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Aram Belhaj : une partie significative de la dette africaine provient du secteur privé

15. Mai 2025 um 15:32

Le professeur en économie, Aram Belhaj, a affirmé, lors d’une intervention sur les ondes de la radio Express FM, que la dette publique en Afrique s’est transformée en une problématique de premier plan. Les statistiques révèlent d’ailleurs que cette dernière constitue en moyenne 63 % du produit intérieur brut (PIB) du continent. Il a observé que les chiffres diffèrent d’un pays à l’autre, certains d’entre eux atteignant plus de 100%, tandis que d’autres ne dépassent pas 63 %.

Parmi les 54 pays africains, 25 sont considérés comme étant en proie à une grave détresse financière, le service de la dette atteignant un niveau insoutenable, dépassant même dans certains cas les budgets réunis de la santé et de l’éducation dans plusieurs pays du continent. Ces statistiques ont été divulguées lors de la Conférence de l’Union africaine sur la dette publique en Afrique qui s’est tenue à Lomé au Togo du 12 au 14 mai 2025.

Un rééchelonnement des dettes pour certains pays africains

Concernant ce sujet, Aram Belhaj a affirmé qu’une large part de la dette publique n’est pas destinée à l’investissement, mais plutôt au financement des budgets de l’État. Ces derniers sont majoritairement dédiés aux salaires, au soutien et au remboursement de la dette, avec une infime partie orientée vers l’investissement.

Il a aussi mis en évidence que les pays africains contractent des emprunts en devises étrangères, ce qui constitue un enjeu de taille, surtout compte tenu de la dégradation du taux de change. Le professeur d’économie explique qu’une frange considérable de la dette est issue du secteur privé, et non pas de sources bilatérales ou multilatérales. Cela indique que la majorité de la dette est issue d’autres marchés, plutôt que d’autres pays ou de bailleurs de fonds internationaux.

Dans le même registre, Aram Belhaj met en évidence que certains pays tels que le Ghana, la Zambie et l’Éthiopie procèdent à un rééchelonnement de leurs dettes.

Il précise que les recommandations issues de la conférence étaient globales et n’intègrent pas les particularités propres à chaque pays. En effet, les suggestions visaient généralement à demander l’annulation d’une partie de la dette, non seulement auprès des institutions internationales, mais aussi du secteur privé, en raison des taux d’intérêt élevés imposés par l’Union européenne et les États-Unis.

Il convient également de revoir et éventuellement de réformer le cadre commun du G20, dans le but de favoriser les intérêts des nations africaines.

L’importance d’une synergie entre les rôles législatif et exécutif

De plus, Aram Belhaj a mis l’accent sur le fait que les pays africains reconnaissent l’existence de dysfonctionnements en matière de gouvernance et qu’il est indispensable d’instaurer des changements structurels, en particulier concernant la fiscalité, le cadre institutionnel et la loi. Il a également souligné l’importance cruciale du rôle joué par les parlementaires pour garantir la soutenabilité de la dette publique.

La conférence a aussi évoqué l’importance d’une synergie entre les rôles législatif et exécutif et d’une collaboration accrue entre les autorités, tout en soulignant le besoin de renforcer la coopération internationale et les partenariats entre les nations africaines. En effet, une intégration économique et financière, un dynamisme du marché financier et une facilitation des opérations de financement sont indispensables.

Il est essentiel d’appliquer ces recommandations sur le terrain, à même de permettre à l’Afrique de se libérer progressivement de sa dépendance actuelle. Selon Aram Belhaj, l’initiative de l’Union africaine était significative, bien qu’elle ait mis du temps à se matérialiser, et elle portait une responsabilité considérable. Il a mis l’accent sur l’importance de promouvoir l’intégration économique accompagnée d’un marché financier unifié, et pourquoi pas, si nécessaire, l’établissement d’une monnaie unique africaine, à l’image de ce qui est envisagé dans le cadre de l’Agenda 2063 de l’Union africaine.

En conclusion, le professeur d’économie a souligné l’importance pour l’Union africaine de travailler à la mise en œuvre de la zone de libre-échange ZLECAf, puis à la transition vers une union douanière, suivie d’un marché commun et enfin d’une monnaie unique africaine. Il a jugé que ces objectifs étaient audacieux, mais que les nations africaines, disposant de toutes les ressources techniques et humaines, pouvaient les réaliser, surtout en matière d’intégration économique et de construction d’un continent africain unifié.

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Accord de libre-échange africain : Les entreprises tunisiennes face aux défis de l’intégration continentale

15. Mai 2025 um 15:04

Soutenir l’implantation des entreprises tunisiennes sur les marchés africains à fort potentiel était l’une des attentes formulées par les acteurs économiques participant à une formation organisée par la CONECT sur les mécanismes d’échanges dans le cadre de l’accord ZLECAf, traité établissant la zone de libre-échange continentale africaine.

