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Heute — 30. Dezember 2025Haupt-Feeds

Facture électronique en Tunisie: qui est concerné, quelles sanctions et comment s’y préparer? Les explications de Kais Fekih

30. Dezember 2025 um 15:15

À partir du 1er janvier 2026, la facture électronique ne sera plus une option en Tunisie. Elle devient une obligation légale pour une large catégorie d’entreprises et de professionnels, notamment dans le secteur des services. Une réforme fiscale majeure, engagée depuis près d’une décennie, mais qui s’accélère brutalement à quelques heures de son entrée en vigueur. Pour comprendre les enjeux, les obligations concrètes et les difficultés de mise en œuvre, l’éclairage de Kais Fekih, expert-comptable, permet de remettre le cadre juridique et technique à plat.

La facturation électronique n’est pas une nouveauté en Tunisie. Elle a été instaurée par la loi dès 2016, dans une logique d’alignement sur les standards internationaux, notamment européens. «À l’époque, le dispositif reste timide», souligne Fekih, et d’ajouter: «Peu de visibilité, peu d’explications, et surtout aucune sanction réelle». Résultat: même les grandes entreprises, pourtant ciblées en priorité, n’adhèrent pas massivement.

Le véritable tournant intervient lorsque l’État impose la facture électronique aux prestataires privés travaillant avec les entreprises publiques. L’objectif est clair: assurer un meilleur suivi fiscal des transactions avec l’administration. C’est à ce moment-là que le système commence à prendre forme, avec la TTN (Tunisie TradeNet) désignée comme plateforme centrale de traitement et de transmission des factures électroniques.

Les sanctions changent la donne

Pendant longtemps, l’absence de sanctions a freiné l’adoption. La situation évolue lorsque des amendes financières sont introduites pour les grandes entreprises. En cas de non-émission de facture électronique, la sanction peut atteindre 500 dinars par facture. Mais ce que peu d’acteurs avaient anticipé, c’est l’extension du dispositif bien au-delà des grandes structures.

À compter du 1er janvier 2026, l’ensemble du secteur des services est soumis à l’obligation de facturation électronique. Le délai est extrêmement court, à peine quelques semaines, pour un secteur qui représente plus de 350 000 prestataires.

Sont concernés aussi bien les sociétés que les entreprises individuelles relevant du régime réel. La liste est large: comptables, avocats, médecins, ingénieurs, architectes, artisans, hôtels, agences de voyages, banques, assurances, transporteurs, informaticiens, consultants, designers. En clair, quasiment toute activité de services.

Une procédure lourde et très technique

Contrairement à une idée répandue, la facture électronique ne se résume pas à l’envoi d’un PDF par email. Il s’agit d’un système structuré, reposant sur plusieurs étapes obligatoires. La première consiste à obtenir une signature électronique auprès de la NCE (Agence nationale de certification électronique). Sans cette signature, aucune adhésion n’est possible. Une fois la signature obtenue, l’entreprise doit constituer un dossier complet auprès de la TTN, incluant formulaires, contrats et documents juridiques.

Des tests techniques sont ensuite imposés avant le passage en production réelle. Après l’adhésion à la TTN, une démarche supplémentaire est requise auprès de l’administration fiscale, via le dépôt d’une lettre d’information confirmant l’adhésion au système. Là encore, les délais sont incertains.

Selon l’expert, ni la NCE ni la TTN ne disposent aujourd’hui des ressources humaines et techniques suffisantes pour absorber un tel volume de demandes dans des délais aussi courts. Une estimation réaliste situe la durée complète du processus autour de six mois, bien au-delà du calendrier officiel.

Un système incomplet sans les clients

La facture électronique repose sur une chaîne complète. Une entreprise de services émet une facture, la transmet à la TTN, qui la transmet ensuite au client final. Mais si ce client n’est pas lui-même adhérent au système, le processus s’arrête.

Imposer l’obligation uniquement aux prestataires, sans intégrer progressivement leurs clients, crée un système partiellement fonctionnel, sans réelle finalité économique, hormis l’information rapide de l’administration fiscale.

Un modèle européen… encore en chantier

L’expérience européenne invite à la prudence. «En France, la facturation électronique est en préparation depuis quatre ans, avec des reports successifs», indique Kais Fekih. La mise en œuvre est désormais annoncée pour septembre 2026, sans garantie absolue.

Si une économie comme la France peine à finaliser le dispositif malgré des moyens importants, la question de la capacité de la Tunisie à réussir ce basculement en quelques semaines reste ouverte.

Cependant, malgré les critiques, la facture électronique présente des avantages concrets. En cas de contrôle fiscal, elle permet de sécuriser le chiffre d’affaires déclaré et de limiter les suspicions systématiques de dissimulation. Elle réduit également l’arbitraire des contrôles et apporte plus de traçabilité pour l’administration comme pour les entreprises.

Ce qu’il faut faire, dès maintenant

La recommandation centrale est claire: déposer au minimum une demande d’adhésion, même si le système n’est pas encore pleinement opérationnel. En parallèle, le développement de fournisseurs privés de solutions de facturation électronique devient essentiel.

