et en 2033 (30 milliards de yens».

«Avec le remboursement de ces emprunts, la Tunisie aura honoré la totalité de ses émissions obligataires sur les marchés internationaux depuis ses premières sorties sur ces marchés en 1994. Partant, le taux d’endettement extérieur va s’alléger progressivement, pour se situer au-dessous de 50% du PIB, dans les deux ou trois prochaines années, alors qu’il avait atteint 69% du PIB, en 2018».

«Dans ce cadre, la démarche adoptée par la Tunisie, durant ces dernières années, consiste à s’orienter davantage vers le recours aux ressources d’emprunt intérieur, au détriment de l’endettement extérieur », a rappelé Souilem, précisant que notre pays n’a pas recouru aux émissions obligataires sur les marchés financiers internationaux depuis l’année 2019.

Selon lui, bien que cette démarche présente plusieurs avantages, dont la réduction de la valeur de la dette extérieure et la maîtrise du risque de change (dépréciation de la valeur du dinar tunisien vis-à-vis des devises internationales), elle a beaucoup d’inconvénients. Il s’agit, surtout, du recours massif aux ressources financières locales, ce qui entraîne la réduction des capacités de financement du secteur privé et de l’économie, en général, le risque inflationniste et ses répercussions sur le pouvoir d’achat du citoyen tunisien, et la baisse des réserves en devises.

«Les avoirs en devises sont les réserves utilisées pour subvenir aux besoins de l’ensemble de l’économie du pays, à savoir le paiement de la dette extérieure, le financement des importations… Ce stock est très important, dans la mesure où il joue le rôle d’amortisseur pour une économie, car il permet de la protéger des chocs externes (hausse des prix des matières premières, chute des recettes touristiques, suite à une pandémie ou autre…) et d’absorber les pressions des services de la dette, d’où l’importance de le préserver à un niveau sécurisant».

Cet engagement de la Tunisie de respecter ses engagements financiers, prouvant la résilience de l’économie du pays, doit être pris en considération par les agences de notation. C’est ainsi qu’on s’attend à “une révision à la hausse de notre notation, dans les prochain mois, suite à l’appréciation du risque du pays”, a escompté Souilem.

L’article Tunisie : 18,1 milliards de dinars de dettes extérieures remboursés depuis 2019 est apparu en premier sur WMC.

Échanges commerciaux : les exportations chutent vers l’UE, mais bondissent vers la Libye et l’Égypte

13. Februar 2025 um 11:04

Les exportations tunisiennes vers l’union européenne (67,9% du total des exportations) ont diminué de -9,8%. Cette régression est expliquée d’une part, par la baisse des exportations vers certains partenaires européens, tels que la France (-6,2%), l’Italie (-7,5%) et l’Espagne (-59%), et d’autre part, par la hausse observée avec l’Allemagne (+13%) et les Pays Bas (+18,8%).

Vers les pays arabes, les exportations ont augmenté avec la Libye (+62,3%), avec le Maroc (+58,9%), avec l’Algérie (+0,8%) et avec l’Égypte (+176,5%).

Pour ce qui est de la hausse des importations, elle provient de l’augmentation enregistrée au niveau des importations des produits énergétiques de (+24%) suite à la progression des achats des produits raffinés (1219,2 MD contre 623,2 MD).

De même, les importations sont en hausse pour les biens d’équipement de (+14,1%), les matières premières et demi-produits de (+13,2%), les biens de consommation de (+18,5%) et les produits alimentaires de (+37,9%).

Les importations avec l’union européenne (41,7% du total des importations) ont enregistré une hausse de (+4,2%) pour s’établir à 2830,5 MD. Les importations ont augmenté avec la France (+1,8%) et l’Italie (+8,7%). En revanche elles ont baissé avec l’Allemagne (-0,4%), l’Espagne (-2%) et la Belgique (-14,6%).

Hors union européenne, les importations ont augmenté avec la Chine (+62,3%), la Russie (+51,2%), l’Inde (+12,2%) et la Turquie (+10,4%).

L’article Échanges commerciaux : les exportations chutent vers l’UE, mais bondissent vers la Libye et l’Égypte est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : le déficit commercial triple en janvier 2025 pour atteindre 1,76 milliard de dinars

13. Februar 2025 um 11:01

Le déficit commercial a triplé durant le mois de janvier 2025, pour s’établir à un niveau de -1765,5 Millions de dinars, contre -577,6 MD durant la même période de 2024, révèle, mercredi, l’Institut National de la Statistique (INS).

Hors énergie, le déficit de la balance commerciale s’est réduit à (-687MD), tandis que le déficit de la balance énergétique s’établit à (-1078,4 MD), contre (-683,6 MD) en janvier 2024, indique l’INS dans une note consacrée au commerce extérieur aux prix courants au titre de janvier 2025.

Selon l’Institut, ce déficit provient, principalement, du déficit enregistré avec certains pays, tels que la Chine (- 971,2 MD), la Russie (-647,1 MD), l’Algérie (-281,6 MD), la Turquie (-220,8 MD), la Grèce (-197,6 MD) et l’Inde (-103,6 MD).