Ces acteurs ont estimé, qu’au-delà des perspectives commerciales qu’offrent les accords régionaux, cette implantation permettrait aux entreprises tunisiennes d’être plus présentes sur les marchés africains, de cibler un plus grand nombre de consommateurs et de réduire considérablement les coûts de la logistique.

Cette implantation passe, selon eux, par une amélioration des législations régissant l’investissement notamment celles relatives aux changes, ainsi que des conditions de circulation des personnes avec le reste du continent.

Intervenant dans le cadre de cette formation, la Directrice chargée de la coopération économique et commerciale avec l’Afrique au ministère du Commerce et du Développement des Exportations, Bochra Lejmi a affirmé que des efforts sont déployés par les autorités pour mettre en œuvre l’orientation stratégique vers l’Afrique adoptée par la Tunisie.

Toujours selon elle, l’engagement de la Tunisie en faveur de l’intégration africaine s’est renforcé avec la ratification de l’accord ZLECAF en août 2020. La Tunisie se trouve ainsi face à une série d’opportunités et de défis liés à cette initiative d’intégration économique.

Parmi les opportunités, Lejmi a évoqué l’accès à un grand marché continental, la diversification des marchés d’exportations au-delà de l’Europe, le développement des capacités industrielles, la promotion de la coopération triangulaire, la création d’emplois locaux et le renforcement de la coopération sud-sud qui pourrait stimuler des projets communs dans des secteurs tels que les infrastructures, les énergies renouvelables et les nouvelles technologies.

S’agissant des défis, la responsable a souligné que l’un des principaux défis pour la Tunisie est d’améliorer la compétitivité de ses entreprises face à des concurrents de pays africains où les coûts de production peuvent être plus bas. Cela nécessite des réformes structurelles, une amélioration de l’efficacité logistique et des investissements dans la recherche et l’innovation.

Elle a, en outre, évoqué l’infrastructure insuffisante, estimant que les corridors de transport entre la Tunisie et les pays de l’Afrique subsaharienne sont encore sous-développés et que les infrastructures de transport et de logistique en Tunisie nécessitent des améliorations pour faciliter les échanges commerciaux avec le reste du continent.

L’harmonisation des normes et des régulations entre les différents pays africains représente également un défi important, a-t-elle indiqué, considérant qu’il sera crucial pour la Tunisie de s’adapter aux nouvelles régulations et de garantir que ses produits répondent aux exigences des différents marches africains.

La capacité de production étant limitée en Tunisie, Lejmi a estimé que pour tirer pleinement parti de la ZLECAf, la Tunisie devra augmenter sa capacité de production, notamment dans les secteurs exportateurs. Cela passe par un soutien aux petites et moyennes entreprises (PME), la modernisation de l’appareil industriel et l’amélioration des chaînes de valeur.

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Ridha Chkoundali : « La loi sur les chèques est la plus désastreuse jamais élaborée par l’ARP »

15. Mai 2025 um 14:18

La question des conséquences de la loi sur les chèques supportées par l’économie du pays a été au cœur de l’intervention de Ridha Chkoundali, économiste et enseignant universitaire, ce mercredi 14 mai 2025 sur Diwan FM. « Cette loi est la plus désastreuse jamais élaborée par l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) », a-t-il déclaré.

Pour l’économiste Ridha Chkoundali, cette loi affecte le centre névralgique de l’économie, à savoir la consommation, soulignant que la consommation est le principal catalyseur de la croissance. L’ensemble du secteur commercial a subi des répercussions, et cette législation récente concernant les chèques a stimulé le développement de l’économie informelle, qui ne cesse de croître.

La stratégie du “compter sur soi” est compromise

Poursuivant dans la même veine, Ridha Chkoundali a souligné qu’« il convient d’être vigilant. Nous avons établi un objectif de croissance de 3,2 % dans la loi de finances, et ce n’est qu’une illusion ». Et de reprendre : « L’atmosphère mondiale est déjà conflictuelle à cause des décisions de Trump. Et nous, nous mettons en place une loi qui freine l’un des principaux moteurs de la croissance, à savoir la consommation. Cela occasionne un ralentissement de la croissance, d’où une réduction des ressources fiscales. Ce qui compromet la stratégie du ‘compter sur soi ».

Le professeur universitaire a également exprimé son désaccord quant au fait que cette loi a été conçue par le ministère de la Justice, qui n’a pas les compétences en économie requises. Alors que selon lui, elle aurait dû être élaborée et portée par les ministères du Commerce et de l’Économie. « L’ARP n’a pas abordé l’aspect économique de la loi, elle s’est concentrée uniquement sur le volet pénal », a souligné Ridha Chkoundali, qualifiant cette législation d’imprécise.

Une législation qui rétrograde la Tunisie

Par ailleurs, le professeur d’économie a évoqué le rejet par les commerçants de la traite. Cela a stimulé l’utilisation des paiements en liquide, d’autant plus que la mise en place de la traite nécessite des efforts additionnels et des déplacements vers les établissements bancaires.