 

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Des signes de reprise économique en Tunisie, selon la Tap

30. Dezember 2025 um 13:17

L’année 2025 a marqué un tournant dans la trajectoire économique de la Tunisie, qui est parvenue à atténuer les effets persistants des crises mondiales successives et à atteindre une relative stabilité de ses principaux indicateurs macroéconomiques, sortant ainsi de la récession prolongée qui a caractérisé ces dernières années, souligne la Tap.

«Ceci démontre l’efficacité de la stratégie de résilience de l’État tunisien, qui privilégie la réactivation des moteurs de croissance tout en préservant les principaux équilibres budgétaires dans un contexte international difficile», ajoute l’agence de presse publique, qui précise que la croissance s’est stabilisée à 2,4 % en glissement annuel au cours des neuf premiers mois de 2025 et que les projections pour l’ensemble de l’année convergeant vers 2,6 % (contre 1,4 % en 2024). Ce chiffre est très proche des prévisions de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international, qui tablaient tous deux sur un taux de croissance compris entre 2,5 % et 2,6 % pour 2025.

Bien qu’ils restent relativement élevés, le chômage et l’inflation ont légèrement reculé, soutenus par l’amélioration des performances des secteurs productifs : l’agriculture a bénéficié de conditions climatiques favorables ; l’activité industrielle esquisse une reprise ; et le tourisme maintient une dynamique haussière solide, selon l’Institut national de la statistique (INS).

Les experts estiment que, même si elle reste modeste en valeur absolue, cette croissance de 2,6% représente un tournant après des années d’incertitude et de volatilité.

Les trois moteurs de croissance

Elle repose sur la résilience des secteurs productifs et sur les efforts du gouvernement pour restructurer les finances publiques et améliorer l’adaptabilité de l’économie, conformément à une approche nationale axée sur l’autosuffisance, la diversification et l’optimisation des ressources.

Toujours selon la Tap, le retour à la croissance en Tunisie n’est pas le fruit du hasard, mais le résultat de performances dans trois secteurs clés : l’agriculture, les services et le tourisme, conjuguées à une inflation modérée et à des réserves de change confortables.

L’agriculture a enregistré une hausse de 9,8 % de sa valeur ajoutée (11,5 % en glissement annuel au troisième trimestre, selon les données de l’INS), les abondantes récoltes d’huile d’olive et de dattes contribuant à réduire le déficit commercial dans un contexte de prix élevés des matières premières mondiales.

Le tourisme s’est imposé comme un moteur de croissance essentiel. Au 20 décembre 2025, les recettes touristiques totalisaient près de 2 milliards de dollars, soit une augmentation de 6,3 % par rapport à l’année précédente, tandis que le nombre de touristes dépassait les 11 millions, éclipsant le pic pré-pandémique de 9,4 millions enregistré en 2019.

La production de phosphate a connu un fort rebond, la production commerciale ayant augmenté de 55 % en glissement annuel au premier semestre 2025, soit le niveau le plus élevé depuis dix ans.

Assouplissement de la politique monétaire

Les transferts de fonds des Tunisiens de l’étranger ont atteint 8,5 milliards de dinars tunisiens (environ 2,2 milliards de dollars américains) au 27 décembre, soit une hausse de 6 % sur un an. Le secteur des services a progressé de 1,9 % et la valeur ajoutée industrielle de 3,4 %.

L’inflation s’est modérée et la politique monétaire s’est assouplie. L’inflation annuelle s’est établie à 4,9 % en 2025, sous l’effet d’un ralentissement de la hausse des prix des produits alimentaires de première nécessité.

Cette situation a permis à la Banque centrale de Tunisie d’abaisser son taux directeur à 7,5 % en mars, première mesure d’assouplissement après des années de resserrement monétaire, améliorant ainsi les conditions de crédit pour les petites et moyennes entreprises.

Les investissements directs étrangers et de portefeuille ont progressé, atteignant 2,885 milliards de dinars tunisiens fin septembre 2025, soit une hausse de 28,1 % sur un an.

Les exportations de phosphates et de dérivés ont augmenté de 11,9 %, tandis que celles du secteur de la construction mécanique et électrique ont progressé de 6,7 %.

Les exportations d’énergie, en revanche, ont chuté de 39 %.

Les réserves de change s’élevaient à 108 jours de couverture des importations au 26 décembre, ce qui était suffisant pour honorer les obligations extérieures.

En fin, la Tunisie a intégralement honoré ses échéances de remboursement de la dette extérieure pour 2025, selon les données du ministère des Finances, et le dinar tunisien s’est apprécié de 2,8 % par rapport au dollar américain et de 0,5 % par rapport à l’euro à fin septembre 2025.

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Snapshot : Qui a fermé Bab Bhar ?

30. Dezember 2025 um 08:37

Look étrange pour la porte de Tunis qui donne accès à la médina. Rarement fermée, Bab Bhar est ici portes closes au petit matin.