D’autre part, le solde de la balance commerciale des biens a enregistré un excédent avec d’autres pays, principalement la France (361,7 MD), l’Allemagne (276,6 MD), l’Italie (268 MD), la Libye (180,5 MD) et le Maroc (79,4MD).

Pour ce qui est du taux de couverture, il s’est établi à un niveau de (74%) contre 89,9% en Janvier 2024.

Les résultats des échanges commerciaux de la Tunisie avec l’extérieur aux prix courants durant le mois de janvier 2025 montrent que les exportations ont atteint 5025,8 MD, contre 5148,5 MD en janvier 2024. Quant aux importations, elles se sont élevées à 6791,3 MD contre 5726,1 MD en janvier 2024.

D’après l’INS, la régression des exportations résulte principalement, de la baisse des exportations du secteur de l’énergie de (- 52,8%) sous l’effet de la diminution de nos ventes des produits raffinés (28,5MD contre 191,5 MD), ainsi que du secteur des industries agro-alimentaires de (-9,7%) à la suite de la baisse de nos ventes en huile d’olive (518,4 MD contre 607,8 MD).

D’autre part, les exportations ont enregistré une hausse au niveau du secteur de mines, phosphates et dérivés de (+20,5%) et du secteur textile, habillement et cuir de (+2,5%).

 

L’article Tunisie : le déficit commercial triple en janvier 2025 pour atteindre 1,76 milliard de dinars est apparu en premier sur WMC.

Economie : Des motifs d’être optimiste ou fausses espérances ?

13. Februar 2025 um 09:47

EconomieDes prévisions inférieures aux moyennes historiques, c’est là la conclusion du rapport élaboré par Mohamed Derbel, expert-comptable et associé au cabinet BDO, sur la conjoncture économique nationale et les dispositions fiscales, même si certains indicateurs économiques ont été jugés positifs. Le rapport BDO met en avant des indicateurs économiques qui ont évolué et d’autres qui ont légèrement évolué sans pour autant avoir pu résorber le chômage ou créer une croissance notable.

La croissance n’a pas été au rendez-vous en 2024 malgré quelques signaux positifs. Mohamed Derbel cite la Bourse de Tunis, qui a clôturé l’année 2024 sur une note positive avec une hausse de 13,75 % pour la quatrième année consécutive, sachant qu’il n’y a eu aucune introduction en bourse, mais quatre retraits.

La Bourse de Tunis manque de profondeur car, comme l’a déclaré Bilel Sahnoun, directeur général, dans un entretien à WMC : « Elle ne reflète pas la cartographie réelle de l’économie nationale. Plus de la moitié de la capitalisation boursière est tirée par les banques, alors que bien d’autres secteurs économiques qui pèsent dans notre PIB n’ont pas été introduits en bourse et n’y sont pas cotés. ».

Un autre indicateur qui pousse à l’optimisme est celui de la balance des paiements dont les résultats en 2024 ont été meilleurs que ceux de l’année 2023, grâce principalement aux recettes touristiques de 7 490 MD à décembre 2024 et aux revenus du travail (TRE) qui ont progressé de 6,15 % en 2024, atteignant 8 130 MD. Le dinar tunisien s’est apprécié de 1,8 % face à l’euro entre 2023 et 2024 et s’est déprécié de 2,2 % face au dollar US durant la même période, ce qui n’est pas bon en ce qui concerne le remboursement des emprunts ou les importations.

“La critique peut être désagréable, mais elle est nécessaire. Elle est comme la douleur pour le corps humain : elle attire l’attention sur ce qui ne va pas.” – Winston Churchill

 

La grande nouvelle est l’inflation, qui a baissé de 9,3% en 2023 à 7% en 2024 et qui s’est repliée au mois de janvier à 6%. Cela n’a, semble-t-il, pas convaincu la BCT de réduire le TMM, dont le taux de 8% bloque le financement de l’économie, ce qui, entre autres, explique la croissance anémique de l’économie nationale.

Anémique à 1,6 % l’année passée, cette croissance ne pourra pas, au train où vont les choses, atteindre les 3,2 % espérés par Kamel Madouri, Chef du Gouvernement. Sans le démarrage effectif des grands projets publics et sans le rétablissement de la confiance entre les acteurs économiques, une condition sine qua non pour la relance des investissements, il ne faut pas s’attendre à des miracles. Pour rappel, comme cité dans le rapport BDO, les investissements se situaient tout au long de la première décennie du 21ᵉ siècle à 24,3 %.

Sur les années 2022, 2023 et 2024, ils ont été respectivement de 16,30 %, 15,50 % et 15,70 %.

D’après les prévisions BDO, ils ne dépasseraient pas les 16,20% en 2025. La situation étant ce qu’elle est, nous voiler la face ou contester la réalité ne servirait à rien ! Ce n’est pas en mettant tout l’appareil de l’État au service des sociétés communautaires ou en encourageant l’auto-entrepreneuriat que nous pourrons sauver l’économie.

Recul du taux d’épargne

Le taux d’épargne a aussi dégringolé. Situé à 21,10 % en 2010, il n’a pas dépassé les 4,6% en 2024. On espère voir ce taux atteindre les 5,80 % en 2025, sachant qu’un taux d’épargne faible engendre le recul de l’investissement public, moins de moyens pour l’amélioration et la maintenance des infrastructures, l’augmentation de la dette publique et un impact négatif sur les marchés financiers et la stabilité économique globale. Ceci est associé, comme signifié par l’économiste Hechmi Alaya, à une mainmise de l’État sur les financements accordés par la BCT et les banques tunisiennes qui s’est amplifiée vigoureusement en 2024.