« Actuellement, les Tunisiens préfèrent récupérer leurs salaires en liquide plutôt que de les laisser à la banque. Une tendance qui a entraîné une inflation significative du cash et qui encourage l’expansion de l’économie informelle », a dénoncé Ridha Chkoundali. Avant d’ajouter : « Cette législation a rétrogradé la Tunisie de plusieurs années ». De ce fait, il plaide pour sa reformulation dans le but de redresser la situation. « Obtenir une croissance de 3,2 % est extrêmement ardu; atteindre le 1,4 % prévu par le FMI serait déjà impressionnant », a-t-il conclu. Tout en s’interrogeant sur l’absence de divulgation des taux de croissance pour le premier trimestre de 2025.

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Tunisie │ Le taux de chômage estimé à 15,7 % au 1er trimestre 2025

15. Mai 2025 um 13:55

Au premier trimestre de 2025, la population active en Tunisie s’inscrit en hausse, s’établissant à 4 233 000 individus contre 4 179 100 au troisième trimestre de l’année 2024, soit une augmentation de 54 300 individus. 

C’est ce qu’indique l’Institut national de la statistique (INS) dans ses «Indicateurs de l’emploi et du chômage au premier trimestre 2025».

Cette population se répartit en 2 899 700 hommes (68,5% de la population active) et 1 333 700 femmes (31,5%).

Cette augmentation correspond à une hausse de 0,2 point de pourcentage du taux d’activité qui atteint 46,4% de la population en âge de travailler contre 46,2% le troisième trimestre 2024.

Le nombre des occupés a augmenté de 57 000 pour s’établir à 3 568 900 au premier trimestre de l’année 2025 contre 3 511 900 au troisième trimestre de l’année 2024.

Cette population est répartie inégalement entre les deux sexes : 2 505 500 hommes contre 1 063 500 femmes, soit respectivement 70,2 % et 29,8 % de la population active occupée.

La répartition des occupés selon les secteurs d’activités se présente comme suit : 54 % dans les services, 20% dans les industries manufacturières, 12 % dans les industries non manufacturières et 14% dans l’agriculture et de la pêche.

Baisse du chômage à 15,7% 

Le nombre de chômeurs s’établit à 664500, en baisse de 2 700 par rapport au troisième trimestre 2024 (667200). Le taux de chômage diminue pour atteindre 15,7 %, contre 16 % au troisième trimestre 2024.

Par sexe, le taux de chômage a légèrement augmenté pour les hommes, s’établissant à 13,6% (contre 13,3 % au T3 2024), tandis qu’il a baissé pour les femmes, passant à 20,3 % après 22,1 % au T3 2024.

Au premier trimestre 2025, le taux de chômage des jeunes de 15 à 24 ans a reculé pour s’établir à 37,7 %, après 40,5 % au troisième trimestre 2024. Cette baisse concerne aussi bien les hommes (38,4 %) que les femmes (36,3 %).

Le taux de chômage des diplômés de l’enseignement supérieur diminue pour atteindre 23,5 % au premier trimestre de l’année 2025 (contre 25 % au troisième trimestre 2024). Ce taux est de 13,6 % chez les hommes et de 30,7 % chez les femmes.

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Tunisie │La croissance estimée à 1,6% au 1er trimestre 2025

15. Mai 2025 um 13:35

La croissance du produit intérieur brut (PIB) de la Tunisie en volume, au cours du 1er trimestre 2025, a été de 1,6%, par rapport à la même période de 2024, selon les données publiées ce jeudi 15 mai 2025 par l’Institut national de la statistique (INS).

En glissement trimestriel, c’est-à-dire par rapport au quatrième trimestre de 2024, le PIB en volume a diminué de 0,2%.

Au cours de la même période, le secteur agricole a enregistré une croissance de 7%, performance qui a contribué à hauteur de 0,59% à la croissance totale, qui est de 1,6%.

La valeur ajoutée du secteur industriel a augmenté de 0,5% en raison de de la hausse de 6,5% des industries agroalimentaires, alors que le secteur des industries mécaniques et électriques s’est accru de 0,8%. Contre une baisse de la valeur ajoutée du secteur textile, habillement et chaussure (-0,9%) et de celui de la chimie (-2%).

La valeur ajoutée du secteur de l’énergie, des mines, de l’eau, de l’assainissement et du traitement des déchets a, quant à lui, augmenté de 0,6% au cours du 1er trimestre 2025 par rapport à la même période de 2024, bénéficiant de la reprise enregistrée dans le secteur de l’extraction du phosphate,

La valeur ajoutée du secteur minier a augmenté de 12,3%. Alors que celui de l’extraction de pétrole et de gaz naturel a baissé de 4,2%, toujours selon les chiffres de l’INS.