Sans domicile fixe, quelques pauvres hères semblent avoir trouvé un abri précaire sous son porche qu’ils doivent quitter au lever du jour.

Massive, séparant hermétiquement la médina historique du centre-ville européen, la porte dite à la fois de France et de la Mer semble ici condamner un horizon déjà bouché.

Lire aussi :

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Gestern — 29. Dezember 2025Haupt-Feeds

Microfinanceurs et clients de la microfinance, ceci vous concerne 

29. Dezember 2025 um 22:24

Un arrêté de la ministre des Finances fixant un plafond au taux d’intérêt annuel appliqué aux microfinancements octroyés sur des ressources autres que budgétaires a été publié au Journal officiel de la République tunisienne (JORT) du 26 décembre 2025.

Selon l’article premier, l’Autorité de contrôle de la microfinance calcule, tous les six mois et pour chaque catégorie de microfinancements, un taux annuel effectif global moyen. Ce taux correspond à la moyenne pondérée des taux appliqués par les institutions de microfinance durant le semestre précédent. Ces moyennes servent ensuite de référence, au semestre suivant, pour déterminer les taux d’intérêt ou marges bénéficiaires jugés excessifs.

L’Autorité de contrôle de la microfinance publie ces taux de référence par note officielle et précise les catégories de microfinancements concernées ainsi que les modalités de calcul du taux annuel effectif global.

Est considéré comme microfinancement appliqué à un taux excessif tout financement accordé à un taux annuel effectif global dépassant la moyenne du semestre précédent pour la même catégorie de produits financiers.

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Bourse de Tunis : bon début de semaine pour le Tunindex

29. Dezember 2025 um 22:17

Le marché boursier a entamé la semaine sur une note positive. L’indice de référence, Tunindex, a pris 0,1 % à 13283,4 points, dans un volume garni de 36,3 MDT, rapporte l’intermédiaire en Bourse, Tunisie Valeurs.

Cette enveloppe tient compte de la réalisation de cinq transactions de bloc sur les titres ATTIJARI BANK (14,7 MDT), CITY CARS (4,9 MDT), UIB (4 MDT) et BT (1,8 MDT) et POULINA GROUP HOLDING (1 MDT).

Le titre UBCI s’est adjugé la meilleure performance de la séance. Dans un flux de 218 mille dinars, l’action de la banque s’est bonifiée de 4,5 % à 33,440 D.

Le titre CIMENTS DE BIZERTE a figuré parmi les plus fortes hausses de la séance. Dans un volume de 39 mille dinars, l’action du cimentier a signé une avancée de 4,1 % à 0,510 D.

ATTIJARI BANK a été la valeur la plus dynamique de la séance. L’action de la banque privée s’est bonifiée de 0,4 % à 66,900 D, en alimentant le marché avec des capitaux de 14,8 MDT.

Sans faire l’objet de transactions sur la séance, le titre ASTREE s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action de l’assureur a reculé de 4,3 % à 44,010 D.

Le titre ESSOUKNA a, également, été mal orienté sur la séance. L’action a régressé de 4,3 % à 3,140 D. La valeur a été échangée à hauteur de 10 mille dinars sur la séance.

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Féminicide | Une femme tuée par son petit ami à El-Menzah

Von: Yusra NY
29. Dezember 2025 um 20:31

Violemment agressée puis étranglée, une jeune femme a été tuée par son petit ami, à El Menzah 7, relevant du gouvernorat de l’Ariana (nord de Tunis).

C’est ce qu’a annoncé avec douleur, l’association Aswat Nissa, ce lundi 29 décembre 2025, en commentant : « Alors que l’année 2025 s’achève, le décompte macabre des féminicides ne connaît aucun répit. Derrière chaque nom ajouté à la liste, c’est l’échec d’un système qui se dessine ».

La même source a pointé du doigt l’incapacité des autorités à protéger les femmes face au fléau de la violence qui continue de faucher des vies en Tunisie.

On notera que selon une source sécuritaire citée par Mosaïque FM, le tueur a été arrêté lors d’une descente policière et a éyé placé en détention. Ce dernier aurait, selon la même source, reconnu son affreux crime, alors que l’enquête se poursuit.

Y. N.

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Économie tunisienne : les signaux repassent au vert, cap sur 2026

28. Dezember 2025 um 11:50

Les progrès enregistrés par l’économie tunisienne au cours de 2024 et 2025 sont indéniables, la plupart des indicateurs sont au vert. Des belles promesses pour l’année 2026. Cependant, avec plein d’incertitudes.

Après plusieurs années de turbulences économiques, la Tunisie a enregistré en 2025 des indicateurs de redressement jugés tangibles, marquant une sortie progressive de la récession. Le taux de croissance s’est établi à 2,4% sur les neuf premiers mois de l’année, avec une projection annuelle de 2,6%, contre 1,4% en 2024, conformément aux prévisions de la Banque mondiale et du FMI. Ces améliorations se sont accompagnées d’un recul du chômage et de l’inflation, traduisant une stabilisation macroéconomique dans un environnement international pourtant incertain.