Dans le bilan annuel de la BCT de 2024, les créances sur l’État représentent désormais 26,1 % du bilan. Elles ont quadruplé depuis 2019 : 6,7 % alors qu’elles représentaient à peine 0,4 % en 2010-2011. Il en est quasiment de même pour les banques de dépôts tunisiennes.

“Sans le démarrage effectif des grands projets publics et sans le rétablissement de la confiance entre les acteurs économiques, il ne faut pas s’attendre à des miracles.”

 

Alors que les crédits accordés à l’économie (y compris le secteur des entreprises publiques) enregistrent pour la deuxième année consécutive leur plus faible croissance (+3,2 % en g.a. après +2,2 % en 2023), ceux consentis à l’État ont explosé de +30,4 % par rapport à l’an dernier (ou g.a.). Les créances qu’elles détiennent sur l’État représentent désormais 16,4 % du total de leurs actifs. Un ratio qui a doublé en l’espace d’une décennie : 8,7 % à fin décembre 2025.

Signe que les banques ont de plus en plus de difficultés à financer l’économie. Une économie dont les performances n’arrivent pas à couvrir les besoins du pays. « La croissance des crédits accordés à l’économie a continué de flancher pour s’établir à 3,2 % en moyenne en 2024 après 4,8 % en 2023. C’est à tel point que l’État a capté en 2024 un niveau record des financements bancaires (30,7 % de l’encours total des crédits), cependant que la part de l’économie est tombée à un plus bas historique : 69,3 % contre près de 90 % il y a une dizaine d’années », déplore Hechmi Alaya.

Face à ce marasme économique qui dure dans le temps, nous sommes en droit de nous interroger sur les probabilités d’une relance lorsque la récession a touché pratiquement toutes les activités économiques.

Ce n’est pas en mettant tout l’appareil de l’État au service des sociétés communautaires ou en encourageant l’auto-entrepreneuriat que nous pourrons sauver l’économie.

 

Quand est-ce que la Tunisie se dotera de véritables politiques économiques équilibrées, pouvant initier le redémarrage de la machine productive nationale ?

Adopter des politiques inclusives pouvant aider à réduire les inégalités et à assurer un développement durable signifie-t-il fragiliser les grands groupes économiques entraînant dans leur sillage les PME et même les TPE ?

Il est clair que Kamel Madouri, Chef du Gouvernement, fournit des efforts pour initier la relance, c’est là un motif d’être optimiste mais sans une cohésion nationale, sans rassurer les troupes, sans l’adhésion des partenaires sociaux, sans rassurer l’administration publique, sans simplification réelle des cadres réglementaires, sans l’encouragement de l’État, rien ne pourrait se faire d’où la peur de fausses espérances.

C’est malheureux d’être toujours dans des évaluations négatives de l’exercice des décideurs publics, mais comme le dit Winston Churchill : « La critique peut être désagréable, mais elle est nécessaire. Elle est comme la douleur pour le corps humain : elle attire l’attention sur ce qui ne va pas. » Winston Churchill.

À bon entendeur.

Amel Belhadj Ali

EN BREF

État de l’économie tunisienne en 2024 : des signaux contrastés

Croissance décevante

  • PIB : +1,6 % en 2024, loin des 3,2 % espérés.
  • Investissements en berne : 15,7 % du PIB en 2024 (vs 24,3 % début 2000).
  • Taux d’épargne en chute : 4,6 % en 2024 (vs 21,1 % en 2010).

Indicateurs positifs

  • Bourse de Tunis : +13,75 % en 2024, mais sans nouvelles introductions.
  • Balance des paiements en amélioration : recettes touristiques à 7 490 MD, transferts des Tunisiens à l’étranger +6,15 %.
  • Inflation en baisse : 9,3 % (2023) → 7 % (2024) → 6 % (janv. 2025).

Tensions financières

  • Banques accaparées par le financement de l’État : 30,7 % des crédits alloués à l’État, contre 69,3 % pour l’économie.
  • Le dinar se renforce de 1,8 % face à l’euro, mais perd 2,2 % face au dollar.

Perspectives 2025

  • Relance conditionnée à la reprise des grands projets et au climat de confiance.
  • Politiques économiques plus inclusives nécessaires pour un développement durable.

L’article Economie : Des motifs d’être optimiste ou fausses espérances ? est apparu en premier sur WMC.

Gestern — 12. Februar 2025Haupt-Feeds

Innovation Summit Tunisia 2025 : Nouvelles Opportunités pour les Startups Tunisiennes

12. Februar 2025 um 21:49

L’Innovation Summit Tunisia 2025, organisé à l’Hôtel Laico de Tunis, a réuni un écosystème dynamique d’entrepreneurs, startups, investisseurs et décideurs. Objectif : façonner l’avenir de l’innovation en Tunisie et au-delà.