I. B.

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Petite baisse de l’or de 0,8 % à 3 153 dollars

15. Mai 2025 um 13:10

Les prix de l’or sont tombés, jeudi 15 mai 2025, à leur plus bas niveau depuis plus d’un mois. Alors que les investisseurs attendaient les données de l’indice des prix à la production américain pour obtenir de nouveaux indices sur la direction de l’économie.

L’or au comptant a chuté ce matin de jeudi 15 mai de 0,8 % à 3 153,09 dollars l’once. Et ce, après avoir atteint son plus bas niveau depuis le 10 avril plus tôt dans la séance. Les contrats à terme sur l’or américain ont chuté de 1 % à 3 156,90 dollars, a rapporté Reuters.

A rappeler que les États-Unis et la Chine ont convenu de réduire considérablement leurs tarifs douaniers mutuels et une suspension de 90 jours. Apaisant ainsi la guerre commerciale entre les deux plus grandes économies du monde. Toutefois, les marchés mondiaux restent prudents quant à ce qui pourrait se passer après les 90 jours.

Les marchés attendent désormais les données de l’indice des prix à la production américain, dont la publication est prévue dans la journée. Alors que les investisseurs recherchent de nouveaux indices sur la voie à suivre par la Réserve fédérale après des données de consommation plus faibles que prévu. On s’attend à ce que les taux d’intérêt soient réduits de 50 points de base cette année, à partir d’octobre.

Par ailleurs, l’or est souvent considéré comme une couverture en période d’incertitude économique et politique. Il augmente dans un environnement de taux d’intérêt bas.

Quant aux autres métaux précieux : l’argent au comptant a chuté de 0,7 % à 31,98 $ l’once; le platine a augmenté de 0,5 % à 980,35 $; et le palladium a augmenté de 0,1 % à 951,90 $.

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Soutien à l’implantation des entreprises tunisiennes en Afrique réclamé

Soutenir l’implantation des entreprises tunisiennes sur les marchés africains à fort potentiel était l’une des attentes formulées par les acteurs économiques participant à une formation organisée par la CONECT sur les mécanismes d’échanges dans le cadre de l’accord ZLECAf, traité établissant la zone de libre-échange continentale africaine.

Ces acteurs ont estimé, qu’au-delà des perspectives commerciales qu’offrent les accords régionaux, cette implantation permettrait aux entreprises tunisiennes d’être plus présentes sur les marchés africains, de cibler un plus grand nombre de consommateurs et de réduire considérablement les coûts de la logistique.

Cette implantation passe, selon eux, par une amélioration des législations régissant l’investissement notamment celles relatives aux changes, ainsi que des conditions de circulation des personnes avec le reste du continent.

Intervenant dans le cadre de cette formation, la Directrice chargée de la coopération économique et commerciale avec l’Afrique au ministère du Commerce et du Développement des Exportations, Bochra Lejmi a affirmé que des efforts sont déployés par les autorités pour mettre en œuvre l’orientation stratégique vers l’Afrique adoptée par la Tunisie.

Toujours selon elle, l’engagement de la Tunisie en faveur de l’intégration africaine s’est renforcé avec la ratification de l’accord ZLECAF en août 2020. La Tunisie se trouve ainsi face à une série d’opportunités et de défis liés à cette initiative d’intégration économique.

Parmi les opportunités, Lejmi a évoqué l’accès à un grand marché continental, la diversification des marchés d’exportations au-delà de l’Europe, le développement des capacités industrielles, la promotion de la coopération triangulaire, la création d’emplois locaux et le renforcement de la coopération sud-sud qui pourrait stimuler des projets communs dans des secteurs tels que les infrastructures, les énergies renouvelables et les nouvelles technologies.

S’agissant des défis, la responsable a souligné que l’un des principaux défis pour la Tunisie est d’améliorer la compétitivité de ses entreprises face à des concurrents de pays africains où les coûts de production peuvent être plus bas. Cela nécessite des réformes structurelles, une amélioration de l’efficacité logistique et des investissements dans la recherche et l’innovation.

Elle a, en outre, évoqué l’infrastructure insuffisante, estimant que les corridors de transport entre la Tunisie et les pays de l’Afrique subsaharienne sont encore sous-développés et que les infrastructures de transport et de logistique en Tunisie nécessitent des améliorations pour faciliter les échanges commerciaux avec le reste du continent.

L’harmonisation des normes et des régulations entre les différents pays africains représente également un défi important, a-t-elle indiqué, considérant qu’il sera crucial pour la Tunisie de s’adapter aux nouvelles régulations et de garantir que ses produits répondent aux exigences des différents marches africains.

La capacité de production étant limitée en Tunisie, Lejmi a estimé que pour tirer pleinement parti de la ZLECAf, la Tunisie devra augmenter sa capacité de production, notamment dans les secteurs exportateurs. Cela passe par un soutien aux petites et moyennes entreprises (PME), la modernisation de l’appareil industriel et l’amélioration des chaînes de valeur.