Cette dynamique est le fruit d’une stratégie de résilience fondée sur la relance des moteurs internes de croissance tout en préservant les grands équilibres financiers, selon les autorités.

Agriculture, tourisme et services : piliers du redressement

La reprise économique de 2025 repose essentiellement sur trois secteurs clés. L’agriculture a enregistré une hausse remarquable de sa valeur ajoutée (+9,8%), portée par une production abondante d’huile d’olive et de dattes, favorisée par de bonnes conditions climatiques et des prix internationaux élevés, lit-on dans une dépêche de la TAP.

Le tourisme s’est imposé comme l’un des principaux moteurs de la croissance. Les recettes touristiques ont progressé de 6,3% pour frôler les deux milliards de dollars, tandis que le pays a accueilli plus de 11 millions de visiteurs, dépassant ainsi le record de 2019. En outre, le secteur hôtelier et de la restauration a bénéficié de la stabilité sécuritaire et de la diversification de l’offre, incluant l’écotourisme et le tourisme médical.

En parallèle, le secteur des services a progressé de 1,9%, et l’industrie de 3,4%, soutenue notamment par une reprise historique de la production du phosphate (+55% au premier semestre), ajoute la même source.

Inflation maîtrisée et amélioration des équilibres financiers

L’inflation a reculé à 4,9% en 2025, permettant à la Banque centrale de Tunisie d’abaisser son taux directeur à 7,5 %, après une longue phase de resserrement monétaire. Même si elle est en deçà des attentes des entreprises, cette décision a offert un nouveau souffle au financement des PME.

Les investissements étrangers ont bondi de 28,1% pour atteindre près de 2,9 milliards de dinars à fin septembre. Les réserves en devises couvrent 108 jours d’importation, tandis que le dinar s’est apprécié face au dollar et à l’euro. Ces avancées ont conduit à une révision à la hausse de la notation souveraine du pays par plusieurs agences internationales.

Lire aussi : FIPA–TIA : progression des indicateurs d’investissement

Réformes structurelles et cap sur 2026

L’État a poursuivi en 2025 des politiques correctives axées sur la réforme fiscale, la rationalisation des subventions et l’amélioration du climat des affaires. Le programme «Amen social» a été déployé pour mieux cibler les aides aux populations vulnérables, tandis que des mesures ont été prises pour accélérer la transition énergétique.

Forte de ces acquis, la Tunisie aborde 2026 avec l’objectif d’une croissance de 3,3%, portée par le lancement du Plan de développement 2026-2030, fondé sur une planification ascendante et la diversification des sources de valeur ajoutée. Le défi majeur reste toutefois la transformation de cette reprise en emplois durables, notamment pour les jeunes, afin d’ancrer la croissance dans la durée.

Alors question: cet objectif est-il atteignable? Voici la vraie question!

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Pétition en France pour alerter contre la situation « catastrophique » du zoo de Gafsa

28. Dezember 2025 um 11:10

La situation du jardin zoologique de Gafsa suscite une vive inquiétude, après la publication d’un rapport sur un site amateur français évoquant un état jugé « catastrophique » des animaux hébergés sur le site. Le document, rédigé par un militant écologiste, dresse un tableau alarmant des conditions de vie au sein de cette structure publique tunisienne.

Selon le rapport, plusieurs animaux apparaissent amaigris, souffrant de la faim, de la soif et d’un manque total de soins vétérinaires. L’auteur dénonce une absence manifeste de suivi et de prise en charge, affirmant que certains animaux seraient livrés à eux-mêmes, dans un environnement dégradé et inadapté à leurs besoins biologiques. Les primates, en particulier, seraient touchés par des troubles assimilés à des formes de détresse psychologique, liés à l’isolement et au confinement prolongé.

Le rapport n’hésite pas à employer un ton sévère pour qualifier la situation, évoquant des créatures privées de leur environnement naturel et de leur liberté. Il parle d’une réalité « choquante » et « intolérable », mettant en cause la responsabilité humaine dans la souffrance infligée à ces animaux.

Face à ce constat, un appel urgent a été lancé pour sauver les animaux du zoo de Gafsa. Le rapport appelle à une mobilisation collective à travers la diffusion d’une pétition et le contact avec de grandes organisations internationales de protection animale, afin d’exercer une pression suffisante pour provoquer une intervention rapide.

Nécessité d’agir avant qu’il ne soit trop tard

« Nous ne pouvons pas attendre que les responsables de ce lieu changent d’eux-mêmes le destin de ces animaux », souligne le texte, insistant sur la nécessité d’agir avant qu’il ne soit trop tard, notamment pour les espèces les plus vulnérables. Les animaux sont décrits comme des « victimes silencieuses », incapables de faire entendre leur souffrance.

Cette mobilisation semble déjà trouver un écho. Près de 14000 signatures ont été recueillies en ligne en faveur d’une pétition pour une intervention urgente pour sauver le jardin zoologique et améliorer les conditions de vie des animaux qui y sont détenus.