PANEL 1: L’Innovation Ouverte comme Catalyseur de Transformation Régionale

Placé sous l’égide de ICC Tunisia, en partenariat avec Terna Innovation Zone et avec le soutien de Mind the Bridge et Elis, cet événement a confirmé la position stratégique de la Tunisie comme hub régional de l’innovation, attirant des leaders de l’industrie et des experts internationaux.

Un sommet marqué par des annonces stratégiques

La cérémonie d’ouverture a été honorée par la présence de Khelil Chaibi, Président d’ICC Tunisia, Carla Napolitano, directrice de l’innovation chez Terna, et Alessandro Prunas, Ambassadeur d’Italie en Tunisie. Tous ont souligné l’importance de la coopération internationale pour dynamiser l’écosystème tunisien des startups.

Lancement du rapport “Tech Scaleup Tunisia 2025”

Alberto Onetti, président de Mind the Bridge, a présenté les principales conclusions du rapport “Tech Scaleup Tunisia 2025”. Parmi les chiffres-clés :

  • 17 scaleups identifiées en Tunisie en 2025, dont Instadeep, qui a levé plus de 100 millions de dollars.
  • 1 450 startups actives, plaçant la Tunisie parmi les 10 premières destinations africaines pour l’innovation.
  • 200 millions de dollars d’investissements cumulés jusqu’en 2024.
  • Une dépense en R&D équivalente à 0,4 % du PIB, supérieure à celle du Maroc (0,2 %) et de l’Algérie (0,1 %).

WattNow : Une success story tunisienne

Parmi les succès mis en avant, WattNow, startup fondée en 2017 par Issam Samaali, s’est distinguée par ses solutions IoT permettant une gestion optimisée de la consommation d’électricité. Ayant levé 1,3 million de dollars en pré-série A, elle ambitionne de s’étendre en Afrique et au Moyen-Orient.

Des discussions stratégiques sur l’avenir de l’innovation

Des représentants de grandes entreprises et institutions (Terna, SAFRAN, ACTIA, Microsoft, APII, Banque Centrale de Tunisie) ont débattu de thématiques majeures :

  • L’innovation ouverte comme catalyseur de transformation régionale
  • La R&D comme levier de croissance pour les entreprises tunisiennes
  • Les financements et accompagnements comme accélérateurs de startups

L’événement a également vu naître plusieurs engagements concrets, notamment :

  • Le renforcement des infrastructures d’innovation via des partenariats public-privé.
  • L’augmentation des opportunités d’investissement pour les startups tunisiennes.
  • Un engagement international pour intégrer la Tunisie aux écosystèmes mondiaux d’innovation.

Global Scaleup Program : Accélérer la croissance des startups tunisiennes

L’une des annonces phares de l’édition a été le lancement du Global Scaleup Program By Terna, opéré par Mind the Bridge et Elis. Ce programme vise à connecter les startups tunisiennes à des réseaux internationaux, facilitant leur accès à des investissements stratégiques et des mentors de renom.

de M. Khelil Chaibi, Président d’ICC Tunisia

Les startups et scaleups intéressées peuvent dès à présent postuler ici.

Conclusion : Un événement clé pour l’innovation en Afrique et en Méditerranée

Avec plus de 200 participants et de nombreuses connexions stratégiques, l’Innovation Summit Tunisia 2025 s’impose comme un rendez-vous incontournable pour les innovateurs et investisseurs.

Le sommet a renforcé le positionnement de la Tunisie comme acteur clé de l’innovation en Afrique, ouvrant la voie à de nouvelles initiatives et programmes de soutien à l’entrepreneuriat technologique. Les prochaines éditions s’annoncent déjà prometteuses pour continuer à dynamiser l’écosystème tunisien des startups.

À propos de Terna

Terna est le principal opérateur de réseau de transport d’électricité en Europe, gérant environ 75 140 kilomètres de lignes à haute tension et 910 stations électriques. L’entreprise joue un rôle central dans la transition énergétique et le développement durable, en mettant l’accent sur l’innovation technologique et la formation spécialisée. Terna est l’opérateur du réseau de transport italien (NTG) pour l’électricité à haute et très haute tension et le plus grand opérateur indépendant de système de transport d’électricité (TSO) en Europe. Avec plus de 75 000 km de lignes électriques à haute et très haute tension, 910 sous-stations réparties sur l’ensemble du territoire national et 30 interconnexions transfrontalières, Terna peut compter sur le soutien de plus de 6 100 professionnels.

Avec la création de la Terna Innovation Zone Tunisie, Terna renforce son engagement envers le développement des compétences partagées et la coopération internationale, contribuant ainsi à la sécurité énergétique et à la croissance économique en Méditerranée.

À propos d’ICC Tunisia

Lancée officiellement en juillet 2024, ICC Tunisia est le comité national de la Chambre de Commerce Internationale en Tunisie. Sa mission est de représenter et soutenir les entreprises tunisiennes sur la scène internationale, en promouvant le commerce ouvert et les investissements.

En tant que membre du réseau mondial de l’ICC, qui compte 91 comités nationaux, ICC Tunisia vise à renforcer la coopération multilatérale et à faire entendre la voix des entreprises tunisiennes dans les instances internationales.