Avec TAP

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Chômage: le taux recule à 15,7 % au T1 2025

15. Mai 2025 um 12:36

L’Institut national de la statistique (INS) a publié ce jeudi 15 mai 2025 son rapport sur le taux de chômage au premier trimestre 2025, qui révèle une légère amélioration de la situation sur le marché du travail. Le nombre de chômeurs diminue ainsi légèrement, passant de 667,2 mille au troisième trimestre 2024 à 664,5 mille, ce qui fait baisser le taux de chômage à 15,7 % contre 16,0 % précédemment. Cette baisse globale masque toutefois des disparités selon le sexe : le taux de chômage des hommes augmente légèrement à 13,6 %, tandis que celui des femmes recule significativement à 20,3 %.

Le chômage des jeunes âgés de 15 à 24 ans connaît une baisse notable, passant de 40,5 % à 37,7 %, touchant aussi bien les hommes (38,4 %) que les femmes (36,3 %). Par ailleurs, le taux de chômage des diplômés de l’enseignement supérieur diminue également, s’établissant à 23,5 %, avec un écart important entre hommes (13,6 %) et femmes (30,7 %).

Ces chiffres témoignent d’une amélioration globale du marché de l’emploi, bien que des défis restent à relever, notamment en matière d’emploi féminin et d’intégration des jeunes et des diplômés.

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La Tunisie au Salon international de l’huile d’olive 2025 de Jaén, en Espagne

15. Mai 2025 um 12:23

La Tunisie est présente au Salon international de l’huile d’olive 2025 qui ce déroule à Jaén, en Espagne, du 14 au 17 mai 2025. La participation tunisienne est conduite par l’Agence des promotions des investissements agricoles (APIA); et ce, en partenariat avec l’Office national de l’huile (ONH).

Le Salon Jaén a lieu tous les deux ans. Il figure parmi les événements internationaux les plus importants consacrés à l’industrie oléicole.

Il réunit les acteurs majeurs de la chaîne de valeur de l’huile d’olive. A savoir les producteurs et les exportateurs d’huile d’olive; mais aussi des experts, des chercheurs et autres fabricants d’équipements.

Lors de la première journée, l’ambassadeur de Tunisie en Espagne a effectué une visite au pavillon tunisien.

Naturellement, les participants tunisiens exposent plusieurs variétés d’huiles d’olive tunisiennes. Lesquelles se sont distinguées lors des concours nationaux et internationaux, Mario Solina, entre autres.

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Tunisie : Le taux de remplissage des barrages à 40,2 % au 15 mai 2025

15. Mai 2025 um 13:12

Le taux de remplissage de l’ensemble des barrages tunisiens s’est situé au niveau de 40,2 %, à la date du 15 mai courant, a déclaré vendredi le secrétaire d’Etat chargé des ressources hydrauliques auprès du ministre de l’Agriculture, des ressources hydrauliques et de la pêche, Hamadi Habaieb.

Les réserves en eau dans ces barrages ont ainsi atteint 952 millions de m3, a-t-il ajouté, lors d’un atelier international sur l’éco-hydrologie organisé à l’initiative de l’Institut National des Sciences et des Technologies de la Mer (INSTM), à son siège à Carthage, à l’occasion du 50e anniversaire du Programme hydrologique intergouvernemental de l’Unesco (PHI) et des 60 ans de sciences de l’eau à l’UNESCO.

Cet atelier, qui se poursuivra jusqu’au 16 mai courant, réunit des chercheurs, des experts ainsi que des acteurs régionaux et internationaux pour débattre des avancées scientifiques et des stratégies intégrées en faveur de la gestion durable des ressources en eau et de la biodiversité marine, en lien avec les priorités du PHI (2022–2029), notamment celles relatives à l’Afrique et l’égalité des genres.

Evoquant l’éco-hydrologie, un domaine interdisciplinaire qui étudie les interactions entre l’eau et les écosystèmes, lesquelles peuvent avoir lieu au sein de milieux aquatiques ( les rivières et les lacs) ou sur la terre ( les forêts, les déserts et les autres écosystèmes terrestres), Hbaieb a souligné que ce domaine offre un nouveau contexte pour la gestion durable des ressources en eau.

Les domaines de recherche en éco-hydrologie comprennent l’évapotranspiration et l’utilisation de l’eau de la plante, l’adaptation des organismes à l’eau environnement aquatique, l’influence de la végétation sur l’écoulement et la fonction des cours d’eau et les réactions entre les processus écologiques et le cycle hydrologique.

Et d’ajouter que l’approche de l’éco-hydrologie est mise en œuvre dans divers bassins hydrologiques, notamment dans des sites de démonstration, avec l’utilisation de différentes biotechnologies éco-hydrologiques dans les zones agricoles, côtières, estuariennes et urbaines

Il a souligné que l’organisation de cet atelier international sur l’éco-hydrologie en Afrique du Nord «  ECOTUN 2 », s’inscrit dans le prolongement de la 1e édition et de la désignation du site de Ghar El Melh en 2022 comme premier site éco-hydrologique de l’Unesco en Afrique du Nord et dans le monde arabe.