Parallèlement, plusieurs vidéos circulant récemment sur les réseaux sociaux montrent des animaux dans un état préoccupant à l’intérieur du zoo, alimentant l’indignation et relançant le débat sur la gestion des parcs zoologiques en Tunisie, leur conformité aux normes internationales et la responsabilité des autorités locales.

Cette affaire remet sur le devant de la scène la question de la protection animale et de la nécessité d’un contrôle rigoureux des structures censées garantir le bien-être des espèces sauvages, dans un pays où ce sujet reste encore largement marginal dans le débat public.

Lire aussi : Tunis : Le parc zoologique du Belvédère se refait une beauté

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Mauritanie : un double moteur de la croissance, réformes structurelles et virage vers l’énergie verte

28. Dezember 2025 um 06:00

Une note de conjoncture souligne que la Mauritanie termine l’année 2025 en adressant un message clair aux capitaux internationaux : l’environnement réglementaire n’a jamais été aussi favorable et l’orientation économique du pays se diversifie de manière stratégique.

D’ailleurs, les récentes évaluations du FMI et de la Banque mondiale soulignent l’engagement du gouvernement mauritanien à « institutionnaliser la stabilité budgétaire et à libérer une croissance non extractive, offrant ainsi une base solide pour les investissements directs étrangers (IDE) à long terme ».

Le message clé pour les investisseurs réside dans le passage d’une dépendance à l’exploitation minière traditionnelle à l’utilisation des revenus du gaz naturel pour bâtir un écosystème financier sophistiqué et devenir un pionnier de l’énergie verte.

 

Nouveau code, nouvelles garanties : un environnement d’investissement sécurisé

Ainsi, pour l’investisseur étranger, l’évolution la plus significative est la mise en œuvre complète du Code des investissements révisé (depuis janvier 2025). « Cette réforme législative majeure corrige les ambiguïtés antérieures et renforce considérablement la protection des investisseurs », lit-on dans une analyse de Richat Financial.

Voici ce que cela signifie pour les IDE :

Sécurité renforcée et rapatriement des capitaux : le nouveau Code offre des garanties explicites concernant le rapatriement des capitaux (bénéfices, dividendes et rendements) sans restriction, répondant ainsi à une préoccupation majeure des transactions transfrontalières.

Procédures simplifiées : les démarches administratives ont été allégées, avec une approbation des projets d’investissement rationalisée via un Comité interministériel d’agrément.

Incitations à la diversification : le Code révisé aligne les incitations fiscales sur l’objectif national de diversification économique, en élargissant notamment les avantages fiscaux et administratifs pour des secteurs prioritaires tels que l’agriculture, la pêche, l’énergie et les services numériques.

Ce cadre juridique, souligne la notre de conjoncture, vise à offrir prévisibilité et stabilité, constituant un signal fort de l’alignement de la Mauritanie sur les meilleures pratiques internationales afin d’accueillir des capitaux professionnels.

 

Construction d’un pôle financier : l’émergence de la Bourse de Nouakchott

Afin de soutenir ce nouvel environnement d’investissement ambitieux, les bases d’un marché financier domestique moderne sont mises en place. Pour ce faire, la Banque centrale de Mauritanie pilote la création de plusieurs institutions clés, à savoir :

La Bourse de Nouakchott (NSX) : la création d’une bourse nationale formelle offrira des mécanismes essentiels de levée de capitaux, de formation des prix, de liquidité et de partenariats locaux.

Une Autorité de régulation des marchés financiers : Elle garantira une gouvernance et une supervision adéquates, renforçant la confiance dans le fonctionnement du marché local.

Un dépositaire central et un fonds de garantie des règlements : ces dispositifs constituent des étapes déterminantes vers la maturité financière, réduisant les risques transactionnels et intégrant le marché domestique aux standards financiers internationaux.

Ce développement institutionnel marque une volonté d’approfondir les marchés de capitaux locaux et de créer de nouvelles opportunités d’investissement direct et d’opérations de fusions-acquisitions (M&A) dans les entreprises nationales, selon le document.

 

L’avenir est vert : diversification et transition énergétique

Bien que le projet gazier Greater Tortue Ahmeyim (GTA) soutienne des perspectives de croissance favorables à moyen terme (le FMI prévoit un rebond à 5,6% en 2026-2027), l’orientation stratégique consiste à utiliser ces revenus pour diversifier l’économie.

Leadership dans l’hydrogène vert : la Mauritanie se positionne comme un acteur précurseur sur le marché mondial de l’hydrogène vert, en s’appuyant sur ses abondantes ressources solaires et éoliennes. Un cadre réglementaire complet dédié à l’hydrogène vert a été mis en place, réduisant significativement les risques pour les grands investisseurs internationaux du secteur énergétique.

Soutien de la Banque mondiale : le récent rapport de la Banque mondiale sur la croissance et l’emploi souligne explicitement la nécessité d’accélérer la diversification vers des chaînes agroalimentaires modernes et des services numériques à forte valeur ajoutée, avec un engagement de soutien institutionnel dans ces domaines.