À propos de Mind the Bridge

Mind the Bridge est une plateforme mondiale d’innovation ouverte, créée pour stimuler les économies en favorisant l’esprit entrepreneurial et l’innovation. Basée dans la Silicon Valley, avec des bureaux à Barcelone, Séoul, New York, Bologne et Milan, Mind the Bridge facilite des partenariats stratégiques entre startups et grandes entreprises depuis 2007. Chaque année, Mind the Bridge identifie, sélectionne et collabore avec plus de 10 000 startups, soutenant les entreprises internationales dans leurs initiatives d’innovation ouverte qui se concrétisent par des partenariats avec les startups, tels que des projets pilotes (POC), des achats, des investissements et/ou des acquisitions. De plus, Mind the Bridge offre aux entreprises des services de conseil et des analyses comparatives sur les stratégies et les structures d’innovation. La société a également développé MTB Ecosystem, une plateforme d’innovation ouverte alimentée par l’IA, destinée à mettre en relation les acteurs des écosystèmes d’innovation et les entreprises, favorisant ainsi la collaboration et l’échange de valeur. Pour plus d’informations : http://mindthebridge.com | @mindthebridge

A propos de Elis

Nous menons des initiatives à impact et favorisons l’innovation collaborative aux niveaux national et international, en nous appuyant sur plus de 30 ans d’expérience au sein de notre consortium d’entreprises. En tant qu’organisme de formation, nous intervenons dans les domaines de l’éducation, de l’emploi, de l’apprentissage et du sport, en concrétisant notre mission par des actions tangibles.

Nous établissons un lien entre les écoles et le monde du travail, aidant les jeunes à découvrir des opportunités professionnelles. Aux côtés des entreprises, nous formons étudiants et professionnels, en leur fournissant les compétences nécessaires pour s’épanouir dans un monde en constante évolution.

 

L’article Innovation Summit Tunisia 2025 : Nouvelles Opportunités pour les Startups Tunisiennes est apparu en premier sur WMC.

Théâtre de l’Opéra Tunis : Trois soirées musicales exceptionnelles en février 2025

12. Februar 2025 um 18:04

Le Théâtre de l’Opéra-Cité de la Culture Chedly Klibi propose pour la deuxième moitié du mois de février, trois soirées musicales différentes.

La première aura lieu le 21 février 2025 avec le spectacle “Zakharef 25” du compositeur Mohamed Garfi, avec la participation de Noureddine Béji, Asma Ben Ahmed, Hassen Doss, et comme invité d’honneur le célèbre violoniste Béchir Selmi. Ce spectacle s’inscrit dans la continuité du projet musical “Zakharef arabiya” lancé à l’été 1993, pour rendre hommage dans une version 2025 à tous ceux qui ont enrichi la musique arabe par leurs compositions.

Après une première représentation le 4 janvier dernier, le concert “La Nuit des Chefs” proposera un second rendez-vous le 25 du mois à la salle de l’Opéra, réunissant les chefs d’orchestre Chadi Garfi, Mohamed Makni, Fadi Ben Othman et Mohamed Rouatbi. Le maestro irakien Raad Khalaf sera l’invité d’honneur de cette soirée musicale pour présenter certaines de ses compositions, une première en Tunisie et au Maghreb. Le maestro algérien Lotfi Saidi participera également à au concert qui proposera une sélection d’œuvres musicales tunisiennes et algériennes qui seront interprétées en version orchestrale.

Le 26 février, la salle de l’opéra accueillera le spectacle “Fi Bahr Ettoubou” (immersion dans les modes), s’inscrivant dans le cadre des concerts périodiques de Beit al-malouf. Ce concert sera animé par l’artiste tunisien Sofien Zaidi et l’artiste marocain Ahmed Marbouh, accompagnés par l’ensemble musical de Beit al-malouf, sous la direction du musicien et maestro Makram Ansari.

L’article Théâtre de l’Opéra Tunis : Trois soirées musicales exceptionnelles en février 2025 est apparu en premier sur WMC.

Béja : Un séminaire pour renforcer la présence des entreprises tunisiennes en Afrique

12. Februar 2025 um 17:40

La Chambre de Commerce et d’Industrie du Nord-Ouest (CCINO) a organisé, mercredi à Béja, un séminaire régional de formation à l’intention de 26 entreprises exportatrices basées dans les gouvernorats de la région.

L’objectif de l’évènement est d’encourager les entreprises du Nord-Ouest à pénétrer les marchés africains et profiter des avantages et facilités offerts par l’accord sur la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), en collaboration avec le ministère du Commerce, le Centre de Promotion des Exportations (Cepex) et la direction générale des douanes.

Le directeur général de la CCINO, Monji Marai, a expliqué à l’agence TAP que le séminaire a également prévu de faire lumière sur les facilités offert par cet accord lors des opérations d’exportation vers le marché africain qui regroupe 54 pays, et en vertu duquel, la Tunisie bénéficie de privilèges différenciés.

Outre l’aspect formatif, des ateliers pratiques ont été animés pour faire découvrir les opportunités offertes par l’accord en question, fournir un aperçu sur les marchés potentiels, outre l’opportunité offerte de nouer des relations professionnelles, a indiqué la même source.

Les activités du séminaire ont également porté sur une mise en avant de l’importance de créer un climat de confiance et de partenariat avec les douanes et autres structures concernées par l’exportation.