Ce site pilote illustre de manière concrète la mise en œuvre des approches éco- hydrologiques et de la gestion écosystémique pour la restauration et la valorisation des zones humides côtières, a-t-il dit.

Parallèlement à cet atelier, une formation portant sur la surveillance des micro-plastiques dans les environnements côtiers, en adoptant une approche scientifique appliquée (prélèvements, analyses spectroscopiques, suivi de la qualité de l’eau, identification des micro-plastiques, etc.).

Cette formation vise à renforcer les capacités techniques et scientifiques en matière de lutte contre la pollution plastique et de gestion environnementale fondée sur des données probantes.

Ces événements seront suivis d’une journée de terrain au site de démonstration de l’Observatoire OMELI classé site pilote par l’Unesco Eau.

Fondé en 1975, à la suite de la Décennie hydrologique internationale (1965-1974), le Programme hydrologique intergouvernemental (PHI) de l’UNESCO, est le seul programme de coopération intergouvernementale du système des Nations Unies consacré à la recherche et à la gestion de l’eau, ainsi qu’à l’éducation et au développement des capacités dans ce domaine. Il traite des défis nationaux, régionaux et mondiaux liés à l’eau, en soutenant le développement de sociétés durables et résilientes.

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Économie tunisienne : l’agriculture et les services boostent la croissance au T1 2025

15. Mai 2025 um 12:27

Le Produit Intérieur Brut (PIB) en volume, corrigé des variations saisonnières, a enregistré une croissance au taux de 1,6% sur un an au cours du premier trimestre de l’année 2025, indique l’Institut national de la statistique (INS).

En glissement trimestriel, c’est-à-dire par rapport au quatrième trimestre de l’année 2024, le PIB en volume aura diminué de 0.2%, précise l’INS, dans une note rendue publique, jeudi.

La croissance au cours des trois premiers mois de 2025 a été principalement tirée par la performance du secteur agricole, qui a enregistré une augmentation de la valeur ajoutée de 0,7% par rapport à la même période de 2024, ce qui a contribué à hauteur de 0,59 point de pourcentage à la croissance globale du PIB, à fin mars 2025.

De même, le secteur industriel a connu une croissance de 0,5% au cours du trimestre 2025. Idem pour le secteur des services, qui a réussi, à son tour, à maintenir son rythme de croissance positif, avec une valeur ajoutée en hausse de 1,1%, contribuant, selon les estimations, à hauteur de 0,66 point de pourcentage au taux de croissance enregistré pour le trimestre.

L’INS a fait état, en outre, d’une augmentation de la demande intérieure, constituée des dépenses de consommation et de l’investissement, de 3,7%, dont la contribution à la croissance est estimée à 4 points.

En revanche, la contribution du commerce extérieur net à la croissance, durant le premier trimestre 2025, a été négative (-2,4 points), étant donné que les importations ont évolué à un rythme plus important (8,6%), que celui des exportations (4,5)%.

Pour rappel, la croissance est passée, en glissement annuel, de 0,3%, au cours du premier trimestre 2024, à 1%, durant le 2ème trimestre 2024, avant d’atteindre 1,8%, au 3ème trimestre 2024, et de s’établir au niveau de 2,4%, durant les trois derniers mois de l’année 2024.

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Tunisie : Le taux de chômage recule à 15,7 % au premier trimestre 2025

15. Mai 2025 um 12:18

Le taux de chômage en Tunisie a baissé à 15,7% au premier trimestre de l’année en cours contre 16,0 % au troisième trimestre de l’année écoulée.

Selon les indicateurs de l’emploi et du chômage du premier trimestre de 2025, publiés ce jeudi par l’Institut national de la statistique (INS), le taux de chômage a légèrement augmenté pour les hommes, s’établissant à 13,6% (contre 13,3 % au troisième trimestre de 2024), tandis qu’il a baissé pour les femmes, passant à 20,3 % après 22,1 % au 3ème trimestre de 2024.

Au premier trimestre 2025, le taux de chômage des jeunes de 15 à 24 ans a reculé pour s’établir à 37,7 %, après 40,5 % au troisième trimestre 2024. Cette baisse concerne aussi bien les hommes (38,4 %) que les femmes (36,3 %).

Le taux de chômage des diplômés de l’enseignement supérieur a diminué pour atteindre 23,5 % au premier trimestre de l’année 2025 (contre 25 % au troisième trimestre 2024). Ce taux est de 13,6 % chez les hommes et de 30,7 % chez les femmes.

D’après l’INS, au premier trimestre de 2025 la population active a augmenté pour atteindre 4233,4 mille individus contre 4179,1 mille au troisième trimestre de l’année 2024, soit une augmentation de 54,3 mille individus. Cette population se répartit en 2899,7 mille hommes et 1333,7 mille femmes, soit respectivement 68,5 % et 31,5 % de l’ensemble de la population active.