Ce virage traduit un engagement national en faveur d’une économie résiliente et écologiquement durable, faisant de la Mauritanie une destination attractive pour les investisseurs intéressés à la fois par l’exploitation des ressources et par un développement durable à long terme.

Dans sa conclusion, Richat Financial souligne que la dynamique des réformes structurelles, combinée à l’engagement en faveur d’un marché des capitaux transparent, confirme la trajectoire de la Mauritanie en tant que marché frontière de premier plan. Ces avancées positives demeurent toutefois complexes à appréhender pour les acteurs extérieurs.

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Tunisie | Ridha Charfeddine mise sur la conciliation pénale

Von: Yusra NY
27. Dezember 2025 um 19:02

Selon son avocat, l’homme d’affaires et ancien député Ridha Charfeddine a engagé une conciliation pénale lors de sa comparution devant la Chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière.

Face à cette démarche, la Chambre criminelle a décidé de reporter l’examen de l’affaire au mois de janvier prochain. Ce délai doit permettre aux autorités compétentes d’évaluer la demande et d’aboutir, éventuellement, à un accord définitif.

Pour rappel, Ridha Charfeddine est en détention depuis 2024 et fait l’objet d’une condamnation à trois ans de prison ferme et à une amende de 72 millions de dinars tunisiens.

Y. N.

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L’ATB et Visa International célèbrent les grands gagnants du jeu-concours ATB & Visa à l’occasion de la CAN Maroc 2025

27. Dezember 2025 um 11:09

Le 24 décembre 2025, s’est tenue, au siège de l’ATB, la cérémonie de remise des récompenses aux gagnants du challenge organisé à l’occasion de la CAN Maroc 2025.

Ce moment festif et empreint d’enthousiasme s’est déroulé en présence des représentants de l’Arab Tunisian Bank et de Visa International.

Les heureux lauréats ont chacun décroché un prestigieux package comprenant vols, hébergements et cadeaux de bienvenue, afin de vivre les émotions de la finale de la CAN directement depuis le Maroc.

À travers ce partenariat, ATB et Visa International réaffirment leur engagement à accompagner, récompenser et fidéliser leurs clients communs.

À la clé : de nouvelles innovations garantissant une expérience client plus fluide et plus satisfaisante, ainsi que des événements majeurs au profit des utilisateurs des cartes ATB-Visa.

Encore toutes nos félicitations aux heureux gagnants !

Site web : ATB

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L’activité touristique tunisienne reprend son élan

27. Dezember 2025 um 11:19

Malgré une conjoncture nationale et internationale difficile marquée par l’incertitude quant aux évolutions futures dans la région et au-delà, le tourisme en Tunisie semble promis à un bel avenir. Après une décennie difficile, qui a culminé avec l’épidémie de Covid 19, il y a comme un élan de reprise de l’activité touristique nationale, confirmée par les bons résultats de 2025, qui laissent présager une croissance continue et soutenue dans les années à venir. Les autorités, en tout cas, semblent confiantes quant à la poursuite de cette tendance positive.

Latif Belhedi

Malgré une conjoncture nationale et internationale difficile marquée par l’incertitude quant aux évolutions futures dans la région et au-delà, le tourisme en Tunisie semble promis à un bel avenir. Après une décennie difficile, qui a culminé avec l’épidémie de Covid 19, il y a comme un élan de reprise, confirmée par les bons résultats de 2025, qui laissent présager une croissance continue et soutenue dans les années à venir. Les autorités, en tout cas, semblent confiantes quant à la poursuite de cette tendance positive.

Des recettes en hausse de 6,3 % en 2025

Au 22 décembre 2025, la Tunisie a enregistré plus de 11 millions de visiteurs, contre 10,264 millions en 2024, et des recettes de 7,886 milliards de dinars, contre 7,494 milliards de dinars une année auparavant, soit une hausse annuelle de 6,3 %, indiquent des chiffres de la Banque centrale de Tunisie (BCT), témoignant d’une reprise bien au-delà des prévisions initiales.

Grâce à cette performance, portée par des stratégies de diversification de l’offre, d’allongement de la saison touristique et d’amélioration de l’expérience globale des visiteurs, notre pays s’impose à nouveau comme une destination touristique de premier plan en Méditerranée.

Cependant, la croissance constatée du secteur est largement tirée par la forte demande des marchés de l’Algérie et de la Libye voisines. Ces deux pays sont restés les principaux pourvoyeurs de touristes du pays avec, respectivement, 3,5 et 2,25 millions de visiteurs.