Pour rappel, l’ancien président de la CCINO, avait affirmé dans une déclaration précédente à la TAP, que l’augmentation des échanges économiques avec les pays du continent africain serait à même d’entraîner une hausse du taux de croissance dans le Nord-Ouest et en Tunisie, d’au moins deux points, et de créer plus de 80 mille postes d’emploi.

L’article Béja : Un séminaire pour renforcer la présence des entreprises tunisiennes en Afrique est apparu en premier sur WMC.

Tunisie à l’ICESCO : Amina Srarfi met en avant les projets culturels stratégiques

12. Februar 2025 um 17:35

Les travaux de la treizième Conférence des ministres de la Culture dans le monde islamique, organisée par l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ICESCO) sous le thème “L’impact de la culture sur le développement social et économique” ont démarré mercredi matin à Djeddah (Arabie saoudite).

Dans son allocution, la ministre des affaires culturelles, Amina Srarfi, a souligné le rôle essentiel de la culture en tant que levier du développement durable et de l’épanouissement des sociétés et des peuples.

Elle a également mis l’accent sur l’engagement de la Tunisie dans la réalisation de nombreux projets culturels d’envergure dont notamment la création du Centre international des arts de la calligraphie “Iqra”, une initiative lancée par le président Kais Saied pour promouvoir la calligraphie, la poursuite des projets de restauration de plusieurs de ses monuments islamiques, tels que la mosquée Okba Ibn Nafaa à Kairouan et la mosquée Zitouna à Tunis outre ses efforts en vue d’inscrire des éléments de son patrimoine sur les listes représentatives du patrimoine culturel matériel et immatériel de l’humanité, dont la récente proposition d’inscription du “village Sidi Bou Said : hub d’inspiration culturelle et spirituelle en Méditerranée”.

La ministre a, par ailleurs, souligné l’importance de s’engager activement dans l’économie créative (économie orange), à travers des productions culturelles et artistiques créatives et innovantes, en veillant à assurer leur promotion et leur commercialisation, tout en faisant la promotion des pays islamiques en tant que destinations culturelles et touristiques privilégiées.

En marge de la séance inaugurale, Amina Srarfi a eu un entretien avec le ministre saoudien de la Culture, le prince Badr bin Abdullah ben Farhan Al Saoud, au sujet du renforcement de la coopération culturelle dans divers domaines, notamment la restauration et la préservation des monuments historiques, la production cinématographique et l’échange de participations dans des événements culturels dans les deux pays. Lors de cet entretien, un accord-cadre a été signé portant notamment sur le renforcement des échanges entre les institutions culturelles relevant des deux ministères.

L’article Tunisie à l’ICESCO : Amina Srarfi met en avant les projets culturels stratégiques est apparu en premier sur WMC.

Tunichéque en service : 93 000 inscriptions et 10 000 chèques traités en quelques jours

12. Februar 2025 um 17:23

La Plateforme Electronique Unique des Chèques « Tunichéque » entrée en service, le 2 février 2025, a permis à ce jour l’inscription de 93 mille personnes, le traitement de 10 mille chèques et la réception de 930 réclamations et interrogations, a annoncé le directeur général des paiements et de l’inclusion financière à la Banque Centrale de Tunisie (BCT), Nizar Chaddad.

Lors de la rencontre « 90 minutes avec L’IACE » organisée, mercredi, sur le thème « La nouvelle plateforme des chèques : vers un meilleur avenir des moyens de paiement ? », Chaddad a souligné que la plateforme liée à 23 systèmes d’information de banques, de la Poste Tunisienne et de la BCT, se veut une passerelle permettant l’échange des données en toute sécurité, évoquant l’éventuelle interconnexion en temps réel dans une seconde phase.

Il a rappelé que la plateforme qui s’inscrit dans le cadre de l’application de la loi n°41-2024 promulguée, le 2 août 2024, offre plusieurs avantages en faveur des entreprises dont notamment l’identification des chèques frauduleux et la disponibilité du solde.

Le responsable a, par ailleurs, rappelé que l’économie tunisienne est basée sur le Cash avec un volume de BMC (Billets et monnaies en circulation) estimé à plus de 22 milliards de dinars et un taux d’inclusion financière qui ne dépasse pas les 40%.

Par contre, précise encore le responsable, la Tunisie compte une population très jeune , un grand nombre de téléphones mobiles et un potentiel d’innovation technologique et financière important, d’où l’idée du développement d’une vision quinquennale visant la digitalisation des services de paiement afin de développer l’inclusion financière et favoriser le D-cashing.

Cette vision repose sur plusieurs projets portant entre autres sur la révision du cadre réglementaire et organisationnel du domaine de paiement, le développement de l’infrastructure technique, l’intensification des services de paiement numériques et le développement de l’éducation financière.

Il a, par ailleurs, rappelé que le processus de digitalisation a débuté durant la pandémie de Covid-19 avec le paiement mobile, puis le portefeuille électronique (wallet) à travers lequel 5 millions d’opérations ont été effectuées, en 2024.