Cette augmentation de la population active pendant le premier trimestre de l’année 2025 correspond à une hausse de 0,2 point de pourcentage du taux d’activité qui atteint 46,4 % de la population en âge d’activité contre 46,2 % le troisième trimestre 2024.

Le nombre des occupés a aussi augmenté de 57 mille pour s’établir à 3568,9 mille au premier trimestre de l’année 2025 contre 3511,9 au troisième trimestre de l’année 2024.

Cette population est répartie inégalement entre les deux sexes : 2505,5 mille hommes contre 1063,5 mille femmes, soit respectivement 70,2 % et 29,8 % de la population active occupée.

La répartition des occupés selon les secteurs d’activités se présente comme suit : 54 % dans le secteur des services, 20% dans le secteur des industries manufacturière, 12 % dans le secteur des industries non manufacturière et 14% dans le secteur de l’agriculture et de la pêche.

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Plans de développement en Tunisie : Saied plaide pour une approche décentralisée et inclusive

15. Mai 2025 um 12:08

Les réunions avec les membres des Conseils des District pour l’élaboration du projet de Plans de développement ont été au centre de la rencontre tenue, mercredi soir au palais de Carthage, entre le président de la République, Kais Saied, et le ministre de l’Economie et de la Planification, Samir Abdelhafid.

Cité dans un communiqué de la présidence de la République, rendu public jeudi, le chef de l’Etat a souligné que tous les projets futurs de développement seront inscrits dans ces plans de développement, qui serviront de référence et de base “pour en finir avec des choix, ayant entrainé l’injustice économique et sociale”.

Il a appelé, dans ce cadre, à prendre en considération et à fédérer les propositions des représentants des Conseils de Districts, lors de la conception du rapport final avant l’élaboration d’un éventuel projet de Loi.

“Les solutions et les projets ne seront pas projetés depuis le centre comme un don, mais plutôt comme une réponse aux demandes de ceux qui ont souffert de l’injustice, de l’appauvrissement et de la marginalisation”, a commenté le chef de l’Etat.

Par ailleurs, le président de la République a rappelé la création du Secrétariat d’Etat au Plan en 1961, qui a réalisé des résultats indéniables, notamment dans le domaine socio-économique.

Il a fait savoir que les citoyens sont désormais capables de concevoir des solutions et sont déterminés à réaliser une croissance juste et équilibrée dans tout le pays, soulignant que la conception, au sens réel et métaphorique du terme, est basée sur une nouvelle planification et une détermination à aller de l’avant.

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Des ‘matmouras’ pour stocker la récolte céréalière… pourquoi pas??!!!

15. Mai 2025 um 13:00
Des ‘matmouras’ pour stocker la récolte céréalière… pourquoi pas??!!! | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (SEF) – La capacité de collecte des céréales 2025, est estimée par les services de la direction générale de la production végétale du ministère de l’agriculture, des ressources hydrauliques et de la pèche à 7,6 millions de quintaux, alors que celle des centres du stockage, couverts, ne compte que 7,200 millions de quintaux.

Les responsables de l’Office essayent de trouver une solution pour combles cet écart, garantir la collecte optimale de la récolte et venir en aide aux céréaliers et aux collecteurs de grains pour conserver la récolte dans les conditions escomptées.

Et pour ne pas stocker la récolte céréalière sous bâches, à ciel ouvert, il est préférable de recourir à la fosse à grains ‘Matmoura’. Cette technique ancienne consiste à creuser une fosse de 2 à 3 mètres de profondeur et de 60 centimètres à 1 mètre d’ouverture, couverte de tiges en paille tissée. Cette opération peu coûteuse offre une meilleure protection des grains de céréales stockés, contre l’humidité et durant plusieurs mois, voire des années. (N.K)

Tunisair projette d’exploiter 14 avions d’ici l’été 2025

15. Mai 2025 um 13:05

La flotte de Tunisair est passée de 28 avions en 2010 à 18 en 2024, a indiqué le ministre des Transport, Rachid Amri, ajoutant qu’il n’y a aucune intention de vendre cette entreprise publique, mais qu’il existe un plan pour sa restructuration.

Le ministre, qui parlait lors d’une séance plénière de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) consacrée à l’examen de l’accord entre la Tunisie et l’Italie sur la reconnaissance mutuelle des permis de conduire, a affirmé que la compagnie aérienne tunisienne, en crise depuis plusieurs années, prévoit d’exploiter 14 avions d’ici fin mai 2025, alors qu’elle n’exploitait à un moment donné que 6 ou 7 avions, tandis que les autres étaient cloués au sol, nécessitant une maintenance et d’énormes ressources financières, surtout à un moment où la compagnie était endettée.

M. Amri a annoncé que le ministère des Transports a mis en œuvre un plan visant à augmenter le nombre d’avions opérationnels à un total de 11, en plus de 3 autres avions actuellement en location, pour atteindre un total de 14 durant la haute saison estivale.