Un éventail plus large d’expériences premium

La croissance a cependant été plus faible sur les marchés d’Europe et du Moyen-Orient. Pourtant, la Tunisie a mis en œuvre une stratégie de diversification pour rester attrayante pour un large éventail de voyageurs, et de montée en gamme, pour attirer une clientèle plus aisée, disposée à dépenser davantage pour ses vacances. Les efforts déployés par le gouvernement pour améliorer la qualité de l’expérience touristique, des hébergements de luxe aux services haut de gamme, commencent à porter leurs fruits. Les visiteurs ont désormais accès à un éventail plus large d’expériences premium, incluant hôtels de charme, gastronomie raffinée et expériences culturelles exclusives, ce qui renforce l’attractivité de la destination.

Le secteur soutient des centaines de milliers d’emplois, du personnel hôtelier aux guides touristiques, et a des retombées positives sur de nombreux secteurs, dont les transports, le commerce de détail et l’agriculture. Son développement est donc crucial non seulement pour l’image du pays à l’étranger, mais aussi pour sa stabilité économique à l’intérieur.

Pour maintenir cet élan, les autorités investissent davantage dans le développement des infrastructures afin de répondre à la demande touristique croissante. Les principaux aéroports, les réseaux de transport et les services d’accueil sont constamment améliorés, rendant les déplacements vers et à l’intérieur de la Tunisie plus accessibles et plus confortables pour les touristes. Ce n’est qu’à ce prix que la Tunisie pourrait rester compétitive sur le marché touristique régional et mondial et accueillir un nombre croissant de visiteurs.

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Douane tunisienne : le 30 décembre 2025, dernier délai pour régulariser les véhicules immatriculés R.S

27. Dezember 2025 um 09:30

La Douane Tunisienne a rappelé, vendredi, que le 30 décembre 2025, est la date limite pour compléter les demandes de régularisation de la situation des véhicules automobiles et des motocycles immatriculés sous la série (R.S), importés dans le cadre du régime de la franchise totale des droits et taxes au titre du retour définitif des tunisiens résidents à l’étranger.

A cet effet, la douane appelle les personnes ayant déposé une demande de régularisation auprès des services de la direction générale des douanes avant le 31 octobre 2025, sans procéder au paiement des sommes dues, à compléter leurs demandes au plus tard le 30 décembre 2025.

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UIB Assurances clôture une émission de titres participatifs de 5 millions de dinars

27. Dezember 2025 um 08:50

UIB Assurances a annoncé la clôture de la souscription à ses titres participatifs 2025, émis sans recours à l’appel public à l’épargne.

D’un montant global de 5 millions de dinars, cette émission était réservée exclusivement à l’Union internationale de banques (UIB). La souscription a été clôturée le 22 décembre 2025, pour la totalité du montant prévu.

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Tunisair réduit sa perte nette à 221 millions de dinars, mais reste en zone de turbulences

27. Dezember 2025 um 08:22

Tunisair a clôturé l’exercice 2022 avec une progression notable de ses revenus, bien que sa situation financière demeure marquée par des déséquilibres structurels profonds et des pertes persistantes. Selon les états financiers consolidés publiés le 26 décembre 2025, le transporteur national a vu ses revenus d’exploitation quasiment doubler pour atteindre 1,42 milliard de dinars, contre environ 733 millions de dinars l’année précédente.

Cette reprise de l’activité commerciale a permis de réduire le déficit d’exploitation, qui est passé de 262 millions de dinars en 2021 à 132 millions de dinars en 2022. Malgré cette dynamique positive sur le plan opérationnel, le groupe enregistre un résultat net consolidé déficitaire de 221 millions de dinars, un chiffre toutefois en amélioration par rapport aux 335 millions de dinars de pertes constatés lors de l’exercice précédent.

La structure du bilan révèle une fragilité critique avec des capitaux propres consolidés négatifs s’élevant à 1,75 milliard de dinars au 31 décembre 2022. Ce déséquilibre s’explique par l’accumulation des déficits au fil des années, impactant non seulement la société mère mais aussi ses principales filiales comme Tunisair Express et Tunisair Handling, dont les fonds propres sont également déficitaires. Le passif total du groupe atteint environ 3,66 milliards de dinars, dont une part prépondérante de passifs courants s’élevant à 2,82 milliards de dinars. Parmi les dettes les plus significatives, le groupe doit 1,81 milliard de dinars à ses fournisseurs et partenaires rattachés. Une créance majeure de 1,18 milliard de dinars est également due à l’Office de l’aviation civile et des aéroports (OACA), représentant l’accumulation de redevances aéroportuaires sur plusieurs exercices.

Des réserves comptables majeures et des litiges préoccupants

Les commissaires aux comptes ont émis une opinion avec réserves sur ces états financiers, pointant du doigt plusieurs zones d’ombre techniques et comptables. Ils signalent des insuffisances majeures dans les systèmes d’information et le contrôle interne, ce qui limite la fiabilité du suivi des recettes commerciales et des inventaires physiques des stocks et des immobilisations. Des incertitudes pèsent également sur plusieurs litiges juridiques, notamment le dossier de Mauritania Airways dont le passif à combler est estimé à 75,7 millions de dinars, ainsi que des saisies de moteurs d’avions à l’étranger à la suite de différends financiers avec des prestataires de maintenance. Ces éléments, combinés à l’érosion des fonds propres, créent une incertitude significative quant à la continuité de l’exploitation du groupe sans mesures de soutien ou de restructuration d’envergure.