La loi N° 41-2024, promulguée le 2 août 2024, modifiant et complétant certaines dispositions du code de commerce et portant, principalement, sur la nouvelle réglementation des chèques, est entrée en vigueur à partir du 2 février 2025. Cette loi introduit des changements majeurs dans la gestion et la régulation des chèques en Tunisie, outre la création d’une Plateforme Electronique Unique des Chèques qui est entrée en service officiellement, le 2 février 2025.

La BCT a publié, le 31 janvier 2025, une circulaire fixant les obligations et les procédures applicables au gestionnaire, aux adhérents et aux utilisateurs de la Plateforme Electronique Unique des Chèques.

Cette circulaire a pour objectif de fournir des règles claires pour assurer l’adhésion équitable des institutions autorisées et l’accès universel des utilisateurs et de délimiter les responsabilités des différentes parties prenantes et les rapports entre les intervenants, indique la BCT.

Elle vise aussi à définir les mécanismes de contrôle et d’assurance pour garantir un fonctionnement fiable et sécurisé de la plateforme dont l’adhésion est obligatoire pour toutes les banques et l’Office National des Postes.

Outre la consultation des informations liées aux comptes, la plateforme permet d’effectuer les opérations de réservation des chèques. Elle entend centraliser et standardiser notamment les opérations de consultation et de réservation des montants des chèques, permettant une gestion plus efficace et sécurisée.

L’article Tunichéque en service : 93 000 inscriptions et 10 000 chèques traités en quelques jours est apparu en premier sur WMC.

Football – Ligue 1 : Résultats après les matches de mercredi

12. Februar 2025 um 17:12

Résultats des rencontres de la 19e journée de la Ligue 1 du football professionnel, disputées mercredi :

Mercredi 12  février 
A Zarzis :
ES Zarzis 1 Moomen Rahmani (52)
Club Africain              0

A Radès (à huis clos) :
Espérance de Tunis 3 Yan Sasse (50 sp), Hachem Khelifa (52 csc), Achraf Jabri (75)
ES Metlaoui    2 Ahmed Bouassida (22), Mohamed Amine Kenaissi (81)

A Gafsa :
EGS Gafsa 0
CS Sfaxien                 1 Firas Sakkouhi (48 sp)
Le match a été arrêté par l’arbitre après la blessure du gardien remplaçant Mohamed Hédi Gaaloul, touché par un projectile lancé des tribunes.

Déjà joué : 

Mardi 11 février
A Bizerte :
Bizertin 1
Stade Tunisien          1

Reste à jouer :
Jeudi 13 février
A Gabès :
AS Gabès
US Tataouine

A Ben Guerdane (à huis clos) :
US Ben Guerdane
US Monastir

A Sousse :
Etoile du Sahel
AS Soliman

Au Zouiten :
JS Omrane
O. Béja

Classement                        Pts    J    G     N      D     Bp    Bc   Diff
1. Espérance ST               42   19   12     6      1     34    14  +20
2. ES Zarzis                      38   19   11     5      3     23    12  +11
3. C. Africain                    37   19   10    7      2     26    11  +15
4. US Monastir                  36   18   10    6      2     25     9   +16
5. ES Sahel                       36   18   11     3      4     25    12  +13
6. Stade Tunisien 36   19   10     6      3     21    11  +10
7. CS Sfaxien                    25   18    6      7      5     19    13  +06
8. ES Metlaoui                   25   19    6      7      6     16    15  +01
9. O. Béja                          24   18    6      6      6     12    15  -03
10. JS Omrane                 18   18    3      9      6     14    20   -06
11.CA Bizertin                    17  19    3      8      8     13    18   -05
12. US Ben Guerdane          15   18    2      9      7     12    19   -07
13. AS Soliman                 15   18    3      6      9     13    24   -11
14. AS Gabès                   14   18    3      5     10    13    26   -13
15. EGS Gafsa                  9    18    2      3     13     9    28   -19
16. US Tataouine                 7    18    2      1     15    11    39   -28

 

L’article Football – Ligue 1 : Résultats après les matches de mercredi est apparu en premier sur WMC.

BTE – Avis d’appels d’offres : Acquisition d’une solution du risque ALM

12. Februar 2025 um 17:00


AVIS D’APPEL D’OFFRES

APPEL D’OFFRES INTERNATIONAL N° 04/2025

ACQUISITION D’UNE SOLUTION DU RISQUE ALM

La BANQUE DE TUNISIE ET DES EMIRATS lance un Appel d’Offres pour l’acquisition d’une solution de Gestion de Risque ALM (progiciel + prestations de mise en œuvre +maintenance).

Les soumissionnaires intéressés peuvent, à partir de la date de publication de cet
avis et ce durant les horaires de travail :

– Soit retirer gratuitement le dossier d’Appel d’Offres auprès de La Direction des Moyens Généraux / Département de la Logistique et des Achats au siège social de la BANQUE DE TUNISIE ET DES EMIRATS – Tél 00216 71 112 000 (Poste 2588)

– Soit demander gratuitement la version électronique du dossier d’Appel d’Offres par email sur l’adresse ( logistique@bte.com.tn)

Les offres doivent parvenir à la banque, au plus tard le 14/03/2025 à 14 heures, par voie postale recommandée ou par Rapid Poste ou remises directement au bureau d’ordre du siège social de la BANQUE DE TUNISIE ET DES EMIRATS, sise au Boulevard Mohamed El Beji Caid Essebsi, Lotissement AFH, BC8-Centre Urbain-Nord, 1082 Tunis, Tunisie. Le cachet de la poste ou du bureau d’ordre central de la banque faisant foi.