Tunisair commencera à exploiter 12 avions d’ici le 15 mai, a-t-il précisé.

Le plan élaboré pour sauver Tunisair, a poursuivi le ministre, repose sur la réparation du plus grand nombre possible d’avions et leur réutilisation au sein de sa flotte opérationnelle. Le processus de diagnostic d’un moteur d’avion coûte entre 40 000 et 50 000 dollars, ce qui nécessite davantage de ressources financières pour les opérations de maintenance.

Les quatre appareils restants de la flotte de 18 appareils seront opérationnels d’ici la fin de cette année, a-t-il ajouté.

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Le taux de chômage se stabilise à 15,7%

Von: La Presse
15. Mai 2025 um 11:58

Le taux de chômage en Tunisie a baissé à 15,7% au premier trimestre de l’année en cours contre 16,0 % au troisième trimestre de l’année écoulée.

Selon les indicateurs de l’emploi et du chômage du premier trimestre de 2025, publiés ce jeudi par l’Institut national de la statistique (INS), le taux de chômage a légèrement augmenté pour les hommes, s’établissant à 13,6% (contre 13,3 % au troisième trimestre de 2024), tandis qu’il a baissé pour les femmes, passant à 20,3 % après 22,1 % au 3ème trimestre de 2024.

Au premier trimestre 2025, le taux de chômage des jeunes de 15 à 24 ans a reculé pour s’établir à 37,7 %, après 40,5 % au troisième trimestre 2024. Cette baisse concerne aussi bien les hommes (38,4 %) que les femmes (36,3 %).

Le taux de chômage des diplômés de l’enseignement supérieur a diminué pour atteindre 23,5 % au premier trimestre de l’année 2025 (contre 25 % au troisième trimestre 2024). Ce taux est de 13,6 % chez les hommes et de 30,7 % chez les femmes.

D’après l’INS, au premier trimestre de 2025 la population active a augmenté pour atteindre 4233,4 mille individus contre 4179,1 mille au troisième trimestre de l’année 2024, soit une augmentation de 54,3 mille individus. Cette population se répartit en 2899,7 mille hommes et 1333,7 mille femmes, soit respectivement 68,5 % et 31,5 % de l’ensemble de la population active.

Cette augmentation de la population active pendant le premier trimestre de l’année 2025 correspond à une hausse de 0,2 point de pourcentage du taux d’activité qui atteint 46,4 % de la population en âge d’activité contre 46,2 % le troisième trimestre 2024.

Le nombre des occupés a aussi augmenté de 57 mille pour s’établir à 3568,9 mille au premier trimestre de l’année 2025 contre 3511,9 au troisième trimestre de l’année 2024.

Cette population est répartie inégalement entre les deux sexes : 2505,5 mille hommes contre 1063,5 mille femmes, soit respectivement 70,2 % et 29,8 % de la population active occupée.

La répartition des personnes actives selon les secteurs d’activités se présente comme suit : 54 % dans le secteur des services, 20% dans le secteur des industries manufacturière, 12 % dans le secteur des industries non manufacturière et 14% dans le secteur de l’agriculture et de la pêche.

Révision du Code du travail : La sous-traitance dans les secteurs de la sécurité et du nettoyage désormais interdite

Von: La Presse
15. Mai 2025 um 11:10

La Commission de la santé, de la femme et de la famille, des affaires sociales et des personnes handicapées poursuit l’examen du projet de loi visant à réguler les contrats de travail et à interdire la sous-traitance dans certains secteurs, avec la participation du ministre des Affaires sociales en tant qu’initiateur du projet.

Lors de cette réunion, la députée Syrine Merabet a annoncé, via sa page Facebook, l’adoption d’un amendement important concernant l’article 28 du projet de loi. Cet amendement précise que la sous-traitance sera désormais interdite dans les secteurs de la sécurité et du nettoyage, une mesure qui vise à protéger les droits des travailleurs et à éviter les abus liés à ces pratiques.

L’article révisé définit la sous-traitance comme tout contrat ou accord entre une entreprise fournissant de la main-d’œuvre et une autre entreprise bénéficiaire. Dans ce cadre, les travailleurs de l’entreprise fournissant la main-d’œuvre sont mis à la disposition de l’entreprise bénéficiaire. La révision stipule que la sous-traitance dans les activités de sécurité et de nettoyage est désormais interdite.

Cette révision s’inscrit dans un effort global visant à renforcer la protection des travailleurs et à réguler les pratiques du marché de l’emploi, en particulier dans des secteurs sensibles où les conditions de travail peuvent parfois être précaires.

Tunisie : croissance du PIB de 1,6 % au premier trimestre 2025, selon l’INS

15. Mai 2025 um 11:12

Le Produit Intérieur Brut (PIB) en volume, corrigé des variations saisonnières, a enregistré une croissance au taux de 1,6% sur un an au cours du premier trimestre de l’année 2025, indique l’Institut national de la statistique (INS).

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