Un plan de redressement ambitieux mais incertain

Pour faire face à ces défis, la direction de Tunisair a engagé un plan de redressement incluant le gel des recrutements en vigueur depuis 2013 et une stratégie de compression des coûts. Le groupe mise sur le renouvellement de sa flotte et l’expansion de son réseau, notamment par l’ouverture de nouvelles lignes vers l’Afrique subsaharienne et l’Amérique du Nord, pour stabiliser ses revenus à long terme. La continuité de l’entreprise repose désormais sur la réussite de ces réformes et sur l’obtention de nouvelles lignes de crédit de gestion pour assurer ses flux de trésorerie

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Bourse de Tunis: progression hebdomadaire de 0,2% du Tunindex

26. Dezember 2025 um 22:03

Le marché a affiché un mouvement oscillatoire sur la semaine écoulée, avant de terminer sur une note globalement haussière (+0,2 %, à 13 270 points). L’indice de référence, Tunindex, affiche un parcours boursier fructueux en 2025 (une performance de 33,3 %), selon l’analyse hebdomadaire de Tunisie Valeurs pour la semaine du 22 au 26 décembre 2025.

Le rythme des échanges a été bien soutenu sur la semaine écoulée. Un flux de 88 millions de dinars (MDT) a été échangé sur le marché. Ce montant tient compte de la réalisation de 9 transactions de bloc sur plusieurs actions cotées. Les plus importantes transactions ont porté les titres TPR (3 transactions pour 21,6 MDT), TUNIS RE (2 transactions pour 15,2 MDT) et MAGASIN GENERAL (une transaction pour 6,4 MDT).

Analyse des valeurs

Le titre STAR s’est offert la meilleure performance de la semaine. L’action de la compagnie d’assurance n°1 en Tunisie s’est envolée de 17,7 %, à 61,600 D, dans un volume de 1,1 MDT. De son côté, le titre SANIMED a figuré parmi les plus grands gagnants de la semaine. L’action du spécialiste des articles sanitaires s’est adjugée ue progression de 7,5 %,à 0,570 D, dans un flux très limité de 2 mille dinars.

Le titre TPR a chapeauté le palmarès des échanges sur la semaine. L’action de l’extrudeur d’aluminium a gagné 5 %, à 11,300 D, en alimentant le marché avec des capitaux fournis de 22,3 MDT.

A contrario, SIPHAT a affiché un parcours boursier décevant sur la semaine passée. L’action de la société pharmaceutique s’est repliée de 16,4 %, à 3,760 D. La valeur a été transigée à hauteur de 2 mille dinars seulement.

Le titre MAGASIN GENERAL n’est pas parvenu à se distinguer sur la semaine. L’action du spécialiste de la grande distribution a accusé une baisse de 6,2 %, à 9,990 D. La valeur a animé le marché avec des échanges de 6,5 MDT.

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Cour d’appel | L’affaire Instalingo reportée à 2026

Von: Yusra NY
26. Dezember 2025 um 19:24

A la demande de la défense, la Chambre criminelle près la Cour d’appel de Tunis a reporté l’affaire Instalingo au 9 janvier 2025.

Cette affaire impliquant des hommes politiques, des responsables sécuritaires et des hommes d’affaires, ainsi que des blogueurs et des journalistes prévoit de graves poursuites, notamment tentative de modifier le régime et diffusion d’informations diffamatoires touchant le président de la République.

En première instance, la 2e Chambre pénale de Tunis avait rendu, en février dernier, des jugements allant de 5 à 54 ans de prison ferme à l’encontre des 41 prévenus.

Y. N.

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Fitch Ratings attribue la notation définitive « B(tun) » à l’emprunt obligataire « BTK 2025-1 »

26. Dezember 2025 um 17:25

L’agence de notation Fitch Ratings a publié, le 23 décembre 2025, la notation définitive concernant l’émission obligataire « BTK 2025-1 ». L’emprunt est évalué à long terme avec la note B(tun) selon l’échelle de notation de l’agence. Cette information a été communiquée par BTK Conseil, l’intermédiaire en Bourse responsable de l’opération d’émission de ces titres.

 

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Les banques maintiennent la pression : la grève reportée mais pas abandonnée

26. Dezember 2025 um 16:58

Le président de l’Union générale des banques et des établissements financiers, Ahmed Jaziri, a démenti la tenue ou l’annulation de toute grève dans le secteur des banques et des institutions financières les 29, 30 et 31 décembre 2025, précisant que l’exécution de toute grève dans le secteur a été reportée à après le Nouvel An administratif.​C’est ce qu’ont révélé les ondes radiophoniques.

Il a souligné que le secteur reste déterminé à poursuivre les mouvements de protestation, y compris le recours à la grève, afin de revendiquer une augmentation des salaires et l’amélioration des conditions sociales et professionnelles des employés du secteur.​

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