Les offres doivent être déposées sous pli fermé libellé au nom de la BANQUE DE TUNISIE ET DES EMIRATS et portant uniquement la mention : « A NE PAS OUVRIR – Appel d’Offre International N° 04/2025 : Acquisition d’une Solution de Risque ALM »

Toute offre parvenue après le délai prévu ou non conforme aux conditions du dossier
d’Appel d’Offres sera automatiquement rejetée.

L’article BTE – Avis d’appels d’offres : Acquisition d’une solution du risque ALM est apparu en premier sur WMC.

À la redécouverte des villes invisibles : l’INP accueille une exposition immersive

12. Februar 2025 um 16:41

L’Institut national du patrimoine (INP) accueille, du 19 février au 19 mars 2025, l’exposition “..

Présentée du 2 au 28 septembre 2024 à la Bibliothèque universitaire de La Rochelle (France), cette exposition est le fruit du projet de recherche scientifique ATLAS, consacré aux villes de l’Antiquité tardive du sud de la péninsule Ibérique et de l’Afrique du Nord (300-800), qui “longtemps négligées, jugées moins esthétiques que celles de la ville du Haut Empire, ont disparu de nos paysages et de nos mémoires”.

Dans un contexte de valorisation des vestiges de l’Antiquité tardive, devenue “une nécessité intellectuelle et patrimoniale”, l’exposition souhaite leur redonner de la visibilité en restituant certains des monuments qui ponctuaient l’espace urbain à cette époque: le quartier d’habitat de la Moreira à Mérida, le quartier méridional du forum de Baelo Claudia ainsi qu’une église de la Silla del Papa pour l’Espagne, le monument à auges ainsi que la basilique d’Hildeguns de Maktar, une luxueuse maison de Carthage pour la Tunisie, font l’objet de nouvelles hypothèses de restitution.

Produites dans le cadre d’une étroite collaboration scientifique et utilisant les plus récentes technologies d’imagerie 3D, ces représentations s’inscrivent également dans la riche tradition du dessin des vestiges antiques développée depuis la Renaissance.

L’exposition contribue à cette réinvention de l’art de restituer les monuments disparus, en présentant douze tableaux utilisant les plus récentes technologies d’imagerie 3D, accompagnés de QR codes offrant des informations supplémentaires.

L’inauguration de l’exposition sera marquée par des présentations données par des intervenants tunisiens et étrangers, dont notamment Tarek Baccouche, directeur général de l’INP, Nancy Berthier, Directrice de la Casa de Velázquez (centre de création artistique et de recherche à Madrid), Sabine Panzram, professeure à l’Université de Hambourg (Allemagne), Laurent Brassous, enseignant-chercheur à l’Université de La Rochelle, Anna Leone de l’Université britannique de Durham et Jean-François Bernard de l’Institut de Recherche sur l’Architecture Antique (IRAA France).

“Villes invisibles” découle du projet de recherche ATLAS (financé par l’Agence Nationale de la Recherche et la Deutsche Forschungsgemeinschaft) visant à approfondir cette compréhension historique à travers une analyse détaillée des sources archéologiques et littéraires, et utilisant les technologies modernes pour redonner vie aux monuments disparus.

L’article À la redécouverte des villes invisibles : l’INP accueille une exposition immersive est apparu en premier sur WMC.

Taux de la Fed et inflation : pourquoi le dollar reste sous pression

12. Februar 2025 um 16:28

Le dollar stagne mercredi en attendant la publication de la première mesure de l’inflation de l’année aux Etats-Unis et la seconde partie de l’intervention du patron de la Réserve fédérale (Fed) devant le Sénat américain.

Ce matin, la devise américaine abandonne 0,12% à l’euro, à 1,0374 dollar, et grappille tout juste 0,04% à la livre, à 1,2440 dollar.

Publié plus tard dans la séance, l’indice des prix à la consommation (CPI) de janvier aux Etats-Unis est attendu stable sur un an, à 2,9%, d’après le consensus d’économistes interrogés par Bloomberg.

Le mois dernier, il avait traduit une accélération de l’inflation américaine en décembre pour le troisième mois d’affilée, mais un freinage sur le mois de l’inflation sous-jacente, qui exclut les prix volatils de l’énergie et de l’alimentation.

En janvier, “l’inflation pourrait se situer autour des attentes, voire un cran au-dessus, et c’est pourquoi la Réserve fédérale devrait s’en tenir à sa vision selon laquelle les taux resteront inchangés pendant un certain temps”, estiment des analystes.

Le président de la Fed, Jerome Powell, a réaffirmé mardi qu’il ne voyait “pas d’urgence” à baisser les taux directeurs dans la mesure où la plupart des indicateurs étaient au vert, hormis l’inflation, encore “quelque peu élevée”, au-dessus de la cible de 2% visée par la Fed.

L’article Taux de la Fed et inflation : pourquoi le dollar reste sous pression est apparu en premier sur WMC.

❌
❌